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Accueil - Information professionnelle sur Opdivo 40 mg/4 ml - Changements - 17.09.2021
107 Changements de l'information professionelle Opdivo 40 mg/4 ml
  • +Mésothéliome pleural malin (MPM)
  • +OPDIVO est indiqué en association avec l'ipilimumab dans le traitement de première ligne des patients adultes atteints de mésothéliome pleural malin non résécable (voir rubrique «Propriétés/Effets»):
  • +·d'histologie non épithélioïde;
  • +·d'histologie épithélioïde et avec une expression de PD-L1 ≥1%.
  • -Posologie usuelle - OPDIVO en association avec l'ipilimumab (Mélanome, CCR, CRC)
  • -
  • +Posologie usuelle - OPDIVO en association avec l'ipilimumab (Mélanome, CCR, CRC, MPM)
  • +OPDIVO en association avec l'ipilimumab dans le traitement du mélanome, du CCR, du CRC ou du MPM doit être administré conformément aux informations professionelle de l'ipilimumab. D'autres informations sur le traitement des mélanomes, CCR, CRC ou MPM par OPDIVO en association avec l'ipilimumab sont disponibles dans l'information professionnelle de l'ipilimumab.
  • +MPM
  • +La dose recommandée d'OPDIVO est de 3 mg/kg, administrée par voie intraveineuse pendant 30 minutes toutes les 2 semaines en association avec 1 mg/kg d'ipilimumab administré par voie intraveineuse pendant 30 minutes toutes les 6 semaines (voir l'information professionnelle de l'ipilimumab).
  • +Traitement adjuvant du mélanome, CO ou CJOG
  • +
  • -Pour toutes les autres indications approuvées, le traitement avec OPDIVO en monothérapie ou en association avec l'ipilimumab doit être poursuivi tant qu'un bénéfice clinique est observé ou jusqu'à ce que le patient ne tolère plus le traitement.
  • +Mésothéliome pleural malin
  • +La durée de traitement maximale avec OPDIVO en association avec l'ipilimumab dans le MPM est de 24 mois.
  • +Toutes les autres indications approuvées
  • +Pour toutes les autres indications approuvées, le traitement avec OPDIVO en monothérapie ou en association avec l'ipilimumab doit être poursuivi tant qu'un bénéfice clinique est observé ou jusqu'à ce que le patient ne tolère plus le traitement (4 doses d'ipilimumab maximum sont administrées).
  • +Chez les patients âgés de 75 ans ou plus atteints du MPM, des taux accrus d'effet indésirables graves et d'arrêts de traitement dus à des effets indésirables (68% et 35%, respectivement ) ont été observés comparé à tous les patients ayant reçu OPDIVO en association avec l'ipilimumab (54% et 28%, respectivement ). 26% des patients avaient 75 ans ou plus.
  • -Des diarrhées ou des colites graves ont été observées sous traitement par nivolumab ou par nivolumab en association avec d'autres agents thérapeutiques (voir «Effets indésirables»). Les patients doivent être surveillés pour déceler l'apparition de diarrhées et d'autres symptômes de colite, tels que des douleurs abdominales et la présence de mucus ou de sang dans les selles. Une étiologie infectieuse et toute autre pathologie liée à la maladie doivent être exclues.
  • -Une infection/réactivation du cytomégalovirus (CMV) a été rapportée chez des patients atteints de colite d'origine immunologique réfractaire aux corticostéroïdes.
  • +Des diarrhées ou des colites graves ont été observées sous traitement par nivolumab ou par nivolumab en association avec d'autres agents thérapeutiques (voir «Effets indésirables»). Les patients doivent être surveillés pour déceler l'apparition de diarrhées et d'autres symptômes de colite, tels que des douleurs abdominales et la présence de mucus ou de sang dans les selles. Une étiologie infectieuse et toute autre pathologie liée à la maladie doivent être exclues. Une infection/réactivation du cytomégalovirus (CMV) a été rapportée chez des patients atteints de colite d'origine immunologique réfractaire aux corticostéroïdes.
  • -Une encéphalite d'origine immunologique peut survenir sous traitement par le nivolumab ou le nivolumab en association avec d'autres agents thérapeutiques. Chez les patients chez qui surviennent pour la première fois des signes ou symptômes neurologiques modérés à sévères, il convient de suspendre le nivolumab ou le nivolumab en association avec d'autres agents thérapeutiques. Il convient qu'un bilan soit établi par un spécialiste pour exclure un motif infectieux ou autre de détérioration neurologique modérée à sévère. S'il est possible d'exclure d'autres causes, il convient de traiter les patients atteints d'une encéphalite d'origine immunologique par des corticoïdes à une dose de 1 à 2 mg/kg/jour de méthylprednisolone ou équivalent, suivi d'une diminution progressive du corticoïde. En cas d'encéphalite d'origine immunologique, il convient d'arrêter définitivement le nivolumab ou le nivolumab en association avec d'autres agents thérapeutiques.
  • +Une encéphalite d'origine immunologique peut survenir sous traitement par le nivolumab ou le nivolumab en association avec d'autres agents thérapeutiques . Chez les patients chez qui surviennent pour la première fois des signes ou symptômes neurologiques modérés à sévères, il convient de suspendre le nivolumab ou le nivolumab en association avec d'autres agents thérapeutiques. Il convient qu'un bilan soit établi par un spécialiste pour exclure un motif infectieux ou autre de détérioration neurologique modérée à sévère. S'il est possible d'exclure d'autres causes, il convient de traiter les patients atteints d'une encéphalite d'origine immunologique par des corticoïdes à une dose de 1 à 2 mg/kg/jour de méthylprednisolone ou équivalent, suivi d'une diminution progressive du corticoïde. En cas d'encéphalite d'origine immunologique, il convient d'arrêter définitivement le nivolumab ou le nivolumab en association avec d'autres agents thérapeutiques .
  • -Les patients atteints de maladies auto-immunes, de métastases cérébrales actives (ou métastases leptoméningées), présentant un score de performance du Eastern Cooperative Oncology Group (ECOG) ≥2 ou un score de performance Karnofsky (Karnofsky Performance Score; KPS) <70%, d'une infection par le virus de l'immunodéficience humaine (VIH), avec un dysfonctionnements graves du foie, des reins ou de la moelle osseuse et les patients sous immunosuppresseurs systémiques (y compris les glucocorticoïdes) avant l'inclusion dans l'étude ont été exclus de la participation à toutes les études d'enregistrement du nivolumab ou du nivolumab en association avec d'autres agents thérapeutiques. Ci-dessous sont décrites pour chaque type de tumeur les populations spécifiques qui ont été exclues des études (voir «Interactions» et «Propriétés/Effets»).
  • -Comme il n'existe pas de données correspondantes pour les patients qui ont été exclus des études portant sur le CBNPC, le mélanome, le CCR, le LHc, le CETC, le CRC, le CU et le CG/JOG, le nivolumab ou le nivolumab en association avec d'autres agents thérapeutiquesdevrait être instauré avec prudence chez ces populations de patients, c'est-à-dire après évaluation minutieuse du rapport individuel entre les bénéfices et les risques.
  • +Les patients atteints de maladies auto-immunes, de métastases cérébrales actives (ou métastases leptoméningées), présentant un score de performance du Eastern Cooperative Oncology Group (ECOG) ≥2 ou un score de performance Karnofsky (Karnofsky Performance Score; KPS) <70%, d'une infection par le virus de l'immunodéficience humaine (VIH), avec un dysfonctionnement grave du foie, des reins ou de la moelle osseuse et les patients sous immunosuppresseurs systémiques (y compris les glucocorticoïdes) avant l'inclusion dans l'étude ont été exclus de la participation à toutes les études d'enregistrement du nivolumab ou du nivolumab en association avec d'autres agents thérapeutiques. Ci-dessous sont décrites pour chaque type de tumeur les populations spécifiques qui ont été exclues des études (voir «Interactions» et «Propriétés/Effets»).
  • +Comme il n'existe pas de données correspondantes pour les patients qui ont été exclus des études portant sur le CBNPC, le MPM, le mélanome, le CCR, le LHc, le CETC, le CRC, le CU et le CG/JOG, le nivolumab ou le nivolumab en association avec d'autres agents thérapeutiquesdevrait être instauré avec prudence chez ces populations de patients, c'est-à-dire après évaluation minutieuse du rapport individuel entre les bénéfices et les risques.
  • +Mésothéliome pleural malin
  • +Les patients présentant un mésothéliome primitif péritonéal, péricardique, testiculaire ou vaginal, une pneumopathie interstitielle symptomatique et des métastases cérébrales (à moins d'une résection chirurgicale ou d'une radiothérapie stéréotaxique et sans évolution au cours des 3 mois précédant l'inclusion dans l'étude ou asymptomatiques) ont été exclus de l'étude pivot évaluant le traitement de première ligne du MPM par nivolumab en association avec l'ipilimumab (voir rubriques «Interactions» et «Propriétés/Effets»).
  • +
  • -Les patients présentant les problèmes de santé ou les antécédents médicaux suivants: pneumopathie interstitielle ou fibrose pulmonaire, diverticulite, ulcérations gastro-intestinales symptomatiques, maladie cardiovasculaire non maîtrisable ou significative, présence de liquide péricardique, épanchement pleural ou ascites nécessitant un traitement, ainsi que les patients sous traitement anti-coagulant ou ayant besoin d'un traitement anti-coagulant (sauf traitement inhibiteur de l'agrégation plaquettaire incluant l'aspirine à faibles doses) ont été exclus de l'étude pivot du CG/JOG.
  • +Les patients présentant les problèmes de santé ou les antécédents médicaux suivants: pneumopathie interstitielle ou fibrose pulmonaire, diverticulite, ulcérations gastro-intestinales symptomatiques, maladie cardiovasculaire non maîtrisable ou significative, présence de liquide péricardique, épanchement pleural ou ascites nécessitant un traitement, ainsi que les patients sous traitement anticoagulant ou ayant besoin d'un traitement anticoagulant (sauf traitement inhibiteur de l'agrégation plaquettaire incluant l'aspirine à faibles doses) ont été exclus de l'étude pivot du CG/JOG.
