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Accueil - Information professionnelle sur Voriconazol-Mepha 50mg - Changements - 19.04.2023
42 Changements de l'information professionelle Voriconazol-Mepha 50mg
  • -Le voriconazole a été associé à des atteintes hépatiques et ne peut être utilisé chez les patients présentant une atteinte hépatique sévère seulement si les bénéfices attendus l'emportent sur les risques potentiels. Les patients présentant une atteinte hépatique sévère doivent être étroitement surveillés, en particulier en ce qui concerne les effets indésirables (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +Le voriconazole a été associé à des atteintes hépatiques et ne peut être utilisé chez les patients présentant une atteinte hépatique sévère seulement si les bénéfices attendus l'emportent sur les risques potentiels. Les patients présentant une atteinte hépatique sévère doivent être étroitement surveillés en ce qui concerne les effets indésirables (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -L'utilisation du voriconazole est associée à un risque accru de carcinomes épidermoïdes cutanés. Des cas ont également été observés chez les enfants et les adolescents. Ces tumeurs étaient généralement précédées de réactions phototoxiques aiguës et de lésions précancéreuses (kératoses actiniques). Une partie de ces patients présentaient des carcinomes épidermoïdes cutanés multiples ou une croissance agressive des tumeurs avec infiltration locale et/ou métastases à distance, ainsi qu'une tendance aux récidives, avec une issue fatale dans de rares cas. Tandis que les kératoses actiniques étaient en partie réversibles à l'arrêt du voriconazole, les carcinomes épidermoïdes cutanés déjà manifestes ont, en partie, encore donné lieu à d'autres récidives après l'arrêt du traitement.
  • +L'utilisation du voriconazole est associée à un risque accru de carcinomes épidermoïdes cutanés. Des cas ont également été observés chez les enfants et les adolescents. Ces tumeurs étaient généralement précédées de réactions phototoxiques aiguës et de lésions précancéreuses telles que des kératoses actiniques ou une maladie de Bowen. Une partie de ces patients présentaient des carcinomes épidermoïdes cutanés multiples ou une croissance agressive des tumeurs avec infiltration locale et/ou métastases à distance, ainsi qu'une tendance aux récidives, avec une issue fatale dans de rares cas. Tandis que les kératoses actiniques étaient en partie réversibles à l'arrêt du voriconazole, les carcinomes épidermoïdes cutanés déjà manifestes ont, en partie, encore donné lieu à d'autres récidives après l'arrêt du traitement.
  • -Interactions significatives
  • +Interactions significatives (voir aussi «Interactions»)
  • +Évérolimus
  • +Il faut s'attendre à un accroissement significatif des concentrations plasmatiques d'évérolimus par le voriconazole. Comme les données actuellement disponibles sont insuffisantes pour émettre des recommandations posologiques appropriées, l'administration concomitante n'est pas recommandée (voir «Interactions»).
  • +Inhibiteurs de tyrosine kinase (substrats du CYP3A4)
  • +En cas d'administration concomitante de voriconazole et d'inhibiteurs de tyrosine kinase (ITK), il faut s'attendre à une augmentation des concentrations plasmatiques d'ITK et, par conséquent, à un risque accru d'effets indésirables associés. L'intensité de l'interaction n'est pas identique pour toutes les substances actives concernées, de sorte que l'information professionnelle de chaque ITK doit être prise en compte. En général, l'utilisation concomitante doit être évitée. Si elle est inévitable, une réduction de la dose de l'ITK et une surveillance étroite sont recommandées.
  • +Opiacés
  • +En cas d'administration concomitante de voriconazole avec des opiacés de courte durée d'action, métabolisés par le CYP3A4 (tels que le fentanyl, l'alfentanil et le sufentanil), une réduction de la dose d'opiacé doit être envisagée (voir «Interactions»). Une surveillance étroite des effets indésirables des opiacés (par ex. surveillance prolongée de la fonction respiratoire) peut s'avérer nécessaire. Ceci est aussi valable pour les opiacés à action prolongée métabolisés par le CYP3A4 (tels que l'hydrocodone ou l'oxycodone).
