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Accueil - Information professionnelle sur Glatiramyl 20 mg/ml - Changements - 18.01.2023
60 Changements de l'information professionelle Glatiramyl 20 mg/ml
  • -Glatiramyl 20 mg/ml est utilisé pour le traitement des formes récurrentes de la sclérose en plaques (SEP). Glatiramyl 20 mg/ml n'est pas indiqué dans la SEP progressive primaire ou secondaire (avec et sans poussées superposées).
  • +Glatiramyl 20 mg/ml est utilisé pour le traitement des formes récurrentes de la sclérose en plaques (SEP).
  • +Glatiramyl n'est pas indiqué dans la SEP progressive primaire ou secondaire (avec et sans poussées superposées).
  • -La posologie recommandée chez l'adulte est de 20 mg de Glatiramyl, correspondant à une seringue préremplie, administrés en injection sous-cutanée une fois par jour.
  • -L'instauration et la reprise du traitement par Glatiramyl 20 mg/ml doivent être réalisées sous le contrôle d'un neurologue ou d'un médecin possédant une expérience dans le traitement de la sclérose en plaques.
  • +La posologie recommandée chez l'adulte est de 20 mg de Glatiramyl, correspondant à une seringue préremplie, administrés en injection sous-cutanée une fois par jour. L'instauration et la reprise du traitement par Glatiramyl doivent être réalisées sous le contrôle d'un neurologue ou d'un médecin possédant une expérience dans le traitement de la sclérose en plaques.
  • -La sécurité et l'efficacité de l'acétate de glatiramère chez les enfants et les adolescents n'ont pas été établies. Des données limitées provenant de publications indiquent un profil de sécurité de Glatiramyl 20 mg/ml chez les adolescents (entre 12 et 18 ans) similaire à celui des adultes, ainsi qu'un effet clinique semblable. Glatiramyl 20 mg/ml ne doit pas être administré aux enfants de moins de 12 ans.
  • +La sécurité et l'efficacité de l'acétate de glatiramère chez les enfants et les adolescents n'ont pas été établies. Des données limitées provenant de publications indiquent un profil de sécurité de Glatiramyl chez les adolescents (entre 12 et 18 ans) similaire à celui des adultes, ainsi qu'un effet clinique semblable. Glatiramyl ne doit pas être administré aux enfants de moins de 12 ans.
  • -Glatiramyl 20 mg/ml est destiné à une administration par voie sous-cutanée. Les patients doivent être instruits sur les techniques d'auto-injection et la première auto-injection doit être réalisée sous la surveillance, pendant au moins 30 minutes, d'un professionnel de la santé.
  • +Glatiramyl est destiné à une administration par voie sous-cutanée.
  • +Les patients doivent être instruits sur les techniques d'auto-injection et la première auto-injection doit être réalisée sous la surveillance, pendant au moins 30 minutes, d'un professionnel de la santé.
  • -Glatiramyl 20 mg/ml est contre-indiqué chez les patients avec antécédents d'hypersensibilité à l'acétate de glatiramère ou au mannitol.
  • +Glatiramyl est contre-indiqué chez les patients avec antécédents d'hypersensibilité à l'acétate de glatiramère ou au mannitol.
  • -Glatiramyl 20 mg/ml doit être administré uniquement par voie sous-cutanée. Glatiramyl 20 mg/ml ne doit pas être administré par voie intraveineuse ou intramusculaire.
  • -Le médecin traitant doit informer le patient que dans les minutes qui suivent une injection de Glatiramyl 20 mg/ml des réactions se manifestant par au moins l'un des symptômes suivants: vasodilatation (flush), douleurs thoraciques, dyspnée, palpitations ou tachycardie (voir aussi «Effets indésirables») peuvent survenir. La majorité de ces symptômes sont de courte durée et disparaissent spontanément sans laisser de séquelles. En cas de réaction indésirable grave, le patient interrompra le traitement de Glatiramyl 20 mg/ml sans délai et avertira son médecin traitant ou le médecin de garde. Le médecin décidera s'il y a lieu d'introduire un traitement symptomatique.
  • -On ne dispose d'aucune donnée suggérant l'existence d'un risque accru de telles réactions dans des groupes de patients particuliers. La prudence est malgré tout de mise lorsque Glatiramyl 20 mg/ml est utilisé chez des patients souffrant d'une maladie cardiaque préexistante. Ces patients doivent être régulièrement contrôlés tout au long du traitement.
