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Accueil - Information professionnelle sur Moxifloxacin Spirig HC 400mg - Changements - 20.07.2019
116 Changements de l'information professionelle Moxifloxacin Spirig HC 400mg
  • -·sinusite aiguë;
  • +·sinusite aiguë
  • -·Pneumonie acquise en communauté (Community Acquired Pneumonia, CAP) légère, sans complications, pouvant être traitée par voie orale. L'expérience dans les infections à L. pneumophila est insuffisante.
  • +·Pneumonie acquise en communauté («Community Acquired Pneumonia», CAP) légère, sans complications, pouvant être traitée par voie orale. L'expérience dans les infections à L. pneumophila est insuffisante.
  • -Les comprimés pelliculés de Moxifloxacin Spirig HC 400 mg ne sont pas recommandés pour une monothérapie des affections inflammatoires pelviennes légères à modérées, mais doivent être prescrits, en raison de la résistance croissante de Neisseria gonorrhoeae à la moxifloxacine, en association avec un autre antibiotique approprié (p.ex. une céphalosporine), sauf si la présence de Neisseria gonorrhoeae résistant à la moxifloxacine peut être exclue (voir rubrique «Mises en garde et précautions»).
  • +Les comprimés pelliculés de Moxifloxacine Spirig HC 400 mg ne sont pas recommandés pour une monothérapie des affections inflammatoires pelviennes légères à modérées, mais doivent être prescrits, en raison de la résistance croissante de Neisseria gonorrhoeae à la moxifloxacine, en association avec un autre antibiotique approprié (p. ex. une céphalosporine), sauf si la présence de Neisseria gonorrhoeae résistant à la moxifloxacine peut être exclue (voir rubrique «Mises en garde et précautions»).
  • -Mode d'administration
  • +Mode dadministration
  • -Traitement par Moxifloxacin Spirig HC comprimés pelliculés 400 mg
  • +Traitement par Moxifloxacine Spirig HC comprimés pelliculés 400 mg
  • -Hypersensibilité à la moxifloxacine, à un autre principe actif de la famille des quinolones ou à l'un des excipients selon la composition.
  • -Grossesse et allaitement.
  • -Enfants et adolescents en phase de croissance <18 ans.
  • -Insuffisance hépatique sévère (Child-Pugh C). En raison de l'absence de données, la moxifloxacine est contre-indiquée chez les patients avec élévation des transaminases 5× supérieure à la limite supérieure de la normale.
  • -Lésion/rupture tendineuse sous traitement par quinolone.
  • -Aucune donnée n'est disponible concernant les patients neutropéniques, les patients souffrant de VIH, les autres patients immunosupprimés et les patients avec infections prothétiques. La moxifloxacine est contre-indiquée dans ces cas.
  • -Que ce soit dans des études précliniques ou chez l'homme, des modifications de l'électrophysiologie cardiaque sous la forme d'un allongement de l'intervalle QT ont été observées après une exposition à la moxifloxacine. Pour des raisons de sécurité d'emploi, l'utilisation thérapeutique de la moxifloxacine est donc contre-indiquée chez les patients présentant
  • -des allongements de l'intervalle QT, congénitaux ou acquis documentés,
  • -des troubles du bilan électrolytique, en particulier en cas d'hypokaliémie non corrigée,
  • -une bradycardie cliniquement significative,
  • -une insuffisance cardiaque cliniquement significative avec diminution de la fraction d'éjection du ventricule gauche,
  • -des antécédents de troubles symptomatiques du rythme cardiaque.
  • +·Hypersensibilité à la moxifloxacine, à un autre principe actif de la famille des quinolones ou à lun des excipients selon la composition.
  • +·Grossesse et allaitement.
  • +·Enfants et adolescents en phase de croissance <18 ans.
  • +·Insuffisance hépatique sévère (Child-Pugh C). En raison de l'absence de données, la moxifloxacine est contre-indiquée chez les patients avec élévation des transaminases 5× supérieure à la limite supérieure de la normale.
  • +·Lésion/rupture tendineuse sous traitement par quinolone.
  • +·Aucune donnée n'est disponible concernant les patients neutropéniques, les patients souffrant de VIH, les autres patients immunosupprimés et les patients avec infections prothétiques. La moxifloxacine est contre-indiquée dans ces cas.
  • +·Que ce soit dans des études précliniques ou chez l'homme, des modifications de l'électrophysiologie cardiaque sous la forme d'un allongement de l'intervalle QT ont été observées après une exposition à la moxifloxacine. Pour des raisons de sécurité d'emploi, l'utilisation thérapeutique de la moxifloxacine est donc contre-indiquée chez les patients présentant
  • +des allongements de lintervalle QT, congénitaux ou acquis documentés,
  • +des troubles du bilan électrolytique, en particulier en cas dhypokaliémie non corrigée,
  • +une bradycardie cliniquement significative,
  • +une insuffisance cardiaque cliniquement significative avec diminution de la fraction déjection du ventricule gauche,
  • +des antécédents de troubles symptomatiques du rythme cardiaque.
