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Accueil - Information professionnelle sur Glatiramyl 20 mg/ml - Changements - 21.03.2018
72 Changements de l'information professionelle Glatiramyl 20 mg/ml
  • -Glatiramyl est indiqué pour le traitement des patients présentant un premier symptôme clinique neurologique pouvant indiquer une sclérose en plaques («clinically isolated syndrome», CIS), et qui ont un risque élevé de développer une sclérose en plaque clinique définitive.
  • -Glatiramyl est indiqué pour réduire la fréquence des poussées et pour ralentir la progression du handicap ainsi que l'intensité et la sévérité de la maladie chez les patients présentant une sclérose en plaques (SEP) rémittente avec un score ≤5 sur l'EDSS. Dans les études cliniques ceci a été démontré par au moins 2 poussées avec des troubles neurologiques pendant les deux dernières années (voir rubrique «Propriétés/Effets»).
  • -L'efficacité de Glatiramyl chez les patients atteints de SEP chronique progressive d'emblée ou secondairement progressive ainsi que de SEP secondairement progressive avec poussées superposées n'a pas été démontrée jusqu'à présent.
  • -L'efficacité n'a pas été démontrée en dehors du groupe d'âge de 18 à 50 ans. Il manque aussi des expériences provenant d'études contrôlées menées sur plus de 3 ans.
  • +Glatiramyl est indiqué pour le traitement des formes récurrentes de la sclérose en plaques (SEP). Glatiramyl n'est pas indiqué dans la SEP progressive primaire ou secondaire (avec et sans poussées superposées).
  • +La posologie recommandée chez l'adulte est de 20 mg de Glatiramyl, correspondant à une seringue prête à l'emploi, administrés en injection sous-cutanée une fois par jour.
  • -Des données d'exposition à ce traitement provenant d'études non contrôlées sont disponibles avec un recul d'au moins 6 ans.
  • +A l'heure actuelle, on ignore pendant combien de temps le patient doit être traité par Glatiramyl. Une décision concernant un traitement de longue durée doit être prise par le médecin traitant.
  • +Patients atteints d'insuffisance rénale:
  • +L'efficacité et la sécurité n'ont pas été étudiées chez les patients atteints d'insuffisance rénale (voir aussi rubrique «Mises en garde et précautions»).
  • +Patients âgés:
  • +L'efficacité et la sécurité n'ont pas été étudiées chez les patients de plus de 55 ans.
  • +Enfants et adolescents:
  • +Des études cliniques ou pharmacocinétiques prospectives randomisées et contrôlées n'ont pas été effectuées chez des enfants ou adolescents. Des données limitées provenant de publications indiquent un profil de sécurité de Glatiramyl chez les adolescents (entre 12 et 18 ans) similaire à celui des adultes, ainsi qu'un effet clinique semblable. Glatiramyl ne doit pas être administré aux enfants de moins de 12 ans.
  • +Mode d'emploi
  • +
  • -Adultes: La posologie recommandée de Glatiramyl dans le traitement de la sclérose en plaques évoluant par poussées est une administration quotidienne de 20 mg de Glatiramyl en injection sous-cutanée. Un traitement à long terme est conseillé; il ne devrait être arrêté que sur recommandation du médecin traitant.
  • -Si des poussées successives surviennent au cours du traitement avec Glatiramyl, le bénéfice de la poursuite du traitement n'est pas démontré.
  • -Personnes âgées et insuffisants rénaux: Glatiramyl n'a pas été spécifiquement étudié dans ces populations.
  • -Enfants et adolescents: Il n'existe aucune étude pharmacocinétique et aucune étude clinique prospective randomisée et contrôlée chez des enfants ou adolescents. Des données limitées provenant de publications suggèrent que le profil de sécurité et l'effet clinique de Glatiramyl sont similaires chez les adolescents (entre 12 et 18 ans) et les adultes. Glatiramyl ne doit pas être administré aux enfants de moins de 12 ans.
  • -Site d'injection
  • -Les sites d'injection sous-cutanée incluent les bras, l'abdomen, les fesses/hanches et les cuisses. Il est conseillé de changer chaque jour le lieu de l'injection pour éviter l'apparition d'irritations ou de douleurs consécutives à l'injection.
  • +Les sites d'injection sous-cutanée incluent les bras, l'abdomen, les fesses/hanches et les cuisses. Il est conseillé de changer le site d'injection lors de chaque injection pour éviter l'apparition d'irritations ou de douleurs consécutives à l'injection.
