28 Changements de l'information professionelle Xaluprine 20 mg/ml |
-Deux seringues de dosage (une seringue violette graduée jusqu'à 1 ml et une seringue blanche graduée jusqu’à 5 ml) sont fournies avec le médicament pour une mesure précise de la dose prescrite de suspension orale. Il est recommandé au professionnel de santé de conseiller le patient ou la personne soignante au sujet de la seringue à utiliser pour assurer la prise du volume correct.
- +Deux seringues de dosage (une 1 ml et une 5 ml) sont fournies avec le médicament pour une mesure précise de la dose prescrite de suspension orale. Il est recommandé au professionnel de santé de conseiller le patient ou la personne soignante au sujet de la seringue à utiliser pour assurer la prise du volume correct.
-L’utilisation de Xaluprine chez des patients présentant un déficit en hypoxanthine-guanine-phosphoribosyl-transférase (syndrome de Lesch-Nyhan) n’est pas recommandée en raison du métabolisme anormal de ces patients.
- +L’utilisation de Xaluprine chez des patients présentant un déficit en hypoxanthine-guaninephosphoribosyl-transférase (syndrome de Lesch-Nyhan) n’est pas recommandée en raison du métabolisme anormal de ces patients.
-Les patients traités par la 6mercaptopurine seule ou en association avec d’autres immunosuppresseurs, y compris les corticoïdes, ont montré une augmentation de la sensibilité aux infections virales, fongiques et bactériennes, en particulier des infections sévères ou atypiques, ainsi qu’à une réactivation virale. La maladie infectieuse et ses complications peuvent être plus sévères chez ces patients que chez ceux non traités par le médicament.
-Une exposition antérieure au virus varicelle-zona ou une infection par celui-ci doit être prise en compte avant le début du traitement. Les directives locales doivent être mises en œuvre, y compris un traitement prophylactique le cas échéant. Un test sérologique avant le début du traitement doit être envisagé pour ce qui concerne l’hépatite B. Les directives locales doivent être mises en œuvre, y compris un traitement prophylactique pour les cas montrant des résultats positifs confirmés aux tests sérologiques. Des cas de septicémie neutropénique ont été rapportés chez les patients traités par la 6mercaptopurine pour une LAL.
- +Les patients traités par la 6-mercaptopurine seule ou en association avec d’autres immunosuppresseurs, y compris les corticoïdes, ont montré une augmentation de la sensibilité aux infections virales, fongiques et bactériennes, en particulier des infections sévères ou atypiques, ainsi qu’à une réactivation virale. La maladie infectieuse et ses complications peuvent être plus sévères chez ces patients que chez ceux non traités par le médicament.
- +Une exposition antérieure au virus varicelle-zona ou une infection par celui-ci doit être prise en compte avant le début du traitement. Les directives locales doivent être mises en œuvre, y compris un traitement prophylactique le cas échéant. Un test sérologique avant le début du traitement doit être envisagé pour ce qui concerne l’hépatite B. Les directives locales doivent être mises en œuvre, y compris un traitement prophylactique pour les cas montrant des résultats positifs confirmés aux tests sérologiques. Des cas de septicémie neutropénique ont été rapportés chez les patients traités par la 6-mercaptopurine pour une LAL.
- +Une cholestase gravidique (voir rubrique «Grossesse, Allaitement») associée au traitement par l'azathioprine a été occasionnellement rapportée. Une surveillance des taux de 6-méthyl-mercaptopurine (6-MMP) doit être envisagée en présence d'un prurit associé à une élévation des taux sériques totaux d'acides biliaires maternels pendant le second trimestre de la grossesse afin d'établir un diagnostic précoce et de minimiser l'impact sur le fœtus. En présence d'une cholestase gravidique, une évaluation individuelle est nécessaire en tenant compte du rapport bénéfice/risque du médicament (possibilité d'arrêt du traitement/de réduction de la dose). Chez les patientes qui reçoivent de l'azathioprine, une mort fœtale associée à une cholestase gravidique a été rapportée.
