54 Changements de l'information professionelle Allergodil saisonal forte 0,15% |
-Principe actif: azélastine.
-Excipients: excipiens ad solutionem.
-Forme galénique et quantité de principe actif par unité
-Spray nasal, solution. Solution claire et incolore à 1,5 mg de chlorhydrate d'azélastine/mL correspondant à 1,4 mg d'azélastine/mL.
-1 nébulisation (0,14 mL de solution) contient 0,21 mg de chlorhydrate d'azélastine correspondant à 0,19 mg d'azélastine.
-
- +Principes actifs
- +Azelastinum (ut Azelastini hydrochloridum).
- +Excipients
- +Hypromellosum, sucralosum, sorbitolum, dinatrii edetas, natrii citras anhydricus, aqua purificata.
- +
- +
-Traitement symptomatique de la rhinite allergique saisonnière (rhume des foins) chez les adultes, adolescents et enfants de 6 ans et plus.
- +Traitement symptomatique de la rhinite allergique saisonnière (rhume des foins) chez les adultes, adolescents et enfants dès 6 ans.
- +Posologie usuelle
-2 nébulisations dans chaque narine, une fois par jour. Quelques fois, 2 nébulisations dans chaque narine, deux fois par jour sont nécessaires. La dose quotidienne maximale est de 2 nébulisations dans chaque narine, 2 fois par jour.
- +2 nébulisations dans chaque narine, une fois par jour. Dans certains cas, 2 nébulisations dans chaque narine, deux fois par jour, sont nécessaires. La dose maximale est de 2 nébulisations dans chaque narine, 2 fois par jour.
-Seulement sur prescription médicale: 1 nébulisation dans chaque narine 2 fois par jour.
-Mode d'emploi
-Administration nasale.
-L'application doit se faire à tête inclinée vers l'avant après s'être nettoyé le nez (voir la notice d'emballage).
-Avant la première utilisation, on doit préparer la pompe en l'appuyant et relâchant six fois, jusqu'à l'apparition d'une nébulisation fine. Si l'Astepro 0,15% spray nasal n'a pas été utilisé pendant 3 jours ou plus, il faut de nouveau le préparer pour l'emploi, en appuyant et relâchant la pompe aussi souvent que nécessaire pour obtenir une nébulisation fine.
- +Uniquement sur prescription médicale: 1 nébulisation dans chaque narine 2 fois par jour.
- +Enfants de moins de 6 ans
- +La sécurité et l'efficacité d'Allergodil saisonal forte 0,15% pulvérisation nasale n'ont pas été étudiées chez l'enfant de moins de 6 ans. L'utilisation n'est pas recommandée dans ce groupe d'âge.
-Dans le traitement – autorisé en automédication – de la rhinite allergique saisonnière (rhume des foins), la durée de l'application ininterrompue est limitée à 2 semaines au maximum. En cas de persistance des symptômes, le médecin devra être consulté.
-Instructions spéciales pour la posologie
-La sécurité et l'efficacité du médicament n'ont pas été montrées chez l'enfant de moins de 6 ans. L'utilisation de l'Astepro 0,15% spray nasal n'est pas recommandée dans ce groupe d'âge.
- +Dans l'automédication de la rhinite allergique saisonnière (rhume des foins), la durée de l'application ininterrompue est limitée à 2 semaines au maximum. En cas de persistance des symptômes, le médecin devra être consulté.
- +Mode d'administration
- +Administration nasale.
- +L'application doit se faire à tête inclinée vers l'avant après s'être nettoyé le nez (voir la notice d'emballage).
- +Avant la première utilisation, on doit amorcer la pompe en appuyant et relâchant six fois celle-ci, jusqu'à l'apparition d'une nébulisation fine. Si Allergodil saisonal forte 0,15% pulvérisation nasale n'a pas été utilisé pendant 3 jours ou plus, il faut de nouveau le préparer pour l'emploi, en appuyant et relâchant la pompe aussi souvent que nécessaire pour obtenir une nébulisation fine.
-Hypersensibilité à la substance active ou à l'un des excipients selon la composition.
