36 Changements de l'information professionelle Vi-De 3 Huile 0.5 mg/ml |
-Principe actif: Cholecalciferolum.
-Excipients: Excip. ad sol. oleosum (triglycéride à chaîne moyenne).
-Forme galénique et quantité de principe actif par unité
-1 ml de solution-gouttes (= 40 gouttes) contient 0,5 mg de Cholecalciferolum, correspondant à 20'000 U.I. de vitamine D3 (1 goutte contient 500 U.I.).
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- +Principes actifs
- +Cholecalciferolum.
- +Excipients
- +Triglycerida media.
- +
- +
-·Prophylaxie du rachitisme.
-·Prophylaxie du rachitisme chez le prématuré.
-·Traitement du rachitisme.
-·Prophylaxie lors de risque connu d'une maladie due à une carence en vitamine D chez le patient sinon bien portant, sans risque de trouble de la résorption.
-·Prophylaxie lors de risque connu d'une maladie due à une carence en vitamine D lors de malabsorption.
-·Thérapie de l'ostéomalacie.
- +·Prophylaxie du rachitisme
- +·Prophylaxie du rachitisme chez le prématuré
- +·Prophylaxie lors de risque connu d'une maladie due à une carence en vitamine D chez le patient sinon bien portant, sans trouble de l'absorption
- +·Prophylaxie lors de risque connu d'une maladie due à une carence en vitamine D lors d'une malabsorption
- +·Traitement du rachitisme
- +·Traitement de l'ostéomalacie
-·Prophylaxie du rachitisme: 1 goutte par jour de Calciferol D3 (correspondant à 0,0125 mg ou 500 U.I. de vitamine D).
-·Prophylaxie du rachitisme chez le prématuré: une administration de 2 gouttes par jour de Calciferol D3 (correspondant à 0,025 mg ou 1'000 U.I de vitamine D) est recommandée en règle générale. Le dosage est déterminé par le médecin traitant. (Comparer à ce sujet avec «Mises en garde et précautions» et «Interactions».)
-·Thérapie du rachitisme chez le nourrisson et le petit enfant: il est recommandé de donner en règle générale 2 à 10 gouttes de Calciferol D3 (correspondant à 0,025 mg ou 1'000 U.I. à 0,125 mg ou 5'000 U.I. de vitamine D). Le dosage sera fixé individuellement par le médecin suivant le genre et la gravité de l'état. (Comparer à ce sujet avec «Mises en garde et précautions» et «Interactions».)
-·Prophylaxie lors d'un risque reconnu d'une maladie due à une carence en vitamine D chez le patient sinon bien portant, sans trouble de l'absorption: 1 goutte par jour de Calciferol D3 (correspondant à 0,0125 mg ou 500 U.I. de vitamine D).
-·Prophylaxie lors d'un risque reconnu d'une maladie due à une carence en vitamine D en cas de malabsorption: il est recommandé de donner en règle générale 6 à 10 gouttes par jour de Calciferol D3 (correspondant à 0,075 mg ou 3'000 U.I. à 0,125 mg ou 5'000 U.I. de vitamine D). Le dosage sera fixé individuellement par le médecin traitant. (Comparer à ce sujet avec «Mises en garde et précautions» et «Interactions».)
-·Thérapie de l'ostéomalacie: il est recommandé de donner en règle générale 2 à 10 gouttes par jour de Calciferol D3 (correspondant à 0,025 mg ou 1'000 U.I. à 0,125 mg ou 5'000 U.I. de vitamine D). Le dosage sera fixé individuellement par le médecin traitant selon le genre et la gravité de l'état. (Comparer à ce sujet avec «Mises en garde et précautions» et «Interactions».)
-Au cours d'un traitement de longue durée par la Calciferol D3, les taux de calcium sérique et urinaire devraient être régulièrement surveillés et la fonction rénale contrôlée par la mesure de la créatinine sérique. Le cas échéant, entreprendre un ajustement du dosage selon les valeurs du calcium sérique. (Comparer à ce sujet avec «Mises en garde et précautions» et «Interactions».)
-Prophylaxie du rachitisme chez le nourrisson et le petit enfant
-Les nourrissons et les petits enfants reçoivent Calciferol D3 dès la deuxième semaine de vie jusqu'à la fin de la première année. Pendant leur deuxième année, il est recommandé de continuer à administrer Calciferol D3, avant tout pendant les mois hivernaux.
-On donne les gouttes dans une cuillère de lait maternel, de lait ou de bouillie. Lorsque les gouttes ont été intégrées à un repas à la bouteille ou de bouillie, il est important que la consommation soit totale, faute de quoi l'entier de la quantité de principe actif ne serait pas ingéré.
-Enfants plus grands et adultes
-Les enfants plus âgés et les adultes peuvent prendre Calciferol D3 sans le diluer.
-La durée d'utilisation dépend de l'évolution de la maladie.
- +Posologie usuelle
- +·Pour la prophylaxie du rachitisme chez le nourrisson et le petit enfant, il est recommandé de donner en règle générale 1 goutte de Calciferol D3 (correspondant à 0,0125 mg ou 500 U.I. de vitamine D). La posologie sera fixée par le médecin traitant (comparer à ce sujet avec «Mises en garde et précautions» et «Interactions»).
