50 Changements de l'information professionelle Ultibro Breezhaler 110/50 |
-L'inhalation de fortes doses d'agonistes bêta2-adrénergiques peut entraîner une élévation de la glycémie. Il convient donc de surveiller étroitement la glycémie chez les diabétiques au début d'un traitement par Ultibro Breezhaler. Lors de l'expérimentation clinique, la proportion de patients avec des modifications cliniquement significatives de la glycémie sous Ultibro Breezhaler était supérieure (4.1%) à celle observée dans le groupe placebo (2.3%). Ultibro Breezhaler n'a pas été testé chez des patients souffrant d'un diabète sucré insuffisamment contrôlé.
- +L’inhalation de fortes doses d’agonistes bêta2-adrénergiques peut entraîner une élévation de la glycémie. Il convient donc de surveiller étroitement la glycémie chez les diabétiques au début d’un traitement par Ultibro Breezhaler. Dans les études cliniques au long cours ([ENLIGHTEN] et [RADIATE]), la proportion de patients présentant des modifications cliniquement manifestes de la glycémie était plus élevée sous Ultibro Breezhaler (4.9%) que sous le placebo (2.7%). Ultibro Breezhaler n’a pas été testé chez des patients souffrant d’un diabète sucré insuffisamment contrôlé.
-Aucune étude spécifique n'a été menée pour rechercher des interactions médicamenteuses avec Ultibro Breezhaler. Les informations concernant d'éventuelles interactions lors de l'utilisation d'Ultibro Breezhaler reposent sur le potentiel d'interactions de chacun des deux principes actifs.
- +Aucune étude spécifique n'a été menée pour rechercher des interactions médicamenteuses avec Ultibro Breezhaler. Les informations concernant d'éventuelles interactions lors de l'utilisation d'Ultibro Breezhaler reposent sur le potentiel d'interactions de chacun des deux principes actifs en monothérapie.
-Interactions prévisibles justifiant une non-recommandation de traitement concomitant:
-Le profil de sécurité d'Ultibro Breezhaler se fonde sur les expériences faites avec Ultibro Breezhaler et ses composants.
- +Le profil de sécurité d’Ultibro Breezhaler se fonde sur les expériences faites avec Ultibro Breezhaler et ses composants.
-Les expériences en matière de sécurité d'Ultibro Breezhaler se basent sur des données d'utilisation de doses thérapeutiques recommandées (110/50 µg) sur des périodes allant jusqu'à 15 mois.
-Le profil de sécurité est marqué par les symptômes anticholinergiques et bêta-adrénergiques typiques associés aux deux composants du médicament. La toux et les douleurs bucco-pharyngées (y compris des irritations de la gorge) figuraient parmi les autres effets indésirables les plus fréquents associés au médicament (fréquence rapportée ≥3% et supérieure au groupe placebo).
-Le profil d'effets indésirables d'Ultibro Breezhaler aux doses recommandées chez les patients avec BPCO a mis en évidence des effets systémiques sous la forme d'une stimulation bêta2-adrénergique. Les changements de fréquence cardiaques moyens étaient inférieurs à un battement par minute. Les cas de tachycardie étaient rares et leur fréquence n'était pas supérieure à celle sous placebo.
-Les effets indésirables survenus au cours des 6 premiers mois de deux études pivot de phase III cumulées d'une durée de 6 et 12 mois respectivement, sont listés par classes de systèmes d'organes MedDRA (base de données principale contenant les données de sécurité à 6 mois). Les effets indésirables sont classés par ordre de fréquence à l'intérieur de chaque système d'organes sur la base du groupe sous Ultibro Breezhaler, les réactions les plus fréquentes figurant en tête. A l'intérieur de chaque groupe de fréquence, les effets indésirables sont classés par ordre décroissant de sévérité. Pour chacun des effets indésirables la catégorie de fréquences correspondante est par ailleurs mentionnée selon la convention (CIOMS III) suivante: «très fréquents» (≥1/10), «fréquents» (≥1/100 à <1/10), «occasionnels» (≥1/1'000 à <1/100), «rares» (≥1/10'000 à <1/1'000), «très rares» (<1/10'000), y compris «cas isolés».
-Ultibro Breezhaler a induit des effets indésirables comparables à ses composants. Comme Ultibro Breezhaler contient de l'indacatérol et du glycopyrronium, on peut s'attendre à ce que le genre et la sévérité des réactions indésirables associées à chacun de ses composants soient les mêmes lors de l'utilisation de la préparation combinée.
