110 Changements de l'information professionelle Xultophy Insulin Degludec 100 E/ml und Liraglutide 3.6 mg/ml |
-Insuline dégludec 100 unités/ml* et liraglutide 3,6 mg/ml* (* produits par génie génétique dans Saccharomyces cerevisiae).
- +Insuline dégludec 100 unités/ml* et liraglutide 3.6 mg/ml* (* produits par génie génétique dans Saccharomyces cerevisiae).
-Phénol, glycérol, acétate de zinc dihydraté, acide chlorhydrique, hydroxyde de sodium (contient au maximum 0,0416 mmol/ml de sodium), eau pour préparations injectables.
- +Phénol, glycérol, acétate de zinc dihydraté, acide chlorhydrique, hydroxyde de sodium (contient au maximum 0.0416 mmol/ml de sodium), eau pour préparations injectables.
-Xultophy est utilisé en association avec des hypoglycémiants pour traiter les adultes atteints de diabète sucré de type 2 insuffisamment contrôlé, en complément d'un régime alimentaire et d'une activité physique (pour les résultats des études sur les associations étudiées dans les essais cliniques et les effets sur les événements cardiovasculaires, voir la section «Propriétés/Effets»).
- +Xultophy est utilisé en association avec des hypoglycémiants pour traiter les adultes atteints de diabète sucré de type 2 insuffisamment contrôlé, en complément d'un régime alimentaire et d'une activité physique (pour les résultats des études sur les associations étudiées dans les essais cliniques et les effets sur les événements cardiovasculaires, voir «Propriétés/Effets»).
-L'unité de dosage de Xultophy est exprimée en doses unitaires. Une dose unitaire contient 1 unité d'insuline dégludec et 0,036 mg de liraglutide. Avec le stylo prérempli, il est possible d'administrer de 1 à 50 doses unitaires en une injection, par paliers de 1 unité. La dose journalière maximale de Xultophy est de 50 doses unitaires (50 unités d'insuline dégludec/1,8 mg de liraglutide). L'affichage des doses sur le stylo indique le nombre de doses unitaires.
- +L'unité de dosage de Xultophy est exprimée en doses unitaires. Une dose unitaire contient 1 unité d'insuline dégludec et 0.036 mg de liraglutide. Avec le stylo prérempli, il est possible d'administrer de 1 à 50 doses unitaires en une injection, par paliers de 1 unité. La dose journalière maximale de Xultophy est de 50 doses unitaires (50 unités d'insuline dégludec/1.8 mg de liraglutide). L'affichage des doses sur le stylo indique le nombre de doses unitaires.
-La dose initiale journalière recommandée de Xultophy est de 10 doses unitaires (10 unités d'insuline dégludec/0,36 mg de liraglutide).
- +La dose initiale journalière recommandée de Xultophy est de 10 doses unitaires (10 unités d'insuline dégludec/0.36 mg de liraglutide).
-Avant le début d'un traitement avec Xultophy, l'agoniste du récepteur du GLP-1 devrait être arrêté. Lors du passage d'un agoniste du récepteur du GLP-1, la dose initiale recommandée de Xultophy est de 16 doses unitaires (16 unités d'insuline dégludec/0,6 mg de liraglutide) (voir la rubrique «Mises en garde et précautions» et «Propriétés/Effets»). La dose initiale recommandée ne doit pas être dépassée. Lors du passage d'un agoniste de longue durée d'action du récepteur du GLP-1 (p.ex. lors d'une administration hebdomadaire), l'effet prolongé devrait être pris en compte. Le traitement avec Xultophy devrait être instauré au moment où la dose suivante de l'agoniste du récepteur du GLP-1 serait administrée. Une surveillance étroite de la glycémie est recommandée au cours de la transition et dans les semaines qui suivent.
- +Avant le début d'un traitement avec Xultophy, l'agoniste du récepteur du GLP-1 devrait être arrêté. Lors du passage d'un agoniste du récepteur du GLP-1, la dose initiale recommandée de Xultophy est de 16 doses unitaires (16 unités d'insuline dégludec/0.6 mg de liraglutide) (voir «Mises en garde et précautions» et «Propriétés/Effets»). La dose initiale recommandée ne doit pas être dépassée. Lors du passage d'un agoniste de longue durée d'action du récepteur du GLP-1 (p.ex. lors d'une administration hebdomadaire), l'effet prolongé devrait être pris en compte. Le traitement avec Xultophy devrait être instauré au moment où la dose suivante de l'agoniste du récepteur du GLP-1 serait administrée. Une surveillance étroite de la glycémie est recommandée au cours de la transition et dans les semaines qui suivent.
-Tout traitement par un autre régime insulinique doit être arrêté avant de commencer un traitement par Xultophy. En cas de passage de toute autre insulinothérapie contenant une composante d'insuline basale, la dose initiale recommandée de Xultophy est de 16 doses unitaires (16 unités d'insuline dégludec et 0,6 mg de liraglutide) (voir «Mises en garde et précautions» et «Propriétés/Effets»). La dose initiale recommandée ne devra pas être dépassée. Une surveillance étroite de la glycémie est recommandée au cours de la transition et dans les semaines qui suivent.
- +Tout traitement par un autre régime insulinique doit être arrêté avant de commencer un traitement par Xultophy. En cas de passage de toute autre insulinothérapie contenant une composante d'insuline basale, la dose initiale recommandée de Xultophy est de 16 doses unitaires (16 unités d'insuline dégludec et 0.6 mg de liraglutide) (voir «Mises en garde et précautions» et «Propriétés/Effets»). La dose initiale recommandée ne devra pas être dépassée. Une surveillance étroite de la glycémie est recommandée au cours de la transition et dans les semaines qui suivent.
