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Accueil - Information professionnelle sur Buprenorphin-Mepha 0.4 mg - Changements - 30.07.2024
30 Changements de l'information professionelle Buprenorphin-Mepha 0.4 mg
  • -Administration moins fréquente qu'une fois par jour
  • -Chez les patients dont la posologie doit être supervisée, l'administration moins fréquente qu'une fois par jour peut faciliter le traitement, ce qui ne pose pas de problème même en présence d'une dépendance concomitante à des substances activant le SNC, y compris l'alcool.
  • +Fréquence d'administration inférieure à une fois par jour
  • +Une fréquence d'administration inférieure à une fois par jour peut faciliter le traitement chez les patients dont la posologie doit être supervisée et ne pose pas de problème même en présence d'une dépendance concomitante à des substances activant le SNC, y compris l'alcool.
  • -Les cliniciens doivent, surtout au début du traitement, prendre en considération le risque d'abus et de mauvais usage (par ex. administration iv).
  • +Les cliniciens doivent, surtout au début du traitement, prendre en considération le risque d'abus et de mauvais usage (p.ex. administration iv).
  • -Plusieurs décès causés par une dépression respiratoire ont été observés, en particulier lors de l'utilisation de la buprénorphine en association à des benzodiazépines (voir «Interactions»), lors de l'administration de doses élevées de buprénorphine à des personnes non dépendantes aux opioïdes, qui ne tolèrent pas les effets des opioïdes, ou lorsque la buprénorphine n'a pas été utilisée conformément à l'information professionnelle. Des décès ont également été rapportés dans le cadre d'une utilisation concomitante de buprénorphine et d'autres substances ayant un effet dépresseur sur le système nerveux central (voir «Interactions»).
  • -La buprénorphine peut entraîner une dépression respiratoire sévère potentiellement mortelle chez les enfants en cas de prise accidentelle. Il faut protéger les enfants d'une exposition à la buprénorphine.
  • -Il faut demander aux patients de conserver l'emballage blister dans un lieu sûr, de ne jamais ouvrir l'emballage blister à l'avance, de conserver l'emballage blister hors de portée des enfants et d'autres membres du ménage et de ne jamais prendre ce médicament devant des enfants.
  • -Il faut immédiatement contacter le service des urgences en cas de prise accidentelle ou lorsqu'une prise est suspectée.
  • +Comme avec tous les opioïdes, il existe un risque de dépression respiratoire cliniquement significative liée à l'utilisation de la buprénorphine, notamment en cas d'utilisation concomitante de la buprénorphine avec les benzodiazépines (voir rubrique «Interactions») ou si la buprénorphine n'a pas été utilisée conformément à l'information professionnelle.
  • +La dépression respiratoire, si elle n'est pas reconnue et traitée immédiatement, peut entraîner un arrêt respiratoire et la mort.
  • +Le traitement d'une dépression respiratoire comprend, selon l'état clinique du patient, une surveillance étroite, des mesures de soutien et l'administration d'antagonistes opioïdes. Une dépression respiratoire grave, potentiellement mortelle ou fatale, peut survenir à tout moment du traitement, le risque étant maximal au début du traitement ou après une augmentation de la dose.
  • -Les patients présentant des facteurs de risque physiques et/ou pharmacologiques doivent être surveillés et une réduction de la dose doit être envisagée.
  • -Les opioïdes peuvent provoquer des troubles respiratoires du sommeil, notamment l'apnée centrale du sommeil (ACS) et l'hypoxémie du sommeil. Le risque d'ACS augmente en fonction de la dose d'opioïdes utilisée. Chez les patients présentant une ACS, une diminution de la dose totale d'opioïdes doit être envisagée.
  • +Les opioïdes peuvent provoquer des troubles respiratoires liés au sommeil, notamment l'apnée centrale du sommeil (ACS) et l'hypoxémie du sommeil. L'utilisation d'opioïdes s'accompagne d'une augmentation dose-dépendante du risque d'apnée centrale du sommeil. Chez les patients présentant une apnée centrale du sommeil, une réduction de la dose totale d'opioïdes doit être envisagée.
