110 Changements de l'information professionelle Aripiprazol-Mepha 5 mg |
-Épisodes maniaques des troubles bipolaires de type I: La posologie initiale d'Aripiprazol-Mepha est de 15 mg par jour en une seule prise.
- +Épisodes maniaques des troubles bipolaires de type I: La posologie initiale d'Aripiprazol-Mepha est de 15 mg par jour en une seule prise en monothérapie ou en association avec des normothymiques (voir la rubrique «Efficacité clinique»).
-Lors d'une administration concomitante d'Aripiprazol-Mepha et d'un inhibiteur puissant du CYP3A4 ou du CYP2D6, la dose d'aripiprazole devrait être réduite (voir «Interactions»). Après l'arrêt d'administration de l'inhibiteur du CYP3A4 ou du CYP2D6, la dose d'Aripiprazol-Mepha doit être augmentée. Environ 8% des Caucasiens sont des «métaboliseurs lents» des substrats du CYP2D6 (voir «Pharmacocinétique»).
-Lors d'une co-administration d'Aripiprazol-Mepha et d'un inducteur puissant de CYP3A4, on augmentera la dose d'aripiprazole (voir «Interactions»). Les augmentations supplémentaires de la dose d'Aripiprazol-Mepha se baseront sur une appréciation clinique. Après l'arrêt de l'inducteur du CYP3A4, on réduira le dosage d'Aripiprazol-Mepha (voir «Interactions»).
- +Lors d'une administration concomitante d'Aripiprazol-Mepha et d'un inhibiteur puissant du CYP3A4 ou du CYP2D6, la dose d'aripiprazole devrait être réduite (voir «Interactions»). Après l'arrêt d'administration de l'inhibiteur du CYP3A4 ou du CYP2D6, la dose d'Aripiprazol-Mepha doit être augmentée. Environ 8 % des Caucasiens sont des «métaboliseurs lents» (= «poor») des substrats du CYP2D6 (voir «Pharmacocinétique»).
- +Lors d'une coadministration d'Aripiprazol-Mepha et d'un inducteur puissant de CYP3A4, on augmentera la dose d'aripiprazole (voir «Interactions»). Les augmentations supplémentaires de la dose d'Aripiprazol-Mepha se baseront sur une appréciation clinique. Après l'arrêt de l'inducteur du CYP3A4, on réduira le dosage d'Aripiprazol-Mepha (voir «Interactions»).
-Dans les études à court terme contrôlées contre placebo, la somnolence est rapportée chez 11% des patients traités par l'aripiprazole contre 6% des patients recevant le placebo. Pour 0,2% (5/2096) des patients traités par l'aripiprazole, le traitement a été arrêté à cause de la somnolence. Bien que la fréquence de la somnolence ne soit relativement guère plus élevée que celle du placebo, l'aripiprazole peut, comme c'est le cas des autres antipsychotiques, altérer les facultés de jugement et de raisonnement, ou les capacités motrices (voir aussi la rubrique «Effet sur l'aptitude à la conduite et l'utilisation de machines»).
- +Dans les études à court terme contrôlées contre placebo, la somnolence est rapportée chez 11 % des patients traités par l'aripiprazole contre 6 % des patients recevant le placebo. Pour 0,2 % (5/2096) des patients traités par l'aripiprazole, le traitement a été arrêté à cause de la somnolence. Bien que la fréquence de la somnolence ne soit relativement guère plus élevée que celle du placebo, l'aripiprazole peut, comme c'est le cas des autres antipsychotiques, altérer les facultés de jugement et de raisonnement, ou les capacités motrices (voir aussi la rubrique «Effet sur l'aptitude à la conduite et l'utilisation de machines»).
-Dans trois études contrôlées aripiprazole contre placebo, menées pendant 10 semaines sur des patients âgés présentant une psychose associée à la maladie d'Alzheimer (n = 938; âge moyen: 82,4 ans, intervalle: 56 à 99 ans), le taux de mortalité enregistré pendant la phase en double aveugle de l'étude ou dans les 30 jours suivant la fin de l'étude a été de 3,5% pour les patients sous aripiprazole et de 1,7% pour les patients sous placebo.
- +Dans trois études contrôlées aripiprazole contre placebo, menées pendant 10 semaines sur des patients âgés présentant une psychose associée à la maladie d'Alzheimer (n = 938; âge moyen: 82,4 ans, intervalle: 56 à 99 ans), le taux de mortalité enregistré pendant la phase en double aveugle de l'étude ou dans les 30 jours suivant la fin de l'étude a été de 3,5 % pour les patients sous aripiprazole et de 1,7 % pour les patients sous placebo.