-Xultophy est administré par voie sous-cutanée par injection dans la cuisse, le haut du bras ou la paroi abdominale. Le site d'injection devrait être changé pour chaque injection au sein d'une même région du corps, afin de diminuer le risque de lipodystrophie et d'amyloïdose cutanée (voir les rubriques «Mises en garde et précautions» et «Effets indésirables»). Pour connaître les autres remarques concernant la manipulation, voir sous «Remarques concernant la manipulation» dans la rubrique «Remarques particulières».
- +Xultophy est administré par voie sous-cutanée par injection dans la cuisse, le haut du bras ou la paroi abdominale. Le site d'injection devrait être changé pour chaque injection au sein d'une même région du corps, afin de diminuer le risque de lipodystrophie et d'amyloïdose cutanée (voir «Mises en garde et précautions» et «Effets indésirables»). Pour connaître les autres remarques concernant la manipulation, voir «Remarques concernant la manipulation» dans la rubrique «Remarques particulières».
-Les β-bloquants peuvent affaiblir ou masquer les symptômes d'alerte habituels de l'hypoglycémie. La consommation de marijuana peut éventuellement provoquer une aggravation de la tolérance au glucose. (D'autres substances illégales n'ont pas été testées; pour les autres interactions, voir la rubrique «Interactions»).
- +Les β-bloquants peuvent affaiblir ou masquer les symptômes d'alerte habituels de l'hypoglycémie. La consommation de marijuana peut éventuellement provoquer une aggravation de la tolérance au glucose. (D'autres substances illégales n'ont pas été testées; pour les autres interactions, voir «Interactions»).
-L'utilisation d'agonistes du récepteur du GLP-1 a été associée au risque de pancréatite aiguë.
-Il faut indiquer aux patients quels sont les symptômes caractéristiques d'une pancréatite aiguë. Si l'on suspecte une pancréatite, il convient d'interrompre la prise de Xultophy; si une pancréatite aiguë devait être confirmée, le traitement avec Xultophy ne devrait pas être repris. Une augmentation ponctuelle des enzymes pancréatiques au cours du traitement par Xultophy (sans symptômes caractéristiques) ne traduit pas nécessairement la présence d'une pancréatite aiguë (voir sous «Effets indésirables»).
-Effets indésirables thyroïdiens
- +Une pancréatite aiguë a été observée avec l'utilisation d'agonistes des récepteurs du GLP-1. Il faut indiquer aux patients quels sont les symptômes caractéristiques d'une pancréatite aiguë. Si l'on suspecte une pancréatite, Xultophy doit être arrêté; si une pancréatite aiguë est confirmée, le traitement par Xultophy ne doit pas être repris. Une augmentation ponctuelle des enzymes pancréatiques au cours du traitement par Xultophy (sans symptômes caractéristiques) ne traduit pas nécessairement la présence d'une pancréatite aiguë (voir sous «Effets indésirables»).
- +Maladies thyroïdiennes
-On ne dispose que d'expériences limitées chez les patients présentant une insuffisance cardiaque de classe I-II selon la New York Heart Association (NYHA) et Xultophy doit par conséquent être utilisé avec précaution chez ses patients. Il n'existe pas d'expériences thérapeutiques chez les patients présentant une insuffisance cardiaque de classe IV NYHA (New York Heart Association), l'utilisation de Xultophy n'est donc pas recommandée chez ces patients.
- +On ne dispose que d'expériences limitées chez les patients présentant une insuffisance cardiaque de classe I-II selon la New York Heart Association (NYHA) et Xultophy doit par conséquent être utilisé avec précaution chez ses patients. On ne dispose d'aucune expérience clinique chez les patients présentant une insuffisance cardiaque de classe IV de la New York Heart Association (NYHA), c'est pourquoi l'utilisation de Xultophy est par conséquent déconseillée chez ces patients.
-Xultophy contient du sodium, mais moins de 1 mmol (23 mg) de sodium par dose, c.-à-d. que le médicament est essentiellement «sans sodium».
- +Ce médicament contient moins de 1 mmol de sodium (23 mg) par dose, c.-à-d. qu’il est essentiellement «sans sodium».
-L'implication du liraglutide dans les interactions médicamenteuses pharmacocinétiques en rapport avec le cytochrome P450 (CYP) et la liaison aux protéines plasmatiques se sont avérées très faibles.
- +Le liraglutide a montré un très faible potentiel d'interactions pharmacocinétiques avec d'autres principes actifs associés au cytochrome P450 (CYP) et à une liaison aux protéines plasmatiques.
-Il n'existe pas d'expérience clinique concernant l'utilisation de Xultophy pendant l'allaitement. On ignore si l'insuline dégludec ou le liraglutide sont excrétés dans le lait maternel. Du fait de ce manque d'expérience, Xultophy ne doit pas être utilisé pendant l'allaitement.
-Chez les rats, l'insuline dégludec était sécrétée dans le lait maternel; la concentration dans le lait maternel était plus faible que dans le plasma. Les études menées chez l'animal ont montré que le liraglutide et les métabolites de structure étroitement apparentée passaient dans le lait en faibles quantités.
- +Il n'existe pas d'expérience clinique concernant l'utilisation de Xultophy pendant l'allaitement. On ignore si l'insuline dégludec ou le liraglutide sont excrétés dans le lait maternel.