  • -De même, Glatiramyl est contre-indiqué chez les femmes enceintes.
  • -La seule voie d'administration recommandée est la voie sous-cutanée. Glatiramyl ne doit pas être administré par voie intraveineuse ou intramusculaire.
  • -Les patients doivent être instruits sur les techniques d'auto-injection et la première auto-injection doit être réalisée sous la surveillance d'un professionnel de la santé pendant au moins 30 minutes au début ou en cas de reprise du traitement (cf. «Posologie/Mode d'emploi»).
  • -Dans les minutes qui suivent une injection de Glatiramyl, on observe éventuellement des réactions se manifestant par un ou plusieurs des symptômes suivants: vasodilatation (flush), douleurs thoraciques, dyspnée, palpitations ou tachycardie (cf. aussi le chapitre «Effets indésirables»). Le patient doit être informé par le médecin de la survenue possible de telles réactions, dont la majorité sont de courte durée et disparaissent spontanément sans laisser de séquelles. En cas de réaction indésirable grave, le patient interrompra immédiatement le traitement par Glatiramyl et avertira son médecin traitant ou un médecin urgentiste. Le médecin décidera s'il y a lieu d'introduire un traitement symptomatique.
  • +Glatiramyl doit être administré uniquement par voie sous-cutanée. Glatiramyl ne doit pas être administré par voie intraveineuse ou intramusculaire.
  • +Dans les minutes qui suivent une injection de Glatiramyl, peuvent survenir des réactions se manifestant par au moins l'un des symptômes suivants: vasodilatation (flush), douleurs thoraciques, dyspnée, palpitations ou tachycardie (voir aussi «Effets indésirables»). Le patient doit être informé par le médecin de la survenue possible de telles réactions, dont la majorité sont de courte durée et disparaissent spontanément sans laisser de séquelles. En cas de réaction indésirable grave, le patient interrompra le traitement de Glatiramyl sans délai et avertira son médecin traitant ou le médecin de garde. Le médecin décidera s'il y a lieu d'introduire un traitement symptomatique.
  • +Des anticorps anti-acétate de glatiramère ont été détectés dans le sérum de patients sous traitement journalier au long cours par Glatiramyl. Le taux maximal d'anticorps a été atteint en moyenne après 3 à 4 mois de traitement, puis ce taux a décru et s'est stabilisé à un niveau légèrement supérieur à sa valeur de base. Les présentes études ne permettent pas de conclure à un effet neutralisant des anticorps anti-acétate de glatiramère ou un impact sur l'efficacité clinique de Glatiramyl.
  • +
  • -Les données disponibles d'études in vitro suggèrent que l'acétate de glatiramère est fortement lié aux protéines plasmatiques, mais n'est pas déplacé par, et ne déplace pas, la phénytoïne ou la carbamazépine. Néanmoins, dans la mesure où Glatiramyl possède, théoriquement, la capacité d'affecter la distribution des molécules se liant fortement aux protéines plasmatiques, la coprescription de telles substances doit se faire sous stricte surveillance.
  • +Les données disponibles d'études in vitro suggèrent que l'acétate de glatiramère est fortement lié aux protéines plasmatiques, mais n'est pas déplacé par, et ne déplace pas, la phénytoïne ou la carbamazépine. Néanmoins, dans la mesure où Glatiramyl possède, théoriquement, la capacité d'affecter la distribution des molécules se liant fortement aux protéines plasmatiques, l'administration concomitante de telles substances doit se faire sous stricte surveillance.
  • -On ne dispose pas d'études suffisantes réalisées sur des animaux en ce qui concerne les effets sur la grossesse, le développement de l'embryon, le développement du fÅ“tus et/ou le développement postnatal. Le risque potentiel pour l'homme n'est pas connu.
  • -La sécurité d'emploi de Glatiramyl au cours de la grossesse n'a pas été établie, car on ne dispose pas d'études contrôlées chez la femme enceinte. Glatiramyl est contre-indiqué pendant la grossesse. Pendant l'emploi de Glatiramyl chez les femmes en âge de procréer, des mesures contraceptives efficaces doivent être envisagées.