  • -Opiacés
  • -En cas d'administration concomitante de voriconazole avec des opiacés de courte durée d'action, métabolisés par le CYP3A4 (tels que le fentanyl, l'alfentanil et le sufentanil), une réduction de la dose d'opiacé doit être envisagée (voir «Interactions»). Une surveillance étroite des effets indésirables des opiacés (par ex. contrôle prolongé de la fonction respiratoire) peut s'avérer nécessaire. Ceci est aussi valable pour les opiacés à action prolongée métabolisés par le CYP3A4 (tels que l'hydrocodone ou l'oxycodone).
  • -Évérolimus
  • -Il faut s'attendre à un accroissement significatif des concentrations plasmatiques d'évérolimus par le voriconazole. Comme les données actuellement disponibles sont insuffisantes pour émettre des recommandations posologiques appropriées, l'administration concomitante n'est pas recommandée (voir «Interactions»).
  • -Excipients
  • +Excipients revêtant un intérêt particulier
  • -Substrats du CYP3A4: dans les études d'interactions cliniques, l'administration concomitante de voriconazole et de substrats du CYP3A4 a entraîné une augmentation de l'exposition au substrat, dont l'ampleur était dépendante du substrat (voir Tableau d'interactions 2, ci-dessous).
  • +Substrats du CYP3A4: dans les études d'interactions cliniques, l'administration concomitante de voriconazole et de substrats du CYP3A4 a entraîné une augmentation de l'exposition au substrat, dont l'ampleur était dépendante du substrat (voir Tableau d'interactions 2, cidessous).
  • -déconseillé évérolimus (voir aussi «Mises en garde et précautions») fluconazole letermovir midazolam oral phénytoïne (voir aussi «Posologie/Mode d'emploi») ritonavir à faible dose rivaroxaban vénétoclax (contre-indiqué pendant la phase de titration) divers principes actifs antinéoplasiques (par ex. ibrutinib, trabectédine)
  • -à utiliser avec précaution (et procéder à une adaptation posologique si nécessaire) apixaban aprépitant benzodiazépines (par ex. midazolam) ciclosporine dérivés de la coumarine éfavirenz à dose réduite (voir «Posologie/Mode d'emploi») ivacaftor corticostéroïdes métabolisés par le CYP3A4 (par ex. hydrocortisone, dexaméthasone ou budésonide) méthadone AINS métabolisés par le CYP2C9 (par ex. diclofénac, ibuprofène) oméprazole opiacés à courte durée d'action (par ex. alfentanil, fentanyl, sufentanil) opiacés à action prolongée (par ex. oxycodone, hydrocodone) inhibiteurs de la pompe à protons métabolisés par le CYP2C19 sildénafil dans l'indication dysfonction érectile statines sulfonylurées tacrolimus tadalafil vardénafil venlafaxine zopiclone divers principes actifs antinéoplasiques (par ex. inhibiteurs de tyrosine kinase, docétaxel, trastuzumab) divers principes actifs antiviraux (par ex. delavirdine, nelfinavir, névirapine, saquinavir) vinca-alcaloïdes
  • +déconseillé évérolimus (voir aussi «Mises en garde et précautions») fluconazole letermovir midazolam oral phénytoïne (voir aussi «Posologie/Mode d'emploi») ritonavir à faible dose rivaroxaban certains inhibiteurs de tyrosine kinase (par ex. bosutinib, céritinib, cobimétinib, ibrutinib, nilotinib, ribociclib; voir aussi «à utiliser avec précaution…» ci-dessous) vénétoclax (contre-indiqué pendant la phase de titration) divers principes actifs antinéoplasiques (par ex. trabectédine)
  • +à utiliser avec précaution (et procéder à une adaptation posologique si nécessaire) apixaban aprépitant benzodiazépines (par ex. midazolam) ciclosporine dérivés de la coumarine éfavirenz à dose réduite (voir «Posologie/Mode d'emploi») ivacaftor corticostéroïdes métabolisés par le CYP3A4 (par ex. hydrocortisone, dexaméthasone ou budésonide) méthadone AINS métabolisés par le CYP2C9 (par ex. diclofénac, ibuprofène) oméprazole opiacés à courte durée d'action (par ex. alfentanil, fentanyl, sufentanil) opiacés à action prolongée (par ex. oxycodone, hydrocodone) inhibiteurs de la pompe à protons métabolisés par le CYP2C19 sildénafil dans l'indication dysfonction érectile statines sulfonylurées tacrolimus tadalafil certains inhibiteurs de tyrosine kinase (par ex. axitinib, cabozantinib, dabrafenib, dasatinib, gefitinib, sunitinib; voir aussi «déconseillé» ci-dessus) vardénafil venlafaxine zopiclone divers principes actifs antinéoplasiques (par ex. docétaxel, trastuzumab) divers principes actifs antiviraux (par ex. delavirdine, nelfinavir, névirapine, saquinavir) vinca-alcaloïdes
  • +Tumeurs bénignes, malignes et non précisées (incl. kystes et polypes)
  • +Fréquence inconnue: carcinomes épidermoïdes et modifications précancéreuses de la peau (voir «Mises en garde et précautions»), en particulier chez les patients sous forte immunosuppression.