- +Chez les rats, l'insuline dégludec était sécrétée dans le lait maternel; la concentration dans le lait maternel était plus faible que dans le plasma. Des études d'expérimentation animale ont montré que de petites quantités de liraglutide et de métabolites de structure similaire passent dans le lait maternel. En raison du manque d'expérience, Xultophy ne doit pas être utilisé pendant l'allaitement.
-Les effets indésirables répertoriés dans le Tableau 1 ci-dessous sont rassemblés selon la classe de systèmes d'organes MedDRA et les fréquences. Les fréquences des effets indésirables ont été définies de la manière suivante: très fréquents (≥1/10), fréquents (≥1/100 à <1/10), occasionnels (≥1/1'000 à <1/100), rares (≥1/10'000 à <1/1'000), très rares (<1/10'000) et fréquence inconnue (ne peut être estimée sur la base des données disponibles).
-Tableau 1: Effets indésirables dans les études contrôlées de phase III
-Classe de systèmes d'organes Fréquence Effet indésirable
- +Les effets indésirables répertoriés dans le Tableau 1 ci-dessous sont rassemblés selon la classe de systèmes d'organes MedDRA et les fréquences. Les fréquences des effets indésirables ont été définies de la manière suivante: très fréquents (≥1/10), fréquents (≥1/100, <1/10), occasionnels (≥1/1'000, <1/100), rares (≥1/10'000, <1/1'000), très rares (<1/10'000) et fréquence inconnue (ne peut être estimée sur la base des données disponibles).
- +Tableau 1: Effets indésirables dans les études contrôlées de phase III et dans les rapports post-marketing
- +Classe de systèmes d'organes selon MedDRA Fréquence Effet indésirable
-Affections du système nerveux Fréquent Vertiges
- +Affections du système nerveux Fréquent Vertiges†
-Fréquence inconnue Retard de la vidange gastrique
- +Fréquence inconnue Retard de la vidange gastrique† Obstruction intestinale†
- +Non connu Augmentation des concentrations d’enzymes hépatiques†, hyperbilirubinémie†, cholestase†, hépatite†
-Non connu Amyloïdose cutanée**
- +Non connu Amyloïdose cutanée†
-** Effets indésirables à un médicament à partir des rapports de post-commercialisation
- +† Effets indésirables à un médicament à partir des rapports de post-commercialisation
-La lipodystrophie (y compris la lipohypertrophie, la lipoatrophie) et l'amyloïdose cutanée peuvent se produire au site d'injection et retarder l'absorption locale de l'insuline. Le changement régulier du site d'injection dans la zone d'injection respective peut contribuer à réduire ou à prévenir ces réactions (voir la rubrique «Mises en garde et précautions»).
- +La lipodystrophie (y compris la lipohypertrophie, la lipoatrophie) et l'amyloïdose cutanée peuvent se produire au site d'injection et retarder l'absorption locale de l'insuline. Le changement régulier du site d'injection dans la zone d'injection respective peut contribuer à réduire ou à prévenir ces réactions (voir «Mises en garde et précautions»).
-Code ATC: A10AE56
- +Code ATC
- +A10AE56
-<4,0 <72 -2
-4,0–5,0 72–90 0
->5,0 >90 +2
- +<4.0 <72 -2
- +4.0–5.0 72–90 0
- +>5.0 >90 +2
-Chez les patients sous liraglutide, la dose a été augmentée de manière fixe, avec une dose initiale de 0,6 mg et une hausse hebdomadaire de la dose de 0,6 mg, jusqu'à l'obtention d'une dose d'entretien de 1,8 mg. La dose maximale de Xultophy était de 50 doses unitaires, alors qu'aucune dose maximale n'a été fixée pour l'insuline dégludec. Une partie des patients (140/833) a reçu de la pioglitazone en plus de Xultophy et de la metformine.
- +Chez les patients sous liraglutide, la dose a été augmentée de manière fixe, avec une dose initiale de 0.6 mg et une hausse hebdomadaire de la dose de 0.6 mg, jusqu'à l'obtention d'une dose d'entretien de 1.8 mg. La dose maximale de Xultophy était de 50 doses unitaires, alors qu'aucune dose maximale n'a été fixée pour l'insuline dégludec. Une partie des patients (140/833) a reçu de la pioglitazone en plus de Xultophy et de la metformine.