- +PellagreTroubles du métabolisme et de la nutrition
- +L'administration d'analogue de purine (azathioprine et mercaptopurine) peut interférer avec la voie de la niacine et potentiellement donner lieu à un déficit en acide nicotinique/à une pellagre. Quelques cas ont été signalés avec l’utilisation d’azathioprine, en particulier chez des patientes atteintes de MICI (maladie de Crohn, rectocolite hémorragique). Le diagnostic de pellagre doit être envisagé chez toute patiente présentant une éruption cutanée pigmentée localisée (dermatite), une gastro-entérite (diarrhée) et des déficits neurologiques généralisés, incluant un déclin cognitif (démence). Il se peut qu'une réduction de la dose ou un arrêt du traitement par azathioprine ne soit pas nécessaire si l'on instaure un traitement médical adéquat avec une supplémentation en niacine/nicotinamide. Une évaluation rigoureuse individuelle du rapport bénéfice/risque reste néanmoins nécessaire.
- +Une cholestase gravidique associée au traitement par l'azathioprine (une prodrogue de la mercaptopurine) a été occasionnellement rapportée. Un diagnostic précoce et un arrêt du traitement par l'azathioprine peuvent minimiser l'impact sur le fœtus. Néanmoins, une évaluation rigoureuse des bénéfices pour la mère et de l'impact sur le fœtus doit être réalisée si le diagnostic de cholestase gravidique est confirmé (voir «Mises en garde et précautions»).
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-Rares: néoplasies, y compris affections lymphoprolifératives, cancers de la peau (mélanomes et autres), sarcomes (sarcome de Kaposi et autres) et carcinomes in situ du col de l’utérus, leucémies myéloïdes aiguës et myélodysplasies (voir «Mises en garde et précautions»).Très rares: leucémie secondaire et myélodysplasie, lymphome gamma/delta hépatosplénique à cellules T lors de l’utilisation hors homologation de 6mercaptopurine en association avec des médicaments anti-TNF dans le traitement de maladies inflammatoires chroniques de l'intestin (MICI) (indication non autorisée).
- +Rares: néoplasies, y compris affections lymphoprolifératives, cancers de la peau (mélanomes et autres), sarcomes (sarcome de Kaposi et autres) et carcinomes in situ du col de l’utérus, leucémies myéloïdes aiguës et myélodysplasies (voir «Mises en garde et précautions»).
- +Très rares: leucémie secondaire et myélodysplasie, lymphome gamma/delta hépatosplénique à cellules T lors de l’utilisation hors homologation de 6mercaptopurine en association avec des médicaments anti-TNF dans le traitement de maladies inflammatoires chroniques de l'intestin (MICI) (indication non autorisée).
-Pneumonie, zona.Occasionnels: infections bactériennes et virales, infections associées à une neutropénie.
- +Pneumonie, zona.
- +Occasionnels: infections bactériennes et virales, infections associées à une neutropénie.
-Occasionnels: arthralgie, éruption cutanée, fièvre d’origine médicamenteuse.Rares: œdème facial.Cas isolés: syndrome d’activation macrophagique
- +Occasionnels: arthralgie, éruption cutanée, fièvre d’origine médicamenteuse.
- +Rares: œdème facial.
- +Cas isolés: syndrome d’activation macrophagique
-Fréquents: anorexie.Occasionnels: hypoglycémie (chez les enfants et les adolescents)
- +Fréquents: anorexie.
- +Occasionnels: hypoglycémie (chez les enfants et les adolescents).
- +Fréquence inconnue (ne peut être estimée sur la base des données disponibles): pellagre avec éruption cutanée pigmentée localisée (dermatite), gastro-entérite (diarrhée) et déficits neurologiques généralisés, incluant un déclin cognitif (démence).
-Fréquents: stomatite, vomissements, nausées.Occasionnels: pancréatite, ulcération de la bouche.Très rares: ulcérations intestinales.
- +Fréquents: stomatite, vomissements, nausées.
- +Occasionnels: pancréatite, ulcération de la bouche.
- +Très rares: ulcérations intestinales.
