36 Changements de l'information professionelle Gazyvaro 1000 mg/40 ml |
-Prise retardées
- +Prise retardée
-Grossesse/Allaitement
- +Grossesse, allaitement
-Les effets indésirables associés à l'utilisation de Gazyvaro en combinaison avec différentes chimiothérapies dans plusieurs indications sont énumérés ci-dessous. Les effets indésirables sont classés dans les catégories suivantes: très fréquents (≥1/10), fréquents (≥1/100 et <1/10), occasionnels (≥1/1000 et <1/100), rares (≥1/10000 et <1/1000).
- +Les effets indésirables associés à l'utilisation de Gazyvaro en combinaison avec différentes chimiothérapies dans plusieurs indications sont énumérés ci-dessous. Les effets indésirables sont classés dans les catégories suivantes: très fréquents (≥1/10), fréquents (≥1/100 et <1/10), occasionnels (≥1/1000 et <1/100), rares (≥1/10'000 et <1/1000).
-Très fréquents: infections des voies respiratoires supérieures (tous degrés: 22,1%, degré 3-5: 2,1%), sinusite (tous degrés: 11,9%, degré 3-5: 1,0%), herpès zoster (tous degrés: 11,0%, degré 3-5: 1,6%), pneumonie (tous degrés: 10,9%, degré 3-5: 5,4%), infections des voies urinaires (tous degrés:10,9%, degré 3-5: 3,1%).
-Fréquents: herpès buccal, rhinite, pharyngite, infection pulmonaire, grippe, rhinopharyngite.
- +Très fréquents: infections des voies respiratoires supérieures (tous degrés: 22,1%, degré 3-5: 2,0%), sinusite (tous degrés: 12,3%, degré 3-5: 1,0%), herpès zoster (tous degrés: 11,0%, degré 3-5: 1,6%), pneumonie (tous degrés: 10,9%, degré 3-5: 5,4%), infections des voies urinaires (tous degrés: 11,8%, degré 3-5: 2,9%), rhinopharyngite (tous degrés: 10,8%, degré 3-5: <1%).
- +Fréquents: herpès buccal, rhinite, pharyngite, infection pulmonaire, grippe.
-Fréquents: carcinome épidermoïde cutané.
- +Fréquents: carcinome épidermoïde cutané, carcinome basocellulaire.
-Très fréquents: neutropénie (tous degrés: 50,7%, degré 3-5: 46,8%), thrombocytopénie (tous degrés: 15,4%, degré 3-5: 11,2%), anémie (tous degrés: 12,4%, degré 3-5: 7,2%, leucopénie (tous degrés: 12,5%, degré 3-5: 8,7%).
-Fréquents: douleurs au niveau des ganglions lymphatiques, diminution du nombre de neutrophiles, diminution du nombre de leucocytes.
- +Très fréquents: neutropénie (tous degrés: 50,7%, degré 3-5: 46,8%), thrombocytopénie (tous degrés: 15,4%, degré 3-5: 11,2%), anémie (tous degrés: 12,4%, degré 3-5: 6,9%), leucopénie (tous degrés: 12,5%, degré 3-5: 8,7%).
- +Fréquents: douleurs au niveau des ganglions lymphatiques, diminution du nombre de neutrophiles, diminution du nombre de leucocytes, neutropénie fébrile.
-Fréquents: dépression, états anxieux.
- +Fréquents: dépression, états anxieux*.
-Fréquents: hyperémie oculaire.
- +Fréquents: hyperémie oculaire*.
-Fréquents: dyspepsie, colite, hémorroïdes.
-Occasionnels: élévation des transaminases.
- +Fréquents: dyspepsie, colite*, hémorroïdes.
- +Occasionnels: élévation des transaminases*.
-Fréquents: sudation nocturne, eczéma.
- +Fréquents: sudation nocturne*, eczéma.
-Très fréquents: arthralgie* (tous degrés: 15,9%, degré 3-5: <1%), dorsalgies (tous degrés: 13,5%, degré 3-5: <1%).
-Fréquents: douleurs thoraciques musculosquelettiques, douleurs des membres, douleurs osseuses.
- +Très fréquents: arthralgie* (tous degrés: 15,9%, degré 3-5: <1%), dorsalgies (tous degrés: 13,5%, degré 3-5: <1%), douleurs des membres (tous degrés: 10,3%, degré 3-5: 1%).
- +Fréquents: douleurs thoraciques musculosquelettiques, douleurs osseuses.
-Très fréquents: pyrexie (tous degrés: 20,3%, degré 3-5: 2,4%), réactions liées à la perfusion (tous degrés: 71,6%, degré 3-5: 21,2%), asthénie (tous degrés: 11,3%, degré 3-5: 1,0%).
- +Très fréquents: pyrexie (tous degrés: 20,3%, degré 3-5: 2,4%), réactions liées à la perfusion (tous degrés: 71,6%, degré 3-5: 21,2%), asthénie (tous degrés: 11,8%, degré 3-5: 1,0%), fatigue (tous degrés: 34.0%, degré 3-5: 2,5%).
