132 Changements de l'information professionelle Perindopril-Amlodipin-Mepha 5mg/5mg |
-Sujet âgé:
- +Sujet âgé
-·hypersensibilité au périndopril, ou à tout autre IEC,
-·antécédent d'angio-oedème lié à la prise d'un IEC,
-·angio-oedème héréditaire ou idiopathique,
- +·hypersensibilité au périndopril, à tout autre IEC,
- +·antécédent d'angio-œdème lié à la prise d'un IEC,
- +·angio-œdème héréditaire ou idiopathique,
-Liées à lamlodipine
- +Liées à l'amlodipine
-Un oedème angioneurotique au niveau de la face, des extrémités, des lèvres, des muqueuses, de la langue, de la glotte et/ou du larynx (voir rubrique «Effets indésirables») est rare sous IEC, dont périndopril. Ceci peut survenir à tout moment durant le traitement. Il faut dans ce cas arrêter l'administration du périndopril et placer le patient sous surveillance étroite jusqu'à disparition de l'oedème.
-En cas de localisation uniquement au niveau du visage et des lèvres, l'oedème régresse en général sans traitement; les antihistaminiques pouvant être utilisés pour soulager les symptômes.
-L'oedème de Quincke du larynx peut menacer la vie du patient. Lorsqu'il y a atteinte de la langue, de la glotte ou du larynx, pouvant entraîner une obstruction des voies aériennes, prendre alors immédiatement les mesures nécessaires, par exemple injection sous-cutanée d'adrénaline à 1/1000 (0,3 à 0,5 ml) et/ou le degagement des voies aériennes. Le patient doit être maintenu sous surveillance médicale stricte jusqu'à disparition complète et prolongée des symptômes.
- +Un oedème angioneurotique au niveau de la face, des extrémités, des lèvres, des muqueuses, de la langue, de la glotte et/ou du larynx (voir rubrique «Effets indésirables») est rare sous IEC, dont périndopril. Ceci peut survenir à tout moment durant le traitement. Il
- +faut dans ce cas arrêter l'administration du périndopril et placer le patient sous surveillance étroite jusqu'à disparition de l'oedème.
- +En cas de localisation uniquement au niveau du visage et des lèvres, l'œdème régresse en général sans traitement; les antihistaminiques pouvant être utilisés pour soulager les symptômes.
- +L'œdème de Quincke du larynx peut menacer la vie du patient. Lorsqu'il y a atteinte de la langue, de la glotte ou du larynx, pouvant entraîner une obstruction des voies aériennes, prendre alors immédiatement les mesures nécessaires, par exemple injection sous-cutanée d'adrénaline à 1/1000 (0,3 à 0,5 ml) et/ou le dégagement des voies aériennes. Le patient doit être maintenu sous surveillance médicale stricte jusqu'à disparition complète et prolongée des symptômes.
-Une toux a été rapportée avec l'utilisation des IEC. D'une façon caractéristique, la toux est non-productive, persistante et disparaît à l'arrêt du traitement. La toux induite par les IEC devra faire partie du diagnostic différentiel de la toux.
- +Une toux a été rapportée avec l'utilisation des IEC. D'une façon caractéristique, la toux est non-productive, persistante et disparaît à l'arrêt du traitement. La toux induite par les IEC devra faire partie du diagnostic différentiel de la toux
-Voir rubrique «Interactions»
- +Voir rubrique «Interactions».
-Dans une étude long-terme contrôlée versus placebo chez des patients présentant une insuffisance cardiaque sévère (des classes NYHA III et IV) l'incidence rapportée des oedèmes pulmonaires a été supérieure dans le groupe traité par l'amlodipine par rapport au groupe placebo (voir rubrique «Propriétés/Effets»).
- +Dans une étude long-terme contrôlée versus placebo chez des patients présentant une insuffisance cardiaque sévère (des classes NYHA III et IV) l'incidence rapportée des œdèmes pulmonaires a été supérieure dans le groupe traité par l'amlodipine par rapport au groupe placebo (voir rubrique «Propriétés/Effets»).
-Excipients:
- +Excipients
-Liées au perindopril
- +Liées au périndopril
-Certains médicaments ou certaines classes thérapeutiques peuvent augmenter l'apparition d'hyperkaliémie comme: l'aliskirène, les sels de potassium, les diurétiques épargneurs de potassium, les IEC, les ARA II, les anti-inflammatoires non stéroïdien (AINS), les héparines, les immunosuppresseurs tels que la ciclosporine ou le tacrolimus et le triméthoprime. L'association de ces médicaments augmente le risque d'hyperkaliémie.
- +Certains médicaments ou certaines classes thérapeutiques peuvent augmenter l'apparition d'hyperkaliémie comme: l'aliskirène, les sels de potassium, les diurétiques épargneurs de potassium, les IEC, les ARA II, les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS), les héparines, les immunosuppresseurs tels que la ciclosporine ou le tacrolimus et le triméthoprime. L'association de ces médicaments augmente le risque d'hyperkaliémie.
