90 Changements de l'information professionelle Rizatriptan Spirig HC 5 mg |
-Principe actif: Rizatriptanum ut Rizatriptani benzoas.
-Excipients: Mannitol, cellulose microcristalline, maltodextrine, crospovidone, silice colloїdale anhydre, saccharine sodique, arôme menthol, amidon modifié, stéarate de magnésium.
- +Principes actifs
- +Rizatriptanum ut Rizatriptani benzoas.
- +Excipients
- +Mannitol, cellulose microcristalline, maltodextrine, crospovidone, silice colloїdale anhydre, saccharine sodique, arôme menthol, amidon modifié, stéarate de magnésium.
-Troubles de la fonction rénale: aucune adaptation de la dose n’est nécessaire chez les patients souffrant d’insuffisance rénale.
-Troubles de la fonction hépatique: on ne dispose d’aucune expérience sur l’emploi de Rizatriptan Spirig HC chez les patients souffrant d’insuffisance hépatique sévère.
-Patients âgés: la sécurité et l’efficacité de Rizatriptan Spirig HC chez les patients de plus de 65 ans n’ont pas fait l’objet d’études systématiques.
-Patients pédiatriques
- +Patients présentant des troubles de la fonction hépatique
- +On ne dispose d’aucune expérience sur l’emploi de Rizatriptan Spirig HC chez les patients souffrant d’insuffisance hépatique sévère.
- +Patients présentant des troubles de la fonction rénale
- +Aucune adaptation de la dose n’est nécessaire chez les patients souffrant d’insuffisance rénale.
- +Patients âgés:
- +La sécurité et l’efficacité de Rizatriptan Spirig HC chez les patients de plus de 65 ans n’ont pas fait l’objet d’études systématiques.
- +Enfants et adolescents
-Hypersensibilité au rizatriptan ou à l’un des composants.
- +Hypersensibilité vis-à -vis du rizatriptan ou à l’un des composants.
-Administration concomitante d’inhibiteurs de la monoamine-oxydase (MAO) ou emploi en l’espace de deux semaines après l’arrêt d’un traitement par inhibiteurs de la MAO.
- +Administration simultanée d’inhibiteurs de la monoamine-oxydase (MAO) ou emploi en l’espace de deux semaines après l’arrêt d’un traitement aux inhibiteurs de la MAO.
-Hypertension artérielle non contrôlée.
-Affection cardiaque coronaire établie, y compris affection cardiaque ischémique (angine de poitrine, antécédents d’un infarctus du myocarde ou ischémie silencieuse documentée), signes et symptômes d’une affection cardiaque ischémique ou angor de Prinzmetal, vasospasmes coronaires.
-Antécédents d’apoplexie (AVC) ou d’attaques ischémiques transitoires (AIT).
-Maladies vasculaires périphériques, y compris (mais non limitées à ) la maladie ischémique intestinale.
- +·Hypertension artérielle non contrôlée.
- +·Affection cardiaque coronaire établie, y compris affection cardiaque ischémique (angine de poitrine, antécédents d’un infarctus du myocarde ou ischémie silencieuse documentée), signes et symptômes d’une affection cardiaque ischémique ou angor de Prinzmetal, vasospasmes coronaires.
- +·Antécédents d’apoplexie (AVC) ou d’attaques ischémiques transitoires (AIT).
- +·Maladies vasculaires périphériques, y compris (mais non limitées à ) la maladie ischémique intestinale.
-Rizatriptan Spirig HC ne devrait pas être utilisé lors de céphalées dites «atypiques», c’est-à -dire potentiellement associées à des problèmes médicaux sévères (p. ex. attaque apoplectique, rupture d’anévrisme), pour lesquelles une vasoconstriction cérébrale pourrait avoir des conséquences sévères.
- +Rizatriptan Spirig HC ne devrait pas être administré lors de céphalées dites «atypiques», c’est-à -dire potentiellement associées à des problèmes médicaux sévères (par exemple attaque apoplectique, rupture d’anévrisme), pour lesquelles une vasoconstriction cérébrale pourrait avoir des conséquences sévères.
-Chez l’un des 3700 patients souffrant de migraine ayant participé aux études cliniques prémarketing sur le rizatriptan, des douleurs thoraciques accompagnées d‘éventuelles modifications ischémiques de l’ECG ont été rapportées après l’administration d’une dose unique de 10 mg.
- +Chez l’un des 3700 patients souffrant de migraine ayant participé aux études cliniques prémarketing sur le rizatriptan, des douleurs thoraciques accompagnées de possibles modifications ischémiques de l’ECG ont été rapportées après l’administration d’une dose unique de 10 mg.
-Evénements cérébro-vasculaires et mortalités associés aux agonistes 5-HT1: chez les patients traités par d’autres agonistes 5-HT1, des hémorragies cérébrales, une hémorragie sous-arachnoïdienne, une attaque apoplectique et d’autres événements cérébro-vasculaires ont été rapportés; dans quelques cas isolés, l’issue était fatale. Dans plusieurs cas, il paraît possible que les événements cérébro-vasculaires aient été présents au départ, et que les agonistes aient été administrés par erreur car on pensait que les symptômes ressentis par le patient étaient une conséquence de la migraine, alors que ce n’était pas le cas. Il convient de considérer que les patients souffrant de migraine présentent peut-être un risque plus élevé d’événements cérébro-vasculaires (p. ex. crise apoplectique, hémorragies, attaques ischémiques transitoires).
