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Accueil - Information professionnelle sur Cyramza 100mg/10ml - Changements - 03.09.2021
112 Changements de l'information professionelle Cyramza 100mg/10ml
  • -Cyramza, en association avec la chimiothérapie FOLFIRI (irinotécan, acide folinique et 5-fluorouracile), est indiqué dans le traitement des patients adultes atteints d'un cancer colorectal métastatique (CCRM) dont la maladie a progressé pendant ou après un traitement par le bévacizumab, l'oxaliplatine et une fluoropyrimidine.
  • +Cyramza, en association avec la chimiothérapie FOLFIRI (irinotécan, acide folinique et
  • +5-fluorouracile), est indiqué dans le traitement des patients adultes atteints d'un cancer colorectal métastatique (CCRM) dont la maladie a progressé pendant ou après un traitement par le bévacizumab, l'oxaliplatine et une fluoropyrimidine.
  • -Cyramza en monothérapie est indiqué dans le traitement des patients adultes atteints d'un carcinome hépatocellulaire dont lalpha-fœtoprotéine (AFP) est ≥400 ng/ml, après un traitement par le sorafénib.
  • +Cyramza en monothérapie est indiqué dans le traitement des patients adultes atteints d'un carcinome hépatocellulaire dont l'alpha-fœtoprotéine (AFP) est ≥400 ng/ml, après un traitement par le sorafénib.
  • +Afin d'assurer la traçabilité des médicaments produits par génie génétique, il est recommandé de documenter le nom commercial et le numéro de lot lors de chaque traitement.
  • +
  • -Aspartate aminotransférase (ASAT)/alanine aminotransférase (ALAT) Absence de métastases hépatiques: ALAT/ASAT ≤3 x LSN Métastases hépatiques: ALAT/ASAT ≤5 x LSN
  • +Aspartate aminotransférase (ASAT) / alanine aminotransférase (ALAT) Absence de métastases hépatiques: ALAT / ASAT ≤3 x LSN Métastases hépatiques: ALAT / ASAT ≤5 x LSN
  • -La dose recommandée de ramucirumab est de 8 mg/kg toutes les 2 semaines, administrée en perfusion intraveineuse avant l'administration de FOLFIRI. Avant la chimiothérapie, les patients doivent avoir une numération globulaire complète. Veuillez tenir compte des informations professionnelles des divers composants de FOLFIRI en ce qui concerne les exigences pour la prémédication et les recommandations posologiques/le mode d'emploi.
  • +La dose recommandée de ramucirumab est de 8 mg/kg toutes les 2 semaines, administrée en perfusion intraveineuse avant l'administration de FOLFIRI. Avant la chimiothérapie, les patients doivent avoir une numération globulaire complète. Veuillez tenir compte des informations professionnelles des divers composants de FOLFIRI en ce qui concerne les exigences pour la prémédication et les recommandations posologiques / le mode d'emploi.
  • -Ajustement de la posologie / titration
  • -Effets liés à la perfusion
  • -Le débit de la perfusion de ramucirumab doit être réduit de moitié pour toute la durée de la perfusion et l'ensemble des perfusions ultérieures si le patient manifeste un effet lié à la perfusion de grade 1 ou 2. Le traitement par le ramucirumab doit être arrêté immédiatement et définitivement en cas d'effet lié à la perfusion de grade 3 ou 4 (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -Hypertension
  • -La tension artérielle du patient doit être surveillée avant chaque administration de ramucirumab et être traitée selon le tableau clinique. Le traitement par le ramucirumab doit être interrompu temporairement en cas d'hypertension sévère jusqu'au contrôle par une prise en charge médicale appropriée. Le traitement par le ramucirumab doit être arrêté définitivement en cas d'hypertension grave sur le plan médical ne pouvant être contrôlée en toute sécurité par des antihypertenseurs (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -Protéinurie
  • -Une surveillance de l'apparition ou de l'aggravation d'une protéinurie pendant le traitement par le ramucirumab doit être mise en place pour tous les patients. Si la protéinurie déterminée au moyen d'une bandelette réactive est ≥2+, une collecte d'urine doit être effectuée sur 24 heures. Le traitement par le ramucirumab doit être interrompu temporairement si la protéinurie est ≥2 g/24 heures. Lorsque la protéinurie repasse sous la barre des 2 g/24 heures, le traitement peut être repris à une dose réduite (6 mg/kg toutes les 2 semaines). Une deuxième réduction de la dose (à 5 mg/kg toutes les 2 semaines) est recommandée si la protéinurie est de nouveau ≥2 g/24 heures.
  • -Le traitement par le ramucirumab doit être arrêté définitivement si la protéinurie est >3 g/24 heures ou en cas de syndrome néphrotique (voir «Effets indésirables»).
  • -Opération chirurgicale non urgente ou trouble de la cicatrisation
  • -Le traitement par le ramucirumab doit être interrompu temporairement pendant au moins 4 semaines avant une opération chirurgicale non urgente. Le traitement par le ramucirumab doit être interrompu temporairement en cas de complications de la cicatrisation jusqu'à cicatrisation complète de la plaie (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -Le traitement par le ramucirumab doit être arrêté définitivement dans les situations suivantes:
  • -Événements thrombo-emboliques artériels sévères (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -Perforations gastro-intestinales (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -Hémorragie sévère de grade NCI CTCAE 3 ou 4 (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -Apparition spontanée de fistules (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -Ajustements de la dose de paclitaxel
  • -La dose de paclitaxel doit être réduite en fonction du grade de toxicité apparu chez le patient. En cas de toxicité hématologique de grade 4 selon les NCI CTCAE ou de toxicité non hématologique de grade 3 liée au paclitaxel, il est recommandé de réduire la dose de paclitaxel de 10 mg/m² pour tous les cycles suivants. Une deuxième réduction de 10 mg/m² est recommandée si la toxicité persiste ou réapparaît.
  • -Posologie usuelle
  • -Afin d'assurer la traçabilité des médicaments fabriqués par génie génétique, il est recommandé de documenter le nom commercial et le numéro de lot pour chaque traitement.
  • +Ajustement des doses de ramucirumab
  • +Effets indésirables Degré de gravité ou résultats de laboratoire Ajustement de la dose
  • +Réactions dues à la perfusion Grade 1 ou 2 La vitesse de perfusion du ramucirumab doit être réduite de 50% pour la durée de la perfusion et pour toutes les autres perfusions,
  • + Grade 3 ou 4 Le ramucirumab doit être arrêté immédiatement et définitivement (voir sous «Mises en garde et précautions»).
  • +Hypertension La tension artérielle du patient doit être contrôlée avant chaque administration de ramucirumab et traitée en cas de nécessité clinique. Hypertension sévère Le traitement de ramucirumab doit être suspendu temporairement jusqu'à ce que la tension artérielle soit à nouveau sous contrôle grâce à un traitement approprié. Si l'hypertension ne peut pas être controlée, le traitement de ramucirumab doit être définitivement arrêté (voir sous «Mises en garde et précautions»).
  • +Syndrome d'encéphalopathie postérieure réversible Tous grades Si un syndrome d'encéphalopathie postérieure réversible (SEPR) est observé chez des patients, le ramucirumab doit être définitivement arrêté (voir sous «Mises en garde et précautions»
  • +Protéinurie Les patients doivent être surveillés pendant le traitement de ramucirumab pour détecter l'apparition ou la détérioration éventuelle d'une protéinurie. Test de l'urine par bandelettes ≥2+ Mesurer l'urine totale de 24 heures.