- +Associations contre-indiquées (voir rubrique «Contre-indications»):
- +Aliskirène:
- +Risque d'hyperkaliémie, de détérioration de la fonction rénale, de morbidité cardio-vasculaire et d'augmentation de la mortalité chez les diabétiques et les insuffisants rénaux.
- +
-«Double blocage» du système rénine-angiotensine-aldostérone (SRAA) par un IEC, un ARA II ou l'aliskirène
-Par rapport à une monothérapie par l'une de ces substances, le «double blocage» du SRAA par un ARA II, un IEC ou l'aliskirène a augmenté la fréquence des cas d'hypotension, de syncope, d'hyperkaliémie et de troubles de la fonction rénale (y compris une défaillance rénale aiguë), en particulier en début de traitement chez les patients normotendus ou hypotendus. Un double blocage du SRAA par l'utilisation concomitante d'inhibiteurs de l'ECA, d'antagonistes des récepteurs de l'angiotensine II ou de l'aliskirène n'est donc pas recommandée. Si le traitement par un double blocage est considéré comme absolument nécessaire, celui-ci ne doit être mené que sous la surveillance d'un spécialiste et en assurant des contrôles étroits de la fonction rénale, des valeurs électrolytiques et de la tension artérielle.
-Les inhibiteurs de l'ECA et les antagonistes des récepteurs de l'angiotensine II ne doivent pas être utilisés de manière concomitante chez les patients atteints de néphropathie diabétique.
- +«Double inhibition» du système rénine-angiotensine-aldostérone (SRAA
- +Des données indiquent que l'utilisation concomitante d'inhibiteurs de l'enzyme de conversion (IEC), d'antagonistes des récepteurs de l'angiotensine II (ARA II) ou d'aliskirène accroît le risque d'hypotension, d'hyperkaliémie et de diminution de la fonction rénale (y compris insuffisance rénale aiguë).
- +Un double blocage du SRAA par l'utilisation concomitante d'IEC, d'ARA II ou d'aliskirène n'est donc pas recommandée.
- +Si le traitement par un double blocage est considéré comme absolument nécessaire, celui-ci ne doit être mené que sous la surveillance d'un spécialiste et en assurant des contrôles étroits de la fonction rénale, des valeurs électrolytiques et de la tension artérielle.
- +Les IEC et les ARA II ne doivent pas être utilisés de manière concomitante chez les patients atteints de néphropathie diabétique.
-Avec l'éplérenone et la spironolactone à des doses comprises entre 12.5 mg et 50 mg par jour et avec de faibles doses d'IEC:
- +Avec l'éplérénone et la spironolactone à des doses comprises entre 12.5 mg et 50 mg par jour et avec de faibles doses d'IEC:
-Des réactions nitritoïdes (symptômes comprenant flush facial, nausées, vomissements et hypotension) ont été rarement rapportées chez des patients recevant des injections d'or (aurothiomalate de sodium) et un IEC (dont le périndopril) de façon concomitante.
- +Des réactions nitritoïdes (symptômes comprenant flush facial, nausées, vomissements et hypotension) ont été rarement rapportées chez des patients recevant des injections d'or (aurothiomalate de sodium) et un IEC (dont périndopril) de façon concomitante.
-L'utilisation concomitante d'amlodipine avec des inhibiteurs forts ou modérés du CYP3A4 (inhibiteurs de la protéase, antifongiques azolés, macrolides tels que l'érythromycine ou la clarithromycine, le vérapamil ou le diltiazem) peut entraîner une augmentation significative de la concentration plasmatique d'amlodipine. La traduction clinique de ces variations pharmacocinétiques peut être plus prononcée chez le sujet âgé. Par conséquent, une surveillance clinique et un ajustement de la dose pourront être nécessaires.
- +L'utilisation concomitante d'amlodipine avec des inhibiteurs puissants ou modérés du CYP3A4 (inhibiteurs de la protéase, antifongiques azolés, macrolides tels que l'érythromycine ou la clarithromycine, le vérapamil ou le diltiazem) peut entraîner une augmentation significative de la concentration plasmatique d'amlodipine. La traduction clinique de ces variations pharmacocinétiques peut être plus prononcée chez le sujet âgé. Par conséquent, une surveillance clinique et un ajustement de la dose pourront être nécessaires.
- +Il existe un risque accru d'hypotension chez les patients qui reçoivent de la clarithromycine et de l'amlodipine de façon concomitante. En cas d'administration simultanée d'amlodipine et de clarithromycine, une surveillance très étroite des patients est indiquée.
- +Tacrolimus
- +En cas d'administration concomitante d'amlodipine, il existe un risque accru d'augmentation du taux sanguin de tacrolimus. Pour éviter toute toxicité du tacrolimus lors de l'administration d'amlodipine chez des patients traités par tacrolimus, le taux sanguin de tacrolimus doit être surveillé et la dose de tacrolimus doit être adaptée si nécessaire.
