10 Changements de l'information professionelle Lenvima 4 mg |
-La sécurité et l'efficacité du lenvatinib chez les enfants et les adolescents n'ont pas encore été établies.
- +La sécurité et l’efficacité du lenvatinib chez les enfants et les adolescents (2 à 18 ans) n’ont pas été établies. Aucune posologie ne peut être recommandée. Les données actuellement disponibles sont décrites à la rubrique «Propriétés/Effets». Le lenvatinib ne doit pas être utilisé chez les enfants âgés de moins de 2 ans en raison d’alertes de sécurité identifiées dans les études chez l’animal (voir rubrique «Données précliniques»).
- +Patients pédiatriques
- +La sécurité et l’efficacité du lenvatinib chez les enfants âgés de 2 ans à moins de 18 ans n’ont pas été établies. Dans le cadre des études pédiatriques 207 et 230, le profil général de sécurité du lenvatinib en monothérapie ou associé à l’ifosfamide et à l’étoposide correspondait à celui observé chez les adultes traités par lenvatinib. Chez les patients atteints d’ostéosarcome récidivant/réfractaire, une fréquence de pneumothorax plus élevée a été rapportée par rapport aux adultes présentant un CTD, un CHC, un CCR et un CE.
-Il a été démontré un allongement statistiquement significatif de la survie sans progression médiane (PFS, critère d'efficacité primaire) chez les patients traités par le lenvatinib par rapport à ceux recevant le placebo: 18.3 mois contre 3.6 mois, HR 0.21 (IC 99%: 0.14, 0.31, p <0,0001). L'effet positif sur la PFS a été comparable dans les sous-groupes qui avaient reçu 0 ou 1 traitement ciblé anti-VEGF/VEGFR antérieur, ainsi que dans les sous-groupes stratifiés en fonction de l'âge (≥65 ans ou <65 ans), du sexe, de l'origine ethnique, du sous-type histologique et de la région géographique. Le taux de réponse s'est élevé à 64.8% avec le lenvatinib contre 1.5% avec le placebo. Le délai médian jusqu'à la réponse objective a été de 2.0 mois.
-Une réduction posologique a dû intervenir chez 78.5% des patients. Le délai médian jusqu'à la première réduction de dose a été de 2.8 mois.
- +·Il a été démontré un allongement statistiquement significatif de la survie sans progression médiane (PFS, critère d'efficacité primaire) chez les patients traités par le lenvatinib par rapport à ceux recevant le placebo: 18.3 mois contre 3.6 mois, HR 0.21 (IC 99%: 0.14, 0.31, p <0,0001). L'effet positif sur la PFS a été comparable dans les sous-groupes qui avaient reçu 0 ou 1 traitement ciblé anti-VEGF/VEGFR antérieur, ainsi que dans les sous-groupes stratifiés en fonction de l'âge (≥65 ans ou <65 ans), du sexe, de l'origine ethnique, du sous-type histologique et de la région géographique. Le taux de réponse s'est élevé à 64.8% avec le lenvatinib contre 1.5% avec le placebo. Le délai médian jusqu'à la réponse objective a été de 2.0 mois. Une réduction posologique a dû intervenir chez 78.5% des patients. Le délai médian jusqu'à la première réduction de dose a été de 2.8 mois.
-L'efficacité du lenvatinib en association avec le pembrolizumab a été étudiée dans l'étude 309, une étude randomisée, multicentrique, en ouvert, contrôlée contre traitement actif, conduite chez des patientes atteintes d'un cancer de l'endomètre avancé, traitées par au moins une chimiothérapie antérieure à base de platine, reçue quel que soit le stade, y compris néoadjuvant ou adjuvant. Les participantes pouvaient avoir reçu jusqu'à deux thérapies à base de platine au total, à condition que l'une d'entre elles ait été administrée dans le cadre d'un traitement néoadjuvant ou adjuvant. L'étude a exclu les patientes atteintes d'un sarcome de l'endomètre (carcinosarcome), celles présentant une tension artérielle insuffisamment contrôlée (> 150/90 mmHg); un trouble ou événement cardiovasculaire significatif survenu au cours des 12 derniers mois et une fraction d'éjection ventriculaire gauche inférieure à la plage normale; une fistule gastro-intestinale ou non gastro-intestinale préexistante de grade ≥3; un risque majoré d'hémorragie en raison d'une invasion tumorale dans un gros vaisseau sanguin et/ou des hémorragies significatives de la tumeur; une protéinurie ≥1 g/24 h; un traitement antérieur par des substances anti-VEGF, anti-PD-L1 ou anti-PD-L2 ou par des substances ciblant un récepteur des lymphocytes T activateur ou co-inhibiteur (p. ex., CTLA- 4, OX40, CD137); celles ayant reçu un vaccin vivant dans les 30 jours avant le début du traitement; les patientes atteintes d'une maladie auto-immune active ou d'une affection médicale nécessitant une immunosuppression (pour les critères d'exclusion généraux, voir «Mises en garde et précautions d'emploi, Patients exclus des études cliniques»). La randomisation a été stratifiée selon le statut mismatch repair MMR (dMMR ou pMMR [non dMMR]) à l'aide d'un test IHC validé. La strate pMMR a été elle-même stratifiée en fonction du statut de performance ECOG, de la région géographique et des antécédents de radiothérapie pelvienne. Les patientes ont été randomisées (1:1) dans l'un des bras de traitement suivant:
-·lenvatinib 20 mg par voie orale une fois par jour en association avec le pembrolizumab 200 mg par voie intraveineuse toutes les 3 semaines.