  • -Fréquents Douleurs de l'appareil locomoteure, arthralgie
  • +Fréquents Douleurs de l'appareil locomoteur, arthralgie
  • +Mélanome
  • +CCR, CRC
  • +MPM
  • +Dans l'ensemble de données concernant le nivolumab 3 mg/kg en association avec l'ipilimumab 1 mg/kg dans le MPM (n=300), les effets indésirables les plus fréquents (≥10%) étaient: fatigue (43%), rash (34%), diarrhée (32%), dyspnée (27%), douleurs de l'appareil locomoteur (36%), nausées (24%), perte d'appétit (24%), toux (23%), prurit (21%), constipation (19%), arthralgie (17%), œdème (17%), anémie (15%), douleurs abdominales (15%), vomissements (14%), hypothyroïdie (13%), infection des voies respiratoires supérieures (12%) et pneumonie (10%).
  • +Des effets indésirables de grade 3-4 sont survenus chez 53% des patients et des effets indésirables graves chez 54% des patients. Le traitement a dû être arrêté chez 28% des patients en raison d'effets indésirables. Des effets indésirables d'issue fatale sont survenus chez 3 (1,0%) patients.
  • -Les effets indésirables rapportés dans l'ensemble des données regroupées pour les patients traités par nivolumab 1 mg/kg en association avec l'ipilimumab 3 mg/kg pour le mélanome (n=448), et ceux traités par nivolumab 3 mg/kg en association avec l'ipilimumab 1 mg/kg pour le carcinome à cellules rénales et le cancer colorectal (n=666), sont présentés dans le tableau 3. Ces effets sont présentés par classes de systèmes d'organes et par ordre de fréquence. Les fréquences sont définies comme suit: très fréquents (≥1/10); fréquents (≥1/100 à <1/10); occasionnels (≥1/1'000 à <1/100); rares (≥1/10'000 à <1/1'000); très rares (<1/10'000). Dans chaque groupe de fréquence, les effets indésirables sont présentés par ordre de sévérité décroissante.
  • +Les effets indésirables rapportés dans l'ensemble des données regroupées pour les patients traités par nivolumab 1 mg/kg en association avec l'ipilimumab 3 mg/kg pour le mélanome (n=448), et ceux traités par nivolumab 3 mg/kg en association avec l'ipilimumab 1 mg/kg pour le CCR, le CRC et le MPM (n=1027), sont présentés dans le tableau 3. Ces effets sont présentés par classes de systèmes d'organes et par ordre de fréquence. Les fréquences sont définies comme suit: très fréquents (≥1/10); fréquents (≥1/100 à <1/10); occasionnels (≥1/1'000 à <1/100); rares (≥1/10'000 à <1/1'000); très rares (<1/10'000). Dans chaque groupe de fréquence, les effets indésirables sont présentés par ordre de sévérité décroissante.
  • - Nivolumab 1 mg/kg en association avec l'ipilimumab 3 mg/kg pour le mélanome* Nivolumab 3 mg/kg en association avec l'ipilimumab 1 mg/kg pour le CCR et le CRC*
  • + Nivolumab 1 mg/kg en association avec l'ipilimumab 3 mg/kg pour le mélanome* Nivolumab 3 mg/kg en association avec l'ipilimumab 1 mg/kg pour le CCR*, le CRC* et le MPM**
  • -Fréquents Pneumonie, infection des voies respiratoires supérieures Pneumonie, infection des voies respiratoires supérieures
  • -Occasionnels Bronchite Bronchite, méningite aseptique, infection virale des voies respiratoires supérieures
  • +Très fréquents Infection des voies respiratoires supérieures (16%)
  • +Fréquents Pneumonie, infection des voies respiratoires supérieures Pneumonie, bronchite, infection urinaire
  • +Occasionnels Bronchite Méningite aseptique, infection virale des voies respiratoires supérieures
  • -Fréquents Éosinophilie, diminution du nombre de lymphocytesf Diminution du nombre de lymphocytesf diminution de l'hémoglobinef, anémie, thrombocytopénie, lymphopénie, neutropénie
  • -Occasionnels Diminution du nombre de leucocytesf, diminution de l'hémoglobinef, diminution du nombre de thrombocytesf diminution du nombre de neutrophilesf Éosinophilie, diminution du nombre de thrombocytesf, diminution du nombre de leucocytesf, diminution du nombre de neutrophilesf
  • +Fréquents Éosinophilie, diminution du nombre de lymphocytesf Diminution du nombre de lymphocytesf diminution de l'hémoglobinef, diminution du nombre de neutrophilesf
  • +Occasionnels Diminution du nombre de leucocytesf, diminution de l'hémoglobinef, diminution du nombre de thrombocytesf diminution du nombre de neutrophilesf Éosinophilie, diminution du nombre de thrombocytesf, diminution du nombre de leucocytesf
  • -Inconnus Rejet de greffe d'organe solideh, maladie du greffon contre l'hôte (GVHD)h, lymphohistiocytose hémophagocytaire Rejet de greffe d'organe solide, lymphohistiocytose hémophagocytaire
  • +Inconnus Rejet de greffe d'organe solideh, maladie du greffon contre l'hôte (GVHD)h, lymphohistiocytose hémophagocytaire Rejet de greffe d'organe solideh, lymphohistiocytose hémophagocytaire
  • -Très fréquents Hypothyroïdie (16%) Hypothyroïdie (15%), Hyperthyroïdie (11%)
  • -Fréquents Insuffisance surrénale, hypopituitarisme, hypophysite, hyperthyroïdie, thyroïdite, hyperglycémief Insuffisance surrénaleb, hypophysiteb, thyroïdite, diabète sucréb, hyperglycémief, i, hypoglycémief, i
  • +Très fréquents Hypothyroïdie (16%) Hypothyroïdie (19%)
  • +Fréquents Insuffisance surrénale, hypopituitarisme, hypophysite, hyperthyroïdie, thyroïdite, hyperglycémief Hyperthyroïdie, insuffisance surrénaleb, hypophysiteb, diabète sucréb, hyperglycémief, i, hypoglycémief,b
  • +Rares Thyroïdite
  • -Très fréquents Diminution de l'appétit (16%) Diminution de l'appétit (13%)
  • +Très fréquents Diminution de l'appétit (16%) Diminution de l'appétit (22%)
  • -Occasionnels hyperkaliémief, hypermagnésémief, hypernatrémief, hypercalcémief Acidose métabolique, hypermagnésémief, hypomagnésémief hypocalcémief
  • +Occasionnels hyperkaliémief, hypermagnésémief, hypernatrémief, hypercalcémief Acidose métabolique, hypermagnésémief, hypomagnésémief hypernatrémief, hypocalcémief
  • -Très fréquents Céphalées (11%)
  • -Fréquents Neuropathie périphérique, vertiges Céphalées, neuropathie périphérique, vertiges, paresthésie
  • -Occasionnels Syndrome de Guillain-Barré, polyneuropathie, névrite, neuropathie péronière, neuropathie auto-immune (y compris parésie des nerfs faciaux et abducens), encéphaliteb Polyneuropathie, neuropathie auto-immune (y compris parésie des nerfs faciaux et abducens), myasthénie graveb, encéphalite
  • +Très fréquents Céphalées (11%) Céphalées (15%), vertiges (11%)
  • +Fréquents Neuropathie périphérique, vertiges Neuropathie périphérique, paresthésie
  • +Occasionnels Syndrome de Guillain-Barré, polyneuropathie, névrite, neuropathie péronière, neuropathie auto-immune (y compris parésie des nerfs faciaux et abducens), encéphaliteb Polyneuropathie, parésie des nerfs faciaux, myasthénie graveb, encéphalitea
  • -Occasionnels Arythmie (incluant arythmie ventriculaire)a, myocarditea,c, fibrillation auriculaire Arythmie (incluant arythmie ventriculaire)a, myocarditeb
  • +Occasionnels Arythmie (incluant arythmie ventriculaire)a, myocarditea,c, fibrillation auriculaire Arythmie, myocarditeb
  • -Très fréquents Dyspnée (10%)
  • -Fréquents Pneumoniea,b, toux Pneumonie, dyspnée, épanchement pleural, toux
  • +Très fréquents Dyspnée (10%) Toux (27%), dyspnée (24%)
  • +Fréquents Pneumoniea,b, toux Pneumoniea, épanchement pleurala
  • -Très fréquents Colite (15%)a, diarrhées (43%), vomissements (14%), nausées (26%), douleurs abdominales (13%), élévation des lipases (41%)f, élévation de l'amylase (26%)f Diarrhées (26%), vomissements (10%), nausées (19%), élévation des lipases (19%)f, élévation de l'amylase (11%)f
  • -Fréquents Stomatite, pancréatite, constipation, sécheresse buccale Colite, stomatite, pancréatite, douleurs abdominales, constipation, sécheresse buccale, dyspepsie
  • -Occasionnels Perforation intestinalea, gastrite, duodénite Gastrite
  • +Très fréquents Colite (15%)a, diarrhées (43%), vomissements (14%), nausées (26%), douleurs abdominales (13%), élévation des lipases (41%)f, élévation de l'amylase (26%)f Diarrhées (37%)j, vomissements (19%), nausées (27%), élévation des lipases (17%)f, élévation de l'amylase (11%)f, constipation (18%), douleurs abdominales (19%)
  • +Fréquents Stomatite, pancréatite, constipation, sécheresse buccale Stomatite, pancréatite, sécheresse buccale, dyspepsie, gastrite, élévation de l'amylasef
  • +Occasionnels Perforation intestinalea, gastrite, duodénite
  • -Très fréquents Rash (52%)d, prurit (36%) Rash (31%)d, prurit (26%)
  • -Fréquents Vitiligo, sécheresse cutanée, érythème, alopécie, urticaire Sécheresse cutanée, érythème, urticaire
  • -Occasionnels Psoriasis Syndrome de Stevens-Johnson, vitiligo, érythème multiforme alopécie, psoriasis
  • -Rares Nécrolyse épidermique toxiquea,c, syndrome de Stevens-Johnsona,c
  • +Très fréquents Rash (52%)d, prurit (36%) Rash (37%)d, prurit (29%)
  • +Fréquents Vitiligo, sécheresse cutanée, érythème, alopécie, urticaire Sécheresse cutanée, érythème, alopécie
  • +Occasionnels Psoriasis Syndrome de Stevens-Johnson, érythème multiforme, psoriasis
  • +Rares Nécrolyse épidermique toxiquea,c, syndrome de Stevens-Johnsona,c Vitiligo
  • -Très fréquents Arthralgie (11%) Douleurs de l'appareil locomoteur (14%)e, arthralgie (12%)
  • -Fréquents Douleurs de l'appareil locomoteure Arthrite
  • -Occasionnels Spondylarthropathie, syndrome de Sjögren, arthrite, myopathie, myosite (incluant polymyosite)a,c, rhabdomyolysea,d Pseudo-polyarthrite rhizomélique, myosite (incluant polymyosite), rhabdomyolyse, raideur articulaire, myosite nécrosante
  • +Très fréquents Arthralgie (11%) Douleurs de l'appareil locomoteur (39%)e, arthralgie (23%)
  • +Fréquents Douleurs de l'appareil locomoteur Arthrite
  • +Occasionnels Spondylarthropathie, syndrome de Sjögren, arthrite, myopathie, myosite (incluant polymyosite)a,c, rhabdomyolysea,d Rhabdomyolyse, myosite, raideur articulaire
  • +Rares Myosite nécrosante
  • -Fréquents Insuffisance rénale (y compris lésion rénale aiguë)a,b, élévation de la créatininef Insuffisance rénale (y compris lésion rénale aiguë)b, élévation de la créatininef
  • -Occasionnels Néphrite tubulo-interstitielle Néphrite tubulo-interstitielle
  • +Fréquents Insuffisance rénale (y compris lésion rénale aiguë)a,b, élévation de la créatininef Insuffisance rénaleb, élévation de la créatininef, lésion rénale aiguë
  • +Occasionnels Néphrite tubulo-interstitielle
  • +Rares Néphrite tubulo-interstitielle
  • -Très fréquents Fatigue (46%), pyrexie (19%) Fatigue (43%), pyrexie (15%)
  • -Fréquents Œdèmes (incluant œdème périphérique), douleurs Œdèmes (incluant œdème périphérique), douleurs, douleurs thoraciques, syndrome grippal, frissons
  • +Très fréquents Fatigue (46%), pyrexie (19%) Fatigue (53%), pyrexie (25%), œdèmes (15%)
  • +Fréquents Œdèmes (incluant œdème périphérique), douleurs Douleurs, douleurs thoraciques, syndrome pseudo-grippal, frissons
  • -* Nivolumab en association avec l'ipilimumab pour les 4 premières doses, suivi par une monothérapie au nivolumab.