  • -Glatiramyl ne doit être administré à la femme qui allaite qu'avec la plus grande précaution, car aucune donnée n'est disponible concernant le passage de l'acétate de glatiramère ou de ses métabolites dans le lait maternel. Les bénéfices attendus et les risques relatifs chez la mère et l'enfant doivent être pris en considération.
  • +Grossesse:
  • +Les études menées sur des animaux n'ont mis en évidence aucune toxicité sur la reproduction (voir «Données précliniques»).
  • +Les expériences acquises jusqu'à présent avec des femmes enceintes n'indiquent pas de risque de malformation ou de toxicité fÅ“tale/néonatale de Glatiramyl. Jusqu'à présent, on ne dispose pas de données épidémiologiques pertinentes. Par mesure de précaution, l'utilisation de Glatiramyl sera évitée pendant la grossesse, à moins que le bénéfice pour la mère ne surpasse le risque pour le fÅ“tus.
  • +Allaitement:
  • +Glatiramyl ne doit être administré à la femme qui allaite qu'avec précaution, car aucune donnée n'est disponible concernant le passage de l'acétate de glatiramère, de ses métabolites ou de ses anticorps dans le lait maternel. Le risque et le bénéfice relatifs pour la mère et l'enfant doivent être pris en considération.
  • -L'acétate de glatiramère a été administré à environ 3500 patients et volontaires sains pendant la période de développement clinique.
  • -Des réactions au site d'injection étaient l'effet indésirable le plus fréquemment rapporté (70% des patients recevant le médicament actif vs 37% des patients sous placebo). Les réactions locales les plus fréquentes étaient: érythème, douleur, apparition de plaques prurigineuses, prurit, Å“dème, inflammation et augmentation de la sensibilité au site d'injection.
  • -Des réactions post-injection immédiates, apparues avec un ou plusieurs des symptômes suivants en l'espace de quelques minutes après l'injection, ont été rapportées: vasodilatation, douleur thoracique, dyspnée, palpitations ou tachycardie (31% des patients traités par l'acétate de glatiramère, contre 13% traités par placebo). Dans la plupart des cas, ces événements étaient de nature transitoire, ont disparu spontanément sans laisser de séquelles et n'ont pas exigé de traitement spécifique. Ces effets peuvent survenir au début du traitement comme après plusieurs mois; un patient peut en éprouver un épisode ou plusieurs. On ne dispose d'aucune information permettant d'identifier des groupes de patients à risque particulier pour ces réactions.
  • -Tous les événements indésirables qui se sont manifestés avec une incidence plus élevée sous acétate de glatiramère que sous placebo (* incidence supérieure de plus de 2% sous acétate de glatiramère que sous placebo) sont repris dans la liste ci-dessous. Ces données proviennent de quatre études pivotales, menées en double aveugle et contrôlées par placebo, dans lesquelles 512 patients ont été traités par l'acétate de glatiramère et 509 patients par placebo (durée du traitement maximale: 36 mois). Trois de ces études cliniques ont inclus au total 269 patients présentant une sclérose en plaques de forme récurrente-rémittente (SEP RR) qui ont été traités par l'acétate de glatiramère et 271 patients présentant une SEP RR qui ont reçu un placebo (duré du traitement maximale: 35 mois). La quatrième étude a été effectuée chez des patients ayant vécu un premier épisode clinique et présentant un risque élevé de développer une SEP définitive; elle comprenait 243 patients traités par l'acétate de glatiramère et 238 patients traités par placebo (durée maximale du traitement: 36 mois).
  • -Pendant l'étude d'extension réalisée en ouvert sur une période de 5 ans, le profil de risques connu de l'acétate de glatiramère est resté inchangé.
  • -Il doit être indiqué explicitement que les valeurs énumérées dans la liste ne permettent pas de faire des déductions sur l'incidence des effets secondaires dans la pratique journalière.
  • +Les fréquences sont définies de la manière suivante:
  • +«très fréquents» (≥1/10), «fréquents» (<1/10, ≥1/100), «occasionnels» (<1/100, ≥1/1000), «rares» (<1/1000, ≥1/10'000), «très rares» (<1/10'000), «inconnus» (la fréquence ne peut être estimée sur la base des données disponibles).
  • +Des réactions au site d'injection étaient l'effet indésirable le plus fréquemment rapporté (70% des patients recevant le médicament actif vs 37% des patients sous placebo). Les réactions locales les plus fréquentes étaient: érythème, douleur, apparition de plaques prurigineuses, prurit, Å“dème, inflammation et hypersensibilité au site d'injection.
