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Accueil - Information professionnelle sur Aripiprazol-Mepha 5 mg - Changements - 09.12.2022
44 Changements de l'information professionelle Aripiprazol-Mepha 5 mg
  • -Les études cliniques ont montré qu'Aripiprazol-Mepha était efficace à une posologie comprise entre 10 et 30 mg par jour. Une augmentation de l'efficacité à des doses supérieures à la posologie journalière recommandée de 15 mg n'a pas été démontrée, toutefois une dose plus élevée peut s'avérer bénéfique chez certains patients. La posologie journalière maximale ne doit pas dépasser 30 mg.
  • +Les études cliniques ont montré qu'Aripiprazol-Mepha était efficace à une posologie comprise entre 10 mg par jour et 30 mg par jour. Une augmentation de l'efficacité à des doses supérieures à la posologie journalière recommandée de 15 mg n'a pas été démontrée, toutefois une dose plus élevée peut s'avérer bénéfique chez certains patients. La posologie journalière maximale ne doit pas dépasser 30 mg.
  • -En général, un tranquillisant (benzodiazépine, par exemple) doit accompagner le début du traitement.
  • +En général, un tranquillisant (benzodiazépine, p.ex.) doit accompagner le début du traitement.
  • -Schizophrénie: La posologie recommandée d'Aripiprazol-Mepha est de 10 mg par jour en une seule prise au cours ou en dehors des repas. Le traitement doit commencer par une dose de 2 mg par jour pendant deux jours (Aripiprazol-Mepha 1 mg/ml sirop), puis de 5 mg par jour pendant deux autres jours avant de passer à la dose recommandée de 10 mg par jour. Si nécessaire, les augmentations posologiques suivantes seront administrées par paliers de 5 mg, sans toutefois dépasser la posologie quotidienne maximale de 30 mg.
  • -Les études cliniques ont montré que l'aripiprazole était efficace à une posologie comprise entre 10 et 30 mg par jour. Une augmentation de l'efficacité à des doses supérieures à la posologie journalière recommandée de 10 mg n'a pas été démontrée, toutefois une dose plus élevée peut s'avérer bénéfique chez certains patients.
  • +Schizophrénie: La posologie recommandée d'Aripiprazol-Mepha est de 10 mg par jour en une seule prise au cours ou en dehors des repas. Le traitement doit commencer par une dose de 2 mg par jour pendant deux jours (Aripiprazol-Mepha 1 mg/ml sirop), puis de 5 mg par jour pendant deux autres jours avant de passer à la dose recommandée de 10 mg par jour. Si nécessaire, les augmentations posologiques suivantes seront administrées paliers de 5 mg, sans toutefois dépasser la posologie quotidienne maximale de 30 mg.
  • +Les études cliniques ont montré que l'aripiprazole était efficace à une posologie comprise entre 10 mg par jour et 30 mg par jour. Une augmentation de l'efficacité à des doses supérieures à la posologie journalière recommandée de 10 mg n'a pas été démontrée, toutefois une dose plus élevée peut s'avérer bénéfique chez certains patients.
  • -Lors d'une coadministration d'Aripiprazol-Mepha et d'un inducteur puissant de CYP3A4, on augmentera la dose d'aripiprazole (voir «Interactions»). Les augmentations supplémentaires de la dose d'Aripiprazol-Mepha se baseront sur une appréciation clinique. Après l'arrêt de l'inducteur du CYP3A4, on réduira le dosage d'Aripiprazol-Mepha (voir «Interactions»).
  • +Lors d'une co-administration d'Aripiprazol-Mepha et d'un inducteur puissant de CYP3A4, on augmentera la dose d'aripiprazole (voir «Interactions»). Les augmentations supplémentaires de la dose d'Aripiprazol-Mepha se baseront sur une appréciation clinique. Après l'arrêt de l'inducteur du CYP3A4, on réduira le dosage d'Aripiprazol-Mepha (voir «Interactions»).
  • -Comme pour d'autres antipsychotiques, Aripiprazol-Mepha doit être utilisé avec prudence chez les patients ayant des antécédents de convulsions ou présentant une pathologie comportant des convulsions associées (voir «Effets indésirables»).
