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Accueil - Information professionnelle sur Dolo-Kranit - Changements - 03.06.2021
68 Changements de l'information professionelle Dolo-Kranit
  • -Principes actifs: Paracetamolum, Coffeinum.
  • -Excipients: Excip. pro compresso.
  • -Forme galénique et quantité de principe actif par unité
  • -Un comprimé contient 500 mg de paracétamol et 50 mg de caféine.
  • -
  • +Principes actifs
  • +Paracétamol, caféine.
  • +Excipients
  • +Povidone K29-32, cellulose microcristalline, croscarmellose sodique (correspond à 1,59 mg de sodium par comprimé), silice coloïdale anhydre, stéarate de magnésium.
  • +
  • +
  • -Traitement contre les douleurs dune intensité faible à moyenne (maux de tête, maux de dents, douleurs articulaires et ligamentaires, douleurs dorsales, douleurs pendant la menstruation, douleurs après blessures, douleurs lors de refroidissements).
  • +Dolo-Kranit est efficace contre les douleurs d'une intensité faible à moyenne (maux de tête, maux de dents, douleurs articulaires et ligamentaires, douleurs dorsales, douleurs pendant la menstruation, douleurs après blessures, douleurs lors de refroidissements).
  • -La dose quotidienne maximale de 4000 mg de paracétamol ne doit pas être dépassée. Afin déviter tout risque de surdosage, il faut sassurer que les médicaments pris simultanément ne contiennent pas de paracétamol.
  • +La dose quotidienne maximale de 4000 mg de paracétamol ne doit pas être dépassée. Afin d'éviter tout risque de surdosage, il faut s'assurer que les médicaments pris simultanément ne contiennent pas de paracétamol.
  • -Avaler les comprimés sans les croquer, avec suffisamment de liquide, ou les laisser se désagréger dans un peu de liquide, et boire ensuite un demi-verre de liquide.
  • -Dolo-Kranit n'est pas adapté aux enfants et aux adolescents. La sécurité et l’efficacité pour les enfants et les adolescents ne sont pas établies.
  • +Avaler les comprimés sans les croquer, avec suffisamment de liquide, ou les laisser se désagréger dans un peu de liquide, et boire ensuite un demi-verre de liquide. Les comprimés ne doivent pas être partagés au niveau du sillon décoratif.
  • -Troubles de la fonction hépatique:
  • -Chez les patients ayant une maladie hépatique chronique ou compensée active, en particulier insuffisance hépatocellulaire, alcoolisme chronique, déficit dalimentation chronique (faibles réserves de glutathion hépatique) ou déshydratation, la dose quotidienne pour les adultes ne doit pas dépasser 3 g (cf. aussi «Contre-indications» et «Mises en garde et précautions»).
  • -Troubles de la fonction rénale:
  • -Chez les patients atteints de troubles graves de la fonction rénale, lintervalle minimal entre les prises doit être adapté conformément au tableau suivant.
  • +Patients présentant des troubles de la fonction hépatique
  • +Chez les patients ayant une maladie hépatique chronique ou compensée active, en particulier insuffisance hépatocellulaire, alcoolisme chronique, déficit d'alimentation chronique (faibles réserves de glutathion hépatique) ou déshydratation, la dose quotidienne pour les adultes ne doit pas dépasser 3 g (cf. aussi «Contre-indications» et «Mises en garde et précautions»).
  • +Patients présentant des troubles de la fonction rénale
  • +Chez les patients atteints de troubles graves de la fonction rénale, l'intervalle minimal entre les prises doit être adapté conformément au tableau suivant.
  • +Enfants et adolescents
  • +Dolo-Kranit n'est pas adapté aux enfants et aux adolescents. La sécurité et l'efficacité pour les enfants et les adolescents ne sont pas établies.
  • +
  • -·Hypersensibilité au paracétamol et aux substances apparentées (p.ex. propacétamol) ou à lun des excipients mentionnés dans la composition.
  • +·Hypersensibilité au paracétamol et aux substances apparentées (p.ex propacétamol) ou à l'un des excipients mentionnés dans la composition.
  • -·Insuffisance rénale (clairance de la créatinine <50 ml/min)
  • +·Insuffisance rénale (clairance de la créatinine < 50 ml/min)
  • -·Utilisation simultanée de médicaments potentiellement toxiques pour le foie ou dinducteurs des enzymes hépatiques.