- +·Pour la prophylaxie du rachitisme chez le prématuré, il est recommandé de donner en règle générale 2 gouttes par jour de Calciferol D3 (correspondant à 0,025 mg ou 1000 U.I. de vitamine D). La posologie sera fixée par le médecin traitant (comparer à ce sujet avec «Mises en garde et précautions» et «Interactions»).
- +·Pour la prophylaxie lors d'un risque reconnu d'une maladie due à une carence en vitamine D chez le patient sinon bien portant, sans trouble de l'absorption: 1 goutte par jour de Calciferol D3 (correspondant à 0,0125 mg ou 500 U.I. de vitamine D).
- +·Pour la prophylaxie lors d'un risque reconnu d'une maladie due à une carence en vitamine D en cas de malabsorption, il est recommandé de donner en règle générale 6 à 10 gouttes par jour de Calciferol D3 (correspondant à une quantité allant de 0,075 mg ou 3000 U.I. à 0,125 mg ou 5000 U.I. de vitamine D). La posologie sera fixée individuellement par le médecin traitant (comparer à ce sujet avec «Mises en garde et précautions» et «Interactions»).
- +·Pour le traitement du rachitisme chez le nourrisson et le petit enfant, il est recommandé de donner en règle générale 2 à 10 gouttes par jour de Calciferol D3 (correspondant à une quantité allant de 0,025 mg ou 1000 U.I. à 0,125 mg ou 5000 U.I. de vitamine D). La posologie sera fixée individuellement par le médecin traitant suivant le type et la gravité de l'état (comparer à ce sujet avec «Mises en garde et précautions» et «Interactions»).
- +·Pour le traitement de l'ostéomalacie, il est recommandé de donner en règle générale 2 à 10 gouttes par jour de Calciferol D3 (correspondant à une quantité allant de 0,025 mg ou 1000 U.I. à 0,125 mg ou 5000 U.I. de vitamine D). La posologie sera fixée individuellement par le médecin traitant suivant le type et la gravité de l'état (comparer à ce sujet avec «Mises en garde et précautions» et «Interactions»).
- +Durée du traitement
- +Au cours d'un traitement de longue durée par Calciferol D3, les taux de calcium sérique et urinaire devraient être régulièrement surveillés et la fonction rénale contrôlée par la mesure de la créatinine sérique. Le cas échéant, il faut entreprendre une adaptation de la posologie selon les valeurs du calcium sérique (comparer à ce sujet avec «Mises en garde et précautions» et «Interactions»).
- +·Prophylaxie du rachitisme chez le nourrisson et le petit enfant: les nourrissons et les petits enfants reçoivent Calciferol D3 dès la deuxième semaine de vie et jusqu'à la fin de la première année. Pendant leur deuxième année, il est recommandé de continuer à administrer Calciferol D3, avant tout pendant les mois hivernaux.
- +·Enfants plus âgés et adultes: la durée d'utilisation dépend de l'évolution de la maladie.
- +Mode d'administration
- +Pour les nourrissons et les petits enfants, il faut donner les gouttes dans une cuillère de lait maternel, de lait ou de bouillie. Si les gouttes sont ajoutées à un repas en biberon ou à une bouillie, il faut veiller à ce que tout le repas soit consommé. Sinon, toute la quantité de principe actif ne sera pas prise.
- +Les enfants et adultes peuvent prendre Calciferol D3 non dilué.
-Si un dosage plus précis est souhaité (1 goutte = 100 U.I. de vitamine D3), une solution-gouttes à l'alcool avec la vitamine D3 (Vi-De 3®, 4'500 U.I. par ml) est également disponible.
- +Si un dosage plus précis est souhaité (1 goutte = 100 U.I. de vitamine D3), une solution-gouttes à l'alcool avec de la vitamine D3 (Vi-De 3®, 4500 U.I. par ml) est également disponible.
-Hypersensibilité au principe actif Cholecalciferolum ou à un des excipients selon la composition.
-Calciferol D3 ne doit pas être pris en cas d'hypercalcémie et/ou d'hypercalciurie.
-Calciferol D3 ne devrait pas être pris lors de tendance à la formation de calculs rénaux calciques.
-Calciferol D3 ne devrait être utilisé qu'avec des précautions particulières chez des patients présentant une élimination rénale de calcium et de phosphates perturbée, lors de traitement par des dérivés de benzothiadiazine et chez des patients en état d'immobilisation (risque d'hypercalcémie et d'hypercalciurie). Les taux de calcium sérique et urinaire devraient être surveillés chez ces patients.
-Calciferol D3 ne devrait être utilisé qu'avec précaution chez les patients atteints de sarcoïdose, du fait de l'existence d'un risque accentué de transformation de la vitamine D en ses métabolites actifs. Les taux de calcium plasmatique et urinaire devraient être surveillés chez ces patients.
