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Accueil - Information professionnelle sur Ameluz 78 mg/g - Changements - 17.05.2022
58 Changements de l'information professionelle Ameluz 78 mg/g
  • -Acide 5-aminolévulinique (sous forme de chlorhydrate d'acide 5-aminolévulinique).
  • +Acide 5-aminolévulinique sous forme sous forme de chlorhydrate d'acide 5-aminolévulinique.
  • -10 mg/g de propylène glycol (E 1520), 2,36 mg/g de benzoate de sodium (E 211), gomme de xanthane, lécithine de soja hydrogénée, polysorbate 80, triglycérides à chaine moyenne, 2-propanol, phosphate disodique dihydraté, phosphate monosodique dihydraté, eau purifiée.
  • +10 mg/g de propylèneglycol (E 1520), 2,36 mg/g de benzoate de sodium (E 211), gomme xanthane, lécithine de soja hydrogénée, polysorbate 80, triglycérides à chaine moyenne, 2-propanol, phosphate disodique dihydraté, phosphate monosodique dihydraté, eau purifiée.
  • -·Traitement de la kératose actinique d'intensité légère à modérée du visage et du cuir chevelu (grade Olsen 1 à 2; voir également «Propriétés/Effets», Mécanisme d'action) et de champs de cancérisation chez l'adulte.
  • +·Traitement de la kératose actinique d'intensité légère à modérée (grade Olsen 1 à 2; voir également «Posologie/Mode d'emploi» et «Propriétés/Effets») et de champs de cancérisation chez l'adulte.
  • -Pour le traitement de la kératose actinique (KA) chez l'adulte, une séance de TPD (avec lumière du jour ou lampe à lumière rouge) doit être pratiquée sur une ou plusieurs lésions ou sur des champs de cancérisation entiers (zones où plusieurs lésions de KA très localisées sont entourées de dommages actiniques provoqués par le soleil).
  • -Les lésions de kératose actinique ou les champs (de cancérisation) doivent être réévalués trois mois après le traitement. Le traitement doit être renouvelé si les lésions traitées ou les champs de cancérisation ne sont pas totalement guéris après trois mois.
  • +Pour le traitement de la kératose actinique (KA) dans le visage et/ou sur le cuir chevelu chez l'adulte, une séance de TPD (avec lumière du jour ou lampe à lumière rouge) doit être pratiquée sur une ou plusieurs lésions ou sur des champs de cancérisation entiers (zones où plusieurs lésions de KA très localisées sont entourées de dommages actiniques provoqués par le soleil).
  • +Pour le traitement de la kératose actinique (KA) au niveau du tronc, de la nuque ou des extrémités, une séance de thérapie photodynamique avec lampe à lumière rouge à spectre étroit doit être pratiquée. Les lésions de kératose actinique ou les champs (de cancérisation) doivent être réévalués trois mois après le traitement. Le traitement doit être renouvelé si les lésions traitées ou les champs de cancérisation n'ont pas complètement disparu après trois mois.
  • +Attention: l'efficacité d'Ameluz dans le traitement de la KA au niveau du tronc, de la nuque et des extrémités a été exclusivement mise en évidence dans le cadre de la thérapie photodynamique avec une lampe à spectre étroit. Pour ces régions du corps, il n'existe aucune donnée sur la thérapie photodynamique avec des sources de lumière à spectre large ou sur la thérapie photodynamique à la lumière du jour.
  • -Pour le traitement du carcinome basocellulaire (CBC) chez l'adulte, deux séances de TPD avec lampe à lumière rouge doivent être pratiquées sur une seule ou plusieurs lésions, en respectant un intervalle d'environ une semaine entre les séances. Les lésions du carcinome basocellulaire doivent être réévaluées trois mois après le traitement. Le traitement doit être renouvelé si les lésions traitées ne sont pas totalement guéries après trois mois.