  • +* Mélanome, CCR et CRC: nivolumab en association avec l'ipilimumab pour les 4 premières doses, suivi par une monothérapie au nivolumab.
  • +** MPM: nivolumab toutes les 2 semaines en association avec l'ipilimumab toutes les 6 semaines
  • +
  • -d «Rash» est un terme composite incluant rash macropapulaire, rash érythémateux, rash prurigineux, rash folliculaire, rash maculaire, rash morbiliforme, rash papulaire, rash pustuleux, rash papulosquameux, rash vésiculaire, rash général, rash exfoliatif, dermatite, dermatite acnéiforme, dermatite allergique, dermatite atopique, dermatite bulleuse, dermatite exfoliative, dermatite psoriasiforme et exanthème médicamenteux.
  • -e Douleurs de l'appareil locomoteur est un terme composite qui inclut douleur dorsale, douleur osseuse, douleur musculo-squelettique à la poitrine, troubles musculo-squelettiques, myalgie, douleur à la nuque, douleur aux extrémités, douleur à la colonne vertébrale.
  • +d «Rash» est un terme composite incluant rash macropapulaire, rash érythémateux, rash prurigineux, rash folliculaire, rash maculaire, rash morbiliforme, rash papulaire, rash pustuleux, rash papulosquameux, rash vésiculaire, rash général, rash exfoliatif, dermatite, dermatite acnéiforme, dermatite allergique, dermatite atopique, dermatite bulleuse, dermatite exfoliative, dermatite psoriasiforme et exanthème médicamenteux. Pour les effets indésirables regroupés dans le CCR, le CRC et le MPM, les termes additionnels suivants ont été mentionnés: acné, eczéma dishidrotique, eczéma, éruption fixe, érythrodyesthésie palmo-plantaire, exfoliation cutanée, réaction cutanée, toxicité cutanée, éruption cutanée toxique et urticaire.
  • +e Douleurs de l'appareil locomoteur est un terme composite qui inclut douleur dorsale, douleur osseuse, douleur musculo-squelettique à la poitrine, troubles musculo-squelettiques, myalgie, douleur à la nuque, douleur aux extrémités, douleur à la colonne vertébrale. Pour les effets indésirables regroupés dans le CCR, le CRC et le MPM, les termes additonnels suivants ont été inclus: douleurs au flanc, raideur musculosquelettique, douleurs thoraciques d'origine non cardiaque et pseudopolyarthrite rhizomélique.
  • -i Les fréquences de l'hyperglycémie et de l'hypoglycémie sont fondées sur l'étude CA209-214.
  • +i Les fréquences de l'hyperglycémie et de l'hypoglycémie sont fondées sur les études CA209-214 et CA209-743.
  • +j La diarrhée est un terme composite incluant colite, colite auto-immune, colite ulcéreuse, entérite et entérocolite.
  • -Fréquents Colite, gastrite, douleurs dans la bouche, sécheresse de la bouche, hémorrhoïdes
  • +Fréquents Colite, gastrite, douleurs dans la bouche, sécheresse de la bouche, hémorroïdes
  • -d La thyroïdite inclut la thyorïdite aiguë
  • +d La thyroïdite inclut la thyroïdite aiguë
  • -f Neuropathie périphérique est un terme composite qui inclut disesthésie, hypoesthésie, hyperesthésie, neuropathie motrice périphérique, neuropathie sensotivomotrice périphérique, neuropathie périphérique sensitive
  • -g La sécheresse des yeux inclut la xéropthalmie
  • +f Neuropathie périphérique est un terme composite qui inclut dysesthésie, hypoesthésie, hyperesthésie, neuropathie motrice périphérique, neuropathie sensitivo-motrice périphérique, neuropathie périphérique sensitive
  • +g La sécheresse des yeux inclut la xérophtalmie
  • -i L'hypertension inclut l'augmention de la pression artérielle, l'augmentation de la pression artérielle systolique
  • +i L'hypertension inclut l'augmentation de la pression artérielle, l'augmentation de la pression artérielle systolique
  • -m Inflammation des muqueuses est un terme compositie qui inclut stomatite, aphte, ulcération buccale.
  • -n Les douleurs abdominales inclut l'inconfort abdominal, les douleurs abdominales supérieures et inférieures
  • +m Inflammation des muqueuses est un terme composite qui inclut stomatite, aphte, ulcération buccale.
  • +n Les douleurs abdominales incluent l'inconfort abdominal, les douleurs abdominales supérieures et inférieures
  • -s Douleurs musculo-squelettiques est un terme compositie qui inclut douleurs dorsales, douleurs osseuses, douleurs musculo-squelettiques dans la poitrine, gêne musculo-squelettique, myalgie, douleurs cervicales, douleurs dans les membres, douleurs dans le rachis
  • +s Douleurs musculo-squelettiques est un terme composite qui inclut douleurs dorsales, douleurs osseuses, douleurs musculo-squelettiques dans la poitrine, gêne musculo-squelettique, myalgie, douleurs cervicales, douleurs dans les membres, douleurs dans le rachis
  • -Chez les patients atteints du CCR ou CRC traités par nivolumab 3 mg/kg en association avec l'ipilimumab 1 mg/kg, l'incidence de pneumonies, dont la pneumopathie interstitielle, a été de 6,0% (40/666). Des cas de grade 1, 2 et 3 ont été rapportés chez 2,1% (14/666), 2,9% (19/666) et 1,1% (7/666) des patients. Aucun cas de grade 4 ou 5 n'a été rapporté. Le délai médian jusqu'à l'apparition était de 2,6 mois (entre 0,25 et 20,6). Le nivolumab en association avec l'ipilimumab a dû être arrêté définitivement chez 13 patients (2,0%). 23 patients ont reçu des doses élevées de corticostéroïdes (au moins 40 mg de prednisone ou équivalent) avec une dose initiale médiane de 1,0 mg/kg (entre 0,5 et 23,9) sur une durée totale médiane de 2,4 semaines (entre 0,6 et 14,0). Les symptômes ont complètement disparu chez 36 patients (90,0%) après un délai médian de 6,1 semaines (entre 0,7 et 85,9+).
  • -Chez les patients atteints du CCR traités par nivolumab 240 mg en asssociation avec le cabozantinib 40 mg, l'incidence de pneumopathies inflammatoires, dont la pneumopathie interstitielle, était de 5,6% (18/320). Des cas de grade 2 et 3 ont été rapportés chez 1,9% (6/320) et 1,6% (5/320) des patients. Aucun cas de grade 4 ou 5 n'a été rapporté. Le délai médian jusqu'à l'apparition était de 26,9 semaines (entre 12,3 et 74,3 semaines). Le nivolumab en association avec le cabozantinib a dû être arrêté définitivement chez 8 patients (2,5%). 10 patients ont reçu des doses élevées de corticoïdes (au moins 40 mg de prednisone ou équivalent) avec une dose initiale médiane de 1,3 mg/kg (entre 0,7 et 12,9) sur une durée totale médiane de 2,6 semaines (entre 0,4 et 7,9). Les symptômes ont complètement disparu chez 14 patients (77,8%) après un délai médian de 7,5 semaines (entre 2,1+ et 60,7+).