  • +
  • -Très fréquents: troubles visuels (26.2%) (tels que vision floue, mouches volantes, modification de la perception des couleurs, héméralopie, phénomènes lumineux anormaux (photopsie), oscillopsie, diminution de l'acuité visuelle, scotome), photophobie.
  • +Très fréquents: troubles visuels (26.2%) (tels que vision floue, mouches volantes, modification de la perception des couleurs, héméralopie, phénomènes lumineux anormaux [photopsie], oscillopsie, diminution de l'acuité visuelle, scotome), photophobie.
  • -Fréquence inconnue: carcinomes épidermoïdes cutanés, en particulier chez les patients sous forte immunosuppression (voir «Mises en garde et précautions»), syndrome DRESS, lupus érythémateux cutané.
  • +Fréquence inconnue: syndrome DRESS, lupus érythémateux cutané.
  • -L'efficacité clinique du voriconazole (avec rémission partielle ou complète, voir «Efficacité clinique») a été démontrée pour les infections à Aspergillus spp. (y compris A. flavus, A. fumigatus, A. terreus, A. niger et A. nidulans), Candida spp. (y compris C. albicans, C. glabrata, C. krusei, C. parapsilosis, C. tropicalis et pour un nombre restreint d'infections à C. dubliniensis, C. inconspicua et C. guilliermondii), Scedosporium spp. (y compris S. apiospermum, S. prolificans), et Fusarium spp.
  • +L'efficacité clinique du voriconazole (avec rémission partielle ou complète, voir « Efficacité clinique ») a été démontrée pour les infections à Aspergillus spp. (y compris A. flavus, A. fumigatus, A. terreus, A. niger et A. nidulans), Candida spp. (y compris C. albicans, C. glabrata, C. krusei, C. parapsilosis, C. tropicalis et pour un nombre restreint d'infections à C. dubliniensis, C. inconspicua et C. guilliermondii), Scedosporium spp. (y compris S. apiospermum, S. prolificans), et Fusarium spp.
  • -Avant de débuter le traitement, des échantillons doivent être obtenus pour une culture fongique et d'autres tests de laboratoire appropriés (sérologie, histopathologie) doivent être pratiqués afin d'isoler et identifier les micro-organismes responsables. Le traitement peut commencer avant que les résultats des cultures et des tests de laboratoire ne soient connus. Toutefois, dès que ces résultats sont disponibles, le traitement anti-infectieux doit être adapté en conséquence.
  • -Chez l'être humain, les espèces pathogènes les plus fréquentes de Candida (telles que C. albicans, C. parapsilosis, C. tropicalis, C. glabrata et C. krusei) ont normalement une CMI du voriconazole inférieure à 1 mg/l.
  • -L'activité in vitro du voriconazole sur les espèces Candida n'est cependant pas uniforme.
  • -Pour C. glabrata particulièrement, la CMI du voriconazole est proportionnellement plus élevée pour les isolats résistants au fluconazole que pour les isolats sensibles au fluconazole. Il est donc indispensable d'identifier précisément la souche de Candida.
  • -
  • +Avant le début du traitement, des échantillons doivent être obtenus pour une culture fongique et d'autres tests de laboratoire appropriés (sérologie, histopathologie) doivent être pratiqués afin d'isoler et identifier les micro-organismes responsables. Le traitement peut commencer avant que les résultats des cultures et des tests de laboratoire ne soient connus. Toutefois, dès que ces résultats sont disponibles, le traitement anti-infectieux doit être adapté en conséquence.