  • +Pour le traitement du carcinome basocellulaire (CBC) chez l'adulte, deux séances de TPD avec lampe à lumière rouge doivent être pratiquées sur une seule ou plusieurs lésions, en respectant un intervalle d'environ une semaine entre les séances. Les lésions du carcinome basocellulaire doivent être réévaluées trois mois après le traitement. Le traitement doit être renouvelé si les lésions traitées n'ont pas complètement disparu après trois mois.
  • -L'usage d'Ameluz n'est pas pertinent chez l'enfant et l'adolescent
  • +L'usage d'Ameluz n'est pas pertinent chez l'enfant et l'adolescent.
  • -Immédiatement après le nettoyage des lésions, la totalité de la zone à traiter est illuminée par une source de lumière rouge, soit à spectre étroit d'environ 630 nm, à une dose de lumière d'environ 37 J/cm2, soit à spectre plus large et continu entre 570 et 670 nm, à une dose de lumière comprise entre 75 et 200 J/cm2. Il est important de s'assurer que la bonne dose de lumière est administrée. La dose de lumière est déterminée par des facteurs tels que la taille du champ lumineux, la distance entre la lampe et la surface de la peau, ainsi que la durée d'illumination. Ces facteurs varient selon le type de lampe. La dose de lumière délivrée doit être surveillée, si un détecteur adapté est disponible. Durant l'illumination, la lampe doit être placée de telle sorte à respecter la distance par rapport à la surface de la peau qui est indiquée dans le mode d'emploi. Il est recommandé d'utiliser une lampe à spectre étroit pour obtenir de meilleurs taux de guérison. Un traitement symptomatique peut être envisagé en cas d'effets indésirables au niveau du site d'application. Un spectre plus large et continu peut être utilisé si les sources de lumière à spectre étroit ne sont pas tolérées (voir «Effets indésirables» et «Propriétés/Effets», Mécanisme d'action).
  • +Immédiatement après le nettoyage des lésions, la totalité de la zone à traiter est illuminée par une source de lumière rouge, soit à spectre étroit d'environ 630 nm, à une dose de lumière d'environ 37 J/cm2, soit à spectre plus large et continu entre 570 et 670 nm, à une dose de lumière comprise entre 75 et 200 J/cm2 (voir également «Traitement de la kératose actinique»). Il est important de s'assurer que la bonne dose de lumière est administrée. La dose de lumière est déterminée par des facteurs tels que la taille du champ lumineux, la distance entre la lampe et la surface de la peau, ainsi que la durée d'illumination. Ces facteurs varient selon le type de lampe. La dose de lumière délivrée doit être surveillée, si un détecteur adapté est disponible. Durant l'illumination, la lampe doit être placée de telle sorte à respecter la distance par rapport à la surface de la peau qui est indiquée dans le mode d'emploi. Il est recommandé d'utiliser une lampe à spectre étroit pour obtenir de meilleurs taux de guérison. Un traitement symptomatique peut être envisagé en cas d'effets indésirables au niveau du site d'application. Un spectre plus large et continu peut être utilisé si les sources de lumière à spectre étroit ne sont pas tolérées (voir «Effets indésirables» et «Propriétés/Effets», Mécanisme d'action).
  • -Le traitement à la lumière du jour ne doit être administré que si une exposition est possible à l'extérieur dans des conditions agréables pendant 2 heures (températures >10°C). En cas de pluie ou de forte probabilité de pluie, le traitement à la lumière du jour ne doit pas être pratiqué.
  • +Le traitement à la lumière du jour ne doit être administré que si une exposition est possible à l'extérieur dans des conditions agréables pendant 2 heures (températures >10 °C). En cas de pluie ou de forte probabilité de pluie, le traitement à la lumière du jour ne doit pas être pratiqué.
  • -Une protection solaire doit être appliquée 15 minutes avant la préparation des lésions afin de protéger la peau exposée au soleil. Seules les protections solaires avec filtres chimiques et un indice de protection de 30 minimum peuvent être utilisées. Les protections solaires avec filtres physiques tels que le dioxyde de titane ou l'oxyde de zinc, etc. ne doivent pas être utilisées car ces filtres peuvent entraver l'absorption de la lumière et réduire ainsi l'efficacité du traitement.