  • -Les dosages dépassant la posologie recommandée présentent le risque dendommager très gravement le foie. Les symptômes cliniques dune lésion hépatique surviennent généralement 1 à 2 jours après le surdosage de paracétamol. Une lésion hépatique maximale sobserve généralement après 3 à 4 jours. Le traitement avec un antidote doit débuter dès que possible (cf. «Surdosage»).
  • -Le paracétamol peut entraîner des réactions cutanées graves comme une pustulose exanthématique aiguë généralisée (PEAG), un syndrome de Stevens-Johnson (SJS) et une nécrolyse épidermique toxique (NET), qui peuvent entraîner le décès. Les patients doivent être informés des symptômes des réactions cutanées graves, et lutilisation du médicament doit être interrompue dès la première apparition de réactions cutanées ou dautres signes dhypersensibilité.
  • -La prudence est de rigueur en cas de consommation excessive dalcool. Celui-ci peut potentialiser lhépatotoxicité du paracétamol, notamment en cas de carence alimentaire concomitante. Dans ces cas, une dose thérapeutique de paracétamol peut déjà provoquer une lésion hépatique.
  • -Il faut attirer lattention du patient sur le fait que lon ne doit pas prendre régulièrement des analgésiques de manière prolongée sans prescription médicale. Des douleurs persistantes nécessitent une mise au point médicale.
  • -La prise prolongée danalgésiques, en particulier en cas dassociation de plusieurs principes actifs analgésiques, peut provoquer des lésions rénales durables impliquant un risque de défaillance rénale (néphropathie due aux analgésiques).
  • -Il faut également signaler au patient que la prise chronique danalgésiques peut induire lapparition de maux de tête, qui peuvent entraîner à leur tour une nouvelle prise et contribuer ainsi à lentretien des maux de tête (céphalées dues aux analgésiques).
  • -Chez les patients présentant un statut de déplétion en glutathion, p.ex. en cas de septicémie, ladministration du paracétamol peut renforcer le risque dune acidose métabolique.
  • -Une consommation excessive de caféine sous forme de café, de thé et de boissons en boîte contenant de la caféine doit être évitée pendant labsorption de Dolo-Kranit.
  • -En raison du potentiel arythmogène de la caféine, il convient dêtre particulièrement prudent avec les patients souffrant darythmies et/ou de palpitations cardiaques.
  • +·Utilisation simultanée de médicaments potentiellement toxiques pour le foie ou d'inducteurs des enzymes hépatiques.
  • +Les dosages dépassant la posologie recommandée présentent le risque d'endommager très gravement le foie. Les symptômes cliniques d'une lésion hépatique surviennent généralement 1 à 2 jours après le surdosage de paracétamol. Une lésion hépatique maximale s'observe généralement après 3 à 4 jours. Le traitement avec un antidote doit débuter dès que possible (cf. «Surdosage»).
  • +Le paracétamol peut entraîner des réactions cutanées graves comme une pustulose exanthématique aiguë généralisée (PEAG), un syndrome de Stevens-Johnson (SJS) et une nécrolyse épidermique toxique (NET), qui peuvent entraîner le décès. Les patients doivent être informés des symptômes des réactions cutanées graves, et l'utilisation du médicament doit être interrompue dès la première apparition de réactions cutanées ou d'autres signes d'hypersensibilité.
  • +La prudence est de rigueur en cas de consommation excessive d'alcool. Celui-ci peut potentialiser l'hépatotoxicité du paracétamol, notamment en cas de carence alimentaire concomitante. Dans ces cas, une dose thérapeutique de paracétamol peut déjà provoquer une lésion hépatique.
  • +Il faut attirer l'attention du patient sur le fait que l'on ne doit pas prendre régulièrement des analgésiques de manière prolongée sans prescription médicale. Des douleurs persistantes nécessitent une mise au point médicale.
  • +La prise prolongée d'analgésiques, en particulier en cas d'association de plusieurs principes actifs analgésiques, peut provoquer des lésions rénales durables impliquant un risque de défaillance rénale (néphropathie due aux analgésiques).
  • +Il faut également signaler au patient que la prise chronique d'analgésiques peut induire l'apparition de maux de tête, qui peuvent entraîner à leur tour une nouvelle prise et contribuer ainsi à l'entretien des maux de tête (céphalées dues aux analgésiques).