  • +Chez les patients atteints du CCR, du CRC et du MPM traités par nivolumab 3 mg/kg en association avec l'ipilimumab 1 mg/kg, l'incidence de pneumonies de tous grades, dont la pneumonie interstitielle a été de 7,1% (69/966). Des cas de grade 3-4 ont été rapportés chez 1,4% (14/966) des patients. Deux cas de grade 5 ont été rapportés dans le cadre de ces études.
  • +Le délai médian jusqu'à l'apparition était de 11,6 semaines (entre 1,1 et 90,3). Le nivolumab en association avec l'ipilimumab a dû être arrêté définitivement chez 22 patients (2,3%). 38 patients ont reçu des doses élevées de corticostéroïdes (au moins 40 mg de prednisone ou équivalent) avec une dose initiale médiane de 1,01 mg/kg (entre 0,5 et 23,9) pendant une durée totale médiane de 2,7 semaines (entre 0,6 et 14,0). Les symptômes ont complètement disparu chez 59 patients (85,5%) après un délai médian de 5,9 semaines (entre 0,1+ et 113,1+).
  • +Chez les patients atteints du CCR traités par nivolumab 240 mg en association avec le cabozantinib 40 mg, l'incidence de pneumopathies inflammatoires, dont la pneumopathie interstitielle, était de 5,6% (18/320). Des cas de grade 2 et 3 ont été rapportés chez 1,9% (6/320) et 1,6% (5/320) des patients. Aucun cas de grade 4 ou 5 n'a été rapporté. Le délai médian jusqu'à l'apparition était de 26,9 semaines (entre 12,3 et 74,3 semaines). Le nivolumab en association avec le cabozantinib a dû être arrêté définitivement chez 8 patients (2,5%). 10 patients ont reçu des doses élevées de corticoïdes (au moins 40 mg de prednisone ou équivalent) avec une dose initiale médiane de 1,3 mg/kg (entre 0,7 et 12,9) sur une durée totale médiane de 2,6 semaines (entre 0,4 et 7,9). Les symptômes ont complètement disparu chez 14 patients (77,8%) après un délai médian de 7,5 semaines (entre 2,1+ et 60,7+).
  • -Chez les patients atteints du CCR ou CRC traités par nivolumab 3 mg/kg en association avec l'ipilimumab 1 mg/kg, l'incidence de diarrhées et de colites a été de 27,2% (181/666). Des cas de grade 1, 2 et 3 ont été rapportés chez 13,2% (88/666), 9,3% (62/666) et 4,7% (31/666) des patients. Aucun cas de grade 4 ou 5 n'a été rapporté. Le délai médian jusqu'à l'apparition était de 1,3 mois (entre 0,0 et 24,7). Le nivolumab en association avec l'ipilimumab a dû être arrêté définitivement chez 24 patients (3,6%). 44 patients ont reçu des doses élevées de corticostéroïdes (au moins 40 mg de prednisone ou équivalent) avec une dose initiale médiane de 1,0 mg/kg (entre 0,3 et 10,1) sur une durée totale médiane de 3,1 semaines (entre 0,1 et 99,6). Les symptômes ont complètement disparu chez 165 patients (92,2%) après un délai médian de 2,3 semaines (entre 0,1 et 103,1+).
  • -Chez les patients atteints du CCR traités par nivolumab 240 mg en association avec le cabozantinib 40 mg, l'incidence de diarrhées, de colites, de défécation fréquente ou d'entérites a été de 59,1% (189/320). Des cas de grade 2 et 3 ont été rapportés chez 25,6% (82/320) et 6,3% (20/320) des patients. Des cas de grade 4 ont été rapportés chez 0,6% (2/320) des patients. Aucun cas de grade 5 n'a été rapporté. Le délai médian jusqu'à l'apparition était de 12,9 semaines (entre 0,3 et 110,9 semaines). Le nivolumab en association avec le cabozantinib a dû être arrêté définitivement chez 8 patients (2,5%). 16 patients ont reçu des doses élevées de corticoïdes (au moins 40 mg de prednisone ou équivalent) avec une dose initiale médiane de 0,8 mg/kg (entre 0,4 et 4,6) sur une durée totale médiane de 1,9 semaines (entre 0,1 et 8,6). Les symptômes ont complètement disparu chez 143 patients (76,1%) après un délai médian de 12,9 semaines (entre 0,1 et 139,7+).
  • +Chez les patients atteints du CCR, du CRC et du MPM traités par nivolumab 3 mg/kg en association avec l'ipilimumab 1 mg/kg, l'incidence de diarrhées et de colites de tous grades a été de 37,5% (362/966). Des cas de grade 3-4 ont été rapportés chez 5,7% (55/966) des patients. Aucun cas de grade 5 n'a été rapporté. Le délai médian jusqu'à l'apparition était de 8,2 semaines (entre 0,1 et 96,0). Le nivolumab en association avec l'ipilimumab a dû être arrêté définitivement chez 40 patients (4,1%). 68 patients ont reçu des doses élevées de corticostéroïdes (au moins 40 mg de prednisone ou équivalent) avec une dose initiale médiane de 0,97 mg/kg (entre 0,3 et 15,6) pendant une durée totale médiane de 2,8 semaines (entre 0,1 et 99,6). Les symptômes ont complètement disparu chez 331 patients (92,5%) après un délai médian de 2,1 semaines (entre 0,1 et 113,0+).
  • +Chez les patients atteints du CCR traités par nivolumab 240 mg en association avec le cabozantinib 40 mg, l'incidence de diarrhées, de colites, de défécation fréquente ou d'entérites a été de 59,1% (189/320). Des cas de grade 2 et 3 ont été rapportés chez 25,6% (82/320) et 6,3% (20/320) des patients. Des cas de grade 4 ont été rapportés chez 0,6% (2/320) des patients. Aucun cas de grade 5 n'a été rapporté. Le délai médian jusqu'à l'apparition était de 12,9 semaines (entre 0,3 et 110,9 semaines). Le nivolumab en association avec le cabozantinib a dû être arrêté définitivement chez 8 patients (2,5%). 16 patients ont reçu des doses élevées de corticoïdes (au moins 40 mg de prednisone ou équivalent) avec une dose initiale médiane de 0,8 mg/kg (entre 0,4 et 4,6) sur une durée totale médiane de 1,9 semaine (entre 0,1 et 8,6). Les symptômes ont complètement disparu chez 143 patients (76,1%) après un délai médian de 12,9 semaines (entre 0,1 et 139,7+).
  • -Chez les patients atteints du CCR ou CRC traités par nivolumab 3 mg/kg en association avec l'ipilimumab 1 mg/kg, l'incidence de modifications des valeurs hépatiques a été de 18,6% (124/666). Des cas de grade 1, 2, 3 et 4 ont été rapportés chez 5,4% (36/666), 4,5% (30/666), 7,4% (49/666) et 1,4% (9/666) des patients. Aucun cas de grade 5 n'a été rapporté. Le délai médian jusqu'à l'apparition était de 2,0 mois (entre 0,3 et 26,8). Le nivolumab en association avec l'ipilimumab a dû être arrêté définitivement chez 29 patients (4,4%). 45 patients ont reçu des doses élevées de corticostéroïdes (au moins 40 mg de prednisone ou équivalent) avec une dose initiale médiane de 1,2 mg/kg (entre 0,4 et 12,5) sur une durée totale médiane de 4,0 semaines (entre 0,1 et 32,4). Les symptômes ont complètement disparu chez 103 patients (83,1%) après un délai médian de 6,1 semaines (entre 0,1+ et 82,9+).
  • +Chez les patients atteints du CCR, du CRC ou du MPM traités par nivolumab 3 mg/kg en association avec l'ipilimumab 1 mg/kg, l'incidence de modifications des valeurs hépatiques de tous grades a été de 21,0% (203/966). Des cas de grade 3-4 ont été rapportés chez 8,3% (80/966) des patients. Aucun cas de grade 5 n'a été rapporté. Le délai médian jusqu'à l'apparition était de 7,9 semaines (entre 0,1 et 116,7). Le nivolumab en association avec l'ipilimumab a dû être arrêté définitivement chez 40 patients (4,1%). 60 patients ont reçu des doses élevées de corticostéroïdes (au moins 40 mg de prednisone ou équivalent) avec une dose initiale médiane de 1,19 mg/kg (entre 0,4 et 13,5) pendant une durée totale médiane de 4,0 semaines (entre 0,1 et 61,0). Les symptômes ont complètement disparu chez 162 patients (79,8%) après un délai médian de 5,9 semaines (entre 0,1+ et 82,9+).
  • -Dans l'étude clinique incluant des patients atteints de CCR non traité, qui ont reçu du nivolumab en association avec le cabozantinib, des événements d'élévation des ALAT (10,1%) et des ASAT (8,2%) de grade 3 et 4 ont été observés plus fréquemment que par rapport au nivolumab en monothérapie chez les patients atteints de CCR avancé. Le délai médian jusqu'à l'apparition d'élévation des ALAT ou des ASAT de grade ≥2 était de 10,1 semaines (entre 2 et 106,6 semaines, n=85). 26% ont reçu des doses élevées de corticoïdes sur une durée totale médiane de 1,4 semaines (entre 0,9 et 75,3 semaines). Chez les patients présentant une élévation des ALAT ou des ASAT, les valeurs ont reculé au grade 0 ou 1 pour 91% des cas. Le délai médian jusqu'à la résolution était de 2,3 semaines (entre 0,4 et 108,1+ semaines). Chez 45 patients présentant une élévation des ALAT ou des ASAT de grade ≥2 et chez lesquels le traitement par nivolumab (n=10) ou par cabozantinib (n=10) ou par les deux médicaments (n=25) a été repris, des élévations des ALAT ou des ASAT de grade ≥2 sont réapparues chez 3 patients qui ont reçu le nivolumab, chez 4 patients qui ont reçu le cabozantinib et chez 8 patients qui ont reçu à la fois le nivolumab et le cabozantinib.