  • +Utilisation concomitante avec des substances à effet dépresseur central
  • +L'utilisation concomitante d'opioïdes avec des benzodiazépines ou d'autres substances à effet dépresseur central peut entraîner une forte sédation, une dépression respiratoire, un coma et la mort. En raison de ces risques, les opioïdes et les benzodiazépines ou autres médicaments à effet dépresseur central doivent uniquement être administrés de manière concomitante aux patients chez qui aucune autre option thérapeutique n'est envisageable. Si Buprenorphin-Mepha est prescrit en association avec des benzodiazépines ou d'autres médicaments à effet dépresseur central, il convient de choisir la dose efficace la plus faible et une durée minimale d'utilisation concomitante. Les patients doivent être étroitement surveillés afin de détecter tout signe ou symptôme de dépression respiratoire et de sédation (voir la rubrique «Interactions»).
  • -Dépendance
  • -La buprénorphine est un agoniste partiel des récepteurs opioïdes µ. Un traitement sur le long terme entraîne une dépendance de type opioïde, mais d'un niveau plus faible que les agonistes entiers des récepteurs μ (par ex. la morphine). Le syndrome de sevrage est plus léger qu'avec les agonistes entiers et peut survenir de façon retardée.
  • +Exposition accidentelle
  • +Les patients et le personnel soignant doivent être informés que Buprenorphin-Mepha contient une quantité de substance active qui peut être mortelle, en particulier pour les enfants. Les patients et le personnel soignant doivent être informés de la nécessité de conserver toutes les doses hors de la portée des enfants et d'éliminer correctement les doses entamées ou non utilisées.
  • +Dépendance aux médicaments et potentiel d'abus
  • +Buprenorphin-Mepha est destiné au traitement de substitution de la dépendance aux opioïdes. L'utilisation répétée d'opioïdes peut entraîner le développement d'une tolérance et d'une dépendance physique et/ou psychique. Une dépendance iatrogène peut apparaître après l'utilisation d'opioïdes. La buprénorphine, comme d'autres opioïdes, peut faire l'objet d'un abus et tous les patients recevant des opioïdes doivent être surveillés afin de détecter tout signe d'abus ou de dépendance. Les patients présentant un risque accru d'abus d'opioïdes peuvent néanmoins être traités de manière appropriée par des opioïdes, mais ces patients doivent faire l'objet d'une surveillance supplémentaire afin de détecter tout signe de mésusage, d'abus ou de dépendance. L'utilisation répétée de Buprenorphin-Mepha peut entraîner un trouble de l'usage des opioïdes. L'abus ou le mésusage intentionnel de la buprénorphine peut entraîner un surdosage et/ou la mort. Le risque de développer un trouble lié à l'utilisation d'opioïdes est plus élevé chez les patients ayant des antécédents de troubles liés à l'utilisation de substances (y compris un trouble lié à l'utilisation d'alcool), personnels ou familiaux (parents ou frères et sœurs), chez les fumeurs ou chez les patients ayant des antécédents d'autres maladies psychiatriques (p.ex. dépression majeure, troubles anxieux et troubles de la personnalité). Les patients doivent être surveillés afin de détecter tout signe de comportement addictif (drug-seeking behavior) qui s'intensifie (p.ex. demande trop précoce d'ordonnances de renouvellement). Cela inclut le contrôle de l'utilisation concomitante d'opioïdes avec des médicaments psychoactifs (comme les benzodiazépines). Chez les patients présentant des signes et des symptômes de troubles liés à l'utilisation d'opioïdes qui s'aggravent, il convient d'envisager de consulter un spécialiste des addictions.
  • +Syndrome de sevrage
  • +La buprénorphine est un agoniste partiel des récepteurs opioïdes µ. Un traitement sur le long terme entraîne une dépendance de type opioïde, mais d'un niveau plus faible que les agonistes entiers des récepteurs μ (p.ex. la morphine). Le syndrome de sevrage est plus léger qu'avec les agonistes entiers et peut survenir de façon retardée.
  • +Syndrome de sevrage néonatal aux opioïdes
  • +L'utilisation prolongée de Buprenorphin-Mepha pendant la grossesse peut entraîner un syndrome de sevrage néonatal aux opioïdes, potentiellement mortel s'il n'est pas détecté et traité à temps. Le traitement doit être effectué selon des protocoles développés par des experts en néonatologie. Si l'utilisation d'opioïdes chez une femme enceinte est nécessaire pendant une période prolongée, veuillez informer la patiente du risque de syndrome de sevrage néonatal aux opioïdes et assurez-vous que le traitement approprié est disponible, le cas échéant.
