46 Changements de l'information professionelle Aripiprazol Sandoz 5 mg |
-Schizophrénie: la posologie initiale recommandée d'Aripiprazole Sandoz est de 10 mg ou 15 mg par jour en une seule prise. Cette posologie ne doit pas être augmentée avant stabilisation (après 2 semaines). La posologie d'entretien recommandée est de 15 mg par jour en une seule prise.
- +Schizophrénie: La posologie initiale recommandée d'Aripiprazole Sandoz est de 10 mg ou 15 mg par jour en une seule prise. Cette posologie ne doit pas être augmentée avant stabilisation (après 2 semaines). La posologie d'entretien recommandée est de 15 mg par jour en une seule prise.
-Épisodes maniaques des troubles bipolaires de type I: la posologie initiale d'Aripiprazole Sandoz est de 15 mg par jour en une seule prise, en monothérapie ou en association avec des normothymiques (voir la rubrique «Efficacité clinique»).
- +Épisodes maniaques des troubles bipolaires de type I: La posologie initiale d'Aripiprazole Sandoz est de 15 mg par jour en une seule prise, en monothérapie ou en association avec des normothymiques (voir la rubrique «Efficacité clinique»).
-Schizophrénie: la posologie recommandée d'Aripiprazole Sandoz est de 10 mg par jour en une seule prise au cours ou en dehors des repas. Le traitement doit commencer par une dose de 2 mg par jour pendant deux jours, puis de 5 mg par jour pendant deux autres jours avant de passer à la dose recommandée de 10 mg par jour. Si nécessaire, les augmentations posologiques suivantes seront administrées paliers de 5 mg, sans toutefois dépasser la posologie quotidienne maximale de 30 mg.
- +Schizophrénie: La posologie recommandée d'Aripiprazole Sandoz est de 10 mg par jour en une seule prise au cours ou en dehors des repas. Le traitement doit commencer par une dose de 2 mg par jour pendant deux jours, puis de 5 mg par jour pendant deux autres jours avant de passer à la dose recommandée de 10 mg par jour. Si nécessaire, les augmentations posologiques suivantes seront administrées paliers de 5 mg, sans toutefois dépasser la posologie quotidienne maximale de 30 mg.
-Épisodes maniaques des troubles bipolaires de type I: la dose cible recommandée pour Aripiprazole Sandoz est de 10 mg par jour en une seule prise au cours ou en dehors des repas. Le traitement doit commencer par une dose de 2 mg par jour pendant deux jours, puis de 5 mg par jour pendant deux autres jours avant de passer à la dose recommandée de 10 mg par jour.
- +Épisodes maniaques des troubles bipolaires de type I: La dose cible recommandée pour Aripiprazole Sandoz est de 10 mg par jour en une seule prise au cours ou en dehors des repas. Le traitement doit commencer par une dose de 2 mg par jour pendant deux jours, puis de 5 mg par jour pendant deux autres jours avant de passer à la dose recommandée de 10 mg par jour.
-Lors d'une co-administration d'Aripiprazole Sandoz et d'un inducteur puissant de CYP3A4, on augmentera la dose d'aripiprazole (voir «Interactions»). Les augmentations supplémentaires de la dose d'Aripiprazole Sandoz se baseront sur une appréciation clinique. Après l'arrêt de l'inducteur du CYP3A4, on réduira la dose d'Aripiprazole Sandoz (voir «Interactions»).
- +Lors d'une co-administration d'Aripiprazole Sandoz et d'un inducteur puissant de CYP3A4, on augmentera la dose d'aripiprazole (voir «Interactions»). Les augmentations supplémentaires de la dose d'Aripiprazole Sandoz se baseront sur une appréciation clinique. Après l'arrêt de l'inducteur du CYP3A4, on réduira le dosage d'Aripiprazole Sandoz (voir «Interactions»).
-Affections cardiovasculaires
- +Maladies cardio-vasculaires
-Dans trois études contrôlées aripiprazole contre placebo, menées pendant 10 semaines sur des patients âgés présentant une psychose associée à la maladie d'Alzheimer (n=938; âge moyen: 82,4 ans, intervalle: 56 à 99 ans), le taux de mortalité enregistré pendant la phase en double aveugle de l'étude ou dans les 30 jours suivant la fin de l'étude a été de 3,5% pour les patients sous aripiprazole et de 1,7% pour les patients sous placebo.