  • -Dans de rares cas, des réactions d'hypersensibilité graves (p.ex. bronchospasme, anaphylaxie ou urticaire) ont été rapportées. Lors de réactions sévères, le traitement adéquat sera instauré et l'administration de Glatiramyl 20 mg/ml devra être interrompue.
  • +Glatiramyl doit être administré uniquement par voie sous-cutanée. Glatiramyl ne doit pas être administré par voie intraveineuse ou intramusculaire.
  • +Le médecin traitant doit informer le patient que dans les minutes qui suivent une injection de Glatiramyl des réactions se manifestant par au moins l'un des symptômes suivants: vasodilatation (flush), douleurs thoraciques, dyspnée, palpitations ou tachycardie (voir aussi «Effets indésirables») peuvent survenir. La majorité de ces symptômes sont de courte durée et disparaissent spontanément sans laisser de séquelles. En cas de réaction indésirable grave, le patient interrompra le traitement de Glatiramyl sans délai et avertira son médecin traitant ou le médecin de garde. Le médecin décidera s'il y a lieu d'introduire un traitement symptomatique.
  • +On ne dispose d'aucune donnée suggérant l'existence d'un risque accru de telles réactions dans des groupes de patients particuliers. La prudence est malgré tout de mise lorsque Glatiramyl est utilisé chez des patients souffrant d'une maladie cardiaque préexistante. Ces patients doivent être régulièrement contrôlés tout au long du traitement.
  • +Dans de rares cas, des réactions d'hypersensibilité graves (p.ex. bronchospasme, anaphylaxie ou urticaire) ont été rapportées. Lors de réactions sévères, le traitement adéquat sera instauré et l'administration de Glatiramyl devra être interrompue.
  • -Des anticorps anti-acétate de glatiramère ont été détectés dans le sérum de patients sous traitement journalier au long cours par Glatiramyl 20 mg/ml. Le taux maximal d'anticorps a été atteint en moyenne après 3 à 4 mois de traitement, puis ce taux a décru et s'est stabilisé à un niveau légèrement supérieur à sa valeur de base. Les présentes études ne permettent pas de conclure à un effet neutralisant des anticorps anti-acétate de glatiramère ou un impact sur l'efficacité clinique de Glatiramyl 20 mg/ml.
  • -Chez les patients avec insuffisance rénale, il faut contrôler régulièrement la fonction rénale durant le traitement par Glatiramyl 20 mg/ml. Bien que l'on ne dispose d'aucune indication pour l'existence chez l'homme de dépôts de complexes immuns dans les glomérules, cette éventualité ne peut être entièrement exclue.
  • +Des anticorps anti-acétate de glatiramère ont été détectés dans le sérum de patients sous traitement journalier au long cours par Glatiramyl. Le taux maximal d'anticorps a été atteint en moyenne après 3 à 4 mois de traitement, puis ce taux a décru et s'est stabilisé à un niveau légèrement supérieur à sa valeur de base. Les présentes études ne permettent pas de conclure à un effet neutralisant des anticorps anti-acétate de glatiramère ou un impact sur l'efficacité clinique de Glatiramyl.
  • +Chez les patients avec insuffisance rénale, il faut contrôler régulièrement la fonction rénale durant le traitement de Glatiramyl. Bien qu'on ne dispose d'aucune indication pour l'existence chez l'homme de dépôts de complexes immuns dans les glomérules, cette éventualité ne peut être entièrement exclue.
  • -Avant l'instauration du traitement par Glatiramyl 20 mg/ml et ensuite régulièrement (par exemple, tous les 6 à 12 mois), il est recommandé de déterminer les taux d'aminotransférase sérique, de phosphatase alcaline et de bilirubine totale chez tous les patients. Les patients doivent être surveillés pendant le traitement pour détecter les signes de lésions hépatiques. Si une atteinte hépatique cliniquement significative est suspectée, le traitement par Glatiramyl 20 mg/ml doit être interrompu.
  • +Avant l'instauration du traitement par Glatiramyl et ensuite régulièrement (par exemple, tous les 6 à 12 mois), il est recommandé de déterminer les taux d'aminotransférase sérique, de phosphatase alcaline et de bilirubine totale chez tous les patients. Les patients doivent être surveillés pendant le traitement pour détecter les signes de lésions hépatiques. Si une atteinte hépatique cliniquement significative est suspectée, le traitement par Glatiramyl doit être interrompu.