-Effets indésirables cérébro-vasculaires
-Les réactions cérébrovasculaires indésirables (par exemple, AVC, accident ischémique transitoire), en incluant les décès, sont apparues chez 1,3% des patients traités par aripiprazole contre 0,6% des patients sous placebo (âge moyen: 84 ans, intervalle: 78 à 88 ans). Cette différence n'est pas statistiquement significative. Les effets indésirables suivants ont été rapportés avec une fréquence ≥5% et au moins deux fois plus souvent pour l'aripiprazole que pour le placebo: léthargie, somnolence et incontinence urinaire.
- +Effets indésirables cérébrovasculaires
- +Les réactions cérébrovasculaires indésirables (par exemple, AVC, accident ischémique transitoire), en incluant les décès, sont apparues chez 1,3 % des patients traités par aripiprazole contre 0,6 % des patients sous placebo (âge moyen: 84 ans, intervalle: 78 à 88 ans). Cette différence n'est pas statistiquement significative. Les effets indésirables suivants ont été rapportés avec une fréquence ≥5 % et au moins deux fois plus souvent pour l'aripiprazole que pour le placebo: léthargie, somnolence et incontinence urinaire.
-Des troubles de la motilité oesophagienne et des cas d'aspiration ont été associés à l'utilisation des traitements antipsychotiques, y compris l'aripiprazole. L'aripiprazole et les autres substances actives antipsychotiques doivent être utilisés avec prudence chez les patients à risque de pneumonie de déglutition.
- +Des troubles de la motilité œsophagienne et des cas d'aspiration ont été associés à l'utilisation des traitements antipsychotiques, y compris l'aripiprazole. L'aripiprazole et les autres substances actives antipsychotiques doivent être utilisés avec prudence chez les patients à risque de pneumonie de déglutition.
-Dans une étude clinique sur des volontaires sains, un inhibiteur puissant du CYP2D6 (la quinidine) a augmenté l'ASC de l'aripiprazole de 107%, alors que la Cmax restait inchangée. L'ASC et la Cmax du métabolite actif, le déhydro-aripiprazole, ont diminué respectivement de 32% et 47%. La dose prescrite d'aripiprazole doit être réduite de moitié environ en cas d'administration concomitante d'aripiprazole et de quinidine. D'autres inhibiteurs puissants du CYP2D6, tels que la fluoxétine et la paroxétine, sont susceptibles d'avoir des effets similaires, et par conséquent, les mêmes réductions de dose s'appliquent.
- +Dans une étude clinique sur des volontaires sains, un inhibiteur puissant du CYP2D6 (la quinidine) a augmenté l'ASC de l'aripiprazole de 107 %, alors que la Cmax restait inchangée. L'ASC et la Cmax du métabolite actif, le déhydro-aripiprazole, ont diminué respectivement de 32 % et 47 %. La dose prescrite d'aripiprazole doit être réduite de moitié environ en cas d'administration concomitante d'aripiprazole et de quinidine. D'autres inhibiteurs puissants du CYP2D6, tels que la fluoxétine et la paroxétine, sont susceptibles d'avoir des effets similaires, et par conséquent, les mêmes réductions de dose s'appliquent.
-Dans une étude clinique sur des volontaires sains, un inhibiteur puissant du CYP3A4 (le kétoconazole) a augmenté l'ASC et la Cmax de l'aripiprazole respectivement de 63% et 37%. L'ASC et la Cmax du déhydro-aripiprazole ont augmenté respectivement de 77% et 43%. Chez les métaboliseurs lents du CYP2D6, l'utilisation concomitante d'inhibiteurs puissants du CYP3A4 peut conduire à une élévation des concentrations plasmatiques d'aripiprazole, comparativement aux métaboliseurs rapides du CYP2D6. L'administration concomitante de kétoconazole ou d'autres inhibiteurs puissants du CYP3A4 avec l'aripiprazole n'est envisagée que si les bénéfices escomptés sont supérieurs aux risques encourus. La dose prescrite d'aripiprazole doit être réduite de moitié environ lors de l'administration concomitante d'aripiprazole et de kétoconazole. D'autres inhibiteurs puissants du CYP3A4, tels que l'itraconazole et les antiprotéases du VIH, sont susceptibles d'avoir des effets similaires, et par conséquent, les mêmes réductions de dose s'appliquent.