  • +Insuffisance surrénale
  • +Les opioïdes peuvent provoquer une insuffisance surrénale réversible, qui nécessite une surveillance et un traitement de substitution par glucocorticoïdes. Les symptômes de l'insuffisance surrénale peuvent notamment inclure: nausées, vomissements, perte d'appétit, fatigue, faiblesse, vertiges ou hypotension.
  • +Diminution du taux des hormones sexuelles et augmentation du taux de prolactine
  • +L'utilisation à long terme d'opioïdes peut être associée à une baisse du taux d'hormones sexuelles et à une augmentation du taux de prolactine. Les symptômes incluent une baisse de la libido, l'impuissance ou l'aménorrhée.
  • +
  • -La buprénorphine peut provoquer une hypotension orthostatique chez les patients traités en ambulatoire.
  • -La buprénorphine peut entraîner une élévation de la pression du liquide céphalo-rachidien, ce qui peut provoquer des convulsions. Les opioïdes sont donc à utiliser avec précaution chez les patients présentant des antécédents de blessures à la tête, de lésions intracrâniennes, d'autres états avec une élévation potentielle de la pression du liquide céphalo-rachidien ou de convulsions.
  • -Un myosis ainsi que des altérations de l'état de conscience et de la perception de la douleur causé par des opioïdeen tant que symptômes d'une maladie peuvent porter atteinte à l'évaluation du patient et masquer le diagnostic ou l'évolution clinique d'une maladie concomitante.
  • -La buprénorphine doit être utilisée avec précaution chez les patients ayant un myxœdème, une hypothyroïdie ou une insuffisance rénale (par ex. maladie d'Addison).
  • -La prudence est de mise lorsque la buprénorphine est utilisée chez les patients présentant une hypotension, une hypertrophie de la prostate ou une sténose urétrale.
  • -Il a été démontré que la buprénorphine augmente la pression dans le canal biliaire et qu'elle doit être utilisée avec précaution chez les patients présentant une dysfonction des voies biliaires.
  • -La prudence est de mise lors de l'administration de buprénorphine à des patients âgés ou affaiblis.
  • -La buprénorphine doit être utilisée avec précaution en cas de psychose toxique.
  • +·La buprénorphine peut provoquer une hypotension orthostatique chez les patients traités en ambulatoire.
  • +·La buprénorphine peut entraîner une élévation de la pression du liquide céphalo-rachidien, ce qui peut provoquer des convulsions. Les opioïdes sont donc à utiliser avec précaution chez les patients présentant des antécédents de blessures à la tête, de lésions intracrâniennes, d'autres états avec une élévation potentielle de la pression du liquide céphalo-rachidien ou de convulsions.
  • +·Un myosis ainsi que des altérations de l'état de conscience et de la perception de la douleur causés par des opioïdes en tant que symptômes d'une maladie peuvent porter atteinte à l'évaluation du patient et masquer le diagnostic ou l'évolution clinique d'une maladie concomitante.
  • +·La buprénorphine doit être utilisée avec précaution chez les patients ayant un myxœdème, une hypothyroïdie ou une insuffisance rénale (par ex. maladie d'Addison).
  • +·La prudence est de mise lorsque la buprénorphine est utilisée chez les patients présentant une hypotension, une hypertrophie de la prostate ou une sténose urétrale.
  • +·Il a été démontré que la buprénorphine augmente la pression dans le canal biliaire et qu'elle doit être utilisée avec précaution chez les patients présentant une dysfonction des voies biliaires.
  • +·La prudence est de mise lors de l'administration de buprénorphine à des patients âgés ou affaiblis.
  • +·La buprénorphine doit être utilisée avec précaution en cas de psychose toxique.
  • -L'association de dépresseurs du système nerveux central et de la buprénorphine renforce la dépression du système nerveux central. L'altération de la vigilance peut rendre dangereuses la conduite de véhicules et l'utilisation de machines.
  • -Des exemples de dépresseurs du système nerveux central sont: les autres dérivés opioïdes (p. ex la méthadone, les analgésiques et les antitussifs), certains antidépresseurs, les sédatifs antagonistes du récepteur H1, les barbituriques, les anxiolytiques, les neuroleptiques, la clonidine et les substances apparentées.