-Effets indésirables sous Ultibro Breezhaler dans deux essais cliniques contrôlés par placebo.
- +Les expériences en matière de sécurité d’Ultibro Breezhaler se basent sur des données d’utilisation de doses thérapeutiques recommandées (110/50 µg) sur des périodes allant jusqu’à 15 mois.
- +Le profil de sécurité est marqué par les symptômes anticholinergiques et bêta-adrénergiques typiques associés aux deux composants du médicament. Les céphalées, la toux et la rhinopharyngite figuraient parmi les autres effets indésirables les plus fréquents associés au médicament (fréquence ≥3% et supérieure à celle observée dans le groupe placebo).
- +Le profil d’effets indésirables d’Ultibro Breezhaler aux doses recommandées chez les patients avec BPCO a mis en évidence des effets systémiques sous la forme d’une stimulation bêta2-adrénergique. Les changements de fréquence cardiaques moyens étaient inférieurs à un battement par minute. Les cas de tachycardie étaient rares et leur fréquence n’était pas supérieure à celle sous placebo.
- +Les effets indésirables sont listés par classes de systèmes d’organes MedDRA. La fréquence des effets indésirables a été déterminée à l’aide des données cumulées de 3 études cliniques de phase III contrôlées contre placebo, d’une durée de 6 et 12 mois. Pour chacun des effets indésirables, la catégorie de fréquences correspondante est mentionnée selon la convention (CIOMS III) suivante: «très fréquents» (≥1/10), «fréquents» (≥1/100 à <1/10), «occasionnels» (≥1/1000 à <1/100), «rares» (≥1/10'000 à <1/1000), «très rares» (<1/10'000).
- +Ultibro Breezhaler a induit des effets indésirables comparables à ses composants en monothérapie. Comme Ultibro Breezhaler contient de l’indacatérol et du glycopyrronium, on peut s’attendre à ce que le genre et la sévérité des réactions indésirables associées à chacun de ses composants soient les mêmes lors de l’utilisation de la préparation combinée.
- +Incidence cumulée selon Kaplan-Meier (en %) des effets indésirables à la semaine 52 (données sur la BPCO regroupées contrôlées contre placebo).
-Très fréquents: infections des voies respiratoires supérieures.
- +Très fréquents: infections des voies respiratoires supérieures (16.96%).
-Occasionnel: hypersensibilité.
- +Fréquents: hypersensibilité.
-Occasionnels: diabète et hyperglycémie.
- +Fréquents: hyperglycémie et diabète sucré.
-Occasionnel: insomnies.
- +Occasionnels: insomnies
-Occasionnel: paresthésies.
- +Rares: paresthésies.
-Occasionnel: glaucome*.
- +Occasionnels: glaucome*.
-Occasionnel: épistaxis.
- +Occasionnels: épistaxis, bronchospasme paradoxal.
-Occasionnel: sécheresse buccale.
- +Occasionnels: sécheresse buccale, gastro-entérite.
-Occasionnel: prurit/éruption cutanée.
- +Occasionnels: prurit/éruption cutanée.
-Fréquents: douleurs de l'appareil locomoteur.
-Occasionnels: spasmes musculaires, myalgies.
- +Occasionnels: douleurs de l’appareil locomoteur, spasmes musculaires, myalgies, douleurs dans les membres.
-Occasionnels: obstruction vésicale et rétention urinaire.
- +Fréquents: obstruction vésicale et rétention urinaire.
-Fréquence inconnue: angio-œdèmes.
-Informations complémentaires relatives aux composants isolés
-Des cas de gastro-entérite, de douleurs aux extrémités et de bronchospasme paradoxal ont été rapportés avec les composants isolés, mais pas sous Ultibro Breezhaler, dans les deux essais contrôlés par placebo, raison pour laquelle ils ne figurent pas dans les effets indésirables listés ci-dessus.
- +Les effets indésirables suivants ont été observés en relation avec l’utilisation d’Ultibro Breezhaler après sa commercialisation. Comme ces effets indésirables ont été rapportés sur une base volontaire dans une population de taille indéterminée, leur fréquence n’est pas estimable de façon fiable et a par conséquent été classée dans la catégorie «fréquence inconnue». Les effets indésirables sont listés selon les classes de systèmes d’organes MedDRA. À l’intérieur de chaque classe de système d’organes, les effets indésirables sont indiqués par ordre décroissant de sévérité.