- +Evénements cérébro-vasculaires et mortalités associés aux agonistes 5-HT1: chez les patients traités à d’autres agonistes 5-HT1, des hémorragies cérébrales, une hémorragie sous-arachnoïdienne, une attaque apoplectique et d’autres événements cérébro-vasculaires ont été rapportés; dans quelques cas isolés, l’issue était fatale. Dans plusieurs cas, il paraît possible que les événements cérébro-vasculaires aient été présents au départ, et que les agonistes aient été administrés par erreur car on pensait que les symptômes ressentis par le patient étaient une conséquence de la migraine, alors que ce n’était pas le cas. Il convient de considérer que les patients souffrant de migraine présentent peut-être un risque plus élevé d’événements cérébro-vasculaires (p. ex. crise apoplectique, hémorragies, attaques ischémiques transitoires).
-Élévation de la tension artérielle: dans de rares cas, des cas d’élévation significative de la tension artérielle, y compris de crise hypertensive, ont été rapportés chez des patients sous agonistes 5-HT1 avec et sans antécédents d’hypertension. Chez des volontaires sains du sexe masculin et féminin ayant reçu des doses maximales de rizatriptan (10 mg toutes les 2 heures, 3 doses), de faibles élévations de la tension artérielle (environ 2 à 3 mm Hg) ont été observées. Le rizatriptan est contre-indiqué chez les patients souffrant d’hypertension artérielle incontrôlée (voir sous «Contre-indications»).
- +Élévation de la tension artérielle: dans de rares cas, des cas d’élévation significative de la pression artérielle, y compris de crise hypertensive, ont été rapportés chez des patients sous agonistes 5-HT1 avec et sans antécédents d’hypertension. Chez des volontaires sains du sexe masculin et féminin ayant reçu des doses maximales de rizatriptan (10 mg toutes les 2 heures, 3 doses), de faibles élévations de la pression artérielle (environ 2 à 3 mm Hg) ont été observées. Le rizatriptan est contre-indiqué chez les patients souffrant d’hypertension artérielle incontrôlée (voir sous «Contre-indications»).
-Syndrome sérotoninergique: des cas de syndrome sérotoninergique – une complication susceptible de menacer le pronostic vital – ont été rapportés dans le cadre de traitements associés aux médicaments exerçant des effets sérotoninergiques tels que les inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS), les inhibiteurs de la recapture de la sérotonine et de la noradrénaline (IRSN) ou les triptans. Dans les situations exigeant cliniquement une administration concomitante de Rizatriptan Spirig HC et d’un ISRS (p. ex. sertraline, oxalate d‘escitalopram et fluoxétine) ou d’un IRSN (p. ex. venlafaxine, duloxétine), le patient doit être observé soigneusement, en particulier au début du traitement et lors d’augmentations de la dose. Les symptômes du syndrome sérotoninergique peuvent englober des modifications de l’état mental (p. ex. excitation, hallucinations, agitation, anxiété, irritabilité, délire et coma), une instabilité du système autonome (p. ex. tachycardie, fluctuations de la tension artérielle, hyperthermie), des aberrations neuromusculaires (p. ex. hyperréflexie, manque de coordination) et/ou des symptômes gastro-intestinaux (p. ex. nausées, vomissements, diarrhées) (cf. «Interactions»).
-Une utilisation excessive de médicaments pour le traitement aigu des crises de migraine a été associée à une exacerbation des céphalées (céphalées dues à une surconsommation de médicaments) chez des patients sensibles dans ce domaine. Les céphalées dues à une surconsommation de médicaments peuvent se manifester sous la forme de maux de tête quotidiens de type migraineux ou par une nette augmentation de la fréquence des crises de migraine malgré (ou à cause de) la prise régulière ou excessive de médicaments antimigraineux. Il peut être nécessaire de procéder à une détoxification du patient, incluant un sevrage des médicaments utilisés de façon excessive et un traitement des symptômes de sevrage (ceci peut souvent être associé à une détérioration transitoire des maux de tête).
-Ce médicament contien moins de 1 mmol (23 mg) de sodium par 1 comprimé orodisersible 5mg resp. 10 mg, c.-à .d. qu’il est essentiellement « sans sodium ».
- +Syndrome sérotoninergique: des cas de syndrome sérotoninergique – une complication susceptible de menacer la vie – ont été rapportés dans le cadre de traitements associés aux médicaments exerçant des effets sérotoninergiques tels que les inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS), les inhibiteurs de la recapture de la sérotonine et de la noradrénaline (IRSN) ou les triptans. Dans les situations exigeant cliniquement une administration concomitante de Rizatriptan Spirig HC et d’un ISRS (par exemple sertraline, oxalate d‘escitalopram et fluoxétine) ou d’un IRSN (par exemple venlafaxine, duloxétine), le patient doit être observé soigneusement, en particulier au début du traitement et lors d’augmentations de la dose. Les symptômes du syndrome sérotoninergique peuvent englober des modifications de l’état mental (par exemple excitation, hallucinations, agitation, anxiété, irritabilité, délire et coma), une instabilité du système autonome (par exemple tachycardie, fluctuations de la tension artérielle, hyperthermie), des aberrations neuromusculaires (par exemple hyperréflexie, manque de coordination) et/ou des symptômes gastro-intestinaux (par exemple nausées, vomissements, diarrhées) (voir «Interactions»).
- +Une utilisation excessive de médicaments pour le traitement aigu des crises de migraine a été associée à une exacerbation des céphalées (céphalées dues à une surconsommation de médicaments) chez des patients sensibles dans ce domaine. Les céphalées dues à une surconsommation de médicaments peuvent se manifester sous la forme de maux de tête quotidiens de type migraineux ou par une nette augmentation de la fréquence des crises de migraine malgré (ou à cause de) la prise régulière ou excessive de médicaments antimigraineux. Il peut être nécessaire de procéder à une détoxification du patient, incluant un sevrage des médicaments utilisés de façon excessive et un traitement des symptômes de sevrage (ceci peut souvent être associé à une aggravation transitoire des maux de tête).