  • +L'utilisation concomitante d'autres médicaments agissant sur le SNC, tels que d'autres opioïdes, des sédatifs et hypnotiques, des anesthésiques généraux, des phénothiazines, des tranquillisants, des relaxants pour les muscles squelettiques, des antihistaminiques sédatifs, des gabapentinoïdes (gabapentine et prégabaline) et l'alcool, peut produire des effets dépresseurs additifs, entraînant une dépression respiratoire, une hypotension, une sédation sévère ou un coma, parfois fatals (voir la rubrique «Mises en garde et précautions»).
  • -Les médicaments sérotoninergiques, tels que les inhibiteurs de la MAO, les inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS), les inhibiteurs de la recapture de la sérotonine et de la noradrénaline (IRSN) ou les antidépresseurs tricycliques, car le risque de syndrome sérotoninergique, qui est une maladie potentiellement mortelle, est accru (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +Un syndrome sérotoninergique peut survenir en cas d'administration concomitante d'opioïdes avec des inhibiteurs de la monoamine oxydase (inhibiteurs de la MAO) et des agents sérotoninergiques, tels que les inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS), les inhibiteurs de la recapture de la sérotonine et de la noradrénaline (IRSN) et les antidépresseurs tricycliques (ATC). Les symptômes d'un syndrome sérotoninergique peuvent inclure des modifications de l'état de conscience, une instabilité autonome, des anomalies neuromusculaires et/ou des symptômes gastro-intestinaux voir la rubrique «Mises en garde et précautions»).
  • -Troisième trimestre
  • -En fin de grossesse, la buprénorphine peut provoquer une dépression respiratoire chez le nouveau-né, même après une courte durée d'utilisation. Une utilisation à long terme de la buprénorphine pendant les trois derniers mois de grossesse peut entraîner des symptômes de sevrage chez le nouveau-né (par ex. hypertension, tremblement néonatal, agitation néonatale, myoclonie ou convulsions). Le syndrome apparaît en général avec un décalage de quelques heures à plusieurs jours après la naissance.
  • +En fin de grossesse, la buprénorphine peut provoquer une dépression respiratoire chez le nouveau-né, même après une courte durée d'utilisation.
  • +L'utilisation prolongée de Buprenorphin-Mepha pendant la grossesse peut entraîner un syndrome de sevrage néonatal aux opioïdes, potentiellement mortel s'il n'est pas détecté et traité à temps. Le traitement doit être effectué selon des protocoles développés par des experts en néonatologie. Si l'utilisation d'opioïdes chez une femme enceinte est nécessaire pendant une période prolongée, veuillez informer la patiente du risque de syndrome de sevrage néonatal aux opioïdes et assurez-vous que le traitement approprié est disponible, le cas échéant (voir également la rubrique «Mises en garde et précautions»). Le syndrome apparaît en général avec un décalage de quelques heures à plusieurs jours après la naissance.
  • -Les effets indésirables observés dans les études cliniques pivots sont énumérés dans le tableau 1. Ces effets sont présentés par classes de systèmes d'organes et par fréquence: très fréquents (≥1/10), fréquents (<1/10, ≥1/100) et occasionnels (<1/100, ≥1/1'000).
  • -
  • +Les effets indésirables observés dans les études cliniques pivots sont énumérés dans le tableau 1. Ces effets sont présentés par classes de systèmes d'organes et par fréquence: très fréquents (≥1/10), fréquents (<1/10, ≥1/100), occasionnels (<1/100, ≥1/1'000) et inconnue (fréquence non estimable sur la base des données disponibles).
  • +Frequence inconnue: Dépendance
  • +Frequence inconnue: Dépression respiratoire, syndrome d'apnée centrale du sommeil
  • +
  • -·Des dépressions respiratoires sont survenues. Des cas de décès à la suite d'une dépression respiratoire ont été décrits, en particulier lors de l'utilisation de buprénorphine en association à des benzodiazépines (voir «Interactions») ou lorsque la buprénorphine n'était pas utilisée conformément à l'information professionnelle. Des cas de décès ont également été rapportés dans le cadre de l'utilisation de buprénorphine en association à d'autres substances ayant un effet dépresseur central, comme par ex. l'alcool ou d'autres opioïdes (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -·Des réactions d'hypersensibilité, telles qu'un angio-œdème ou un choc anaphylactique, ont été rapportées (voir «Contre-indications»).