  • +Dans l'étude clinique incluant des patients atteints de CCR non traité, qui ont reçu du nivolumab en association avec le cabozantinib, des événements d'élévation des ALAT (10,1%) et des ASAT (8,2%) de grade 3 et 4 ont été observés plus fréquemment que par rapport au nivolumab en monothérapie chez les patients atteints de CCR avancé. Le délai médian jusqu'à l'apparition d'élévation des ALAT ou des ASAT de grade ≥2 était de 10,1 semaines (entre 2 et 106,6 semaines, n=85). 26% ont reçu des doses élevées de corticoïdes sur une durée totale médiane de 1,4 semaine (entre 0,9 et 75,3 semaines). Chez les patients présentant une élévation des ALAT ou des ASAT, les valeurs ont reculé au grade 0 ou 1 pour 91% des cas. Le délai médian jusqu'à la résolution était de 2,3 semaines (entre 0,4 et 108,1+ semaines). Chez 45 patients présentant une élévation des ALAT ou des ASAT de grade ≥2 et chez lesquels le traitement par nivolumab (n=10) ou par cabozantinib (n=10) ou par les deux médicaments (n=25) a été repris, des élévations des ALAT ou des ASAT de grade ≥2 sont réapparues chez 3 patients qui ont reçu le nivolumab, chez 4 patients qui ont reçu le cabozantinib et chez 8 patients qui ont reçu à la fois le nivolumab et le cabozantinib.
  • -Chez les patients atteints du CCR ou CRC traités par nivolumab 3 mg/kg en association avec l'ipilimumab 1 mg/kg, l'incidence de néphrite et d'insuffisance rénale a été de 8,1% (54/666). Des cas de grade 1, 2, 3 et 4 ont été rapportés chez 3,2% (21/666), 3,6% (24/666) 0,6% (4/666) et 0,8% (5/666) des patients. Aucun cas de grade 5 n'a été rapporté. Le délai médian jusqu'à l'apparition était de 2,1 mois (entre 0,0 et 16,1). Le nivolumab en association avec l'ipilimumab dû être arrêté définitivement chez 9 patients (1,4%). 15 patients ont reçu des doses élevées de corticostéroïdes (au moins 40 mg de prednisone ou équivalent) avec une dose initiale médiane de 0,7 mg/kg (entre 0,3 et 1,9) sur une durée totale médiane de 2,1 semaines (entre 0,6 et 25,7). Les symptômes ont complètement disparu chez 42 patients (77,8%) après un délai médian de 11,5 semaines (entre 0,1+ et 106,0+).
  • +Chez les patients atteints du CCR, du CRC ou du MPM traités par nivolumab 3 mg/kg en association avec l'ipilimumab 1 mg/kg, l'incidence de néphrite ou d'insuffisance rénale de tous grades a été de 14,8% (143/966). Des cas de grade 3-4 ont été rapportés chez 2,4% (23/966) des patients. Aucun cas de néphrite et d'insuffisance rénale de grade 5 n'a été rapporté. Le délai médian jusqu'à l'apparition était de 12 semaines (entre 0,1 et 102,1). Le nivolumab en association avec l'ipilimumab dû être arrêté définitivement chez 14 patients (1,4%). 23 patients ont reçu des doses élevées de corticostéroïdes (au moins 40 mg de prednisone ou équivalent) avec une dose initiale médiane de 0,94 mg/kg (entre 0,3 et 2,5) pendant une durée totale médiane de 4,1 semaines (entre 0,6 et 25,7). Les symptômes ont complètement disparu chez 107 patients (74,8%) après un délai médian de 6,1 semaines (entre 0,1+ et 126,4+).
  • -Chez les patients atteints du CCR ou CRC traités par nivolumab 3 mg/kg en association avec l'ipilimumab 1 mg/kg, l'incidence de troubles thyroïdiens a été de 26,0% (173/666). Des cas de troubles thyroïdiens de grade 1, 2 et 3 ont été rapportés chez 9,6% (64/666), 14,9% (99/666) et 1,5% (10/666) des patients. Une hypophysite est survenue chez 3,8% (25/666) des patients. Des cas de grade 1, 2, 3 et 4 ont été rapportés chez 0,6% (4/666), 0,6% (4/666), 2,3% (15/666) et 0,3% (2/666) des patients. Des cas d'hypopituitarisme de grade 2 ont été rapportés chez 0,5% (3/666) des patients. Des cas d'insuffisance surrénale, y compris l'insuffisance corticosurrénale secondaire, de grade 1, 2, 3 et 4 sont survenus chez 0,2% (1/666), 3,2% (21/666), 1,8% (12/666) et 0,3% (2/666) des patients, respectivement. Des cas de diabète sucré (1 de grade 1, 3 de grade 2, 2 de grade 3 et 3 de grade 4), y compris le diabète sucré de type 1, et d'acidocétose diabétique (1 de grade 4) ont été rapportés. Aucune endocrinopathie de grade 5 n'a été rapportée. Le délai médian jusqu'à l'apparition de ces endocrinopathies était de 2,0 mois (entre 0,0 et 22,3). Le nivolumab en association avec l'ipilimumab a dû être arrêté chez 19 patients (2,9%). 51 patients ont reçu des doses élevées de corticostéroïdes (au moins 40 mg de prednisone ou équivalent) avec une dose initiale de 1,0 mg/kg (entre 0,4 et 4,3) sur une durée totale médiane de 2,1 semaines (entre 0,1 et 24,3). Les symptômes ont complètement disparu chez 88 patients (42,3%) en 0,4-130,3+ semaines.
  • +Chez les patients atteints du CCR, du CRC ou du MPM traités par nivolumab 3 mg/kg en association avec l'ipilimumab 1 mg/kg, l'incidence de troubles thyroïdiens de tous grades a été de 25,1% (242/966). Des cas de troubles thyroïdiens de grade 3-4 ont été rapportés chez 1,1% (11/966) des patients. Des troubles hypophysaires de tous grades sont survenus chez 4,5% (43/966) des patients. Des cas d'hypophysite de grade 3-4 ont été rapportés chez 1,8% (17/966) des patients et des cas d'hypopituitarisme de grade 3-4 ont été rapportés chez 0,3% (3/966) des patients. Des cas d'insuffisance surrénale de tous grades sont survenus chez 4,9% (47/966) des patients. Des cas d'insuffisance surrénale de grade 3-4 ont été rapportés chez 1,3% (13/966) des patients et des cas d'insuffisance surrénale secondaire de grade 3-4 ont été rapportés chez 0,3% (3/966) des patients, respectivement. Des cas de diabète sucré, y compris des diabètes sucrés de type 1 et desacidocétoses diabétiques , de tous grades ont été rapportés chez 1,8% (17/966) des patients. Aucune endocrinopathie de grade 5 n'a été rapportée.
  • +Le délai médian jusqu'à l'apparition de ces endocrinopathies était de 9,0 semaines (entre 0,1 et 97,1). Le nivolumab en association avec l'ipilimumab a dû être arrêté chez 17 patients (1,8%). 56 patients ont reçu des doses élevées de corticostéroïdes (au moins 40 mg de prednisone ou équivalent) avec une dose initiale de 0,99 mg/kg (entre 0,4 et 4,3) pendant une durée totale médiane de 2,1 semaines (entre 0,1 et 24,3). Les symptômes ont complètement disparu chez 113 patients (39,0%) en 0,3-144,1+ semaines.
  • -Chez les patients atteints du CCR ou CRC traités par nivolumab 3 mg/kg en association avec l'ipilimumab 1 mg/kg, l'incidence de rash a été de 45,2% (301/666). Des cas de grade 1, 2 et 3 ont été rapportés chez 28,5% (190/666), 12,9% (86/666) et 3,8% (25/666) des patients. Aucun cas de grade 4 ou 5 n'a été rapporté. Le délai médian jusqu'à l'apparition était de 1,0 mois (entre: 0,0 et 17,9). Le nivolumab en association avec l'ipilimumab a dû être arrêté définitivement chez 8 patients (1,2%). 23 patients ont reçu des doses élevées de corticostéroïdes (au moins 40 mg de prednisone ou équivalent) avec une dose initiale médiane de 0,8 mg/kg (plage: 0,3 à 2,5) sur une durée totale médiane de 2,1 semaine (entre: 0,1 et 100,3). Les symptômes ont complètement disparu chez 216 patients (72,0%) après un délai médian de 11,1 semaines (entre: 0,1 et 126,7+).
  • +Chez les patients atteints du CCR, du CRC ou du MPM traités par nivolumab 3 mg/kg en association avec l'ipilimumab 1 mg/kg, l'incidence de rash de tous grades a été de 52,0% (502/966). Des cas de grade 3-4 ont été rapportés chez 4,1% (40/966) des patients. Aucun cas de grade 5 n'a été rapporté. Le délai médian jusqu'à l'apparition était de 5 semaines (entre 0,1 et 103,7). Le nivolumab en association avec l'ipilimumab a dû être arrêté définitivement chez 10 patients (1,0%). 33 patients ont reçu des doses élevées de corticostéroïdes (au moins 40 mg de prednisone ou équivalent) avec une dose initiale médiane de 0,82 mg/kg (entre 0,3 et 2,5) pendant une durée totale médiane de 2,1 semaines (entre 0,1 et 100,3). Les symptômes ont complètement disparu chez 348 patients (69,5%) après un délai médian de 12,1 semaines (entre 0,1 et 146,4+).
  • -Un cas d'encéphalite (grade 4) est survenu chez un patient atteint de mélanome (0,2%) traité par nivolumab 1 mg/kg en association avec l'ipilimumab 3 mg/kg après 51 jours d'exposition. L'événement a été résolu après l'administration de corticostéroïdes à forte dose. Parmi les patients ayant reçu nivolumab 3 mg/kg en association avec l'ipilimumab 1 mg/kg, un cas d'encéphalite (grade 3) est survenu chez un patient atteint de CRC (0,2%) après 15 jours d'exposition. L'événement a été résolu après l'administration de corticostéroïdes à forte dose et d'infliximab. Parmi les patients ayant reçu nivolumab 240 mg toutes les 2 semaines en association avec le cabozantinib 40 mg une fois par jour un cas d'encéphalite (grade 1) est survenu chez un patient atteint de CCR (0,3%) après 24 jours d'exposition et un cas d'encéphalite de grade 3 est survenu chez un patient atteint de CCR (0,3%) après 270 jours d'exposition. L'événement de grade 1 n'a pas nécessité de traitement et l'événement de grade 3 a été résolu après l'administration de médicaments immunomodulateurs.