  • +Chez les patients présentant un statut de déplétion en glutathion, p.ex. en cas de septicémie, l'administration du paracétamol peut renforcer le risque d'une acidose métabolique.
  • +Une consommation excessive de caféine sous forme de café, de thé et de boissons en boîte contenant de la caféine doit être évitée pendant l'absorption de Dolo-Kranit.
  • +En raison du potentiel arythmogène de la caféine, il convient d'être particulièrement prudent avec les patients souffrant d'arythmies et/ou de palpitations cardiaques.
  • +Ce médicament contient moins de 1 mmol de sodium (23 mg) par dose unitaire, c.-à-d. qu'il est essentiellement «sans sodium».
  • +Interactions pharmacocinétiques
  • +
  • -Les médicaments inducteurs d’enzymes comme le phénobarbital, la phénytoïne, la carbamazépine, l’hydrazide de l’acide isonicotinique (isoniazide, HIN) et la rifampicine aggravent l’hépatotoxicité du paracétamol.
  • -Les préparations qui ralentissent la vidange gastrique (p.ex. propanthéline) diminuent la vitesse dabsorption.
  • -Les préparations qui accélèrent la vidange gastrique (p.ex. métoclopramide) augmentent la vitesse dabsorption.
  • -Chloramphénicol: la demi-vie délimination du chloramphénicol est allongée de 5 fois par le paracétamol.
  • -Salicylamide: le salicylamide allonge la demi-vie délimination du paracétamol et accroît la formation de métabolites hépatotoxiques.
  • -Chlorzoxazone: l’administration concomitante de paracétamol et de chlorzoxazone majore l’hépatotoxicité des deux substances.
  • -Zidovudine: le risque d’une neutropénie se trouve renforcé par une administration simultanée de zidovudine et de paracétamol.
  • -Probénécide: le probénécide inhibe la conjugaison du paracétamol à l’acide glucuronique, d’où une clairance réduite du paracétamol. En cas d’administration concomitante de ces deux produits, la dose de paracétamol doit être diminuée.
  • -Cholestyramine: la cholestyramine réduit l’absorption du paracétamol.
  • -L’effet anticoagulant de la warfarine et des autres coumarines peut être renforcé en cas dutilisation quotidienne prolongée de paracétamol et ainsi augmenter le risque de saignements. Des prises occasionnelles nont pas deffet significatif. Il n'existe pas de données concernant linteraction entre le paracétamol et les nouveaux anticoagulants oraux (dabigatran, rivaroxaban, apixaban).
  • +Les préparations qui ralentissent la vidange gastrique (p.ex. propanthéline) diminuent la vitesse d'absorption.
  • +Les préparations qui accélèrent la vidange gastrique (p.ex. métoclopramide) augmentent la vitesse d'absorption.
  • +Chloramphénicol: la demi-vie d'élimination du chloramphénicol est allongée de 5 fois par le paracétamol.
  • +Salicylamide: le salicylamide allonge la demi-vie d'élimination du paracétamol et accroît la formation de métabolites hépatotoxiques.
  • +Probénécide: le probénécide inhibe la conjugaison du paracétamol à l'acide glucuronique, d'où une clairance réduite du paracétamol. En cas d'administration concomitante de ces deux produits, la dose de paracétamol doit être diminuée.
  • +Cholestyramine: la cholestyramine réduit l'absorption du paracétamol.
  • +Caféine
  • +Les contraceptifs oraux, la cimétidine et le disulfiram réduisent la dégradation de la caféine dans le foie, tandis que les barbiturates et le tabac l'accélèrent.
  • +L'administration concomitante de substances inhibitrices de la gyrase (de type acide carbonique de quinolone) peut retarder l'élimination de la caféine et de son métabolite, la paraxanthine.
  • +Inducteurs enzymatiques
  • +Les médicaments inducteurs d'enzymes comme le phénobarbital, la phénytoïne, la carbamazépine, l'hydrazide de l'acide isonicotinique (isoniazide, HIN) et la rifampicine aggravent l'hépatotoxicité du paracétamol.
  • +Effet de Dolo-Kranit sur d'autres médicaments
  • +Paracétamol
  • +L'effet anticoagulant de la warfarine et des autres coumarines peut être renforcé en cas d'utilisation quotidienne prolongée de paracétamol et ainsi augmenter le risque de saignements. Des prises occasionnelles n'ont pas d'effet significatif. Il n'existe pas de données concernant l'interaction entre le paracétamol et les nouveaux anticoagulants oraux (dabigatran, rivaroxaban, apixaban).