  • -Les interactions entre Glatiramyl 20 mg/ml et d'autres médicaments n'ont pas été évaluées de façon systématique.
  • -Des observations émanant des études cliniques existantes ainsi que les expériences après commercialisation n'indiquent pas d'interactions significatives de Glatiramyl 20 mg/ml avec d'autres traitements fréquemment utilisés chez les patients atteints de SEP, y compris l'utilisation concomitante de corticostéroïdes sur une période allant jusqu'à 28 jours.
  • +Les interactions entre Glatiramyl et d'autres médicaments n'ont pas été évaluées de façon systématique.
  • +Des observations émanant des études cliniques existantes ainsi que les expériences après commercialisation n'indiquent pas d'interactions significatives de Glatiramyl avec d'autres traitements fréquemment utilisés chez les patients atteints de SEP, y compris l'utilisation concomitante de corticostéroïdes sur une période allant jusqu'à 28 jours.
  • -In vitro, les données disponibles suggèrent que l'acétate de glatiramère est fortement lié aux protéines plasmatiques, mais n'est pas déplacé par, et ne déplace pas, la phénytoïne ou la carbamazépine. Néanmoins, dans la mesure où Glatiramyl 20 mg/ml possède, théoriquement, la capacité d'affecter la distribution des molécules se liant fortement aux protéines plasmatiques, l'administration concomitante de telles substances doit se faire sous stricte surveillance.
  • +In vitro, les données disponibles suggèrent que l'acétate de glatiramère est fortement lié aux protéines plasmatiques, mais n'est pas déplacé par, et ne déplace pas, la phénytoïne ou la carbamazépine. Néanmoins, dans la mesure où Glatiramyl possède, théoriquement, la capacité d'affecter la distribution des molécules se liant fortement aux protéines plasmatiques, l'administration concomitante de telles substances doit se faire sous stricte surveillance.
  • -Les expériences acquises jusqu'à présent avec des femmes enceintes n'indiquent pas de risque de malformation ou de toxicité fœtale/néonatale de Glatiramyl 20 mg/ml. Jusqu'à présent, on ne dispose pas de données épidémiologiques pertinentes. Par mesure de précaution, l'utilisation de Glatiramyl 20 mg/ml sera évitée pendant la grossesse, à moins que le bénéfice pour la mère ne surpasse le risque pour le fœtus.
  • +Les expériences acquises jusqu'à présent avec des femmes enceintes n'indiquent pas de risque de malformation ou de toxicité fœtale/néonatale de Glatiramyl. Jusqu'à présent, on ne dispose pas de données épidémiologiques pertinentes. Par mesure de précaution, l'utilisation de Glatiramyl sera évitée pendant la grossesse, à moins que le bénéfice pour la mère ne surpasse le risque pour le fœtus.
  • -On ne sait pas si l'acétate de glatiramère ou ses métabolites passent dans le lait maternel humain. Chez le rat, aucun effet significatif sur la progéniture n'a été observé, à l'exception d'une légère réduction du gain pondéral chez la progéniture des femelles traitées pendant la gestation et tout au long de l'allaitement (voir «Données précliniques»).
  • -Un risque pour les nouveau-nés/nourrissons ne peut être exclu. Une décision doit être prise soit d'interrompre l'allaitement, soit de renoncer à/d'interrompre le traitement par Glatiramyl 20 mg/ml, en prenant en compte le bénéfice de l'allaitement pour l'enfant au regard du bénéfice du traitement pour la mère.
  • +Les propriétés physico-chimiques et la faible absorption orale démontrent que l'exposition des nouveau-nés/enfants à l'acétate de glatiramère via le lait maternel est négligeable.
  • +Une étude rétrospective non interventionnelle comparant 60 enfants allaités dont la mère avait reçu de l'acétate de glatiramère et 60 enfants allaités dont la mère n'avait reçu aucun traitement modificateur de la maladie n'a démontré aucun effet négatif de l'acétate de glatiramère au cours des 18 premiers mois de vie. En outre, des données limitées obtenues après mise sur le marché n'ont démontré aucun effet négatif de l'acétate de glatiramère chez l'homme.