- +Hypersensibilité au principe actif ou à l'un des excipients selon la composition.
-Lors de l'utilisation de l'Astepro 0,15% spray nasal, rarement de troubles comme abattement, lassitude, épuisement, faiblesse, vertiges, abasourdissement ou somnolence sont possibles, qui toutefois peuvent être dus à l'évolution de la maladie. Dans ces cas, l'aptitude à la conduite de véhicules et à l'utilisation de machines peut être altérée. Prendre surtout en considération que l'alcool peut altérer encore plus l'aptitude à prendre part au trafic routier.
- +Lors de l'utilisation d'Allergodil saisonal forte 0,15% pulvérisation nasale, des troubles tels que abattement, lassitude, épuisement, faiblesse, vertiges, obnubilation ou somnolence, qui peuvent galement tre dus à l'évolution de la maladie, sont possibles dans de rares cas. Dans ces cas, l'aptitude à la conduite de véhicules et l'utilisation de machines peut être altérée. Prendre surtout en considération que l'alcool peut altérer encore plus l'aptitude à prendre part au trafic routier.
-Aucune étude spécifique d'interaction pharmacocinétique n'a été réalisée avec un spray nasal contenant du chlorhydrate d'azélastine. Des études d'interactions à des doses orales ont été menées.
-Erythromycine et kétoconazole: Lors de l'administration concomitante de l'azélastine par voie orale (4 mg deux fois par jour) et de l'érythromycine (500 mg trois fois par jour pendant 7 jours), la Cmax de l'azélastine et l'AUC ont été de 5,36 ± 2,6 ng/mL et de 49,7 ± 24 ng•h/mL respectivement. Par contre, lors de l'administration de l'azélastine seule, la Cmax de l'azélastine et l'AUC ont été de 5,57 ± 2,7 ng/mL et de 48,4 ± 24 ng•h/mL respectivement. Le kétoconazole (200 mg 2×/jour pendant 7 jours) a perturbé le dosage plasmatique de l'azélastine.
-Cimétidine et ranitidine: Dans le cadre d'une étude sur l'interaction steady-state chez des volontaires sains l'administration de la cimétidine (400 mg deux fois par jour) a provoqué une augmentation de la concentration moyenne de l'azélastine (4 mg deux fois per jour) administrée par voie orale d'environ 65%. Lors de l'administration concomitante de l'azélastine par voie orale (4 mg deux fois par jour) et du chlorhydrate de la ranitidine (150 mg deux fois par jour) la Cmax de l'azélastine et l'AUC ont été de 8,89 ± 3,28 ng/mL et de 88,22 ± 40,43 ng•h/mL respectivement. Par contre, lors de l'administration de l'azélastine seule, la Cmax de l'azélastine et l'AUC ont été de 7,83 ± 4,06 ng/mL et de 80,09 ± 43,55 ng•h/mL respectivement.
-Théophylline: Aucune interaction de pertinence pharmacocinétique n'a été observée lors de l'administration simultanée de chlorhydrate d'azélastine à des doses orales de 4 mg deux fois par jour et de théophylline (300 mg ou 400 mg deux fois par jour).
-Grossesse/Allaitement
-Il n'existe pas de données cliniques concernant l'emploi chez la femme enceinte. Les expérimentations animales ont révélé un potentiel pour une toxicité de reproduction à des doses orales très élevées.
-Dans ces conditions, le médicament ne devrait être administré que si le bénéfice potentiel justifie le risque potentiel pour le fœtus.
-On ignore si l'azélastine ou ses métabolites sont excrétés dans le lait humain. L'Astepro 0,15% spray nasal ne devrait pas être utilisé pendant l'allaitement, car l'expérience en la matière n'est pas encore suffisante.
- +Aucune étude spécifique d'interaction pharmacocinétique n'a été réalisée avec un spray nasal contenant de l'azélastine. Des études d'interactions à des doses orales ont été menées.