- +Ciclosporine
- +Aucune étude portant sur les interactions entre ciclosporine et amlodipine n'a été menée sur des volontaires sains ni sur d'autres populations, à l'exception de patients ayant subi une greffe des reins. Il a été démontré, que l'administration simultanée de ciclosporine et d'amlodipine avait un effet sur la concentration résiduelle de ciclosporine (de l'absence de modification à une augmentation moyenne de 40%). Chez les patients greffés des reins sous amlodipine, le taux de ciclosporine doit faire l'objet d'une surveillance particulière.
- +Simvastatine
- +La co-administration de doses répétées de 10 mg d'amlodipine et de 80 mg de simvastatine a provoqué une augmentation de l'exposition à simvastatine de 77% par rapport à l'administration de simvastatine seule. Limiter la posologie de simvastatine à 20 mg par jour chez les patients prenant l'amlodipine.
- +
-Dans les études cliniques d'interactions, l'amlodipine n'a pas affecté les propriétés pharmacocinétiques de l'atorvastatine, la digoxine, la warfarine ou la ciclosporine.
- +Dans les études cliniques d'interactions, l'amlodipine n'a pas affecté les propriétés pharmacocinétiques de l'atorvastatine, la digoxine ou la warfarine.
-Simvastatine
-La co-administration de doses répétées de 10 mg d'amlodipine et de 80 mg de simvastatine a provoqué une augmentation de l'exposition à la simvastatine de 77% par rapport à l'administration de simvastatine seule. Limiter la posologie de simvastatine à 20 mg par jour chez les patients prenant de l'amlodipine.
- +Perindopril-Amlodipin-Mepha est contre-indiqué pendant la grossesse et l'allaitement.
- +Les femmes en âge de procréer doivent adopter une méthode contraceptive efficace pendant le traitement par Perindopril-Amlodipin-Mepha (voir rubrique «Contre- indications»).
-Perindopril-Amlodipin-Mepha ne doit pas être employé pendant la grossesse (voir rubrique «Contre- indications»).
-Lié au périndopril
-Les données épidémiologiques disponibles concernant le risque de malformation après exposition aux IEC au 1er trimestre de la grossesse ne permettent pas de conclure. Cependant une petite augmentation du risque de malformations congénitales ne peut être exclue. A moins que le traitement par IEC ne soit considéré comme essentiel, il est recommandé aux patientes qui envisagent une grossesse de modifier leur traitement antihypertenseur pour un médicament ayant un profil de sécurité bien établi pendant la grossesse. En cas de diagnostic de grossesse, le traitement par IEC doit être arrêté immédiatement et si nécessaire, un traitement alternatif sera débuté.
-La prise d'un IEC au cours des 2e et 3e trimestres peut entraîner chez le foetus des lésions rénales et des malformations de la face et du crâne. Le foetus dans l'utérus maternel est exposé à un risque d'hypotension. Un faible poids à la naissance, une diminution de l'irrigation sanguine au niveau rénal et une anurie ont été observés chez de tels nouveau-nés. Chez les mères, on a constaté un oligoamnios probablement en rapport avec la fonction rénale réduite du foetus. Après une telle exposition dans l'utérus maternel tous les nouveau-nés doivent être examinés pour s'assurer d'une élimination urinaire suffisante et pour contrôler l'hyperkaliémie et la tension artérielle. Si nécessaire on prendra les mesures médicales adaptées comme par exemple une réhydratation ou une dialyse pour éliminer l'IEC de la circulation sanguine.
-Lié à l'amlodipine
- +Périndopril
- +Les données épidémiologiques disponibles concernant le risque de malformation après exposition aux IEC au 1er trimestre de la grossesse ne permettent pas de conclure. Cependant une petite augmentation du risque de malformations congénitales ne peut être exclue. Il est recommandé aux patientes qui envisagent une grossesse de modifier leur traitement antihypertenseur pour un médicament ayant un profil de sécurité bien établi pendant la grossesse. En cas de diagnostic de grossesse, le traitement par IEC doit être arrêté immédiatement et si nécessaire, un traitement alternatif sera débuté (voir rubrique «Contre-indications»).
- +La prise d'un IEC au cours des 2ème et 3ème trimestres peut entraîner chez le fœtus des lésions rénales et des malformations de la face et du crâne. Le fœtus dans l'utérus maternel est exposé à un risque d'hypotension. Un faible poids à la naissance, une diminution de l'irrigation sanguine au niveau rénal et une anurie ont été observés chez de tels nouveau-nés. Chez les mères, on a constaté un oligoamnios probablement en rapport avec la fonction rénale réduite du fœtus. Après une telle exposition dans l'utérus maternel tous les nouveau-nés doivent être examinés pour s'assurer d'une élimination urinaire suffisante et pour contrôler l'hyperkaliémie et la tension artérielle. Si nécessaire on prendra les mesures médicales adaptées comme par exemple une réhydratation ou une dialyse pour éliminer l'IEC de la circulation sanguine.