- +Dans trois études contrôlées aripiprazole contre placebo, menées pendant 10 semaines sur des patients âgés présentant une psychose associée à la maladie d'Alzheimer (n = 938; âge moyen: 82,4 ans, intervalle: 56 à 99 ans), le taux de mortalité enregistré pendant la phase en double aveugle de l'étude ou dans les 30 jours suivant la fin de l'étude a été de 3,5% pour les patients sous aripiprazole et de 1,7% pour les patients sous placebo.
-Des troubles de la motilité œsophagienne et des cas d'aspiration ont été associés à l'utilisation des traitements antipsychotiques, y compris l'aripiprazole. L'aripiprazole et les autres substances actives antipsychotiques doivent être utilisés avec prudence chez les patients à risque de pneumonie de déglutition.
- +Des troubles de la motilité œsophagienne et des cas d'aspiration ont été associés à l'utilisation des traitements antipsychotiques, y compris l'aripiprazole. L'aripiprazole et les autres substances actives antipsychotiques doivent être utilisés avec prudence chez les patients à risque de pneumonie par aspiration.
-Dans les études cliniques, l'aripiprazole à des doses allant de 10 mg à 30 mg/jour n'a pas eu d'effet significatif sur le métabolisme des substrats du CYP2D6 (dextrométhorphane), du CYP2C9 (warfarine), du CYP2C19 (oméprazole) et du CYP3A4 (dextrométhorphane). De plus, l'aripiprazole et le déhydro-aripiprazole n'ont pas démontré in-vitro de potentiel d'altération du métabolisme dépendant du CYP1A2. Par conséquent, il est peu probable que l'aripiprazole soit à l'origine d'interactions cliniquement significatives impliquant ces enzymes.
-Il n'a pas été observé de variation cliniquement significative des concentrations de valproate, de lithium ou de lamotrigine à la suite d'une administration concomitante d'aripiprazole et de valproate, de lithium ou de lamotrigine.
- +Dans les études cliniques, l'aripiprazole à des doses allant de 10 mg à 30 mg/jour n'a pas eu d'effet significatif sur le métabolisme des substrats du CYP2D6 (dextrométhorphane), du CYP2C9 (warfarine), du CYP2C19 (oméprazole) et du CYP3A4 (dextrométhorphane). De plus, l'aripiprazole et le déhydro-aripiprazole n'ont pas démontré in-vitro de potentiel d'altération du métabolisme dépendant du CYP1A2. Par conséquent, il est peu probable que l'aripiprazole soit à l'origine d'interactions cliniquement significatives impliquant ces enzymes. Il n'a pas été observé de variation cliniquement significative des concentrations de valproate, de lithium ou de lamotrigine à la suite d'une administration concomitante d'aripiprazole et de valproate, de lithium ou de lamotrigine.
-L'aripiprazole est excrété dans le lait maternel.
- +L'aripiprazole/les métabolites sont excrétés dans le lait maternel.
-Les effets indésirables suivants ont été rapportés plus fréquemment (≥1%) que sous placebo, ou ont été identifiés comme des effets indésirables pouvant être cliniquement significatifs (*). Ils sont classés par classes de systèmes d'organes (MedDRA) et par fréquence décroissante: «très fréquents» (≥1/10), «fréquents» (≥1/100, <1/10), «occasionnels» (≥1/1'000, <1/100), «rares» (≥1/10'000, <1/1'000), «très rares» (<1/10'000).
-Affections endocriniennes
-Occasionnel: hyperprolactinémie.
-Affections psychiatriques
-Très fréquent: insomnie (11%).
-Fréquent: anxiété, agitation.
-Occasionnel: hypersexualité.
-Affections du système nerveux
-Très fréquent: céphalée (15%).
-Fréquent: akathisie, étourdissements, sédation, tremblements, somnolence, symptômes extrapyramidaux (p.ex. dystonie, parkinsonisme, dyskinésie).
-Occasionnel: dyskinésie tardive*, crise de convulsions*.
-Rare: syndrome malin des neuroleptiques (SMN)*.
-Affections oculaires
-Fréquent: vision floue.
-Occasionnel: vue double.
-Affections cardiaques
-Fréquent: tachycardie*.
-Affections vasculaires
-Fréquent: syndrome de tachycardie orthostatique posturale*.
-Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales
-Occasionnel: hoquet.
-Affections gastro-intestinales
-Très fréquent: nausées (11%).
