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Accueil - Information professionnelle sur L-Polamidon 5 mg/mL - Changements - 24.04.2024
30 Changements de l'information professionelle L-Polamidon 5 mg/mL
  • -Mode d'administration
  • -La solution buvable ne doit être utilisée que par voie orale. En général, la solution est prise dans au moins 100 ml d'eau ou de jus de fruit (p.ex. jus d'orange, sirop de framboise).
  • -Le prélèvement de la dose individuelle du flacon de 100 ml se fait de façon volumétrique par l'insert conique de Luer, à l'aide d'une seringue à usage unique graduée adaptée, telle qu'on en trouve dans le commerce.
  • -Dans le flacon en verre de 500 ml, le prélèvement peut se faire en pharmacie via un dispositif de distribution calibré disponible dans le commerce par exemple.
  • -Autres remarques relatives à la remise et aux préparations, voir «Remarques particulières».
  • -Posologie
  • -
  • +Objectifs du traitement et interruption du traitement
  • +Avant de commencer le traitement par L-Polamidon, il convient de convenir avec le patient d'une stratégie de traitement comprenant la durée et les objectifs du traitement, conformément aux directives relatives au traitement de la douleur. Pendant le traitement, un contact régulier entre le médecin et le patient doit être maintenu afin d'évaluer la nécessité de poursuivre le traitement, d'envisager l'arrêt du médicament et, le cas échéant, d'adapter la posologie. Lorsqu'un patient n'a plus besoin du traitement par L-Polamidon, il peut être conseillé de réduire progressivement la dose afin d'éviter les symptômes de sevrage (voir la rubrique «Mises en garde et précautions»). En cas de contrôle insuffisant de la douleur, il convient d'envisager la possibilité d'une accoutumance (tolérance) et d'une progression de la maladie sous-jacente (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +
  • -Objectifs du traitement et fin du traitement
  • -Avant de commencer le traitement par L-Polamidon, il convient de convenir avec le patient d'une stratégie de traitement conforme aux lignes directrices pour le traitement de la douleur, qui comprend la durée et les objectifs du traitement.
  • -Pendant le traitement, un contact régulier doit être maintenu entre le médecin et le patient afin d'évaluer la nécessité de poursuivre le traitement, d'envisager l'arrêt du médicament et d'adapter la posologie si nécessaire. Si un patient n'a plus besoin du traitement par lévométhadone, il peut être conseillé de réduire progressivement la dose afin d'éviter les symptômes de sevrage (voir «Mises en garde et précautions»). En cas de contrôle insuffisant de la douleur, il convient d'envisager la possibilité d'une accoutumance (tolérance) et d'une progression de la maladie sous-jacente.
  • +Mode d'administration
  • +La solution buvable ne doit être utilisée que par voie orale. En général, la solution est prise dans au moins 100 ml d'eau ou de jus de fruit (p.ex. jus d'orange, sirop de framboise).
  • +Le prélèvement de la dose individuelle du flacon de 100 ml se fait de façon volumétrique par l'insert conique de Luer, à l'aide d'une seringue à usage unique graduée adaptée, telle qu'on en trouve dans le commerce.
  • +Dans le flacon en verre de 500 ml, le prélèvement peut se faire en pharmacie via un dispositif de distribution calibré disponible dans le commerce par exemple.
  • +Autres remarques relatives à la remise et aux préparations, voir «Remarques particulières».
  • +·tableaux cliniques pour lesquels il convient de prévenir une dépression du centre respiratoire,
  • +·altération modérée à sévère du centre respiratoire et de la fonction respiratoire.
  • +·asthme bronchique, broncho-pneumopathie chronique obstructive, cœur pulmonaire, réserve respiratoire fortement diminuée, p.ex. en cas d'obésité grave, atteinte préexistante de la fonction respiratoire, hypoxie ou hypercapnie, syndrome obstructif des apnées du sommeil (SAOS),
  • -Fonction respiratoire
  • -Une indication stricte et une surveillance médicale particulière sont nécessaires dans les cas suivants:
  • -·tableaux cliniques pour lesquels il convient de prévenir une dépression du centre respiratoire;
  • -·altération modérée à sévère du centre respiratoire et de la fonction respiratoire.
