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Accueil - Information professionnelle sur Zydelig 100 mg - Changements - 01.11.2021
38 Changements de l'information professionelle Zydelig 100 mg
  • -Dans le cadre des études cliniques, idelalisib a été administré en association avec la prémédication antipyrétique et antihistaminique env. 30 minutes avant le début de l'utilisation de rituximab, comme proposé dans l'information professionnelle de rituximab. La première perfusion de rituximab a été effectuée à une dose de 375 mg/m2 de surface corporelle (BSA: body surface area) et les suivants 7 cycles à une dose de 500 mg/m2 de surface corporelle. En total 8 cycles ont été administrés.
  • +Dans le cadre des études cliniques, idelalisib a été administré en association avec la prémédication antipyrétique et antihistaminique env. 30 minutes avant le début de l'utilisation de rituximab, comme proposé dans l'information professionnelle de rituximab. La première perfusion de rituximab a été effectuée à une dose de 375 mg/m2 de surface corporelle (BSA: body surface area) et les suivants 7 cycles à une dose de 500 mg/m2 de BSA. En total 8 cycles ont été administrés.
  • -Très fréquents: pneumonie (18% en monothérapie, 17% en thérapie combinée), infections des voies respiratoires supérieures (18% en monothérapie, 18% en thérapie combinée)
  • -Fréquents: sinusite, septicémie, pneumonie à Pneumocystis jirovecii, infection à CMV
  • -Occasionnels: infections fongiques, herpès zoster disséminé
  • -Rares: leucoencéphalopathie multifocale progressive (voir «Mises en garde et précautions»)
  • +Très fréquents: pneumonie (18% en monothérapie, 17% en thérapie combinée), infections des voies respiratoires supérieures (18% en monothérapie, 18% en thérapie combinée).
  • +Fréquents: sinusite, septicémie, pneumonie à Pneumocystis jirovecii, infection à CMV.
  • +Occasionnels: infections fongiques, herpès zoster disséminé.
  • +Rares: leucoencéphalopathie multifocale progressive (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -Très fréquents: neutropénie (47% en monothérapie, 67% en thérapie combinée), anémie (33% en monothérapie, 44% en thérapie combinée), thrombocytopénie (29% en monothérapie, 37% en thérapie combinée), lymphocytose* (24% en monothérapie, 8% en thérapie combinée), neutropénie fébrile (6% en monothérapie, 13% en thérapie combinée)
  • -Fréquents: pancytopénie
  • +Très fréquents: neutropénie (47% en monothérapie, 67% en thérapie combinée), anémie (33% en monothérapie, 44% en thérapie combinée), thrombocytopénie (29% en monothérapie, 37% en thérapie combinée), lymphocytose* (24% en monothérapie, 8% en thérapie combinée), neutropénie fébrile (6% en monothérapie, 13% en thérapie combinée).
  • +Fréquents: pancytopénie.
  • -Très fréquents: triglycérides élevés (43% en monothérapie, 58% en thérapie combinée), diminution de l'appétit (12% en monothérapie, 17% en thérapie combinée)
  • -Fréquents: hyperglycémie, hyponatrémie, hypercalcémie
  • +Très fréquents: triglycérides élevés (43% en monothérapie, 58% en thérapie combinée), diminution de l'appétit (12% en monothérapie, 17% en thérapie combinée).
  • +Fréquents: hyperglycémie, hyponatrémie, hypercalcémie.
  • -Très fréquents: insomnie (9% en monothérapie, 13% en thérapie combinée)
  • +Très fréquents: insomnie (9% en monothérapie, 13% en thérapie combinée).
  • -Très fréquents: maux de tête (12% en monothérapie, 15% en thérapie combinée)
  • -Occasionnels: accidents ischémiques transitoires (AIT)
  • +Très fréquents: maux de tête (12% en monothérapie, 15% en thérapie combinée).
  • +Occasionnels: accidents ischémiques transitoires (AIT).
  • -Fréquents: thrombose veineuse profonde, embolie pulmonaire
  • -Occasionnels: infarctus du myocarde, défaillance cardiaque droite
  • +Fréquents: thrombose veineuse profonde, embolie pulmonaire.
  • +Occasionnels: infarctus du myocarde, défaillance cardiaque droite.
  • -Très fréquents: toux (25% en monothérapie, 26% en thérapie combinée), dyspnée (13% en monothérapie, 14% en thérapie combinée)
  • -Fréquents: pneumonite, insuffisance respiratoire
  • -Occasionnels: œdème pulmonaire, pneumonie organisée
  • +Très fréquents: toux (25% en monothérapie, 26% en thérapie combinée), dyspnée (13% en monothérapie, 14% en thérapie combinée).
  • +Fréquents: pneumonite, insuffisance respiratoire.
  • +Occasionnels: œdème pulmonaire, pneumonie organisée.