  • -Les contraceptifs oraux, la cimétidine et le disulfiram réduisent la dégradation de la caféine dans le foie, tandis que les barbiturates et le tabac l'accélèrent.
  • -L'administration concomitante de substances inhibitrices de la gyrase (de type acide carbonique de quinolone) peut retarder l'élimination de la caféine et de son métabolite, la paraxanthine.
  • -Grossesse/Allaitement
  • -Dolo-Kranit ne doit pas être utilisé pendant la grossesse sauf en cas de nécessité absolue. La prudence est de mise lors de lutilisation de Dolo-Kranit pendant lallaitement. Le traitement ne doit pas être utilisé sans avis médical pendant la grossesse et lallaitement.
  • +Effet d'autres médicaments sur Dolo-Kranit
  • +Chlorzoxazone: l'administration concomitante de paracétamol et de chlorzoxazone majore l'hépatotoxicité des deux substances.
  • +Zidovudine: le risque d'une neutropénie se trouve renforcé par une administration simultanée de zidovudine et de paracétamol.
  • +Grossesse, allaitement
  • +Dolo-Kranit ne doit pas être utilisé pendant la grossesse sauf en cas de nécessité absolue. La prudence est de mise lors de l'utilisation de Dolo-Kranit pendant l'allaitement. Le traitement ne doit pas être utilisé sans avis médical pendant la grossesse et l'allaitement.
  • -Sur la base des expériences dont on dispose à ce jour, on peut considérer que la prise de paracétamol correctement dosé pendant la grossesse est relativement peu nocive par rapport aux risques de lésions fonctionnelles et organiques, de malformations et de troubles de ladaptation.
  • +Sur la base des expériences dont on dispose à ce jour, on peut considérer que la prise de paracétamol correctement dosé pendant la grossesse est relativement peu nocive par rapport aux risques de lésions fonctionnelles et organiques, de malformations et de troubles de l'adaptation.
  • -En revanche, des études épidémiologiques indiquent quil existe un risque accru davortements spontanés pendant la grossesse en rapport avec la consommation dau moins 200 mg de caféine.
  • +En revanche, des études épidémiologiques indiquent qu'il existe un risque accru d'avortements spontanés pendant la grossesse en rapport avec la consommation d'au moins 200 mg de caféine.
  • -Le paracétamol et la caféine passent dans le lait maternel. La concentration de paracétamol dans le lait maternel est à peu près équivalente à la concentration momentanée dans le plasma de la mère. Des cas de rashs cutanés chez les nourrissons allaités ont été rapportés. Cependant, il ny a pas dindices suggérant un risque pour le nourrisson. Pendant la durée de lallaitement, le bien-être et le comportement du nourrisson peuvent toutefois être influencés par la caféine absorbée avec le lait maternel.
  • +Le paracétamol et la caféine passent dans le lait maternel. La concentration de paracétamol dans le lait maternel est à peu près équivalente à la concentration momentanée dans le plasma de la mère. Des cas de rashs cutanés chez les nourrissons allaités ont été rapportés. Cependant, il n'y a pas d'indices suggérant un risque pour le nourrisson. Pendant la durée de l'allaitement, le bien-être et le comportement du nourrisson peuvent toutefois être influencés par la caféine absorbée avec le lait maternel.
  • -En usage depuis de longues années, lassociation de principes actifs na encore jamais donné lieu à des effets négatifs sur la capacité de réaction sils sont pris à la dose recommandée.
  • +En usage depuis de longues années, l'association de principes actifs n'a encore jamais donné lieu à des effets négatifs sur la capacité de réaction s'ils sont pris à la dose recommandée.
  • -Rares: Thrombocytopénie de nature allergique (parfois avec formation dépanchements sanguins et dhémorragies), leucopénie, agranulocytose, pancytopénie, neutropénie, anémie hémolytique.
  • +Rares: Thrombocytopénie de nature allergique (parfois avec formation d'épanchements sanguins et d'hémorragies), leucopénie, agranulocytose, pancytopénie, neutropénie, anémie hémolytique.
  • -Rares: Anaphylaxie, réactions allergiques telles quœdème de Quincke (angioedème), difficultés respiratoires, bronchospasme, accès de sueur, nausées, chute de tension jusquà létat de choc.