  • + Excrétion urinaire de protéines ≥2 g/24 h Le traitement de ramucirumab doit être suspendu. Si l'excrétion urinaire de protéines revient à des valeurs < 2 g/24 h, le traitement peut être poursuivi avec une dose réduite (6 mg/kg toutes les 2 semaines). Une deuxième réduction de la dose (à 5 mg/kg toutes les 2 semaines) est recommandée si l'excrétion urinaire de protéines repasse à des valeurs ≥2 g/24 h.
  • + Excrétion urinaire de protéines > 3 g/24 h ou dans le cas d'un syndrome néphrotique. Le traitement de ramucirumab doit être définitivement arrêté- (voir sous «Effets indésirables»).
  • +Événements thromboemboliques artériels Sévères Arrêter définitivement le ramucirumab (voir sous «Mises en garde et précautions»)
  • +Perforations gastro-intestinales Tous grades Arrêter définitivement le ramucirumab (voir sous «Mises en garde et précautions»)
  • +Hémorragies Grade 3* ou 4* Arrêter définitivement le ramucirumab (voir sous «Mises en garde et précautions»)
  • +Développement spontané de fistules Tous grades Arrêter définitivement le ramucirumab (voir sous «Mises en garde et précautions»)
  • +
  • +*NCI CTCAE
  • +Ajustements de la dose de paclitaxel Toxicité hématologique de grade 4* ou toxicité non hématologique de grade 3 causée par le paclitaxel Réduction recommandée de la dose de paclitaxel de 10 mg/m2 pour tous les cycles suivants.
  • + Si ces toxicités persistent ou réapparaissent. Deuxième réduction recommandée de 10 mg/m2 si ces toxicités persistent ou réapparaissent.
  • +
  • +*NCI CTCAE
  • +Opérations électives ou cicatrisation difficile
  • +Le traitement de ramucirumab doit être interrompu temporairement au moins 4 semaines avant une opération élective. En cas de complications lors d'une cicatrisation, le traitement de ramucirumab doit être suspendu temporairement jusqu'à ce que la plaie soit entièrement cicatrisée (voir sous «Mises en garde et précautions»).
  • -Le ramucirumab est un anti-angiogénique et il peut accroître le risque dhémorragie sévère. Le traitement par le ramucirumab doit être définitivement arrêté chez les patients présentant une hémorragie de grade 3 ou 4 (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
  • -La formule sanguine et les paramètres de coagulation doivent être régulièrement surveillés chez les patients atteints d'affections prédisposant aux hémorragies et chez ceux traités par des anticoagulants ou tout autre médicament concomitant augmentant le risque dhémorragie.
  • +Le ramucirumab est un anti-angiogénique et il peut accroître le risque d'hémorragie sévère. Le traitement par le ramucirumab doit être définitivement arrêté chez les patients présentant une hémorragie de grade 3 ou 4 (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
  • +La formule sanguine et les paramètres de coagulation doivent être régulièrement surveillés chez les patients atteints d'affections prédisposant aux hémorragies et chez ceux traités par des anticoagulants ou tout autre médicament concomitant augmentant le risque d'hémorragie.
  • -Des réactions liées à la perfusion (infusion-related reactions, IRRs) ont été signalées lors des études cliniques avec le ramucirumab. La majorité des événements se sont produits pendant ou après la première ou la deuxième perfusion de ramucirumab. Les patients doivent être surveillés pendant la perfusion afin d'identifier tout signe d'hypersensibilité. Les symptômes incluent: rigidité/tremblements, douleurs dorsales/spasmes, douleur et/ou oppression thoracique, frissons, bouffées vasomotrices, dyspnée, respiration sifflante, hypoxie et paresthésie. Les cas graves se manifestent par des symptômes tels que bronchospasme, tachycardie supraventriculaire et hypotension. Le traitement par le ramucirumab doit être arrêté immédiatement et définitivement chez les patients manifestant un IRR de grade 3 ou 4 (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
  • +Des réactions liées à la perfusion (infusion-related reactions, IRRs) ont été signalées lors des études cliniques avec le ramucirumab. La majorité des événements se sont produits pendant ou après la première ou la deuxième perfusion de ramucirumab. Les patients doivent être surveillés pendant la perfusion afin d'identifier tout signe d'hypersensibilité. Les symptômes incluent: rigidité/tremblements, douleurs dorsales/spasmes, douleur et/ou oppression thoracique, frissons, bouffées vasomotrices, dyspnée, respiration sifflante, hypoxie et paresthésie. Les cas graves se sont manifestés par des symptômes tels que bronchospasme, tachycardie supraventriculaire et hypotension. Le traitement par le ramucirumab doit être arrêté immédiatement et définitivement chez les patients manifestant un IRR de grade 3 ou 4 (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
  • -Des cas isolés de syndrome de leuco-encéphalopathie postérieure réversible (PRES) ont été rapportés chez des patients traités avec le ramucirumab. Le PRES peut se manifester par une altération de l'état psychique, des crises épileptiques, des nausées, des vomissements, des céphalées ou des troubles de la vision. Le diagnostic du PRES est confirmé par tomographie de résonance magnétique (TRM). Chez les patients qui développent un PRES, le traitement par le ramucirumab doit être interrompu. La sécurité d'une nouvelle administration de Cyramza à des patients qui ont présenté auparavant un PRES n'est pas connue (voir «Effets indésirables»).
  • +Des cas de syndrome de leuco-encéphalopathie postérieure réversible (PRES), y compris des cas de décès, ont été rapportés rarement chez des patients traités avec le ramucirumab. Le PRES peut se manifester par des altérations de l'état de conscience, des crises épileptiques, des nausées, des vomissements, des céphalées ou des troubles de la vision. Le diagnostic du PRES est confirmé par tomographie de résonance magnétique (TRM). Chez les patients qui développent un PRES, le traitement par le ramucirumab doit être arrêté définitivement (voir «Posologie/Mode d'emploi»). La sécurité d'une nouvelle administration de Cyramza à des patients qui ont présenté auparavant un PRES n'est pas connue (voir «Effets indésirables»).
  • -On dispose de données limitées de sécurité concernant les patients atteints d'insuffisance rénale sévère (clairance calculée de la créatinine <30 ml/min) traités par le ramucirumab (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
  • +On dispose de données limitées de sécurité concernant les patients atteints d'insuffisance rénale sévère (clairance calculée de la créatinine < 30 ml/min) traités par le ramucirumab (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
  • -Chaque flacon de 10 ml contient 17.2 mg de sodium et chaque flacon de 50 ml contient 86.2 mg de sodium. Ceci correspond respectivement à 0.86% et 4.3% de l'apport journalier maximal de sodium recommandé par l'OMS pour un adulte (2 g).
  • +Chaque flacon de 10 ml contient 17.2 mg de sodium et chaque flacon de 50 ml contient 86.2 mg de sodium. Ceci correspond respectivement à 0.86 % et 4.3 % de l'apport journalier maximal de sodium recommandé par l'OMS pour un adulte (2 g).
  • -Fréquents (≥1/100 à <1/10)
  • -Occasionnels (≥1/1000 à <1/100)
  • -Rares (≥1/10'000 à <1/1000)
  • +Fréquents (≥1/100 à < 1/10)
  • +Occasionnels (≥1/1000 à < 1/100)
  • +Rares (≥1/10'000 à < 1/1000)
  • - Toxicité de tous gradesc (%) Toxicité de grade 3-4 (%)
  • +Toxicité de tous gradesc (%) Toxicité de grade 3-4 (%)
  • +Maladies endocriniennes Fréquent Hypothyroïdiel,m 1.30 0.0
  • +Fréquent Dysphoniem 1.30 0.0
  • +
  • - Très fréquent Diarrhée 14.4 0.8
  • - Fréquent Occlusion intestinale 2.1 1.7
  • +Très fréquent Diarrhée 14.4 0.8
  • +Fréquent Occlusion intestinale 2.1 1.7
  • - Fréquent Événements thromboemboliques artériels (ATE)f 1.7 1.3
  • +Fréquent Événements thromboemboliques artériels (ATE)f 1.7 1.3
  • - Fréquent Hyponatrémie 5.5 3.4
  • +Fréquent Hyponatrémie 5.5 3.4
  • -a Terme privilégié de MedDRA (Version 15.0)
  • +a Terme privilégié de MedDRA (Version 15.0).