- +Érythromycine et kétoconazole
- +Lors de l'administration concomitante d'azélastine par voie orale (4 mg deux fois par jour) et d'érythromycine (500 mg trois fois par jour pendant 7 jours), la Cmax de l'azélastine et l'ASC ont été de 5,36 ± 2,6 ng/ml et de 49,7 ± 24 ng•h/ml, respectivement. Par contre, lors de l'administration d'azélastine seule, la Cmax de l'azélastine et l'ASC ont été de 5,57 ± 2,7 ng/ml et de 48,4 ± 24 ng•h/ml, respectivement. Le kétoconazole (200 mg 2×/jour pendant 7 jours) a perturbé le dosage plasmatique de l'azélastine.
- +Cimétidine et ranitidine
- +Dans le cadre d'une étude sur l'interaction à l'état d'équilibre chez des volontaires sains, l'administration de cimétidine (400 mg deux fois par jour) a provoqué une augmentation de la concentration moyenne de l'azélastine (4 mg deux fois par jour) administrée par voie orale d'environ 65%. Lors de l'administration concomitante d'azélastine par voie orale (4 mg deux fois par jour) et de chlorhydrate de ranitidine (150 mg deux fois par jour), la Cmax de l'azélastine et l'ASC ont été de 8,89 ± 3,28 ng/ml et de 88,22 ± 40,43 ng•h/ml, respectivement. Par contre, lors de l'administration d'azélastine seule, la Cmax de l'azélastine et l'ASC ont été de 7,83 ± 4,06 ng/ml et de 80,09 ± 43,55 ng•h/ml, respectivement.
- +Théophylline
- +Aucune interaction de pertinence pharmacocinétique n'a été observée lors de l'administration concomitante de chlorhydrate d'azélastine à des doses orales de 4 mg deux fois par jour et de théophylline à des dose de 300 mg ou 400 mg deux fois par jour.
- +Grossesse, allaitement
- +Grossesse
- +Il n'existe pas d'études contrôlées concernant l'emploi chez la femme enceinte. Les expérimentations animales ont révélé un potentiel pour une toxicité sur la reproduction à des doses orales très élevées.
- +Dans ces conditions, le médicament ne devrait être administré que si le bénéfice potentiel est supérieur au risque encouru par le fœtus.
- +Allaitement
- +On ignore si l'azélastine ou ses métabolites sont excrétés dans le lait maternel humain. En l'absence d'expérience suffisante, Allergodil saisonal forte 0,15% pulvérisation nasale ne doit pas être utilisé pendant l'allaitement.
-L'influence de l'Astepro 0.15% spray nasal sur l'aptitude à la conduite ou l'utilisation de machines n'a pas été étudiée. Lors de l'utilisation de l'Astepro 0.15% spray nasal, des cas occasionnel de troubles comme abattement, lassitude, épuisement, faiblesse, vertiges, abasourdissement ou somnolence ont été rapportés. Prendre surtout en considération que l'alcool peut altérer encore plus l'aptitude à prendre part au trafic routier.
- +L'influence d'Allergodil saisonal forte 0,15% pulvérisation nasale sur l'aptitude à la conduite ou l'utilisation de machines n'a pas été étudiée de manière spécifique. Lors de l'utilisation d'Allergodil saisonal forte 0,15% pulvérisation nasale, des cas occasionnels de troubles comme abattement, lassitude, épuisement, faiblesse, vertiges, obnubilation ou somnolence ont été rapportés. Prendre surtout en considération que l'alcool peut altérer encore plus l'aptitude à prendre part au trafic routier.
-Les effets secondaires sont répertoriés ci-après en fonction des classes d'organes selon le schéma MedDRA et par fréquence, en ordre décroissant: «très fréquents» (≥1/10), «fréquents» (<1/10, ≥1/100), «occasionnels» (<1/100, ≥1/1000), «rares» (<1/1000, ≥1/10'000), «très rares» (<1/10'000).
- +Les effets indésirables sont rangés par classe de système d'organes de la classification MedDRA et par fréquence décroissante selon la convention suivante: «très fréquents» (≥1/10), «fréquents» (≥1/100 à <1/10), «occasionnels» (≥1/1000 à <1/100), «rares» (≥1/10 000 à <1/1000), «très rares» (<1/10 000).