  • +Comme pour d'autres antipsychotiques, Aripiprazol doit être utilisé avec prudence chez les patients ayant des antécédents de convulsions ou présentant une pathologie comportant des convulsions associées (voir «Effets indésirables»).
  • -Affections cardiovasculaires
  • +Maladies cardio-vasculaires
  • -Effets indésirables cérébrovasculaires
  • +Effets indésirables cérébro-vasculaires
  • -Des troubles de la motilité œsophagienne et des cas d'aspiration ont été associés à l'utilisation des traitements antipsychotiques, y compris l'aripiprazole. L'aripiprazole et les autres substances actives antipsychotiques doivent être utilisés avec prudence chez les patients à risque de pneumonie de déglutition.
  • +Des troubles de la motilité œsophagienne et des cas d'aspiration ont été associés à l'utilisation des traitements antipsychotiques, y compris l'aripiprazole. L'aripiprazole et les autres substances actives antipsychotiques doivent être utilisés avec prudence chez les patients à risque de pneumonie par aspiration.
  • -Une prise de poids est souvent observée chez les patients schizophrènes et les patients bipolaires ayant des épisodes maniaques en raison de comorbidités, de l'utilisation d'antipsychotiques connus pour entraîner des prises de poids ou d'une mauvaise hygiène de vie, pouvant conduire à des complications graves. La prise de poids a été rapportée chez des patients auxquels on avait prescrit l'aripiprazole après sa commercialisation (fréquence indéterminée, voir «Effets indésirables après commercialisation»). Lorsqu'une prise de poids a été observée, il s'agissait généralement de patients qui présentaient des facteurs de risque significatifs tels qu'un antécédent de diabète, de trouble thyroïdien ou d'adénome hypophysaire. Dans les études cliniques, l'aripiprazole n'a pas entraîné de prise de poids cliniquement significative (voir «Propriétés/Effets»).
  • +Une prise de poids est souvent observée chez les patients schizophrènes et les patients bipolaires ayant des épisodes maniaques en raison de comorbidités, de l'utilisation d'antipsychotiques connus pour entraîner des prises de poids ou d'une mauvaise hygiène de vie, pouvant conduire à des complications graves. La prise de poids a été rapportée chez des patients auxquels on avait prescrit l'aripiprazole après sa commercialisation (fréquence indéterminée, voir «Effets indésirables après la commercialisation»). Lorsqu'une prise de poids a été observée, il s'agissait généralement de patients qui présentaient des facteurs de risque significatifs tels qu'un antécédent de diabète, de trouble thyroïdien ou d'adénome hypophysaire. Dans les études cliniques, l'aripiprazole n'a pas entraîné de prise de poids cliniquement significative (voir «Propriétés/Effets»).
  • -La dose d'aripiprazole doit être multipliée par deux en cas d'administration d'aripiprazole et de carbamazépine. D'autres inducteurs puissants du CYP3A4 (rifampicine, rifabutine, phénytoïne, phénobarbital, primidone, éfavirenz, névirapine et millepertuis) sont susceptibles d'avoir des effets similaires, et par conséquent, les mêmes augmentations de dose sont recommandées. A l'arrêt du traitement par l'inducteur puissant du CYP3A4, la dose d'aripiprazole doit être ramenée à la posologie recommandée.
  • +La dose d'aripiprazole doit être multipliée par deux en cas d'administration concomitante d'aripiprazole et de carbamazépine. D'autres inducteurs puissants du CYP3A4 (rifampicine, rifabutine, phénytoïne, phénobarbital, primidone, éfavirenz, névirapine et millepertuis) sont susceptibles d'avoir des effets similaires, et par conséquent, les mêmes augmentations de dose sont recommandées. A l'arrêt du traitement par l'inducteur puissant du CYP3A4, la dose d'aripiprazole doit être ramenée à la posologie recommandée.
  • -Dans les études cliniques, l'aripiprazole à des doses allant de 10 mg à 30 mg/jour n'a pas eu d'effet significatif sur le métabolisme des substrats du CYP2D6 (dextrométhorphane), du CYP2C9 (warfarine), du CYP2C19 (oméprazole) et du CYP3A4 (dextrométhorphane). De plus, l'aripiprazole et le déhydro-aripiprazole n'ont pas démontré in vitro de potentiel d'altération du métabolisme dépendant du CYP1A2. Par conséquent, il est peu probable que l'aripiprazole soit à l'origine d'interactions cliniquement significatives impliquant ces enzymes.