  • +Des réactions immédiates en l'espace de quelques minutes (réaction post-injection) ont été décrites en liaison avec les symptômes suivants: vasodilatation, douleur thoracique, dyspnée, palpitations ou tachycardie. (Au moins un symptôme des réactions post-injection immédiates a été rapporté au moins une fois chez 31% des patients traités par l'acétate de glatiramère 20 mg/ml, contre 13% traités recevant un placebo).
  • +Dans la plupart des cas, ces événements étaient de nature transitoire, ils ont disparu spontanément sans laisser de séquelles; ils n'ont pas nécessité de traitement spécifique. Ces effets peuvent survenir au début du traitement comme après plusieurs mois; un patient peut en éprouver un épisode ou plusieurs. Aucune information n'est disponible permettant d'identifier des groupes de patients à risque particulier pour ces réactions.
  • +Tous les événements indésirables qui se sont manifestés avec une incidence plus élevée sous l'acétate de glatiramère 20 mg/ml que sous placebo (* incidence plus élevée de 2% sous l'acétate de glatiramère que sous placebo) sont repris dans la liste ci-dessous. Ces données émanent de quatre études pivotales, menées en double aveugle et contrôlées contre placebo, dans lesquelles 512 patients ont été traités par l'acétate de glatiramère 20 mg/ml et 509 patients traités par placebo (durée du traitement maximale: 36 mois). Trois de ces études cliniques comprenaient 269 patients présentant une sclérose en plaques de forme rémittente, traités par l’acétate de glatiramère 20 mg/ml, et 271 patients présentant une sclérose en plaques de forme rémittente, traités par placebo (durée du traitement maximale: 35 mois). La quatrième étude a été effectuée chez des patients ayant vécu un premier épisode clinique et présentant un risque élevé d'une sclérose en plaques définitive, et comprenait 243 patients traités par l'acétate de glatiramère 20 mg/ml et 238 patients traités par placebo (durée maximale du traitement: 36 mois).
  • +Pendant l'extension ouverte sur une période de 5 ans, il n'y a pas eu de changement du profil de risques connu de l'acétate de glatiramère.
  • +Il doit être indiqué explicitement que les valeurs énumérées dans le tableau ne permettent pas de faire des déductions sur l'incidence des effets secondaires dans la pratique journalière.
  • -Très fréquents (>1/10): infections (31,8%), influenza (15,4%).
  • -Fréquents (>1/100, ≤1/10): bronchite, gastro-entérite, infection par Herpes simplex, otite de l'oreille moyenne, rhinite, abcès dentaire, candidose vaginale*.
  • -Occasionnels (>1/1000, ≤1/100): abcès, cellulite, furonculose, zona, pyélonéphrite.
  • -Tumeurs bénignes, malignes et non précisées (incl kystes et polypes)
  • -Fréquents (>1/100, ≤1/10): néoplasme cutané bénin, néoplasmes.
  • -Occasionnels (>1/1000, ≤1/100): cancer de la peau.
  • -Rares (>1/10'000, ≤1/1000): lymphome à cellules T.
  • +Très fréquents: infection (31,8%), grippe (15,4%).
  • +Fréquents: bronchite, gastro-entérite, herpès simplex, otite de l'oreille moyenne, rhinite, abcès dentaire, candidose vaginale*.
  • +Occasionnels: abcès, cellulite, furonculose, herpès zoster, pyélonéphrite.
  • +Tumeurs bénignes, malignes et non précisées (incl. kystes et polypes)
  • +Fréquents: néoplasme cutané bénin, néoplasmes.
  • +Occasionnels: cancer de la peau.
  • +Rares: lymphome à cellules T.
  • -Fréquents (>1/100, ≤1/10): lymphadénopathie*.
  • -Occasionnels (>1/1000, ≤1/100): leucocytose, leucopénie, splénomégalie, thrombocytopénie, morphologie lymphocytaire anormale.
  • +Fréquents: lymphadénopathie*.
  • +Occasionnels: leucocytose, leucopénie, splenomégalie, thrombocytopénie, morphologie lymphocytaire anormale.
  • -Fréquents (>1/100, ≤1/10): hypersensibilité.
  • -Occasionnels (>1/1000, ≤1/100): anaphylaxie.
  • +Fréquents: hypersensibilité.
  • +Occasionnels: anaphylaxie.