-Calciferol D3 ne devrait pas être pris lors de pseudohypoparathyroïdie (le besoin en vitamine D peut, par la sensibilité alternée normale à la vitamine D, être abaissé, avec le risque d'un surdosage de longue durée). Pour de tels cas, des dérivés de la vitamine D mieux contrôlables sont disponibles.
- +·Hypersensibilité au principe actif Cholecalciferolum ou à l'un des excipients (voir «Composition»).
- +·Calciferol D3 ne doit pas être pris en cas d'hypercalcémie et d'hypercalciurie.
- +·Calciferol D3 ne devrait pas être pris s'il existe une tendance à la formation de calculs rénaux calciques.
- +·Calciferol D3 ne devrait être utilisé qu'avec des précautions particulières chez des patients présentant des troubles de l'élimination rénale du calcium et des phosphates, lors d'un traitement par des dérivés de benzothiadiazine et chez les patients en état d'immobilisation (risque d'hypercalcémie et d'hypercalciurie). Les taux de calcium plasmatique et urinaire devraient être surveillés chez ces patients.
- +·Calciferol D3 ne devrait être utilisé qu'avec précaution chez les patients atteints de sarcoïdose, du fait de l'existence d'un risque de transformation accentuée de la vitamine D en ses métabolites actifs. Les taux de calcium plasmatique et urinaire devraient être surveillés chez ces patients.
- +·Calciferol D3 ne devrait pas être pris en cas de pseudohypoparathyroïdie (le besoin en vitamine D peut être moindre à cause de la sensibilité à la vitamine D, qui est normale seulement par intermittence, et il demeure ainsi un risque de surdosage de longue durée). Pour de tels cas, des dérivés de la vitamine D mieux contrôlables sont disponibles.
-Dose journalière jusqu'à 500 U.I./d
-Calciferol D3 ne devrait être prescrit à des patients souffrant de sarcoïdose qu'avec précaution, car le risque d'une transformation accentuée de la vitamine D en ses métabolites actifs existe. Chez ces patients, les taux de calcium sérique et urinaire devraient être surveillés.
-Chez les patients atteints d'insuffisance rénale devant être traités avec Calciferol D3, l'action sur l'équilibre phosphocalcique doit être surveillée.
-Dose journalière supérieure à 500 U.I./d
-Pendant un traitement au long cours par Calciferol D3, les taux de calcium sérique et urinaire devraient être surveillés chez les patients, ainsi que la fonction rénale par la mesure de la créatinine sérique. Cette vérification est particulièrement importante chez les patients âgés et lors de traitement concomitant par des glycosides cardiaques ou des diurétiques. En cas d'hypercalcémie ou de signe d'une fonction rénale diminuée, la dose doit être réduite ou le traitement suspendu. Il est recommandé de réduire la dose ou d'interrompre le traitement lorsque le taux de calcium urinaire dépasse 7,5 mmol/24 heures (300 mg/24 heures).
-Chez les patients atteints de sarcoïdose, Calciferol D3 ne doit être prescrit qu'avec précaution, car le risque d'une transformation accentuée de la vitamine D en ses métabolites actifs existe. Chez ces patients, les taux de calcium sérique et urinaire devraient être surveillés.
-Chez les patients avec insuffisance rénale traités par Calciferol D3, l'action sur le bilan phosphocalcique devrait être surveillée.
- +Doses journalières jusqu'à 500 U.I./d
- +·Calciferol D3 ne devrait être prescrit qu'avec précaution chez les patients atteints de sarcoïdose du fait de l'existence d'un risque de transformation accentuée de la vitamine D en ses métabolites actifs. Les taux de calcium sérique et urinaire devraient être surveillés chez ces patients.
- +·Chez les patients atteints d'insuffisance rénale devant être traités par Calciferol D3, l'action sur l'équilibre phosphocalcique doit être surveillée.
- +Doses journalières supérieures à 500 U.I./d
- +·Pendant un traitement au long cours par Calciferol D3, les taux de calcium sérique et urinaire devraient être surveillés, ainsi que la fonction rénale contrôlée par la mesure de la créatinine sérique. Cette vérification est particulièrement importante chez les patients âgés et lors d'un traitement concomitant par des glycosides cardiaques ou des diurétiques. En cas d'hypercalcémie ou de signes d'une fonction rénale diminuée, la dose doit être réduite ou le traitement suspendu. Il est recommandé de réduire la dose ou d'interrompre le traitement lorsque le taux de calcium urinaire dépasse 7,5 mmol/24 heures (300 mg/24 heures).
- +·Calciferol D3 ne devrait être prescrit qu'avec précaution chez les patients atteints de sarcoïdose du fait de l'existence d'un risque de transformation accentuée de la vitamine D en ses métabolites actifs. Les taux de calcium sérique et urinaire devraient être surveillés chez ces patients.
- +·Chez les patients atteints d'insuffisance rénale devant être traités par Calciferol D3, l'action sur l'équilibre phosphocalcique doit être surveillée.
- +·Une prudence particulière est demandée en cas de prise de doses supplémentaires de vitamine D, p.ex. contenue dans d'autres médicaments.