- +* L'incidence par rapport au produit de référence était de 2% dans l'analyse primaire de l'étude GAO4753g/GO01297, mais <2% dans l'analyse finale.
-Dans le cadre de l'étude GAO4753g, les patients du bras sous bendamustine ont reçu exclusivement un traitement d'induction pendant 6 mois, alors que les patients du bras sous Gazyvaro plus bendamustine ont reçu un traitement d'entretien par Gazyvaro après la phase d'induction. Pendant la période d'entretien avec Gazyvaro, les effets indésirables les plus fréquents étaient: toux (14,7%), infections des voies respiratoires supérieures (11,9%), neutropénie (10,5%), sinusite (9,8%), diarrhée (8,4%), réactions liées à la perfusion (8,4%), nausées (7,7%), épuisement (7,7%), bronchite (7,0%), arthralgie (7,0%), rhinopharyngite (6,3%), infections des voies urinaires (6,3%) et pyrexie (5,6%).
-Les effets indésirables de degré 3-5 les plus fréquemment observés pendant la phase d'entretien ont été: neutropénie (9,8%), ainsi qu'anémie, neutropénie fébrile, thrombocytopénie, septicémie, infection des voies respiratoires supérieures et infection des voies urinaires (respectivement 1,4%).
- +Dans le cadre de l'étude GAO4753g, les patients du bras sous bendamustine ont reçu exclusivement un traitement d'induction pendant 6 mois, alors que les patients du bras sous Gazyvaro plus bendamustine ont reçu un traitement d'entretien par Gazyvaro après la phase d'induction. Pendant la période d'entretien avec Gazyvaro, les effets indésirables les plus fréquents étaient: toux (20,3%), neutropénie (12,7%), infections des voies respiratoires supérieures (12,0%), diarrhée (10,1%), bronchite (9,5%), sinusite (9,5%), nausées (8,9%), fatigue (8,9%), réactions liées à la perfusion (8,2%), infections des voies urinaires (7,0%), rhinopharyngite (7,0%), pyrexie (7,0%), arthralgie (6,3%), vomissements (5,7%), éruption cutanée (5,7%), pneumonie (5,1%), dyspnée (5,1%) et douleurs des membres (5,1%).
- +Les effets indésirables de degré 3-5 les plus fréquemment observés pendant la phase d'entretien ont été: neutropénie (10,8%), neutropénie fébrile (1,9%), anémie, thrombocytopénie, pneumonie, septicémie, infection des voies respiratoires supérieures et infection des voies urinaires (respectivement 1,3%).
-Au cours du cycle 1, l'incidence globale des RLP chez les patients traités par Gazyvaro plus chimiothérapie était supérieure à celle observée chez les patients du bras de comparaison. Chez les patients traités par Gazyvaro plus chimiothérapie, l'incidence des RLP était maximale au jour 1 et diminuait progressivement au cours des perfusions ultérieures. Cette tendance décroissante s'est poursuivie pendant le traitement d'entretien. Au total, 3% des patients ont souffert d'une RLP ayant entraîné un arrêt du traitement par Gazyvaro.
- +Au cours du cycle 1, l'incidence globale des RLP chez les patients traités par Gazyvaro plus chimiothérapie était supérieure à celle observée chez les patients du bras de comparaison. Chez les patients traités par Gazyvaro plus chimiothérapie, l'incidence des RLP était maximale au jour 1 et diminuait progressivement au cours des perfusions ultérieures. Cette tendance décroissante s'est poursuivie pendant le traitement d'entretien. Au total, 4% des patients ont souffert d'une RLP ayant entraîné un arrêt du traitement par Gazyvaro.
-Un plus grand nombre d'événements indésirables sévères et d'événements indésirables d'évolution fatale a été rapporté chez les patients présentant une insuffisance rénale modérée (clairance de la créatinine [ClCr] <50 ml/min) que chez les patients ayant une ClCr ≥50 ml/min.
-L’annonce d’effets secondaires présumés après l’autorisation est d’une grande importance. Elle permet un suivi continu du rapport bénéfice-risque du médicament. Les professionnels de santé sont tenus de déclarer toute suspicion d’effet secondaire nouveau ou grave via le portail d’annonce en ligne ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet sur www.swissmedic.ch.
- +Un plus grand nombre d'événements indésirables sévères (degrés 3 à 5) a été rapporté chez les patients présentant une insuffisance rénale modérée (clairance de la créatinine [ClCr] <50 ml/min) que chez les patients ayant une ClCr ≥50 ml/min.
- +L'annonce d'effets secondaires présumés après l'autorisation est d'une grande importance. Elle permet un suivi continu du rapport bénéfice-risque du médicament. Les professionnels de santé sont tenus de déclarer toute suspicion d'effet secondaire nouveau ou grave via le portail d'annonce en ligne ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet sur www.swissmedic.ch.