- +Effets indésirables documentés dans le cadre d’annonces spontanées et de cas publiés dans la littérature (fréquence non estimable)
- +Affections du système immunitaire
- +Angio-œdème.
- +Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales
- +Dysphonie.
-L'effet anticholinergique le plus fréquent était la sécheresse buccale (0.6% vs 0.3% sous placebo). Cet effet indésirable a toutefois été rapporté plus rarement sous Ultibro Breezhaler que sous glycopyrronium en monothérapie. La sécheresse buccale était dans la majorité des cas d'intensité légère et selon toute vraisemblance liée au traitement; aucun cas grave n'a été rapporté. La toux était fréquente, mais en règle générale d'intensité faible.
-Quelques effets indésirables graves apparus lors de l'utilisation en monothérapie de l'indacatérol sont connus, en particulier des cas de réactions d'hypersensibilité et de cardiopathie ischémique. Les fréquences des réactions d'hypersensibilité et des cardiopathies ischémiques annoncées sous Ultibro Breezhaler étaient de 0.1% vs 0.0% sous placebo et de 0.4% vs 0.3% sous placebo respectivement.
-Groupes de patients particuliers
-Chez les patients de plus de 75 ans, la fréquence des infections urinaires était plus élevée sous Ultibro Breezhaler que sous placebo (3.5% vs 2.8%).
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- +L’effet anticholinergique le plus fréquent était la sécheresse buccale (0.64% contre 0.45% sous placebo). Cet effet indésirable a toutefois été rapporté plus rarement sous Ultibro Breezhaler que sous glycopyrronium en monothérapie. La sécheresse buccale était dans la majorité des cas d’intensité légère et selon toute vraisemblance liée au traitement; aucun cas grave n’a été rapporté. La toux était fréquente, mais en règle générale d’intensité faible.
- +Quelques effets indésirables graves apparus lors de l’utilisation en monothérapie de l’indacatérol sont connus, en particulier des cas de réactions d’hypersensibilité et de cardiopathie ischémique. Les fréquences des réactions d’hypersensibilité et des cardiopathies ischémiques annoncées sous Ultibro Breezhaler étaient de 2.06% contre 1.9% sous placebo et de 0.67% contre 0.78% sous placebo respectivement.
-Le programme de développement clinique de phase III d'Ultibro Breezhaler [IGNITE] comprenait cinq études: une étude sur 26 semaines, contrôlée par placebo et substance active (150 µg d'indacatérol une fois par jour, 50 µg de glycopyrronium une fois par jour, 18 µg de tiotropium en protocole ouvert, une fois par jour) [SHINE]; une étude sur 26 semaines contrôlée par substance active (500/50 µg de fluticasone/salmétérol deux fois par jour) [ILLUMINATE]; une étude sur 64 semaines contrôlée par substance active (50 µg de glycopyrronium une fois par jour, 18 µg de tiotropium en protocole ouvert, une fois par jour) [SPARK]; une étude sur 52 semaines contrôlée par placebo [ENLIGHTEN] et une étude de tolérance à l'effort sur trois semaines, contrôlée par placebo et par substance active (tiotropium en protocole ouvert, une fois par jour) [BRIGHT]. Plus de 5'000 patients ont été inclus au total.
-Les participants étaient des patients avec diagnostic clinique de BPCO modérée à très sévère, âgés de 40 ans au moins et présentant une anamnèse de tabagisme d'au minimum 10 paquets-années.
-Les sujets inclus dans [SHINE] et [ENLIGHTEN] avaient un VEMS post-bronchodilatateur <80% et ≥30% de la valeur prédite et un rapport post-bronchodilatateur VEMS/CVF inférieur à 70%. L'étude sur 26 semaines contrôlée par substance active [ILLUMINATE] a inclus des patients avec VEMS post-bronchodilatateur <80% et ≥40% de la valeur prédite, sans exacerbations modérées ou sévères au cours des 12 mois ayant précédé le début de l'étude. Dans l'étude sur 64 semaines [SPARK], les patients inclus présentaient par contre une BPCO sévère à très sévère et un VEMS post-bronchodilatateur <50% de la valeur prédite.