-Fréquents: dysgueusie (goût amer propre à la substance active). La plupart du temps, ceci est dû à une application incorrecte, la tête inclinée vers l'arrière.
-Occasionnels: somnolence (assoupissement, envie de dormir).
- +Fréquents: dysgueusie (goût amer propre au principe actif). La plupart du temps, ceci est dû à une application incorrecte, la tête inclinée vers l'arrière.
- +Occasionnels: somnolence (obnubilation, envie de dormir).
-Affections respiratoires, thoraciques et médiastinaux
-Occasionnels: troubles du nez (brûlures, démangeaisons), éternuements, saignements du nez.
- +Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales
- +Occasionnels: troubles du nez (brûlure, prurit), éternuements, saignements du nez.
-Rares: nausée.
- +Rares: nausées.
-Très rares: éruption cutanée, démangeaisons, urticaire.
- +Très rares: éruption cutanée, prurit, urticaire.
-Très rares: abattement ** (lassitude, épuisement), faiblesse**.
-** Peut aussi être causé par la maladie elle-même voir «Mises en garde et précautions» et «Effet sur l'aptitude à la conduite et l'utilisation de machines»).
- +Très rares: obnubilation** (lassitude, épuisement), faiblesse**.
- +** peut aussi être causé par la maladie elle-même (voir «Mises en garde et précautions» et «Effet sur l'aptitude à la conduite et l'utilisation de machines»).
- +L'annonce d'effets secondaires présumés après l'autorisation est d'une grande importance. Elle permet un suivi continu du rapport bénéfice-risque du médicament. Les professionnels de santé sont tenus de déclarer toute suspicion d'effet secondaire nouveau ou grave via le portail d'annonce en ligne ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet sur www.swissmedic.ch.
- +
-Des incidents de surdosage après administration par voie nasale sont très peu probables.
-L'azélastine possède une marge thérapeutique suffisamment grande. Même en cas de posologie élevée et supérieure au domaine thérapeutique, aucune augmentation notable des effets indésirables n'a été observée dans l'expérimentation animale.
-On ne possède aucune expérience relative à la prise de doses toxiques d'azélastine chez l'être humain. En cas de surdosage ou d'intoxication des suites d'une prise orale par mégarde, les résultats d'essais chez l'animal suggèrent qu'il faut s'attendre à des troubles au niveau du système nerveux central (notamment torpeur, confusion, coma, tachycardie et hypotension). Bien qu'on n'ait pas encore observé à ce jour de modifications ECG chez l'humain, la survenue d'arythmies après surdosage ne peut être exclue. Le traitement de ces symptômes doit être symptomatique. Selon la dose avalée, un lavage gastrique est recommandé après prise récente d'une surdose.
- +Des réactions de surdosage après administration par voie intranasale sont très peu probables.
- +L'azélastine possède une marge thérapeutique suffisamment grande. Même en cas de posologie élevée et supérieure au domaine thérapeutique, aucune augmentation notable des effets médicamenteux indésirables n'a été observée dans l'expérimentation animale.
- +Signes et symptômes
- +On ne possède aucune expérience relative à la prise de doses toxiques d'azélastine chez l'être humain. En cas de surdosage ou d'intoxication suite à une prise orale par mégarde, les résultats d'essais chez l'animal suggèrent qu'il faut s'attendre à des troubles au niveau du système nerveux central (notamment obnubilation, confusion, coma, tachycardie et hypotension). Bien qu'on n'ait pas encore observé à ce jour de modifications ECG chez l'humain, la survenue d'arythmies après surdosage ne peut être exclue.
- +Traitement
- +Le traitement de ces symptômes doit être symptomatique. En fonction de la dose avalée, un lavage gastrique est recommandé après la prise récente d'une surdose.
-Code ATC: R01AC03
-Mécanisme d'action, pharmacodynamie
-L'azélastine est un inhibiteur des récepteurs H1 de l'histamine et donc une substance antiallergique efficace, à la demi-vie relativement longue.