-·thérapie au choix de l'investigateur, composée soit de 60 mg/m2 de doxorubicine toutes les 3 semaines, soit de 80 mg/m2 de paclitaxel administré toutes les semaines, avec 3 semaines de traitement / 1 semaine de pause.
- +L'efficacité du lenvatinib en association avec le pembrolizumab a été étudiée dans l'étude 309, une étude randomisée, multicentrique, en ouvert, contrôlée contre traitement actif, conduite chez des patientes atteintes d'un cancer de l'endomètre avancé, traitées par au moins une chimiothérapie antérieure à base de platine, reçue quel que soit le stade, y compris néoadjuvant ou adjuvant. Les participantes pouvaient avoir reçu jusqu'à deux thérapies à base de platine au total, à condition que l'une d'entre elles ait été administrée dans le cadre d'un traitement néoadjuvant ou adjuvant. L'étude a exclu les patientes atteintes d'un sarcome de l'endomètre (carcinosarcome), celles présentant une tension artérielle insuffisamment contrôlée (> 150/90 mmHg); un trouble ou événement cardiovasculaire significatif survenu au cours des 12 derniers mois et une fraction d'éjection ventriculaire gauche inférieure à la plage normale; une fistule gastro-intestinale ou non gastro-intestinale préexistante de grade ≥3; un risque majoré d'hémorragie en raison d'une invasion tumorale dans un gros vaisseau sanguin et/ou des hémorragies significatives de la tumeur; une protéinurie ≥1 g/24 h; un traitement antérieur par des substances anti-VEGF, anti-PD-L1 ou anti-PD-L2 ou par des substances ciblant un récepteur des lymphocytes T activateur ou co-inhibiteur (p. ex., CTLA- 4, OX40, CD137); celles ayant reçu un vaccin vivant dans les 30 jours avant le début du traitement; les patientes atteintes d'une maladie auto-immune active ou d'une affection médicale nécessitant une immunosuppression (pour les critères d'exclusion généraux, voir «Mises en garde et précautions d'emploi, Patients exclus des études cliniques»). La randomisation a été stratifiée selon le statut mismatch repair MMR (dMMR ou pMMR [non dMMR]) à l'aide d'un test IHC validé. La strate pMMR a été elle-même stratifiée en fonction du statut de performance ECOG, de la région géographique et des antécédents de radiothérapie pelvienne. Les patientes ont été randomisées (1:1) dans l'un des bras de traitement suivant: lenvatinib 20 mg par voie orale une fois par jour en association avec le pembrolizumab 200 mg par voie intraveineuse toutes les 3 semaines / thérapie au choix de l'investigateur, composée soit de 60 mg/m2 de doxorubicine toutes les 3 semaines, soit de 80 mg/m2 de paclitaxel administré toutes les semaines, avec 3 semaines de traitement, 1 semaine de pause.
- +Population pédiatrique
- +Deux études ouvertes portant sur le lenvatinib en monothérapie et en association avec la chimiothérapie (ifosfamide et étoposide) ont été menées chez des patients pédiatriques (âgés de 2 à < 18 ans, ≤ 25 ans en cas d’ostéosarcome) présentant des tumeurs solides malignes récidivantes ou réfractaires, y compris un carcinome thyroïdien différencié (CTD) et un ostéosarcome. L’efficacité du lenvatinib a été évaluée dans le cadre des études 207 (97 patients) et 230 (40 patients), mais elle n’a pas pu être mise en évidence, de sorte que l’utilisation du lenvatinib dans cette population ne bénéficie d’aucun soutien.
-Préparation et administration de la suspension:
- +Préparation et administration de la suspension
-Novembre 2023
- +Février 2024
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