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Accueil - Information professionnelle sur Moventig 12.5 mg - Changements - 16.03.2018
16 Changements de l'information professionelle Moventig 12.5 mg
  • -La dose initiale pour les patients traités par des inhibiteurs modérés du CYP3A4 (p. ex. diltiazem, vérapamil) est de 12,5 mg une fois par jour. La dose peut être augmentée à 25 mg si la dose de 12,5 mg est bien tolérée par le patient (voir «Interactions»).
  • -Aucun ajustement posologique n’est nécessaire chez les patients traités par des inhibiteurs faibles du CYP3A4 (p. ex. alprazolam, atorvastatine) (voir «Interactions»).
  • +La dose initiale pour les patients traités par des inhibiteurs modérés du CYP3A4 (p.ex. diltiazem, vérapamil) est de 12,5 mg une fois par jour. La dose peut être augmentée à 25 mg si la dose de 12,5 mg est bien tolérée par le patient (voir «Interactions»).
  • +Aucun ajustement posologique n’est nécessaire chez les patients traités par des inhibiteurs faibles du CYP3A4 (p.ex. alprazolam, atorvastatine) (voir «Interactions»).
  • +Pour les patients qui ne sont pas capables d’avaler le comprimé en entier, le comprimé de Moventig peut être écrasé en une poudre et mélangé dans un demi-verre d’eau (120 ml) et bu immédiatement. Le verre doit être rincé avec un autre demi-verre d’eau (120 ml) et le contenu doit être bu. Le mélange peut également être administré via une sonde naso-gastrique (CH8 ou plus). Il est important de rincer la sonde naso-gastrique avec de l’eau après administration du mélange.
  • +
  • -L’utilisation concomitante d’inhibiteurs puissants du CYP3A4 (p. ex. clarithromycine, kétoconazole) est contre-indiquée car elle peut accroître significativement l’exposition au naloxégol (voir «Interactions»).
  • +L’utilisation concomitante d’inhibiteurs puissants du CYP3A4 (p.ex. clarithromycine, kétoconazole ou itraconazole; les inhibiteurs de protéase tels que le ritonavir, l'indinavir ou le saquinavir) est contre-indiquée car elle peut accroître significativement l’exposition au naloxégol (voir «Interactions»).
  • -Après la mise sur le marché d’antagonistes des récepteurs µ-opioïdes d’action périphérique, de rares cas de perforation gastro-intestinale ont été rapportés chez des patients atteints de pathologies à un stade avancé. La prudence est recommandée lors de l’utilisation du naloxégol chez des patients atteints de toute affection susceptible d’altérer l’intégrité de la paroi gastro-intestinale (p. ex. ulcère gastroduodénal sévère, maladie de Crohn, diverticulite active ou récidivante, tumeurs infiltrantes du tractus gastro-intestinal ou métastases péritonéales). Le profil bénéfice-risque global pour chaque patient doit être pris en compte. Il est conseillé aux patients d’arrêter le traitement par le naloxégol et d’informer rapidement leur médecin s’ils développent des douleurs abdominales graves ou persistantes inhabituelles.
  • +Après la mise sur le marché d’antagonistes des récepteurs µ-opioïdes d’action périphérique, de rares cas de perforation gastro-intestinale ont été rapportés chez des patients atteints de pathologies à un stade avancé. La prudence est recommandée lors de l’utilisation du naloxégol chez des patients atteints de toute affection susceptible d’altérer l’intégrité de la paroi gastro-intestinale (p.ex. ulcère gastroduodénal sévère, maladie de Crohn, diverticulite active ou récidivante, tumeurs infiltrantes du tractus gastro-intestinal ou métastases péritonéales). Le profil bénéfice-risque global pour chaque patient doit être pris en compte. Il est conseillé aux patients d’arrêter le traitement par le naloxégol et d’informer rapidement leur médecin s’ils développent des douleurs abdominales graves ou persistantes inhabituelles.
  • -Le naloxégol est un antagoniste des récepteurs μ-opioïdes d’action périphérique ayant un passage limité dans le système nerveux central (SNC). L’intégrité de la barrière hémato-encéphalique est importante pour minimiser le passage du naloxégol dans le SNC. Les patients qui présentent des altérations cliniquement importantes de la barrière hémato-encéphalique (p. ex. tumeurs cérébrales primitives, métastases ou autres pathologies inflammatoires au niveau du SNC, sclérose en plaques active, lésion cérébrale récente, maladie d’Alzheimer à un stade avancé) n’ont pas été inclus dans les études cliniques et pourraient être exposés à un risque de passage du naloxégol dans le SNC. Le naloxégol doit être prescrit avec prudence chez ces patients en tenant compte du rapport bénéfice-risque individuel et en surveillant les effets potentiels sur le SNC, tels que les symptômes de sevrage aux opioïdes ou la diminution de l’effet analgésique. En présence de signes d’une perte de l’effet analgésique ou d’un syndrome de sevrage aux opioïdes, les patients doivent être informés qu’ils doivent arrêter Moventig et contacter leur médecin.