- +Les études animales rapportent une élévation de la foetotoxicité et toxicité péri/postnatale chez les rongeurs et les lapins (voir rubrique «Données précliniques»).
- +Amlodipine
-L'expérimentation animale (rats) a montré qu'un traitement à base d'amlodipine (dose 50 fois supérieure à la dose maximale recommandée pour l'être humain) entraînait un retard de l'accouchement et un travail plus long.
- +Dans les études chez l'animal, une toxicité sur la reproduction e été observée à doses élevées (voir rubrique «Données précliniques»).
-Il n'existe pas de données cliniques sur l'utilisation de périndopril ou d'amlodipine, seuls ou en association, pendant l'allaitement. Par conséquent, l'utilisation de Perindopril-Amlodipin-Mepha est contre-indiquée chez les femmes qui allaitent (voir rubrique «Contre-indications»).
- +Périndopril
- +Il n'y a pas d'information disponible sur l'utilisation de périndopril au cours de l'allaitement.
- +Amlodipine
- +Il n'a pas été établi si l'amlodipine est excrétée dans le lait maternel.
- +Fertilité
- +Périndopril
- +Dans les études de toxicité de la reproduction chez le rat, le périndopril n'a pas montré d'effet sur les performances reproductrices ou la fertilité (voir rubrique «Données précliniques»).
- +Amlodipine
- +Des modifications biochimiques réversibles au niveau de la tête des spermatozoïdes ont été décrites chez certains patients traités par des inhibiteurs calciques. Les données cliniques sont insuffisantes pour déterminer l'effet potentiel de l'amlodipine sur la fécondité. Dans une étude menée chez le rat, des effets indésirables ont été observés sur la fertilité des mâles (voir rubrique «Données précliniques»).
-Les effets indésirables suivants ont pu être observés pendant le traitement avec périndopril ou amlodipine pris séparément. Définition des fréquences: très fréquent ≥1/10; fréquent ≥1/100, <1/10; occasionnel ≥1/1000, <1/100, rare ≥1/10'000, <1/1000, très rare <1/10'000, inconnu (ne pouvant être estimé à partir des données disponibles).
- +Les effets indésirables suivants ont pu être observés pendant le traitement avec périndopril ou amlodipine pris séparément. Définition des fréquences: Très fréquent ≥1/10; fréquent ≥1/100, <1/10; occasionnel ≥1/1000, <1/100; rare ≥1/10'000, <1/1000; très rare <1/10'000; indéterminé (ne pouvant être estimé à partir des données disponibles).
-Les effets indésirables les plus fréquemment rapportés avec le périndopril et l'amlodipine pris séparément sont: somnolence, étourdissements, céphalées, perturbation du goût, paresthésies, vertiges, troubles de l'équilibre, vision trouble, acouphènes, palpitations, rougeur du visage, hypotension, dyspnée, toux, douleurs abdominales, nausées, vomissements, dyspepsie, diarrhées, constipation, prurit, rash, exanthème, oedème des chevilles, crampes musculaires, oedèmes, fatigue et asthénie.
-Périndopril:
-Affection hématologiques et du système lymphatique
-Occasionnels: Eosinophilie.
-Très rares: Agranulocytose, thrombocytopénie, leucopénie, neutropénie, pancytopénie, anémie, anémie hémolytique chez les patients avec un déficit congénital en G-6PDH (voir rubrique «Mises en gardes et précautions»), diminution de l'hémoglobine et de l'hématocrite.
- +Les effets indésirables les plus fréquemment rapportés avec le périndopril et l'amlodipine pris séparément sont: somnolence, étourdissements, céphalées, perturbation du goût, paresthésies, vertiges, troubles de l'équilibre, troubles de la vision, acouphènes, palpitations, tachycardies, rougeur du visage, hypotension, dyspnée, toux, douleurs abdominales, nausées, vomissements, dyspepsie, diarrhées, constipation, modification du transit intestinal, prurit, rash, exanthème, gonflement des articulations (œdème des chevilles), spasmes musculaires, œdèmes, fatigue et asthénie.
- +Périndopril
- +Infections et infestations
- +Rares: Rhinite.
- +Affections hématologiques et du système lymphatique
- +Occasionnels: Eosinophilie*.
- +Très rares: Agranulocytose, thrombocytopénie, leucopénie, neutropénie, pancytopénie, anémie, anémie hémolytique chez les patients avec un déficit congénital en G-6PDH (voir rubrique «Mises en garde et précautions»).
-Occasionnels: Des réactions anaphylactoïdes ont été observées lors d'une dialyse par membranes «High-Flux» en polyacrilonitrile et traitement par IEC (voir «Mises en garde et précautions»).
- +Occasionnels: Hypersensibilité. Des réactions anaphylactoïdes ont été observées lors d'une dialyse par membranes «High-Flux» en polyacrilonitrile et traitement par IEC (voir «Mises en garde et précautions»).