  • -·antiarythmiques des classes IA (p.ex. quinidine, hydroquinidine, disopyramide),
  • -·antiarythmiques des classes III (p.ex. amiodarone, sotalol, dofétilide, ibutilide),
  • -·neuroleptiques (p.ex. phénothiazines, pimozide, sertindole, halopéridol, sultopride),
  • +·antiarythmiques des classes IA (p. ex. quinidine, hydroquinidine, disopyramide),
  • +·antiarythmiques des classes III (p. ex. amiodarone, sotalol, dofétilide, ibutilide),
  • +·neuroleptiques (p. ex. phénothiazines, pimozide, sertindole, halopéridol, sultopride),
  • -Chez certains patients, la moxifloxacine provoque un allongement de l'intervalle QTc à l'ECG. L'analyse des ECG enregistrés dans le cadre du programme d'essai clinique a montré sous moxifloxacine un allongement du QTc de 6 msec ±26 msec, 1,4% de la valeur initiale. Chez les patients traités par des médicaments susceptibles de réduire le taux de potassium, la moxifloxacine doit être utilisée avec prudence. Les femmes présentant, par rapport aux hommes, un QTc initial tendanciellement plus long, elles sont probablement plus sensibles à des médications concomitantes prolongeant l'intervalle QTc. Les patients âgés peuvent réagir également plus sensiblement aux effets médicamenteux sur l'intervalle QT. Chez les patients traités par des médicaments pouvant entraîner une bradycardie cliniquement significative, la moxifloxacine doit être utilisée avec prudence. Étant donné l'expérience clinique limitée, la moxifloxacine doit être utilisée avec prudence chez les patients présentant une prédisposition aux arythmies (en particulier les femmes et les patients âgés), p.ex. ceux souffrant d'ischémie aiguë du myocarde. Un allongement du QT peut entraîner un risque accru d'arythmies ventriculaires (y compris de torsades de pointes) et d'arrêt cardiaque. L'importance de l'allongement du QT peut augmenter de manière dose-dépendante, Dans les infections peu sévères surtout, il faut soupeser le bénéfice d'un traitement par la moxifloxacine et le contenu du paragraphe «Mises en garde et précautions». Si des signes d'arythmie cardiaque surviennent sous la moxifloxacine, il faut interrompre le traitement et effectuer un ECG.
  • +Chez certains patients, la moxifloxacine provoque un allongement de l'intervalle QTc à l'ECG. L'analyse des ECG enregistrés dans le cadre du programme d'essai clinique a montré sous moxifloxacine un allongement du QTc de 6 msec ±26 msec, 1,4% de la valeur initiale. Chez les patients traités par des médicaments susceptibles de réduire le taux de potassium, la moxifloxacine doit être utilisée avec prudence. Les femmes présentant, par rapport aux hommes, un QTc initial tendanciellement plus long, elles sont probablement plus sensibles à des médications concomitantes prolongeant l'intervalle QTc. Les patients âgés peuvent réagir également plus sensiblement aux effets médicamenteux sur l'intervalle QT. Chez les patients traités par des médicaments pouvant entraîner une bradycardie cliniquement significative, la moxifloxacine doit être utilisée avec prudence. Étant donné l'expérience clinique limitée, la moxifloxacine doit être utilisée avec prudence chez les patients présentant une prédisposition aux arythmies (en particulier les femmes et les patients âgés), p. ex. ceux souffrant d'ischémie aiguë du myocarde. Un allongement du QT peut entraîner un risque accru d'arythmies ventriculaires (y compris de torsades de pointes) et d'arrêt cardiaque. L'importance de l'allongement du QT peut augmenter de manière dose-dépendante, Dans les infections peu sévères surtout, il faut soupeser le bénéfice d'un traitement par la moxifloxacine et le contenu du paragraphe «Mises en garde et précautions». Si des signes d'arythmie cardiaque surviennent sous la moxifloxacine, il faut interrompre le traitement et effectuer un ECG.
  • +Anévrisme de l'aorte et dissection aortique
  • +Un risque accru d'anévrisme de l'aorte et de dissection aortique après l'utilisation de fluoroquinolones a été rapporté dans le cadre d'études épidémiologiques, notamment chez les personnes âgées. C'est pourquoi les fluoroquinolones ne doivent être utilisées qu'après avoir évalué minutieusement le rapport bénéfice-risque et envisagé d'autres options thérapeutiques chez les patients présentant des antécédents familiaux d'anévrisme ou un diagnostic d'anévrisme de l'aorte et/ou de dissection aortique ou d'autres facteurs de risque ou des facteurs de prédisposition à un anévrisme de l'aorte ou une dissection aortique (p.ex. syndrome de Marfan, syndrome d'Ehlers-Danlos vasculaire, artérite de Takayasu, artérite giganto-cellulaire, maladie de Behçet, hypertension, athérosclérose connue). En cas de douleurs abdominales, thoraciques ou dorsales soudaines, il est recommandé aux patients de se rendre immédiatement aux urgences.
  • +
  • -La maladie inflammatoire pelvienne peut être provoquée par Neisseria gonorrhoeae résistant aux fluoroquinolones. C'est pourquoi dans ces cas, le traitement empirique par la moxifloxacine doit être complété par un autre antibiotique approprié (p.ex. une céphalosporine), sauf si la présence de Neisseria gonorrhoeae résistant à la moxifloxacine peut être exclue. Si aucune amélioration clinique n'intervient au bout de 3 jours de traitement, il convient de réévaluer la thérapie.
  • +La maladie inflammatoire pelvienne peut être provoquée par Neisseria gonorrhoeae résistant aux fluoroquinolones. C'est pourquoi dans ces cas, le traitement empirique par la moxifloxacine doit être complété par un autre antibiotique approprié (p. ex. une céphalosporine), sauf si la présence de Neisseria gonorrhoeae résistant à la moxifloxacine peut être exclue. Si aucune amélioration clinique n'intervient au bout de 3 jours de traitement, il convient de réévaluer la thérapie.