- +Ce médicament contien moins de 1 mmol (23 mg) de sodium par 1 comprimé orodisersible 5 mg resp. 10 mg, c.-à .d. qu’il est essentiellement « sans sodium ».
-Inhibiteurs de la monoamine-oxydase: le rizatriptan est principalement métabolisé par la monoamine-oxydase du sous-type «A» (MAO-A). Les concentrations plasmatiques du rizatriptan et de son métabolite actif N-monodesméthyl étaient plus élevées lors de l’administration concomitante d’un inhibiteur sélectif réversible de la MAO-A. Des effets semblables ou plus marqués sont attendus pour des inhibiteurs de la MAO irréversibles, non sélectifs. L’administration de Rizatriptan Spirig HC à des patients prenant des inhibiteurs de la MAO est contre-indiquée (voir sous «Contre-indications»).
-Bêta-bloquants: les concentrations plasmatiques du rizatriptan ont augmenté de 70% lors de l’administration concomitante de propranolol. Cette augmentation du rizatriptan doit probablement être attribuée à une diminution du métabolisme de premier passage car la MAO-A intervient dans le métabolisme des deux substances, le rizatriptan et le propranolol. Chez les patients prenant du propranolol, il convient d’utiliser exclusivement la dose de 5 mg de Rizatriptan Spirig HC (voir sous «Posologie/Mode d’emploi»). Aucune interaction pharmacocinétique n’a été observée entre le rizatriptan et les bêta-bloquants nadolol et métoprolol. Sur la base de résultats obtenus in vitro, aucune interaction pharmacocinétique avec le timolol et l’aténolol n’est attendue.
- +Inhibiteurs de la monoamine-oxydase: le rizatriptan est principalement métabolisé par la monoamine-oxydase du sous-type «A» (MAO-A). Les concentrations plasmatiques du rizatriptan et de son métabolite actif N-monodesméthyl étaient plus élevées lors de l’administration simultanée d’un inhibiteur sélectif réversible de la MAO-A. Des effets semblables ou plus marqués sont attendus pour des inhibiteurs de la MAO irréversibles, non sélectifs. L’administration de Rizatriptan Spirig HC à des patients prenant des inhibiteurs de la MAO est contre-indiquée (voir sous «Contre-indications»).
- +Bêta-bloquants: les concentrations plasmatiques du rizatriptan ont augmenté de 70% lors de l’administration simultanée de propranolol. Cette augmentation du rizatriptan doit probablement être attribuée à une diminution du métabolisme de premier passage car la MAO-A intervient dans le métabolisme des deux substances, le rizatriptan et le propranolol. Chez les patients prenant du propranolol, il convient d’utiliser exclusivement la dose de 5 mg de Rizatriptan Spirig HC (voir sous «Posologie/Mode d’emploi»). Aucune interaction pharmacocinétique n’a été observée entre le rizatriptan et les bêta-bloquants nadolol et métoprolol. Sur la base de résultats obtenus in vitro, aucune interaction pharmacocinétique avec le timolol et l’aténolol n’est attendue.
-Syndrome des inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine/syndrome des inhibiteurs de la recapture de la sérotonine et de la noradrénaline: lors d’une administration concomitante de triptans et d’autres médicaments exerçant des effets sérotoninergiques plus ou moins prononcés, p. ex. inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS), inhibiteurs de la recapture de la sérotonine et de la noradrénaline (IRSN), inhibiteurs de la MAO, L-tryptophane, lithium, antidépresseurs tricycliques, etc., on observe dans de rares cas un syndrome sérotoninergique en tant qu’effet indésirable médicamenteux susceptible de menacer le pronostic vital (cf. la section «Mises en garde et précautions»).
-Grossesse/Allaitement
- +Inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine/ inhibiteurs de la recapture de la sérotonine et de la noradrénaline et syndrome sérotoninergique: lors d’une administration concomitante de triptans et d’autres médicaments exerçant des effets sérotoninergiques plus ou moins prononcés, par exemple inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS), inhibiteurs de la recapture de la sérotonine et de la noradrénaline (IRSN), inhibiteurs de la MAO, L-tryptophane, lithium, antidépresseurs tricycliques, etc., on observe dans de rares cas un syndrome sérotoninergique en tant qu’effet indésirable médicamenteux susceptible de menacer la vie (voir section «Mises en garde et précautions»).
- +Grossesse, Allaitement
- +Grossesse
- +
-Aucune conséquence pour le fœtus ou malformation associée au traitement n’a été observée dans le cadre d’études sur le développement et sur la toxicité au niveau de la reproduction chez le rat et le lapin. Par contre, lors d’une exposition durant le dernier stade de la grossesse ou en période d’allaitement, une diminution de la prise de poids des descendants, sans que des signes de toxicité ne soient apparus chez la mère, a été constatée. Dans le cadre de ces études, les doses médicamenteuses atteintes chez la mère, dans les tissus fœtaux et dans le lait maternel étaient élevées.
- +Aucune conséquence pour le fœtus ou malformation associée au traitement n’a été observée dans le cadre d’études sur le développement et sur la toxicité au niveau de la reproduction chez le rat et le lapin. Par contre, lors d’une exposition durant le dernier stade de la grossesse ou en période d’allaitement, une diminution de la prise de poids des fœtus, sans que des signes de toxicité ne soient apparus chez la mère, a été constatée. Dans le cadre de ces études, les doses médicamenteuses atteintes chez la mère, dans les tissus fœtaux et dans le lait maternel étaient élevées.