- +Le programme de développement clinique de phase III d’Ultibro Breezhaler [IGNITE] comprenait six études auxquelles au total plus de 8000 patients ont participé: une étude sur 26 semaines, contrôlée contre placebo et substance active (150 µg d’indacatérol une fois par jour, 50 µg de glycopyrronium une fois par jour, 18 µg de tiotropium en protocole ouvert, une fois par jour) [SHINE]; une étude sur 26 semaines contrôlée contre substance active (500/50 µg de salmétérol/fluticasone deux fois par jour) [ILLUMINATE]; une étude sur 64 semaines contrôlée contre substance active (50 µg de glycopyrronium une fois par jour, 18 µg de tiotropium en protocole ouvert, une fois par jour) [SPARK]; une étude sur 52 semaines contrôlée contre placebo [ENLIGHTEN], et une étude de tolérance à l’effort sur trois semaines, contrôlée contre placebo et contre substance active (tiotropium en protocole ouvert, une fois par jour) [BRIGHT], ainsi qu’une étude contrôlée contre substance active sur 52 semaines (salmétérol/fluticasone 500/50 µg deux fois par jour) [FLAME].
- +Les participants étaient des patients avec diagnostic clinique de BPCO modérée à très sévère, âgés de 40 ans au moins et présentant une anamnèse de tabagisme d’au minimum 10 paquets-années. Dans ces 5 études, les sujets inclus dans [SHINE] et [ENLIGHTEN] avaient un VEMS post-bronchodilatateur <80% et ≥30% de la valeur normale prédite et un rapport post-bronchodilatateur VEMS/CVF inférieur à 70%. L’étude sur 26 semaines contrôlée contre substance active [ILLUMINATE] a inclus des patients avec VEMS post-bronchodilatateur <80% et ≥40% de la valeur normale prédite, sans exacerbations modérées ou sévères au cours des 12 mois ayant précédé le début de l’étude. Dans l’étude sur 64 semaines [SPARK], les patients inclus présentaient par contre une BPCO sévère à très sévère, des antécédents de ≥1 épisode d’exacerbation modérée à sévère de la BPCO au cours de l’année écoulée, ainsi qu’un VEMS post-bronchodilatateur <50% de la valeur normale prédite.
- +L’étude contrôlée contre substance active sur 52 semaines [FLAME] a inclus des patients présentant une BPCO modérée à sévère, des antécédents de ≥1 épisode d’exacerbation modérée à sévère de la BPCO (19% avec des antécédents de ≥2 épisodes d’exacerbations) au cours de l’année écoulée, ainsi qu’un VEMS post-bronchodilatateur de ≥25 et <60% de la valeur normale prédite.
-Le VEMS moyen pré-dose (moyenne des valeurs mesurées -45 min. et -15 min. avant la dose du matin du médicament de l'étude) était cliniquement significatif et statistiquement meilleur sous Ultibro Breezhaler à la semaine 26 versus fluticasone/salmétérol (100 ml, p<0.001) [ILLUMINATE], à la semaine 52 versus placebo (189 ml, p<0.001) [ENLIGHTEN] et lors de toutes les visites de contrôle jusqu'à la semaine 64 versus glycopyrronium (70-80 ml, valeur de p <0.001) et tiotropium en protocole ouvert (60-80 ml, valeur de p <0.001) [SPARK].
- +Le VEMS moyen avant l’administration de la dose (moyenne des valeurs mesurées -45 min. et -15 min. avant la dose du matin du médicament de l’étude) était cliniquement significatif et statistiquement meilleur sous Ultibro Breezhaler à la semaine 26 versus salmétérol/fluticasone (100 ml, p<0.001) [ILLUMINATE], à la semaine 52 versus placebo (189 ml, p<0.001) [ENLIGHTEN] et lors de toutes les visites de contrôle jusqu’à la semaine 64 versus glycopyrronium (70-80 ml, valeur de p <0.001) et tiotropium en protocole ouvert (60-80 ml, valeur de p <0.001) [SPARK].
- +Dans l’étude [FLAME], le VEMS moyen avant l’administration de la dose était augmenté de façon cliniquement significative (62-86 ml) sous Ultibro Breezhaler par rapport à l’association salmétérol/fluticasone en double aveugle lors de toutes les visites jusqu’à la semaine 52.
- +
-Dans l'étude contrôlée par substance active [ILLUMINATE], Ultibro Breezhaler a induit une augmentation de 140 ml de l'AUC (0-12 h) du VEMS post-dose (p<0.001) (critère primaire) après 26 semaines par rapport à l'association fluticasone/salmétérol.