  • -Comme d'autres opioïdes, L-Polamidon doit être utilisé avec précaution chez les patients présentant les troubles suivants:
  • -·asthme bronchique,
  • -·broncho-pneumopathie chronique obstructive,
  • -·cœur pulmonaire,
  • -·réserve respiratoire fortement diminuée, p.ex. en cas d'obésité grave,
  • -·atteinte préexistante de la fonction respiratoire,
  • -·hypoxie ou hypercapnie,
  • -·syndrome obstructif des apnées du sommeil (SAOS, voir la section «Troubles respiratoires du sommeil» ci-dessous).
  • -Même à faibles doses, la lévométhadone peut entraîner une dépression respiratoire et une obstruction des voies respiratoires supérieures. Ces effets augmentent au fur et à mesure que la posologie est accrue. De ce fait, même aux doses thérapeutiques usuelles, l'activité respiratoire des patients peut être diminuée alors que dans le même temps, la résistance des voies respiratoires se trouve accrue, jusqu'à apparition d'une apnée.
  • +Développement d'une tolérance, dépendance aux médicaments et potentiel d'abus
  • +La lévométhadone est un analgésique opioïde et présente elle-même un fort potentiel de dépendance. Elle a une longue demi-vie et peut donc s'accumuler. Une dose unique qui soulage les symptômes peut entraîner, en cas de prise quotidienne répétée, une accumulation et éventuellement entraîner la mort.
  • +Comme pour les autres opioïdes, une accoutumance et une dépendance physique et/ou psychique peuvent se développer en cas d'utilisation répétée de lévométhadone. Lors du traitement de douleurs, la prise répétée de L-Polamidon peut entraîner un trouble lié à l'utilisation d'opioïdes (TUO). Une dose élevée et un traitement prolongé avec des opioïdes peuvent augmenter le risque de développer un trouble lié à l'utilisation d'opioïdes. Avant le début du traitement par L-Polamidon et pendant le traitement, il convient de convenir avec le patient d'objectifs de traitement et d'un plan d'arrêt du médicament (voir «Posologie/Mode d'emploi»). Avant et pendant le traitement, le patient doit en outre être informé des risques et des signes d'un trouble lié à l'utilisation des opioïdes. Les patients doivent être informés de consulter leur médecin si ces signes apparaissent. L'abus ou la mauvaise utilisation intentionnelle de L-Polamidon peut entraîner un surdosage et/ou la mort. Le risque de développer un trouble lié à l'utilisation d'opioïdes est plus élevé chez les patients ayant des antécédents personnels ou familiaux (parents ou frères et sœurs) de troubles liés à l'utilisation de substances (y compris les troubles liés à la consommation d'alcool), chez les fumeurs ou chez les patients ayant des antécédents d'autres maladies mentales (par ex. dépression majeure, anxiété et troubles de la personnalité). Les patients doivent être surveillés afin de détecter tout signe de comportement addictif (drug-seeking behavior) (p.ex. demande trop précoce d'ordonnances de renouvellement). Cela inclut la vérification de la prise simultanée d'opioïdes et de médicaments psychoactifs (comme les benzodiazépines). Pour les patients présentant des signes et des symptômes de troubles liés à l'utilisation d'opioïdes, il convient d'envisager la consultation d'un spécialiste des addictions.
  • +Dépression respiratoire
  • +Comme pour tous les autres opioïdes, l'utilisation de L-Polamidon est associée à un risque de dépression respiratoire cliniquement pertinente. La dépression respiratoire, si elle n'est pas reconnue et traitée immédiatement, peut entraîner un arrêt respiratoire et la mort. Le traitement d'une dépression respiratoire comprend, selon l'état clinique du patient, une surveillance étroite, des mesures de soutien et l'administration d'antagonistes des opioïdes. Une dépression respiratoire grave, potentiellement mortelle ou fatale, peut survenir à tout moment du traitement, le risque étant maximal au début du traitement ou après une augmentation de dose.
  • -Trouble de l'usage des opioïdes (abus et dépendance)
  • -La lévométhadone est un analgésique opioïde qui présente lui-même un fort potentiel de dépendance. Elle a une longue demi-vie et peut donc s'accumuler. Une dose unique qui soulage les symptômes peut entraîner une accumulation et éventuellement la mort en cas de prise quotidienne répétée.
  • -Comme avec d'autres opioïdes, la prise répétée de lévométhadone peut entraîner une tolérance, une dépendance physique et/ou psychique.