  • +Glatiramyl peut être utilisé pendant l'allaitement.
  • -«très fréquents» (≥1/10), «fréquents» (<1/10, ≥1/100), «occasionnels» (<1/100, ≥1/1000), «rares» (<1/1000, ≥1/10'000), «très rares» (<1/10'000), «inconnus» (la fréquence ne peut être estimée sur la base des données disponibles).
  • +«Très fréquents» (≥1/10), «fréquents» (<1/10, ≥1/100), «occasionnels» (<1/100, ≥1/1000), «rares» (<1/1000, ≥1/10'000), «très rares» (<1/10'000), «inconnus» (la fréquence ne peut être estimée sur la base des données disponibles).
  • -Des réactions au site d'injection ont été le plus fréquemment rapportées (70% des patients recevant le médicament actif vs 37% des patients sous placebo). Les réactions locales les plus fréquentes étaient: érythème, douleur, apparition de plaques prurigineuses, prurit, œdème, inflammation et hypersensibilité au site d'injection.
  • -Des réactions immédiates en l'espace de quelques minutes (réaction post-injection) ont été décrites en liaison avec les symptômes suivants: vasodilatation (rougeur), douleur thoracique, dyspnée, palpitations ou tachycardie (voir « Mises en garde et précautions »). (Au moins un symptôme des réactions post-injection immédiates a été rapporté au moins une fois chez 31% des patients traités par l'acétate de glatiramère 20 mg/ml, contre 13% traités recevant un placebo.)
  • +Des réactions au site d'injection ont été le plus fréquemment rapportées (70% des patients recevant l'acétate de glatiramère 20mg/ml vs 37% des patients sous placebo). Les réactions locales les plus fréquentes étaient: érythème, douleur, apparition de plaques prurigineuses, prurit, œdème, inflammation et hypersensibilité au site d'injection.
  • +Des réactions immédiates en l'espace de quelques minutes (réaction post-injection) ont été décrites en liaison avec les symptômes suivants: vasodilatation (rougeur), douleur thoracique, dyspnée, palpitations ou tachycardie (voir «Mises en garde et précautions»). (Au moins un symptôme des réactions post-injection immédiates a été rapporté au moins une fois chez 31% des patients traités par l'acétate de glatiramère 20 mg/ml, contre 13% traités recevant un placebo.)
  • -Occasionnels: varices.
  • +Occasionnels: varices
  • -Affections gravidiques, puerpérales et périnatales
  • -Occasionnels: avortement.
  • -L'arrêt du traitement par Glatiramyl 20 mg/ml doit être envisagé en cas de lésion hépatique cliniquement significative. (Voir aussi «Mises en garde et précautions»).
  • +L'arrêt du traitement par Glatiramyl doit être envisagé en cas de lésion hépatique cliniquement significative. (Voir aussi «Mises en garde et précautions»).
  • -L'acétate de glatiramère, principe actif de Glatiramyl 20 mg/ml, est le sel d'un polypeptide synthétique composé de 4 acides aminés naturels, acide L-glutamique, L-alanine, L-tyrosine et L-lysine, avec une fraction molaire relative de, respectivement 0,141, 0,427, 0,093 et 0,337. Le poids moléculaire moyen de l'acétate de glatiramère est compris entre 5000 et 9000 daltons.
  • +L'acétate de glatiramère, principe actif de Glatiramyl, est le sel d'un polypeptide synthétique composé de 4 acides aminés naturels, acide L-glutamique, L-alanine, L-tyrosine et L-lysine, avec une fraction molaire relative de, respectivement 0,141, 0,427, 0,093 et 0,337. Le poids moléculaire moyen de l'acétate de glatiramère est compris entre 5000 et 9000 daltons.
  • -L'acétate de glatiramère induit, par la liaison à la molécule du complexe majeur d'histocompatibilité de classe II des cellules présentatrices d'antigène, la production de lymphocytes T spécifiques à l'antigène. Ces lymphocytes reconnaissent la protéine basique de la myéline (PBM), qui est responsable du déclenchement de l'EAE.
  • -Après avoir franchi la barrière hémato-encéphalique, les lymphocytes T dans le modèle animal sont réactivés par la PBM et sécrètent des cytokines anti-inflammatoires ayant des effets thérapeutiques au niveau du système nerveux central.