-Occasionnels: Hypoglycémie (voir rubriques «Mises en garde et précautions» et «Interactions»), hyperkaliémie réversible à l'arrêt du traitement (voir rubrique «Mises en garde et précautions»), hyponatrémie.
- +Occasionnels: Hypoglycémie* (voir rubriques «Mises en garde et précautions» et «Interactions»), hyperkaliémie réversible à l'arrêt du traitement* (voir rubrique «Mises en garde et précautions»), hyponatrémie*.
-Occasionnels: dépression, changement de l'humeur (y compris anxiété) ou troubles du sommeil.
-Très rares: confusion.
-
- +Occasionnels: Dépression, troubles de l'humeur (y compris anxiété) ou du sommeil.
-Fréquents: Céphalées, étourdissements, vertiges, paresthésies, troubles de l'équilibre ou perturbation du goût.
-Occasionnels: somnolence, syncope.
- +Fréquents: Céphalées, étourdissements, paresthésies, troubles de l'équilibre ou perturbation du goût.
- +Occasionnels: Somnolence, syncope.
- +Très rares: Accident vasculaire cérébral, éventuellement secondaire à une hypotension excessive chez des patients à haut risque (voir rubrique «Mises en garde et précautions»), état confusionnel.
- +
-Fréquents: troubles visuels.
- +Fréquents: Troubles de la vision.
-Fréquents: acouphènes.
- +Fréquents: Acouphènes, vertiges.
-Fréquents: tachycardies et palpitations.
-Très rare: troubles du rythme, angine de poitrine (voir rubrique «Mises en garde et précautions»).
-Infarctus du myocarde, éventuellement consécutif à une forte hypotension chez des patients à haut risque (voir rubrique «Mises en gardes et précautions»).
-Accident ischémique transitoire, éventuellement consécutif à une forte hypotension chez des patients à haut risque (voir rubrique «Mises en gardes et précautions»).
- +Fréquents: Tachycardies* et palpitations*.
- +Très rares: Troubles du rythme, angine de poitrine (voir rubrique «Mises en garde et précautions»).
- +Infarctus du myocarde, éventuellement consécutif à une forte hypotension chez des patients à haut risque (voir rubrique «Mises en garde et précautions»).
- +Accident ischémique transitoire, éventuellement consécutif à une forte hypotension chez des patients à haut risque (voir rubrique «Mises en garde et précautions»).
-Fréquents: hypotension et effets liés à une hypotension.
-Occasionnel: vascularite.
-Très rare: accident vasculaire cérébral, éventuellement secondaire à une hypotension excessive chez des patients à haut risque (voir rubrique «Mises en gardes et précautions»).
- +Fréquents: Hypotension et effets liés à une hypotension.
- +Occasionnel: Vascularite*.
-Fréquents: toux sèche irritative, dyspnée.
-Occasionnels: bronchospasme.
-Rares: insuffisance respiratoire, asthme, sinusite, rhinite ou bronchite.
- +Fréquents: Toux sèche irritative, dyspnée.
- +Occasionnels: Bronchospasme.
- +Rares: Insuffisance respiratoire, asthme, sinusite ou bronchite.
-Fréquents: nausées, douleurs abdominales, vomissements, diarrhées, constipation, dyspepsie.
-Occasionnels: sécheresse buccale.
-Rares: glossite.
-Très rares: stomatite, iléus, pancréatite.
- +Fréquents: Nausées, douleurs abdominales, vomissements, diarrhées, constipation, dyspepsie.
- +Occasionnels: Sécheresse buccale.
- +Rares: Glossite.
- +Très rares: Stomatite, iléus, pancréatite.
-Très rares: ictère cholestatique, insuffisance hépatique, hépatite cytolitique ou cholestatique (voir rubrique «Mises en gardes et précautions»).
- +Très rares: Ictère cholestatique, insuffisance hépatique, hépatite cytolitique ou cholestatique (voir rubrique «Mises en garde et précautions»).
-Des réactions allergiques peuvent apparaître.
-Fréquents: exanthème, prurit, rash.
-Occasionnels: réactions de photosensibilité, pemphygoïde, hyperhydrose, urticaire, angio-oedème de la face, des extrémités, des lèvres, des muqueuses, de la langue, de la glotte et/ou du larynx (voir rubrique «Mises en gardes et précautions»).
-Très rares: érythème multiforme, syndrome de Stevens-Johnson et alopécie.
- +Fréquents: Exanthème, prurit, rash.
- +Occasionnels: Réactions de photosensibilité*, pemphygoïde*, hyperhydrose, urticaire, angio-oedème de la face, des extrémités, des lèvres, des muqueuses, de la langue, de la glotte et/ou du larynx (voir rubrique «Mises en garde et précautions»).
- +Très rares: Erythème multiforme, syndrome de Stevens-Johnson et alopécie.
-Fréquent: crampes musculaires.
-Occasionnels: arthralgies, myalgies.
-Très rares: Un syndrome associant fièvre, myalgies, arthralgies, éosinophilie, augmentation de la vitesse de sédimentation et/ou des anticorps antinucléaires.