- +Patients pédiatriques
- +·L'utilisation concomitante d'autres produits contenant de la vitamine D doit être évitée, surtout chez les nourrissons. En cas de doute, c'est le médecin qui décidera de l'utilisation complémentaire d'une alimentation enrichie en vitamines ou d'une alimentation pour nourrissons, ainsi que de la prise de médicaments contenant de la vitamine D.
- +·Il est déconseillé d'utiliser un traitement comportant des doses très élevées de vitamine D, comme le traitement de choc intermittent, sans, au préalable, déterminer la concentration sérique de 25-hydroxycholécalciférol et surveiller le taux sérique de 25hydroxycholécalciférol et de calcium.
-Lorsqu'un autre médicament contenant de la vitamine D est prescrit, la dose de vitamine D de Calciferol D3 doit être prise en compte. L'administration complémentaire de vitamine D ou de calcium ne doit être effectuée que sous surveillance médicale. Dans de tels cas, les taux de calcium sérique et urinaire doivent être surveillés (voir ci-dessus).
-La phénytoïne et les barbituriques peuvent entraver l'action de la vitamine D.
-Les diurétiques thiazidiques peuvent induire une hypercalcémie due à la diminution de l'élimination calcique rénale. De ce fait, les taux de calcium plasmatique et urinaire devraient être surveillés pendant un traitement au long cours.
-L'administration concomitante de glucocorticoïdes peut entraver l'action de la vitamine D.
-La toxicité des glycosides cardiaques peut s'élever suite à une augmentation du taux de calcium pendant un traitement par la vitamine D (risque de troubles du rythme cardiaque). Les patients devraient être surveillés en ce qui concerne l'ECG et les taux de calcium plasmatique et urinaire.
- +·Lorsqu'un autre médicament contenant de la vitamine D est prescrit, la dose de vitamine D de Calciferol D3 doit être prise en compte. L'administration complémentaire de vitamine D ou de calcium ne doit être effectuée que sous surveillance médicale. Dans de tels cas, les taux de calcium sérique et urinaire doivent être surveillés (voir ci-dessus).
- +·La phénytoïne et les barbituriques peuvent faire diminuer la concentration plasmatique de 25-hydroxycholécalciférol et accroître le métabolisme dans les métabolites inactifs.
- +·Les diurétiques thiazidiques peuvent induire une hypercalcémie due à la diminution de l'élimination calcique rénale. De ce fait, les taux de calcium plasmatique et urinaire devraient être surveillés pendant un traitement au long cours.
- +·L'administration concomitante de glucocorticoïdes peut diminuer l'action de la vitamine D et l'absorption du calcium.
- +·La toxicité des glycosides cardiaques peut s'élever à la suite d'une augmentation du taux de calcium pendant un traitement par vitamine D (risque de troubles du rythme cardiaque). Les patients devraient être surveillés par le biais de l'ECG et des taux de calcium plasmatique et urinaire.
- +·La rifampicine et l'isoniazide peuvent faire augmenter le métabolisme de la vitamine D et donc diminuer son efficacité.
- +
-Dose journalière jusqu'à 500 U.I./d pendant la grossesse
-A ce jour aucun risque n'est connu aux dosages recommandés.
-Des surdosages de vitamine D de longue durée pendant la grossesse doivent être évités, car l'hypercalcémie qui en découlerait peut conduire à des retards corporels et intellectuels, à des sténoses supravalvulaires aortiques et à une rétinopathie de l'enfant.
-Dose journalière supérieure à 500 U.I./d pendant la grossesse
-Pendant la grossesse, Calciferol D3 ne doit être pris qu'après une sévère évaluation de l'indication et dosé uniquement à ce qui est absolument nécessaire pour remédier à la carence. Des surdosages de vitamine D pendant la grossesse doivent être évités, car une hypercalcémie de longue durée peut conduire à un retard physique et mental, à des sténoses aortiques supravalvulaires et à une rétinopathie de l'enfant.
- +Grossesse
- +Doses journalières jusqu'à 500 U.I./d pendant la grossesse
- +A ce jour, aucun risque n'est connu aux doses recommandées.
- +Des surdosages de vitamine D de longue durée pendant la grossesse doivent être évités, car l'hypercalcémie qui en découlerait pourrait conduire à des retards physiques et mentaux, à des sténoses supravalvulaires aortiques et à une rétinopathie de l'enfant.
- +Doses journalières supérieures à 500 U.I./d pendant la grossesse
- +Pendant la grossesse, Calciferol D3 ne doit être pris qu'après une évaluation sérieuse de l'indication et sa dose doit correspondre uniquement à ce qui est absolument nécessaire pour remédier à la carence. Des surdosages de vitamine D pendant la grossesse doivent être évités, car une hypercalcémie de longue durée peut conduire à des retards physiques et mentaux, à des sténoses aortiques supravalvulaires et à une rétinopathie de l'enfant.
-La vitamine D et ses métabolites passent dans le lait maternel. Un surdosage par cette voie chez le nourrisson n'a pas été observé.
- +La vitamine D et ses métabolites passent dans le lait maternel. Chez le nourrisson, un surdosage par cette voie n'a pas été observé.
-Non pertinent.