  • -Très fréquents: diarrhée (42% en monothérapie, 48% en thérapie combinée), nausées (27% en monothérapie, 37% en thérapie combinée), vomissements (16% en monothérapie, 21% en thérapie combinée), constipation (14% en monothérapie, 19% en thérapie combinée), douleurs abdominales (11% en monothérapie, 13% en thérapie combinée)
  • -Fréquents: colite
  • +Très fréquents: diarrhée (42% en monothérapie, 48% en thérapie combinée), nausées (27% en monothérapie, 37% en thérapie combinée), vomissements (16% en monothérapie, 21% en thérapie combinée), constipation (14% en monothérapie, 19% en thérapie combinée), douleurs abdominales (11% en monothérapie, 13% en thérapie combinée).
  • +Fréquents: colite.
  • -Très fréquents: transaminases élevées (51% en monothérapie, 66% en thérapie combinée)
  • -Fréquents: lésions hépatocellulaires
  • +Très fréquents: transaminases élevées (51% en monothérapie, 66% en thérapie combinée).
  • +Fréquents: lésions hépatocellulaires.
  • -Très fréquents: exanthème (19% en monothérapie, 27% en thérapie combinée), sueurs nocturnes (13% en monothérapie, 7% en thérapie combinée)
  • -Fréquents: urticaire
  • -Occasionnels: dermatite exfoliative, angiœdème, syndrome d'hypersensibilité médicamenteuse avec éosinophilie et symptômes systémiques (DRESS)
  • -Rares: syndrome de Stevens-Johnson et nécrolyse épidermique toxique (voir «Mises en garde et précautions»)
  • +Très fréquents: exanthème (19% en monothérapie, 27% en thérapie combinée), sueurs nocturnes (13% en monothérapie, 7% en thérapie combinée).
  • +Fréquents: urticaire.
  • +Occasionnels: dermatite exfoliative, angiœdème, syndrome d'hypersensibilité médicamenteuse avec éosinophilie et symptômes systémiques (DRESS).
  • +Rares: syndrome de Stevens-Johnson et nécrolyse épidermique toxique (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -Très fréquents: dorsalgies (12% en monothérapie, 9% en thérapie combinée)
  • -Fréquents: douleurs articulaires
  • +Très fréquents: dorsalgies (12% en monothérapie, 9% en thérapie combinée).
  • +Fréquents: douleurs articulaires.
  • -Fréquents: élévation de la créatinine, défaillance rénale aigüe
  • +Fréquents: élévation de la créatinine, défaillance rénale aigüe.
  • -Très fréquents: pyrexie (31% en monothérapie, 45% en thérapie combinée), frissons (14% en monothérapie, 14% en thérapie combinée), œdèmes périphériques (12% en monothérapie, 12% en thérapie combinée)
  • +Très fréquents: pyrexie (31% en monothérapie, 45% en thérapie combinée), frissons (14% en monothérapie, 14% en thérapie combinée), œdèmes périphériques (12% en monothérapie, 12% en thérapie combinée).
  • -L01XX47
  • +L01EM01
  • -L'étude 312-0116 était une étude de phase 3, randomisée, en double aveugle, contrôlée versus placebo, menée chez 220 patients atteints de LLC déjà traitée précédemment ayant besoin d'un traitement, mais chez lesquels la chimiothérapie cytotoxique était inenvisageable. Les patients ont été randomisés selon un ration de 1:1 pour recevoir 8 cycles de rituximab (premier cycle à 375 mg/m2 de surface corporelle, les cycles suivants à 500 mg/m2 de surface corporelle) en association à un placebo oral pris deux fois par jour ou avec idelalisib 150 mg deux fois par jour jusqu'à la progression de la maladie ou l'apparition d'une toxicité inacceptable.
  • -L'âge médian était de 71 ans (intervalle: 47 à 92 ans), 78,2% des patients étant âgés de plus de 65 ans; 64,1% étaient aux stades III ou IV de la classification de Rai et 55,9% au stade C de la classification de Binet. Le délai médian entre le diagnostic de LLC et la randomisation était de 8,5 ans. Le nombre médian de traitements antérieurs était de 3,0. Presque tous les patients (95,9%) avaient reçu antérieurement un traitement par anticorps monoclonaux anti-CD20. Des facteurs pronostiques cytogénétiques défavorables étaient présents chez la plupart des sujets: 43,2% présentaient une délétion chromosomique 17p et/ou une mutation de la protéine suppresseur de tumeur 53 (TP53) et 83,6% une IGHV (région variable de la chaîne lourde des immunoglobulines) non mutée. Les patients présentaient un score CIRS (Cumulative Illness Rating Scale) médian de 8. Le critère d'évaluation primaire de l'étude était la durée de survie sans progression (PFS; progression free survival), laquelle était évaluée par un comité d'examen indépendant (IRC: independent review committee). Les résultats sont résumés dans le tableau suivant. L'analyse finale montrait une réduction générale du risque de progression de 85% chez les patients traités par idelalisib + rituximab (HR = 0,15), résultats statistiquement significatifs. Une similaire réduction statistiquement significative du risque chez des patients à risque élevé (délétion 17p, mutation TP53) traités par idelalisib + rituximab a été vérifié (87% de réduction du risque de progression). L'analyse de la survie globale (OS; overall survival), un des critères d'évaluation secondaires, montrait une réduction statistiquement significative du risque de décès de 66% chez des patients traités par idelalisib + rituximab.