- +Fréquents: Spasmes musculaires.
- +Occasionnels: Arthralgies*, myalgies*.
- +Très rares: Un syndrome associant fièvre, myalgies, arthralgies, éosinophilie, augmentation de la VS et/ou des anticorps antinucléaires.
-Occasionnels: troubles de la fonction rénale.
-Très rares: défaillance rénale aiguë, urémie, oligurie, anurie, protéinurie, syndrome néphrotique.
- +Occasionnels: Troubles de la fonction rénale.
- +Très rares: Défaillance rénale aiguë, urémie, oligurie, anurie, protéinurie, syndrome néphrotique.
-Occasionnels: impuissance.
- +Occasionnels: Dysfonction érectile.
-Fréquent: asthénie.
-Occasionnels: douleur thoracique, malaise, oedème périphérique, fièvre.
- +Fréquent: Asthénie.
- +Occasionnels: Douleur thoracique*, malaise*, œdème périphérique*, fièvre*.
-Occasionnels: élévation passagère de l'urée sanguine et de la créatininémie, notamment chez les patients présentant une insuffisance rénale, une insuffisance cardiaque sévère ou une hypertension rénovasculaire.
-Rares: élévation des enzymes hépatiques et de la bilirubine.
-Lésions, intoxications et complications liées aux procédures
-Occasionnel: chutes.
-Amlodipine:
-Les effets indésirables suivants ont été observés, soit lors des études cliniques, soit depuis la mise sur le marché:
- +Occasionnels: Elévation passagère de l'urée sanguine et de la créatininémie, notamment chez les patients présentant une insuffisance rénale, une insuffisance cardiaque sévère ou une hypertension rénovasculaire.
- +Rares: Elévation des enzymes hépatiques et de la bilirubine.
- +Très rares: Diminution de l'hémoglobine et de l'hématocrite.
- +Lésions intoxications et complications liées aux procédures
- +Occasionnels: Chutes*.
- +Amlodipine
- +Infections et infestations
- +Occasionnels: Rhinite.
-Très rares: leucopénie, neutropénie, thrombopénie.
- +Très rares: Leucopénie, neutropénie, thrombopénie.
-Très rares: réaction allergique.
- +Très rares: Hypersensibilité.
-Très rares: hyperglycémie.
- +Très rares: Hyperglycémie.
-Occasionnels: insomnie, modification de l'humeur (y compris anxiété), dépression.
-Rares: confusion.
-
- +Occasionnels: Insomnie, troubles de l'humeur (y compris anxiété), dépression.
-Fréquents: étourdissements, céphalée et somnolence (en particulier au début du traitement).
-Occasionnels: tremblements, troubles du goût, syncope, hypoesthésie, paresthésie.
-Très rares: rigidité ou raideur musculaire, neuropathie périphérique.
- +Fréquents: Etourdissements, céphalée et somnolence (en particulier au début du traitement).
- +Occasionnels: Tremblements, troubles du goût, syncope, hypoesthésie, paresthésie.
- +Rares: Etat confusionnel.
- +Très rares: Hypertonie, neuropathie périphérique.
- +Indéterminés: Syndrome extrapyramidal.
- +
-Occasionnels: troubles de la vision (y compris diplopie).
- +Fréquents: Troubles de la vision, diplopie.
-Occasionnels: acouphène.
- +Occasionnels: Acouphène.
-Fréquents: palpitations cardiaques.
-Très rares: infarctus du myocarde, probablement secondaire à une hypotension excessive chez les patients à haut risque (voir rubrique «Mises en garde et précautions»), arythmie (y compris bradycardie, tachycardie ventriculaire et fibrillation auriculaire).
- +Fréquents: Palpitations cardiaques.
- +Occasionnels: Arythmie (y compris bradycardie, tachycardie ventriculaire et fibrillation auriculaire)
- +Très rares: Infarctus du myocarde, probablement secondaire à une hypotension excessive chez les patients à haut risque (voir rubrique «Mises en garde et précautions»).
-Fréquents: rougeur du visage.
-Occasionnels: hypotension (et effets liés à l'hypotension).
-Très rares: vascularite.
- +Fréquents: Rougeur du visage.
- +Occasionnels: Hypotension (et effets liés à l'hypotension).
- +Très rares: Vascularite.
-Occasionnels: dyspnée, rhinite.
-Très rares: toux.
- +Fréquents: Dyspnée.
- +Occasionnels: Toux.
-Fréquents: douleurs abdominales, nausée.
-Occasionnels: vomissement, dyspepsie, modifications des habitudes de défécation, sécheresse buccale, diarrhée, constipation.
-Très rares: pancréatite, gastrite, hyperplasie gingivale.
- +Fréquents: Douleurs abdominales, nausée, dyspepsie, modification du transit intestinal, diarrhée, constipation.
- +Occasionnels: Vomissement, sécheresse buccale.
- +Très rares: Pancréatite, gastrite, hyperplasie gingivale.