  • -Occasionnels (>1/1000, ≤1/100): goitre, hyperthyroïdie.
  • +Occasionnels: goître, hyperthyroïdie.
  • -Fréquents (>1/100, ≤1/10): anorexie, prise de poids*.
  • -Occasionnels (>1/1000, ≤1/100): intolérance à l'alcool, goutte, hyperlipémie, sodium sanguin élevé, ferritine sérique abaissée.
  • +Fréquents: anorexie, prise de poids*.
  • +Occasionnels: intolérance à l'alcool, goutte, hyperlipémie, sodium sanguin élevé, ferritine sérique abaissée.
  • -Très fréquents (>1/10): angoisse (11,1%)*, dépression (13,1%).
  • -Fréquents (>1/100, ≤1/10): nervosité.
  • -Occasionnels (>1/1000, ≤1/100): rêves anormaux, confusion, euphorie, hallucinations, animosité, réactions maniaques, troubles de la personnalité, tentative de suicide.
  • +Très fréquents: angoisse (11,1%)*, dépression (13,1%).
  • +Fréquents: nervosité.
  • +Occasionnels: rêves anormaux, confusion, euphorie, hallucinations, animosité, réactions maniaques, troubles de la personnalité, tentative de suicide.
  • -Très fréquents (>1/10): céphalées (30,9%).
  • -Fréquents (>1/100, ≤1/10): troubles du goût, tonus musculaire élevé spastique, migraine, troubles de la parole, syncope, tremblement*.
  • -Occasionnels (>1/1000, ≤1/100): syndrome du tunnel carpien, troubles cognitifs, convulsions, troubles de l'écriture, dyslexie, dystonie, troubles moteurs, myoclonie, névrite, blocage neuro-musculaire, nystagmus, paralysie, paralysie du nerf péronier, état stuporeux, trouble du champ visuel, aphasie.
  • +Très fréquents: céphalées (30,9%).
  • +Fréquents: troubles du goût, tonus musculaire spastique élevé, migraine, troubles de la parole, syncope, tremblement*.
  • +Occasionnels: syndrome du tunnel carpien, troubles cognitifs, convulsions, troubles de l'écriture, dyslexie, dystonie, troubles moteurs, myoclonus, névrite, blocage neuro-musculaire, nystagmus, paralysie, paralysie du nerf péronier, stupeur, trouble du champ visuel, aphasie.
  • -Fréquents (>1/100, ≤1/10): diplopie, troubles fonctionnels des yeux*.
  • -Occasionnels (>1/1000, ≤1/100): cataracte, lésions de la cornée, Å“il sec, hémorragie ophtalmique, ptosis, mydriase, atrophie du nerf optique.
  • +Fréquents: diplopie, troubles fonctionnels des yeux*.
  • +Occasionnels: cataracte, lésions de la cornée, Å“il sec, hémorragie ophtalmique, ptose, mydriase, atrophie du nerf optique.
  • -Fréquents (>1/100, ≤1/10): douleurs aux oreilles.
  • +Fréquents: douleurs aux oreilles.
  • -Fréquents (>1/100, ≤1/10): palpitations*, tachycardie*.
  • -Occasionnels (>1/1000, ≤1/100): extrasystoles, bradycardie sinusale, tachycardie paroxystique.
  • -Rares (>1/10'000, ≤1/1000): arrêt cardiaque subit.
  • +Fréquents: palpitations*, tachycardie*.
  • +Occasionnels: extrasystoles, bradycardie sinusale, tachycardie paroxysmale.
  • +Rares: insuffisance cardiaque aiguë.
  • -Très fréquents (>1/10): vasodilatation (18,0%)*.
  • -Occasionnels (>1/1000, ≤1/100): varices.
  • +Très fréquents: vasodilatation (18,0%)*.
  • +Occasionnels: varices.
  • -Très fréquents (>1/10): dyspnée (13,3%)*.
  • -Fréquents (>1/100, ≤1/10): toux, rhinite saisonnière.
  • -Occasionnels (>1/1000, ≤1/100): apnée, sensation d'étouffement, saignements du nez, hyperventilation, spasme du larynx, troubles fonctionnels des poumons, troubles de la respiration.
  • +Très fréquents: dyspnée (13,3%)*.
  • +Fréquents: toux, rhinite saisonnière.
  • +Occasionnels: apnée, sensation d'étouffement,saignements du nez, hyperventilation, spasme du larynx, troubles fonctionnels des poumons, troubles de la respiration.