-Valeur de base → fin de l'étude 8,3 → 6,4 8,3 → 6,9 8,3 → 7,0
-Modification moyenne -1,91 -1,44 -1,28
-Différence estimée -0,47AB [-0,58; -0,36] -0,64AB [-0,75; -0,53]
-Nombre de cas confirmés d'hypoglycémie* par patient-année d'exposition (pourcentage de patients) 1,80 (31,9%) 2,57 (38,6%) 0,22 (6,8%)
-Nombre estimé 0,68AC [0,53; 0,87] 7,61B [5,17; 11,21]
- +Valeur de base → fin de l'étude 8.3 → 6.4 8.3 → 6.9 8.3 → 7.0
- +Modification moyenne -1.91 -1.44 -1.28
- +Différence estimée -0.47AB [-0.58; -0.36] -0.64AB [-0.75; -0.53]
- +Nombre de cas confirmés d'hypoglycémie* par patient-année d'exposition (pourcentage de patients) 1.80 (31.9%) 2.57 (38.6%) 0.22 (6.8%)
- +Nombre estimé 0.68AC [0.53; 0.87] 7.61B [5.17; 11.21]
-Valeur de base → fin de l'étude 87,2 → 86,7 87,4 → 89,0 87,4 → 84,4
-Modification moyenne -0,5 1,6 -3,0
-Différence estimée -2,22AB [-2,64; -1,80] 2,44B [2,02; 2,86]
- +Valeur de base → fin de l'étude 87.2 → 86.7 87.4 → 89.0 87.4 → 84.4
- +Modification moyenne -0.5 1.6 -3.0
- +Différence estimée -2.22AB [-2.64; -1.80] 2.44B [2.02; 2.86]
-Valeur de base → fin de l'étude 4,11 → 3,22 4,12 → 3,95 4,12 → 3,36
-Modification moyenne -0,87 -0,17 -0,78
-Différence estimée -0,71AC [-1,17; -0,26] -0,09 [-0,56; 0,37]
- +Valeur de base → fin de l'étude 4.11 → 3.22 4.12 → 3.95 4.12 → 3.36
- +Modification moyenne -0.87 -0.17 -0.78
- +Différence estimée -0.71AC [-1.17; -0.26] -0.09 [-0.56; 0.37]
-Liraglutide (mg) 1,4 - 1,8
-Différence estimée, dose d'insuline dégludec -14,90AB [-17,14; -12,66]
- +Liraglutide (mg) 1.4 - 1.8
- +Différence estimée, dose d'insuline dégludec -14.90AB [-17.14; -12.66]
-* L'hypoglycémie confirmée était définie par une hypoglycémie sévère (épisode nécessitant qu'une tierce personne aide le patient) et/ou une hypoglycémie légère (glucose plasmatique <3,1 mmol/l, quels que soient les symptômes).
- +* L'hypoglycémie confirmée était définie par une hypoglycémie sévère (épisode nécessitant qu'une tierce personne aide le patient) et/ou une hypoglycémie légère (glucose plasmatique <3.1 mmol/l, quels que soient les symptômes).
-B p<0,0001
-C p<0,05
- +B p<0.0001
- +C p<0.05
-Le taux par année-patient sous exposition (pourcentage des patients) d'hypoglycémies sévères, définies comme étant des épisodes ayant nécessité de l'aide de tierces personnes, était de 0,01 (2 patients sur 825) pour Xultophy, de 0,01 (2 patients sur 412) pour l'insuline dégludec et de 0,00 (0 patients sur 412) pour le liraglutide.
- +Le taux par année-patient sous exposition (pourcentage des patients) d'hypoglycémies sévères, définies comme étant des épisodes ayant nécessité de l'aide de tierces personnes, était de 0.01 (2 patients sur 825) pour Xultophy, de 0.01 (2 patients sur 412) pour l'insuline dégludec et de 0.00 (0 patients sur 412) pour le liraglutide.
-L'efficacité et la sécurité de Xultophy se sont maintenues pendant les 52 semaines de traitement. La diminution d'HbA1c entre la valeur de base et la semaine 52 était, pour Xultophy, de 1,84% et la différence entre les traitements a été estimée à -0,65% [-0,76; -0,53]IC à 95% par rapport au liraglutide et à -0,46% [-0,57; -0,34]IC à 95% par rapport à l'insuline dégludec. Le poids corporel a diminué de 0,4 kg, la différence entre Xultophy et l'insuline dégludec étant estimée à -2,80 kg. Le taux d'hypoglycémies confirmées était de 1,8 événements par patient-année pour Xultophy et de 2,8 événements pour l'insuline dégludec avec une différence entre les traitements estimée de 0,63 [0,50; 0,79]IC à 95%.
- +L'efficacité et la sécurité de Xultophy se sont maintenues pendant les 52 semaines de traitement. La diminution d'HbA1c entre la valeur de base et la semaine 52 était, pour Xultophy, de 1.84% et la différence entre les traitements a été estimée à -0.65% [-0.76; -0.53]IC à 95% par rapport au liraglutide et à -0.46% [-0.57; -0.34]IC à 95% par rapport à l'insuline dégludec. Le poids corporel a diminué de 0.4 kg, la différence entre Xultophy et l'insuline dégludec étant estimée à -2.80 kg. Le taux d'hypoglycémies confirmées était de 1.8 événements par patient-année pour Xultophy et de 2.8 événements pour l'insuline dégludec avec une différence entre les traitements estimée de 0.63 [0.50; 0.79]IC à 95%.
-La diminution du taux initial d'HbA1c était de -1,45%, passant ainsi de 7,9% à 6,4% pour Xultophy; la diminution du taux initial d'HbA1c était de -0,46%, passant ainsi de 7,9% à 7,4% pour le placebo et la différence entre les traitements a été estimée à -1,02% [-1,18; -0,87] IC à 95% (voir Figure 2).
- +La diminution du taux initial d'HbA1c était de -1.45%, passant ainsi de 7.9% à 6.4% pour Xultophy; la diminution du taux initial d'HbA1c était de -0.46%, passant ainsi de 7.9% à 7.4% pour le placebo et la différence entre les traitements a été estimée à -1.02% [-1.18; -0.87] IC à 95% (voir Figure 2).
-41,7% des patients sous Xultophy et 17,1% des patients sous placebo ont subi au moins un épisode d'hypoglycémie confirmée au cours de l'étude. Cela correspond à un taux d'hypoglycémie estimé de 3,52 par patient-année sous Xultophy vs. 1,35 sous placebo. Les patients traités par Xultophy ont connu une prise de poids corporel moyenne de 0,5 kg tandis que les patients du groupe placebo ont perdu, en moyenne, 1,0 kg (différence estimée entre traitements: 1,48 kg; [0,90; 2,06]IC à 95%).