-Les données issues des études précliniques in vivo et in vitro montrent que l'azélastine inhibe la synthèse ou la libération de médiateurs chimiques connus pour leur implication dans les phases précoces ou tardives des réactions allergiques. Parmi ces médiateurs se trouvent les leucotriènes, l'histamine, les inhibiteurs du PAF et la sérotonine.
-Effets cardiales: Dans le cadre d'une étude contrôlée contre placebo (95 patients atteints d'une rhinite allergique) l'analyse d'ECG n'a pas mis en évidence d'effet sur la répolarisation cardiale déterminée par l'intervalle QT corrigé (QTc) après administration du spray nasale de chlorhydrate d'azélastine (2 nébulisations dans chaque narine, deux fois par jour). Après administration orale itérative de 4 ou 8 mg d'azelastine deux fois par jour la correction moyenne de l'intervalle QTc était de 7,2 et de 3,6 msec respectivement. Des études d'interaction relative à l'influence de l'administration concomitante du chlorhydrate d'azélastine et de l'érythromycine ou du kétoconazole sur la répolarisation cardiale ont été menées. L'érythromycine administrée par vois orale n'avait pas d'influence sur la pharmacocinetique de l'azélastine ou sur le QTc (déterminé par d'analyses d'ECG sériels). Le kétoconazole interférait avec le dosage plasmatique de l'azélastine. Par contre, pas d'effets sur l'intervalle QTc ont été observés.
- +Code ATC
- +R01AC03
- +Mécanisme d'action, pharmacodynamique
- +L'azélastine est un inhibiteur des récepteurs H1 de l'histamine et donc une substance antiallergique efficace à demi-vie relativement longue.
- +Les données issues des études précliniques in vivo et in vitro montrent que l'azélastine inhibe la synthèse ou la libération de médiateurs chimiques connus pour leur implication dans les phases précoces et tardives des réactions allergiques. Parmi ces médiateurs se trouvent les leucotriènes, l'histamine, les inhibiteurs du PAF et la sérotonine.
- +Effets cardiaques: Dans le cadre d'une étude contrôlée contre placebo (95 patients atteints d'une rhinite allergique), l'analyse de l'ECG n'a pas mis en évidence d'effet sur la repolarisation cardiaque déterminée par l'intervalle QT corrigé (QTc) après administration du spray nasal de chlorhydrate d'azélastine (2 nébulisations dans chaque narine, deux fois par jour). Après administration orale itérative de 4 ou 8 mg d'azélastine deux fois par jour, la modification moyenne de l'intervalle QTc était de 7,2 et de 3,6 msec, respectivement. Des études d'interaction relatives à l'influence de l'administration concomitante de chlorhydrate d'azélastine et d'érythromycine ou de kétoconazole sur la repolarisation cardiaque ont été menées. L'érythromycine administrée par voie orale n'avait pas d'influence sur la pharmacocinétique de l'azélastine ou sur le QTc (mesuré dans les ECG sériels). Le kétoconazole interférait avec le dosage plasmatique de l'azélastine. Par contre, aucun effet sur l'intervalle QTc n'a été observé.
-Un effet est observable 15 minutes déjà après l'application de l'Astepro 0,15% spray nasal.
-Dans le cadre d'études clinique, l'administration de l'Astepro spray nasale une fois par jour a entraîné une amélioration significative des symptômes nasaux (rhinorrhée, congestion nasale, éternuements et démangeaisons du nez) par rapport au placebo. Les améliorations significatives en termes de symptômes nasales matinales (soit à la fin de l'intervalle entre les doses de 24 heures) trouvées dans deux de trois études cliniques indiquent que l'effect de l'Astepro spray nasale persiste pendant 24 heures. En outre, l'Astepro 0,15% spray nasal a entraîné une amélioration des symptômes oculaires (démangeaisons, larmoiement et rougeur des yeux) ainsi que de la qualité de vie du patient en rapport avec la maladie (Rhinoconjunctivitis Quality of Life Questionnaire – RQLQ).