-
- +Dans l’étude contrôlée contre substance active [ILLUMINATE], Ultibro Breezhaler a induit une augmentation de 140 ml de l’AUC(0-12 h) du VEMS post-dose (p<0.001) (critère d’évaluation primaire) après 26 semaines par rapport à l’association salmétérol/fluticasone.
- +Des spirométries en série ont été réalisées dans un sous-groupe de patients de l’étude [FLAME]. Dans ce sous-groupe, Ultibro Breezhaler a entraîné une amélioration de l’AUC0-12 h du VEMS de 110 ml après 52 semaines de traitement. Le groupe de patients traités par Ultibro Breezhaler a enregistré une amélioration dès le jour 1 par rapport à ceux du groupe salmétérol/fluticason.
- +Figure 1: Profil du changement de la moyenne des moindres carrés («Least Squares Mean») du VEMS (l) -45 min à 12 h au début du traitement, à la semaine 12, à la semaine 26 et à la semaine 52 (spirométries en série dans le sous-groupe) [124,125,126]
- +Semaine 12
- +(image)
- +Semaine 26
- +(image)
- +Semaine 52
- +(image)
- +
-Ultibro Breezhaler a induit une diminution significative des troubles respiratoires (mesurés par le Transitional Dyspnea Index - TDI). L'administration d'Ultibro Breezhaler a en particulier entraîné une amélioration statistiquement et cliniquement significative du TDI focal à la semaine 26 versus placebo (1.09, p<0.001), tiotropium en protocole ouvert (0.51, p=0.007) [SHINE] et fluticasone/salmétérol (0.76, p=0.003) [ILLUMINATE].
-Une proportion significativement plus importante de patients sous Ultibro Breezhaler a réagi à la semaine 26 par une amélioration d'au moins un point du TDI focal par rapport aux patients du groupe placebo (68.1% contre 57.5%, p=0.004). De plus, une proportion significativement plus importante de patients sous Ultibro Breezhaler a présenté une amélioration cliniquement significative à la semaine 26 par rapport au tiotropium en protocole ouvert (68.1% sous Ultibro Breezhaler vs 59.2% sous tiotropium, p=0.016) et à l'association fluticasone/salmétérol (65.1% sous Ultibro Breezhaler vs 55.5% sous fluticasone/salmétérol, p=0.088) [ILLUMINATE].
- +Ultibro Breezhaler a induit une diminution significative des troubles respiratoires (mesurés par le Transitional Dyspnea Index - TDI). L’administration d’Ultibro Breezhaler a en particulier entraîné une amélioration statistiquement et cliniquement significative du TDI focal à la semaine 26 versus placebo (1.09, p<0.001), tiotropium en protocole ouvert (0.51, p=0.007) [SHINE] et salmétérol/fluticasone (0.76, p=0.003) [ILLUMINATE].
- +Une proportion significativement plus importante de patients sous Ultibro Breezhaler a réagi à la semaine 26 par une amélioration d’au moins un point du TDI focal par rapport aux patients du groupe placebo (68.1% contre 57.5%, p=0.004). De plus, une proportion significativement plus importante de patients sous Ultibro Breezhaler a présenté une amélioration cliniquement significative à la semaine 26 par rapport au tiotropium en protocole ouvert (68.1% sous Ultibro Breezhaler vs 59.2% sous tiotropium, p=0.016) et à l’association salmétérol/fluticasone (65.1% sous Ultibro Breezhaler vs 55.5% sous salmétérol/fluticasone, p=0.088) [ILLUMINATE].
-L'inhalation d'Ultibro Breezhaler une fois par jour a eu par ailleurs des effets statistiquement significatifs sur la qualité de vie liée à la santé, mesurée par le SGRQ (St. George's Respiratory Questionnaire), comme l'a montré la diminution du score SGRQ global à la semaine 26 versus placebo (-3.01, p=0.002).
-Parmi les patients sous Ultibro Breezhaler, une proportion plus importante de patients traités a bénéficié d'une amélioration cliniquement significative du score SGRQ (définie par une réduction d'au moins 4 unités par rapport au score initial), comme on l'a constaté à la semaine 26 par rapport au placebo (63.7% resp. 56.6%, p=0.088).