-La dose moyenne de Xultophy était de 28 doses unitaires à la fin de l'étude, ce qui correspond à 28 unités d'insuline dégludec et 1,0 mg de liraglutide.
- +41.7% des patients sous Xultophy et 17.1% des patients sous placebo ont subi au moins un épisode d'hypoglycémie confirmée au cours de l'étude. Cela correspond à un taux d'hypoglycémie estimé de 3.52 par patient-année sous Xultophy vs. 1.35 sous placebo. Les patients traités par Xultophy ont connu une prise de poids corporel moyenne de 0.5 kg tandis que les patients du groupe placebo ont perdu, en moyenne, 1.0 kg (différence estimée entre traitements: 1.48 kg; [0.90; 2.06]IC à 95%).
- +La dose moyenne de Xultophy était de 28 doses unitaires à la fin de l'étude, ce qui correspond à 28 unités d'insuline dégludec et 1.0 mg de liraglutide.
-Dans un essai en ouvert comparant l'efficacité et la sécurité de Xultophy et de l'insuline glargine U100 en ajout aux iSGLT2 ± ADO, Xultophy était supérieur à l'insuline glargine en termes de réduction de l'HbA1c moyenne après 26 semaines. Une réduction de 1,9% (de 8,2% à 6,3%) a été obtenue avec Xultophy et de 1,7% (de 8,4% à 6,7%) avec l'insuline glargine, correspondant à une différence de traitement estimée à -0,36% [-0,50; -0,21].
-Comparativement à la valeur initiale, Xultophy n'a pas entraîné de changement au niveau du poids corporel moyen alors qu'une augmentation du poids moyen de 2,0 kg a été observée chez les patients traités par l'insuline glargine (différence de traitement estimée à -1,92 kg [IC à 95%: -2,64; -1,19]). Le pourcentage de patients ayant présenté une hypoglycémie sévère ou symptomatique confirmée par une glycémie était de 12,9% dans le groupe Xultophy et de 19,5% dans le groupe de l'insuline glargine (le ratio estimé était de 0,42 [IC à 95%: 0,23; 0,75]). La dose journalière moyenne d'insuline à la fin de l'essai était de 36 unités pour les patients traités avec Xultophy et de 54 unités pour les patients traités avec l'insuline glargine.
- +Dans un essai en ouvert comparant l'efficacité et la sécurité de Xultophy et de l'insuline glargine U100 en ajout aux iSGLT2 ± ADO, Xultophy était supérieur à l'insuline glargine en termes de réduction de l'HbA1c moyenne après 26 semaines. Une réduction de 1.9% (de 8.2% à 6.3%) a été obtenue avec Xultophy et de 1.7% (de 8.4% à 6.7%) avec l'insuline glargine, correspondant à une différence de traitement estimée à -0.36% [-0.50; -0.21].
- +Comparativement à la valeur initiale, Xultophy n'a pas entraîné de changement au niveau du poids corporel moyen alors qu'une augmentation du poids moyen de 2,0 kg a été observée chez les patients traités par l'insuline glargine (différence de traitement estimée à -1.92 kg [IC à 95%: -2.64; -1.19]). Le pourcentage de patients ayant présenté une hypoglycémie sévère ou symptomatique confirmée par une glycémie était de 12.9% dans le groupe Xultophy et de 19.5% dans le groupe de l'insuline glargine (le ratio estimé était de 0.42 [IC à 95%: 0.23; 0.75]). La dose journalière moyenne d'insuline à la fin de l'essai était de 36 unités pour les patients traités avec Xultophy et de 54 unités pour les patients traités avec l'insuline glargine.
-L'efficacité et la sécurité de Xultophy (une fois par jour) par rapport à une thérapie inchangée à un agoniste du récepteur du GLP-1 (posologie selon la notice d'emballage) ont été examinées dans le cadre d'une étude randomisée de 26 semaines, menée en ouvert, treat-to-target, chez des patients atteints du diabète de type 2 qui présentaient un contrôle glycémique insuffisant sous un agoniste du récepteur du GLP-1 et la metformine (Met) seule (74,2%) ou en association avec la pioglitazone (2,5%), des sulfonylurées (21,2%) ou les deux.
-La dose initiale de Xultophy et de l'insuline dégludec était de 16 doses unitaires (16 unités d'insuline dégludec et 0,6 mg de liraglutide) et la dose a été titrée deux fois par semaine selon le tableau 2. Les patients du bras de l'agoniste du récepteur du GLP-1 ont poursuivi leur traitement aux agonistes du récepteur du GLP-1 comme avant l'étude.
- +L'efficacité et la sécurité de Xultophy (une fois par jour) par rapport à une thérapie inchangée à un agoniste du récepteur du GLP-1 (posologie selon la notice d'emballage) ont été examinées dans le cadre d'une étude randomisée de 26 semaines, menée en ouvert, treat-to-target, chez des patients atteints du diabète de type 2 qui présentaient un contrôle glycémique insuffisant sous un agoniste du récepteur du GLP-1 et la metformine (Met) seule (74.2%) ou en association avec la pioglitazone (2.5%), des sulfonylurées (21.2%) ou les deux.