-Des études cliniques d'une durée de jusqu'à un an menés chez des adultes et des adolescents souffrant d'une rhinite allergique perannuelle, ont montrés une bonne sécurité de l'Astepro 0,15% spray nasal avec la dose journalière maximale de 2 nébulisation dans chaque narine deux fois
-Dans le cadre d'études clinique, plus que 2900 patients ont été traités avec l'azélastine, dont 2100 patients ont reçus l'Astepro 0,15% spray nasal. Aucuns effets indésirables sur la tolérance cardiale, comme les arythmies ventriculaires ou tachycardies ventriculaires chaotiques (Torsade de Pointes) n'ont été constatés.
- +Un effet s'observe déjà 15 minutes après l'application d'Allergodil saisonal forte 0,15% pulvérisation nasale.
- +Dans le cadre d'études cliniques, l'administration d'Allergodil saisonal forte 0,15% pulvérisation nasale une fois par jour a entraîné une amélioration significative des symptômes nasaux (rhinorrhée, congestion nasale, éternuements et prurit nasal) par rapport au placebo. Les améliorations significatives en termes de symptômes nasaux le matin (soit à la fin de l'intervalle de 24 heures entre les doses) observées dans deux des trois études cliniques indiquent que l'effet d'Allergodil saisonal forte 0,15% pulvérisation nasale persiste pendant 24 heures. En outre, Allergodil saisonal forte 0,15% pulvérisation nasale a entraîné une amélioration des symptômes oculaires (prurit, larmoiement et rougeur des yeux) ainsi que de la qualité de vie du patient en rapport avec la maladie (au moyen du questionnaire sur la qualité de vie en cas de rhinoconjonctivite [Rhinoconjunctivitis Quality of Life Questionnaire – RQLQ]).
- +Des études cliniques d'une durée de jusqu'à un an chez des adultes et des adolescents ont montré une bonne sécurité d'emploi d'Allergodil saisonal forte 0,15% pulvérisation nasale administré à la dose journalière maximale de 2 nébulisations dans chaque narine, deux fois par jour.
- +Dans le cadre d'études cliniques, plus que 2900 patients ont été traités par l'azélastine, dont 2100 patients ont reçu Allergodil saisonal forte 0,15% pulvérisation nasale. Aucun effet nocif sur la tolérance cardiaque, comme les arythmies ventriculaires ou tachycardies ventriculaires chaotiques (torsades de pointes) n'a été constaté.
-Après administration orale d'un comprimé d'azélastine, la substance est rapidement et presque complètement absorbée. La biodisponibilité absolue de l'azélastine s'élève à 81%. Après prise orale de 4,4 mg, resp. 8,8 mg de chlorhydrate d'azélastine, les taux plasmatiques maximaux d'azélastine se situent entre 1,5 et 2,2 ng/mL et entre 4 et 6 ng/mL, respectivement. La Cmax de la déméthylazélastine est de 0,2 à 0,5 ng/mL, resp. de 0,8 à 1,0 ng/mL. A dose égale, les tmax respectifs se situent entre 5 et 6 heures (azélastine) et entre 14 et 22 heures (déméthylazélastine). Après administration nasale de 2 nébulisations dans chaque narine (0,822 mg dose totale) de l'Astepro 0,15% spray nasal le pic moyen des taux plasmatiques d'azélastine est de 409 pg/mL (Cmax) chez des sujets sains, la moyenne de l'exposition systémique (AUC) est de 9312 pg*hr/mL et le tmax est de 4 heures.
-Chez les patients atteints de rhinite allergique, l'application nasale itérative d'azélastine conduit à des taux plasmatiques surélevés par rapport aux sujets sains, ce qui semble indiquer une augmentation de l'absorption systémique (très probablement en raison d'une meilleure pénétration à travers la muqueuse nasale enflammée).