-Emploi en période d’allaitement
- +Allaitement
-Incidence dans le cadre d’études cliniques contrôlées: la tolérance du rizatriptan a été testée lors d’études cliniques contrôlées incluant plus de 3700 patients, ayant reçu des doses uniques ou des doses répétées de comprimés de rizatriptan. Les effets indésirables les plus fréquents étaient l’asthénie/la fatigue, la somnolence, la douleur/une sensation d’étau et des vertiges. Ces effets semblaient être dose-dépendants. Dans le cadre d’études au long cours, au cours desquelles les patients ont pu traiter plusieurs crises durant une période pouvant aller jusqu’à un an, 4% des patients (59 sur 1525 patients) ont interrompu l’étude en raison d’effets indésirables.
- +Incidence dans le cadre d’études cliniques contrôlées: la tolérance du rizatriptan a été testée lors d’études cliniques contrôlées incluant plus de 3700 patients, ayant reçu des doses uniques ou des doses répétées de comprimés de rizatriptan. Les effets indésirables les plus fréquents étaient l’asthénie/la fatigue, la somnolence, la douleur/une sensation d’étau et des vertiges. Ces effets semblaient être dépendants de la dose. Dans le cadre d’études au long terme, au cours desquelles les patients ont pu traiter plusieurs crises durant une période pouvant aller jusqu’à une année, 4% des patients (59 sur 1525 patients) ont interrompu l’étude en raison d’effets indésirables.
-% de patients
-Effets indésirables Rizatriptan 5 mg (N = 977) Rizatriptan 10 mg (N = 1167) Placebo (N = 627)
-Sensations atypiques 4 5 4
-Paresthésie 3 4 <2
-Douleur et autres sensations d‘étau 6 9 3
-Douleur pectorale: étau/pression et/ou lourdeur <2 3 1
-Nuque/cou/mâchoire: douleur/étau/pression <2 2 1
-Douleurs locales: étau/pression/lourdeur <1 2 0
-Douleur, localisation non spécifiée 3 3 <2
-Appareil gastro-intestinal 9 13 8
-Sécheresse buccale 3 3 1
-Nausées 4 6 4
-Neurologiques 14 20 11
-Vertiges 4 9 5
-Céphalées <2 2 <1
-Somnolence 4 8 4
- + % des patients
- +Effets indésirables Ritatriptan 5 mg (N=977) Rizatriptan 10 mg (N=1167) Placebo (N=627)
- +Sensations atypiques paresthésie 4 3 5 4 4 <2
- +Douleur et autres sensations d'étau 6 9 3
- +douleur pectorale:
- +étau/pression et/ou lourdeur <2 3 1
- +nuque/cou/mâchoire:
- +douleur/étau/pression <2 2 1
- +douleurs locales:
- +étau/pression/lourdeur <1 2 0
- +douleur, localisation non spécifiée 3 3 <2
- +Tractus digestif sécheresse buccale nausées 9 3 4 13 3 6 8 1 4
- +Neurologiques vertiges céphalées somnolence 14 4 <2 4 20 9 2 8 11 5 <1 4
-Les effets indésirables étaient normalement passagers. La fréquence des effets indésirables dans le cadre des études cliniques n’a pas augmenté lorsque jusqu’à 3 doses ont été prises en l’espace de 24 heures. De même, la fréquence des effets indésirables lors d’une prise concomitante de médicaments normalement utilisés dans le cadre de la prophylaxie de la migraine (y compris propranolol), de contraceptifs oraux ou d’analgésiques est restée identique. L’incidence des effets indésirables n’a pas été influencée par l’âge ou le sexe. On ne dispose pas d’assez de données pour évaluer l’influence de la race sur l’incidence des effets indésirables.
- +Les effets indésirables étaient normalement passagers. La fréquence des effets indésirables dans le cadre des études cliniques n’a pas augmenté lorsque jusqu’à 3 doses ont été prises en l’espace de 24 heures. De même, la fréquence des effets indésirables lors d’une prise simultanée de médicaments normalement utilisés dans le cadre de la prophylaxie de la migraine (y compris propranolol), de contraceptifs oraux ou d’analgésiques est restée identique. L’incidence des effets indésirables n’a pas été influencée par l’âge ou le sexe. On ne dispose pas d’assez de données pour évaluer l’influence de la race sur l’incidence des effets indésirables.
-Occasionnels: pharyngite, infections des voies respiratoires supérieures.
- +Occasionnels: Pharyngite, infections des voies respiratoires supérieures.
-Occasionnels: déshydratation.
-Rares: anorexie, augmentation de l‘appétit.
- +Occasionnels: Déshydratation.
- +Rares: Anorexie, augmentation de l‘appétit.
-Fréquents: hypoesthésie, diminution de l’acuité de la conscience, euphorie et tremblements.
-Occasionnels: nervosité, vertiges, insomnie, anxiété, dépressions, perte du sens de l’orientation, ataxie, dysarthrie, confusion mentale, rêves anormaux, troubles de la marche, irritabilité, troubles de la mémoire, excitation et hyperesthésie.
-Rares: paralysie (langue), syncope, hyperkinésie, hypersomnie, diminution des réflexes, dysesthésie, dépersonnalisation, akinésie/bradykinésie, troubles de l’odorat, peur/inquiétude.
- +Fréquents: Hypoesthésie, diminution de l’acuité de la conscience, euphorie et tremblements.
- +Occasionnels: Nervosité, vertiges, insomnie, anxiété, dépressions, perte du sens de l’orientation, ataxie, dysarthrie, confusion mentale, rêves anormaux, troubles de la marche, irritabilité, troubles de la mémoire, excitation et hyperesthésie.
- +Rares: Paralysie (langue), syncope, hyperkinésie, hypersomnie, diminution des réflexes, dysesthésie, dépersonnalisation, akinésie/bradykinésie, troubles de l’odorat, peur/inquiétude.
-Occasionnels: vision trouble, sécheresse oculaire, brûlures oculaires, douleurs oculaires, irritations oculaires, larmes.