-L'analyse primaire a montré une réduction statistiquement et cliniquement significative (de 45%) du risque de progression de la maladie (PD) ou de décès, reposant sur l'évaluation par un comité d'examen indépendant (IRC), chez les patients atteints de LNHi traités par G+B, suivis d'un traitement d'entretien par G, par rapport au traitement par la B seule (test du Log-Rank stratifié, valeur de p = 0,0001). Le taux de réponse évalué par l'IRC à la fin du traitement d'induction ainsi que la meilleure réponse globale évaluée par l'IRC dans les 12 mois suivant l'instauration du traitement étaient comparables dans les deux bras. Au moment de l'analyse primaire, la durée médiane jusqu'à la survenue d'un événement était de 14,9 mois dans le bras B (IC à 95%: 12,8, 16,6) et la valeur médiane n'était pas encore atteinte dans le bras G+B (IC à 95%: 22,5, non atteint).
-Les données relatives à la survie globale ne sont pas encore matures.
-La plupart des patients présentaient un lymphome folliculaire (LF) (81,1%). Dans ce groupe, la réduction du risque de progression de la maladie (PD) ou de décès, reposant sur l'évaluation par l'IRC, était de 52% (HR 0,48, IC à 95% 0,34, 0,68) et la durée médiane jusqu'à la survenue d'un événement était de 13,8 mois dans le bras B, alors que la valeur médiane n'était pas encore atteinte dans le bras G+B.
-Une analyse post-hoc a été réalisée 8 mois après la date de l'analyse primaire. Après une durée médiane d'observation de 24,1 mois pour les patients atteints de lymphome folliculaire, 48 patients (28,1%) du bras B et 30 patients (18,3%) du bras G+B étaient décédés.
-Dans l'analyse actualisée, le HR pour le risque de mortalité était de 0,62 (IC à 95%: 0,39, 0,98) dans la population atteinte de LF.
-Les résultats de l'analyse post-hoc concernant la survie sans progression (PFS) correspondent à ceux de l'analyse primaire, sans modification de la significativité. Le profil de sécurité correspond également à celui de l'analyse primaire.
-11,6% des patients atteints de lymphome non folliculaire présentaient un lymphome de la zone marginale (LZM) et 7,1% un lymphome à petits lymphocytes (SLL). Aucune conclusion ne peut être tirée en termes d'efficacité en cas de LZM et de SLL.
- +L’analyse primaire a montré une réduction statistiquement et cliniquement significative de 45% (HR = 0,55, IC à 95%: 0,39; 0,67, test du Log-Rank stratifié, valeur de p = 0,0001) du risque de progression de la maladie (PD) ou de décès, reposant sur l’évaluation par un comité d’examen indépendant (IRC), chez les patients atteints de LNHi traités par G+B, suivis d’un traitement d’entretien par G, par rapport au traitement par la B seule. Au moment de l’analyse primaire, la durée médiane jusqu’à la survenue d’un événement était de 14,9 mois dans le bras B (IC à 95%: 12,8, 16,6) et la valeur médiane n’était pas encore atteinte dans le bras G+B (IC à 95%: 22,5, non atteint). Les données relatives à la survie globale (overall survival, OS) n’étaient pas encore complètes. Le taux de réponse évalué par l’IRC à la fin du traitement d’induction ainsi que la meilleure réponse globale évaluée par l’IRC dans les 12 mois suivant l’instauration du traitement étaient comparables dans les deux bras.
- +La plupart des patients présentaient un lymphome folliculaire (LF) (81,1%). L’analyse primaire chez les patients atteints de LF traités par G+B vs B seul a révélé une réduction cliniquement significative du risque de PD ou de décès évalué par l’IRC, de 52% (HR = 0,48, IC à 95%: 0,34; 0,68). La survie sans progression (progression free survival, PFS) médiane évaluée par l’IRC était de 13,8 mois dans le bras B et la valeur médiane n’était pas encore atteinte dans le bras G+B.
- +11,6% des patients atteints de lymphome non folliculaire présentaient un lymphome de la zone marginale (LZM) et 7,1% un lymphome à petits lymphocytes (SLL). Aucune conclusion ne peut être tirée en termes d’efficacité en cas de LZM et de SLL.
- +Dans l’analyse finale, la durée médiane d’observation chez les patients atteints de LF était de 45,9 mois (intervalle: 0–100,9) dans le bras B et de 57,3 mois (intervalle: 0,4–97,6) dans le bras G+B, ce qui correspond à un suivi médian supplémentaire respectivement de 25,6 mois et de 35,2 mois dans le bras B et le bras G+B depuis l’analyse primaire. Lors de l’analyse finale, seuls les critères évalués par le médecin investigateur (INV) ont été rapportés, car les évaluations par le comité d’examen indépendant (IRC) n’ont pas été poursuivies. La PFS médiane (évaluée par l‘INV) dans la population de patients atteints de LF était de 24,1 mois (IC à 95%: 17,4; 36,0) dans le bras G+B vs 13,7 mois (IC à 95%: 11,3; 15,3) dans le bras B (HR = 0,51, IC à 95%: 0,39; 0,67). Il y a eu 66 décès (40,2%) dans le bras G+B et 85 décès (51,3%) dans le bras B (OS HR = 0,71, IC à 95%: 0,51; 0,98).
-Ne pas secouer. Ne pas surgeler.
- +Ne pas agiter. Ne pas congeler.
-Août 2019.
- +Juillet 2020.
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