- +Aucune étude correspondante n'a été effectuée.
-Les effets indésirables apparaissent à la suite d'un surdosage. (Voir «Surdosage».)
- +Les effets indésirables mentionnés ci-après apparaissent à la suite d'un surdosage (voir «Surdosage»). Il n'est donc pas possible d'estimer la fréquence des effets indésirables.
- +Troubles du métabolisme et de la nutrition
- +Hypercalcémie et hypercalciurie.
- +Affections gastro-intestinales
- +Symptômes gastro-intestinaux, tels que constipation, flatulences, nausées, douleurs abdominales ou diarrhées.
- +Affections de la peau et du tissu sous-cutané
- +Réactions d'hypersensibilité, telles que prurit, éruption cutanée ou urticaire.
- +L'annonce d'effets secondaires présumés après l'autorisation est d'une grande importance. Elle permet un suivi continu du rapport bénéfice-risque du médicament. Les professionnels de santé sont tenus de déclarer toute suspicion d'effet secondaire nouveau ou grave via le portail d'annonce en ligne ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet sur www.swissmedic.ch.
-Une grave hypercalcémie de longue durée dépendante du dosage et de la durée du traitement peut entraîner des suites aiguës (troubles du rythme cardiaque, nausée, vomissement, symptômes psychiques, troubles de la conscience) ou chroniques (besoins urinaires plus fréquents, sentiment de soif augmenté, inappétence, perte de poids, formations de calculs rénaux, calcification rénale, calcification de tissus hors de l'os).
-Des suites fatales dans des cas individuels ont été rapportées (voir aussi: «Mises en garde et précautions» et «Interactions».)
-Symptômes d'un surdosage
-Dose journalière jusqu'à 500 U.I./d
-Un surdosage de vitamine D de longue durée peut conduire à une hypercalcémie et à une hypercalciurie. Un dépassement important des besoins de longue durée peut induire une calcification des organes parenchymateux.
-Dose journalière de plus de 500 U.I./d
-Le cholécalciférol (vitamine D3) possède seulement un champ thérapeutique relativement étroit. Chez l'adulte à fonction normale des parathyroïdes, le palier de l'intoxication à la vitamine D se situe entre 40'000 et 100'000 U.I. par jour pendant plus de 1 à 2 mois. Les nourrissons et petits enfants peuvent réagir de manière sensible à des concentrations beaucoup plus faibles. C'est pourquoi il est fortement déconseillé d'administrer de la vitamine D sans contrôle médical.
-Lors de surdosage apparaît, en plus d'une augmentation phosphorique sérique et urinaire, un syndrome d'hypercalcémie, puis plus tard également un dépôt de calcium dans les tissus et principalement dans les reins (néphrolithiasis, néphrocalcinose) et dans les vaisseaux.
-Les symptômes d'intoxication sont très peu caractéristiques et se traduisent par des nausées, des vomissements, au début fréquemment par de la dysenterie, puis plus tard par de la constipation, de l'anorexie, de l'abattement, des maux de tête, des douleurs musculaires et articulaires, des faiblesses musculaires ainsi que de la somnolence tenace, de l'azotémie, de la polydipsie et de la polyurie, de l'exsiccose préterminale. Les résultats biochimiques typiques sont l'hypercalcémie, l'hypercalciurie ainsi que les valeurs sériques accrues de 25-hydroxycalciférol.
-Mesures thérapeutiques lors de surdosage
-Dose journalière jusqu'à 500 U.I./d
-Les symptômes d'un surdosage chronique de vitamine D peuvent rendre nécessaires une diurèse forcée ainsi que l'administration de glucocorticoïdes ou de calcitonine.
-Dose journalière de plus de 500 U.I./d
-Lors de surdosage, des mesures de traitement de l'hypercalcémie d'une durée fréquemment longue et devenue ainsi menaçante sont indispensables.
-La première mesure est de supprimer la préparation de vitamine D: la normalisation de l'hypercalcémie due à une intoxication à la vitamine D dure plusieurs semaines.
-Progressivement, selon la proportion de l'hypercalcémie, une alimentation pauvre en calcium, voire exempte, une consommation d'eau élevée, une diurèse forcée au moyen de furosémide, ainsi que l'administration de glucocorticoïdes et de calcitonine peuvent être introduites.
-Lorsque la fonction rénale est suffisante, les perfusions de solution isotonique de NaCl (3–6 l en 24 heures) avec adjonction de furosémide ainsi qu'également de 15 mg/kg poids corporel/h d'édétate de sodium sous contrôle permanent du calcium et de l'ECG diminuent de manière très fiable le calcium. Par contre, une thérapie par hémodialyse (dialysat exempt de calcium) est indiquée lors d'oligoanurie.
- +Une grave hypercalcémie de longue durée dépendante du dosage et de la durée du traitement peut entraîner des suites aiguës (troubles du rythme cardiaque, nausées, vomissements, symptômes psychiques, troubles de la conscience) ou chroniques (besoins urinaires plus fréquents, sentiment de soif augmenté, perte d'appétit, perte de poids, formations de calculs rénaux, calcification rénale, calcification de tissus hors de l'os).