-Fréquent: vomissements, dyspepsie, constipation, hypersalivation.
-Troubles généraux et anomalies au site d'administration
-Fréquent: fatigue.
-Effets indésirables après commercialisation
-Les effets indésirables suivants ont également été rapportés dans le cadre de la surveillance post-commercialisation. La fréquence de ces effets n'est pas connue (ne peut être estimée sur la base des données disponibles).
-Affections hématologiques et du système lymphatique
-Leucopénie, neutropénie, thrombocytopénie.
-Affections du système immunitaire
-Réactions allergiques (par exemple, réactions anaphylactiques, œdème de Quincke comprenant œdème de la langue et œdème de la face, prurit, urticaire, éruption cutanée).
-Affections endocriniennes
-Acidocétose diabétique, coma hyperosmolaire diabétique.
-Troubles du métabolisme et de la nutrition
-Prise de poids, perte de poids, hyponatrémie, anorexie, hyperglycémie, diabète sucré.
-Affections psychiatriques
-Agitation, nervosité, idées suicidaires, tentatives de suicide, suicide (voir «Mises en garde et précautions»), dépression, agressivité, trouble du contrôle des impulsions (p.ex. jeu pathologique, achats compulsifs, crises de fringale ou hyperphagie).
-Affections du système nerveux
-Troubles de l'élocution, crise grand mal, syndrome sérotoninergique, troubles de l'attention, léthargie, syndrome des jambes sans repos.
-Affections oculaires
-Crise oculogyre.
-Affections cardiaques
-Allongement du QT, arythmie ventriculaire, mort subite de cause inconnue, arrêt cardiaque, torsades de pointes, bradycardie.
-Affections vasculaires
-Syncope, hypertension, évènements thromboemboliques veineux (incluant embolie pulmonaire et thrombose veineuse profonde), voir «Mises en garde et précautions».
-Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales
-Pneumonie de déglutition, spasme oropharyngé, spasme laryngé.
-Affections gastro-intestinales
-Pancréatite, dysphagie, salivation accrue, maux de ventre, troubles gastriques, diarrhée, sécheresse de la bouche.
-Affections hépatobiliaires
-Hépatite, ictère, élévation de l'alanine aminotransférase (ALAT), élévation de l'aspartate aminotransférase (ASAT), élévation de la γ-glutamyltransférase (γ-GT).
-Affections de la peau et du tissu sous-cutané
-Hyperhidrose, réaction de photosensibilité, alopécie, réaction médicamenteuse avec éosinophilie et symptômes systémiques (syndrome DRESS).
-Affections musculo-squelettiques et du tissu conjonctif
-Myalgie, rhabdomyolyse, raideur.
-Affections du rein et des voies urinaires
-Rétention urinaire, incontinence urinaire.
-Affections gravidiques, puerpérales et périnatales
-Symptômes extrapyramidaux et/ou des symptômes de sevrage chez les nouveau-nés (voir «Grossesse/Allaitement»).
-Affections des organes de reproduction et du sein
-Priapisme.
-Troubles généraux et anomalies au site d'administration
-Douleurs thoraciques, trouble de la régulation de la température (par exemple hypothermie, fièvre), œdème périphérique, douleurs.
-Investigations
-Augmentation des CPK, augmentation de la glycémie, variation de la glycémie, augmentation de l'hémoglobine glycosylée.
- +Les effets indésirables suivants ont été rapportés plus fréquemment (≥1%) que sous placebo, ou ont été identifiés comme des effets indésirables pouvant être cliniquement significatifs (*). Ils sont présentés par classes de systèmes d'organes (MedDRA) et par fréquence décroissante: «très fréquents» (≥1/10), «fréquents» (≥1/100, < 1/10), «occasionnels» (≥1/1'000, < 1/100), «rares» (≥1/10'000, < 1/1'000), «très rares» (< 1/10'000).
- +La fréquence des effets indésirables rapportés après commercialisation ne peut pas être déterminée puisqu'ils sont dérivés de rapports spontanés. En conséquence, la fréquence de ces effets indésirables est qualifiée d'«inconnue».