  • -Très fréquents (>1/10): nausée (14,5%)*.
  • -Fréquents (>1/100, ≤1/10): troubles fonctionnels rectaux, constipation, caries dentaires, dyspepsie, dysphagie, incontinence fécale, vomissements*.
  • -Occasionnels (>1/1000, ≤1/100): colite, polypes du colon, entérocolite, renvois, ulcère Å“sophagien, périodontite, saignement rectal, augmentation de la glande salivaire.
  • +Très fréquents: nausées (14,5%)*.
  • +Fréquents: troubles fonctionnels anorectaux, constipation, caries dentaires, dyspepsie, dysphagie, incontinence intestinale, vomissements*.
  • +Occasionnels: colite, polypes du colon, entérocolite, renvois, ulcère Å“sophagien, périodontite, saignement rectal, augmentation de volume de la glande salivaire.
  • -Fréquents (>1/100, ≤1/10): anomalies à l'exploration fonctionnelle hépatique.
  • -Occasionnels (>1/1000, ≤1/100): cholélithiase, hépatomégalie.
  • +Fréquents: test de la fonction hépatique anormal.
  • +Occasionnels: cholélithiase, hépatomégalie.
  • -Très fréquents (>1/10): rash (13,7%)*.
  • -Fréquents (>1/100, ≤1/10): ecchymose, transpiration, prurit, trouble cutané*, urticaire.
  • -Occasionnels (>1/1000, ≤1/100): angiÅ“dème, dermatite de contact, érythème noueux, nodules cutanés.
  • +Très fréquents: rash (13,7%)*.
  • +Fréquents: ecchymose, transpiration, prurit, trouble cutané*, urticaire.
  • +Occasionnels: angioÅ“dème, dermatite de contact, érythème noueux, nodules cutanés.
  • -Fréquents (>1/100, ≤1/10): douleurs dans la nuque.
  • -Occasionnels (>1/1000, ≤1/100): arthrite, bursite, douleur dans les flancs, atrophie musculaire, ostéoarthrite.
  • +Fréquents: douleurs dans la nuque.
  • +Occasionnels: arthrite, bursite, douleurs dans les flancs, atrophie musculaire, ostéoarthrite.
  • -Fréquents (>1/100, ≤1/10): miction impérieuse, polyurie, rétention d'urine.
  • -Occasionnels (>1/1000, ≤1/100): hématurie, néphrolithiase, troubles de l'appareil urinaire, anomalie urinaire.
  • +Fréquents: besoin d'uriner, polyurie, rétention d'urine.
  • +Occasionnels: hématurie, néphrolithiaise, troubles de l'appareil urinaire, anomalie urinaire.
  • -Occasionnels (>1/1000, ≤1/100): avortement.
  • +Occasionnels: avortement.
  • -Occasionnels (>1/1000, ≤1/100): gonflement des seins, dysfonction érectile, prolapsus pelvien, priapisme, troubles fonctionnels de la prostate, frottis cervical anormal, troubles testiculaires, hémorragie vaginale, trouble de la vulve et du vagin.
  • +Occasionnels: gonflement des seins, dysfonction érectile, prolapsus du bassin, priapisme, troubles fonctionnels de la prostate, frottis cervical anormal, troubles testiculaires, hémorragie vaginale, trouble de la vulve et du vagin.
  • -Très fréquents (>1/10): asthénie (23,8%), douleurs thoraciques (12,5%)*, réactions au site d'injection*¹ (69,5%), douleurs (19,0%)*.
  • -Fréquents (>1/100, ≤1/10): frissons*, Å“dème au niveau du visage*, atrophie au niveau du site d'injection², réactions locales*, Å“dème périphérique, Å“dème, fièvre.
  • -Occasionnels (>1/1000, ≤1/100): kyste, sensation de gueule de bois, hypothermie, inflammation non spécifiée, nécrose au site d'injection, troubles des muqueuses.
  • +Très fréquents: asthénie (23,8%), douleurs thoraciques (12,5%)*, réactions au site d'injection*1 (69,5%), douleurs (19,0%)*.
  • +Fréquents: frissons*, Å“dème au niveau du visage*, atrophie au niveau du site d'injection2, réactions locales*, Å“dème périphérique, Å“dème, fièvre.