  • -Comme pour toutes les fluoroquinolones, des troubles glycémiques ont également été décrits pour la moxifloxacine, entre autres des hypoglycémies et des hyperglycémies. Chez les patients traités par Moxifloxacin Spirig HC, une dysglycémie est apparue, surtout chez des diabétiques âgés, qui prennent concomitamment un antidiabétique oral (p.ex. sulfonylurée) ou de l'insuline. Chez les diabétiques, une surveillance étroite de la glycémie est recommandée (voir sous «Effets indésirables»).
  • +Comme pour toutes les fluoroquinolones, des troubles glycémiques ont également été décrits pour la moxifloxacine, entre autres des hypoglycémies et des hyperglycémies. Chez les patients traités par Moxifloxacine Spirig HC, une dysglycémie est apparue, surtout chez des diabétiques âgés, qui prennent concomitamment un antidiabétique oral (p. ex. sulfonylurée) ou de l'insuline. Chez les diabétiques, une surveillance étroite de la glycémie est recommandée (voir sous «Effets indésirables»).
  • -Des réactions allergiques ont occasionnellement été rapportées (en partie déjà après la première utilisation). Dans de très rares cas, des réactions anaphylactiques peuvent progresser jusqu'à un choc mettant en jeu le pronostic vital, parfois déjà après la première utilisation. Dans ces cas, il faut arrêter la moxifloxacine et instaurer un traitement adéquat (p.ex. traitement d'un choc).
  • +Des réactions allergiques ont occasionnellement été rapportées (en partie déjà après la première utilisation). Dans de très rares cas, des réactions anaphylactiques peuvent progresser jusqu'à un choc mettant en jeu le pronostic vital, parfois déjà après la première utilisation. Dans ces cas, il faut arrêter la moxifloxacine et instaurer un traitement adéquat (p. ex. traitement d'un choc).
  • -Interactions avec d'autres médicaments
  • +Interactions avec dautres médicaments
  • -Après administration répétée de moxifloxacine et de digoxine à des volontaires sains, les pics de concentration de la digoxine ont augmenté d'environ 30% à l'état d'équilibre, sans importance clinique, alors que les ASC et les concentrations minimales n'ont pas varié.
  • +Après administration répétée de moxifloxacine et de digoxine à des volontaires sains, les pics de concentration de la digoxine ont augmenté d'environ 30 % à l'état d'équilibre, sans importance clinique, alors que les ASC et les concentrations minimales n'ont pas varié.
  • -Chez des diabétiques qui avaient été traités au préalable par 2,5 mg de glibenclamide une fois par jour pendant 2 semaines et avaient pris ensuite en plus 400 mg par jour de moxifloxacine pendant 5 jours, une diminution de l'ASC moyenne de 12% et une diminution de la Cmax de 21% ont été constatées par comparaison avec le placebo. Les glycémies ont cependant été un peu plus faibles chez les patients ayant pris le glibenclamide et la moxifloxacine que chez les patients n'ayant pris que le glibenclamide. On suppose donc que la moxifloxacine ne perturbe pas l'efficacité du glibenclamide. Ces résultats d'interactions sont considérés comme cliniquement non significatifs.
  • +Chez des diabétiques qui avaient été traités au préalable par 2,5 mg de glibenclamide une fois par jour pendant 2 semaines et avaient pris ensuite en plus 400 mg par jour de moxifloxacine pendant 5 jours, une diminution de l'ASC moyenne de 12 % et une diminution de la Cmax de 21 % ont été constatées par comparaison avec le placebo. Les glycémies ont cependant été un peu plus faibles chez les patients ayant pris le glibenclamide et la moxifloxacine que chez les patients n'ayant pris que le glibenclamide. On suppose donc que la moxifloxacine ne perturbe pas l'efficacité du glibenclamide. Ces résultats d'interactions sont considérés comme cliniquement non significatifs.
  • -Un intervalle d'environ 6 heures devrait être respecté entre l'administration d'un médicament contenant des cations bivalents ou trivalents (p.ex. antiacides à base de magnésium ou d'aluminium, comprimés de didanosine, sucralfate, médicaments à base de fer ou de zinc) et l'administration des comprimés pelliculés de Moxifloxacin Spirig HC.
  • +Un intervalle d'environ 6 heures devrait être respecté entre l'administration d'un médicament contenant des cations bivalents ou trivalents (p. ex. antiacides à base de magnésium ou d'aluminium, comprimés de didanosine, sucralfate, médicaments à base de fer ou de zinc) et l'administration des comprimés pelliculés de Moxifloxacine Spirig HC.
  • -Un effet additif de la moxifloxacine et des médicaments suivants sur l'allongement du QT ne peut être exclu: antiarythmiques des classes IA (p.ex. quinidine, hydroquinidine, disopyramide) et III (p.ex. amiodarone, sotalol, dofétilide, ibutilide), neuroleptiques (p.ex. phénothiazines, pimozide, sertindole, halopéridol, sultopride), antidépresseurs tricycliques, certains principes actifs antimicrobiens (sparfloxacine, érythromycine IV, pentamidine, antipaludéens, en particulier halofantrine), certains antihistaminiques (mizolastine) et autres (cisapride, vincamine IV). Ceci pourrait entraîner un risque accru d'arythmies ventriculaires, notamment de torsades de pointes. La moxifloxacine est donc contre-indiquée chez les patients traités par ces médicaments (voir aussi «Contre-indications»).