  • -Il n'a pas été observé de variation cliniquement significative des concentrations de valproate, de lithium ou de lamotrigine à la suite d'une administration concomitante d'aripiprazole et de valproate, de lithium ou de lamotrigine.
  • +Dans les études cliniques, l'aripiprazole à des doses allant de 10 mg à 30 mg/jour n'a pas eu d'effet significatif sur le métabolisme des substrats du CYP2D6 (dextrométhorphane), du CYP2C9 (warfarine), du CYP2C19 (oméprazole) et du CYP3A4 (dextrométhorphane). De plus, l'aripiprazole et le déhydro-aripiprazole n'ont pas démontré in vitro de potentiel d'altération du métabolisme dépendant du CYP1A2. Par conséquent, il est peu probable que l'aripiprazole soit à l'origine d'interactions cliniquement significatives impliquant ces enzymes. Il n'a pas été observé de variation cliniquement significative des concentrations de valproate, de lithium ou de lamotrigine à la suite d'une administration concomitante d'aripiprazole et de valproate, de lithium ou de lamotrigine.
  • -L'aripiprazole est excrété dans le lait maternel.
  • +L'aripiprazole/les métabolites sont excrétés dans le lait maternel.
  • -Ils sont classés par classes de systèmes d'organes (MedDRA) et par fréquence décroissante: «très fréquents» (≥1/10), «fréquents» (≥1/100, < 1/10), «occasionnels» (≥1/1000, < 1/100), «rares» (≥1/10'000, < 1/1000), «très rares» (< 1/10'000).
  • -Affections endocriniennes
  • -Occasionnel: hyperprolactinémie.
  • -Affections psychiatriques
  • -Très fréquent: insomnie (11 %).
  • -Fréquent: anxiété, agitation.
  • -Occasionnel: hypersexualité.
  • -Affections du système nerveux
  • -Très fréquent: céphalée (15 %).
  • -Fréquent: akathisie, étourdissements, sédation, tremblements, somnolence, symptômes extrapyramidaux (p.ex. dystonie, parkinsonisme, dyskinésie).
  • -Occasionnel: dyskinésie tardive*, crise de convulsions*.
  • -Rare: syndrome malin des neuroleptiques (SMN)*.
  • -Affections oculaires
  • -Fréquent: vision floue.
  • -Occasionnel: vue double.
  • -Affections cardiaques
  • -Fréquent: tachycardie*.
  • -Affections vasculaires
  • -Fréquent: syndrome de tachycardie orthostatique posturale*.
  • -Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales
  • -Occasionnel: hoquet.
  • -Affections gastro-intestinales
  • -Très fréquent: nausées (11 %).
  • -Fréquent: vomissements, dyspepsie, constipation, hypersalivation.
  • -Troubles généraux et anomalies au site d'administration
  • -Fréquent: fatigue.
  • -Effets indésirables après commercialisation
  • -Les effets indésirables suivants ont également été rapportés dans le cadre de la surveillance post-commercialisation. La fréquence de ces effets n'est pas connue (ne peut être estimée sur la base des données disponibles).
  • -Affections hématologiques et du système lymphatique
  • -Leucopénie, neutropénie, thrombocytopénie.
  • -Affections du système immunitaire
  • -Réactions allergiques (par exemple, réactions anaphylactiques, œdème de Quincke comprenant œdème de la langue et œdème de la face, prurit, urticaire, éruption cutanée).
  • -Affections endocriniennes
  • -Acidocétose diabétique, coma hyperosmolaire diabétique.
  • -Troubles du métabolisme et de la nutrition
  • -Prise de poids, perte de poids, hyponatrémie, anorexie, hyperglycémie, diabète sucré.
  • -Affections psychiatriques
  • -Agitation, nervosité, idées suicidaires, tentatives de suicide, suicide (voir «Mises en garde et précautions»), dépression, agressivité, trouble du contrôle des impulsions (p.ex. jeu pathologique, achats compulsifs, crises de fringale ou hyperphagie).
  • -Affections du système nerveux
  • -Troubles de l'élocution, crise grand mal, syndrome sérotoninergique, troubles de l'attention, léthargie, syndrome des jambes sans repos.