-Rares: photophobie, photopsie, démangeaisons et gonflement des yeux.
- +Occasionnels: Vision trouble, sécheresse oculaire, brûlures oculaires, douleurs oculaires, irritations oculaires, larmes.
- +Rares: Photophobie, photopsie, démangeaisons et gonflement des yeux.
-Occasionnels: acouphènes, douleurs auriculaires.
-Rares: hyperacousie.
- +Occasionnels: Tinnitus, douleurs auriculaires.
- +Rares: Hyperacousie.
-Fréquents: palpitations.
-Occasionnels: arythmie, bradycardie, tachycardie.
-Rares: Angine de poitrine. Un cas d’ischémie coronaire a été suspecté.
- +Fréquents: Palpitations cardiaques.
- +Occasionnels: Arythmie, bradycardie, tachycardie.
- +Rares: Angine de poitrine. (voir « Mises en garde et précautions »).
-Fréquents: rougeur, bouffées de chaleur.
-Occasionnels: extrémités froides, hypertension.
-Affections respiratoires, thoraciques et médiastinaux
-Fréquents: dyspnée.
-Occasionnels: irritation nasale, nez bouché, gorge sèche, bâillement, rétrécissement des voies respiratoires (nasales), sécheresse nasale, épistaxis et troubles des sinus.
-Rares: toux, hoquet, enrouement, écoulement nasal, éternuements, tachypnée et œdème de la gorge.
-Affections gastro-intestinaux
-Fréquents: diarrhée et vomissements.
-Occasionnels: dyspepsie, constipation, flatulences, œdème de la langue, ballonnements abdominaux.
-Rares: gastrite, éructations, dysphagie, régurgitations acides.
- +Fréquents: Rougeur, bouffées de chaleur.
- +Occasionnels: Extrémités froides, hypertension artérielle.
- +Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales
- +Fréquents: Dyspnée.
- +Occasionnels: Irritation nasale, nez bouché, gorge sèche, bâillement, rétrécissement des voies respiratoires (nasales), sécheresse nasale, épistaxis et troubles du sinus.
- +Rares: Toux, hoquet, enrouement, écoulement nasal, éternuements, tachypnée et œdème de la gorge.
- +Affections gastrointestinales
- +Fréquents: Diarrhée et vomissements.
- +Occasionnels: Dyspepsie, constipation, flatulences, œdème de la langue, ballonnements abdominaux.
- +Rares: Gastrite, éructations, dysphagie, régurgitations acides.
-Rares: érythème, acné et photosensibilité.
-Affections musculosquelettiques, du tissu conjonctif
-Occasionnels: myasthénie, rigidités, myalgie, crampes musculaires, douleurs musculaires/squelettiques, arthralgies, spasmes musculaires.
- +Rares: Erythème, acné et photosensibilité.
- +Affections musculosquelettiques et du tissu conjonctif
- +Occasionnels: Myasthénie, rigidités, myalgie, crampes musculaires, douleurs musculaires/squelettiques, arthralgies, spasmes musculaires.
-Occasionnels: miction fréquente, polyurie.
-Rares: dysurie.
- +Occasionnels: Mictions fréquentes, polyurie.
- +Rares: Dysurie.
-Occasionnels: troubles de la menstruation.
- +Occasionnels: Troubles des menstruations.
-Fréquents: sensation de chaud/de froid.
-Occasionnels: soif, frissons, sensibilité à la chaleur, effet de «gueule de bois».
-Rares: fièvre, effets orthostatiques et œdèmes/gonflements.
-Effets rapportés après l’introduction sur le marché
-Dans de très rares cas, les effets indésirables supplémentaires ci-après ont également été rapportés, et la plupart concernaient les patients présentant des facteurs de risque pour une affection cardiovasculaire: ischémie du myocarde ou infarctus du myocarde, accident cérébro-vasculaire.
- +Fréquents: Sensations de chaud/de froid.
- +Occasionnels: Soif, frissons, sensibilité à la chaleur, effet de «gueule de bois».
- +Rares: Fièvre, effets orthostatiques et œdèmes/gonflements.
- +Effets indésirables après commercialisation
-Affections psychiatriques
-Dysgeusie, syndrome sérotoninergique, convulsions.
- +Affections psychiatriques et affections du système nerveux
- +Dysgeusie, syndrome sérotoninergique, convulsion.
-Anomalies de l’ECG.
- +Anomalies de l'ECG. Dans de très rares cas, les effets indésirables supplémentaires ci-après ont été rapportés et la plupart concernaient les patients présantant des facteurs de risque pour une affection cardiovasculaire: Ischémie du myocarde ou infarctus du myocarde (voir «Contre-indications» et «Mises en garde et précautions»).
-Ischémie vasculaire périphérique.
- +Ischémie vasculaire périphérique, accident cérébro-vasculaire.