  • -Espèces de Candida Valeurs critiques de sensibilité des CMI (mg/l)
  • +Espèces de Candida Valeurs critiques (mg/l) de la concentration minimale inhibitrice (CMI)
  • -Candida albicans1 0.125 0.125
  • -Candida tropicalis1 0.125 0.125
  • -Candida parapsilosis1 0.125 0.125
  • -Candida glabrata2 Données insuffisantes
  • -Candida krusei3 Données insuffisantes
  • -Autres Candida spp.4 Données insuffisantes
  • +Candida albicans1 0.06 0.25
  • +Candida dubliniensis1 0.06 0.25
  • +Candida glabrata Données insuffisantes Données insuffisantes
  • +Candida krusei Données insuffisantes Données insuffisantes
  • +Candida parapsilosis1 0.125 0.25
  • +Candida tropicalis1 0.125 0.25
  • +Candida guilliermondii2 Données insuffisantes Données insuffisantes
  • +1Les souches avec des valeurs de CMI au-dessus de la valeur critique/intermédiaire de sensibilité (S/I) sont rares, ou non encore observées. L'identification et les tests de sensibilité antifongique sur de tels isolats doivent être répétés et si les résultats sont confirmés, l'isolat doit être envoyé à un laboratoire de référence. Tant qu'il n'existe aucune preuve de réponse clinique pour les isolats confirmés avec une CMI supérieure aux valeurs critiques de résistance actuelles, ceux-ci doivent être considérés comme résistants. Une réponse clinique de 76% a été obtenue lors d'infections causées par les espèces mentionnées ci-dessous lorsque les valeurs des CMI étaient inférieures ou égales aux seuils épidémiologiques. Par conséquent, les populations de type sauvage de C. albicans, C. dubliniensis, C. parapsilosis et C. tropicalis sont considérées comme sensibles. 2 Les valeurs seuils épidémiologiques (ECOFF) pour ces espèces sont généralement plus élevées que pour C. albicans.
  • -1 Les souches avec des valeurs de CMI au-dessus de la valeur critique de sensibilité (S) sont rares, ou non encore observées. L'identification et les tests de sensibilité microbiologique sur de tels isolats doivent être répétés et si les résultats sont confirmés, l'isolat doit être envoyé à un laboratoire de référence.
  • -2 Dans les études cliniques, la réponse au voriconazole chez les patients présentant des infections à C. glabrata était inférieure de 21% par rapport aux infections à C. albicans, C. parapsilosis et C. tropicalis. Cette réponse moins importante n'était toutefois pas corrélée avec des CMI augmentées.
  • -3 Dans les études cliniques, la réponse au voriconazole dans les infections à C. krusei était similaire à C. albicans, C. parapsilosis et C. tropicalis. Toutefois, comme il n'y avait que 9 cas disponibles pour l'analyse EUCAST, il n'existe pas à ce jour de données suffisantes permettant de définir des valeurs critiques cliniques pour C. krusei.
  • -4 EUCAST n'a pas déterminé de valeurs critiques au voriconazole indépendamment des espèces.
  • -L'efficacité clinique n'est toutefois pas toujours corrélée aux CMI.
  • +L'activité in vitro du voriconazole sur les espèces Candida n'est pas uniforme. Pour C. glabrata particulièrement, la CMI du voriconazole est proportionnellement plus élevée pour les isolats résistants au fluconazole que pour les isolats sensibles au fluconazole. Il est donc indispensable d'identifier précisément la souche de Candida.
  • +L'efficacité clinique n'est pas toujours corrélée aux CMI.
  • -Valeurs critiques EUCAST des CMI pour le voriconazole [sensible (S); résistant (R)]:
  • -·Aspergillus fumigatus: S ≤1 mg/l, R >2 mg/l
  • -Pour le moment, il n'existe pas de données suffisantes permettant de déterminer les valeurs critiques cliniques d'autres Aspergillus spp. Cependant, des valeurs critiques épidémiologiques (ECOFF) ont été déterminées pour le voriconazole selon les méthodes EUCAST; elles distinguent la population de type sauvage des isolats ayant une résistance acquise.