  • +Un cas d'encéphalite (grade 4) est survenu chez un patient atteint de mélanome (0,2%) traité par nivolumab 1 mg/kg en association avec l'ipilimumab 3 mg/kg après 51 jours d'exposition. L'événement a été résolu après l'administration de corticostéroïdes à forte dose.
  • +Chez les patients atteints du CCR, du CRC et du MPM traités par nivolumab 3 mg/kg en association avec l'ipilimumab 1 mg/kg, l'incidence d'encéphalite (y compris l'encéphalite limbique) de tous grades a été de 0,5% (5/966). Des cas de grade 3-4 ont été rapportés chez 0,3% (3/966) des patients. Deux patients (2/1027) atteints du MPM sont décédés d'une encéphalite (grade 5).
  • +Parmi les patients ayant reçu nivolumab 240 mg toutes les 2 semaines en association avec le cabozantinib 40 mg une fois par jour un cas d'encéphalite (grade 1) est survenu chez un patient atteint de CCR (0,3%) après 24 jours d'exposition et un cas d'encéphalite de grade 3 est survenu chez un patient atteint de CCR (0,3%) après 270 jours d'exposition. L'événement de grade 1 n'a pas nécessité de traitement et l'événement de grade 3 a été résolu après l'administration de médicaments immunomodulateurs.
  • -Chez les patients atteints du CCR ou CRC traités par nivolumab 3 mg/kg en association avec l'ipilimumab 1 mg/kg, l'incidence d'hypersensibilité/de réactions à la perfusion a été de 3,9% (26/666); il s'agissait dans tous les cas de grade 1 ou 2. Des cas de grade 2 ont été rapportés chez 2,6% (17/666) des patients. Aucun cas de grade 3-5 n'a été rapporté.
  • +Chez les patients atteints du CCR, du CRC et du MPM traités par nivolumab 3 mg/kg en association avec l'ipilimumab 1 mg/kg, l'incidence d'hypersensibilité/de réactions à la perfusion de tous grades été de 7,0% (68/966). Des cas de grade 3-4 ont été rapportés chez 0,5% (5/966) des patients. Aucun cas de grade 5 n'a été rapporté. Le délai médian jusqu'à l'apparition a été de 3,1 semaines (entre 0,1 et 98,1). Le nivolumab en association avec l'ipilimumab a dû être arrêté définitivement chez 5 patients (0,5%). 10 patients ont reçu des doses élevées de corticostéroïdes (au moins 40 mg de prednisone ou équivalent) avec une dose initiale médiane de 1,56 mg/kg (entre 0,5 et 16,5) pendant une durée totale médiane de 0,1 semaine (entre 0,1 et 0,3). Les symptômes ont complètement disparu chez 62 patients (91,2%) après un délai médian de 0,1 semaine (entre 0,1 et 111,7+).
  • -Chez les patients traités par nivolumab en association avec ipilimumab et chez lesquels il a été possible d'évaluer la présence d'anticorps anti-nivolumab, l'incidence d'anticorps anti-nivolumab était de 23,8-26% lorsque 3 mg/kg de nivolumab suivi par 1 mg/kg d'ipilimumab étaient administrés toutes les 3 semaines et de 37,8% lorsque 1 mg/kg de nivolumab suivi par 3 mg/kg d'ipilimumab étaient administrés toutes les 3 semaines. L'incidence des anticorps neutralisants contre le nivolumab était de 0,5-1,9% lorsque 3 mg/kg de nivolumab suivi par 1 mg/kg d'ipilimumab étaient administrés toutes les 3 semaines et de 4,6% lorsque 1 mg/kg de nivolumab suivi par 3 mg/kg d'ipilimumab étaient administrés toutes les 3 semaines. Chez les patients chez lesquels il a été possible d'évaluer la présence d'anticorps anti-ipilimumab, l'incidence d'anticorps anti-ipilimumab était de 4,1-8,4% et l'incidence des anticorps neutralisants contre le ipilimumab était de 0-0,3%.
  • +Chez les patients traités par nivolumab en association avec ipilimumab et chez lesquels il a été possible d'évaluer la présence d'anticorps anti-nivolumab, l'incidence d'anticorps anti-nivolumab était de 23,8-26% lorsque 3 mg/kg de nivolumab suivi par 1 mg/kg d'ipilimumab étaient administrés toutes les 3 semaines, de 25,7% lorsque le nivolumab 3 mg/kg était administré toutes les 2 semaines et l'ipilimumab 1 mg/kg toutes les 6 semaines, et de 37,8% lorsque 1 mg/kg de nivolumab suivi par 3 mg/kg d'ipilimumab étaient administrés toutes les 3 semaines. L'incidence des anticorps neutralisants contre le nivolumab était de 0,5-1,9% lorsque 3 mg/kg de nivolumab suivi par 1 mg/kg d'ipilimumab étaient administrés toutes les 3 semaines, de 0,7% lorsque le nivolumab 3 mg/kg était administré toutes les 2 semaines et l'ipilimumab 1 mg/kg toutes les 6 semaines, et de 4,6% lorsque 1 mg/kg de nivolumab suivi par 3 mg/kg d'ipilimumab étaient administrés toutes les 3 semaines. Chez les patients chez lesquels il a été possible d'évaluer la présence d'anticorps anti-ipilimumab, l'incidence d'anticorps anti-ipilimumab était de 4,1-13,7% et l'incidence des anticorps neutralisants contre le ipilimumab était de 0-0,4%.
  • +Mésothéliome pleural malin
  • +Étude de phase 3 randomisée du nivolumab en association avec l'ipilimumab vs. chimiothérapie (CA209743)
  • +La sécurité et l'efficacité du nivolumab 3 mg/kg administré toutes les 2 semaines en association avec l'ipilimumab 1 mg/kg toutes les 6 semaines ont été étudiées dans une étude de phase 3 randomisée en ouvert (CA209743). Cette étude a inclus des patients adultes (18 ans ou plus) présentant un mésothéliome pleural malin histologiquement confirmé et jusqu'à présent non traité et sans radiothérapie palliative dans les 14 jours précédant l'administration du premier traitement à l'étude. Les patients présentant un mésothéliome primitif péritonéal, péricardique, testiculaire ou vaginal, une pneumopathie interstitielle symptomatique, une maladie auto-immune active ou un tableau clinique nécessitant une immunosuppression systémique, ainsi que les patients présentant des métastases cérébrales (à moins d'une résection chirurgicale ou d'une radiothérapie stéréotaxique et sans évolution au cours des 3 mois précédant l'inclusion dans l'étude) ont été exclus de l'étude. La randomisation des patients était stratifiée selon l'histologie (épithélioïde vs. sarcomatoïde ou sous-types d'histologie mixte) et le sexe (masculin vs. féminin).
  • +Au total, 605 patients ont été randomisés pour recevoir le nivolumab en association avec l'ipilimumab (n=303) ou la chimiothérapie (n=302). Les patients dans le bras nivolumab et ipilimumab ont reçu le nivolumab 3 mg/kg par voie intraveineuse pendant 30 minutes toutes les 2 semaines en association avec l'ipilimumab 1 mg/kg par voie intraveineuse pendant 30 minutes toutes les 6 semaines pendant une période allant jusqu'à 2 ans. Les patients dans le bras chimiothérapie ont reçu jusqu'à 6 cycles de chimiothérapie (de 21 jours chacun). La chimiothérapie a consisté en 75 mg/m2 de cisplatine et 500 mg/m2 de pémétrexed ou 5 ASC de carboplatine et 500 mg/m2 de pémétrexed. Le traitement a été poursuivi jusqu'à la progression de la maladie, une toxicité non acceptable ou 24 mois. Le traitement pouvait être poursuivi même en cas de progression si le patient était cliniquement stable et, de l'avis du médecin investigateur, en retirait un bénéfice clinique. Les patients devant arrêter le traitement en association en raison d'un effet indésirable imputé à l'ipilimumab pouvaient continuer de recevoir le nivolumab en monothérapie. Les évaluations tumorales ont été effectuées toutes les 6 semaines pendant les 12 premiers mois suivant l'administration du premier traitement à l'étude, puis toutes les 12 semaines jusqu'à la progression de la maladie ou l'arrêt du traitement.
  • +Parmi les 605 sujets randomisés, l'âge médian était de 69 ans (entre 25 et 89 ans), 72% des patients ayant 65 ans ou plus et 26% 75 ans ou plus. La majorité des patients étaient blancs (85%) et de sexe masculin (77%). L'indice fonctionnel ECOG était de 0 (40%) ou 1 (60%). 80% des patients avaient une expression de PD-L1 ≥1% et 20% une expression de PD-L1< 1%, 75% avaient une histologie épithélioïde et 25% une histologie non épithélioïde . Le stade de la maladie à l'inclusion dans l'étude s'étendait de I à IV, dont 5,3% de stade I, 7,4% de stade II, 34,5% de stade III et 51,1 % de stade IV. Le stade n'était pas indiqué chez 1,7% des patients. Le critère d'évaluation principal de l'efficacité était la survie globale (overall survival, OS). Parmi les autres critères d'évaluation de l'efficacité figuraient la survie sans progression (progression-free survival, PFS), le taux de réponse objective (objective response rate, ORR), la durée de la réponse et le taux de contrôle de la maladie, évalué par un examen central indépendant en aveugle (Blinded Independent Central Review, BICR) à l'aide des critères modifiés RECIST.
  • +Lors de l'analyse intermédiaire prédéfinie, l'étude a montré une amélioration statistiquement significative de la survie globale (OS) chez les patients randomisés pour recevoir le nivolumab en association avec l'ipilimumab en comparaison avec la chimiothérapie. Au moment de l'analyse intermédiaire prédéfinie, 419 sujets étaient décédés (décès confirmés toutes causes confondues depuis la randomisation). La durée de suivi minimale de la survie globale (OS) était de 22 mois.