  • -Une petite partie (510%) des patients souffrant dasthme induit par lacide salicylique ou dautres manifestations dune intolérance à lacide salicylique peuvent réagir de même au paracétamol (asthme analgésique).
  • -Affections hépatobiliaires
  • -Voir sous «Mises en garde et précautions» et «Surdosage»
  • -Rares: Augmentation des transaminases hépatiques.
  • +Rares: Anaphylaxie, réactions allergiques telles qu'œdème de Quincke (angioedème), difficultés respiratoires, bronchospasme, accès de sueur, nausées, chute de tension jusqu'à l'état de choc.
  • +Une petite partie (510%) des patients souffrant d'asthme induit par l'acide salicylique ou d'autres manifestations d'une intolérance à l'acide salicylique peuvent réagir de même au paracétamol (asthme analgésique).
  • +Affections hépatobiliaires
  • +Voir sous «Mises en garde et précautions» et «Surdosage».
  • +Rares: Augmentation des transaminases hépatiques.
  • +L'annonce d'effets secondaires présumés après l'autorisation est d'une grande importance. Elle permet un suivi continu du rapport bénéfice-risque du médicament. Les professionnels de santé sont tenus de déclarer toute suspicion d'effet secondaire nouveau ou grave via le portail d'annonce en ligne ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet sur www.swissmedic.ch.
  • +
  • -En cas de surdosage, une prise en charge médicale immédiate est nécessaire, même en labsence de symptômes.
  • +En cas de surdosage, une prise en charge médicale immédiate est nécessaire, même en l'absence de symptômes.
  • -Après la prise orale de 7,5 à 10 g de paracétamol chez ladulte et de 140 à 200 mg/kg de poids chez lenfant (déjà à faibles doses chez les patients prédisposés, comme p.ex. ceux dont la consommation dalcool est excessive ou dont la réserve en glutathion est réduite du fait dune carence alimentaire), des symptômes dintoxication aiguë au niveau des cellules du foie et des tubules rénaux se manifestent sous la forme de nécroses cellulaires menaçant le pronostic vital.
  • -Des concentrations plasmatiques de >200 µg/ml après 4 h, de >100 µg/ml après 8 h, de >50 µg/ml après 12 h et de > 30 µg/ml après 15 h entraînent des lésions hépatiques à issue fatale par coma hépatique. Lhépatotoxicité dépend directement de la concentration plasmatique.Les premiers signes de symptômes cliniques dune lésion hépatique surviennent généralement après 1 à 2 jours, atteignant leur maximum en 3 à 4 jours.
  • -Symptômes
  • -1ère phase (= 1er jour): Nausées, vomissements, douleurs abdominales, manque dappétit, sentiment général de malaise, pâleur, transpiration.
  • +Après la prise orale de 7,5 à 10 g de paracétamol chez l'adulte et de 140 à 200 mg/kg de poids chez l'enfant (déjà à faibles doses chez les patients prédisposés, comme p.ex. ceux dont la consommation d'alcool est excessive ou dont la réserve en glutathion est réduite du fait d'une carence alimentaire), des symptômes d'intoxication aiguë au niveau des cellules du foie et des tubules rénaux se manifestent sous la forme de nécroses cellulaires menaçant le pronostic vital.
  • +Des concentrations plasmatiques de >200 µg/ml après 4 h, de >100 µg/ml après 8 h, de >50 µg/ml après 12 h et de > 30 µg/ml après 15 h entraînent des lésions hépatiques à issue fatale par coma hépatique. L'hépatotoxicité dépend directement de la concentration plasmatique. Les premiers signes de symptômes cliniques d'une lésion hépatique surviennent généralement après 1 à 2 jours, atteignant leur maximum en 3 à 4 jours.
  • +Caféine
  • +Les concentrations plasmatiques dépassant environ 15 à 20 µg/ml peuvent provoquer des réactions toxiques.
  • +Signes et symptômes
  • +Paracétamol
  • +1ère phase (= 1er jour): Nausées, vomissements, douleurs abdominales, manque d'appétit, sentiment général de malaise, pâleur, transpiration.
  • +Caféine
  • +Douleurs gastriques, délire, troubles du sommeil, diurèse, déshydratation.