  • -d Terme privilégié de MedDRA: neutropénie et baisse du nombre de neutrophiles
  • -e Terme privilégié de MedDRA: baisse du potassium sanguin et hypokaliémie
  • +d Terme privilégié de MedDRA: neutropénie et baisse du nombre de neutrophiles.
  • +e Terme privilégié de MedDRA: baisse du potassium sanguin et hypokaliémie.
  • -g Terme privilégié de MedDRA: augmentation de la tension artérielle et hypertension
  • -h Terme privilégié de MedDRA: douleur abdominale, douleur du bas de l'abdomen, douleur du haut de l'abdomen et douleur hépatique
  • -i Terme privilégié de MedDRA: éruption cutanée, éruption cutanée papuleuse
  • +g Terme privilégié de MedDRA: augmentation de la tension artérielle et hypertension.
  • +h Terme privilégié de MedDRA: douleur abdominale, douleur du bas de l'abdomen, douleur du haut de l'abdomen et douleur hépatique.
  • +i Terme privilégié de MedDRA: éruption cutanée, éruption cutanée papuleuse.
  • +l Terme privilégié de MedDRA: hypothyroïdie et TSH (thyréostimuline) sanguine élevée.
  • +m Effet secondaire identifié sur la base d'un examen cumulé de 14 études contrôlées, randomisées avec le ramucirumab, de données subséquentes à la commercialisation et d'autres données de sécurité disponibles.
  • - Toxicité de tous gradesc (%) Toxicité de grade ≥3 (%) Toxicité de tous grades (%) Toxicité de grade ≥3 (%)
  • -Troubles généraux et anomalies au site d'administration Très fréquent Fatigue/asthénie 56.9 11.9 43.8 5.5
  • - Très fréquent Œdèmes périphériques 25.1 1.5 13.7 0.6
  • - Fréquent Réactions liées à la perfusion 5.8 0.6 3.6 0
  • +Toxicité de tous gradesc (%) Toxicité de grade ≥3 (%) Toxicité de tous grades (%) Toxicité de grade ≥3 (%)
  • +Troubles généraux et anomalies au site d'administration Très fréquent Fatigue / asthénie 56.9 11.9 43.8 5.5
  • +Très fréquent Œdèmes périphériques 25.1 1.5 13.7 0.6
  • +Fréquent Réactions liées à la perfusion 5.8 0.6 3.6 0
  • +Maladies endocriniennes Occasionnel Hypothyroïdief,g 0.3 0.0 0.0 0.0
  • +Fréquent Dysphonieg 5.2 0.3 0.3 0.0
  • +
  • - Très fréquent Leucopénie 33.9 17.4 21.0 6.7
  • - Très fréquent Thrombocytopénie 13.1 1.5 6.1 1.8
  • +Très fréquent Leucopénie 33.9 17.4 21.0 6.7
  • +Très fréquent Thrombocytopénie 13.1 1.5 6.1 1.8
  • - Très fréquent Stomatite 19.6 0.6 7.3 0.6
  • - Très fréquent Événements hémorragiques gastro-intestinauxd 10.1 3.7 6.1 1.5
  • - Fréquent Perforation gastro-intestinale 1.2 1.2 0.3 0
  • +Très fréquent Stomatite 19.6 0.6 7.3 0.6
  • +Très fréquent Événements hémorragiques gastro-intestinauxd 10.1 3.7 6.1 1.5
  • +Fréquent Perforation gastro-intestinale 1.2 1.2 0.3 0
  • - Fréquent Événements thromboemboliques artériels (ATE)e 1.8 0.9 1.5 0.9
  • +Fréquent Événements thromboemboliques artériels (ATE)e 1.8 0.9 1.5 0.9
  • -e Terme privilégié de MedDRA: angine de poitrine, arrêt cardiaque, ischémie cérébrale, accident vasculaire cérébral, infarctus du myocarde et ischémie du myocarde.
  • +e Terme privilégié de MedDRA: angine de poitrine, arrêt cardiaque, ischémie cérébrale, accident vasculaire cérébral, infarctus du myocarde et ischémie du myocarde.
  • +f Terme privilégié de MedDRA: hypothyroïdie et TSH (thyréostimuline) sanguine élevée.
  • +g Effet secondaire identifié sur la base d'un examen cumulé de 14 études contrôlées, randomisées avec le ramucirumab, de données subséquentes à la commercialisation et d'autres données de sécurité disponibles.
  • +
  • - Toxicité de tous grades (%) Toxicité de grade ≥3 (%) Toxicité de tous grades (%) Toxicité de grade ≥3 (%)
  • +Toxicité de tous grades (%) Toxicité de grade ≥3 (%) Toxicité de tous grades (%) Toxicité de grade ≥3 (%)
  • - Très fréquent Œdèmes périphériques 20.4 0.2 9.1 0.0
  • - Fréquent Réactions au site de perfusion 5.9 0.8 3.0 0.4
  • +Très fréquent Œdèmes périphériques 20.4 0.2 9.1 0.0
  • +Fréquent Réactions au site de perfusion 5.9 0.8 3.0 0.4
  • +Maladies endocriniennes Fréquent Hypothyroïdiec,d 4.0 0.0 1.0 0.0
  • +Fréquent Dysphonied 6.2 0.0 1.1 0.0
  • +
  • - Très fréquent Thrombocytopénie 28.4 3.0 13.6 0.8
  • - Très fréquent Leucopénie 13.0 2.6 12.1 2.7
  • - Fréquent Neutropénie fébrile 3.6 3.4 2.7 2.5
  • +Très fréquent Thrombocytopénie 28.4 3.0 13.6 0.8
  • +Très fréquent Leucopénie 13.0 2.6 12.1 2.7
  • +Fréquent Neutropénie fébrile 3.6 3.4 2.7 2.5
  • - Très fréquent Stomatite 30.8 3.8 20.8 2.3
  • - Très fréquent Mucosite 17.4 2.6 9.8 1.7
  • - Très fréquent Hémorragie gastro-intestinale 12.3 1.9 6.8 1.1
  • - Fréquent Perforation gastro-intestinale 1.7 1.7 0.6 0.6
  • +Très fréquent Stomatite 30.8 3.8 20.8 2.3
  • +Très fréquent Mucosite 17.4 2.6 9.8 1.7
  • +Très fréquent Hémorragies gastro-intestinales 12.3 1.9 6.8 1.1
  • +Fréquent Perforation gastro-intestinale 1.7 1.7 0.6 0.6
  • - Fréquent Événements thromboemboliques artériels (ATE)b 1.5 0.8 2.5 1.1
  • +Fréquent Événements thromboemboliques artériels (ATE)b 1.5 0.8 2.5 1.1
  • - Fréquent Hyponatrémie 1.7 1.1 1.5 0.6
  • +Fréquent Hyponatrémie 1.7 1.1 1.5 0.6
  • -Dans l'étude RAISE menée chez des patients atteints de CCRM et traités avec le ramucirumab plus FOLFIRI, la protéinurie (1.5%) était l'effet indésirable le plus fréquent (≥1%) ayant entraîné un arrêt du traitement avec le ramucirumab.