  • +Occasionnels: kyste, sensation de gueule de bois, hypothermie, inflammation non détaillée plus précisément, nécrose au site d'injection, troubles des muqueuses.
  • -Occasionnels (>1/1000, ≤1/100): syndrome post-vaccinal.
  • -* Incidence supérieure de plus de 2% (>2/100) dans le groupe traité par l'acétate de glatiramère par rapport au groupe sous placebo. Pour les effets indésirables sans le symbole «*», la différence est inférieure ou égale à 2%.
  • -¹ Le terme «réactions au site d'injection» (différents types) comprend tous les événements indésirables au site d'injection, à l'exception de l'atrophie et de la nécrose au site d'injection, qui sont mentionnées à part.
  • -² Les notions se rapportant à la lipoatrophie localisée au site d'injection sont incluses.
  • +Occasionnels: syndrome suite à une vaccination.
  • +* Incidence supérieure de 2% (>2/100) dans le groupe de traitement avec l’acétate de glatiramère par rapport au groupe placebo. Les effets indésirables sans le symbole «*» ont une différence inférieure ou égale à 2%.
  • +1 Le terme «Réactions au site d'injection» (différentes manières) comprend tous les évènements indésirables au site d'injection, à l'exception de l'atrophie et de la nécrose au site d'injection, qui sont mentionnées à part.
  • +2 Les termes se rapportant à la lipoatrophie localisée au site d'injection sont inclus.
  • -Glatiramyl est un agent immunomodulateur utilisé dans le traitement de la sclérose en plaques.
  • +Le(s) mécanisme(s) par lequel (lesquels) l'acétate de glatiramère exerce ses effets chez les patients ayant une SEP n'est (ne sont) pas encore complètement élucidé(s). Néanmoins, on suppose que l'acétate de glatiramère agit en modifiant des processus immunologiques actuellement considérés responsables de la pathogenèse de la SEP.
  • -Au total 269 patients présentant une SEP récurrente-rémittente, qui avaient eu au moins deux crises de troubles fonctionnels neurologiques (exacerbations) en l'espace des deux dernières années, ont été traités dans trois études contrôlées. La première étude était une étude portant sur deux ans avec 50 sujets (acétate de glatiramère n = 25, placebo n = 25). Dans la deuxième étude, 251 patients ont été traités durant 35 mois (acétate de glatiramère n = 125, placebo n = 126). La troisième étude était une étude portant sur 9 mois avec 239 patients (acétate de glatiramère n = 119, placebo n = 120). Dans celle-ci, une lésion accumulant le gadolinium devait également avoir été identifiée à l'IRM chez les patients.
  • +Au total 269 patients présentant une SEP récurrente-rémittente, qui avaient eu au moins deux crises de troubles fonctionnels neurologiques (exacerbations) en l'espace des deux dernières années, ont été traités par l'acétate de glatiramère dans trois études contrôlées. La première étude était une étude portant sur deux ans avec 50 sujets (acétate de glatiramère n = 25, placebo n = 25). Dans la deuxième étude, 251 patients ont été traités durant 35 mois (acétate de glatiramère n = 125, placebo n = 126). La troisième étude était une étude portant sur 9 mois avec 239 patients (acétate de glatiramère n = 119, placebo n = 120). Dans celle-ci, une lésion accumulant le gadolinium devait également avoir été identifiée à l'IRM chez les patients.
  • +Dans la plus grande étude contrôlée, le taux de poussées a été réduit de 32%; de 1,98 sous placebo à 1,34 sous l'acétate de glatiramère.
  • +L'acétate de glatiramère n'a cependant pas eu d'influence positive sur la progression des handicaps des patients atteints de SEP récurrente rémittente.
  • +Il n'a pas été mis en évidence qu'un traitement par l'acétate de glatiramère influence la durée ou le degré de sévérité d'une poussée.
  • +Jusqu'à présent, le bénéfice de l'acétate de glatiramère chez les patients présentant une affection progressive primaire ou secondaire n'a pas encore été mis en évidence.