- +Dans une étude clinique sur des volontaires sains, un inhibiteur puissant du CYP3A4 (le kétoconazole) a augmenté l'ASC et la Cmax de l'aripiprazole respectivement de 63 % et 37 %. L'ASC et la Cmax du déhydro-aripiprazole ont augmenté respectivement de 77 % et 43 %. Chez les métaboliseurs lents (= «poor») du CYP2D6, l'utilisation concomitante d'inhibiteurs puissants du CYP3A4 peut conduire à une élévation des concentrations plasmatiques d'aripiprazole, comparativement aux métaboliseurs rapides du CYP2D6. L'administration concomitante de kétoconazole ou d'autres inhibiteurs puissants du CYP3A4 avec l'aripiprazole n'est envisagée que si les bénéfices escomptés sont supérieurs aux risques encourus. La dose prescrite d'aripiprazole doit être réduite de moitié environ lors de l'administration concomitante d'aripiprazole et de kétoconazole. D'autres inhibiteurs puissants du CYP3A4, tels que l'itraconazole et les antiprotéases du VIH, sont susceptibles d'avoir des effets similaires, et par conséquent, les mêmes réductions de dose s'appliquent.
-Lors de l'administration concomitante de carbamazépine, un inducteur puissant du CYP3A4, les moyennes géométriques de la Cmax et de l'ASC de l'aripiprazole ont diminué respectivement de 68% et 73%, comparativement à l'aripiprazole (30 mg) en monothérapie. De la même façon, les moyennes géométriques de la Cmax et de l'ASC du déhydro-aripiprazole ont diminué respectivement de 69% et 71% lors de l'administration concomitante de carbamazépine, comparativement à l'aripiprazole en monothérapie.
- +Lors de l'administration concomitante de carbamazépine, un inducteur puissant du CYP3A4, les moyennes géométriques de la Cmax et de l'ASC de l'aripiprazole ont diminué respectivement de 68 % et 73 %, comparativement à l'aripiprazole (30 mg) en monothérapie. De la même façon, les moyennes géométriques de la Cmax et de l'ASC du déhydro-aripiprazole ont diminué respectivement de 69 % et 71 % lors de l'administration concomitante de carbamazépine, comparativement à l'aripiprazole en monothérapie.
-Le risque potentiel chez l'homme n'est pas connu. Les patientes doivent être averties de la nécessité d'informer leur médecin de toute grossesse ou désir de grossesse au cours du traitement par l'aripiprazole. En raison d'informations insuffisantes sur la tolérance chez l'homme et des interrogations suscitées par les études de reproduction chez l'animal, l'aripiprazole ne doit pas être administré pendant la grossesse, sauf si le bénéfice attendu justifie clairement le risque potentiel pour le foetus.
- +Le risque potentiel chez l'homme n'est pas connu. Les patientes doivent être averties de la nécessité d'informer leur médecin de toute grossesse ou désir de grossesse au cours du traitement par l'aripiprazole. En raison d'informations insuffisantes sur la tolérance chez l'homme et des interrogations suscitées par les études de reproduction chez l'animal, l'aripiprazole ne doit pas être administré pendant la grossesse, sauf si le bénéfice attendu justifie clairement le risque potentiel pour le fœtus.
-Comme avec d'autres antipsychotiques, les patients traités par l'aripiprazole doivent être mis en garde contre la conduite de véhicules ou de machines dangereuses tant qu'ils n'ont pas la certitude que le médicament n'a pas d'effet indésirable. ll n'a pas été possible de démontrer que l'aripiprazole altère les fonctions cognitives.
- +Comme avec d'autres antipsychotiques, les patients traités par l'aripiprazole doivent être mis en garde contre la conduite de véhicules ou de machines dangereuses tant qu'ils n'ont pas la certitude que le médicament n'a pas d'effet indésirable. Il n'a pas été possible de démontrer que l'aripiprazole altère les fonctions cognitives.
-Les effets indésirables suivants ont été rapportés plus fréquemment (≥1%) que sous placebo, ou ont été identifiés comme des effets indésirables pouvant être cliniquement significatifs (*).
-Ils sont classés par classes de systèmes d'organes (MedDRA) et par fréquence décroissante: «très fréquents» (≥1/10), «fréquents» (≥1/100, <1/10), «occasionnels» (≥1/1'000, <1/100), «rares» (≥1/10'000, <1/1'000), «très rares» (<1/10'000).
- +Les effets indésirables suivants ont été rapportés plus fréquemment (≥1 %) que sous placebo, ou ont été identifiés comme des effets indésirables pouvant être cliniquement significatifs (*).
- +Ils sont classés par classes de systèmes d'organes (MedDRA) et par fréquence décroissante: «très fréquents» (≥1/10), «fréquents» (≥1/100, < 1/10), «occasionnels» (≥1/1000, < 1/100), «rares» (≥1/10'000, < 1/1000), «très rares» (< 1/10'000).
-Très fréquent: insomnie (11%).
- +Très fréquent: insomnie (11 %).
-Très fréquent: céphalée (15%).
- +Très fréquent: céphalée (15 %).
-Très fréquent: nausées (11%).
- +Très fréquent: nausées (11 %).
-Leucopénie, neutropénie, thrombocytopénie
- +Leucopénie, neutropénie, thrombocytopénie.