  • +Le naloxégol est un antagoniste des récepteurs μ-opioïdes d’action périphérique ayant un passage limité dans le système nerveux central (SNC). L’intégrité de la barrière hémato-encéphalique est importante pour minimiser le passage du naloxégol dans le SNC. Les patients qui présentent des altérations cliniquement importantes de la barrière hémato-encéphalique (p.ex. tumeurs cérébrales primitives, métastases ou autres pathologies inflammatoires au niveau du SNC, sclérose en plaques active, maladie d’Alzheimer à un stade avancé) n’ont pas été inclus dans les études cliniques et pourraient être exposés à un risque de passage du naloxégol dans le SNC. Le naloxégol doit être prescrit avec prudence chez ces patients en tenant compte du rapport bénéfice-risque individuel et en surveillant les effets potentiels sur le SNC, tels que les symptômes de sevrage aux opioïdes ou la diminution de l’effet analgésique. En présence de signes d’une perte de l’effet analgésique ou d’un syndrome de sevrage aux opioïdes, les patients doivent être informés qu’ils doivent arrêter Moventig et contacter leur médecin.
  • -Les patients traités par la méthadone comme traitement analgésique principal ont présenté dans le cadre des essais cliniques une fréquence d’effets indésirables gastro-intestinaux (tels que douleurs abdominales et diarrhée) plus élevée que les patients non traités par la méthadone. Chez les patients traités par la méthadone pour leur pathologie douloureuse, des symptômes évocateurs d’un sevrage aux opioïdes sous traitement par naloxégol 25 mg ont été observés dans quelques cas (voir «Posologie/Mode d’emploi»).
  • +Les patients traités par la méthadone comme traitement analgésique principal ont présenté dans le cadre des essais cliniques une fréquence d’effets indésirables gastro-intestinaux (tels que douleurs abdominales et diarrhée) plus élevée que les patients non traités par la méthadone. Chez les patients traités par la méthadone pour leur pathologie douloureuse, des symptômes évocateurs d’un sevrage aux opioïdes sous traitement par naloxégol 25 mg ont été observés dans quelques cas (voir «Posologie/Mode d’emploi»). Les patients prenant de la méthadone comme traitement de dépendance aux opioïdes n'ont pas été inclus dans le programme de développement clinique et l'utilisation de naloxégol chez ces patients doit être envisagée avec prudence.
  • +Syndrome de sevrage aux opioïdes
  • +Des cas de syndrome de sevrage aux opioïdes ont été signalés dans le programme clinique du naloxégol (DSM-5). Le syndrome de sevrage aux opioïdes est un ensemble d’au moins trois des signes ou symptômes suivants : humeur dysphorique, nausées ou vomissements, douleurs musculaires, larmoiement ou rhinorrhée, dilatation pupillaire ou piloérection ou transpiration, diarrhée, bâillement, fièvre ou insomnie. Le syndrome de sevrage aux opioïdes se développe généralement dans les minutes à plusieurs jours suivant l'administration d'un antagoniste des opioïdes. Si un syndrome de sevrage aux opioïdes est suspecté, le patient doit arrêter de prendre Moventig et contacter son médecin.
  • -Moventig n’est pas recommandé chez les patients traités par des inducteurs puissants du CYP3A4 (p. ex. carbamazépine, rifampicine, millepertuis).
  • +Moventig n’est pas recommandé chez les patients traités par des inducteurs puissants du CYP3A4 (p.ex. carbamazépine, rifampicine, millepertuis).
  • -Aux doses thérapeutiques, la plupart des opioïdes (p. ex. morphine, péthidine, méthadone) sont excrétés dans le lait maternel en quantités minimales. Compte-tenu de l’immaturité de la barrière hémato-encéphalique chez les nouveau-nés, il existe un risque que le naloxégol provoque un sevrage aux opioïdes chez le nourrisson allaité dont la mère reçoit un agoniste des récepteurs opioïdes. C’est pourquoi le médicament nest pas recommandé chez les mères qui allaitent un nourrisson de moins de 6 mois.
  • -Chez les mères dont le nourrisson allaité est âgé de plus de 6 mois, il faudra décider de poursuivre ou d’interrompre l’allaitement ou l’utilisation du naloxégol en tenant compte du bénéfice de l’allaitement pour l’enfant et du bénéfice du naloxégol pour la mère.
  • +Aux doses thérapeutiques, la plupart des opioïdes (p.ex. morphine, péthidine, méthadone) sont excrétés dans le lait maternel en quantités minimales. Compte-tenu de l’immaturité de la barrière hémato-encéphalique chez les nouveau-nés, il existe un risque que le naloxégol provoque un sevrage aux opioïdes chez le nourrisson allaité dont la mère reçoit un agoniste des récepteurs opioïdes. L'utilisation chez les femmes qui allaitent n'est donc pas recommandée.
  • +Le comprimé de naloxégol, lorsqu’il est écrasé et mélangé dans de l'eau, administré par voie orale ou par une sonde naso-gastrique dans l'estomac, présente une biodisponibilité comparable à celle du comprimé entier, avec un tmax médian respectivement de 0,75 et 1,50 heures (compris entre 0,23 et 5,02 heures) pour le comprimé écrasé administré par voie orale et pour le comprimé écrasé administré par une sonde naso-gastrique.
  • -Septembre 2014.
  • +Janvier 2018.
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