12 Changements de l'information professionelle Iclusig 15 mg |
-augmentation du taux de lipase/amylase < 2,0 x ULN Continuer à prendre Iclusig à la même dose.
-augmentation asymptomatique du taux de lipase > 2,0 x ULN Survenue avec 45 mg : · Suspendre la prise d’Iclusig et reprendre à la dose de 30 mg dès le retour à < 1,5 x ULN Survenue avec 30 mg : · Suspendre la prise d’Iclusig et reprendre à la dose de 15 mg dès le retour à < 1,5 x ULN Survenue avec 15 mg : · Envisager l’interruption définitive du traitement par Iclusig
- +Augmentation du taux de lipase/amylase < 2,0 x ULN Continuer à prendre Iclusig à la même dose.
- +Augmentation asymptomatique du taux de lipase > 2,0 x ULN Survenue avec 45 mg : · Suspendre la prise d’Iclusig et reprendre à la dose de 30 mg dès le retour à < 1,5 x ULN Survenue avec 30 mg : · Suspendre la prise d’Iclusig et reprendre à la dose de 15 mg dès le retour à < 1,5 x ULN Survenue avec 15 mg : · Envisager l’interruption définitive du traitement par Iclusig
-Augmentation des transaminases ASAT ou ALAT > 3 × LSN* Grade 2 persistant (supérieur à 7 jours) Grade 3 ou supérieur *Survenue à 45 mg : ·Iclusig doit être arrêté et la fonction hépatique doit être surveillée ·Iclusig doit être repris à 30 mg dès le retour à un grade ≤ grade 1 (< 3 × LSN) ou au grade avant traitement Survenue à 30 mg ·Iclusig doit être suspendu et repris à une dose de 15 mg dès le retour à un grade ≤ grade 1 ou au grade avant traitement Survenue à 15 mg : ·Iclusig doit être arrêté définitivement
- +Augmentation des transaminases ASAT ou ALAT > 3 × LSN* Grade 2 persistant (supérieur à 7 jours) Grade 3 ou supérieur Survenue à 45 mg : ·Iclusig doit être arrêté et la fonction hépatique doit être surveillée ·Iclusig doit être repris à 30 mg dès le retour à un grade ≤ grade 1 (< 3 × LSN) ou au grade avant traitement Survenue à 30 mg ·Iclusig doit être suspendu et repris à une dose de 15 mg dès le retour à un grade ≤ grade 1 ou au grade avant traitement Survenue à 15 mg : ·Iclusig doit être arrêté définitivement
-L’administration d’Iclusig est associée à la survenue de pancréatites. La fréquence d’une pancréatite est plus élevée durant les deux premiers mois d'utilisation. Contrôler le taux de lipase sérique toutes les 2 semaines durant les deux premiers mois, puis périodiquement par la suite. Il sera parfois nécessaire de suspendre ou de réduire la dose. Si l’augmentation du taux sérique de lipase s’accompagne de symptômes abdominaux, il convient d’interrompre l’administration d’Iclusig et d’évaluer le patient pour détecter tout signe de pancréatite (voir rubrique posologie). La prudence s'impose chez les patients ayant des antécédents de pancréatite ou d'abus d’alcool. Les patients présentant une hypertriglycéridémie sévère ou très sévère devront être pris en charge de façon appropriée afin de diminuer le risque de pancréatite.
- +L’administration d’Iclusig est associée à la survenue de pancréatites. La fréquence d’une pancréatite est plus élevée durant les deux premiers mois d'utilisation. Contrôler le taux de lipase sérique toutes les 2 semaines durant les deux premiers mois, puis périodiquement par la suite. Il sera parfois nécessaire de suspendre ou de réduire la dose. Si l’augmentation du taux sérique de lipase s’accompagne de symptômes abdominaux, il convient d’interrompre l’administration d’Iclusig et d’évaluer le patient pour détecter tout signe de pancréatite (voir rubrique Posologie/ Mode d’emploi). La prudence s'impose chez les patients ayant des antécédents de pancréatite ou d'abus d’alcool. Les patients présentant une hypertriglycéridémie sévère ou très sévère devront être pris en charge de façon appropriée afin de diminuer le risque de pancréatite.
-Iclusig est associé à de sévères thrombocytopénie, neutropénie et anémie (grade 3 ou 4 selon les critères CTCAE du NCI). Chez la majorité des patients présentant une thrombopénie de grade 3 ou 4, celle-ci est survenue durant les 3 premiers mois de traitement. La fréquence de ces événements est plus élevée chez les patients atteints de LMC en phase accélérée (LMC-PA) ou de LMC en phase blastique (LMC-PB)/LAL Ph+ que chez ceux atteints de LMC en phase chronique (LMC-PC). Il convient d’effectuer un hémogramme toutes les 2 semaines pendant les 3 premiers mois, puis tous les mois par la suite ou quand cela est indiqué sur le plan clinique. La myélosuppression est, en général, réversible et la prise en charge consiste normalement à suspendre temporairement l’administration d’Iclusig ou bien à en réduire la dose (voir rubrique posologie).
- +Iclusig est associé à de sévères thrombocytopénie, neutropénie et anémie (grade 3 ou 4 selon les critères CTCAE du NCI). Chez la majorité des patients présentant une thrombopénie de grade 3 ou 4, celle-ci est survenue durant les 3 premiers mois de traitement. La fréquence de ces événements est plus élevée chez les patients atteints de LMC en phase accélérée (LMC-PA) ou de LMC en phase blastique (LMC-PB)/LAL Ph+ que chez ceux atteints de LMC en phase chronique (LMC-PC). Il convient d’effectuer un hémogramme toutes les 2 semaines pendant les 3 premiers mois, puis tous les mois par la suite ou quand cela est indiqué sur le plan clinique. La myélosuppression est, en général, réversible et la prise en charge consiste normalement à suspendre temporairement l’administration d’Iclusig ou bien à en réduire la dose (voir rubrique Posologie/ Mode d’emploi).
-Dans une étude in vivo chez des sujets volontaires sains, la co-administration d’une seule dose orale de 15 mg d’Iclusig en présence de kétoconazole (400 mg par jour), qui est un puissant inhibiteur du CYP3A, a provoqué une modeste augmentation de l’exposition systémique au ponatinib, les valeurs ASC0-∞ et Cmax du ponatinib étant plus élevées de 78 % et 47 %, respectivement, que celles relevées quand le ponatinib était administré seul.
- +Dans une étude in vivo chez des sujets volontaires sains, la coadministration d’une seule dose orale de 15 mg d’Iclusig en présence de kétoconazole (400 mg par jour), qui est un puissant inhibiteur du CYP3A, a provoqué une modeste augmentation de l’exposition systémique au ponatinib, les valeurs ASC0-∞ et Cmax du ponatinib étant plus élevées de 78 % et 47 %, respectivement, que celles relevées quand le ponatinib était administré seul.
-Iclusig n'a pas été étudié chez les patients présentant une insuffisance rénale. Bien que l’excrétion rénale ne soit pas une voie importante d’élimination du ponatinib, les répercussions que pourrait avoir une insuffisance rénale modérée ou sévère sur l’élimination hépatique n’ont pas été déterminées (voir rubrique posologie).
- +Iclusig n'a pas été étudié chez les patients présentant une insuffisance rénale. Bien que l’excrétion rénale ne soit pas une voie importante d’élimination du ponatinib, les répercussions que pourrait avoir une insuffisance rénale modérée ou sévère sur l’élimination hépatique n’ont pas été déterminées (voir rubrique Posologie/ Mode d’emploi).
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