-Affections gastrointestinales
- +Affections gastro-intestinales
-Troubles généraux et anomalies au au site d’administration
- +Troubles généraux et anomalies au site d’administration
-Plus de 300 patients ont reçu le rizatriptan 40 mg (sous forme de dose unique ou de deux doses avec un intervalle de deux heures entre les prises) et l’ont généralement bien toléré; les vertiges et la somnolence étaient les effets indésirables décrits le plus souvent en relation avec le médicament. Dans le cadre d’une étude clinique pharmacologique avec 12 volontaires, ayant reçu le rizatriptan à une dose cumulée totale de 80 mg (administrée en l’espace de 4 heures), deux volontaires ont subi une syncope et/ou une bradycardie. Un volontaire, une femme âgée de 29 ans, a présenté des vomissements, une bradycardie et des vertiges trois heures après la prise d’une dose totale de 80 mg de rizatriptan (administrée en l’espace de deux heures). Un blocage AV du troisième degré répondant à l’atropine a été constaté une heure après l’apparition d’autres symptômes. Le deuxième volontaire, un homme âgé de 25 ans, a ressenti une obnubilation passagère, une syncope, une incontinence et une pause systolique de 5 secondes (sur le moniteur ECG) immédiatement après une ponction veineuse douloureuse. La prise de sang a été effectuée deux heures après l’administration au volontaire d’une dose totale de 80 mg de rizatriptan (administrée en l’espace de quatre heures). En se basant sur la pharmacologie du rizatriptan, une hypertension artérielle ou d’autres symptômes cardiovasculaires sévères peuvent en outre apparaître après un surdosage. Chez les patients ayant subi un surdosage de Rizatriptan Spirig HC, une décontamination gastro-intestinale (p. ex. lavage gastrique avec administration consécutive de charbon actif) devrait être envisagée. Une surveillance clinique et un monitoring électrocardiographique devraient être menés durant au moins 12 heures, même si aucun symptôme clinique n’est observé.
- +Plus de 300 patients ont reçu le rizatriptan 40 mg (sous forme de dose unique ou de deux doses avec un intervalle de deux heures entre les prises) et l’ont généralement bien toléré; les vertiges et la somnolence étaient les effets indésirables décrits le plus souvent en relation avec le médicament. Dans le cadre d’une étude clinique pharmacologique avec 12 volontaires, ayant reçu le rizatriptan à une dose cumulée totale de 80 mg (administrée en l’espace de 4 heures), deux volontaires ont subi une syncope et/ou une bradycardie. Un volontaire, une femme âgée de 29 ans, a présenté des vomissements, une bradycardie et des vertiges trois heures après la prise d’une dose totale de 80 mg de rizatriptan (administrée en l’espace de deux heures). Un blocage AV du troisième degré répondant à l’atropine a été constaté une heure après l’apparition d’autres symptômes. Le deuxième volontaire, un homme âgé de 25 ans, a ressenti une obnubilation passagère, une syncope, une incontinence et une pause systolique de 5 secondes (sur le moniteur ECG) immédiatement après une ponction veineuse douloureuse. La prise de sang a été effectuée deux heures après l’administration au volontaire d’une dose totale de 80 mg de rizatriptan (administrée en l’espace de 4 heures). En se basant sur la pharmacologie du rizatriptan, une hypertension artérielle ou d’autres symptômes cardiovasculaires sévères peuvent en outre apparaître après un surdosage. Chez les patients ayant subi un surdosage de Rizatriptan Spirig HC, une décontamination gastro-intestinale (p. ex. lavage gastrique avec administration consécutive de charbon actif) devrait être envisagée. Une surveillance clinique et un monitoring électrocardiographique devraient être menés durant au moins 12 heures, même si aucun symptôme clinique n’est observé.
-Code ATC: N02CC04
-Mode d‘action
-Le rizatriptan est un agoniste de la sérotonine actif par voie orale, agissant sélectivement sur les récepteurs 5HT1B/1D, comme démontré dans le cadre d’études de liaison avec des ligands radioactifs et des bioassays pharmacologiques fonctionnels. Le rizatriptan ne possède ni un effet clinique significatif sur les sous-types de récepteurs 5-HT2 ou 5-HT3 ni sur les récepteurs alpha et bêta-adrénergiques, dopaminergiques, histaminiques, muscariniques ou de la benzodiazépine.
- +Code ATC
- +N02CC04
- +Mécanisme d’action
- +Le rizatriptan est un agoniste de la sérotonine actif par voie orale, agissant sélectivement sur les récepteurs 5HT1B/1D, comme démontré dans le cadre d’essais de liaison avec des ligands radioactifs et des bioassays pharmacologiques fonctionnels. Le rizatriptan ne possède ni un effet clinique significatif sur les sous-types de récepteurs 5-HT2 ou 5-HT3 ni sur les récepteurs alpha et bêta-adrénergiques, dopaminergiques, histaminiques, muscariniques ou de la benzodiazépine.
-Pharmacodynamie
-L’efficacité des comprimés de rizatriptan dans le traitement de la crise migraineuse aiguë a été démontrée dans le cadre de quatre études en phase III contrôlées contre placebo, incluant plus de 2000 patients ayant reçu du rizatriptan à la dose de 5 ou 10 mg durant une période pouvant aller jusqu’à un an. Un soulagement des céphalées s’est manifesté déjà 30 minutes après la prise et les taux de réponse (c.-à -d. diminution des céphalées modérées à sévères jusqu’à l’absence de douleur ou des douleurs faibles) 2 heures après le traitement varient entre 67 et 77% avec le comprimé de 10 mg, entre 60 et 63% avec le comprimé de 5 mg et entre 23 et 40% avec le placebo. Le rizatriptan a diminué l’altération fonctionnelle et a soulagé les nausées et la sensibilité au bruit et à la lumière liées à la crise migraineuse.
-Le rizatriptan a également amélioré la capacité à travailler et la participation à la vie sociale et a diminué les sensations d’anxiété durant 24 heures après une crise. L’efficacité était indépendante de la présence d’une aura, de la race, du sexe, de l’âge du patient, de l’emploi concomitant de contraceptifs oraux ou de médicaments usuels pour la prévention de la crise migraineuse (p. ex. bêta-bloquants, antagonistes du calcium, inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine, antidépresseurs tricycliques ou acide valproïque).