-Très rares: hépatite, ictère, taux accrus d'enzymes hépatiques (généralement liés à une cholestase).
- +Très rares: Hépatite, ictère, taux accrus d'enzymes hépatiques (généralement liés à une cholestase).
-Occasionnels: alopécie, purpura, coloration cutanée, hypersudation, prurit, rash, exanthème, réactions de photosensibilité.
-Très rares: angio-oedèmes de la face, des extrémités, des lèvres, des muqueuses, de la langue, de la glotte et/ou du larynx (voir rubrique «Mises en garde et précautions»), oedème de Quincke, syndrome de Stevens-Johnson, dermite exfoliative, érythème polymorphe, urticaire.
- +Occasionnels: Alopécie, purpura, coloration cutanée, hyperhydrose, prurit, rash, exanthème, réactions de photosensibilité, urticaire (voir rubrique «Mises en garde et précautions»).
- +Très rares: Angio-œdèmes de la face, des extrémités, des lèvres, des muqueuses, de la langue, de la glotte et/ou du larynx (voir rubrique «Mises en garde et précautions»), œdème de Quincke, syndrome de Stevens-Johnson, dermatite exfoliative, érythème multiforme.
-Fréquents: oedème des chevilles.
-Occasionnels: arthralgie, myalgie, crampe musculaire, douleurs dorsales.
- +Fréquents: Gonflement des articulations (œdème des chevilles), spasmes musculaires.
- +Occasionnels: Arthralgie, myalgie, douleurs dorsales.
-Occasionnels: troubles de la miction, nycturie, miction accrue.
- +Occasionnels: Troubles de la miction, nycturie, pollakiurie.
-Occasionnels: impuissance, gynécomastie.
- +Occasionnels: Dysfonction érectile, gynécomastie.
-Très fréquents: oedèmes (11,1%).
-Fréquents: fatigue.
-Occasionnels: douleur thoracique, asthénie, douleur, malaise.
- +Très fréquents: Oedèmes (11,1%).
- +Fréquents: Fatigue, asthénie.
- +Occasionnels: Douleur thoracique, douleur, malaise.
-Occasionnels: prise de poids, perte de poids.
-Des cas exceptionnels de syndromes extrapyramidaux ont été rapportés avec amlodipine.
-Déclaration des effets indésirables suspectés
-La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable grave ou nouveau au Centre de Pharmacovigilance de leur région.
- +Occasionnels: Prise de poids, perte de poids.
- +* Fréquence calculée à partir d'essais cliniques pour les effets indésirables spontanément rapportés.
-L'effet vasodilatateur du périndopril est la cause essentielle de la réduction de la pré-charge et de la post-charge.
- +L'effet vasodilatateur du périndopril est la cause essentielle de la réduction de la pré-charge et de la postcharge.
-Perindopril
- +Périndopril
-La population incluse présentait une maladie coronaire documentée: antécédent d'infarctus du myocarde datant de plus de 3 mois, revascularisation coronaire datant de plus de 6 mois, sténose d'au moins 70% d'une artère coronaire majeure objectivée à l'angiographie, ou test d'effort ou de stress positif chez les hommes présentant une douleur thoracique. En fin d'étude, 91% des patients prenaient en plus un antiagrégant plaquettaire, 69% des hypolipédémiants et 63% des bêta-bloquants.
- +La population incluse présentait une maladie coronaire documentée: antécédent d'infarctus du myocarde datant de plus de 3 mois, revascularisation coronaire datant de plus de 6 mois, sténose d'au moins 70% d'une artère coronaire majeure objectivée à l'angiographie, ou test d'effort ou de stress positif chez les hommes présentant une douleur thoracique. En fin d'étude, 91% des patients prenaient en plus un antiagrégant plaquettaire, 69% des hypolipidémiants et 63% des bêta-bloquants.
- Perindopril (N=6110) Placebo (N=6108) RRR (95% CI) P (log-rank)
- + Périndopril (N=6110) Placebo (N=6108) RRR (95% CI) P (log-rank)
-IDM: Infarctus du myocarde; RRR: Réduction du Risque Relatif.
- +IDM: Infarctus du myocarde; RRR: Réduction du Risque Relatif
-Après administration orale, l'absorption de périndopril est rapide et le pic de concentration est atteint en 1 heure. Perindopril est une prodrogue. La biodisponibilité du périndoprilate, le métabolite actif, est de 27%. Le pic de concentration plasmatique du périndoprilate est atteint en 3 à 4 heures.
-La prise d'aliments diminuant la transformation en périndoprilate, et donc sa biodisponibilité, périndopril arginine doit être administré par voie orale, en une prise quotidienne unique le matin avant le repas.
- +Après administration orale, l'absorption de périndopril est rapide et le pic de concentration est atteint en 1 heure. Le périndopril est une prodrogue. La biodisponibilité du périndoprilate, le métabolite actif, est de 27%. Le pic de concentration plasmatique du périndoprilate est atteint en 3 à 4 heures.