  • -On ne connaît pas de données suggérant que l'acétate de glatiramère puisse posséder des propriétés globalement immunosuppressives.
  • -Le mécanisme d'action a été corroboré par le suivi de l'IRM cérébrale,une réduction de la formation de nouvelles lésions a été observée (à la fois en séquences pondérées T1 et T2) deux mois après le début du traitement par l'acétate de glatiramère. Cette observation a été mise en rapport avec les effets sur l'activité de la maladie et les poussées de sclérose en plaques.
  • +L'acétate de glatiramère induit, par la liaison à la molécule du complexe principal d'histocompatibilité de classe II sur les cellules de présentation des antigènes, des lymphocytes T antigènes-spécifiques. Ceux-ci reconnaissent la protéine basique de la myéline (PBM), qui est responsable du déclenchement de l'encéphalomyélite allergique expérimentale.
  • +Dès la barrière hémato-encéphalique franchie, les lymphocytes T sont réactivés par la PBM afin de sécréter des cytokines anti-inflammatoires ayant des effets thérapeutiques au niveau du système nerveux central.
  • +Aucune donnée connue sur l'acétate de glatiramère ne suggère qu'il puisse posséder des propriétés immunosuppressives.
  • +Le mécanisme d'action a été corroboré par le suivi de l'IRM cérébrale où l'effet de l'acétate de glatiramère a été observé sur la réduction de la formation de nouvelles lésions (à la fois en séquences pondérées T1 ou T2) deux mois après le début du traitement. Cet effet a été corrélé avec les effets sur l'activité de la maladie et les poussées de sclérose en plaques.
  • -SEP de forme récurrente-rémittente (SEP RR)
  • -Au total 269 patients présentant une SEP récurrente-rémittente, qui avaient eu au moins deux crises de troubles fonctionnels neurologiques (exacerbations) en l'espace des deux dernières années, ont été traités par l'acétate de glatiramère 20 mg/ml dans trois études contrôlées. La première étude était une étude portant sur deux ans avec 50 sujets (acétate de glatiramère n = 25, placebo n = 25). Dans la deuxième étude, 251 patients ont été traités durant 35 mois (acétate de glatiramère n = 125, placebo n = 126). La troisième étude était une étude portant sur 9 mois avec 239 patients (acétate de glatiramère n = 119, placebo n = 120). Dans celle-ci, une lésion accumulant le gadolinium devait également avoir été identifiée à l'IRM chez les patients.
  • -Le traitement par l'acétate de glatiramère a causé une réduction significative du nombre de poussées, une augmentation du pourcentage de patients demeurant indemnes de poussées et une prolongation de l'intervalle entre les poussées. Des effets positifs ont également pu être observés sur les paramètres importants à l'IRM pour les formes rémittentes de la SEP.
  • +SEP récurrente-rémittente (SEP RR)
  • +Au total, 269 patients présentant une SEP récurrente-rémittente, qui avaient eu au moins deux attaques de troubles fonctionnels neurologiques (exacerbation) en l'espace des deux dernières années, ont été traités par l'acétate de glatiramère 20 mg/ml dans trois études contrôlées. La première étude était une étude portant sur deux ans avec 50 sujets (acétate de glatiramère n = 25, placebo n = 25). Dans la deuxième étude, 251 patients ont été traités avec l'acétate de glatiramère durant 35 mois maximum (acétate de glatiramère n = 125, placebo n = 126). La dernière étude était une étude portant sur 9 mois avec 239 patients (acétate de glatiramère n = 119, placebo n = 120). Dans celle-ci, une lésion accumulant le gadolinium devait être présente à l'IRM.
  • +Une réduction significative du nombre de poussées, une tendance à une augmentation du pourcentage de patients demeurant indemnes de poussées ainsi qu'une prolongation du délai d'apparition de nouvelles poussées ont été observées chez les patients traités par l'acétate de glatiramère. Des effets positifs ont également pu être observés sur les paramètres IRM importants des formes rémittentes de la SEP.
  • -Tout au long du traitement, les patients sous acétate de glatiramère ont été plus nombreux que ceux du groupe sous placebo à atteindre une stabilisation ou une amélioration sur le plan neurologique. À l'échelle d'évaluation du handicap EDSS (Expanded Disability Status Scale) selon Kurtzke, l'évolution moyenne des scores de patients versus valeur initiale a également été en faveur de l'acétate de glatiramère.