- +Efficacité clinique
- +L’efficacité des comprimés de rizatriptan dans le traitement de la crise migraineuse aiguë a été démontrée dans le cadre de quatre études en phase III contrôlées par placebo, incluant plus de 2000 patients ayant reçu du rizatriptan à la dose de 5 ou 10 mg durant une période pouvant aller jusqu’à un an. Un soulagement des céphalées s’est manifesté déjà 30 minutes après la prise et les taux de réponse (c.-à -d. diminution des céphalées modérées à sévères jusqu’à l’absence de douleur ou des douleurs faibles) 2 heures après le traitement varient entre 67 et 77% avec le comprimé de 10 mg, entre 60 et 63% avec le comprimé de 5 mg et entre 23 et 40% avec le placebo. Le rizatriptan a diminué l’altération fonctionnelle et a soulagé les nausées et la sensibilité au bruit et à la lumière liées à la crise migraineuse.
- +Le rizatriptan a également amélioré la capacité à travailler et la participation à la vie sociale et a diminué les sensations d’anxiété durant 24 heures après une crise. L’efficacité était indépendante de la présence d’une aura, de la race, du sexe, de l’âge du patient, de l’emploi concomitant de contraceptifs oraux ou de médicaments usuels pour la prévention de la crise migraineuse (p. ex. bêta-bloquants, antagonistes du calcium, inhibiteurs sélectifs du recaptage de la sérotonine, antidépresseurs tricycliques ou acide valproïque).
-Dans le cadre d’une étude contrôlée par placebo avec des comprimés orodispersibles de rizatriptan, le taux de réponse (c.-à -d. la diminution des céphalées modérées à sévères jusqu’à l’absence de douleurs ou des douleurs légères) 2 heures après le traitement s‘élevait à 66% avec 5 mg ou 10 mg et à 47% avec le placebo. Par rapport au placebo, l’effet des comprimés orodispersibles de rizatriptan était significatif dès 60 minutes.
-Résultats principaux du critère d’évaluation principal «soulagement de la douleur après 2 heures» dans le cadre des études cliniques pivots
-Étude Critère d’évaluation principal efficacité Traitement Résultats n/N (%) Valeur p vs placebo
-022 Soulagement de la douleur au bout de 2 heures Rizatriptan 5 mg 285/457 (62,4) <0,001
-Rizatriptan 10 mg 322/455 (70,8) <0,001
-Placebo 106/302 (35,1)
-025 Soulagement de la douleur au bout de 2 heures Rizatriptan 10 mg 246/320 (76,9) <0,001
-Placebo 30/82 (36,6)
-029 Soulagement de la douleur au bout de 2 heures Rizatriptan 5 mg 223/352 (63,4) <0,001
-Placebo 18/80 (22,5)
-030 Soulagement de la douleur au bout de 2 heures Rizatriptan 5 mg 99/164 (60,4) <0,001
-Rizatriptan 10 mg 258/385 (67,0) <0,001
-Placebo 64/159 (40,3)
-039 Soulagement de la douleur au bout de 2 heures Rizatriptan comprimé orodispersible 5 mg 66/100 (66,0) <0,01
-Rizatriptan comprimé orodispersible 10 mg 75/113 (66,4) <0,01
-Placebo 46/98 (46,9)
- +Dans le cadre d’une étude contrôlée par placebo avec des comprimés orodispersibles de rizatriptan, le taux de réponse (c.-à -d. la diminution des céphalées modérées à sévères jusqu’à l’absence de douleurs ou des douleurs légères) 2 heures après le traitement se montait à 66% avec 5 mg ou 10 mg et à 47% avec le placebo. Par rapport au placebo, l’effet des comprimés orodispersibles de rizatriptan était significatif dès 60 minutes.
- +Résultat principal «soulagement de la douleur après 2 heures» dans le cadre des études cliniques pivots
- + Résultat principal Efficacité Traitement Résultats Valeur p
- +n/N (%)
- +Etude 022 Soulagement des douleurs après 2 heures Rizatriptan 5 mg 285/457 (62,4) <0,001 vs. placebo
- + Rizatriptan 10 mg 322/455 (70,8) <0,001 vs. placebo
- + Placebo 106/302 (35,1)
- +Etude 025 Soulagement des douleurs après 2 heures Rizatriptan 10 mg 246/320 (76,9) <0,001 vs. placebo
- + Placebo 30/82 (36,6)
- +Etude 029 Soulagement des douleurs après 2 heures Rizatriptan 5 mg 223/352 (63,4) <0,001 vs. placebo
- + Placebo 18/80 (22,5)
- +Etude 030 Soulagement des douleurs après 2 heures Rizatriptan 5 mg 99/164 (60,4) <0,001 vs. placebo
- + Rizatriptan 10 mg 258/385 (67,0) <0,001 vs. placebo
- + Placebo 64/159 (40,3)
- +Etude 039 Soulagement des douleurs après 2 heures Rizatriptan comprimés orodispersibles 5 mg 66/100 (66,0) <0,01 vs. placebo
- + Rizatriptan comprimés orodispersibles 10 mg 75/113 (66,4) <0,01 vs. placebo
- + Placebo 46/98 (46,9)
-L’efficacité des comprimés de rizatriptan n’était pas influencée par la menstruation chez 1038 femmes, fait démontré par deux études supplémentaires, multicentriques, randomisées, contrôlées contre placebo.
- +L’efficacité des comprimés de rizatriptan n’était pas influencée par la menstruation chez 1038 femmesdémonstrées par deux études supplementaires, multicentriques, randomisées, contrôlées par placebo.
-Elimination
-La demi-vie d’élimination du rizatriptan chez les hommes et les femmes varie entre 2 et 3 heures environ. La pharmacocinétique du rizatriptan après administration intraveineuse de ≤60 mcg/kg est linéaire chez les hommes et proche de la linéarité chez les femmes. La clairance plasmatique du rizatriptan varie entre 1000 et 1500 ml/min environ chez les hommes et entre 900 et 1100 ml/min chez les femmes; près de 20 à 30% de cette valeur est une clairance rénale (225 à 375 ml/min). Après une dose orale de rizatriptan marqué au 14C, près de 80% de la radioactivité sont éliminés dans les urines, et près de 10% de la dose sont éliminés dans les fèces. Cela montre que les métabolites sont principalement éliminés par les reins.