-Fréquents: cholestase, hépatotoxicité.Occasionnels: nécrose hépatocellulaire.Fréquence inconnue: hypertension portale, hyperplasie nodulaire régénérative, syndrome d’obstruction sinusoïdale [effets secondaires observés chez les patients souffrant de maladies inflammatoires intestinales (MICI), (indication non autorisée)].
- +Fréquents: cholestase, hépatotoxicité.
- +Occasionnels: nécrose hépatocellulaire.
- +Fréquence inconnue: hypertension portale, hyperplasie nodulaire régénérative, syndrome d’obstruction sinusoïdale [effets secondaires observés chez les patients souffrant de maladies inflammatoires intestinales (MICI), (indication non autorisée)].
-Rares: alopécie, réactions de photosensibilité.Fréquence inconnue: érythème noueux.
- +Rares: alopécie, réactions de photosensibilité.
- +Fréquence inconnue: érythème noueux.
-Des troubles gastro-intestinaux tels que nausées, vomissements, diarrhées et anorexie peuvent éventuellement être les premiers symptômes d’un surdosage. La 6mercaptopurine est toxique surtout pour la moelle osseuse; elle provoque une myélosuppression. Celleci est aggravée lors d'un surdosage chronique. Des troubles de la fonction hépatique et des gastro-entérites peuvent également apparaître.
- +Des troubles gastro-intestinaux tels que nausées, vomissements, diarrhées et anorexie peuvent éventuellement être les premiers symptômes d’un surdosage. La 6mercaptopurine est toxique surtout pour la moelle osseuse; elle provoque une myélosuppression. Celle-ci est aggravée lors d'un surdosage chronique. Des troubles de la fonction hépatique et des gastro-entérites peuvent également apparaître.
-La 6mercaptopurine agit en compétition avec l’hypoxanthine et la guanine sur l’enzyme hypoxanthine-guanine-phosphoribosyl-transférase qui catalyse la transformation de la 6mercaptopurine en acide thio-inosinique (TIMP). Ce dernier bloque la conversion de l’acide inosinique (IMP) en acide xanthique (XMP) et en AMP. Sous l’effet de l’enzyme thiopurine-méthyltransférase (TPMT), il se forme en outre, à partir de l’acide thio-inosinique, le métabolite acide méthylthio-inosinique (MTIMP). Tant l’acide thio-inosinique que l’acide méthylthio-inosinique bloquent la purinosynthèse de novo. L’acide thio-inosinique est également transformé en nucléotides 6thioguanyliques, doués d’une action cytotoxique. L’acide méthylthio-inosinique est transformé en nucléotides S méthylés, eux mêmes cytotoxiques. L’effet cytotoxique de la 6mercaptopurine peut être mis en relation avec les taux érythrocytaires de nucléotides thioguanyliques dérivés de la 6mercaptopurine, mais non avec la concentration plasmatique de la 6mercaptopurine elle-même.
- +La 6mercaptopurine agit en compétition avec l’hypoxanthine et la guanine sur l’enzyme hypoxanthine-guaninephosphoribosyl-transférase qui catalyse la transformation de la 6mercaptopurine en acide thio-inosinique (TIMP). Ce dernier bloque la conversion de l’acide inosinique (IMP) en acide xanthique (XMP) et en AMP. Sous l’effet de l’enzyme thiopurine-méthyltransférase (TPMT), il se forme en outre, à partir de l’acide thio-inosinique, le métabolite acide méthylthio-inosinique (MTIMP). Tant l’acide thio-inosinique que l’acide méthylthio-inosinique bloquent la purinosynthèse de novo. L’acide thio-inosinique est également transformé en nucléotides 6thioguanyliques, doués d’une action cytotoxique. L’acide méthylthio-inosinique est transformé en nucléotides S méthylés, eux mêmes cytotoxiques. L’effet cytotoxique de la 6mercaptopurine peut être mis en relation avec les taux érythrocytaires de nucléotides thioguanyliques dérivés de la 6mercaptopurine, mais non avec la concentration plasmatique de la 6mercaptopurine elle-même.
-65371 (Swissmedic).
- +65371 (Swissmedic)
-Août 2022
- +Août 2023
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