  • +c Terme privilégié de MedDRA: hypothyroïdie et TSH (thyréostimuline) sanguine élevée.
  • +d Effet secondaire identifié sur la base d'un examen cumulé de 14 études contrôlées, randomisées avec le ramucirumab, de données subséquentes à la commercialisation et d'autres données de sécurité disponibles.
  • +Dans l'étude RAISE menée chez des patients atteints de CCRM et traités avec le ramucirumab plus FOLFIRI, la protéinurie (1.5 %) était l'effet indésirable le plus fréquent (≥1 %) ayant entraîné un arrêt du traitement avec le ramucirumab.
  • - Toxicité de tous grades (%) Toxicité de grade ≥3 (%) Toxicité de tous grade (%) Toxicité de grade ≥3 (%)
  • +Toxicité de tous grades (%) Toxicité de grade ≥3 (%) Toxicité de tous grade (%) Toxicité de grade ≥3 (%)
  • - Très fréquent Thrombocytopénie 14.9 5.1 4.5 0.9
  • +Très fréquent Thrombocytopénie 14.9 5.1 4.5 0.9
  • +Maladies endocrininiennes Fréquent Hypothyroïdieb,c 2.5 0.0 0.9 0.0
  • +
  • - Très fréquent Céphalées 16.8 0.3 6.3 0.4
  • +Très fréquent Céphalées 16.8 0.3 6.3 0.4
  • +Fréquent Dysphoniec 4.1 0.0 0.4 0.0
  • +
  • - Très fréquent Œdèmes périphériques 29.1 0.9 17.0 0
  • +Très fréquent Œdèmes périphériques 29.1 0.9 17.0 0
  • -L'encéphalopathie hépatique est un effet indésirable qui a été rapporté chez ≥1% et <5% des patients traités avec le ramucirumab (4.7% ramucirumab versus 0.9% sous placebo), qui ont reçu une monothérapie de ramucirumab pour un CHC.
  • +b Terme privilégié de MedDRA: hypothyroïdie et TSH (thyréostimuline) sanguine élevée.
  • +c Effet secondaire identifié sur la base d'un examen cumulé de 14 études contrôlées, randomisées avec le ramucirumab, de données subséquentes à la commercialisation et d'autres données de sécurité disponibles.
  • +L'encéphalopathie hépatique est un effet indésirable qui a été rapporté chez ≥1 % et < 5 % des patients traités avec le ramucirumab (4.7 % ramucirumab versus 0.9 % sous placebo), qui ont reçu une monothérapie de ramucirumab pour un CHC.
  • -Syndrome de leuco-encéphalopathie postérieure réversible (PRES): rare.
  • +Rare: Syndrome de leuco-encéphalopathie postérieure réversible (PRES) (voir «Posologie/Mode d'emploi» et «Mises en garde et précautions»).
  • -Micro-angiopathie thrombotique: rare.
  • +Rare: Micro-angiopathie thrombotique
  • -Hémangiome: fréquent.
  • +Fréquent: Hémangiome
  • -Anévrismes et dissections artérielles: fréquence indéterminée.
  • -L'annonce d'effets secondaires présumés après l'autorisation est d'une grande importance. Elle permet un suivi continu du rapport bénéfice-risque du médicament. Les professionnels de santé sont tenus de déclarer toute suspicion d'effet secondaire nouveau ou grave via le portail d'annonce en ligne ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet sur www.swissmedic.ch.
  • +Fréquence indéterminée: Anévrismes et dissections artérielles
  • +La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est très importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé sont invités à déclarer tout effet indésirable nouveau ou grave suspecté via le portail en ligne ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet à l'adresse www.swissmedic.ch.
  • -Une majorité (75%) de patients randomisés dans l'étude avaient déjà été traités par une polythérapie associant les sels de platine et la fluoropyrimidine sans anthracycline. Les 25% restants avaient précédemment été traités par polythérapie associant les sels de platine et la fluoropyrimidine avec anthracycline. Deux tiers des patients ont présenté une progression de la maladie pendant le traitement de première ligne (66.8%). Les caractéristiques démographiques des patients et les caractéristiques pathologiques à l'inclusion étaient globalement équilibrées entre les groupes: l'âge médian était de 61 ans; 71% des patients étaient de sexe masculin; 61% étaient d'origine caucasienne; 35% étaient d'origine asiatique; le Performance Status ECOG était de 0 pour 39% des patients et de 1 pour 61% des patients; 81% des patients avaient une maladie mesurable et 79% un cancer gastrique; 21% avaient un adénocarcinome de la JGO. La majorité des patients (76%) ont présenté une progression de la maladie dans les 6 mois suivant le début du traitement de première ligne. Pour les patients traités par Cyramza plus paclitaxel, la durée médiane du traitement a été de 19 semaines; pour les patients sous placebo plus paclitaxel, la durée médiane du traitement a été de 12 semaines.
  • -Le pourcentage de patients arrêtant le traitement pour cause d'effets indésirables a été similaire dans les deux groupes: 12% des patients traités par Cyramza plus paclitaxel, par rapport à 11% des patients traités par placebo plus paclitaxel. Après l'arrêt du traitement, un traitement anticancéreux systémique a été administré à 47.9% des patients recevant Cyramza plus paclitaxel et à 46.0% des patients recevant le placebo plus paclitaxel.
  • -La survie globale était statistiquement et significativement améliorée chez les patients traités par Cyramza plus paclitaxel par rapport à ceux traités par placebo plus paclitaxel (HR 0.81; IC 95%: 0.68 à 0.96; p=0.017). Un allongement de la médiane de la survie de 2.3 mois a été observé dans le groupe Cyramza plus paclitaxel: 9.63 mois dans le groupe Cyramza plus paclitaxel et 7.36 mois dans le groupe placebo plus paclitaxel. La survie sans progression était statistiquement et significativement améliorée chez les patients traités par Cyramza plus paclitaxel par rapport à ceux traités par placebo plus paclitaxel (HR 0.635; IC 95%: 0.536 à 0.752; p<0.0001). Un allongement de la médiane de la PFS de 1.5 mois a été observé dans le groupe sous Cyramza plus paclitaxel: 4.4 mois dans le groupe Cyramza plus paclitaxel et 2.9 mois dans le groupe placebo plus paclitaxel. Le taux de réponse objective (ORR) (réponse complète [CR] + réponse partielle [PR]) dans le groupe Cyramza plus paclitaxel était de 27.9% et il était de 16.1% dans le groupe sous placebo plus paclitaxel (Odds ratio 2.140; IC 95%: 1.499 - 3.160). Des améliorations de l'OS et de la PFS ont été systématiquement observées dans les sous-groupes prédéfinis en fonction de l'âge, du sexe, de l'origine ethnique et dans la plupart des autres sous-groupes prédéfinis.
  • +Une majorité (75 %) de patients randomisés dans l'étude avaient déjà été traités par une polythérapie associant les sels de platine et la fluoropyrimidine sans anthracycline. Les 25 % restants avaient précédemment été traités par polythérapie associant les sels de platine et la fluoropyrimidine avec anthracycline. Deux tiers des patients ont présenté une progression de la maladie pendant le traitement de première ligne (66.8 %). Les caractéristiques démographiques des patients et les caractéristiques pathologiques à l'inclusion étaient globalement équilibrées entre les groupes: l'âge médian était de 61 ans; 71 % des patients étaient de sexe masculin; 61 % étaient d'origine caucasienne; 35 % étaient d'origine asiatique; le Performance Status ECOG était de 0 pour 39 % des patients et de 1 pour 61 % des patients; 81 % des patients avaient une maladie mesurable et 79 % un cancer gastrique; 21 % avaient un adénocarcinome de la JGO. La majorité des patients (76 %) ont présenté une progression de la maladie dans les 6 mois suivant le début du traitement de première ligne. Pour les patients traités par Cyramza plus paclitaxel, la durée médiane du traitement a été de 19 semaines; pour les patients sous placebo plus paclitaxel, la durée médiane du traitement a été de 12 semaines.