- +L’inhalation d’Ultibro Breezhaler une fois par jour a eu par ailleurs des effets statistiquement significatifs sur la qualité de vie liée à la santé, mesurée par le SGRQ (St. George’s Respiratory Questionnaire), comme l’a montré la diminution du score SGRQ global à la semaine 26 versus placebo (-3.01, p=0.002). Dans l’étude [FLAME], Ultibro Breezhaler a entraîné une diminution du score SGRQ global à la semaine 52 par rapport à l’association salmétérol/fluticasone (-1.3).
- +Parmi les patients sous Ultibro Breezhaler, une proportion plus importante de patients traités a bénéficié d’une amélioration cliniquement significative du score SGRQ (définie par une réduction d’au moins 4 unités par rapport au score initial), comme on l’a constaté à la semaine 26 par rapport au placebo (63.7% resp. 56.6%, p=0.088). Dans l’étude [FLAME], Ultibro Breezhaler a entraîné une amélioration cliniquement significative du score SGRQ à la semaine 52 par rapport à l’association salmétérol/fluticasone (49.2% sous Ultibro Breezhaler contre 43.7% sous salmétérol/fluticasone, OU: 1.30) [FLAME].
-Sur les 26 semaines, Ultibro Breezhaler a produit une amélioration numérique du pourcentage de «jours où il était possible d'effectuer les activités quotidiennes habituelles» (8.45%, p<0.001) versus glycopyrronium (1.87; p=0.195).
- +Sur les 26 semaines, Ultibro Breezhaler a produit une amélioration numérique du pourcentage de «jours où il était possible d’effectuer les activités quotidiennes habituelles» (8.45%, p<0.001) versus glycopyrronium (1.87; p=0.195).
-Dans l'étude [SPARK], Ultibro Breezhaler administré à raison d'une inhalation par jour durant 64 semaines a diminué la fréquence des exacerbations modérées à sévères de BPCO de 12% versus glycopyrronium (p=0.038).
-Ultibro Breezhaler a réduit le taux d'exacerbations de BPCO de tous les degrés de sévérité (légères, modérées et sévères) de 15% par rapport au glycopyrronium (p=0.001).
-En ce qui concerne le temps écoulé jusqu'à la survenue de la première exacerbation modérée ou sévère de la BPCO, Ultibro Breezhaler en a réduit le risque de 7% (p=0.319) par rapport au glycopyrronium.
-Utilisation de médicaments d'urgence
-Ultibro Breezhaler une fois par jour a induit dans l'étude [SHINE] sur 26 semaines une diminution significative de l'utilisation des médicaments d'urgence (salbutamol) de 0.96 bouffée par jour (p<0.001) par rapport au placebo et de 0.54 bouffée par jour (p<0.001) par rapport au tiotropium en protocole ouvert, ainsi que de 0.39 bouffée par jour (p=0.019) par rapport à l'association fluticasone/salmétérol dans l'étude [ILLUMINATE].
-Dans l'étude [SPARK], Ultibro Breezhaler a diminué de 0.76 bouffée par jour (p<0.001) l'utilisation des médicaments d'urgence (salbutamol) par rapport au tiotropium en protocole ouvert sur 64 semaines.
-Tolérance à l'effort
-Au cours de l'étude sur 3 semaines [BRIGHT] pour tester la tolérance à l'effort lors d'un effort sous-maximal (75%) sur bicyclette ergométrique (test de tolérance à l'effort sous-maximal), Ultibro Breezhaler à raison d'une dose matinale a diminué l'hyperinflation dynamique et amélioré l'endurance dès la première dose. Dès le premier jour de traitement, la capacité inspiratoire durant l'effort a été significativement améliorée versus placebo (250 ml, p<0.001). Par rapport au placebo, la capacité inspiratoire a continué à s'améliorer après trois semaines de traitement d'Ultibro Breezhaler (320 ml, p<0.001), de même que l'endurance (durée d'effort 59.5 secondes, p=0.006).
- +Dans l’étude [SPARK], Ultibro Breezhaler administré à raison d’une inhalation par jour durant 64 semaines a diminué la fréquence des exacerbations modérées à sévères de BPCO de 12% versus glycopyrronium (p=0.038).
- +Ultibro Breezhaler a réduit le taux d’exacerbations de BPCO de tous les degrés de sévérité (légères, modérées et sévères) de 15% par rapport au glycopyrronium (p=0.001).