  • -Dans le traitement de la douleur, la prise répétée de L-Polamidon peut entraîner un trouble de l'utilisation des opioïdes (TUO). Une dose plus élevée et un traitement prolongé par des opioïdes peuvent augmenter le risque de développer un trouble de l'utilisation des opioïdes.
  • -Avant le début du traitement par L-Polamidon et pendant le traitement, il convient de convenir avec le patient d'objectifs de traitement et d'un plan d'arrêt du médicament (voir «Posologie/Mode d'emploi»). Avant et pendant le traitement, le patient devrait en outre être informé des risques et des signes d'un trouble de l'utilisation des opioïdes. Les patients doivent être informés de consulter leur médecin si ces signes apparaissent.
  • -L'abus ou la mauvaise utilisation intentionnelle de L-Polamidon peut entraîner un surdosage et/ou la mort.
  • -Le risque de développer un trouble lié à l'utilisation d'opioïdes est plus élevé chez les patients ayant des antécédents de troubles liés à l'utilisation de substances (y compris un trouble lié à l'utilisation d'alcool), personnels ou familiaux (parents ou frères et sœurs), chez les fumeurs ou chez les patients ayant des antécédents d'autres maladies mentales (par ex. dépression majeure, troubles anxieux et de la personnalité).
  • -Les patients doivent être surveillés afin de détecter tout signe de comportement addictif (drug-seeking behavior) (p.ex. demande trop précoce d'ordonnances de suivi). Cela inclut la vérification de la prise simultanée d'opioïdes et de médicaments psychoactifs (comme les benzodiazépines). Chez les patients présentant des signes et des symptômes de troubles liés à l'utilisation d'opioïdes, il convient d'envisager la consultation d'un spécialiste des addictions.
  • -Troubles respiratoires du sommeil
  • -Les opioïdes peuvent provoquer des troubles respiratoires liés au sommeil, y compris l'apnée centrale du sommeil (CSA - central sleep apnea) et l'hypoxémie liée au sommeil. La prise d'opioïdes s'accompagne d'une augmentation dose-dépendante du risque d'apnée centrale du sommeil. Chez les patients souffrant d'apnée centrale du sommeil, une réduction de la dose totale d'opioïdes doit être envisagée.
  • -Médicaments et substances déprimant le système nerveux central ou le système respiratoire
  • -L'utilisation concomitante d'autres médicaments et substances déprimant le système nerveux central, y compris l'alcool, peut entraîner une sédation, une dépression respiratoire, un coma et la mort (voir «Interactions»).
  • -Une indication stricte, l'information des patients et une surveillance médicale particulière sont nécessaires lors de l'utilisation concomitante de médicaments déprimant le système nerveux central. Il convient d'opter pour la posologie minimale efficace et la plus courte durée possible de traitements concomitants, et les patients doivent faire l'objet d'une surveillance étroite afin de détecter les signes et symptômes de dépression respiratoire et de sédation (voir «Interactions»).
  • -Il convient d'éviter de consommer de l'alcool pendant le traitement par la lévométhadone (voir «Interactions»).
  • +Troubles respiratoires liés au sommeil
  • +Les opioïdes peuvent provoquer des troubles respiratoires liés au sommeil, y compris l'apnée centrale du sommeil (ACS) et l'hypoxémie liée au sommeil. L'utilisation d'opioïdes s'accompagne d'une augmentation dose-dépendante du risque d'apnée centrale du sommeil. Chez les patients souffrant d'apnée centrale du sommeil, une réduction de la dose totale d'opioïdes doit être envisagée.
  • +Utilisation simultanée avec des substances à action dépressive centrale
  • +L'utilisation simultanée d'opioïdes avec des benzodiazépines ou d'autres substances à action dépressive centrale peut renforcer la sédation, et entraîner la dépression respiratoire, le coma et la mort. En raison de ces risques, les opioïdes et les benzodiazépines ou d'autres médicaments à action dépressive centrale ne doivent être administrés de manière concomitante qu'aux patients pour lesquels aucune autre option de traitement n'est envisageable. S'il est décidé de prescrire du L-Polamidon en association avec des benzodiazépines ou d'autres médicaments à action dépressive centrale, il convient de choisir la dose efficace la plus faible et une durée minimale d'utilisation simultanée. Les signes et symptômes de dépression respiratoire et de sédation doivent être surveillés étroitement. (voir «Interactions»)
  • +Exposition accidentelle
  • +Les patients et les personnes qui s'en occupent doivent être informés que L-Polamidon contient une substance active en quantité susceptible d'entraîner la mort, en particulier chez les enfants. Les patients et les personnes qui s'en occupent doivent être informés de la nécessité de conserver toutes les doses unitaires hors de portée des enfants et d'éliminer correctement les doses unitaires entamées ou non utilisées.