- +Des suites fatales dans des cas individuels ont été rapportées (voir aussi: «Mises en garde et précautions» et «Interactions»).
- +Signes et symptômes
- +Doses journalières jusqu'à 500 U.I./d
- +Un surdosage de vitamine D de longue durée peut conduire à une hypercalcémie et à une hypercalciurie. Un dépassement important et de longue durée des besoins peut induire une calcification des organes parenchymateux.
- +Doses journalières supérieures à 500 U.I./d
- +Le cholécalciférol (vitamine D3) possède un champ thérapeutique relativement étroit. Chez l'adulte présentant une fonction normale des parathyroïdes, le palier de l'intoxication à la vitamine D se situe entre 40 000 et 100 000 U.I. par jour pendant plus de 1 à 2 mois.
- +Les nourrissons et petits enfants peuvent déjà réagir de manière sensible à des concentrations beaucoup plus faibles. C'est pourquoi il est fortement déconseillé d'administrer de la vitamine D sans contrôle médical.
- +Lors d'un surdosage, en plus d'une augmentation du phosphore dans le sérum et l'urine, on assiste à un syndrome d'hypercalcémie, et plus tard également, à un dépôt de calcium dans les tissus, principalement dans les reins (lithiase rénale, néphrocalcinose) et dans les vaisseaux.
- +Les symptômes d'intoxication sont peu caractéristiques et se manifestent par des nausées, des vomissements, au début fréquemment par des diarrhées, puis plus tard par de la constipation, de l'anorexie, de l'abattement, des maux de tête, des douleurs musculaires et articulaires, des faiblesses musculaires, ainsi que de la somnolence tenace, de l'azotémie, de la polydipsie et de la polyurie, et de l'exsiccose préterminale. Les résultats biochimiques typiques sont l'hypercalcémie, l'hypercalciurie, ainsi que les valeurs sériques accrues de 25-hydroxycalciférol.
- +Traitement
- +Doses journalières jusqu'à 500 U.I./d
- +Les symptômes d'un surdosage chronique de vitamine D peuvent rendre nécessaires une diurèse forcée, ainsi que l'administration de glucocorticoïdes ou de calcitonine.
- +Doses journalières supérieures à 500 U.I./d
- +Lors d'un surdosage, des mesures de traitement de l'hypercalcémie d'une durée souvent longue et parfois menaçante sont indispensables.
- +La première mesure est de supprimer la préparation de vitamine D; la normalisation de l'hypercalcémie due à une intoxication à la vitamine D dure plusieurs semaines.
- +Progressivement, selon la proportion de l'hypercalcémie, une alimentation contenant peu ou pas de calcium, une consommation d'eau élevée, une diurèse forcée au moyen de furosémide, ainsi que l'administration de glucocorticoïdes et de calcitonine peuvent être introduites.
- +Lorsque la fonction rénale est suffisante, les perfusions de solution isotonique de NaCl (3–6 l en 24 heures) avec adjonction de furosémide, ainsi qu'éventuellement de 15 mg/kg PC/h d'édétate de sodium sous contrôle permanent du calcium et de l'ECG, diminuent de manière très fiable le calcium. Par contre, un traitement par hémodialyse (dialysat exempt de calcium) est indiqué lors d'une oligoanurie.
-Il est recommandé de signaler aux patients sous thérapie au long cours par la vitamine D à dosage élevé les symptômes d'un éventuel surdosage (des nausées, des vomissements, au début fréquemment de la dysenterie, puis plus tard de la constipation, de l'anorexie, de l'abattement, des maux de tête, des douleurs musculaires et articulaires, des faiblesses musculaires, de la somnolence, de l'azotémie, de la polydipsie et de la polyurie).
- +Il est recommandé de signaler aux patients sous traitement au long cours par vitamine D à des doses élevées quels sont les symptômes d'un éventuel surdosage (nausées, vomissements, fréquemment au début, diarrhées, et plus tard, constipation, anorexie, abattement, maux de tête, douleurs musculaires et articulaires, faiblesses musculaires, somnolence, azotémie, polydipsie et polyurie).
-Code ATC: A11CC05
-Le besoin journalier pour l'adulte est de 5 μg, correspondant à 200 U.I. Les adultes sains peuvent couvrir leur besoin par propre synthèse lors d'exposition au soleil suffisante. L'apport par l'alimentation est insignifiant, toutefois il peut être important lors de conditions critiques (climat, mode de vie).
-L'huile de foie de poisson et le poisson sont riches en vitamine D, des petites quantités se trouvent dans la viande, le jaune d'oeuf, le lait, les produits laitiers et les avocats.
-Des signes de carence peuvent se rencontrer chez le grand prématuré, le nourrisson allaité pendant plus de six mois sans nourriture complémentaire contenant du calcium et chez les enfants recevant une nourriture strictement végétarienne. Les causes d'une carence en vitamine D rare chez l'adulte peuvent être dues à une consommation alimentaire insuffisante, une exposition aux UV insuffisante, une malabsorption et une mauvaise digestion, une cirrhose hépatique ainsi qu'une insuffisance rénale.