  • +Tout au long du traitement, les patients sous acétate de glatiramère étaient plus nombreux par rapport au groupe placebo à voir leur état soit se stabiliser sur le plan neurologique, soit s'améliorer, et l'évolution moyenne de l'échelle de cotation du handicap EDSS (Expanded Disability Status Scale) de Kurtzke, par rapport à sa valeur initiale, a également été en faveur de l'acétate de glatiramère.
  • - Mois 7 1,2 (2,62) 1,1 (2,50) 2,1 (3,05)
  • - Mois 8 1,2 (2,55) 1,0 (2,21) 1,7 (2,29)
  • - Mois 9 1,1 (2,81) 0,8 (1,44) 2,3 (2,87)
  • +Mois 7 1,2 (2,62) 1,1 (2,50) 2,1 (3,05)
  • +Mois 8 1,2 (2,55) 1,0 (2,21) 1,7 (2,29)
  • +Mois 9 1,1 (2,81) 0,8 (1,44) 2,3 (2,87)
  • - Mois 9 9,2 (13,94) 7,3 (9,43) 11,1 (11,39)
  • +Mois 9 9,2 (13,94) 7,3 (9,43) 11,1 (11,39)
  • -Une étude contrôlée par placebo avec 481 patients (acétate de glatiramère 20 mg/ml n = 243, placebo n = 238) a été effectuée sur plus de 3 ans auprès de patients présentant un épisode singulier unifocal bien défini (SCI) et une IRM significative (au moins deux lésions cérébrales pondérées en T2 mesurant plus de 6 mm de diamètre). D'autres maladies devaient être exclues.
  • -Durant l'extension ouverte sur 2 ans, 198/243 patients du groupe sous acétate de glatiramère et 211/238 du groupe sous placebo ont été inclus.
  • -En comparaison avec le placebo durant la période de traitement allant jusqu'à trois ans, l'acétate de glatiramère a retardé la progression à partir du premier épisode clinique jusqu'à la SEP clinique définitive (SEP CD) (hazard ratio = 0,55; IC à 95% [0,40 à 0,77], valeur p = 0,0005). L'acétate de glatiramère a prolongé le délai jusqu'à l'apparition de la SEP clinique définitive; celui-ci était de 336 jours chez le groupe placebo et de 722 jours chez le groupe sous acétate de glatiramère. Le nombre de nouvelles lésions T2 était plus bas de manière statistiquement significative chez les patients sous acétate de glatiramère (valeur p < 0,0001), le volume des lésions T2 a montré une réduction significative de 25% (valeur p = 0,0002). La proportion de patients ayant développé un SEP était de 43% avec le placebo et de 25% avec l'acétate de glatiramère (valeur p < 0,0001).
  • +Une étude contrôlée par placebo avec 481 patients (acétate de glatiramère n = 243, placebo n = 238) a été effectuée sur des patients présentant un épisode singulier unifocal bien défini (CIS) et une IRM anormale (au moins deux lésions cérébrales pondérées en T2 de plus de 6 mm de diamètre), sur plus de 3 ans. D'autres maladies devaient être exclues.
  • +198 patients sur 243 dans le groupe acétate de glatiramère et 211 patients sur 238 dans le groupe placebo ont été inclus dans la phase d'extension ouverte sur 2 ans.
  • +En comparaison avec le placebo durant la durée du traitement contrôlée contre placebo allant jusqu'à trois ans, l'acétate de glatiramère a retardé la progression à partir du premier épisode clinique jusqu'à la SEP clinique définitive (hazard ratio = 0,55; IC à 95% [0,40; 0,77], valeur p = 0,0005). L'acétate de glatiramère a prolongé la durée de temps jusqu'à l'apparition de la SEP clinique définitive de 336 jours chez le groupe placebo, à 722 jours chez le groupe sous acétate de glatiramère. Le nombre de nouvelles lésions T2 était plus bas de manière statistiquement significative chez les patients sous acétate de glatiramère (valeur p < 0,0001), le volume des lésions T2 a montré une réduction significative de 25% du volume des lésions T2 (valeur p = 0,0002). Le nombre de patients à développer une SEP était de 43% avec le placebo et de 25% avec l'acétate de glatiramère (valeur p = 0,0001).