  • -Affections oculaires
  • -Crise oculogyre.
  • -Affections cardiaques
  • -Allongement du QT, arythmie ventriculaire, mort subite de cause inconnue, arrêt cardiaque, torsades de pointes, bradycardie.
  • -Affections vasculaires
  • -Syncope, hypertension, évènements thromboemboliques veineux (incluant embolie pulmonaire et thrombose veineuse profonde), voir «Mises en garde et précautions».
  • -Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales
  • -Pneumonie de déglutition, spasme oropharyngé, spasme laryngé.
  • -Affections gastro-intestinales
  • -Pancréatite, dysphagie, salivation accrue, maux de ventre, troubles gastriques, diarrhée, sécheresse de la bouche.
  • -Affections hépatobiliaires
  • -Hépatite, ictère, élévation de l'alanine aminotransférase (ALAT), élévation de l'aspartate aminotransférase (ASAT), élévation de la γ-glutamyltransférase (γ-GT).
  • -Affections de la peau et du tissu sous-cutané
  • -Hyperhidrose, réaction de photosensibilité, alopécie, réaction médicamenteuse avec éosinophilie et symptômes systémiques (syndrome DRESS).
  • -Affections musculo-squelettiques et du tissu conjonctif
  • -Myalgie, rhabdomyolyse, raideur.
  • -Affections du rein et des voies urinaires
  • -Rétention urinaire, incontinence urinaire.
  • -Affections gravidiques, puerpérales et périnatales
  • -Symptômes extrapyramidaux et/ou des symptômes de sevrage chez les nouveau-nés (voir «Grossesse/Allaitement»).
  • -Affections des organes de reproduction et du sein
  • -Priapisme.
  • -Troubles généraux et anomalies au site d'administration
  • -Douleurs thoraciques, trouble de la régulation de la température (par exemple hypothermie, fièvre), œdème périphérique, douleurs.
  • -Investigations
  • -Augmentation des CPK, augmentation de la glycémie, variation de la glycémie, augmentation de l'hémoglobine glycosylée.
  • +Ils sont présentés par classes de systèmes d'organes (MedDRA) et par fréquence décroissante: «très fréquents» (≥1/10), «fréquents» (≥1/100, < 1/10), «occasionnels» (≥1/1'000, < 1/100), «rares» (≥1/10'000, < 1/1'000), «très rares» (< 1/10'000).
  • +La fréquence des effets indésirables rapportés après commercialisation ne peut pas être déterminée puisqu'ils sont dérivés de rapports spontanés. En conséquence, la fréquence de ces effets indésirables est qualifiée d'«inconnue».
  • + Très fréquents Fréquents Occasionnels Rares Fréquence inconnue1
  • +Affections hématologiques et du système lymphatique Leucopénie, neutropénie, thrombocytopénie
  • +Affections du système immunitaire Réaction allergique (par exemple réactions anaphylactiques, angio-œdème, incluant œdème de la langue et de la face, prurit, urticaire, éruption cutanée)
  • +Affections endocriniennes Hyperprolactinémie, taux de prolactine dans le sang abaissés Coma diabétique hyperosmolaire, acidocétose diabétique
  • +Troubles du métabolisme et de la nutrition Diabète sucré, hyperglycémie, hyponatrémie, anorexie
  • +Affections psychiatriques Insomnies (11%) Anxiété, agitation Hypersexualité Dépression, tentative de suicide, idées suicidaires, suicide accompli (voir «Mises en garde et précautions»), trouble du contrôle des impulsions (p.ex. jeu pathologique, achats compulsifs, crises de fringale ou hyperphagie), agressivité, agitation, nervosité
  • +Affections du système nerveux Céphalée (15%) Akathisie, symptômes extrapyramidaux (par exemple dystonie, parkinsonisme, dyskinésie) Tremblement, etourdissement, sédation, somnolence Dyskinésie tardive*, crise convulsive* Syndrome malin des neuroleptiques (SMN)* Troubles de l'élocution, crise grand mal, syndrome sérotoninergique, troubles de l'attention, léthargie, syndrome des jambes sans repos
  • +Affections oculaires Vision trouble Vue double, photophobie Crise oculogyre