  • +Syndrome de sevrage néonatal aux opioïdes
  • +L'utilisation prolongée de L-Polamidon pendant la grossesse peut entraîner un syndrome de sevrage néonatal aux opioïdes, qui peut potentiellement mettre la vie en danger lorsqu'il n'est pas identifié et traité en temps opportuns. Le traitement doit être effectué selon les protocoles développés par des experts en néonatologie. Si l'utilisation d'opioïdes chez une femme enceinte est nécessaire pendant une période prolongée, informez la patiente du risque de syndrome de sevrage néonatal aux opioïdes et assurez-vous que le traitement adéquat est disponible le cas échéant.
  • +Insuffisance surrénalienne
  • +Les opioïdes peuvent provoquer une insuffisance surrénalienne réversible qui nécessite une surveillance et un traitement de substitution par glucocorticoïdes. Les symptômes de l'insuffisance surrénalienne peuvent notamment comprendre les suivants: nausée, vomissement, perte d'appétit, fatigue, faiblesse, vertige ou tension artérielle basse.
  • +Diminution des hormones sexuelles et augmentation de la prolactine
  • +L'utilisation à long terme d' opioïdes peut être associée à une baisse des taux d'hormones sexuelles et à une augmentation des taux de prolactine. Les symptômes incluent une baisse de la libido, l'impuissance ou l'aménorrhée.
  • +Hypoglycémie
  • +Des cas d'hypoglycémie ont été observés en lien avec un surdosage ou une augmentation de la dose de méthadone. En cas d'augmentation de la dose, une surveillance régulière de la glycémie est recommandée.
  • +Spasme du sphincter d'Oddi/pancréatite
  • +Les opioïdes peuvent entraîner un dysfonctionnement et un spasme du sphincter d'Oddi, ce qui augmente la pression intrabiliaire et accorît le risque de symptômes des voies biliaires et de pancréatite.
  • -Système endocrinien
  • -Les opioïdes tels que la lévométhadone peuvent influer sur l'axe hypothalamo-hypophyso-surrénalien ou gonadique. Ces modifications hormonales peuvent se manifester par des symptômes cliniques.
  • -La lévométhadone doit être utilisée avec prudence chez les patients atteints de la maladie d'Addison (insuffisance surrénalienne), car les opioïdes réduisent la production de cortisol.
  • -Les analgésiques opioïdes peuvent provoquer une insuffisance surrénalienne réversible nécessitant une surveillance et un traitement de substitution par glucocorticoïdes. Les symptômes d'insuffisance surrénalienne peuvent inclure des nausées, des vomissements, une perte d'appétit, de la fatigue, une faiblesse, des vertiges ou un hypotension artérielle.
  • -La prudence est de mise lors de l'administration concomitante d'opioïdes tels que la lévométhadone avec des médicaments altérant le système de neurotransmetteurs sérotoninergiques. En cas d'utilisation concomitante de médicaments sérotoninergiques – même à la posologie recommandée – un syndrome sérotoninergique pouvant mettre en jeu le pronostic vital peut survenir, voir «Interactions». Le syndrome sérotoninergique peut se manifester par des modifications de l'état mental (p.ex. agitation, hallucinations, coma), une instabilité du système nerveux autonome (p.ex. tachycardie, pression artérielle labile, hyperthermie), des anomalies neuromusculaires (p.ex. hyperréflexie, absence de coordination, rigidité musculaire) et/ou des symptômes gastro-intestinaux (p.ex. nausées, vomissements, diarrhée).
  • -Diminution des hormones sexuelles et augmentation de la prolactine: l'utilisation à long terme d'analgésiques opioïdes peut être associée à une diminution des taux d'hormones sexuelles et à une augmentation de la prolactine. Les symptômes incluent une diminution de la libido, une impuissance ou une aménorrhée.