- + Très fréquent Fréquent Occasionnel Rares Inconnue1
- +Affections hématologiques et du système lymphatique Leucopénie, Neutropénie, Thrombocytopénie
- +Affections du système immunitaire Réaction allergique (par exemple réactions anaphylactiques, angio-œdème, incluant œdème de la langue et de la face, prurit, urticaire, éruption cutanée)
- +Affections endocriniennes Hyperprolactinémie, Taux de prolactine dans le sang abaissés Coma diabétique hyperosmolaire, acidocétose diabétique
- +Troubles du métabolisme et de la nutrition Diabète sucré, Hyperglycémie, Hyponatrémie, Anorexie
- +Affections psychiatriques Insomnies (11%) Anxiété, Agitation Hypersexualité Dépression, Tentative de suicide, Idées suicidaires, Suicide accompli (voir «Mises en garde et précautions»), trouble du contrôle des impulsions (p.ex. jeu pathologique, achats compulsifs, crises de fringale ou hyperphagie), Agressivité, Agitation, Nervosité
- +Affections du système nerveux Céphalée (15%) Akathisie, Symptômes extrapyramidaux (par exemple dystonie, parkinsonisme, dyskinésie) Tremblement, Etourdissement, Sédation, Somnolence Dyskinésie tardive*, Crise convulsive* Syndrome malin des neuroleptiques (SMN)* Troubles de l'élocution, Crise grand mal, Syndrome sérotoninergique, Troubles de l'attention, Léthargie, Syndrome des jambes sans repos
- +Affections oculaires Vision trouble Vue double, Photophobie Crise oculogyre
- +Affections cardiaques Tachycardie* Mort subite de cause inconnue, Torsades de pointe, Arythmies ventriculaires, Arrêt cardiaque, Bradycardie
- +Affections vasculaires Syndrome de tachycardie orthostatique posturale* Incidents thrombo-emboliques veineux (incluant embolie pulmonaire et thrombose veineuse profonde) (voir «Mises en garde et précautions»), Syncope, Hypertension
- +Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales Hoquet Pneumonie par aspiration, Spasme laryngé, Spasme oropharyngé
- +Affections gastro-intestinales Nausées (11%) Constipation, Dyspepsie, Hypersalivation, Vomissement Pancréatite, Dysphagie, Diarrhée, Salivation accrue, Gêne au niveau de l'abdomen, Gêne au niveau de l'estomac, Bouche sèche
- +Affections hépatobiliaires Insuffisance hépatique, Hépatite, Ictère
- +Affections de la peau et du tissu sous-cutané Réaction d'hypersensibilité à la lumière, Alopécie, Hyperhidrose, Réaction médicamenteuse avec éosinophilie et symptômes systémiques (syndrome DRESS)
- +Affections musculo-squelettiques et du tissu conjonctif Rhabdomyolyse, Myalgie, Raideur
- +Affections du rein et des voies urinaires Incontinence urinaire, Rétention urinaire
- +Affections gravidiques, puerpérales et périnatales Syndrome de sevrage de médicament du nouveau-né (voir «Grossesse/Allaitement»)
- +Affections des organes de reproduction et du sein Priapisme
- +Troubles généraux et anomalies au site d'administration Fatigue Douleurs thoraciques, Troubles de la régulation thermique (p.ex. hypothermie, fièvre), Oedème périphérique, Douleurs
- +Investigations Prise de poids, Perte de poids, Elévation de l'alanine aminotransférase (ALAT), Elévation de l'aspartate aminotransférase (ASAT), Elévation de la γ-glutamyltransférase (γ-GT), QT prolongé, Augmentation de la créatine phosphokinase, Augmentation de la glycémie, Fluctuation glycémiques, Hémoglobine glycosylée augmentée
- +
- +1 Les effets indésirables figurant dans la colonne «Inconnue» résultent de l'utilisation après la mise sur le marché. Il s'agit de déclarations spontanées issues de la surveillance post-marketing.
-Dans les essais cliniques pour les indications approuvées et après la commercialisation une augmentation et une diminution du taux de prolactine sérique par rapport à la valeur initiale ont été toutes deux observées sous aripiprazole. Le taux de prolactine a été évalué pour toutes les doses d'aripiprazole dans tous les essais (n=28242). L'incidence d'hyperprolactinémie ou d'augmentation du taux de prolactine sérique chez les patients traités par l'aripiprazole (0,3%) était similaire à celle observée sous placebo (0,2%). L'incidence d'hypoprolactinémie ou de diminution du taux de prolactine sérique chez les patients traités par l'aripiprazole était de 0,4% contre 0,02% chez les patients recevant le placebo.