- +La dose initiale de Xultophy et de l'insuline dégludec était de 16 doses unitaires (16 unités d'insuline dégludec et 0.6 mg de liraglutide) et la dose a été titrée deux fois par semaine selon le tableau 2. Les patients du bras de l'agoniste du récepteur du GLP-1 ont poursuivi leur traitement aux agonistes du récepteur du GLP-1 comme avant l'étude.
-* Hypoglycémie confirmée définie comme hypoglycémie sévère (épisode nécessitant l'aide d'une tierce personne) et/ou hypoglycémies modérées (glucose plasmatique <3,1 mmol/l, indépendamment de symptômes).
- +* Hypoglycémie confirmée définie comme hypoglycémie sévère (épisode nécessitant l'aide d'une tierce personne) et/ou hypoglycémies modérées (glucose plasmatique <3.1 mmol/l, indépendamment de symptômes).
-Le nombre d'hypoglycémies sévères confirmées par patient-année sous exposition (fraction en pourcent de patients) était de 0,01 (1 patient sur 291) pour Xultophy et de 0,00 (0 patients sur 199) pour les agonistes du récepteur du GLP-1.
- +Le nombre d'hypoglycémies sévères confirmées par patient-année sous exposition (fraction en pourcent de patients) était de 0.01 (1 patient sur 291) pour Xultophy et de 0.00 (0 patients sur 199) pour les agonistes du récepteur du GLP-1.
-Dans le groupe Xultophy ou du schéma basal-bolus, après 26 semaines de traitement, 57,6% et 33,5% des patients respectivement ont atteint une valeur cible d'HbA1c de <7% sans épisodes hypoglycémiques symptomatiques graves ou confirmés (p<0,0001).
- +Dans le groupe Xultophy ou du schéma basal-bolus, après 26 semaines de traitement, 57.6% et 33.5% des patients respectivement ont atteint une valeur cible d'HbA1c de <7% sans épisodes hypoglycémiques symptomatiques graves ou confirmés (p<0.0001).
-Le taux d'hypoglycémies sévères par patient-année d'exposition était de 0,02 (3 patients sur 252) pour Xultophy et de 0,08 (4 patients sur 253) pour le schéma basal-bolus.
-Le taux d'évènements d'hypoglycémie grave, symptomatique et nocturne sévère ou confirmée était statistiquement significativement plus faible avec Xultophy qu'avec le schéma basal-bolus (taux lié au traitement estimé à 0,08, p <0,0001).
- +Le taux d'hypoglycémies sévères par patient-année d'exposition était de 0.02 (3 patients sur 252) pour Xultophy et de 0.08 (4 patients sur 253) pour le schéma basal-bolus.
- +Le taux d'évènements d'hypoglycémie grave, symptomatique et nocturne sévère ou confirmée était statistiquement significativement plus faible avec Xultophy qu'avec le schéma basal-bolus (taux lié au traitement estimé à 0.08, p <0.0001).
-* L'hypoglycémie symptomatique grave ou confirmée par la glycémie se définit comme un épisode nécessitant l'aide d'une tierce personne qui administre activement des glucides ou du glucagon ou qui effectue d'autres actions correctives, ou comme un épisode confirmé par une glycémie de <3,1 mmol/l (56 mg/dl) et associé aux symptômes typiques de l'hypoglycémie.
-A Non-infériorité confirmée de Xultophy par rapport au produit de comparaison (intervalle de 0,3%). p <0,0001
-B Supériorité confirmée de Xultophy par rapport au produit de comparaison. p <0,0001.
- +* L'hypoglycémie symptomatique grave ou confirmée par la glycémie se définit comme un épisode nécessitant l'aide d'une tierce personne qui administre activement des glucides ou du glucagon ou qui effectue d'autres actions correctives, ou comme un épisode confirmé par une glycémie de <3.1 mmol/l (56 mg/dl) et associé aux symptômes typiques de l'hypoglycémie.
- +A Non-infériorité confirmée de Xultophy par rapport au produit de comparaison (intervalle de 0.3%). p <0.0001
- +B Supériorité confirmée de Xultophy par rapport au produit de comparaison. p <0.0001.
-54,3% des patients traités avec Xultophy ont atteint le taux cible de HbA1c <7% sans épisode d'hypoglycémie confirmée, contre 29,4% des patients traités avec l'insuline glargine (odds ratio à 3,24, p <0,001).
- +54.3% des patients traités avec Xultophy ont atteint le taux cible de HbA1c <7% sans épisode d'hypoglycémie confirmée, contre 29.4% des patients traités avec l'insuline glargine (odds ratio à 3.24, p <0.001).
-Le taux d'hypoglycémies sévères par patient-année d'exposition (pourcentage de patients) était de 0,00 (0 patient sur 278) avec Xultophy et de 0,01 (1 patient sur 279) avec l'insuline glargine. Le taux d'évènements d'hypoglycémie nocturne était significativement plus bas avec Xultophy par rapport à l'insuline glargine (taux lié au traitement estimé à 0,17, p <0,001).
- +Le taux d'hypoglycémies sévères par patient-année d'exposition (pourcentage de patients) était de 0.00 (0 patient sur 278) avec Xultophy et de 0.01 (1 patient sur 279) avec l'insuline glargine. Le taux d'évènements d'hypoglycémie nocturne était significativement plus bas avec Xultophy par rapport à l'insuline glargine (taux lié au traitement estimé à 0.17, p <0.001).