- +Après administration orale d'un comprimé, l'azélastine est rapidement et presque complètement résorbée. La biodisponibilité absolue de l'azélastine s'élève à 81%. Après prise orale de 4,4 mg, resp. 8,8 mg de chlorhydrate d'azélastine, les taux plasmatiques maximaux d'azélastine se situent entre 1,5 et 2,2 ng/ml et entre 4 et 6 ng/ml, respectivement. La Cmax de la déméthylazélastine est de 0,2 à 0,5 ng/ml, resp. de 0,8 à 1,0 ng/ml. À dose égale, les tmax respectifs se situent entre 5 et 6 heures (azélastine) et entre 14 et 22 heures (déméthylazélastine). Après administration intranasale de 2 nébulisations dans chaque narine (dose totale de 0,822 mg) d'Allergodil saisonal forte 0,15% pulvérisation nasale, le pic moyen des taux plasmatiques d'azélastine est de 409 pg/ml (Cmax) chez des sujets sains, la moyenne de l'exposition systémique (ASC) est de 9312 pg*hr/ml et le tmax est de 4 heures.
- +Chez les patients atteints de rhinite allergique, l'application nasale répétée d'azélastine entraîne des taux plasmatiques accrus par rapport aux sujets sains, ce qui semble indiquer une augmentation de la résorption systémique (très probablement en raison d'une meilleure pénétration à travers la muqueuse nasale enflammée).
-Le volume de distribution de l'azélastine peut atteindre 50 fois le volume corporel, ce qui implique une distribution périphérique élevée du médicament. Seule une faible part de la radioactivité, env. 1,4%, est décelée dans le sang après administration orale de 14C-azélastine. Le taux de liaison aux protéines est relativement bas (soit 80%-90%); un taux qui ne soulève pas de problèmes quant à des problèmes d'interactions par déplacement)
- +Le volume de distribution de l'azélastine peut atteindre 50 fois le volume corporel, ce qui implique une distribution périphérique élevée du médicament. Seule une faible part de la radioactivité, env. 1,4%, est décelée dans le sang après administration orale de 14C-azélastine. Le taux de liaison aux protéines est relativement bas (soit 80%-90%); un taux qui ne soulève pas de problèmes quant à des problèmes d'interactions par déplacement.
-L'azélastine est largement métabolisée, principalement par le CYP450. Les isoformes CYP450 spécifiques ne sont pas identifiées. Les principales voies de réaction métabolique sont l'hydroxylation cyclique, la N-déméthylation et la scission oxydative du noyau d'azépine en métabolites amphioniques.
-Elimination
-La dose-dépendance est linéaire dans la plage de dosage entre 2 et 16 mg d'azélastine. Les demi-vies plasmatiques après la prise de doses uniques ou itératives sont d'env. 20 heures pour l'azélastine et d'env. 50 heures pour la N-déméthylazélastine.
-75% de la dose administrée d'azélastine sont éliminés dans les fèces, 25% dans l'urine. Seuls 6,5% de la dose sont éliminés sous forme inchangée. L'élimination continuelle de faibles quantités de la dose administrée laisse supposer un cycle entéro-hépatique de peu d'importance.
-Cinétique pour certains groups de patients
-Personnes âgées
-Un allongement des demi-vies d'un facteur de 1,6 a été mesuré par rapport à des volontaires jeunes. L'AUC, le tmax, la Cmax (après administration itérative), la Cmin et le facteur d'accumulation ont été pratiquement doublés.
-Insuffisance rénale et hépatique
-Les demi-vies t½ de l'azélastine et de la N-déméthylazélastine ne sont pas significativement modifiées chez les insuffisants hépatiques par rapport aux sujets sains. Chez les insuffisants rénaux, par contre, on a mesuré pour l'azélastine et la N-déméthylazélastine des concentrations Cmax significativement plus élevées. Alors que les autres paramètres de l'azélastine étaient inchangés par rapport aux valeurs obtenues chez les sujets sains, les valeurs moyennes de l'AUC pour le métabolite étaient significativement plus élevées et sa demi-vie allongée.
- +L'azélastine est largement métabolisée, principalement par le CYP450. Les isoformes CYP450 spécifiques ne sont pas identifiées. Les principales voies de réaction métabolique sont l'hydroxylation cyclique, la N-déméthylation et la scission oxydative de l'anneau azépine en métabolites amphioniques.