-Réactions allergiques (par exemple, réactions anaphylactiques, œdème de Quincke comprenant œdème de la langue et œdème de la face, prurit, urticaire, éruption cutanée)
- +Réactions allergiques (par exemple, réactions anaphylactiques, œdème de Quincke comprenant œdème de la langue et œdème de la face, prurit, urticaire, éruption cutanée).
-Acidocétose diabétique, coma hyperosmolaire diabétique
- +Acidocétose diabétique, coma hyperosmolaire diabétique.
-Prise de poids, perte de poids, hyponatrémie, anorexie, hyperglycémie, diabète sucré
- +Prise de poids, perte de poids, hyponatrémie, anorexie, hyperglycémie, diabète sucré.
-Agitation, nervosité, idées suicidaires, tentatives de suicide, suicide (voir «Mises en garde et précautions»), dépression, agressivité, trouble du contrôle des impulsions (p.ex. jeu pathologique, achats compulsifs, crises de fringale ou hyperphagie)
- +Agitation, nervosité, idées suicidaires, tentatives de suicide, suicide (voir «Mises en garde et précautions»), dépression, agressivité, trouble du contrôle des impulsions (p.ex. jeu pathologique, achats compulsifs, crises de fringale ou hyperphagie).
-Troubles de l'élocution, crise grand mal, syndrome sérotoninergique, troubles de l'attention, léthargie
- +Troubles de l'élocution, crise grand mal, syndrome sérotoninergique, troubles de l'attention, léthargie, syndrome des jambes sans repos.
-Crise oculogyre
- +Crise oculogyre.
-Allongement du QT, arythmie ventriculaire, mort subite de cause inconnue, arrêt cardiaque, torsades de pointes, bradycardie
- +Allongement du QT, arythmie ventriculaire, mort subite de cause inconnue, arrêt cardiaque, torsades de pointes, bradycardie.
-Syncope, hypertension, évènements thromboemboliques veineux (incluant embolie pulmonaire et thrombose veineuse profonde), voir «Mises en garde et précautions»
- +Syncope, hypertension, évènements thromboemboliques veineux (incluant embolie pulmonaire et thrombose veineuse profonde), voir «Mises en garde et précautions».
-Pneumonie de déglutition, spasme oropharyngé, spasme laryngé
- +Pneumonie de déglutition, spasme oropharyngé, spasme laryngé.
-Pancréatite, dysphagie, salivation accrue, maux de ventre, troubles gastriques, diarrhée, sécheresse de la bouche
- +Pancréatite, dysphagie, salivation accrue, maux de ventre, troubles gastriques, diarrhée, sécheresse de la bouche.
-Hépatite, ictère, élévation de l'alanine aminotransférase (ALAT), élévation de l'aspartate aminotransférase (ASAT), élévation de la γ-glutamyltransférase (γ-GT)
- +Hépatite, ictère, élévation de l'alanine aminotransférase (ALAT), élévation de l'aspartate aminotransférase (ASAT), élévation de la γ-glutamyltransférase (γ-GT).
-Hyperhidrose, réaction de photosensibilité, alopécie
- +Hyperhidrose, réaction de photosensibilité, alopécie, réaction médicamenteuse avec éosinophilie et symptômes systémiques (syndrome DRESS).
-Myalgie, rhabdomyolyse, raideur
- +Myalgie, rhabdomyolyse, raideur.
-Rétention urinaire, incontinence urinaire
- +Rétention urinaire, incontinence urinaire.
-Symptômes extrapyramidaux et/ou des symptômes de sevrage chez les nouveau-nés (voir «Grossesse/Allaitement»)
- +Symptômes extrapyramidaux et/ou des symptômes de sevrage chez les nouveau-nés (voir «Grossesse/Allaitement»).
-Priapisme
- +Priapisme.
-Douleurs thoraciques, trouble de la régulation de la température (par exemple hypothermie, fièvre), œdème périphérique, douleurs
- +Douleurs thoraciques, trouble de la régulation de la température (par exemple hypothermie, fièvre), œdème périphérique, douleurs.
-Schizophrénie: dans une étude clinique contrôlée à long terme de 52 semaines, l'incidence des symptômes extrapyramidaux, comprenant parkinsonisme, akathisie, dystonie et dyskinésie, a été globalement plus faible chez les patients traités par aripiprazole (27.1%) comparativement aux patients traités par halopéridol (59.2%). Dans une étude clinique à long terme de 26 semaines, contrôlée contre placebo, l'incidence des symptômes extrapyramidaux était de 20.3% chez les patients traités par aripiprazole et de 13.1% chez les patients recevant le placebo. Dans une autre étude clinique contrôlée à long terme de 26 semaines, l'incidence des symptômes extrapyramidaux était de 16.8% chez les patients traités par aripiprazole et de 15.7% chez les patients traités par olanzapine.