-Un total de 48,7% des patients a obtenu un taux-cible de l'HbA1c <7% sans épisodes hypoglycémiques confirmés; cette fraction était significativement plus importante que chez les patients traités par l'insuline dégludec (15,6%, odds ratio 5,57; p<0,0001).
- +Un total de 48.7% des patients a obtenu un taux-cible de l'HbA1c <7% sans épisodes hypoglycémiques confirmés; cette fraction était significativement plus importante que chez les patients traités par l'insuline dégludec (15.6%, odds ratio 5.57; p<0.0001).
-Début→Fin de l'étude 8,4→6,6 8,2→7,1 8,7→6,9 8,8→8,0
-Changement moyen -1,81 -1,13 -1,90 -0,89
-Différence estimée -0,59AB [-0,74; -0,45] -1,05AB [-1,25; -0,84]
- +Début→Fin de l'étude 8.4→6.6 8.2→7.1 8.7→6.9 8.8→8.0
- +Changement moyen -1.81 -1.13 -1.90 -0.89
- +Différence estimée -0.59AB [-0.74; -0.45] -1.05AB [-1.25; -0.84]
-Tous les patients 71,6 47,0
-Odds ratio estimé 3,45B [2,36; 5,05]
-Taux d'hypoglycémies confirmées par patient-année d'exposition (pourcentage de patients) 2,23 (28,4%) 5,05 (49,1%) 1,53 (24,1%) 2,63 (24,6%)
-Taux estimé 0,43AB [0,30;0,61] 0,66 [0,39; 1,13]
- +Tous les patients 71.6 47.0
- +Odds ratio estimé 3.45B [2.36; 5.05]
- +Taux d'hypoglycémies confirmées par patient-année d'exposition (pourcentage de patients) 2.23 (28.4%) 5.05 (49.1%) 1.53 (24.1%) 2.63 (24.6%)
- +Taux estimé 0.43AB [0.30;0.61] 0.66 [0.39; 1.13]
-Début→Fin de l'étude 88,3→86,9 87,3→89,1
-Changement moyen -1,4 1,8
-Différence estimée -3,20AB [-3,77; -2,64]
- +Début→Fin de l'étude 88.3→86.9 87.3→89.1
- +Changement moyen -1.4 1.8
- +Différence estimée -3.20AB [-3.77; -2.64]
-Début→Fin de l'étude 8,9→6,1 8,9→6,1
-Changement moyen -2,83 -2,77
-Différence estimée -0,01 [-0,35;0,33]
- +Début→Fin de l'étude 8.9→6.1 8.9→6.1
- +Changement moyen -2.83 -2.77
- +Différence estimée -0.01 [-0.35;0.33]
-Liraglutide (mg) 1,5 - 1,7 -
-Différence estimée, dose d'insuline basale -25,47B [-28,90;-22,05] -0,02 [-1,88; 1,84]
- +Liraglutide (mg) 1.5 - 1.7 -
- +Différence estimée, dose d'insuline basale -25.47B [-28.90;-22.05] -0.02 [-1.88; 1.84]
-B p <0,0001
-C p <0,05
- +B p <0.0001
- +C p <0.05
-L'étude LEADER (Liraglutide Effect and Action in Diabetes Evaluation of Cardiovascular Outcome Results) a examiné l'incidence des événements cardiovasculaires graves (MACE: décès cardiovasculaire, infarctus du myocarde non mortel, accident vasculaire cérébral non mortel) chez 9340 patients atteints de diabète sucré de type 2 et présentant un risque élevé d'événements cardiovasculaires. Après randomisation (1:1), les patients ont reçu, en plus du traitement standard, soit jusqu'à 1,8 mg de liraglutide par jour (4668) soit un placebo (4672) (durée moyenne du traitement environ 3,5 ans). Le critère d'évaluation principal était le délai avant la première occurrence d'un MACE. Le rapport des risques estimé jusqu'au premier MACE a été considérablement réduit par le liraglutide à la dose étudiée (rapport des risques 0,87 [0,78; 0,97] IC à 95%.
-Une réduction de l'HbA1c par rapport aux valeurs initiales à 36 mois a été observée avec le liraglutide par rapport au placebo, en plus du traitement standard (-1,16% vs -0,77%; différence de traitement estimée [ETD] -0,40% [-0,45; -0,34]).
- +L'étude LEADER (Liraglutide Effect and Action in Diabetes Evaluation of Cardiovascular Outcome Results) a examiné l'incidence des événements cardiovasculaires graves (MACE: décès cardiovasculaire, infarctus du myocarde non mortel, accident vasculaire cérébral non mortel) chez 9340 patients atteints de diabète sucré de type 2 et présentant un risque élevé d'événements cardiovasculaires. Après randomisation (1:1), les patients ont reçu, en plus du traitement standard, soit jusqu'à 1.8 mg de liraglutide par jour (4668) soit un placebo (4672) (durée moyenne du traitement environ 3.5 ans). Le critère d'évaluation principal était le délai avant la première occurrence d'un MACE. Le rapport des risques estimé jusqu'au premier MACE a été considérablement réduit par le liraglutide à la dose étudiée (rapport des risques 0.87 [0.78; 0.97] IC à 95%.
- +Une réduction de l'HbA1c par rapport aux valeurs initiales à 36 mois a été observée avec le liraglutide par rapport au placebo, en plus du traitement standard (-1.16% vs -0.77%; différence de traitement estimée [ETD] -0.40% [-0.45; -0.34]).