  • +
  • -Un traitement efficace doit être instauré sans délai dès quune intoxication est suspectée. Il comprend les mesures suivantes:
  • +Paracétamol
  • +Un traitement efficace doit être instauré sans délai dès qu'une intoxication est suspectée. Il comprend les mesures suivantes:
  • -Administration orale de N-acétyl-cystéïne ou de méthionine. Dans les situations dans lesquelles ladministration de lantidote par voie orale nest pas réalisable ou difficile (p.ex. en raison de vomissements violents, de troubles de la conscience), celle-ci peut avoir lieu par voie intraveineuse, si possible en lespace de 8 heures.La N-acétylcystéine peut encore apporter une certaine protection après 16 heures.
  • -Détermination de la concentration plasmatique de paracétamol (pas plus tôt que 4 heures après ladministration).
  • +Administration orale de N-acétyl-cystéïne ou de méthionine. Dans les situations dans lesquelles l'administration de l'antidote par voie orale n'est pas réalisable ou difficile (p.ex. en raison de vomissements violents, de troubles de la conscience), celle-ci peut avoir lieu par voie intraveineuse, si possible en l'espace de 8 heures. La N-acétylcystéine peut encore apporter une certaine protection après 16 heures.
  • +Détermination de la concentration plasmatique de paracétamol (pas plus tôt que 4 heures après l'administration).
  • -Les concentrations plasmatiques dépassant environ 15 à 20 µg/ml peuvent provoquer des réactions toxiques.
  • -Symptômes
  • -Douleurs gastriques, délire, troubles du sommeil, diurèse, déshydratation.
  • -Thérapie
  • -Code ATC: N02BE51
  • +Code ATC
  • +N02BE51
  • -Le paracétamol est un antalgique et un antipyrétique agissant aux niveaux central et périphérique. Son mécanisme daction nest pas entièrement élucidé.
  • -En ce qui concerne leffet analgésique, il a été démontré que linhibition de la synthèse des prostaglandines était plus forte au niveau central quau niveau périphérique.
  • -Le paracétamol na pas deffet antiphlogistique marqué et ninflue ni sur lhémostase ni sur la muqueuse gastrique.
  • +Le paracétamol est un antalgique et un antipyrétique agissant aux niveaux central et périphérique. Son mécanisme d'action n'est pas entièrement élucidé.
  • +En ce qui concerne l'effet analgésique, il a été démontré que l'inhibition de la synthèse des prostaglandines était plus forte au niveau central qu'au niveau périphérique.
  • +Le paracétamol n'a pas d'effet antiphlogistique marqué et n'influe ni sur l'hémostase ni sur la muqueuse gastrique.
  • +Pharmacodynamique
  • +Aucune donnée.
  • +Efficacité clinique
  • +Aucune donnée.
  • +
  • -Elimination
  • +Élimination
  • -Demi-vie plasmatique: 1,7 heure.
  • -Élimination: le paracétamol est principalement éliminé par les reins, sous forme glucuroconjuguée (env. 90%) et, dans une moindre mesure, sous forme sulfoconjuguée.
  • +Demi-vie plasmatique: 1,7 heure
  • +Élimination: le paracétamol est principalement éliminé par les reins, sous forme glucoroconjuguée (env. 90%) et, dans une moindre mesure, sous forme sulfoconjuguée.
  • -Demi-vie plasmatique: 6,2 heures.
  • +Demi-vie plasmatique: 6,2 heures
  • -Cinétique dans des situations cliniques particulières.
  • +Cinétique pour certains groupes de patients
  • +Troubles de la fonction hépatique
  • +Paracétamol
  • +La durée de demi-vie plasmatique reste pratiquement inchangée chez les patients souffrant d'une insuffisance hépatique légère. Elle est toutefois nettement prolongée chez les patients souffrant d'une insuffisance hépatique grave.
  • +Des études cliniques avec le paracétamol oral, en raison de concentrations plasmatiques accrues de paracétamol et d'une demi-vie d'élimination prolongée chez les patients atteints de maladies hépatiques chroniques, notamment cirrhoses hépatiques d'origine alcoolique, ont mis en évidence un métabolisme modérément altéré du paracétamol. Toutefois, aucune accumulation significative de paracétamol n'a été observée. La demi-vie plasmatique accrue du paracétamol a été liée à une réduction de la capacité métabolique hépatique. Pour cette raison, le paracétamol doit être utilisé avec prudence chez les patients atteints de maladie hépatique, la dose quotidienne maximale étant limitée à 3 g. Le paracétamol est contre-indiqué en cas de maladie hépatique active décompensée, notamment d'hépatite due à l'abus d'alcool (à cause de l'induction de CYP2E1, qui augmente la formation des métabolites hépatotoxiques du paracétamol).