-Pharmacodynamie
-Le cholécalciférol (vitamine D3) est formé par les rayons UV dans la peau et ensuite transformé dans sa forme biologique active (1,25-dihydroxycholécalciférol) en deux étapes d'hydroxylation, tout d'abord dans le foie (position 25) et ensuite dans le tissu rénal (position 1). Le 1,25-dihydroxycholécalciférol prend une part essentielle, en association avec la parathormone et la calcitonine, à la régulation du bilan phosphocalcique. En cas de carence en vitamine D, la calcification du squelette fait défaut (rachitisme), ou une décalcification osseuse apparait (ostéomalacie).
-Selon la production, la régulation physiologique et le mécanisme d'action de la vitamine D3 est à
-considérer comme stade préliminaire d'une hormone stéroïdienne. En plus de la production physiologique dans la peau, le cholécalciférol peut être absorbé avec la nourriture ou avec des préparations pharmaceutiques. Du fait qu'en dernier lieu l'inhibition physiologique du produit de la synthèse cutanée de la vitamine D est contournée, les surdosages et intoxications deviennent possibles.
- +Code ATC
- +A11CC05
- +Le besoin journalier pour l'adulte est de 5 µg, correspondant à 200 U.I. Les adultes sains peuvent couvrir leur besoin par autosynthèse lors d'une exposition suffisante au soleil. L'apport par l'alimentation a une importance uniquement secondaire, toutefois il peut être important lors de conditions critiques (climat, mode de vie).
- +L'huile de foie de poisson et le poisson sont riches en vitamine D; des petites quantités se trouvent dans la viande, le jaune d'œuf, le lait, les produits laitiers et les avocats.
- +Des signes de carence peuvent se rencontrer chez le grand prématuré, le nourrisson allaité pendant plus de six mois sans nourriture complémentaire contenant du calcium et chez les enfants recevant une nourriture strictement végétarienne. Les causes d'une carence en vitamine D rare chez l'adulte peuvent être une consommation alimentaire insuffisante, une exposition aux UV insuffisante, une malabsorption et une mauvaise digestion, une cirrhose hépatique, ainsi qu'une insuffisance rénale.
- +Mécanisme d'action
- +Le cholécalciférol (vitamine D3) est formé par l'action des rayons UV dans la peau, puis transformé dans sa forme biologique active (1,25-dihydroxycholécalciférol) en deux étapes d'hydroxylation, tout d'abord dans le foie (position 25) et ensuite dans le tissu rénal (position 1). Le 1,25-dihydroxycholécalciférol prend une part essentielle, en association avec la parathormone et la calcitonine, à la régulation du bilan phosphocalcique. Sous sa forme biologique active, la vitamine D3 stimule l'absorption intestinale du calcium, la fixation du calcium dans le tissu ostéoïde et la libération de calcium des tissus osseux. En cas de carence en vitamine D, la calcification du squelette fait défaut (rachitisme), ou une décalcification osseuse apparaît (ostéomalacie).
- +Pharmacodynamique
- +Selon la production, la régulation physiologique et le mécanisme d'action, la vitamine D3 est à considérer comme stade préliminaire d'une hormone stéroïdienne. En plus de la production physiologique dans la peau, le cholécalciférol peut être apporté par la nourriture ou par des préparations pharmaceutiques. Du fait qu'en dernier lieu, l'inhibition physiologique du produit de la synthèse cutanée de la vitamine D est contournée, les surdosages et intoxications deviennent possibles.
- +Efficacité clinique
- +Pour la prévention du rachitisme chez les nourrissons, on considère qu'une dose quotidienne de 400 U.I. de vitamine D3 suffit. Dans une étude menée chez des enfants de 3 à 36 mois, on n'a observé aucun cas de rachitisme chez les enfants qui avaient reçu 400 U.I. de vitamine D3 par jour pendant 12 mois, tandis que l'incidence du rachitisme chez les enfants qui n'avaient pas été traités était de 3,8%. Dans une étude en double aveugle menée chez 132 nourrissons sains, âgés d'un mois et ayant reçu 400 U.I., 800 U.I., 1200 U.I. ou 1600 U.I. de vitamine D3 par jour, on a atteint, pour toutes les posologies, des concentrations de 25-hydroxy-vitamine D de 50 nmol/l ou plus chez 98% des enfants de 12 mois. Les posologies supérieures à 400 U.I./jour ne présentaient aucun avantage pour la croissance et la minéralisation osseuse.
- +Au cours d'une étude, 62 prématurés ont reçu 200 U.I., 400 U.I. ou 800 U.I. de vitamine D pendant 24 à 29 jours. Dans les groupes 400 U.I. et 800 U.I., les concentrations de 25-hydroxy-vitamine D ont augmenté, passant de 63±9,5 nmol/l à 80±8 nmol/l et de 63±9,5 nmol/l à 78±7,8 nmol/l. On n'a pas observé de différences radiologiques entre les groupes.