-L'analyse primaire LEADER a été répétée pour 2 118 patients recevant de l'insuline à action prolongée de base afin de déterminer l'applicabilité des résultats de l'analyse primaire pour l'association du liraglutide et de l'insuline à action prolongée. Les caractéristiques de base de ce sous-groupe étaient comparables à celles de la population totale. Les résultats de l'analyse post-hoc pour la période précédant la première analyse MACE étaient conformes à l'analyse primaire LEADER (RR estimé [IC à 95%] dans le sous-groupe: 0,82 [0,66; 1,03]).
- +L'analyse primaire LEADER a été répétée pour 2 118 patients recevant de l'insuline à action prolongée de base afin de déterminer l'applicabilité des résultats de l'analyse primaire pour l'association du liraglutide et de l'insuline à action prolongée. Les caractéristiques de base de ce sous-groupe étaient comparables à celles de la population totale. Les résultats de l'analyse post-hoc pour la période précédant la première analyse MACE étaient conformes à l'analyse primaire LEADER (RR estimé [IC à 95%] dans le sous-groupe: 0.82 [0.66; 1.03]).
-DEVOTE (Trial Comparing Cardiovascular Safety of Insulin Degludec versus Insulin Glargine in Patients with Type 2 Diabetes at High Risk of Cardiovascular Events) était un essai clinique randomisé en double aveugle qui comparait la sécurité cardiovasculaire de l'insuline dégludec à celle de l'insuline glargine (100 unités/ml) chez 7637 patients atteints de diabète sucré de type 2 et présentant un risque élevé d'événements cardiovasculaires. La durée de l'étude était «événementielle», c'est-à-dire que l'étude était menée jusqu'à ce que le nombre d'événements soit ≥633. La durée moyenne du traitement était de 1,83 an, la durée d'observation moyenne étant de 1,99 an.
-L'analyse primaire couvrait la période allant de la randomisation à la première occurrence d'un événement cardiovasculaire grave (MACE: décès d'origine cardiovasculaire, infarctus du myocarde non mortel ou accident vasculaire cérébral non mortel). L'analyse primaire a montré un RR estimé à [IC à 95%] pour l'insuline dégludec par rapport à l'insuline glargine de 0,91 [0,78; 1,06].
-Le taux d'HbA1c initial était de 8,4% dans les deux groupes de thérapie et après 2 ans, l'HbA1c était de 7,5% pour l'insuline dégludec et l'insuline glargine.
- +DEVOTE (Trial Comparing Cardiovascular Safety of Insulin Degludec versus Insulin Glargine in Patients with Type 2 Diabetes at High Risk of Cardiovascular Events) était un essai clinique randomisé en double aveugle qui comparait la sécurité cardiovasculaire de l'insuline dégludec à celle de l'insuline glargine (100 unités/ml) chez 7637 patients atteints de diabète sucré de type 2 et présentant un risque élevé d'événements cardiovasculaires. La durée de l'étude était «événementielle», c'est-à-dire que l'étude était menée jusqu'à ce que le nombre d'événements soit ≥633. La durée moyenne du traitement était de 1.83 an, la durée d'observation moyenne étant de 1.99 an.
- +L'analyse primaire couvrait la période allant de la randomisation à la première occurrence d'un événement cardiovasculaire grave (MACE: décès d'origine cardiovasculaire, infarctus du myocarde non mortel ou accident vasculaire cérébral non mortel). L'analyse primaire a montré un RR estimé à [IC à 95%] pour l'insuline dégludec par rapport à l'insuline glargine de 0.91 [0.78; 1.06].
- +Le taux d'HbA1c initial était de 8.4% dans les deux groupes de thérapie et après 2 ans, l'HbA1c était de 7.5% pour l'insuline dégludec et l'insuline glargine.
-Les caractéristiques de base des 436 patients traités avec le liraglutide de référence étaient semblables à celles des 7 201 patients traités avec un traitement de référence sans liraglutide. L'analyse post-hoc du délai avant le premier MACE a révélé un RR estimé à [IC à 95%] 0,65 [0,45; 0,96] chez les patients traités avec du liraglutide comparativement aux patients non traités avec du liraglutide.
- +Les caractéristiques de base des 436 patients traités avec le liraglutide de référence étaient semblables à celles des 7 201 patients traités avec un traitement de référence sans liraglutide. L'analyse post-hoc du délai avant le premier MACE a révélé un RR estimé à [IC à 95%] 0.65 [0.45; 0.96] chez les patients traités avec du liraglutide comparativement aux patients non traités avec du liraglutide.
-Dans l'étude LEADER, les événements microvasculaires comprenaient la néphropathie et la rétinopathie. L'analyse du temps avant le premier événement microvasculaire sous liraglutide par rapport au placebo a montré un RR de 0,84 [0,73, 0,97]. Le RR pour le liraglutide par rapport au placebo était de 0,78 [0,67, 0,92] pour la période précédant la première occurrence de néphropathie et de 1,15 [0,87, 1,52] pour la période précédant la première occurrence de rétinopathie.
- +Dans l'étude LEADER, les événements microvasculaires comprenaient la néphropathie et la rétinopathie. L'analyse du temps avant le premier événement microvasculaire sous liraglutide par rapport au placebo a montré un RR de 0.84 [0.73, 0.97]. Le RR pour le liraglutide par rapport au placebo était de 0.78 [0.67, 0.92] pour la période précédant la première occurrence de néphropathie et de 1.15 [0.87, 1.52] pour la période précédant la première occurrence de rétinopathie.
-Février 2024
- +Septembre 2024
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