  • +Le pourcentage de patients arrêtant le traitement pour cause d'effets indésirables a été similaire dans les deux groupes: 12 % des patients traités par Cyramza plus paclitaxel, par rapport à 11 % des patients traités par placebo plus paclitaxel. Après l'arrêt du traitement, un traitement anticancéreux systémique a été administré à 47.9 % des patients recevant Cyramza plus paclitaxel et à 46.0 % des patients recevant le placebo plus paclitaxel.
  • +La survie globale était statistiquement et significativement améliorée chez les patients traités par Cyramza plus paclitaxel par rapport à ceux traités par placebo plus paclitaxel (HR 0.81; IC 95 %: 0.68 à 0.96; p=0.017). Un allongement de la médiane de la survie de 2.3 mois a été observé dans le groupe Cyramza plus paclitaxel: 9.63 mois dans le groupe Cyramza plus paclitaxel et 7.36 mois dans le groupe placebo plus paclitaxel. La survie sans progression était statistiquement et significativement améliorée chez les patients traités par Cyramza plus paclitaxel par rapport à ceux traités par placebo plus paclitaxel (HR 0.635; IC 95 %: 0.536 à 0.752; p<0.0001). Un allongement de la médiane de la PFS de 1.5 mois a été observé dans le groupe sous Cyramza plus paclitaxel: 4.4 mois dans le groupe Cyramza plus paclitaxel et 2.9 mois dans le groupe placebo plus paclitaxel. Le taux de réponse objective (ORR) (réponse complète [CR] + réponse partielle [PR]) dans le groupe Cyramza plus paclitaxel était de 27.9 % et il était de 16.1 % dans le groupe sous placebo plus paclitaxel (Odds Ratio 2.140; IC 95 %: 1.499 - 3.160). Des améliorations de l'OS et de la PFS ont été systématiquement observées dans les sous-groupes prédéfinis en fonction de l'âge, du sexe, de l'origine ethnique et dans la plupart des autres sous-groupes prédéfinis.
  • -Les patients ont été randomisés selon un rapport de 2:1 dans un groupe recevant une perfusion intraveineuse de Cyramza de 8 mg/kg (n= 238) ou dans un groupe recevant un placebo (n= 117) toutes les 2 semaines. La randomisation a été stratifiée sur la base des critères suivants: la perte de poids au cours des 3 mois précédents (≥10% et <10%), la zone géographique d'inclusion et la localisation de la tumeur primaire (estomac versus jonction gastro-œsophagienne).
  • -Les patients inclus dans l'étude avaient reçu auparavant un traitement d'association à base de sels de platine et de fluoropyrimidine (81%), un traitement à base de fluoropyrimidine sans sels de platine (15%) ou un traitement à base de sels de platine sans fluoropyrimidine (4%). Les deux groupes de traitement avaient des caractéristiques démographiques et une pathologie de base comparables: l'âge médian était de 60 ans, 70% des patients étaient des hommes, 77% d'origine caucasienne et 16% d'origine asiatique; l'ECOG Performance Status était de 0 chez 28% et de 1 chez 72% des patients; 91% des patients avaient une pathologie mesurable, 75% des patients avaient un cancer de l'estomac, 25% un adénocarcinome de la JGO. Chez la majorité des patients (85%), une progression de la maladie était survenue pendant ou après le traitement de première ligne, chez le reste des patients pendant ou après un traitement adjuvant. Aucun patient atteint de cirrhose hépatique (classe Child-Pugh B ou C) n'a été inclus dans l'étude REGARD. Les patients ont reçu 4 cycles (médiane, fourchette 1 - 34) d'un traitement de Cyramza et 3 cycles (fourchette 1 - 30) de placebo.
  • -11% des patients traités par Cyramza et 6% des patients sous placebo ont arrêté le traitement pour cause d'événements indésirables. Une amélioration statistiquement significative de la survie globale a été observée chez les patients traités par Cyramza par rapport aux patients sous placebo (Hazard Rate [HR] 0.776; IC 95%: 0.603 bis 0.998; p = 0.0473), correspondant à une diminution de 22% du risque de décès et à une augmentation de la survie médiane de 5.2 mois pour Cyramza, par rapport à 3.8 mois pour le placebo. Une amélioration statistiquement significative de la survie sans progression a été observée chez les patients traités par Cyramza par rapport aux patients sous placebo (HR = 0.483, IC 95% = 0.376 – 0.620, p <0.0001), correspondant à une diminution de 52% du risque de progression ou de décès et à une augmentation de la PFS médiane de 1.3 mois pour le placebo à 2.1 mois pour Cyramza. Le taux de survie sans progression au bout de 12 semaines s'est élevé à 40.1% pour Cyramza et à 15.8% pour le placebo.
  • +Les patients ont été randomisés selon un rapport de 2:1 dans un groupe recevant une perfusion intraveineuse de Cyramza de 8 mg/kg (n= 238) ou dans un groupe recevant un placebo (n= 117) toutes les 2 semaines. La randomisation a été stratifiée sur la base des critères suivants: la perte de poids au cours des 3 mois précédents (≥10 % et < 10 %), la zone géographique d'inclusion et la localisation de la tumeur primaire (estomac versus jonction gastro-œsophagienne).
  • +Les patients inclus dans l'étude avaient reçu auparavant un traitement d'association à base de sels de platine et de fluoropyrimidine (81 %), un traitement à base de fluoropyrimidine sans sels de platine (15 %) ou un traitement à base de sels de platine sans fluoropyrimidine (4 %). Les deux groupes de traitement avaient des caractéristiques démographiques et une pathologie de base comparables: l'âge médian était de 60 ans, 70 % des patients étaient des hommes, 77 % d'origine caucasienne et 16 % d'origine asiatique; l'ECOG Performance Status était de 0 chez 28 % et de 1 chez 72 % des patients; 91 % des patients avaient une pathologie mesurable, 75 % des patients avaient un cancer de l'estomac, 25 % un adénocarcinome de la JGO. Chez la majorité des patients (85 %), une progression de la maladie était survenue pendant ou après le traitement de première ligne, chez le reste des patients pendant ou après un traitement adjuvant. Aucun patient atteint de cirrhose hépatique (classe Child-Pugh B ou C) n'a été inclus dans l'étude REGARD. Les patients ont reçu 4 cycles (médiane, fourchette 1 - 34) d'un traitement de Cyramza et 3 cycles (fourchette 1 - 30) de placebo.
  • +11% des patients traités par Cyramza et 6 % des patients sous placebo ont arrêté le traitement pour cause d'événements indésirables. Une amélioration statistiquement significative de la survie globale a été observée chez les patients traités par Cyramza par rapport aux patients sous placebo (Hazard Rate [HR] 0.776; IC 95 %: 0.603 bis 0.998; p = 0.0473), correspondant à une diminution de 22 % du risque de décès et à une augmentation de la survie médiane de 5.2 mois pour Cyramza, par rapport à 3.8 mois pour le placebo. Une amélioration statistiquement significative de la survie sans progression a été observée chez les patients traités par Cyramza par rapport aux patients sous placebo (HR = 0.483, IC 95 % = 0.376 – 0.620, p < 0.0001), correspondant à une diminution de 52 % du risque de progression ou de décès et à une augmentation de la PFS médiane de 1.3 mois pour le placebo à 2.1 mois pour Cyramza. Le taux de survie sans progression au bout de 12 semaines s'est élevé à 40.1 % pour Cyramza et à 15.8 % pour le placebo.