  • +Affections cardiaques Tachycardie* mort subite de cause inconnue, torsades de pointe, arythmies ventriculaires, arrêt cardiaque, bradycardie
  • +Affections vasculaires Syndrome orthostatique* Incidents thrombo-emboliques veineux (incluant embolie pulmonaire et thrombose veineuse profonde) (voir «Mises en garde et précautions»), syncope, hypertension
  • +Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales Hoquet Pneumonie par aspiration, spasme laryngé, spasme oropharyngé
  • +Affections gastro-intestinales Nausées (11%) Constipation, dyspepsie, hypersalivation, vomissement Pancréatite, dysphagie, diarrhée, salivation accrue, gêne au niveau de l'abdomen, gêne au niveau de l'estomac, bouche sèche
  • +Affections hépatobiliaires Insuffisance hépatique, hépatite, ictère
  • +Affections de la peau et du tissu sous-cutané Réaction d'hypersensibilité à la lumière, alopécie, hyperhidrose, réaction médicamenteuse avec éosinophilie et symptômes systémiques (syndrome DRESS)
  • +Affections musculo-squelettiques et du tissu conjonctif Rhabdomyolyse, myalgie, raideur
  • +Affections du rein et des voies urinaires Incontinence urinaire, rétention urinaire
  • +Affections gravidiques, puerpérales et périnatales Syndrome de sevrage de médicament du nouveau-né (voir «Grossesse/Allaitement»)
  • +Affections des organes de reproduction et du sein Priapisme
  • +Troubles généraux et anomalies au site d'administration Fatigue Douleurs thoraciques, troubles de la régulation thermique (p.ex. hypothermie, pyrexie), œdème périphérique, douleurs
  • +Investigations Prise de poids, perte de poids, élévation de l'alanine aminotransférase (ALAT), élévation de l'aspartate aminotransférase (ASAT), élévation de la γ-glutamyltransférase (γ-GT), QT prolongé, augmentation de la créatine phosphokinase, augmentation de la glycémie, fluctuation glycémiques, hémoglobine glycosylée augmentée
  • +
  • +1 Les effets indésirables figurant dans la colonne «Fréquence inconnue» résultent de l'utilisation après la mise sur le marché. Il s'agit de déclarations spontanées issues de la surveillance post-marketing.
  • -Code ATC N05AX12
  • +Code ATC
  • +N05AX12
  • -Chez l'homme: Dans une étude de tomographie par émission de positrons chez des volontaire sains, utilisant des doses allant de 0,5 mg à 30 mg administrées en une prise quotidienne pendant deux semaines, l'aripiprazole a entraîné une réduction dose-dépendante de la liaison du 11C-raclopride (un ligand du récepteur D2) au niveau du noyau caudé et du putamen.
  • +Chez l'homme: Dans une étude de tomographie par émission de positrons chez des volontaires sains, utilisant des doses allant de 0,5 mg à 30 mg administrées en une prise quotidienne pendant deux semaines, l'aripiprazole a entraîné une réduction dose-dépendante de la liaison du 11C-raclopride (un ligand du récepteur D2) au niveau du noyau caudé et du putamen.
  • - N Semaine 4 Modification moyenne de la valeur Y-MRS (LOCF##) N Semaine 4 Modification moyenne de la valeur Y-MRS (OC#)
  • + n Semaine 4 Modification moyenne de la valeur Y-MRS (LOCF##) n Semaine 4 Modification moyenne de la valeur Y-MRS (OC#)
  • - N Semaine 12 Modification moyenne de la valeur Y-MRS (LOCF##) N Semaine 12 Modification moyenne de la valeur Y-MRS (OC#)
  • + n Semaine 12 Modification moyenne de la valeur Y-MRS (LOCF##) n Semaine 12 Modification moyenne de la valeur Y-MRS (OC#)
  • -La modification moyenne du poids corporel chez les adolescents participant à l'étude, après 4, 12 ou 30 semaines, a été de 0,7 kg, 2,4 kg ou 5,8 kg sous aripiprazole et de 0,7 kg, 0,2 kg ou 2,3 kg sous placebo.
  • +La modification moyenne du poids corporel chez les adolescents participant à l'étude, après 4 semaines, 12 semaines ou 30 semaines, a été de 0,7 kg, 2,4 kg ou 5,8 kg sous aripiprazole et de 0,7 kg, 0,2 kg ou 2,3 kg sous placebo.