- +La prise d'aliments diminuant la transformation en périndoprilate, et donc sa biodisponibilité, le périndopril ne doit être administré par voie orale, en une prise quotidienne unique le matin avant le repas.
-Aucune étude de sécurité préclinique de l'association médicamenteuse fixe n'a été effectuée.
- +Aucune étude préclinique n'a été réalisée avec l'association à dose fixe périndopril-amlodipine.
-Les études au long terme chez le rat et la souris n'ont donné aucune indication concernant un potentiel cancérigène du périndopril.
-Perindopril n'est pas mutagène.
-De fortes doses de périndopril provoquent chez l'animal en gestation une mortalité élevée et une dystotie. La prise de poids des jeunes animaux était ralentie, de plus on a observé des dommages rénaux et une mortalité post-natale.
-Chez le rat, le périndopril passe dans le lait maternel, il ne doit pas être pris par des mères qui allaitent.
- +Dans les études de toxicité chronique avec administration orale de périndopril (chez le rat et le singe), l'organe cible est le rein, où des dommages réversibles ont été observés.
- +Aucun effet mutagène n'a été observé lors des études in vitro ou in vivo. Aucune cancérogénicité n'a été observée lors des études à long terme chez le rat et la souris.
- +Les études de toxicité sur la reproduction (chez le rat, la souris, le lapin et le singe) n'ont montré aucun signe d'embryotoxicité ou de tératogénicité. Cependant, il a été montré que les IEC, par effet de classe, ont induit des effets indésirables sur les derniers stades de développement du fœtus, conduisant à une mort fœtale et des effets congénitaux chez les rongeurs et les lapins: des lésions rénales et une augmentation de la mortalité péri- et post-natale ont été observées. De plus il a été démontré chez le rat la présence de périndopril dans le lait maternel. La fertilité n'a pas été altérée chez le rat, tant chez les mâles que chez les femelles.
-Carcinogénicité
-Chez le rat et la souris, l'administration pendant deux ans d'amlodipine avec la nourriture à des concentrations fournissant 0,5, 1,25 et 2,5 mg/kg/jour n'a révélé aucun signe de carcinogénicité. La dose supérieure (qui correspondait chez la souris à la dose maximale recommandée en clinique de 10 mg après extrapolation en mg/m² et chez le rat au double de cette dose) était proche de la dose maximale tolérée chez la souris, mais pas chez le rat.
-Mutagénicité
-Des études de mutagénicité n'ont pas révélé d'effets liés au principe actif ni au niveau génétique ni au niveau chromosomique.
-Troubles de la fertilité
-Un traitement par l'amlodipine (pendant 64 jours avant l'accouplement chez les mâles et pendant 14 jours avant l'accouplement chez les femelles) à des doses allant jusqu'à 10 mg/kg/jour (soit 8 fois la dose humaine maximale recommandée de 10 mg après extrapolation en mg/m²) n'a eu aucune influence sur la fertilité des rats.
-* Basé sur un poids corporel du patient de 50 kg.
- +Dans des études avec administrations réitérées par oral d'amlodipine à des rats et des chiens, la toxicité s'est portée sur le cœur, les reins et les glandes surrénales, aux doses testées les plus élevées.
- +Les études de mutagénicité n'ont révélé aucun effet lié au médicament que ce soit au niveau génique ou chromosomique.
- +Des rats et les souris traités par de l'amlodipine dans l'alimentation pendant deux ans, à des concentrations calculées pour délivrer des posologies quotidiennes de 0.5, 1.25 et 2.5 mg/kg/jour n'ont montré aucun signe de cancérogénicité. La dose maximale (pour la souris, similaire et pour les rats deux fois* la dose clinique maximale recommandée de 10 mg sur une base en mg/m2) a été proche de la dose maximale tolérée pour la souris mais pas pour le rat.
- +Il n'a été observé aucun effet sur la fécondité des rats traités par l'amlodipine (mâles pendant 64 jours, et femelles pendant 14 jours avant l'accouplement) à des doses ayant atteint 10 mg/kg/jour (huit fois* la dose maximale recommandée chez l'homme de 10 mg sur une base en mg/m2). Dans une autre étude menée chez le rat, dans laquelle les rats mâles ont été traités par du bésilate d'amlodipine pendant 30 jours à une dose comparable à la dose administrée chez les hommes basée en mg/kg, il a été observé une diminution des taux plasmatique de l'hormone folliculo-stimulante et de la testostérone ainsi qu'une diminution de la densité du sperme et du nombre de spermatides matures et de cellules de Sertoli.
- +Des études de reprotoxicité chez le rat et la souris ont montré un retard de la mise bas, une durée prolongée du travail et une diminution de la survie de la descendance à des doses environ 50 fois* supérieures à la dose maximale recommandée chez l'homme sur une base en mg/kg.
- +* Sur la base d'un patient pesant 50 kg.
-Septembre 2015.
-Numéro de version interne: 3.2
- +Octobre 2016.
- +Numéro de version interne: 4.1
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