  • -RAISE est une étude globale, randomisée, en double-aveugle comparant l'association Cyramza plus FOLFIRI à l'association placebo plus FOLFIRI chez des patients atteints d'un CCRM, dont la maladie a progressé pendant ou après un traitement de première ligne par bévacizumab, oxaliplatine et une fluoropyrimidine. Les patients devaient avoir un Performance Status ECOG de 0 ou 1 et avoir présenté une progression de la maladie dans les 6 mois suivant la dernière dose du traitement de première ligne. Au total, 1'072 patients ont été randomisés (1:1) pour recevoir Cyramza (n=536) à la dose de 8 mg/kg ou le placebo (n=536), en association avec FOLFIRI. La posologie de FOLFIRI était la suivante: irinotécan 180 mg/m2 administré en 90 minutes et acide folinique 400 mg/m2 administré simultanément en 120 minutes, suivi de 5-fluorouracile (5-FU) en bolus de 400 mg/m2 en 2 à 4 minutes, puis de 5-FU 2'400 mg/m2 administré par perfusion continue sur 46 à 48 heures. Les cycles de traitement des deux bras ont été répétés toutes les 2 semaines. Le critère d'évaluation principal était la survie globale (OS) et les critères d'évaluation secondaires incluaient la survie sans progression (PFS)).
  • +RAISE est une étude globale, randomisée, en double-aveugle comparant l'association Cyramza plus FOLFIRI à l'association placebo plus FOLFIRI chez des patients atteints d'un CCRM, dont la maladie a progressé pendant ou après un traitement de première ligne par bévacizumab, oxaliplatine et une fluoropyrimidine. Les patients devaient avoir un Performance Status ECOG de 0 ou 1 et avoir présenté une progression de la maladie dans les 6 mois suivant la dernière dose du traitement de première ligne. Au total, 1072 patients ont été randomisés (1:1) pour recevoir Cyramza (n=536) à la dose de 8 mg/kg ou le placebo (n=536), en association avec FOLFIRI. La posologie de FOLFIRI était la suivante: irinotécan 180 mg/m2 administré en 90 minutes et acide folinique 400 mg/m2 administré simultanément en 120 minutes, suivi de 5-fluorouracile (5-FU) en bolus de 400 mg/m2 en 2 à 4 minutes, puis de 5-FU 2400 mg/m2 administré par perfusion continue sur 46 à 48 heures. Les cycles de traitement des deux bras ont été répétés toutes les 2 semaines. Le critère d'évaluation principal était la survie globale (OS) et les critères d'évaluation secondaires incluaient la survie sans progression (PFS).
  • -Une amélioration statistiquement significative de la survie globale a été observée chez les patients traités par Cyramza plus FOLFIRI par rapport aux patients sous placebo plus FOLFIRI (Hazard Ratio [HR] 0.84; IC 95%: 0.73 à 0.98; p=0.022). Il y avait une augmentation de la survie médiane de 1.6 mois en faveur du bras Cyramza plus FOLFIRI: 13.3 mois dans le bras Cyramza plus FOLFIRI et 11.7 mois dans le bras placebo plus FOLFIRI. Une amélioration statistiquement significative de la survie sans progression (PFS) a été observée chez les patients traités par Cyramza plus FOLFIRI par rapport aux patients sous placebo plus FOLFIRI (HR 0.79; IC 95%: 0.70 à 0.90; p=0.0005). Il y avait une augmentation de la médiane de la survie sans progression (PFS) de 1.2 mois en faveur du bras Cyramza plus FOLFIRI: 5.7 mois dans le bras Cyramza plus FOLFIRI et 4.5 mois dans le bras placebo plus FOLFIRI.
  • -Des analyses prédéfinies de l'OS par stratification en fonction de l'état KRAS des mutations ont été réalisées. Le HR de l'OS était de 0.82 (IC 95%: 0.67 à 1.0) chez les patients présentant une tumeur KRAS de type sauvage et de 0.89 (IC 95%: 0.73 à 1.09) chez les patients présentant une tumeur KRAS muté.
  • +Une amélioration statistiquement significative de la survie globale a été observée chez les patients traités par Cyramza plus FOLFIRI par rapport aux patients sous placebo plus FOLFIRI (Hazard Ratio [HR] 0.84; IC 95 %: 0.73 à 0.98; p=0.022). Il y avait une augmentation de la survie médiane de 1.6 mois en faveur du bras Cyramza plus FOLFIRI: 13.3 mois dans le bras Cyramza plus FOLFIRI et 11.7 mois dans le bras placebo plus FOLFIRI. Une amélioration statistiquement significative de la survie sans progression (PFS) a été observée chez les patients traités par Cyramza plus FOLFIRI par rapport aux patients sous placebo plus FOLFIRI (HR 0.79; IC 95 %: 0.70 à 0.90; p=0.0005). Il y avait une augmentation de la médiane de la survie sans progression (PFS) de 1.2 mois en faveur du bras Cyramza plus FOLFIRI: 5.7 mois dans le bras Cyramza plus FOLFIRI et 4.5 mois dans le bras placebo plus FOLFIRI.
  • +Des analyses prédéfinies de l'OS par stratification en fonction de l'état KRAS des mutations ont été réalisées. Le HR de l'OS était de 0.82 (IC 95 %: 0.67 à 1.0) chez les patients présentant une tumeur KRAS de type sauvage et de 0.89 (IC 95 %: 0.73 à 1.09) chez les patients présentant une tumeur KRAS muté.
  • -REACH-2 était une étude globale, randomisée, en double aveugle, sur le ramucirumab plus Best Supportive Care (BSC) versus placebo plus BSC, dans laquelle 292 patients atteints de carcinome hépatocellulaire (CHC) et présentant une valeur initiale élevée d'alpha-fœtoprotéine (AFP) ≥400 ng/ml ont été randomisés dans un rapport de 2:1. Les patients inclus dans l'étude présentaient une progression pendant ou après un traitement avec le sorafénib ou étaient intolérants au sorafénib. Les patients appropriés présentaient un Child-Pugh A et un ECOG PS de 0 ou 1. De plus les patients présentaient soit un Barcelona Clinic Liver Cancer (BCLC) stade B et n'étaient plus éligibles pour une thérapie locorégionale, soit un BCLC stade C. Les patients avec des métastases cérébrales, une maladie leptoméningée, une compression non contrôlée de la moelle épinière, une grave hémorragie de varices au cours des 3 mois qui ont précédé le traitement ou les patients avec des varices gastriques ou œsophagiennes et un risque élevé d'hémorragie étaient exclus de l'étude. Le critère primaire était la survie globale. La limite pour l'augmentation exigée de l'AFP à l'inclusion dans l'étude REACH-2 avait été fixée sur la base des résultats de survie d'une évaluation exploratoire pré-spécifiée de sous-groupes de l'étude REACH, une étude clinique pivot de phase 3 terminée auparavant, menée chez 565 patients atteints de CHC qui étaient randomisés (1:1) pour recevoir le ramucirumab plus BSC ou un placebo plus BSC et qui présentaient une progression pendant ou après un traitement antérieur avec le sorafénib. Dans l'étude REACH , les patients traités avec Cyramza qui avaient au début de l'étude une AFP ≥400 ng/ml, ont montré une amélioration de l'OS par rapport au placebo, avec un Hazard Ratio [HR] de 0.674 (IC à 95%: de 0.508 à 0.895, OS médiane sous Cyramza 7.8 mois, placebo 4.2 mois), contrairement aux patients qui avaient une valeur initiale d'AFP <400 ng/ml, chez lesquels un HR de 1.093 a été observé (IC à 95%: de 0.836 à 1.428, OS médiane sous Cyramza 10.1 mois, placebo 11.8 mois).