  • -Hypoglycémie: une hypoglycémie a été observée dans le contexte d'un surdosage de méthadone (mélange racémique de lévométhadone et de dextrométhadone) ou d'une augmentation de la dose. Une surveillance régulière de la glycémie est recommandée lors de l'augmentation de la dose (voir «Effets indésirables» et «Interactions»)
  • -Tolérance et dépendance
  • -Lors d'une administration prolongée pour le traitement de la douleur, le patient peut développer une tolérance à L-Polamidon se manifestant par la nécessité d'augmenter les doses pour maintenir l'effet analgésique souhaité. Une tolérance croisée avec d'autres opioïdes est possible. L'utilisation chronique de L-Polamidon peut conduire à une dépendance physique et l'apparition d'un syndrome de sevrage est possible à l'arrêt abrupt du traitement. Lorsque le traitement par L-Polamidon n'est plus nécessaire, il est conseillé de réduire progressivement la dose journalière pour éviter l'apparition de symptômes de sevrage.
  • -Le principe actif lévométhadone présente un potentiel d'abus semblable à celui d'autres puissants agonistes des récepteurs aux opioïdes. Une dépendance psychique (toxicomanie médicamenteuse) peut apparaître suite à l'administration d'analgésiques opioïdes comme L-Polamidon. Une prudence particulière est de rigueur lors de la prescription de L-Polamidon chez des patients qui présentent des antécédents d'alcoolisme ou d'abus de drogues ou de médicaments.
  • +Hyperalgésie
  • +L'hyperalgésie induite par les opioïdes (HIO) se présente lorsqu'un analgésique opioïde provoque paradoxalement une augmentation de la douleur ou une augmentation de la sensibilité à la douleur. Cet état diffère de la tolérance, dans laquelle des doses plus élevées d'opioïdes sont nécessaires pour maintenir un effet donné. Les symptômes de l'HIO comprennent notamment une augmentation de la douleur en cas d'augmentation de la dose d'opioïdes, une diminution de la douleur en cas de diminution de la dose d'opioïdes ou une douleur en cas de stimuli normalement non douloureux (allodynie). Si l'on soupçonne une HIO chez un patient, il convient d'envisager une réduction de la dose d'opioïdes ou une rotation des opioïdes.
  • -Les substances ayant un effet dépresseur sur le système nerveux central (SNC) telles que benzodiazépines, barbituriques, autres opioïdes, alcool, neuroleptiques (phénothiazines), antidépresseurs tricycliques, antihistaminiques H1 avec effet sédatif, antiémétiques avec action centrale, gabapentinoïdes (gabapentine, prégabaline), anesthésiques, sédatifs, hypnotiques ou anxiolytiques peuvent augmenter le risque de dépression respiratoire, d'hypotension et d'altération de l'attention. Dans des cas graves, une sédation marquée, un coma et le décès peuvent survenir (voir également «Mises en garde et précautions»).
  • -Après la prise concomitante de péthidine et d'un inhibiteur de la monoamine oxydase (IMAO), des cas graves d'interactions affectant le système nerveux central et les fonctions respiratoire et circulatoire ont été observés. On ne peut exclure un potentiel d'interaction semblable avec L-Polamidon. L-Polamidon n'est pas indiqué en association avec des IMAO ou dans un intervalle de 14 jours après l'arrêt d'un tel traitement (voir également «Contre-indications»).
  • +L'utilisation concomitante d'autres médicaments affectant le SNC, tels que d'autres opioïdes, des sédatifs tels que les benzodiazépines ou les hypnotiques, les anesthésiques généraux, les phénothiazines, les tranquillisants, les relaxants de la musculature squelettique, les anti-histaminiques sédatifs, les gabapentinoïdes (gabapentine et prégabaline) et l'alcool, peut produire des effets dépresseurs effets additifs, entraînant une dépression respiratoire, une hypotension, une forte sédation ou un coma, parfois fatal (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +L-Polamidon n'est pas indiqué en association avec des IMAO ou dans un intervalle de 14 jours après l'arrêt d'un tel traitement (voir également «Contre-indications»).