  • +Un effet additif de la moxifloxacine et des médicaments suivants sur l'allongement du QT ne peut être exclu: antiarythmiques des classes IA (p. ex. quinidine, hydroquinidine, disopyramide) et III (p. ex. amiodarone, sotalol, dofétilide, ibutilide), neuroleptiques (p. ex. phénothiazines, pimozide, sertindole, halopéridol, sultopride), antidépresseurs tricycliques, certains principes actifs antimicrobiens (sparfloxacine, érythromycine IV, pentamidine, antipaludéens, en particulier halofantrine), certains antihistaminiques (mizolastine) et autres (cisapride, vincamine IV). Ceci pourrait entraîner un risque accru d'arythmies ventriculaires, notamment de torsades de pointes. La moxifloxacine est donc contre-indiquée chez les patients traités par ces médicaments (voir aussi «Contre-indications»).
  • -En cas d'administration concomitante de charbon actif et de comprimés pelliculés de Moxifloxacin Spirig HC 400 mg, la résorption du principe actif est inhibée, la disponibilité systémique de la moxifloxacine est réduite de plus de 80%. C'est pourquoi l'administration concomitante des deux médicaments n'est pas recommandée (voir aussi «Surdosage»).
  • +En cas d'administration concomitante de charbon actif et de comprimés pelliculés de Moxifloxacine Spirig HC 400 mg, l’absorptiondu principe actif est inhibée, la disponibilité systémique de la moxifloxacine est réduite de plus de 80 %. C'est pourquoi l'administration concomitante des deux médicaments n'est pas recommandée (voir aussi «Surdosage»).
  • -Aucune étude n'a été effectuée sur l'effet de la moxifloxacine sur l'aptitude à la conduite ou la vigilance. Les fluoroquinolones peuvent diminuer l'aptitude des patients à conduire une voiture et à travailler sur des machines, du fait de réactions SNC comme l'apathie et les troubles visuels. Dans les études cliniques sur la moxifloxacine, l'incidence de l'apathie a été de 2,9%. Les patients doivent être attentifs à leur réaction à la moxifloxacine avant de prendre le volant ou de travailler sur des machines.
  • +Aucune étude n'a été effectuée sur l'effet de la moxifloxacine sur l'aptitude à la conduite ou la vigilance. Les fluoroquinolones peuvent diminuer l'aptitude des patients à conduire une voiture et à travailler sur des machines, du fait de réactions SNC comme l'apathie et les troubles visuels. Dans les études cliniques sur la moxifloxacine, l'incidence de l'apathie a été de 2,9 %. Les patients doivent être attentifs à leur réaction à la moxifloxacine avant de prendre le volant ou de travailler sur des machines.
  • -Excepté les nausées et la diarrhée, tous les effets indésirables «fréquents» du médicament ont été observés avec une incidence inférieure à 3%.
  • +Excepté les nausées et la diarrhée, tous les effets indésirables «fréquents» du médicament ont été observés avec une incidence inférieure à 3 %.
  • -Fréquent: 1–10%
  • -Occasionnel: 0,1–1%
  • -Rare: 0,01–0,1%
  • -Très rare: <0,01%.
  • +Fréquent: 1–10 %
  • +Occasionnel: 0,1–1 %
  • +Rare: 0,01–0,1 %
  • +Très rare: <0,01 %
  • -Fréquent (1–10%): surinfections mycotiques (candidose orale, candidose vaginale).
  • +Fréquent (1–10 %): surinfections mycotiques (candidose orale, candidose vaginale).
  • -Occasionnel (0,1–1%): anémie, leucopénie, neutropénie, thrombopénie, thrombocytose, élévation de l'INR/prolongation du temps de prothrombine.
  • -Rare (0,01–0,1%): valeurs de la thromboplastine en dehors de la norme, hémolyse.
  • -Très rare (<0,01%): élévation du taux de prothrombine/INR réduit, taux de prothrombine/INR en dehors de la norme.
  • +Occasionnel (0,1–1 %): anémie, leucopénie, neutropénie, thrombopénie, thrombocytose, élévation de l'INR/prolongation du temps de prothrombine.
  • +Rare (0,01–0,1 %): valeurs de la thromboplastine en dehors de la norme, hémolyse.
  • +Très rare (<0,01 %): élévation du taux de prothrombine/INR réduit, taux de prothrombine/INR en dehors de la norme.
  • -Occasionnel (0,1–1%): réactions allergiques, urticaire, éosinophilie.
  • -Rare (0,01–0,1%): réactions anaphylactiques/anaphylactoïdes, œdème allergique/angio-œdème (y compris œdème du larynx; mettant potentiellement en jeu le pronostic vital).
  • -Très rare (<0,01%): choc anaphylactique/anaphylactoïde (mettant potentiellement en jeu le pronostic vital).
  • +Occasionnel (0,1–1 %): réactions allergiques, urticaire, éosinophilie.
  • +Rare (0,01–0,1 %): réactions anaphylactiques/anaphylactoïdes, œdème allergique/angio-œdème (y compris œdème du larynx; mettant potentiellement en jeu le pronostic vital).
  • +Très rare (<0,01 %): choc anaphylactique/anaphylactoïde (mettant potentiellement en jeu le pronostic vital).
  • -Occasionnel (0,1–1%): hyperlipidémie, hyperglycémie.
  • -Rare (0,01–0,1%): hyperuricémie, hypoglycémie.
  • -Très rare (<0,01%): hypernatriémie, hypercalcémie.
  • +Occasionnel (0,1–1 %): hyperlipidémie, hyperglycémie.
  • +Rare (0,01–0,1 %): hyperuricémie, hypoglycémie.
  • +Très rare (<0,01 %): hypernatriémie, hypercalcémie.
  • -Occasionnel (0,1–1%): états anxieux, hyperactivité motrice/agitation, confusion, nervosité.
  • -Rare (0,01–0,1%): instabilité émotionnelle, dépressions (dans de très rares cas jusqu'à un comportement dangereux pour la personne comme p.ex. idées suicidaires ou tentatives de suicide), hallucinations, pensées confuses.