  • +
  • -L'efficacité et la sécurité de Glatiramyl ont été évaluées versus Copaxone (le médicament de référence) dans une étude clinique multicentrique comprenant une phase de 9 mois en double aveugle avec randomisation, contrôle versus traitement actif et contrôle versus placebo, puis une phase de 15 mois en ouvert. 794 patients atteints de SEP récurrente-rémittente (SEP RR, critères remaniés de McDonald, 2010), ayant un score EDSS de 0,0 à ≤5,5 et présentant à l'IRM au moins 1 lésion accumulant le gadolinium en séquence T1 (T1-gadolinium enhanced, T1-GdE) et au maximum 15 lésions T1-GdE (en l'absence d'un traitement immunomodulateur) ou 5 lésions T1-GdE (sous traitement immunomodulateur) ont été traités dans cette étude (Glatiramyl n = 353, Copaxone n = 357, placebo n = 84). Pendant la phase d'étude en double aveugle, les patients ont reçu 1 fois par jour 20 mg de Glatiramyl, 20 mg de Copaxone ou un placebo. Pendant la phase en ouvert, tous les patients ont reçu 1 fois par jour 20 mg de Glatiramyl.
  • +L'efficacité et la sécurité de Glatiramyl ont été évaluées versus Copaxone 20 mg/ml (le médicament de référence) dans une étude clinique multicentrique comprenant une phase de 9 mois en double aveugle avec randomisation, contrôle versus traitement actif et contrôle versus placebo, puis une phase de 15 mois en ouvert. 794 patients atteints de SEP récurrente-rémittente (SEP RR, critères remaniés de McDonald, 2010), ayant un score EDSS de 0,0 à ≤5,5 et présentant à l'IRM au moins 1 lésion accumulant le gadolinium en séquence T1 (T1-gadolinium enhanced, T1-GdE) et au maximum 15 lésions T1-GdE (en l'absence d'un traitement immunomodulateur) ou 5 lésions T1-GdE (sous traitement immunomodulateur) ont été traités dans cette étude (Glatiramyl n = 353, Copaxone n = 357, placebo n = 84). Pendant la phase d'étude en double aveugle, les patients ont reçu 1 fois par jour 20 mg de Glatiramyl, 20 mg de Copaxone ou un placebo. Pendant la phase en ouvert, tous les patients ont reçu 1 fois par jour 20 mg de Glatiramyl.
  • - Glatiramyl Copaxone Placebo
  • + Glatiramyl Copaxone 20 mg/ml Placebo
  • -Syndrome clinique isolé
  • -Une étude contrôlée par placebo avec 481 patients (acétate de glatiramère n = 243, placebo n = 238) a été effectuée sur plus de 3 ans auprès de patients présentant un épisode singulier unifocal bien défini (SCI) et une IRM significative (au moins deux lésions cérébrales pondérées en T2 mesurant plus de 6 mm de diamètre). D'autres maladies devaient être exclues.
  • +Clinically Isolated Syndrome
  • +Une étude contrôlée par placebo avec 481 patients (acétate de glatiramère 20 mg/ml n = 243, placebo n = 238) a été effectuée sur plus de 3 ans auprès de patients présentant un épisode singulier unifocal bien défini (SCI) et une IRM significative (au moins deux lésions cérébrales pondérées en T2 mesurant plus de 6 mm de diamètre). D'autres maladies devaient être exclues.
  • -Les données précliniques d'études de sécurité pharmacologique, de toxicité après exposition récurrente, de génotoxicité ou de carcinogénicité ne suggèrent aucun risque particulier pour l'homme.
  • +Les données précliniques d'études de sécurité pharmacologique, de toxicité après exposition récurrente, de toxicité sur la reproduction, de génotoxicité ou de cancérogenèse ne suggèrent aucun risque particulier pour l'homme qui n'est pas déjà énoncé dans d'autres rubriques de l'information professionnelle. En raison du manque de données pharmacocinétiques chez l'homme, aucune déclaration relative aux marges d'exposition entre l'homme et l'animal ne peut être faite.
  • -Les études menées sur la reproduction sont à ce jour insuffisantes en ce qui concerne les effets fÅ“to-embryonnaires ou le développement post-natal.
  • +Dans une étude de 2 ans menée chez les rats, aucun indice de dépôt de complexes immuns dans les glomérules n'a été mis en évidence.
  • +Des réactions anaphylactiques ont été rapportées après administration d'acétate de glatiramère à des animaux sensibilisés (cobayes et souris). La pertinence de ces résultats pour l'homme n'est pas connue.
  • +Des réactions toxiques ont été fréquemment rapportées au site d'injection après administration répétée chez l'animal.
  • -Novembre 2015.
  • -[Version 101 F]
  • +Juin 2017.
  • +[Version 102 F]
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