-Épisodes maniaques des troubles bipolaires de type I: dans une étude clinique contrôlée de 12 semaines, l'incidence des symptômes extrapyramidaux était de 23.5% chez les patients traités par aripiprazole et de 53.3% chez les patients traités par halopéridol. Dans une autre étude de 12 semaines, l'incidence des symptômes extrapyramidaux était de 26.6% chez les patients traités par aripiprazole et de 17.6% chez les patients traités par lithium. Pendant la phase d'entretien de 26 semaines de l'étude clinique contrôlée contre placebo, l'incidence des symptômes extrapyramidaux était de 18.2% chez les patients traités par aripiprazole et de 15.7% chez les patients du groupe placebo.
- +Schizophrénie: dans une étude clinique contrôlée à long terme de 52 semaines, l'incidence des symptômes extrapyramidaux, comprenant parkinsonisme, akathisie, dystonie et dyskinésie, a été globalement plus faible chez les patients traités par aripiprazole (27,1 %) comparativement aux patients traités par halopéridol (59,2 %). Dans une étude clinique à long terme de 26 semaines, contrôlée contre placebo, l'incidence des symptômes extrapyramidaux était de 20,3 % chez les patients traités par aripiprazole et de 13,1 % chez les patients recevant le placebo. Dans une autre étude clinique contrôlée à long terme de 26 semaines, l'incidence des symptômes extrapyramidaux était de 16,8 % chez les patients traités par aripiprazole et de 15,7 % chez les patients traités par olanzapine.
- +Épisodes maniaques des troubles bipolaires de type I: dans une étude clinique contrôlée de 12 semaines, l'incidence des symptômes extrapyramidaux était de 23,5 % chez les patients traités par aripiprazole et de 53,3 % chez les patients traités par halopéridol. Dans une autre étude de 12 semaines, l'incidence des symptômes extrapyramidaux était de 26,6 % chez les patients traités par aripiprazole et de 17,6 % chez les patients traités par lithium. Pendant la phase d'entretien de 26 semaines de l'étude clinique contrôlée contre placebo, l'incidence des symptômes extrapyramidaux était de 18,2 % chez les patients traités par aripiprazole et de 15,7 % chez les patients du groupe placebo.
-Dans les essais cliniques pour les indications approuvées et après la commercialisation une augmentation et une diminution du taux de prolactine sérique par rapport à la valeur initiale ont été toutes deux observées sous aripiprazole. Le taux de prolactine a été évalué pour toutes les doses d'aripiprazole dans tous les essais (n = 28'242). L'incidence d'hyperprolactinémie ou d'augmentation du taux de prolactine sérique chez les patients traités par l'aripiprazole (0.3%) était similaire à celle observée sous placebo (0.2%). L'incidence d'hypoprolactinémie ou de diminution du taux de prolactine sérique chez les patients traités par l'aripiprazole était de 0.4% contre 0.02% chez les patients recevant le placebo.
- +Dans les essais cliniques pour les indications approuvées et après la commercialisation une augmentation et une diminution du taux de prolactine sérique par rapport à la valeur initiale ont été toutes deux observées sous aripiprazole. Le taux de prolactine a été évalué pour toutes les doses d'aripiprazole dans tous les essais (n = 28'242). L'incidence d'hyperprolactinémie ou d'augmentation du taux de prolactine sérique chez les patients traités par l'aripiprazole (0,3 %) était similaire à celle observée sous placebo (0,2 %). L'incidence d'hypoprolactinémie ou de diminution du taux de prolactine sérique chez les patients traités par l'aripiprazole était de 0,4 % contre 0,02 % chez les patients recevant le placebo.
-Des élévations des CPK, généralement transitoires et asymptomatiques, ont été observées chez 3,5% des patients traités par aripiprazole et chez 2,0% des patients recevant le placebo.
- +Des élévations des CPK, généralement transitoires et asymptomatiques, ont été observées chez 3,5 % des patients traités par aripiprazole et chez 2,0 % des patients recevant le placebo.
-Dans une étude clinique à court terme contrôlée contre placebo et impliquant 302 adolescents schizophrènes (âge: 13 à 17 ans), la fréquence et la nature des effets indésirables étaient similaires à celles des adultes, à l'exception des réactions suivantes qui ont été rapportées plus fréquemment chez les adolescents sous aripiprazole que chez les adultes sous aripiprazole (et plus fréquemment que sous placebo): la somnolence/sédation et les symptômes extrapyramidaux ont été très fréquents (≥10%). Sécheresse de la bouche et augmentation de l'appétit ont été fréquemment rapportés (≥1%, <10%).