  • +Le risque relatif (hazard ratio, HR) pour la survie globale (OS) était de 0,74 (IC à 96,6%: 0,60, 0,91; valeur de p au test log. par rangs stratifié=0,002). La survie globale (OS) médiane était de 18,1 mois (IC à 95%: 16,8; 21,5) pour le nivolumab en association avec l'ipilimumab et de 14,1 mois (IC à 95%: 12,5; 16,2) pour la chimiothérapie.
  • +Le risque relatif (HR) pour la survie sans progression (PFS) était de 1,0 (IC à 95%: 0,82; 1,21), la survie sans progression (PFS) médiane était de 6,8 mois (IC à 95%: 5,6; 7,4) pour le nivolumab en association avec l'ipilimumab et de 7,2 mois (IC à 95%: 6,9; 8,1) pour la chimiothérapie. Le taux de réponse objective était de 39,6% (IC à 95%: 34,1; 45,4) pour le nivolumab en association avec l'ipilimumab et de 42,7% (IC à 95%: 37,1; 48,5) pour la chimiothérapie. La durée de réponse médiane était de 11,0 mois (IC à 95%: 8,1; 16,5) pour le nivolumab en association avec l'ipilimumab et de 6,7 mois (IC à 95%: 5,3; 7,1) pour la chimiothérapie.
  • +Les patients avec histologie non épithélioïde ont eu un risque relatif (HR) pour la survie globale (OS) de 0,46 (IC à 95%: 0,31, 0,70) et une survie globale (OS) médiane de 16,9 mois sous traitement par nivolumab associé à l'ipilimumab et de 8,8 mois dans le bras chimiothérapie.
  • +Sur la base d'analyses post-hoc exploratoires, le tableau 5 résume les données d'efficacité (mOS, mPFS, HR) de l'association nivolumab+ipilimumab (nivo+ipi) vs. chimiothérapie (chimio) selon l'histologie et les sous-groupes combinés d'expression de PD-L1.
  • +Tableau 5: Analyse post-hoc exploratoire en sous-groupes selon l'histologie et l'expression tumorale de PD-L1
  • + Épithélioïde Non épithélioïde
  • +PD-L1< 1% PD-L1 ≥1% PD-L1< 1% PD-L1 ≥1%
  • +nivo+ipi vs. chimio (N=47 vs. 62) nivo+ipi vs. chimio (N=173 vs. 162) nivo+ipi vs. chimio (N=10 vs. 16) nivo+ipi vs. chimio (N=59 vs. 57)
  • +OS
  • +OS médiane (IC à 95%), mo 17,3 (10,1, 24,6) vs. 18,1 (14,1, 22,0) 18,0 (17,1, 21,9) vs. 15,5 (13,6, 20,5) 15,7 (4,8, 24,8) vs. 11,8 (6,9, 15,6) 16,9 (12,3, 25,2) vs. 7,7 (6,9, 9,8)
  • +HR pour l'OS (IC à 95%) 0,99 (0,63, 1,56) 0,81 (0,63, 1,06) 0,69 (0,28, 1,67) 0,43 (0,28, 0,66)
  • +PFS selon le BICR
  • +PFS médiane (IC à 95%), mo 4,2 (2,7, 6,2) vs. 8,2 (7,0, 11,1) 6,9 (5,6, 8,2) vs. 7,7 (7,0, 8,3) 3,5 (1,4, 21,0) vs. 8,5 (4,7, 12,5) 8,6 (6,8, 13,9) vs. 5,3 (4,3, 5,7)
  • +HR pour la PFS (IC à 95%) 1,91 (1,24, 2,94) 0,99 (0,76, 1,28) 1,12 (0,42, 2,95) 0,46 (0,28, 0,74)
  • +
  • +*nivo = nivolumab; ipi = ipilimumab, chimio = chimiothérapie, mo = mois
  • +Dans le sous-groupe des patients atteints d'une maladie de stade I/II à l'inclusion dans l'étude, le risque relatif (HR) pour la survie globale (OS) était de 1,58 (IC à 95%: 0,88, 2,84), avec une survie globale (OS) médiane de 21 mois dans le groupe nivolumab et ipilimumab (n=35) et de 23 mois dans le groupe chimiothérapie (n=42). Dans le sous-groupe des patients atteints d'une maladie de stade III/IV, le risque relatif (HR) pour la survie globale (OS) était de 0,66 (IC à 95%: 0,54 0,81), avec une survie globale (OS) médiane de 18 mois dans le bras nivolumab et ipilimumab (n=263) et de 13 mois dans le bras chimiothérapie (n=255). Le risque relatif (HR) pour la survie sans progression (PFS) des patients au stade I/II était de 1,85 (IC à 95%: 1,08, 3,16) et celui des patients au stade III/IV de 0,87 (IC à 95% CI: 0,71, 1,07).
  • -Au total, 906 patients ont été randomisés pour recevoir soit le nivolumab 3 mg/kg (n=453), administré toutes les 2 semaines, soit l'ipilimumab 10 mg/kg (n=453), administré toutes les 3 semaines (4 doses), puis toutes les 12 semaines à partir de la semaine 24 et jusqu'à 1 an. La randomisation des patients était stratifiée selon l'expression tumorale PD-L1 (≥5% et <5%/indéterminée) et le stade de la maladie selon le système de classement de l'AJCC. Les tumeurs ont été évaluées toutes les 12 semaines pendant les 2 premières années, puis tous les 6 mois. Le critère d'efficacité primaire était la survie sans récidive (recurrence-free survival, RFS). La RFS, évaluée par le médecin de l'étude, était définie comme la période de temps entre la randomisation et la première récurrence de la tumeur (métastases locales, régionales ou distantes), la survenue d'un nouveau mélanome primaire ou le décès quel que soit sa cause.
  • +Au total, 906 patients ont été randomisés pour recevoir soit le nivolumab 3 mg/kg (n=453), administré toutes les 2 semaines, soit l'ipilimumab 10 mg/kg (n=453), administré toutes les 3 semaines (4 doses), puis toutes les 12 semaines à partir de la semaine 24 et jusqu'à 1 an. La randomisation des patients était stratifiée selon l'expression tumorale PD-L1 (≥5% et <5%/indéterminée) et le stade de la maladie selon le système de classement de l'AJCC. Les tumeurs ont été évaluées toutes les 12 semaines pendant les 2 premières années, puis tous les 6 mois. Le critère d'efficacité primaire était la survie sans récidive (recurrence-free survival, RFS). La RFS, évaluée par le médecin de l'étude, était définie comme la période de temps entre la randomisation et la première récurrence de la tumeur (métastases locales, régionales ou distantes), la survenue d'un nouveau mélanome primaire ou le décès quelle que soit sa cause.
  • -La sécurité et l'efficacité du nivolumab 3 mg/kg en monothérapie pour le traitement du carcinome à cellules rénales (CCR) avancé a été étudié dans une étude de phase 3 randomisée en ouvert (CA209025). Des patients adultes (18 ans ou plus) ont été inclus dans l'étude, chez lesquels une progression de la maladie a été constatée pendant ou à la suite de une ou deux thérapies anti-angiogéniques, mais pas plus de 3 thérapies systémiques précédentes. Une autre exigence était un score de performance de Karnofsky (Karnofsky Performance Score, KPS) ≥70%. Les patients ont été inclus dans cette étude indépendamment de leur statut PD-L1. Les patients ayant des antécédents ou actuellement des métastases cérébrales, un pré-traitement avec un inhibiteur de la mTOR (cible mammalienne de la rapamycine), une maladie auto-immune active ou un état de santé exigeant une immunosuppression systémique, ont été exclus de l'étude.
  • +La sécurité et l'efficacité du nivolumab 3 mg/kg en monothérapie pour le traitement du carcinome à cellules rénales (CCR) avancé a été étudié dans une étude de phase 3 randomisée en ouvert (CA209025). Des patients adultes (18 ans ou plus) ont été inclus dans l'étude, chez lesquels une progression de la maladie a été constatée pendant ou à la suite de une ou de deux thérapies anti-angiogéniques, mais pas plus de 3 thérapies systémiques précédentes. Une autre exigence était un score de performance de Karnofsky (Karnofsky Performance Score, KPS) ≥70%. Les patients ont été inclus dans cette étude indépendamment de leur statut PD-L1. Les patients ayant des antécédents ou actuellement des métastases cérébrales, un pré-traitement avec un inhibiteur de la mTOR (cible mammalienne de la rapamycine), une maladie auto-immune active ou un état de santé exigeant une immunosuppression systémique, ont été exclus de l'étude.
  • -Dans le cadre d'une étude randomisée et ouverte de phase 3 (CA2009ER), on a analysé la sécurité et l'efficacité de nivolumab 240 mg en association avec le cabozantinib 40 mg pour le traitement de première ligne du carcinome à cellules rénales (CCR) avancé/métastatique. L'étude comportait des patients adultes (18 ans ou plus) atteints d'un carcinorme à cellules rénales avancé, non résécable ou métastatique, avec des composants à cellules claires, un indice de Karnofsky (KPS) ≥70% et une maladie mesurée selon les critères RECIST version 1.1, indépendamment de leur statut PD-L1 ou de leur groupe de risque IDMC. Les patients présentant un carcinome à cellules rénales non claires n'ont pas fait partie de l'étude pivot. Un traitement adjuvant ou néoadjuvant antérieur était autorisé, lorsque celui-ci ne contenait aucun principe actif précis contre le facteur de croissance de l'endothélium vasculaire (VEGF) ou les récepteurs VEGF. Le traitement devait également être terminé au moins 6 mois avant la randomisation. Les patients exclus de l'étude étaient: ceux avec une maladie auto-immune ou d'autres affections qui requièrent une immunosuppression systémique, les patients qui ont déjà reçu un traitement avec des anticorps anti-PD-1, anti-PD-L1, anti-PD-L2, anti-CD137 ou anti-CTLA-4, les patients présentant une pression artérielle élevée mal controllée malgré un traitement antihypertenseur, des patients présentant des métastases cérébrales actives, des patients présentant des insuffisances surrénales non contrôlées, des patients présentant une invasion tumorale dans les gros vaisseaux sanguins (dans le tube gastro-intestinal ou les voies respiratoires supérieures), les patients présentant une fistule gastro-intestinale (perforation ou obstruction), les patients présentant une maladie cardiovasculaire sévère, les patients sujets aux saignements ou avec des traitements anticoagulants et les patients sous traitement concomitant contenant des inducteurs ou inhibiteurs CYP3A4 puissants. Les patients ont été stratifiés selon leur score IDMC, leur expression tumorale PD-L1 ou leur région.