  • +Troubles de la fonction rénale
  • -Insuffisance hépatique
  • -La durée de demi-vie plasmatique reste pratiquement inchangée chez les patients souffrant d’une insuffisance hépatique légère. Elle est toutefois nettement prolongée chez les patients souffrant d’une insuffisance hépatique grave.
  • -Des études cliniques avec le paracétamol oral, en raison de concentrations plasmatiques accrues de paracétamol et d’une demi-vie d’élimination prolongée chez les patients atteints de maladies hépatiques chroniques, notamment cirrhoses hépatiques d’origine alcoolique, ont mis en évidence un métabolisme modérément altéré du paracétamol. Toutefois, aucune accumulation significative de paracétamol n’a été observée. La demi-vie plasmatique accrue du paracétamol a été liée à une réduction de la capacité métabolique hépatique. Pour cette raison, le paracétamol doit être utilisé avec prudence chez les patients atteints de maladie hépatique, la dose quotidienne maximale étant limitée à 3 g. Le paracétamol est contre-indiqué en cas de maladie hépatique active décompensée, notamment d’hépatite due à l’abus d’alcool (à cause de l’induction de CYP2E1, qui augmente la formation des métabolites hépatotoxiques du paracétamol).
  • -Insuffisance rénale
  • -En cas d’insuffisance rénale grave (clairance de la créatinine de 10 à 30 ml/min), lélimination du paracétamol est peu ralentie, la demi-vie délimination se situant entre 2 et 5,3 heures. La vitesse délimination des glucuronides et des conjugués sulfates est 3 fois plus faible chez les patients atteints dinsuffisance rénale grave que chez les sujets sains. Cependant, il nest pas nécessaire dadapter la posologie dans cette population, les glucuronides et conjugués sulfates nétant pas toxiques. Il est toutefois recommandé de prolonger lintervalle minimal entre les administrations conformément aux recommandations de dosage si le paracétamol est utilisé chez des patients atteints dinsuffisance rénale modérée à grave (clairance de la créatinine ≤50 ml/min) (cf. «Posologie/Mode d'emploi»).
  • +En cas d'insuffisance rénale grave (clairance de la créatinine de 10 à 30 ml/min), l'élimination du paracétamol est peu ralentie, la demi-vie d'élimination se situant entre 2 et 5,3 heures. La vitesse d'élimination des glucuronides et des conjugués sulfates est 3 fois plus faible chez les patients atteints d'insuffisance rénale grave que chez les sujets sains. Cependant, il n'est pas nécessaire d'adapter la posologie dans cette population, les glucuronides et conjugués sulfates n'étant pas toxiques. Il est toutefois recommandé de prolonger l'intervalle minimal entre les administrations conformément aux recommandations de dosage si le paracétamol est utilisé chez des patients atteints d'insuffisance rénale modérée à grave (clairance de la créatinine ≤50 ml/min) (cf. «Posologie/Mode d'emploi»).
  • -Personnes âgées
  • -La durée de demi-vie peut être prolongée chez les personnes âgées et saccompagner dune diminution de la clairance du médicament. Normalement, aucune adaptation de posologie nest nécessaire pour ce groupe.
  • +Patients âgés
  • +La durée de demi-vie peut être prolongée chez les personnes âgées et s'accompagner d'une diminution de la clairance du médicament. Normalement, aucune adaptation de posologie n'est nécessaire pour ce groupe.
  • -Au cours des différentes études sur la génotoxicité, un potentiel mutagène a été constaté. Ce potentiel doit toutefois être relativisé car il est dose-dépendant. Étant donné les mécanismes susceptibles de déclencher ces effets, on peut partir du principe quaucun effet génotoxique napparaît si la dose est inférieure à certaines valeurs limites. Toutefois, si les réserves de glutathion sont réduites, les valeurs-seuil peuvent être plus basses.
  • -Les valeurs-seuil à partir desquelles un effet génotoxique a été mis en évidence chez lanimal se situent clairement au niveau des doses toxiques entraînant des lésions hépatiques ou médullaires. De plus, les doses non-hépatotoxiques (jusquà 300 mg/kg chez le rat et 1000 mg/kg chez la souris) ne sont pas carcinogènes. On peut donc pratiquement exclure tout effet génotoxique ou carcinogène si les doses thérapeutiques sont respectées.