  • -·Une élévation des transaminases, une hépatite, une hépatite aiguë, une hépatite cytolytique, un ictère, un syndrome hépato-rénal, une encéphalopathie hépatique et une nécrose hépatique sont survenues (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +·Des dépressions respiratoires sont survenues. Des cas de décès à la suite d'une dépression respiratoire ont été décrits, en particulier lors de l'utilisation de buprénorphine en association à des benzodiazépines (voir «Interactions») ou lorsque la buprénorphine n'était pas utilisée conformément à l'information professionnelle. Des cas de décès ont également été rapportés dans le cadre de l'utilisation de buprénorphine en association à d'autres substances ayant un effet dépresseur central, p.ex. l'alcool ou d'autres opioïdes (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +·Des réactions d'hypersensibilité, telles qu'un angioœdème ou un choc anaphylactique, ont été rapportées (voir «Contre-indications»).
  • +·Une élévation des transaminases, une hépatite, une hépatite aiguë, une hépatite cytolytique, un ictère, un syndrome hépato-rénal, une encéphalopathie hépatique et une nécrose hépatique sont survenus (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +Une leucoencéphalopathie toxique a été observée en cas de surdosage d'opioïdes.
  • +
  • -Les études de pharmacologie clinique qui ont évalué les effets agonistes opioïdes de la buprénorphine administrée par voie sublinguale en comparaison avec ceux d'agonistes complets tels que la méthadone et l'hydromorphone montrent que la buprénorphine administré par voie sublinguale exerce des effets agonistes opioïdes typiques, limités par un effet plafond.
  • +Les études de pharmacologie clinique qui ont évalué les effets agonistes opioïdes de la buprénorphine administrée par voie sublinguale en comparaison avec ceux d'agonistes complets tels que la méthadone et l'hydromorphone montrent que la buprénorphine administrée par voie sublinguale exerce des effets agonistes opioïdes typiques, limités par un effet plafond.
  • -L'élimination de la buprénorphine suit une courbe bi- ou tri-exponentielle avec une phase terminale d'élimination longue, qui s'étend sur 20 à 25 heures. Cette cinétique est en partie le résultat d'une réabsorption (cycle entéro-hépatique) de la buprénorphine après hydrolyse des conjugués dans l'intestin, et en partie la conséquence de son caractère fortement liposoluble. Cela conduit à une importante accumulation du métabolite primaire (14-N-désalkyl-buprénorphine).
  • +L'élimination de la buprénorphine suit une courbe bi- ou triexponentielle avec une phase terminale d'élimination longue, qui s'étend sur 20 à 25 heures. Cette cinétique est en partie le résultat d'une réabsorption (cycle entéro-hépatique) de la buprénorphine après hydrolyse des conjugués dans l'intestin, et en partie la conséquence de son caractère fortement liposoluble. Cela conduit à une importante accumulation du métabolite primaire (14-N-désalkyl-buprénorphine).
  • -Dans une étude péri- et postnatale, des rats ont reçu quotidiennement 0,05, 0,5 ou 5 mg/kg de buprénorphine par voie intramusculaire. Une diminution dose-dépendante du taux de survie des jeunes animaux (contrôles 88%, dose faible 74%, dose moyenne 71% et dose élevée 37%) a été observée. Aucun effet indésirable n'est survenu chez les animaux traités par la plus faible dose. A la dose la plus élevée, correspondant à environ 100 fois la dose thérapeutique, la durée de la gestation a été prolongée et la prise de poids des mères après la mise-bas a été plus faible que d'habitude.
  • +Dans une étude péri- et postnatale, des rats ont reçu quotidiennement 0,05, 0,5 ou 5 mg/kg de buprénorphine par voie intramusculaire. Une diminution dose-dépendante du taux de survie des jeunes animaux (contrôles 88%, dose faible 74%, dose moyenne 71% et dose élevée 37%) a été observée. Aucun effet indésirable n'est survenu chez les animaux traités par la plus faible dose. À la dose la plus élevée, correspondant à environ 100 fois la dose thérapeutique, la durée de la gestation a été prolongée et la prise de poids des mères après la mise-bas a été plus faible que d'habitude.
  • -Mars 2021
  • -Numéro de version interne: 3.1
  • +Février 2024
  • +Numéro de version interne: 5.1
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