  • +Dans le cadre d'une étude randomisée et ouverte de phase 3 (CA2009ER), on a analysé la sécurité et l'efficacité de nivolumab 240 mg en association avec le cabozantinib 40 mg pour le traitement de première ligne du carcinome à cellules rénales (CCR) avancé/métastatique. L'étude comportait des patients adultes (18 ans ou plus) atteints d'un carcinome à cellules rénales avancé, non résécable ou métastatique, avec des composants à cellules claires, un indice de Karnofsky (KPS) ≥70% et une maladie mesurée selon les critères RECIST version 1.1, indépendamment de leur statut PD-L1 ou de leur groupe de risque IDMC. Les patients présentant un carcinome à cellules rénales non claires n'ont pas fait partie de l'étude pivot. Un traitement adjuvant ou néoadjuvant antérieur était autorisé, lorsque celui-ci ne contenait aucun principe actif précis contre le facteur de croissance de l'endothélium vasculaire (VEGF) ou les récepteurs VEGF. Le traitement devait également être terminé au moins 6 mois avant la randomisation. Les patients exclus de l'étude étaient: ceux avec une maladie auto-immune ou d'autres affections qui requièrent une immunosuppression systémique, les patients qui ont déjà reçu un traitement avec des anticorps anti-PD-1, anti-PD-L1, anti-PD-L2, anti-CD137 ou anti-CTLA-4, les patients présentant une pression artérielle élevée mal contrôlée malgré un traitement antihypertenseur, des patients présentant des métastases cérébrales actives, des patients présentant des insuffisances surrénales non contrôlées, des patients présentant une invasion tumorale dans les gros vaisseaux sanguins (dans le tube gastro-intestinal ou les voies respiratoires supérieures), les patients présentant une fistule gastro-intestinale (perforation ou obstruction), les patients présentant une maladie cardiovasculaire sévère, les patients sujets aux saignements ou avec des traitements anticoagulants et les patients sous traitement concomitant contenant des inducteurs ou inhibiteurs CYP3A4 puissants. Les patients ont été stratifiés selon leur score IDMC, leur expression tumorale PD-L1 ou leur région.
  • -Lors d'un suivi minimal de 10,6 mois, l'étude a montré un avantage significatif d'un point de vue statistique pour les critères PFS, OS et ORR pour les patients qui, par rapport au sunitinib, ont été randomisés avec le nivolumab en association avec le cabozantinib. Le HR pour la PFS selon le BICR de 0,51 (IC à 95%: 0,41; 0,64; test du Log-Rank stratifié) favorise l'association nivolumab/cabozantinib par rapport au sunitinib. La PFS médiane s'éleve à 16,6 mois (IC à 95%: 12,45; 24,94) dans le groupe nivolumab/cabozantinib et 8,3 mois (IC à 95%: 6,97; 9,69) dans le groupe sunitinib. Les résultats de la PFS concernaient au total 335 des 651 patients (51%). Le HR pour l'OS était de 0,60 (IC à 98,89%: 0,40; 0,89; test du Log-Rank stratifié). L'OS médiane n'était pas atteinte (NE) pour le groupe nivolumab/cabozantinib (IC à 95%: 22,6; NE). Les résultats de l'OS concernaient au total 166 des 651 patients (25%). L'ORR évalué et confirmé par RECIST v1.1 et le BICR est de 55,7% (IC à 95%: 50,1; 61,2) dans le groupe nivolumab/cabozantinib et 27,1% (IC à 95%: 22,4; 32,3) dans le groupe sunitinib.
  • +Lors d'un suivi minimal de 10,6 mois, l'étude a montré un avantage significatif d'un point de vue statistique pour les critères PFS, OS et ORR pour les patients qui, par rapport au sunitinib, ont été randomisés avec le nivolumab en association avec le cabozantinib. Le HR pour la PFS selon le BICR de 0,51 (IC à 95%: 0,41; 0,64; test du Log-Rank stratifié) favorise l'association nivolumab/cabozantinib par rapport au sunitinib. La PFS médiane s'élève à 16,6 mois (IC à 95%: 12,45; 24,94) dans le groupe nivolumab/cabozantinib et 8,3 mois (IC à 95%: 6,97; 9,69) dans le groupe sunitinib. Les résultats de la PFS concernaient au total 335 des 651 patients (51%). Le HR pour l'OS était de 0,60 (IC à 98,89%: 0,40; 0,89; test du Log-Rank stratifié). L'OS médiane n'était pas atteinte (NE) pour le groupe nivolumab/cabozantinib (IC à 95%: 22,6; NE). Les résultats de l'OS concernaient au total 166 des 651 patients (25%). L'ORR évalué et confirmé par RECIST v1.1 et le BICR est de 55,7% (IC à 95%: 50,1; 61,2) dans le groupe nivolumab/cabozantinib et 27,1% (IC à 95%: 22,4; 32,3) dans le groupe sunitinib.
  • -Les caractéristiques au début du traitement étaient généralement équilibrées dans les deux groupes. L'âge médian était de 62 ans (entre 26 et 86 ans) avec 36% de paitents âgés de ≥65 ans et 5% âgés de ≥75 ans. La majorité des patients étaient blancs (82%) et de sexe masculin (85%). Le statut de performance ECOG au début du traitement était de 0 (58%) ou 1 (42%). Les caractéristiques de la maladie au début du traitement étaient équilibrées dans les deux groupes. Sur tous les patients traités, 70,9% avaient un adénocarcinome histologiquement confirmé et 20% un carcinome épidermoïde. 59,8% des patients étaient atteints d'un CO et 40,2% d'un CJOG.
  • +Les caractéristiques au début du traitement étaient généralement équilibrées dans les deux groupes. L'âge médian était de 62 ans (entre 26 et 86 ans) avec 36% de patients âgés de ≥65 ans et 5% âgés de ≥75 ans. La majorité des patients étaient blancs (82%) et de sexe masculin (85%). Le statut de performance ECOG au début du traitement était de 0 (58%) ou 1 (42%). Les caractéristiques de la maladie au début du traitement étaient équilibrées dans les deux groupes. Sur tous les patients traités, 70,9% avaient un adénocarcinome histologiquement confirmé et 20% un carcinome épidermoïde. 59,8% des patients étaient atteints d'un CO et 40,2% d'un CJOG.
  • -Dans l'ensemble, aucune différence en termes de tolérance et d'efficacité n'a été signalée entre les sujets âgés (≥65 ans) et jeunes (<65 ans).
  • +Dans l'ensemble, aucune différence en termes de tolérance et d'efficacité n'a été signalée entre les sujets âgés (≥65 ans) et jeunes (< 65 ans).
  • +Chez les patients âgés de 75 ans ou plus atteints du MPM, un taux accru d'effets indésirables graves et d'arrêts du traitement en raison d'effets indésirables (68% et 35%, respectivement ) a été observé en comparaison avec tous les patients qui ont reçu OPDIVO en association avec l'ipilimumab (54% et 28%, respectivement).
  • -La progéniture restante des femelles traitées par nivolumab a survécu jusqu'au terme prévu, sans signes cliniques, anomalies de développement, altération du poids des organes ou modifications pathologiques macro- ou microscopiques considérées comme liées au traitement.
  • -Les résultats des courbes de croissance, ainsi que les données de tératogénicité, neurologiques, immunologiques et les paramètres de pathologie clinique analysés pendant une période post-natale de 6 mois ont été comparables avec ceux du groupe témoin. Cependant, au vu de son mécanisme d'action, l'exposition fœtale au nivolumab peut augmenter le risque de développer des troubles d'origine immunologique ou d'altérer la réponse immunitaire normale. Des troubles d'origine immunologique ont été rapportés chez des souris déficientes en PD-1.
  • +La progéniture restante des femelles traitées par nivolumab a survécu jusqu'au terme prévu, sans signes cliniques, anomalies de développement, altération du poids des organes ou modifications pathologiques macro- ou microscopiques considérées comme liées au traitement. Les résultats des courbes de croissance, ainsi que les données de tératogénicité, neurologiques, immunologiques et les paramètres de pathologie clinique analysés pendant une période post-natale de 6 mois ont été comparables avec ceux du groupe témoin. Cependant, au vu de son mécanisme d'action, l'exposition fœtale au nivolumab peut augmenter le risque de développer des troubles d'origine immunologique ou d'altérer la réponse immunitaire normale. Des troubles d'origine immunologique ont été rapportés chez des souris déficientes en PD-1.
  • -Ce médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur le récipient.
  • -Le flacon non ouvert peut être conservé à température ambiante contrôlée jusqu'à 25°C et à la lumière ambiante jusqu'à 48 heures.
  • +Ce médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur le récipient. Le flacon non ouvert peut être conservé à température ambiante contrôlée jusqu'à 25°C et à la lumière ambiante jusqu'à 48 heures.
  • -Nivolumab en monothérapie:
  • -La dose d'OPDIVO prescrite pour le patient est de 240 mg indépendamment du poids corporel du patient.
  • -Nivolumab en association avec l'ipilimumab:
  • -La dose prescrite au patient est exprimée en mg/kg. Calculer la dose totale à administrer en fonction de la dose prescrite.
  • +Si le nivolumab est dosé en fonction du poids corporel (en mg/kg de poids corporel), calculez la dose totale à administrer en fonction de la dose prescrite.
  • -La solution pour perfusion d'OPDIVO ne doit pas être perfusée simultanément avec d'autres médicaments.
  • -Utiliser une ligne intraveineuse séparée pour la perfusion.
  • +La solution pour perfusion d'OPDIVO ne doit pas être perfusée simultanément avec d'autres médicaments. Utiliser une ligne intraveineuse séparée pour la perfusion.
  • -Juillet 2021
  • +Août 2021
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