  • -Très rare (<0,01%): dépersonnalisation, réactions psychotiques (jusqu' à un comportement dangereux pour la personne comme p.ex. idées suicidaires ou tentatives de suicide).
  • +Occasionnel (0,1–1 %): états anxieux, hyperactivité motrice/agitation, confusion, nervosité.
  • +Rare (0,01–0,1 %): instabilité émotionnelle, dépressions (dans de très rares cas jusqu'à un comportement dangereux pour la personne, comme p. ex. idées suicidaires ou tentatives de suicide), hallucinations, pensées confuses.
  • +Très rare (<0,01 %): dépersonnalisation, réactions psychotiques (jusqu' à un comportement dangereux pour la personne, comme p. ex. idées suicidaires ou tentatives de suicide).
  • -Fréquent (1–10%): céphalées, obnubilation.
  • -Occasionnel (0,1–1%): paresthésies et dyesthésies, troubles du goût (y compris de très rares cas d'agueusie), confusion, troubles de l'orientation, troubles du sommeil, tremor, vertiges, somnolence.
  • -Rare (0,01–0,1%): hypesthésie, troubles de l'odorat (y compris anosmie), insomnie, rêves anormaux, troubles de la coordination (y compris troubles de la marche à la suite de vertiges et d'obnubilation, dans de très rares cas ceci peut entraîner des chutes avec blessures, particulièrement chez les patients âgés), convulsions de degrés cliniques différents (y compris convulsions tonicocloniques), déficits de l'attention, troubles du langage, amnésie, troubles de l'équilibre, y compris ataxie, troubles du goût de longue durée, neuropathie périphérique et polyneuropathie.
  • -Très rare (<0,01%): hyperesthésie.
  • +Fréquent (1–10 %): céphalées, obnubilation.
  • +Occasionnel (0,1–1 %): paresthésies et dyesthésies, troubles du goût (y compris de très rares cas d'agueusie), confusion, troubles de l'orientation, troubles du sommeil, tremor, vertiges, somnolence.
  • +Rare (0,01–0,1 %): hypesthésie, troubles de l'odorat (y compris anosmie), insomnie, rêves anormaux, troubles de la coordination (y compris troubles de la marche à la suite de vertiges et dobnubilation, dans de très rares cas ceci peut entraîner des chutes avec blessures, particulièrement chez les patients âgés), convulsions de degrés cliniques différents (y compris convulsions tonicocloniques), déficits de l'attention, troubles du langage, amnésie, troubles de l'équilibre, y compris ataxie, troubles du goût de longue durée, neuropathie périphérique et polyneuropathie.
  • +Très rare (<0,01 %): hyperesthésie.
  • -Occasionnel (0,1–1%): troubles de la vue (particulièrement en rapport avec des effets indésirables sur le SNC), amblyopie.
  • -Très rare (<0,01%): perte transitoire des capacités visuelles (notamment en rapport avec des effets indésirables sur le SNC).
  • +Occasionnel (0,1–1 %): troubles de la vue (particulièrement en rapport avec des effets indésirables sur le SNC), amblyopie.
  • +Très rare (<0,01 %): perte transitoire des capacités visuelles (notamment en rapport avec des effets indésirables sur le SNC).
  • -Rare (0,01–0,1%): acouphènes, perturbation de la capacité auditive, y compris surdité (normalement réversible).
  • +Rare (0,01–0,1 %): acouphènes, perturbation de la capacité auditive, y compris surdité (normalement réversible).
  • -Fréquent (1–10%): chez les patients souffrant également d'hypokaliémie: allongement de l'intervalle QT.
  • -Occasionnel (0,1–1%): chez les patients présentant une normokaliémie: allongement de l'intervalle QT, palpitations, tachycardie.
  • -Rare (0,01–0,1%): tachyarythmies ventriculaires, syncopes, fibrillation auriculaire, angine de poitrine, arythmie ventriculaire.
  • -Très rare (<0,01%): arythmies non spécifiques, torsades de pointes et arrêt cardiaque surtout chez les patients souffrant de maladies primaires sévères prédisposant aux arythmies telles une bradycardie cliniquement significative ou une ischémie myocardique aiguë.
  • +Fréquent (1–10 %): chez les patients souffrant également d'hypokaliémie: allongement de l'intervalle QT.
  • +Occasionnel (0,1–1 %): chez les patients présentant une normokaliémie: allongement de l'intervalle QT, palpitations, tachycardie.
  • +Rare (0,01–0,1 %): tachyarythmies ventriculaires, syncopes, fibrillation auriculaire, angine de poitrine, arythmie ventriculaire.
  • +Très rare (<0,01 %): arythmies non spécifiques, torsades de pointes et arrêt cardiaque surtout chez les patients souffrant de maladies primaires sévères prédisposant aux arythmies telles une bradycardie cliniquement significative ou une ischémie myocardique aiguë.
  • -Occasionnel (0,1–1%): vasodilatation, hypertension.
  • -Rare (0,01–0,1%): hypotension, œdèmes du visage, œdèmes périphériques, œdèmes.
  • +Occasionnel (0,1–1 %): vasodilatation, hypertension.
  • +Rare (0,01–0,1 %): hypotension, œdèmes du visage, œdèmes périphériques, œdèmes.
  • -Occasionnel (0,1–1%): dyspnée (y compris états asthmatiques), douleurs thoraciques.
  • -Rare (0,01–0,1%): asthme.
  • +Occasionnel (0,1–1 %): dyspnée (y compris états asthmatiques), douleurs thoraciques.