  • -Les études toxicologiques nont montré aucun effet sur la reproduction ni aucun effet tératogène chez les animaux traités par paracétamol.
  • -Ladministration multiple de doses élevées (hépatotoxiques) de paracétamol a abouti à une atrophie testiculaire chez les souris et les rats. Ladministration répétée à des rats mâles de doses très élevées de paracétamol (≥500 mg/kg) a entraîné une fertilité réduite (perte de la libido et de la performance sexuelle ainsi que de la motilité des spermatozoïdes).
  • +Au cours des différentes études sur la génotoxicité, un potentiel mutagène a été constaté. Ce potentiel doit toutefois être relativisé car il est dose-dépendant. Étant donné les mécanismes susceptibles de déclencher ces effets, on peut partir du principe qu'aucun effet génotoxique n'apparaît si la dose est inférieure à certaines valeurs limites. Toutefois, si les réserves de glutathion sont réduites, les valeurs-seuil peuvent être plus basses.
  • +Les valeurs-seuil à partir desquelles un effet génotoxique a été mis en évidence chez l'animal se situent clairement au niveau des doses toxiques entraînant des lésions hépatiques ou médullaires. De plus, les doses non-hépatotoxiques (jusqu'à 300 mg/kg chez le rat et 1000 mg/kg chez la souris) ne sont pas carcinogènes. On peut donc pratiquement exclure tout effet génotoxique ou carcinogène si les doses thérapeutiques sont respectées.
  • +Les études toxicologiques n'ont montré aucun effet sur la reproduction ni aucun effet tératogène chez les animaux traités par paracétamol.
  • +L'administration multiple de doses élevées (hépatotoxiques) de paracétamol a abouti à une atrophie testiculaire chez les souris et les rats. L'administration répétée à des rats mâles de doses très élevées de paracétamol (≥500 mg/kg) a entraîné une fertilité réduite (perte de la libido et de la performance sexuelle ainsi que de la motilité des spermatozoïdes).
  • -La caféine, à de très hautes concentrations, qui n'ont aucun rapport avec la consommation quotidienne, a montré dans quelques expériences in vitro sans activation métabolique un effet mutagène . Dans des expériences in vitro avec activation métabolique et in vivo la caféine n'est pas mutagène. La mutagénicité expérimentale n'a pas de signification en ce qui concerne les doses thérapeutiques et la consommation habituelle en tant que denrée alimentaire.
  • +La caféine, à de très hautes concentrations, qui n'ont aucun rapport avec la consommation quotidienne, a montré dans quelques expériences in vitro sans activation métabolique un effet mutagène. Dans des expériences in vitro avec activation métabolique et in vivo la caféine n'est pas mutagène. La mutagénicité expérimentale n'a pas de signification en ce qui concerne les doses thérapeutiques et la consommation habituelle en tant que denrée alimentaire.
  • -Influence sur les méthodes diagnostiques
  • -Le paracétamol peut induire des perturbations dans la mesure de la glycémie par la méthode dite à la glucose oxydase. Il peut également être responsable dune élévation apparente de luricémie lorsqu'elle est dosée par la méthode de réduction du phosphotungstate. La caféine peut perturber la détermination analytique de lacide urique, de la bilirubine et de lacide vaniline-mandélique.
  • +Influence sur les méthodes de diagnostic
  • +Le paracétamol peut induire des perturbations dans la mesure de la glycémie par la méthode dite à la glucose oxydase. Il peut également être responsable d'une élévation apparente de l'uricémie lorsqu'elle est dosée par la méthode de réduction du phosphotungstate. La caféine peut perturber la détermination analytique de l'acide urique, de la bilirubine et de l'acide vaniline-mandélique.
  • -Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date imprimée sur lemballage avec la mention «EXP».
  • -Conserver à température ambiante (15–25 °C), hors de portée des enfants.
  • +Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date imprimée sur l'emballage avec la mention «EXP».
  • +Remarques particulières concernant le stockage
  • +Conserver à température ambiante (15-25°C).
  • +Conserver hors de portée des enfants.
  • -Dolo-Kranit cpr. 10. (D)
  • +Dolo-Kranit cpr 10 avec sillon décoratif. (D)
  • -Juillet 2016.
  • +Juin 2020.
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