  • -antiarythmiques des classes IA (par ex. quinidine, disopyramide, procaïnamide) et III (p.ex. amiodarone, sotalol), certains neuroleptiques (p.ex. phénothiazine, thioridazine), certains antidépresseurs, certains antimicrobiens (moxifloxacine, sparfloxacine, érythromycine i.v., pentamidine, antipaludéens, en particulier halofantrine), certains antihistaminiques (mizolastine), autres (cisapride, vincamine i.v.) (voir aussi «Mises en garde et précautions»).
  • +antiarythmiques des classes IA (par ex. quinidine, disopyramide, procaïnamide) et III (p.ex. amiodarone, sotalol), certains neuroleptiques (p.ex. phénothiazine, thioridazine), certains antidépresseurs, certains antimicrobiens (moxifloxacine, sparfloxacine, érythromycine i.v., pentamidine, antipaludéens, en particulier halofantrine), certains antihistaminiques (mizolastine), autres (cisapride, vincamine i.v.)(voir aussi «Mises en garde et précautions»).
  • -Le syndrome sérotoninergique peut survenir lors de l'administration concomitante de méthadone (mélange racémique de lévométhadone et de dextrométhadone) avec de la péthidine, des inhibiteurs de la monoamine oxydase (MAO) et des agents sérotoninergiques tels que les inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS), les inhibiteurs de la recapture de la sérotonine et de la noradrénaline (IRSN) et les antidépresseurs tricycliques (ATC). Les symptômes du syndrome sérotoninergique peuvent inclure des modifications de l'état mental, une instabilité du système nerveux autonome, des anomalies neuromusculaires et/ou des symptômes gastro-intestinaux (voir également «Mises en garde et précautions»).
  • +Un syndrome sérotoninergique peut survenir en cas d'administration simultanée d'opioïdes avec des inhibiteurs de la monoamine oxydase (IMAO) et des agents sérotoninergiques, tels que les inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS), les inhibiteurs de la recapture de la sérotonine et de la norépinéphrine (IRSN) et les antidépresseurs tricycliques. Les symptômes d'un syndrome sérotoninergique peuvent inclure des modifications de l'état de conscience, une instabilité autonome, des anomalies neuromusculaires et/ou des symptômes gastro-intestinaux.
  • -·Il cannabidiol.
  • +·le cannabidiol.
  • -En cas d'utilisation de la méthadone pendant une période prolongée ou à hautes doses lors de l'accouchement, certains indices laissent clairement entrevoir des risques pour le fœtus humain.
  • -Une utilisation prolongée de la méthadone peut entraîner une dépendance physique s'accompagnant de symptômes de sevrage non seulement chez la mère, mais aussi chez le fœtus. A cet égard, l'intensité des symptômes de sevrage chez l'enfant dépend de la dose totale administrée au cours du troisième trimestre de la grossesse, de la dose journalière de la mère le jour de l'accouchement ainsi que de la concentration en méthadone du sérum de la mère au cours de l'accouchement.
  • +L'utilisation prolongée de L-Polamidon pendant la grossesse peut entraîner un syndrome de sevrage néonatal aux opioïdes, qui peut potentiellement mettre la vie en danger lorsqu'il n'est pas identifié et traité en temps opportuns. Le traitement doit être effectué selon les protocoles développés par des experts en néonatologie. Si l'utilisation d'opioïdes chez une femme enceinte est nécessaire pendant une période prolongée, informez la patiente du risque de syndrome de sevrage néonatal aux opioïdes et assurez-vous que le traitement approprié est disponible, le cas échéant (voir aussi «Mises en garde et précautions»).
  • -Occasionnel: dépression respiratoire dose-dépendante, œdème pulmonaire non cardiogénique chez des patients traités en soins intensifs.
  • +Occasionnel: dépression respiratoire, œdème pulmonaire non cardiogénique chez des patients traités en soins intensifs.
  • -Fréquence inconnue: sécheresse buccale.
  • +Fréquence inconnue: sécheresse buccale, pancréatite.
  • -Occasionnel: spasmes des voies biliaires et pancréatiques, coliques hépatiques.
  • +Occasionnel: spasmes du sphincter d'Oddi, coliques hépatiques.
  • -Une leucoencéphalopathie toxique a été observée en cas de surdosage de méthadone.
  • +Une leucoencéphalopathie toxique a été observée en cas de surdosage des opioïdes.
  • -Septembre 2023
  • +Mars 2024
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