  • -Des études in vitro ont montré que les enzymes CYP3A4 et CYP2D6 sont responsables de la déshydrogénation et de l'hydroxylation de l'aripiprazole, la N-désalkylation étant catalysée par le CYP3A4.
  • -L'aripiprazole est l'entité principale du médicament dans la circulation systémique. A l'état d'équilibre, le déshydro-aripiprazole représentait environ 40 % de l'ASC de l'aripiprazole dans le plasma.
  • +Des études in vitro ont montré que les enzymes CYP3A4 et CYP2D6 sont responsables de la déshydrogénation et de l'hydroxylation de l'aripiprazole, la N-désalkylation étant catalysée par le CYP3A4. L'aripiprazole est l'entité principale du médicament dans la circulation systémique. A l'état d'équilibre, le déshydro-aripiprazole représentait environ 40 % de l'ASC de l'aripiprazole dans le plasma.
  • -À une posologie de 20 mg/kg/jour à 60 mg/kg/jour (correspondant à 6,5 à 19,5× fois la dose humaine maximale recommandée, calculée en mg/m2 de surface corporelle), une toxicité corticosurrénalienne dose-dépendante a été observée chez le rat après 104 semaines (accumulation du pigment lipofuscine et/ou perte cellulaire parenchymateuse).
  • +À une posologie de 20 mg/kg/jour à 60 mg/kg/jour (correspondant à 6,5 à 19,5× fois la dose humaine maximale recommandée, calculée en mg/m2 de surface corporelle), une toxicité cortico-surrénalienne dose-dépendante a été observée chez le rat après 104 semaines (accumulation du pigment lipofuscine et/ou perte cellulaire parenchymateuse).
  • -Dans des études de carcinogénicité, l'aripiprazole n'a provoqué aucune tumeur chez la souris mâle ou le rat mâle. Chez la souris femelle, l'incidence des adénomes hypophysaires, des adénocarcinomes et des adénocanthomes de la glande mammaire a été augmentée après administration orale de 3 mg/kg/jour à 30 mg/kg/jour (correspondant à 0,1 à 0,9 fois la dose humaine maximale recommandée calculée sur l'ASC et 0,5 à 5 fois la dose en mg/m2 de surface corporelle). Chez la rate, l'incidence des fibroadénomes de la glande mammaire après administration orale de 10 mg/kg/jour (correspondant à 0,1 fois la dose humaine maximale recommandée calculée sur l'ASC et 3 fois la dose humaine maximale recommandée calculée en mg/m2 de surface corporelle) a augmenté. De même, l'incidence des carcinomes corticosurrénaliens et des adénomes/carcinomes corticosurrénaliens combinés a augmenté lors d'une administration orale de 60 mg/kg (correspondant à 10 fois la dose humaine maximale recommandée calculée sur l'ASC et 19,5 fois la dose maximale recommandée calculée en mg/m2 de surface corporelle).
  • +Dans des études de carcinogénicité, l'aripiprazole n'a provoqué aucune tumeur chez la souris mâle ou le rat mâle. Chez la souris femelle, l'incidence des adénomes hypophysaires, des adénocarcinomes et des adénocanthomes de la glande mammaire a été augmentée après administration orale de 3 mg/kg/jour à 30 mg/kg/jour (correspondant à 0,1 à 0,9 fois la dose humaine maximale recommandée calculée sur l'ASC et 0,5 à 5 fois la dose en mg/m2 de surface corporelle). Chez la rate, l'incidence des fibro-adénomes de la glande mammaire après administration orale de 10 mg/kg/jour (correspondant à 0,1 fois la dose humaine maximale recommandée calculée sur l'ASC et 3 fois la dose humaine maximale recommandée calculée en mg/m2 de surface corporelle) a augmenté. De même, l'incidence des carcinomes cortico-surrénaliens et des adénomes/carcinomes cortico-surrénaliens combinés a augmenté lors d'une administration orale de 60 mg/kg (correspondant à 10 fois la dose humaine maximale recommandée calculée sur l'ASC et 19,5 fois la dose maximale recommandée calculée en mg/m2 de surface corporelle).
  • -Décembre 2020.
  • -Numéro de version interne: 6.2
  • +Juin 2022.
  • +Numéro de version interne: 7.1
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