- +Élimination
- +La dose-dépendance est linéaire dans la plage de dosage entre 2 et 16 mg d'azélastine. Les demi-vies plasmatiques après la prise de doses uniques ou itératives sont d'environ 20 heures pour l'azélastine et d'env. 50 heures pour la N-déméthylazélastine.
- +75% de la dose d'azélastine administrée sont éliminés dans les fèces, 25% dans l'urine. Seuls 6,5% de la dose sont éliminés sous forme inchangée. L'élimination continuelle de faibles quantités de la dose administrée laisse supposer un cycle entéro-hépatique de peu d'importance.
- +Cinétique pour certains groupes de patients
- +Troubles de la fonction hépatique et rénale
- +Les demi-vies t½ de l'azélastine et de la N-déméthylazélastine ne sont pas significativement modifiées chez les insuffisants hépatiques par rapport aux sujets sains. Chez les insuffisants rénaux, par contre, on a mesuré pour l'azélastine et la N-déméthylazélastine des concentrations Cmax significativement plus élevées. Alors que les autres paramètres de l'azélastine étaient inchangés par rapport aux valeurs obtenues chez les sujets sains, les valeurs moyennes de l'ASC pour le métabolite étaient significativement plus élevées et sa demi-vie allongée.
- +Patients âgés
- +Un allongement des demi-vies d'un facteur de 1,6 a été mesuré par rapport à des volontaires jeunes. L'ASC, le tmax, la Cmax (après administration itérative), la Cmin et le facteur d'accumulation ont été pratiquement doublés.
- +Génotoxicité et carcinogénicité
- +
-Chez les rats mâle et femelle, l'administration d'azélastine à des doses journalières orales supérieures à 3,0 mg/kg a provoqué une diminution dose-dépendante de l'index de fertilité. Aucun changement lié à la substance n'a été observé dans les organes reproductifs de mâles ou femelles pendant les études de toxicité répétées.
-Les effets embryotoxiques et tératogènes observés chez le rat, la souris et le lapin sont uniquement apparus à des doses toxiques pour la femelle (par ex. chez la souris et le rat, des anomalies du squelette ont été observées à des doses journalières de 68,6 mg/kg).
-A des doses orales élevés chez les animaux, 1095 fois plus élevé que la dose nasale maximale quotidienne recommandée chez l'homme (mg/kg de poids corporel), la mort fœtale, le retard de croissance et l'augmentation de la fréquence d'anomalies squelettiques ont été observés au cours des tests de toxicité pour la reproduction.
- +Toxicité sur la reproduction
- +Chez les rats mâle et femelle, l'administration d'azélastine à des doses journalières orales supérieures à 3,0 mg/kg a provoqué une diminution dose-dépendante de l'index de fertilité. Aucun changement lié à la substance n'a été observé dans les organes reproductifs de mâles ou femelles pendant les études de toxicité chronique.
- +Les effets embryotoxiques et tératogènes observés chez le rat, la souris et le lapin sont uniquement apparus à des doses toxiques pour la femelle (p.ex. chez la souris et le rat, des anomalies du squelette ont été observées à des doses journalières de 68,6 mg/kg).
- +Á des doses orales élevées chez les animaux, 1095 fois plus élevées que la dose intranasale maximale journalière recommandée chez l'homme (mg/kg de poids corporel), la mort fœtale, le retard de croissance et une augmentation de la fréquence d'anomalies squelettiques ont été observés au cours des tests de toxicité sur la reproduction.
-Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l'emballage.
- +Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur le récipient.
- +Stabilité après ouverture
-Remarques concernant le stockage
-Ne pas conserver au-dessus de 25 °C et tenir hors de la portée des enfants. Ne pas conserver au réfrigérateur. Ne pas congeler.
- +Remarques particulières concernant le stockage
- +Ne pas conserver au-dessus de 25°C et conserver hors de portée des enfants.
- +Ne pas conserver au réfrigérateur.
- +Ne pas congeler.
-65425 (Swissmedic).
- +65425 (Swissmedic)
-Emballages de 5 mL. [D]
- +Flacons à 5 ml de solution. (D)
-Décembre 2015.
- +Avril 2021
- +[Version 102 F]
|
|