- +Dans une étude clinique à court terme contrôlée contre placebo et impliquant 302 adolescents schizophrènes (âge: 13 à 17 ans), la fréquence et la nature des effets indésirables étaient similaires à celles des adultes, à l'exception des réactions suivantes qui ont été rapportées plus fréquemment chez les adolescents sous aripiprazole que chez les adultes sous aripiprazole (et plus fréquemment que sous placebo): la somnolence/sédation et les symptômes extrapyramidaux ont été très fréquents (≥10 %). Sécheresse de la bouche et augmentation de l'appétit ont été fréquemment rapportés (≥1 %, < 10 %).
-La fréquence et la nature des effets indésirables chez des adolescents présentant des épisodes maniaques ou mixtes d'un trouble bipolaire de type I et traités par 10 mg d'aripiprazole par jour, ont généralement été similaires à celles des adultes, à l'exception des réactions suivantes qui ont été rapportées plus fréquemment chez les adolescents: somnolence (17,8%), fatigue (11,7%) et akathisie (12,1%) ont été très fréquemment rapportés (≥1/10) et une dyskinésie a été fréquente (≥1/100, <1/10). Par rapport aux adultes, les effets indésirables les plus fréquents avec 30 mg d'aripiprazole par jour ont été les suivants:
-Très fréquent (≥1/10): trouble extrapyramidal (28,8%), somnolence (20,3%) akathisie (16,9%), Fréquent (≥1/100): dystonie, troubles gastriques, augmentation de la fréquence cardiaque et troubles de l'attention.
- +La fréquence et la nature des effets indésirables chez des adolescents présentant des épisodes maniaques ou mixtes d'un trouble bipolaire de type I et traités par 10 mg d'aripiprazole par jour, ont généralement été similaires à celles des adultes, à l'exception des réactions suivantes qui ont été rapportées plus fréquemment chez les adolescents: somnolence (17,8 %), fatigue (11,7 %) et akathisie (12,1 %) ont été très fréquemment rapportés (≥1/10) et une dyskinésie a été fréquente (≥1/100, < 1/10). Par rapport aux adultes, les effets indésirables les plus fréquents avec 30 mg d'aripiprazole par jour ont été les suivants:
- +Très fréquent (≥1/10): trouble extrapyramidal (28,8 %), somnolence (20,3 %) akathisie (16,9 %), Fréquent (≥1/100): dystonie, troubles gastriques, augmentation de la fréquence cardiaque et troubles de l'attention.
-L'administration de 50 g de charbon activé une heure après l'administration d'aripiprazole a diminué la Cmax de l'aripiprazole d'environ 41% et l'ASC d'environ 51%, ce qui suggère que le charbon activé peut être efficace en cas de surdosage.
- +L'administration de 50 g de charbon activé une heure après l'administration d'aripiprazole a diminué la Cmax de l'aripiprazole d'environ 41 % et l'ASC d'environ 51 %, ce qui suggère que le charbon activé peut être efficace en cas de surdosage.
-Chez l'homme: Dans une étude de tomographie par émission de positrons chez des volontaire sains, utilisant des doses allant de 0,5 à 30 mg administrées en une prise quotidienne pendant deux semaines, l'aripiprazole a entraîné une réduction dose-dépendante de la liaison du 11C-raclopride (un ligand du récepteur D2) au niveau du noyau caudé et du putamen.
- +Chez l'homme: Dans une étude de tomographie par émission de positrons chez des volontaire sains, utilisant des doses allant de 0,5 mg à 30 mg administrées en une prise quotidienne pendant deux semaines, l'aripiprazole a entraîné une réduction dose-dépendante de la liaison du 11C-raclopride (un ligand du récepteur D2) au niveau du noyau caudé et du putamen.
-Schizophrénie: Dans 3 études contrôlées contre placebo menées pendant 4 à 6 semaines sur 1'228 patients schizophrènes présentant des symptômes positifs ou négatifs, l'aripiprazole a montré une amélioration significativement plus prononcée des symptômes négatifs et positifs que le placebo.
- +Schizophrénie: Dans 3 études contrôlées contre placebo menées pendant 4 à 6 semaines sur 1228 patients schizophrènes présentant des symptômes positifs ou négatifs, l'aripiprazole a montré une amélioration significativement plus prononcée des symptômes négatifs et positifs que le placebo.
-Dans une étude multinationale de 26 semaines en double aveugle sur la schizophrénie (314 patients), contrôlée contre olanzapine, un gain pondéral ≥7% par rapport au poids initial est apparu chez un nombre significativement plus faible de personnes sous aripiprazole que chez les patients sous olanzapine.
- +Dans une étude multinationale de 26 semaines en double aveugle sur la schizophrénie (314 patients), contrôlée contre olanzapine, un gain pondéral ≥7 % par rapport au poids initial est apparu chez un nombre significativement plus faible de personnes sous aripiprazole que chez les patients sous olanzapine.