  • +Rare (0,01–0,1 %): asthme.
  • -Fréquent (1–10%): nausées, vomissements, douleurs gastro-intestinales et dans le bas ventre, diarrhée, dyspepsie.
  • -Occasionnel (0,1–1%): réduction de l'appétit et de la prise de nourriture, constipation, flatulence, gastroentérite (y compris gastroentérite érosive), augmentation de valeurs des amylases, sécheresse buccale, sensation générale de malaise.
  • -Rare (0,01–0,1%): dysphagie, stomatite, colite associée aux antibiotiques (dans de très rares cas avec complications mettant en jeu le pronostic vital), glossite.
  • +Fréquent (1–10 %): nausées, vomissements, douleurs gastro-intestinales et dans le bas ventre, diarrhée, dyspepsie.
  • +Occasionnel (0,1–1 %): réduction de l'appétit et de la prise de nourriture, constipation, flatulence, gastroentérite (y compris gastroentérite érosive), augmentation de valeurs des amylases, sécheresse buccale, sensation générale de malaise.
  • +Rare (0,01–0,1 %): dysphagie, stomatite, colite associée aux antibiotiques (dans de très rares cas avec complications mettant en jeu le pronostic vital), glossite.
  • -Fréquent (1–10%): élévation des transaminases.
  • -Occasionnel (0,1–1%): troubles de la fonction hépatique (y compris élévation LDH), élévation des taux de bilirubine, des GGT, des taux sanguins de la phosphatase alcaline.
  • -Rare (0,01–0,1%): ictère, hépatite (principalement cholestatique).
  • -Très rare (<0,01%): hépatite fulminante, pouvant potentiellement entraîner une insuffisance hépatique pouvant mettre en jeu le pronostic vital (y compris décès, voir rubrique «Mises en garde et précautions»).
  • +Fréquent (1–10 %): élévation des transaminases.
  • +Occasionnel (0,1–1 %): troubles de la fonction hépatique (y compris élévation LDH), élévation des taux de bilirubine, des GGT, des taux sanguins de la phosphatase alcaline.
  • +Rare (0,01–0,1 %): ictère, hépatite (principalement cholestatique).
  • +Très rare (<0,01 %): hépatite fulminante, pouvant potentiellement entraîner une insuffisance hépatique pouvant mettre en jeu le pronostic vital (y compris décès, voir rubrique «Mises en garde et précautions»).
  • -Occasionnel (0,1–1%): rash, prurit, transpiration.
  • -Rare (0,01–0,1%): sécheresse de la peau.
  • -Très rare (<0,01%): des réactions cutanées bulleuses du type syndrome de Stevens-Johnson ou nécrolyse épidermique toxique (menaçant éventuellement le pronostic vital, voir rubrique «Mises en garde et précautions»).
  • -Affections musculo-squelettiques, du tissu conjonctif et des os
  • -Occasionnel (0,1–1%): arthralgie, myalgie, douleurs non spécifiques.
  • -Rare (0,01–0,1%): arthrite, tendinite, augmentation du tonus musculaire, crampes musculaires, faiblesse musculaire, douleurs dans les jambes, douleurs dans le bassin, douleurs dorsales.
  • -Très rare (<0,01%): rupture tendineuse, troubles de la marche (entraînés par des troubles touchant les muscles, les tendons ou les articulations). Aggravation des symptômes liés à une myasthénie grave (voir rubrique «Mises en garde et précautions»).
  • +Occasionnel (0,1–1 %): rash, prurit, transpiration.
  • +Rare (0,01–0,1 %): sécheresse de la peau.
  • +Très rare (<0,01 %): des réactions cutanées bulleuses du type syndrome de Stevens-Johnson ou nécrolyse épidermique toxique (menaçant éventuellement le pronostic vital, voir rubrique «Mises en garde et précautions»).
  • +Affections musculo-squelettiques, du tissu conjonctif et des os Occasionnel (0,1–1 %): arthralgie, myalgie, douleurs non spécifiques.
  • +Rare (0,01–0,1 %): arthrite, tendinite, augmentation du tonus musculaire, crampes musculaires, faiblesse musculaire, douleurs dans les jambes, douleurs dans le bassin, douleurs dorsales.
  • +Très rare (<0,01 %): rupture tendineuse, troubles de la marche (entraînés par des troubles touchant les muscles, les tendons ou les articulations). Aggravation des symptômes liés à une myasthénie grave (voir rubrique «Mises en garde et précautions»).
  • -Occasionnel (0,1–1%): déshydratation à la suite de diarrhées ou d'une ingestion réduite de liquide.
  • -Rare (0,01–0,1%): troubles de la fonction rénale, élévation de l'urée ou de la créatinine, insuffisance rénale aiguë (à la suite d'une déshydratation, particulièrement chez les patients plus âgés avec maladie rénale préexistante).
  • -Affections des organes de reproduction et du sein Rare (0,01–0,1%): vaginite.
  • +Occasionnel (0,1–1 %): déshydratation à la suite de diarrhées ou d'une ingestion réduite de liquide.
  • +Rare (0,01–0,1 %): troubles de la fonction rénale, élévation de l'urée ou de la créatinine, insuffisance rénale aiguë (à la suite d'une déshydratation, particulièrement chez les patients plus âgés avec maladie rénale préexistante).
  • +Affections des organes de reproduction et du sein
  • +Rare (0,01–0,1 %): vaginite.
  • -Rare (0,01–0,1%): asthénie.
  • +Rare (0,01–0,1 %): asthénie.
  • -Fréquent (1–10%): modifications des tests de la fonction hépatique (souvent élévation modérée des ASAT/ALAT et/ou de la bilirubine).