  • -Des anticorps anti-acétate de glatiramère ont été détectés dans le sérum de patients sous traitement par l'acétate de glatiramère. Un titre maximal d'anticorps a été obtenu en moyenne après 3 à 4 mois de traitement, puis ce titre a décru et s'est stabilisé à un niveau légèrement supérieur à sa valeur de base. Les études disponibles ne permettent pas de suggérer que ces anticorps anti-acétate de glatiramère soient de type neutralisant ou que leur production puisse altérer l'efficacité clinique de l'acétate de glatiramère.
  • -L'effet obtenu durant l'étude contrôlée versus placebo s'est maintenu pendant la phase d'observation à long terme de 5 ans. Le délai jusqu'à la progression à une SEP clinique a été prolongé par un traitement précoce par l'acétate de glatiramère. En comparaison avec un traitement plus tardif, le traitement précoce a diminué significativement le risque de progression jusqu'à la SEP clinique selon des critères de Poser (p = 0,0005). L'effet bénéfique d'un traitement précoce par l'acétate de glatiramère par rapport à un traitement plus tardif a pu être prouvé aussi sur la base des paramètres d'IRM.
  • +Des anticorps anti-acétate de glatiramère ont été détectés dans le sérum de patients sous traitement par l'acétate de glatiramère. Le taux maximal d'anticorps a été obtenu en moyenne après 3 à 4 mois de traitement, puis ce taux a décru et s'est stabilisé à un niveau légèrement supérieur à sa valeur de base. Les études disponibles ne permettent pas de suggérer que ces anticorps anti-acétate de glatiramère soient de type neutralisant ou que leur production puisse altérer l'efficacité clinique de l'acétate de glatiramère.
  • +L'effet obtenu durant l'étude placébo-contrôlée est resté constant sur la phase d'observation de 5 ans. Le temps de la progression jusqu'à la SEP clinique définitive a été prolongé par un traitement au l'acétate de glatiramère précoce. En comparaison avec un traitement plus tardif, le traitement précoce a diminué significativement le risque de progression jusqu'à la SEP clinique définitive selon les critères de Poser (p = 0,0005). L'effet favorable d'un traitement précoce avec l'acétate de glatiramère avec un traitement plus tardif a pu être prouvé au moyen des paramètres IRM.
  • -Des études pharmacocinétiques n'ont pas été réalisées chez l'homme. On estime que l'acétate de glatiramère déclenche une action immunomodulatrice au site de l'injection sous-cutanée. Les effets thérapeutiques sont alors induits par une diffusion systémique des cellules T activées localement. Ainsi, et même s'ils étaient détectables, les taux sanguins de l'acétate de glatiramère ou de ses métabolites ne seraient d'aucune valeur prédictive de la réponse thérapeutique.
  • +Des études pharmacocinétiques n'ont pas été réalisées chez l'homme. On estime que l'acétate de glatiramère déclenche une action immunomodulatrice au site d'injection sous-cutanée. Les effets thérapeutiques sont alors induits par une diffusion systémique des cellules T activées localement. Ainsi, et même s'ils étaient détectables, les taux sanguins de l'acétate de glatiramère ou de ses métabolites ne seraient d'aucune valeur prédictive de la réponse thérapeutique.
  • -Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur le récipient.
  • +Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l'emballage.
  • -Au réfrigérateur (2 °C à 8 °C), dans l'emballage original, à l'abri de la lumière.
  • -Conserver hors de portée des enfants.
  • -Exceptionnellement, il est possible de conserver Glatiramyl 20 mg/ml à l'abri de la lumière dans leur emballage original durant une période de 1 mois au maximum à température ambiante (entre 15 °C et 25 °C).
  • +Conserver au réfrigérateur (2-8°C) dans l'emballage original, à l'abri de la lumière et hors de la portée des enfants.
  • +Exceptionnellement, il est possible de conserver Glatiramyl 20 mg/ml à l'abri de la lumière dans leur emballage original durant une période de 1 mois au maximum à température ambiante (entre 15- 25°C).
  • -65626 (Swissmedic).
  • +65626 (Swissmedic)
  • -Glatiramyl 20 mg/ml sol inj, 28 ser prêtes. (B)
  • +Glatiramyl 20 mg/ml sol inj, 28 seringues préremplies. (B)
  • -Juin 2021.
  • -[Version 105 F]
  • +Février 2022
  • +[Version 106 F]
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