- +En ce qui concerne le temps écoulé jusqu’à la survenue de la première exacerbation modérée ou sévère de la BPCO, Ultibro Breezhaler en a réduit le risque de 7% (p=0.319) par rapport au glycopyrronium.
- +L’étude contrôlée contre substance active sur 52 semaines [FLAME], au cours de laquelle les patients ont reçu Ultibro Breezhaler 1 fois par jour, a atteint le principal critère d’efficacité de la non-infériorité pour toutes les exacerbations de la BPCO (légères, modérées ou sévères) versus salmétérol/fluticasone. Le taux annuel des épisodes d’exacerbation de tout degré de sévérité (légère, modérée et sévère) a été inférieur de 11% sous Ultibro Breezhaler par rapport à l’association salmétérol/fluticasone (3.59 contre 4.03, p=0.003) et le délai jusqu’au premier épisode d’exacerbation a été prolongé de 16% (délai médian: 71 jours sous Ultibro Breezhaler contre 51 jours sous salmétérol/fluticasone).
- +Le taux annuel des exacerbations modérées ou sévères a été inférieur de 17% sous Ultibro Breezhaler par rapport à l’association salmétérol/fluticasone (0.98 contre 1.19) et le délai jusqu’au premier épisode d’exacerbation modérée ou sévère a été prolongé avec une réduction de 22% du risque d’exacerbation (25e percentile: 127 jours pour Ultibro Breezhaler contre 87 jours pour l’association salmétérol/fluticasone, p<0.001). Moins de 50% des patients du groupe traité par Ultibro Breezhaler ont présenté une exacerbation. C’est pourquoi le délai jusqu’au premier épisode d’exacerbation modérée ou sévère de la BPCO a été calculé à la place pour le premier quartile des patients.
- +Ultibro Breezhaler a tendanciellement diminué le taux annuel des exacerbations sévères par rapport à l’association salmétérol/fluticasone (0.15 contre 0.17). Ultibro Breezhaler a prolongé le délai jusqu’au premier épisode d’exacerbation sévère avec une réduction de 19% du risque d’exacerbation.
- +L’incidence des pneumonies (confirmées radiologiquement, par ex. par des radiographies ou un CT-scan du thorax) a été de 3.2% dans le bras d’étude sous Ultibro Breezhaler contre 4.8% dans le bras d’étude sous salmétérol/fluticasone. Le délai jusqu’à l’apparition de la première pneumonie a été prolongé sous Ultibro Breezhaler par rapport à l’association salmétérol/fluticasone.
- +Utilisation de médicaments d’urgence
- +Ultibro Breezhaler une fois par jour a induit dans l’étude [SHINE] sur 26 semaines une diminution significative de l’utilisation des médicaments d’urgence (salbutamol) de 0.96 bouffée par jour (p<0.001) par rapport au placebo et de 0.54 bouffée par jour (p<0.001) par rapport au tiotropium en protocole ouvert, ainsi que de 0.39 bouffée par jour (p=0.019) par rapport à l’association salmétérol/fluticasone dans l’étude [ILLUMINATE].
- +Dans l’étude [SPARK], Ultibro Breezhaler a diminué de 0.76 bouffée par jour (p<0.001) l’utilisation des médicaments d’urgence (salbutamol) par rapport au tiotropium en protocole ouvert sur 64 semaines.
- +Au cours des 52 semaines, l’utilisation d’Ultibro Breezhaler une fois par jour a diminué les besoins en médicaments d’urgence de 1.01 bouffée par jour par rapport au début du traitement, tandis que l’association salmétérol/fluticasone a diminué le recours à ces derniers de 0.76 bouffée par jour par rapport au début du traitement.
- +Tolérance à l’effort
- +Au cours de l’étude sur 3 semaines [BRIGHT] pour tester la tolérance à l’effort lors d’un effort sous-maximal (75%) sur bicyclette ergométrique (test de tolérance à l’effort sous-maximal), Ultibro Breezhaler à raison d’une dose matinale a diminué l’hyperinflation dynamique et amélioré l’endurance dès la première dose. Dès le premier jour de traitement, la capacité inspiratoire durant l’effort a été significativement améliorée versus placebo (250 ml, p<0.001). Par rapport au placebo, la capacité inspiratoire a continué à s’améliorer après trois semaines de traitement d’Ultibro Breezhaler (320 ml, p<0.001), de même que l’endurance (durée d’effort 59.5 secondes, p=0.006).
-Septembre 2014.
- +Avril 2017.
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