- +Dans une étude de 6 semaines, contrôlée contre placebo, auprès de patients souffrant de troubles bipolaires de type I (avec ou sans symptômes psychotiques) et n'ayant pas atteint une réponse satisfaisante à un traitement de 2 semaines par le lithium seul ou le valproate seul (à une concentration sérique thérapeutique), l'ajout d'aripiprazole au traitement en cours a permis une meilleure réduction des symptômes maniaques par rapport au lithium seul ou au valproate seul.
- +
-* p<0,05 et ** p<0,001 comparés au placebo
- +* p< 0,05 et ** p< 0,001 comparés au placebo
-* p<0,05 et ** p<0,001 comparés au placebo
- +* p< 0,05 et ** p< 0,001 comparés au placebo
-Les effets indésirables suivants ont montré une relation dose-effet: trouble extrapyramidal (fréquence: à 10 mg: 9,1%, à 30 mg: 28,8% et avec le placebo: 1,7%) et akathisie (fréquence: à 10 mg: 12,1%, à 30 mg: 20,3% et avec le placebo: 1,7%).
- +Les effets indésirables suivants ont montré une relation dose-effet: trouble extrapyramidal (fréquence: à 10 mg: 9,1 %, à 30 mg: 28,8 % et avec le placebo: 1,7 %) et akathisie (fréquence: à 10 mg: 12,1 %, à 30 mg: 20,3 % et avec le placebo: 1,7 %).
-Les pics plasmatiques de l'aripiprazole sont atteints dans les 3 à 5 heures suivant son administration. La biodisponibilité absolue du comprimé après administration orale est de 87%. La prise de l'aripiprazole pendant un repas n'a aucune incidence sur sa biodisponibilité.
- +Les pics plasmatiques de l'aripiprazole sont atteints dans les 3 à 5 heures suivant son administration. La biodisponibilité absolue du comprimé après administration orale est de 87 %. La prise de l'aripiprazole pendant un repas n'a aucune incidence sur sa biodisponibilité.
-L'aripiprazole est distribué dans tout l'organisme avec un volume apparent de distribution de 4,9 l/kg. Aux concentrations thérapeutiques, l'aripiprazole est lié à plus de 99% aux protéines plasmatiques, et principalement à l'albumine.
- +L'aripiprazole est distribué dans tout l'organisme avec un volume apparent de distribution de 4,9 l/kg. Aux concentrations thérapeutiques, l'aripiprazole est lié à plus de 99 % aux protéines plasmatiques, et principalement à l'albumine.
-L'aripiprazole est l'entité principale du médicament dans la circulation systémique. A l'état d'équilibre, le déshydro-aripiprazole représentait environ 40% de l'ASC de l'aripiprazole dans le plasma.
- +L'aripiprazole est l'entité principale du médicament dans la circulation systémique. A l'état d'équilibre, le déshydro-aripiprazole représentait environ 40 % de l'ASC de l'aripiprazole dans le plasma.
-Environ 8% de la population blanche n'a pas la capacité de métaboliser le substrat du CYP2D6. Ils sont classés dans la catégorie des «métaboliseurs lents», tandis que le pourcentage restant fait partie des «métaboliseurs rapides». Par rapport aux métaboliseurs rapides, les métaboliseurs présentent une augmentation d'environ 80% de leur exposition à l'aripiprazole et une réduction d'environ 30% de l'exposition au métabolite actif. Par conséquent, l'exposition des métaboliseurs lents à la fraction active totale d'une dose d'aripiprazole administrée est approximativement de 60% supérieure à celle des métaboliseurs rapides.
- +Environ 8 % de la population blanche n'a pas la capacité de métaboliser le substrat du CYP2D6. Ils sont classés dans la catégorie des «métaboliseurs lents», tandis que le pourcentage restant fait partie des «métaboliseurs rapides». Par rapport aux métaboliseurs rapides, les métaboliseurs présentent une augmentation d'environ 80 % de leur exposition à l'aripiprazole et une réduction d'environ 30 % de l'exposition au métabolite actif. Par conséquent, l'exposition des métaboliseurs lents à la fraction active totale d'une dose d'aripiprazole administrée est approximativement de 60 % supérieure à celle des métaboliseurs rapides.
-Après administration orale unique de 14C-aripiprazole, environ 27% de la radioactivité administrée a été retrouvée dans les urines et environ 60% dans les selles. Moins de 1% d'aripiprazole inchangé a été éliminé dans les urines et approximativement 18% ont été retrouvés inchangés dans les selles.