  • +L'étude 312-0116 était une étude de phase 3, randomisée, en double aveugle, contrôlée versus placebo, menée chez 220 patients atteints de LLC déjà traitée précédemment ayant besoin d'un traitement, mais chez lesquels la chimiothérapie cytotoxique était inenvisageable. Les patients ont été randomisés selon un ration de 1:1 pour recevoir 8 cycles de rituximab (premier cycle à 375 mg/m2 de BSA, les cycles suivants à 500 mg/m2 de BSA) en association à un placebo oral pris deux fois par jour ou avec idelalisib 150 mg deux fois par jour jusqu'à la progression de la maladie ou l'apparition d'une toxicité inacceptable.
  • +L'âge médian était de 71 ans (intervalle: 47 à 92 ans), 78,2% des patients étant âgés de plus de 65 ans; 64,1% étaient aux stades III ou IV de la classification de Rai et 55,9% au stade C de la classification de Binet. Le délai médian entre le diagnostic de LLC et la randomisation était de 8,5 ans. Le nombre médian de traitements antérieurs était de 3. Presque tous les patients (95,9%) avaient reçu antérieurement un traitement par anticorps monoclonaux anti-CD20. Des facteurs pronostiques cytogénétiques défavorables étaient présents chez la plupart des sujets: 43,2% présentaient une délétion chromosomique 17p et/ou une mutation de la protéine suppresseur de tumeur 53 (TP53) et 83,6% une IGHV (région variable de la chaîne lourde des immunoglobulines) non mutée. Les patients présentaient un score CIRS (Cumulative Illness Rating Scale) médian de 8. Le critère d'évaluation primaire de l'étude était la durée de survie sans progression (PFS; progression free survival), laquelle était évaluée par un comité d'examen indépendant (IRC: independent review committee). Les résultats sont résumés dans le tableau suivant. L'analyse finale montrait une réduction générale du risque de progression de 85% chez les patients traités par idelalisib + rituximab (HR = 0,15), résultats statistiquement significatifs. Une similaire réduction statistiquement significative du risque chez des patients à risque élevé (délétion 17p, mutation TP53) traités par idelalisib + rituximab a été vérifié (87% de réduction du risque de progression). L'analyse de la survie globale (OS; overall survival), un des critères d'évaluation secondaires, montrait une réduction statistiquement significative du risque de décès de 66% chez des patients traités par idelalisib + rituximab.
  • -ORR n (%) (IC à 95%) 39 (84,8% (71,1; 73,7) 6 (12,2%) (4,6; 24,8)
  • +ORR n (%) (IC à 95%) 39 (84,8% (71,1; 93,7) 6 (12,2%) (4,6; 24,8)
  • -Le potentiel de cancérogénicité de l'idelalisib a été évalué au cours d'une étude de 26 semaines chez la souris transgénique RasH2 et d'une étude de 2 ans chez le rat. L'idelalisib n'était pas cancérogène chez la souris à des expositions jusqu'à 1,4/7,9 fois (mâles/femelles) supérieures à celles des patients atteints d'hémopathies malignes ayant reçu la dose recommandée de 150 mg deux fois par jour. Un effet dose-dépendant de survenue de tumeurs des cellules des îlots pancréatiques a été observé à une incidence faible chez le rat (mâles) à des expositions jusqu'à 0,4 fois supérieures à celles de l'homme à la dose recommandée. Ce résultat n'a pas été retrouvé chez la rate (femelles) à une marge d'exposition de 0,62.
  • +Le potentiel de cancérogénicité de l'idelalisib a été évalué au cours d'une étude de 26 semaines chez la souris transgénique RasH2 et d'une étude de 2 ans chez le rat. L'idelalisib n'était pas cancérogène chez la souris à des expositions jusqu'à 1,4/7,9 fois (mâles/femelles) supérieures à celles des patients atteints d'hémopathies malignes ayant reçu la dose recommandée de 150 mg deux fois par jour. Un effet dose-dépendant de survenue de tumeurs des cellules des îlots pancréatiques a été observé à une incidence faible chez le rat mâles à des expositions jusqu'à 0,4 fois supérieures à celles de l'homme à la dose recommandée. Ce résultat n'a pas été retrouvé chez la rate femelles à une marge d'exposition de 0,62.
  • -Juillet 2021.
  • +Juillet 2021
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