- +Élimination
- +La demi-vie d’élimination du rizatriptan chez les hommes et les femmes varie entre 2 et 3 heures environ. La pharmacocinétique du rizatriptan après administration intraveineuse de ≤60 µg/kg est linéaire chez les hommes et proche de la linéarité chez les femmes. La clearance plasmatique du rizatriptan varie entre 1000 et 1500 ml/min environ chez les hommes et entre 900 et 1100 ml/min chez les femmes; près de 20 à 30% de cette valeur est une clearance rénale (225 à 375 ml/min). Après une dose orale de rizatriptan marqué au 14C, près de 80% de la radioactivité est éliminée dans les urines, et près de 10% de la dose est éliminée dans les fèces. Cela montre que les métabolites sont principalement éliminés par les reins.
-Patients âgés: chez les volontaires âgés (tranche d’âge de 65 à 77 ans), les concentrations plasmatiques du rizatriptan étaient semblables à celles observées chez les volontaires jeunes.
-Patients plus jeunes: on ne dispose d’aucune donnée relative au traitement par Rizatriptan Spirig HC pour les patients âgés de moins de 18 ans.
-Insuffisance hépatique: après administration orale chez des patients présentant une fonction hépatique limitée, due à une cirrhose hépatique alcoolique légère à modérée, les concentrations plasmatiques du rizatriptan étaient semblables à celles observées chez des personnes jeunes de sexe masculin ou féminin.
-Insuffisance rénale: chez les patients présentant une insuffisance rénale (clairance de la créatinine entre 10 et 60 ml/min/1,73 m²), l’AUC du rizatriptan ne s’est pas différenciée de manière significative de celle chez les personnes saines. Chez les patients sous hémodialyse, l’AUC du rizatriptan était environ supérieure de 44% à celle chez les patients présentant une fonction rénale normale. La concentration plasmatique maximale du rizatriptan chez les patients souffrant de tous les degrés d’insuffisance rénale était semblable à celle des personnes saines.
- +Troubles de la fonction hépatique
- +Après administration orale chez des patients présentant une fonction hépatique limitée, due à une cirrhose hépatique alcoolique légère à modérée, les concentrations plasmatiques du rizatriptan étaient semblables à celles observées chez des personnes jeunes de sexe masculin ou féminin.
- +Troubles de la fonction rénale
- +Chez les patients présentant une insuffisance rénale (clearance de la créatinine entre 10 et 60 ml/min/1,73 m²), l’AUC du rizatriptan ne s’est pas différenciée de manière significative de celle chez les personnes saines. Chez les patients sous hémodialyse, l’AUC du rizatriptan était environ supérieure de 44% à celle chez les patients présentant une fonction rénale normale. La concentration plasmatique maximale du rizatriptan chez les patients souffrant de tous les degrés d’insuffisance rénale était semblable à celle des personnes saines.
- +Patients âgés
- +Chez les volontaires âgés (tranche d’âge de 65 à 77 ans), les concentrations plasmatiques du rizatriptan étaient semblables à celles observées chez les volontaires jeunes.
- +Enfants et adolescents
- +On ne dispose d’aucune donnée relative au traitement par Rizatriptan Spirig HC pour les patients âgés de moins de 18 ans.
- +
-Toxicité chronique
-Le potentiel de toxicité du rizatriptan a été examiné dans le cadre d’une série d’études sur la toxicité, lors desquelles des doses répétées de rizatriptan ont été administrées par voie orale pendant un an à des chiens et des rats, et pendant 14 semaines à des souris. Aucun effet indésirable qui excluerait l’emploi de rizatriptan aux doses thérapeutiques recommandées n’a été observé.
- +Toxicité à long terme (toxicité en cas d’administration répétée)
- +Le potentiel de toxicité du rizatriptan a été examiné dans le cadre d’une série d’études sur la toxicité, lors desquelles des doses répétées de rizatriptan ont été administrées par voie orale pendant une année à des chiens et des rats, et pendant 14 semaines à des souris. Aucun effet indésirable qui excluerait l’emploi de rizatriptan aux doses thérapeutiques recommandées n’a été observé.
- +Mutagénicité
- +Le rizatriptan, avec ou sans activation métabolique, ne s’est avéré ni génotoxique, ni mutagène, ni clastogène dans toutes les études de toxicité génétique in vitro et in vivo, y compris: mutagenèse microbienne, tests in vitro de l’aberration chromosomique, essais in vitro de mutagénicité V-79 sur des mammifères, tests in vitro de lessivage alcalin, tests in vitro sur des hépatocytes de rats, ainsi que tests in vivo de l’aberration chromosomique dans la moelle osseuse de souris.
- +
-Mutagénicité
-Le rizatriptan, avec ou sans activation métabolique, ne s’est avéré ni génotoxique, ni mutagène, ni clastogène dans toutes les études de toxicité génétique in vitro et in vivo, y compris: mutagénicité microbienne, tests in vitro de l’aberration chromosomique, essais in vitro de mutagénicité V-79 sur des mammifères, tests in vitro de lessivage alcalin, tests in vitro sur des hépatocytes de rats, ainsi que tests in vivo de l’aberration chromosomique dans la moelle osseuse de souris.
-Reproduction
- +Toxicité sur la reproduction
-Remarques concernant le stockage
- +Remarques particulières concernant le stockage
-Spirig HealthCare SA, 4622 Egerkingen/Suisse.
- +Spirig HealthCare SA, 4622 Egerkingen.
-Juillet 2012
- +Juin 2020.
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