- +Après administration orale unique de 14C-aripiprazole, environ 27 % de la radioactivité administrée a été retrouvée dans les urines et environ 60 % dans les selles. Moins de 1 % d'aripiprazole inchangé a été éliminé dans les urines et approximativement 18 % ont été retrouvés inchangés dans les selles.
-Les caractéristiques pharmacocinétiques de l'aripiprazole et de l'OPC-14857 sont comparables chez les patients présentant une insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine <30 ml/min) et chez les sujets sains jeunes en ce qui concerne l'exposition (ASC).
- +Les caractéristiques pharmacocinétiques de l'aripiprazole et de l'OPC-14857 sont comparables chez les patients présentant une insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine < 30 ml/min) et chez les sujets sains jeunes en ce qui concerne l'exposition (ASC).
-À une posologie de 20 mg/kg/jour à 60 mg/kg/jour (correspondant à 6,5 à 19,5× fois la dose humaine maximale recommandée, calculée en mg/m2 de surface corporelle), une toxicité cortico-surrénalienne dose-dépendante a été observée chez le rat après 104 semaines (accumulation du pigment lipofuscine et/ou perte cellulaire parenchymateuse).
- +À une posologie de 20 mg/kg/jour à 60 mg/kg/jour (correspondant à 6,5 à 19,5× fois la dose humaine maximale recommandée, calculée en mg/m2 de surface corporelle), une toxicité corticosurrénalienne dose-dépendante a été observée chez le rat après 104 semaines (accumulation du pigment lipofuscine et/ou perte cellulaire parenchymateuse).
-Le métabolisme présystémique de l'aripiprazole étant nettement plus faible chez l'homme que chez le singe, les concentrations de ces sulfoconjugués dans la bile humaine à une dose journalière de 30 mg n'ont pas dépassé 6% de celles relevées chez le singe et se sont situées bien au-dessous de leurs valeurs limites de solubilité in vitro (6%).
-Dans des études de carcinogénicité, l'aripiprazole n'a provoqué aucune tumeur chez la souris mâle ou le rat mâle. Chez la souris femelle, l'incidence des adénomes hypophysaires, des adénocarcinomes et des adénocanthomes de la glande mammaire a été augmentée après administration orale de 3 mg/kg/jour à 30 mg/kg/jour (correspondant à 0,1 à 0,9 fois la dose humaine maximale recommandée calculée sur l'ASC et 0,5 à 5 fois la dose en mg/m2 de surface corporelle). Chez la rate, l'incidence des fibro-adénomes de la glande mammaire après administration orale de 10 mg/kg/jour (correspondant à 0,1 fois la dose humaine maximale recommandée calculée sur l'ASC et 3 fois la dose humaine maximale recommandée calculée en mg/m2 de surface corporelle) a augmenté. De même, l'incidence des carcinomes corticosurrénaliens et des adénomes/carcinomes corticosurrénaliens combinés a augmenté lors d'une administration orale de 60 mg/kg (correspondant à 10 fois la dose humaine maximale recommandée calculée sur l'ASC et 19,5 fois la dose maximale recommandée calculée en mg/m2 de surface corporelle).
- +Le métabolisme présystémique de l'aripiprazole étant nettement plus faible chez l'homme que chez le singe, les concentrations de ces sulfoconjugués dans la bile humaine à une dose journalière de 30 mg n'ont pas dépassé 6 % de celles relevées chez le singe et se sont situées bien au-dessous de leurs valeurs limites de solubilité in vitro (6 %).
- +Dans des études de carcinogénicité, l'aripiprazole n'a provoqué aucune tumeur chez la souris mâle ou le rat mâle. Chez la souris femelle, l'incidence des adénomes hypophysaires, des adénocarcinomes et des adénocanthomes de la glande mammaire a été augmentée après administration orale de 3 mg/kg/jour à 30 mg/kg/jour (correspondant à 0,1 à 0,9 fois la dose humaine maximale recommandée calculée sur l'ASC et 0,5 à 5 fois la dose en mg/m2 de surface corporelle). Chez la rate, l'incidence des fibroadénomes de la glande mammaire après administration orale de 10 mg/kg/jour (correspondant à 0,1 fois la dose humaine maximale recommandée calculée sur l'ASC et 3 fois la dose humaine maximale recommandée calculée en mg/m2 de surface corporelle) a augmenté. De même, l'incidence des carcinomes corticosurrénaliens et des adénomes/carcinomes corticosurrénaliens combinés a augmenté lors d'une administration orale de 60 mg/kg (correspondant à 10 fois la dose humaine maximale recommandée calculée sur l'ASC et 19,5 fois la dose maximale recommandée calculée en mg/m2 de surface corporelle).
-Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur le récipient.
- +Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l'emballage.
-Février 2020.
-Numéro de version interne: 5.2
- +Décembre 2020.
- +Numéro de version interne: 6.2
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