- +Dans les essais cliniques pour les indications approuvées et après la commercialisation une augmentation et une diminution du taux de prolactine sérique par rapport à la valeur initiale ont été toutes deux observées sous aripiprazole. Le taux de prolactine a été évalué pour toutes les doses d'aripiprazole dans tous les essais (n = 28242). L'incidence d'hyperprolactinémie ou d'augmentation du taux de prolactine sérique chez les patients traités par l'aripiprazole (0,3%) était similaire à celle observée sous placebo (0,2%). L'incidence d'hypoprolactinémie ou de diminution du taux de prolactine sérique chez les patients traités par l'aripiprazole était de 0,4% contre 0,02% chez les patients recevant le placebo.
-Dans une étude clinique à court terme contrôlée contre placebo et impliquant 302 adolescents schizophrènes (âge: 13 à 17 ans), la fréquence et la nature des effets indésirables étaient similaires à celles des adultes, à l'exception des réactions suivantes qui ont été rapportées plus fréquemment chez les adolescents sous aripiprazole que chez les adultes sous aripiprazole (et plus fréquemment que sous placebo): la somnolence/sédation et les symptômes extrapyramidaux ont été très fréquents (≥10%). Sécheresse de la bouche et augmentation de l'appétit ont été fréquemment rapportés (≥1%, <10%).
- +Dans une étude clinique à court terme contrôlée contre placebo et impliquant 302 adolescents schizophrènes (âge: 13 à 17 ans), la fréquence et la nature des effets indésirables étaient similaires à celles des adultes, à l'exception des réactions suivantes qui ont été rapportées plus fréquemment chez les adolescents sous aripiprazole que chez les adultes sous aripiprazole (et plus fréquemment que sous placebo): la somnolence/sédation et les symptômes extrapyramidaux ont été très fréquents (≥10%). Sécheresse de la bouche et augmentation de l'appétit ont été fréquemment rapportés (≥1%, < 10%).
-La fréquence et la nature des effets indésirables chez des adolescents présentant des épisodes maniaques ou mixtes d'un trouble bipolaire de type I et traités par 10 mg d'aripiprazole par jour, ont généralement été similaires à celles des adultes, à l'exception des réactions suivantes qui ont été rapportées plus fréquemment chez les adolescents: somnolence (17,8%), fatigue (11,7%) et akathisie (12,1%) ont été très fréquemment rapportés (≥1/10) et une dyskinésie a été fréquente (≥1/100, <1/10).
-Par rapport aux adultes, les effets indésirables les plus fréquents avec 30 mg d'aripiprazole par jour ont été les suivants:
- +La fréquence et la nature des effets indésirables chez des adolescents présentant des épisodes maniaques ou mixtes d'un trouble bipolaire de type I et traités par 10 mg d'aripiprazole par jour, ont généralement été similaires à celles des adultes, à l'exception des réactions suivantes qui ont été rapportées plus fréquemment chez les adolescents: somnolence (17,8%), fatigue (11,7%) et akathisie (12,1%) ont été très fréquemment rapportés (≥1/10) et une dyskinésie a été fréquente (≥1/100, < 1/10). Par rapport aux adultes, les effets indésirables les plus fréquents avec 30 mg d'aripiprazole par jour ont été les suivants:
-Dans une étude clinique de 26 semaines contrôlée contre placebo, suivie d'une phase d'extension de 74 semaines, chez des patients maniaques arrivés au stade de rémission sous aripiprazole dans le cadre d'une phase de stabilisation avant la randomisation, l'aripiprazole s'est montré supérieur au placebo dans la prévention des récidives d'épisodes maniaques, mais non dans la prévention des récidives des épisodes dépressifs. 161 patients (aripiprazole n=78, placebo n=83) ont été randomisés et 67 patients (aripiprazole n=39, placebo n=28) ont complété la phase de 26 semaines.
- +Dans une étude clinique de 26 semaines contrôlée contre placebo, suivie d'une phase d'extension de 74 semaines, chez des patients maniaques arrivés au stade de rémission sous aripiprazole dans le cadre d'une phase de stabilisation avant la randomisation, l'aripiprazole s'est montré supérieur au placebo dans la prévention des récidives d'épisodes maniaques, mais non dans la prévention des récidives des épisodes dépressifs. 161 patients (aripiprazole n = 78, placebo n = 83) ont été randomisés et 67 patients (aripiprazole n = 39, placebo n = 28) ont complété la phase de 26 semaines.