  • -Les données démographiques et les caractéristiques de la maladie de base au début de l'étude REACH-2 étaient similaires entre les groupes, à l'exception de l'AFP, qui était plus basse dans le groupe sous placebo. Les patients traités avec Cyramza ont présenté une amélioration statistiquement significative de l'OS par rapport au placebo (HR 0.710; IC à 95%: de 0.531 à 0.949; p = 0.0199, OS médiane sous Cyramza 8.51 mois, placebo 7.29 mois). Les résultats importants d'efficacité de REACH-2 étaient corroborés par une analyse statistiquement significative de la survie sans progression (HR 0.452; IC à 95%: de 0.339 à 0.603; p <0.0001, PFS médiane sous Cyramza 2.83 mois, placebo 1.61 mois) et du taux de contrôle de la maladie (disease control rate, 59.9% vs. 38.9%; p = 0.0006) chez les patients sous Cyramza, par rapport au placebo. Le taux de réponse objective dans le bras sous Cyramza a été de 4.6% et dans le bras sous placebo, il était de 1.1% (p = 0.1697).
  • +REACH-2 était une étude globale, randomisée, en double aveugle, sur le ramucirumab plus Best Supportive Care (BSC) versus placebo plus BSC, dans laquelle 292 patients atteints de carcinome hépatocellulaire (CHC) et présentant une valeur initiale élevée d'alpha-fœtoprotéine (AFP) ≥400 ng/ml ont été randomisés dans un rapport de 2:1. Les patients inclus dans l'étude présentaient une progression pendant ou après un traitement avec le sorafénib ou étaient intolérants au sorafénib. Les patients appropriés présentaient un Child-Pugh A et un ECOG PS de 0 ou 1. De plus les patients présentaient soit un Barcelona Clinic Liver Cancer (BCLC) stade B et n'étaient plus éligibles pour une thérapie locorégionale, soit un BCLC stade C. Les patients avec des métastases cérébrales, une maladie leptoméningée, une compression non contrôlée de la moelle épinière, une grave hémorragie de varices au cours des 3 mois qui ont précédé le traitement ou les patients avec des varices gastriques ou œsophagiennes et un risque élevé d'hémorragie étaient exclus de l'étude. Le critère primaire était la survie globale. La limite pour l'augmentation exigée de l'AFP à l'inclusion dans l'étude REACH-2 avait été fixée sur la base des résultats de survie d'une évaluation exploratoire pré-spécifiée de sous-groupes de l'étude REACH, une étude clinique pivot de phase 3 terminée auparavant, menée chez 565 patients atteints de CHC qui étaient randomisés (1:1) pour recevoir le ramucirumab plus BSC ou un placebo plus BSC et qui présentaient une progression pendant ou après un traitement antérieur avec le sorafénib. Dans l'étude REACH , les patients traités avec Cyramza qui avaient au début de l'étude une AFP ≥400 ng/ml, ont montré une amélioration de l'OS par rapport au placebo, avec un Hazard Ratio [HR] de 0.674 (IC à 95 %: de 0.508 à 0.895, OS médiane sous Cyramza 7.8 mois, placebo 4.2 mois), contrairement aux patients qui avaient une valeur initiale d'AFP < 400 ng/ml, chez lesquels un HR de 1.093 a été observé (IC à 95 %: de 0.836 à 1.428, OS médiane sous Cyramza 10.1 mois, placebo 11.8 mois).
  • +Les données démographiques et les caractéristiques de la maladie de base au début de l'étude REACH-2 étaient similaires entre les groupes, à l'exception de l'AFP, qui était plus basse dans le groupe sous placebo. Les patients traités avec Cyramza ont présenté une amélioration statistiquement significative de l'OS par rapport au placebo (HR 0.710; IC à 95 %: de 0.531 à 0.949; p = 0.0199, OS médiane sous Cyramza 8.51 mois, placebo 7.29 mois). Les résultats importants d'efficacité de REACH-2 étaient corroborés par une analyse statistiquement significative de la survie sans progression (HR 0.452; IC à 95 %: de 0.339 à 0.603; p < 0.0001, PFS médiane sous Cyramza 2.83 mois, placebo 1.61 mois) et du taux de contrôle de la maladie (disease control rate, 59.9 % vs. 38.9 %; p = 0.0006) chez les patients sous Cyramza, par rapport au placebo. Le taux de réponse objective dans le bras sous Cyramza a été de 4.6 % et dans le bras sous placebo, il était de 1.1 % (p = 0.1697).
  • -Dans 25 études cliniques, 94/3059 (3.1%) patients traités avec Cyramza se sont avérés positifs pour des anticorps anti-ramucirumab (ADA) dans un ELISA (enzyme-linked immunosorbent assay), anticorps qui étaient apparus sous traitement (treatment emergent, TE). Des anticorps neutralisants ont été constatés chez 14 des 94 patients qui avaient été testés positifs pour des anticorps anti-ramucirumab apparus sous traitement. Des réactions dues à la perfusion ont été observées avec la même fréquence chez des patients qui présentaient des ADA survenus en cours de traitement (TE ADA+ 18.4% [7/38]) et chez des patients qui ne présentaient pas d'ADA survenus en cours de traitement (TE ADA-; 13.6% [94/691]. Les données sont insuffisantes pour permettre d'évaluer les effets des anticorps sur l'efficacité ou la sécurité du ramucirumab.
  • +Dans 25 études cliniques, 94/3059 (3.1%) patients traités avec Cyramza se sont avérés positifs pour des anticorps anti-ramucirumab (ADA) dans un ELISA (enzyme-linked immunosorbent assay), anticorps qui étaient apparus sous traitement (treatment emergent, TE). Des anticorps neutralisants ont été constatés chez 14 des 94 patients qui avaient été testés positifs pour des anticorps anti-ramucirumab apparus sous traitement. Des réactions dues à la perfusion ont été observées avec la même fréquence chez des patients qui présentaient des ADA survenus en cours de traitement (TE ADA+; 18.4% [7/38]) et chez des patients qui ne présentaient pas d'ADA survenus en cours de traitement (TE ADA-; 13.6% [94/691]. Les données sont insuffisantes pour permettre d'évaluer les effets des anticorps sur l'efficacité ou la sécurité du ramucirumab.
  • -Selon l'analyse PopPC, la clairance moyenne (CV %) du ramucirumab après l'administration de 8 mg/kg toutes les 2 semaines ou de 10 mg/kg toutes les trois semaines a été de 0.0136 l/heure (30%) et la demi-vie moyenne était de 10 jours (28%).
  • +Selon l'analyse PopPC, la clairance moyenne (CV %) du ramucirumab après l'administration de 8 mg/kg toutes les 2 semaines ou de 10 mg/kg toutes les trois semaines a été de 0.0136 l/heure (30 %) et la demi-vie moyenne était de 10 jours (28 %).
  • -Selon lanalyse PopPC, lexposition au ramucirumab chez les patients atteints dinsuffisance hépatique légère (bilirubine totale supérieure à 1.0-1.5 fois la limite supérieure de la normale (ULN) et quel que soit le taux dASAT ou bilirubine totale ≤1.0 fois ULN et ASAT>ULN, n = 734) ou dinsuffisance hépatique modérée (bilirubine totale > 1.5-3.0 fois la LSN et quel que soit le taux dASAT, n = 28) a été comparable à celle des patients ayant une fonction hépatique normale (bilirubine totale et ASAT ≤ ULN, n = 1683). Le ramucirumab na pas été étudié chez les patients atteints dinsuffisance hépatique sévère (bilirubine totale >3.0 fois la ULN et quel que soit le taux dASAT).