  • -Occasionnel (0,1–1%): élévation des gamma GT, élévation des amylases.
  • +Fréquent (1–10 %): modifications des tests de la fonction hépatique (souvent élévation modérée des ASAT/ALAT et/ou de la bilirubine).
  • +Occasionnel (0,1–1 %): augmentation des gamma GT, élévation des amylases.
  • -Les effets indésirables suivants sont survenus avec une fréquence plus élevée dans le sousgroupe des patients traités par voie parentérale (indépendamment d'un traitement oral consécutif):
  • +Les effets indésirables suivants sont survenus avec une fréquence plus élevée dans le sous-groupe des patients traités par voie parentérale (indépendamment d'un traitement oral consécutif):
  • -Il n'existe pas d'expérience de surdosage avec la moxifloxacine. Aucune mesure spécifique n'est recommandée après un surdosage accidentel, toutefois, il faut surveiller l'ECG en raison de la survenue potentielle d'un allongement de l'intervalle QT. Un traitement symptomatique général doit être instauré.
  • +Il n'existe pas d'expérience de surdosage avec la moxifloxacine. Aucune mesure spécifique n'est recommandée après un surdosage accidentel ; toutefois, il faut surveiller l'ECG en raison de la survenue potentielle d'un allongement de l'intervalle QT. Un traitement symptomatique général doit être instauré.
  • -Mécanisme d'action
  • +Mécanisme daction
  • -La moxifloxacine est également efficace contre des bactéries résistantes aux antibiotiques β-lactames et macrolides. L'expérimentation animale confirme que son activité contre les bactéries Gram positives et négatives est comparable in vivo et in vitro.
  • +La moxifloxacine est également efficace contre des bactéries résistantes aux antibiotiques β-lactames et macrolides. L'expérimentation animale confirme que son activité contre les bactéries Gram positives et Gram négatives est comparable in vivo et in vitro.
  • -Les mécanismes de résistance inactivant les pénicillines, céphalosporines, aminoglycosides, macrolides et tétracyclines n'ont aucune influence sur l'activité antibactérienne de la moxifloxacine. Cependant, d'autres mécanismes de résistance comme des barrières de perméation (souvent p.ex. avec P. aeruginosa) et des mécanismes d'efflux, peuvent aussi influencer la sensibilité de bactéries à la moxifloxacine. Il n'y a pas de résistance croisée entre la moxifloxacine et ces classes de substances. Aucune résistance transmise par plasmide n'a été observée.
  • -La résistance à la moxifloxacine se développe lentement, par mutations en plusieurs étapes, et provient de modifications des sites de liaison (p.ex. au niveau des topo-isomérases II et IV), et par mécanisme d'efflux. L'incidence des résistances est très faible (10–7–10–10). L'exposition répétée de germes à des concentrations sous-inhibitrices n'a fait qu'augmenter légèrement les CMI.
  • +Les mécanismes de résistance inactivant les pénicillines, céphalosporines, aminoglycosides, macrolides et tétracyclines n'ont aucune influence sur l'activité antibactérienne de la moxifloxacine. Cependant, d'autres mécanismes de résistance comme des barrières de perméation (souvent p. ex. avec P. aeruginosa) et des mécanismes d'efflux, peuvent aussi influencer la sensibilité de bactéries à la moxifloxacine. Il n'y a pas de résistance croisée entre la moxifloxacine et ces classes de substances. Aucune résistance transmise par plasmide n'a été observée.
  • +La résistance à la moxifloxacine se développe lentement, par mutations en plusieurs étapes, et provient de modifications des sites de liaison (p. ex. au niveau des topo-isomérases II et IV), et par mécanisme d'efflux. L'incidence des résistances est très faible (10–7–10–10). L'exposition répétée de germes à des concentrations sous-inhibitrices n'a fait qu'augmenter légèrement les CMI.
  • - ≥18 mm 15–17 mm ≤14 mm
  • + ≥18 mm 15–17 mm ≤14 mm
  • - ≥18 mm – –
  • -Staphylococcus spp. ≤0,5 mg/l 1 mg/l ≥2 mg/l
  • - ≥24 mm 21–23 mm ≤20 mm
  • + ≥18 mm – –
  • +Staphylococcus ≤0,5 mg/l 1 mg/l ≥2 mg/l
  • +spp. ≥24 mm 21–23 mm ≤20 mm
  • -Micro-organismes aérobies à Gram positif Gardnerella vaginalis Staphylococcus aureus (sensible à la méthicilline)* Streptococcus agalactiae Streptococcus dysgalactiae Streptococcus milleri groupe (S. anginosus*, S. constellatus* et S. intermedius*) Streptococcus pneumoniae* Streptococcus pyogenes* (groupe A) Streptococcus viridans groupe (S. viridans, S. mutans, S. mitis, S. sanguinis, S. salivarius, S. thermophilus, S. constellatus) Staphylocoques coagulase-négative (S. cohnii, S. epidermidis, S. haemolyticus, S. hominis, S. saprophyticus, S. simulans) souches sensibles à la méthicilline
  • +·Micro-organismes aérobies à Gram positif ·Gardnerella vaginalis Staphylococcus aureus (sensible à la méthicilline)* Streptococcus agalactiae Streptococcus dysgalactiae Streptococcus milleri groupe (S. anginosus*, S. constellatus* et S. intermedius*) Streptococcus pneumoniae* Streptococcus pyogenes* (groupe A) Streptococcus viridans groupe (S. viridans, S. mutans, S. mitis, S. sanguinis, S. salivarius, S. thermophilus, S. constellatus) Staphylocoques coagulase-négative (S. cohnii, S. epidermidis, S. haemolyticus, S. hominis, S. saprophyticus, S. simulans) souches sensibles à la méthicilline
  • -+ Moxifloxacin Spirig HC n'est pas recommandé dans le traitement des infections provoquées par S. aureus résistant à la méthicilline (SARM). En cas d'infection à SARM présumée ou avérée, il faut administrer un anti-infectieux adéquat.