  • -Valeurs ECOFF EUCAST pour Aspergillus spp:
  • -·Aspergillus flavus: 2 mg/l
  • -·Aspergillus nidulans: 1 mg/l
  • -·Aspergillus niger: 2 mg/l
  • -·Aspergillus terreus: 2 mg/l
  • +À l'exception d'Aspergillus fumigatus et d'A. nidulans, il n'existe pas de données suffisantes à ce jour. Cependant, des valeurs seuils épidémiologiques (ECOFF) ont été déterminées pour le voriconazole selon les méthodes EUCAST; elles distinguent la population de type sauvage des isolats ayant une résistance acquise. Les ECOFF pour les espèces correspondantes (A. flavus, A. niger et A. terreus) sont généralement une dilution deux fois plus élevées que pour A. fumigatus.
  • +Espèces d'Aspergillus Valeurs critiques (mg/l) de la concentration minimale inhibitrice (CMI)
  • +≤S (sensible) >R (résistant)
  • +Aspergillus fumigatus1 1 1
  • +Aspergillus nidulans1 1 1
  • +1La plage d'incertitude technique (area of technical uncertainty, ATU) s'élève à 2. Les résultats correspondants sont donc identifiés par le laboratoire sous «R» avec le commentaire suivant: «Dans certaines situations cliniques (infections non invasives), le voriconazole peut être utilisé si une exposition suffisante est assurée.»
  • +
  • -Autres infestations sévères dues à des champignons rares:
  • +Autres infestations sévères dues à des champignons rares
  • -La dose orale recommandée chez les enfants et les adolescents repose sur une analyse de pharmacocinétique de population de données groupées provenant de 112 patients immunodéprimés âgés de 2 ans à moins de 12 ans et 26 patients immunodéprimés âgés de 12 ans à moins de 17 ans. Au cours de 3 études de pharmacocinétique pédiatriques, des doses intraveineuses répétées de 3, 4, 6, 7 et 8 mg/kg deux fois par jour et des doses orales répétées (avec la poudre à diluer pour suspension buvable) de 4 mg/kg, 6 mg/kg et 200 mg toutes les 12 h ont été étudiées. Dans une étude de pharmacocinétique chez les adolescents, des doses de charge intraveineuses de 6 mg/kg deux fois par jour le premier jour, suivies d'une dose intraveineuse de 4 mg/kg toutes les 12 h et d'une dose orale de 300 mg sous forme de comprimés pelliculés toutes les 12 heures ont été étudiées. Une variabilité interindividuelle supérieure à celle des adultes a été observée chez les patients pédiatriques.
  • +La dose orale recommandée chez les enfants et les adolescents repose sur une analyse de pharmacocinétique de population de données groupées provenant de 112 patients immunodéprimés âgés de 2 ans à moins de 12 ans et 26 patients immunodéprimés âgés de 12 ans à moins de 17 ans. Au cours de 3 études de pharmacocinétique pédiatriques, des doses intraveineuses répétées de 3, 4, 6, 7 et 8 mg/kg deux fois par jour et des doses orales répétées (avec la poudre à diluer pour suspension buvable) de 4 mg/kg, 6 mg/kg et 200 mg toutes les 12 heures ont été étudiées. Dans une étude de pharmacocinétique chez les adolescents, des doses de charge intraveineuses de 6 mg/kg deux fois par jour le premier jour, suivies d'une dose intraveineuse de 4 mg/kg toutes les 12 h et d'une dose orale de 300 mg sous forme de comprimés pelliculés toutes les 12 h ont été étudiées. Une variabilité interindividuelle supérieure à celle des adultes a été observée chez les patients pédiatriques.
  • -La stabilité chimique et physique de la solution reconstituée a été démontrée pour une durée de 24 h à une température comprise entre 2 et 8 °C.
  • +La stabilité chimique et physique de la solution reconstituée a été démontrée pour une durée de 24 h à une température de 2 à 8 °C.
  • -Poudre pour solution à diluer pour perfusion:
  • +Poudre pour solution à diluer pour perfusion
  • -Poudre pour solution à diluer pour perfusion:
  • +Poudre pour solution à diluer pour perfusion
  • -63167 Voriconazol-Mepha, Lactab (Swissmedic)
  • -65315 Voriconazol-Mepha i.v., poudre pour solution à diluer pour perfusion (Swissmedic)
  • +63167 Voriconazol-Mepha, Lactab (Swissmedic).
  • +65315 Voriconazol-Mepha i.v., poudre pour solution à diluer pour perfusion (Swissmedic).
  • -Novembre 2021.
  • -Numéro de version interne: 8.1
  • +Juillet 2022
  • +Numéro de version interne: 9.1
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