  • +Selon l'analyse PopPC, l'exposition au ramucirumab chez les patients atteints d'insuffisance hépatique légère (bilirubine totale supérieure à 1.0-1.5 fois la limite supérieure de la normale (ULN) et quel que soit le taux d'ASAT ou bilirubine totale ≤1.0 fois ULN et ASAT>ULN, n = 734) ou d'insuffisance hépatique modérée (bilirubine totale > 1.5-3.0 fois la LSN et quel que soit le taux d'ASAT, n = 28) a été comparable à celle des patients ayant une fonction hépatique normale (bilirubine totale et ASAT ≤ ULN, n = 1683). Le ramucirumab n'a pas été étudié chez les patients atteints d'insuffisance hépatique sévère (bilirubine totale > 3.0 fois la ULN et quel que soit le taux d'ASAT).
  • -Selon lanalyse PopPC, lexposition au ramucirumab a été similaire chez les patients atteints dinsuffisance rénale légère (clairance de la créatinine [ClCr] ≥60 et <90 ml/min, n = 1033), modérée (ClCr ≥30 et <60 ml/min, n = 431) ou sévère (ClCr comprise entre 15 et 29 ml/min, n = 14) comparée à celle des patients ayant une fonction rénale normale (ClCr ≥90 ml/min, n = 1031).
  • +Selon l'analyse PopPC, l'exposition au ramucirumab a été similaire chez les patients atteints d'insuffisance rénale légère (clairance de la créatinine [ClCr] ≥60 et <90 ml/min, n = 1033), modérée (ClCr ≥30 et < 60 ml/min, n = 431) ou sévère (ClCr comprise entre 15 et 29 ml/min, n = 14) comparée à celle des patients ayant une fonction rénale normale (ClCr ≥90 ml/min, n = 1031).
  • -Aucune étude n'a été effectuée chez l'animal pour tester le potentiel carcinogène ou génotoxique du ramucirumab. Les organes cibles identifiés dans des études de toxicité à doses répétées chez des singes cynomolgus ont été le rein (glomérulonéphrite), les os (épaississement et ossification endochondrale anormale du cartilage de croissance épiphysaire) et les organes reproducteurs féminins (diminution du poids des ovaires et de l'utérus). Une inflammation et/ou une infiltration de cellules mononucléées de grade minimal a été observée dans divers organes.
  • +Aucune étude n'a été effectuée chez l'animal pour tester le potentiel carcinogène ou génotoxique du ramucirumab.
  • +Les organes cibles identifiés dans des études de toxicité à doses répétées chez des singes cynomolgus ont été le rein (glomérulonéphrite), les os (épaississement et ossification endochondrale anormale du cartilage de croissance épiphysaire) et les organes reproducteurs féminins (diminution du poids des ovaires et de l'utérus). Une inflammation et/ou une infiltration de cellules mononucléées de grade minimal a été observée dans divers organes.
  • -Il a été établi que la stabilité chimique et physique durant l'emploi de Cyramza dans une solution de chlorure de sodium à 0.9% (9 mg/ml) pour injection était de 24 heures entre 2°C et 8°C ou 4 heures à 25°C.
  • +Il a été établi que la stabilité chimique et physique durant l'emploi de Cyramza dans une solution de chlorure de sodium à 0.9 % (9 mg/ml) pour injection était de 24 heures entre 2°C et 8°C ou 4 heures à 25°C.
  • -Pour les conditions de conservation du médicament après dilution, voir la rubrique «Stabilité».
  • +Pour les conditions de conservation du médicament après dilution, voir la rubrique « Stabilité ».
  • -·Calculer la dose et le volume de ramucirumab nécessaire pour préparer la solution pour perfusion. Les flacons contiennent 100 mg ou 500 mg sous forme de solution de 10 mg/ml de ramucirumab. Utiliser uniquement une solution injectable de chlorure de sodium à 0.9% (9 mg/ml) comme diluant.
  • +·Calculer la dose et le volume de ramucirumab nécessaire pour préparer la solution pour perfusion. Les flacons contiennent 100 mg ou 500 mg sous forme de solution de 10 mg/ml de ramucirumab. Utiliser uniquement une solution injectable de chlorure de sodium à 0.9 % (9 mg/ml) comme diluant.
  • -Sur la base du volume calculé de ramucirumab, retirer le volume correspondant de solution injectable de chlorure de sodium à 0.9% (9 mg/ml) du récipient pour perfusion de 250 ml pré-rempli. Transférer de façon aseptique le volume calculé de ramucirumab dans le récipient pour perfusion. Le volume total final dans le récipient doit être de 250 ml. Retourner le flacon prudemment pour permettre un mélange adéquat. NE PAS AGITER LA SOLUTION POUR PERFUSION ET NE PAS LA CONGELER. Ne pas diluer avec d'autres solutions pour perfusion. Ne pas administrer conjointement avec d'autres perfusions contenant des électrolytes ou des médicaments.
  • +Sur la base du volume calculé de ramucirumab, retirer le volume correspondant de solution injectable de chlorure de sodium à 0.9 % (9 mg/ml) du récipient pour perfusion de 250 ml pré-rempli. Transférer de façon aseptique le volume calculé de ramucirumab dans le récipient pour perfusion. Le volume total final dans le récipient doit être de 250 ml. Retourner le flacon prudemment pour permettre un mélange adéquat. NE PAS AGITER LA SOLUTION POUR PERFUSION ET NE PAS LA CONGELER. Ne pas diluer avec d'autres solutions pour perfusion. Ne pas administrer conjointement avec d'autres perfusions contenant des électrolytes ou des médicaments.
  • -Transférer de façon aseptique le volume calculé de ramucirumab dans un récipient pour intraveineuse vide. Ajouter une quantité suffisante de solution injectable de chlorure de sodium à 0.9% (9 mg/ml) dans le récipient pour obtenir un volume total de 250 ml. Retourner le flacon prudemment pour permettre un mélange adéquat. NE PAS AGITER LA SOLUTION POUR PERFUSION ET NE PAS LA CONGELER. Ne pas diluer avec d'autres solutions pour perfusion. Ne pas administrer conjointement avec d'autres perfusions contenant des électrolytes ou des médicaments.
  • +Transférer de façon aseptique le volume calculé de ramucirumab dans un récipient pour intraveineuse vide. Ajouter une quantité suffisante de solution injectable de chlorure de sodium à 0.9 % (9 mg/ml) dans le récipient pour obtenir un volume total de 250 ml. Retourner le flacon prudemment pour permettre un mélange adéquat. NE PAS AGITER LA SOLUTION POUR PERFUSION ET NE PAS LA CONGELER. Ne pas diluer avec d'autres solutions pour perfusion. Ne pas administrer conjointement avec d'autres perfusions contenant des électrolytes ou des médicaments.
  • -Administrer au moyen d'une pompe à perfusion: une ligne de perfusion séparée dotée d'un filtre de 0.22 micron à faible capacité de liaison aux protéines doit être utilisée pour la perfusion et la ligne de perfusion doit être rincée avec une solution injectable de chlorure de sodium à 0.9% (9 mg/ml) à la fin de la perfusion.
  • +Administrer au moyen d'une pompe à perfusion: une ligne de perfusion séparée dotée d'un filtre de 0.22 micron à faible capacité de liaison aux protéines doit être utilisée pour la perfusion et la ligne de perfusion doit être rincée avec une solution injectable de chlorure de sodium à 0.9 % (9 mg/ml) à la fin de la perfusion.
  • -Août 2020
  • +Juillet 2021
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