  • ++ Moxifloxacine Spirig HC n'est pas recommandé dans le traitement des infections provoquées par S. aureus résistant à la méthicilline (SARM). En cas d'infection à SARM présumée ou avérée, il faut administrer un anti-infectieux adéquat.
  • -Forme galénique intraveineuse orale
  • -Paramètres (moyennes) AUC/MIC90 [h] Cmax/MIC90a) AUC/MIC90 [h] Cmax/MIC90
  • -
  • +Forme galénique intraveineuse orale
  • +Paramètres AUC/MICR90 CRmaxR/MICR9 AUC/MICR90 CRmaxR/MICR90
  • +(moyennes) [h] Pa) [h]
  • +
  • -a) Durée de la perfusion: 1 heure.
  • +Pa)P Durée de la perfusion: 1 heure.
  • -Après administration orale, la moxifloxacine est résorbée rapidement et en quasi totalité, et sa biodisponibilité absolue se situe autour de 90%.
  • +Après administration orale, la moxifloxacine est résorbée rapidement et en quasi totalité, et sa biodisponibilité absolue se situe autour de 90 %.
  • -À l'état d'équilibre, les concentrations plasmatiques maximales et minimales sont resp. de 3,2 et 0,6 mg/l. À l'état d'équilibre, l'exposition dans l'intervalle posologique est environ 30% supérieure à celle constatée après la première administration.
  • -La prise concomitante d'aliments et de moxifloxacine prolonge d'environ 2 heures la durée pour atteindre les pics de concentration du principe actif et abaisse le pic de concentration d'environ 16%. Dans l'ensemble, l'importance de la résorption reste cependant inchangée. C'est pourquoi la moxifloxacine peut être administrée sans tenir compte des repas.
  • +À l'état d'équilibre, les concentrations plasmatiques maximales et minimales sont resp. de 3,2 et 0,6 mg/l. À l'état d'équilibre, l'exposition dans l'intervalle posologique est environ 30 % supérieure à celle constatée après la première administration.
  • +La prise concomitante d'aliments et de moxifloxacine prolonge d'environ 2 heures la durée pour atteindre les pics de concentration du principe actif et abaisse le pic de concentration d'environ 16 %. Dans l'ensemble, l'importance de la résorption reste cependant inchangée. C'est pourquoi la moxifloxacine peut être administrée sans tenir compte des repas.
  • -L'ASCnorm est élevée, soit 6 kg/h/l, le volume de distribution apparent à l'état d'équilibre (Vss) est d'env. 2 l/kg. Du fait de sa faible liaison aux protéines (env. 45%), les pics de concentration plasmatique sont élevés (>10× la CMI).
  • +L'ASCnorm est élevée, soit 6 kg/h/l, le volume de distribution apparent à l'état d'équilibre (Vss) est d'env. 2 l/kg. Du fait de sa faible liaison aux protéines (env. 45 %), les pics de concentration plasmatique sont élevés (>10× la CMI).
  • -Liquide interstitiel 1,0 mg/l² 0,8–1,4²,³
  • +Liquide interstitiel 1,0 mg/l² 0,8–1,4 2, 3
  • -³ 3–36 heures après l'administration.
  • +³ 3–36 heures après ladministration.
  • -La moxifloxacine passe par une biotransformation de phase II et est éliminée par voie rénale et biliaire aussi bien sous forme non métabolisée que de glucuronide (M2) et de sulfoconjugué (M1). Les métabolites M1 et M2, seuls importants chez l'être humain, sont microbiologiquement inactifs. Après son administration orale, env. 96% de la dose se retrouvent dans l'urine (env. 19% non métabolisés, env. 2,5% M1 et env. 14% M2) et dans les selles (env. 25% non métabolisés, env. 36% M1 et pas de M2).
  • +La moxifloxacine passe par une biotransformation de phase II et est éliminée par voie rénale et biliaire aussi bien sous forme non métabolisée que de glucuronide (M2) et de sulfoconjugué (M1). Les métabolites M1 et M2, seuls importants chez l'être humain, sont microbiologiquement inactifs. Après son administration orale, env. 96 % de la dose se retrouvent dans l'urine (env. 19 % non métabolisés, env. 2,5 % M1 et env. 14 % M2) et dans les selles (env. 25 % non métabolisés, env. 36 % M1 et pas de M2).
  • -Environ 19% de la moxifloxacine sont éliminés tels quels dans l'urine et env. 25% dans les selles. Environ 3,5% de la dose se retrouvent sous forme de M1 dans l'urine et 36% dans les selles. Environ 14% se retrouvent dans l'urine sous forme de M2.
  • +Environ 19 % de la moxifloxacine sont éliminés tels quels dans l'urine et env. 25 % dans les selles. Environ 3,5 % de la dose se retrouvent sous forme de M1 dans l'urine et 36 % dans les selles. Environ 14 % se retrouvent dans l'urine sous forme de M2.
  • -Conserver à température ambiante (15–25 °C).
  • +Conserver à température ambiante (15–25° C).
  • -Comprimés pelliculés à 400 mg: 65383 (Swissmedic).
  • +Comprimés pelliculés à 400 mg: 65383 (Swissmedic),
  • -Juin 2017.
  • +Décembre 2018.
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