-Épisodes maniaques des troubles bipolaires de type I: Dans une étude de 4 semaines, contrôlée contre placebo, incluant 296 enfants et adolescents (10-17 ans) qui remplissaient les critères DSM-IV d'un trouble bipolaire de type I avec épisode maniaque ou mixte aigu (avec ou sans symptômes psychotiques) et présentaient une valeur initiale Y-MRS ≥20 points, l'aripiprazole a été supérieur au placebo en termes de réduction du score Y-MRS sur 4 semaines (critère d'évaluation principal de l'efficacité):
- N Semaine 4 Modification moyenne de la valeur Y-MRS (LOCF##) N Semaine 4 Modification moyenne de la valeur Y-MRS (OC#)
- +Épisodes maniaques des troubles bipolaires de type I: Dans une étude de 4 semaines, contrôlée contre placebo, incluant 296 enfants et adolescents (10–17 ans) qui remplissaient les critères DSM-IV d'un trouble bipolaire de type I avec épisode maniaque ou mixte aigu (avec ou sans symptômes psychotiques) et présentaient une valeur initiale Y-MRS ≥20 points, l'aripiprazole a été supérieur au placebo en termes de réduction du score Y-MRS sur 4 semaines (critère d'évaluation principal de l'efficacité):
- + n Semaine 4 Modification moyenne de la valeur Y-MRS (LOCF##) n Semaine 4 Modification moyenne de la valeur Y-MRS (OC#)
-* p<0,05 et ** p<0,001 comparés au placebo
- +* p< 0,05 et ** p< 0,001 comparés au placebo
- N Semaine 12 Modification moyenne de la valeur Y-MRS (LOCF##) N Semaine 12 Modification moyenne de la valeur Y-MRS (OC#)
- + n Semaine 12 Modification moyenne de la valeur Y-MRS (LOCF##) n Semaine 12 Modification moyenne de la valeur Y-MRS (OC#)
-* p<0,05 et ** p<0,001 comparés au placebo
- +* p< 0,05 et ** p< 0,001 comparés au placebo
-Des études in-vitro ont montré que les enzymes CYP3A4 et CYP2D6 sont responsables de la déshydrogénation et de l'hydroxylation de l'aripiprazole, la N-désalkylation étant catalysée par le CYP3A4.
-L'aripiprazole est l'entité principale du médicament dans la circulation systémique. A l'état d'équilibre, le déshydro-aripiprazole représentait environ 40% de l'ASC de l'aripiprazole dans le plasma.
- +Des études in-vitro ont montré que les enzymes CYP3A4 et CYP2D6 sont responsables de la déshydrogénation et de l'hydroxylation de l'aripiprazole, la N-désalkylation étant catalysée par le CYP3A4. L'aripiprazole est l'entité principale du médicament dans la circulation systémique. A l'état d'équilibre, le déshydro-aripiprazole représentait environ 40% de l'ASC de l'aripiprazole dans le plasma.
-Après administration orale unique de 14C-aripiprazole, environ 27% de la radioactivité administrée a été retrouvée dans les urines et environ 60% dans les selles. Moins de 1% d'aripiprazole inchangé a été éliminé dans les urines et approximativement 18% ont été retrouvés inchangés dans les selles.
-La clairance corporelle totale de l'aripiprazole est de 0,7 ml/min/kg et elle est principalement hépatique.
- +Après administration orale unique de 14C-aripiprazole, environ 27% de la radioactivité administrée a été retrouvée dans les urines et environ 60% dans les selles. Moins de 1% d'aripiprazole inchangé a été éliminé dans les urines et approximativement 18% ont été retrouvés inchangés dans les selles. La clairance corporelle totale de l'aripiprazole est de 0,7 ml/min/kg et elle est principalement hépatique.
-Les caractéristiques pharmacocinétiques de l'aripiprazole et de l'OPC-14857 sont comparables chez les patients présentant une insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine <30 ml/min) et chez les sujets sains jeunes en ce qui concerne l'exposition (ASC).
- +Les caractéristiques pharmacocinétiques de l'aripiprazole et de l'OPC-14857 sont comparables chez les patients présentant une insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine < 30 ml/min) et chez les sujets sains jeunes en ce qui concerne l'exposition (ASC).
-Décembre 2020
- +Juin 2022
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