- +Pour évaluer l'efficacité de l'administration de doses faibles de vitamine D sur le niveau de vitamine D, on a étudié des doses quotidiennes de 5 à 20 μg chez des sujets sains dans un travail de revue. On a observé un taux de variation de la concentration de 25-hydroxy-vitamine D de 2 nmol/l pour 1 μg de vitamine D3, sachant que les valeurs initiales étaient <75 nmol/l. Chez 17 enfants atteints de rachitisme, après un traitement par 1700 à 4000 U.I. de vitamine D par jour, on a observé une augmentation rapide des concentrations de 25-hydroxy-vitamine D. Au bout de 10 semaines, les valeurs étaient dans la normale, tout comme les valeurs sériques du calcium, du phosphate et de la phosphatase alcaline. Chez 19 enfants (de 2 à 36 mois) atteints de rachitisme, qui ont reçu chaque jour 5000 à 10 000 U.I. de vitamine D3 et 0,5 à 1,0 g de calcium, au bout de 3 semaines, les valeurs sériques de la 1,25-dihydroxy-vitamine D, du calcium, de la parathormone et du phosphate étaient normales.
- +On peut traiter une ostéomalacie dépendant de la vitamine D en administrant 3000 à 5000 U.I. de vitamine D3 par jour et 800 à 1000 mg de carbonate de calcium pendant 6 semaines. Il convient ensuite, pour le patient, de réduire la vitamine D3 à 1000 U.I. et de consommer une alimentation riche en calcium.
- +
-Dans les doses alimentaires, la vitamine D de la nourriture est presque intégralement résorbée ensemble avec les lipides alimentaires. Les doses plus élevées sont absorbées avec un taux de résorption d'environ 2/3. Dans la peau, la vitamine D est synthétisée sous l'action des rayons UV à partir du 7-déhydrocholestérol. La vitamine D, à l'aide d'une protéine de transport spécifique, arrive dans le foie dans lequel elle est métabolisée en 25-hydroxycholécalciférol par une hydroxylase microsomale. L'élimination de la vitamine D et de ses métabolites se fait par voie biliaire/fécale.
-La vitamine D est stockée dans les tissus adipeux et a de ce fait une longue demi-vie biologique. Après de hauts dosages de vitamine D, les concentrations sériques de la 25-hydroxyvitamine D peuvent être accrues pendant des mois. Les hypercalcémies induites par un surdosage peuvent durer pendant des semaines (voir «Surdosage»).
- +Absorption
- +Dans les doses alimentaires, la vitamine D de la nourriture est presque intégralement absorbée avec les lipides alimentaires. Les doses plus élevées sont absorbées avec un taux d'absorption d'environ 2/3. Dans la peau, la vitamine D est synthétisée sous l'action des rayons UV à partir du 7-déhydrocholestérol.
- +Distribution
- +La vitamine D, à l'aide d'une protéine de transport spécifique, arrive dans le foie.
- +Métabolisme
- +Dans le foie, elle est métabolisée en 25-hydroxycholécalciférol par une hydroxylase microsomale.
- +Elimination
- +L'élimination de la vitamine D et de ses métabolites se fait par voie biliaire/fécale.
- +La vitamine D est stockée dans les tissus adipeux et a de ce fait une longue demi-vie biologique. Après la prise de doses élevées de vitamine D, les concentrations sériques de la 25-hydroxy-vitamine D peuvent être accrues pendant des mois. Les hypercalcémies induites par un surdosage peuvent durer pendant des semaines (voir «Surdosage»).
- +Cinétique pour certains groupes de patients
- +Aucune donnée disponible.
- +
-Il ne survient pas d'autres dangers toxicologiques particuliers pour l'être humain, exceptés ceux qui sont déjà spécifiés dans l'information professionnelle sous «Grossesse/Allaitement» et «Surdosage».
- +Il ne survient pas d'autres dangers toxicologiques particuliers pour l'être humain, sauf ceux qui sont déjà spécifiés dans l'information professionnelle sous «Grossesse/Allaitement» et «Surdosage».
-Ne pas mélanger avec d'autres médicaments.
-Conservation
-Le médicament ne peut être utilisé au-delà de la date imprimée sur l'emballage avec la mention «EXP».
-Après ouverture, la durée de conservation se limite à 12 mois.
-Remarques concernant le stockage
-Le flacon doit être conservé dans l'emballage à l'abri de la lumière, à température ambiante (15–30 °C).
- +Aucune étude de tolérance n'ayant été effectuée, ce médicament ne doit pas être mélangé à d'autres médicaments.
- +Influence sur les méthodes de diagnostic
- +Aucune donnée disponible.
- +Stabilité
- +Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur le récipient.
- +Stabilité après ouverture
- +Se conserve 12 mois après ouverture.
- +Remarques particulières concernant le stockage
- +Conserver à 15-30 °C.
- +Maintenir le flacon bien fermé et le garder dans son carton d'emballage pour le protéger de la lumière.
- +Conserver hors de portée des enfants.
- +Remarques concernant la manipulation
- +Placez le flacon tête en bas en position droite et non inclinée pour que les gouttes s'écoulent. Il est possible que la première goutte mette un moment avant de couler.
-Janvier 2019.
- +Novembre 2019.
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