  • +Une protection solaire doit être appliquée 15 minutes avant la préparation des lésions afin de protéger la peau exposée au soleil. Seules les protections solaires avec filtres chimiques et un indice de protection de 30 minimum peuvent être utilisées. Les protections solaires avec filtres physiques tels le dioxyde de titane ou l'oxyde de zinc, etc. ne doivent pas être utilisées car ces filtres peuvent entraver l'absorption de la lumière et réduire ainsi l'efficacité du traitement.
  • -Les lésions doivent être réévaluées après trois mois et le traitement doit être renouvelé sur les éventuelles lésions ou champs résiduels.
  • +Les lésions doivent être réévaluées après trois mois et le traitement doit être renouvelé sur les éventuels lésions ou champs résiduels.
  • -Ce médicament contient 10 mg de propylène glycol dans 1 g de gel. Le propylène glycol (E 1520) peut provoquer des irritations cutanées.
  • -Le médicament contient 2.36 mg de benzoate de sodium (E 211), un conservateur, dans 1 g de gel. Le benzoate de sodium peut provoquer des irritations locales.
  • +Ce médicament contient 10 mg de propylène glycol dans 1 g de gel.
  • +Le propylène glycol (E 1520) peut provoquer des irritations cutanées.
  • +Le médicament contient 2,36 mg de benzoate de sodium (E 211), un conservateur, dans 1 g de gel. Le benzoate de sodium peut provoquer des irritations locales.
  • -Effets indésirables identifiés après la mise sur le marché
  • -L'incidence des effets indésirables chez 574 patients ayant été traités par TPD avec Ameluz dans le cadre d'études pivots, ainsi que l'incidence des effets secondaires signalés après l'autorisation de mise sur le marché sont présentées ci-après. Les fréquences sont définies comme suit: très fréquents (≥1/10), fréquents (≥1/100 à <1/10), occasionnels (≥1/1000 à <1/100), rares (≥1/10 000 à <1/1000), très rares (<1/10 000) et cas isolés (la fréquence ne peut être estimée sur la base des données disponibles). Dans chaque groupe de fréquence, les effets indésirables sont présentés par ordre décroissant de gravité.
  • +Effets indésirables après commercialisation
  • +L'incidence des effets indésirables chez 624 patients ayant été traités par TPD avec Ameluz dans le cadre d'études pivots, ainsi que l'incidence des effets secondaires signalés après l'autorisation de mise sur le marché sont présentées ci-après. Les fréquences sont définies comme suit: très fréquents (≥1/10), fréquents (≥1/100 à <1/10), occasionnels (≥1/1000 à <1/100), rares (≥1/10 000 à <1/1000), très rares (<1/10 000) et cas isolés (la fréquence ne peut être estimée sur la base des données disponibles). Dans chaque groupe de fréquence, les effets indésirables sont présentés par ordre décroissant de gravité.
  • -Fréquents: céphalées.
  • +Fréquents: Céphalées.
  • -Cas isolés1: amnésie globale transitoire (avec confusion et désorientation).
  • +Cas isolés1: amnésie globale transitoire (y compris confusion et désorientation).
  • -Fréquents: au site d'application: tension de la peau.
  • -Occasionnels: au site d'application: formation de vésicules, peau sèche, pétéchies, hyperkératose.
  • +Fréquents: au site d'application: raffermissement de la peau.
  • +Occasionnels: au site d'application: formation de vésicules, peau sèche, pétéchies, hyperkératose, tension de la peau.
  • -Au site d'application: changement de couleur, ulcère, gonflement, inflammation.
  • -En dehors du site d'application: frissons, sensation de chaleur, pyrexie, douleurs, fatigue, ulcère.
  • +Au site d'application: changement de couleur, ulcère, gonflement, inflammation, eczéma infecté. Hypersensibilité*³.
  • +En dehors du site d'application: frissons, sensation de chaleur, pyrexie, douleurs, fatigue, ulcère, gonflement.
  • +* Données issues des études observationnelles.
  • +3 Cet effet indésirable survient également avant l'illumination.
  • -L'annonce d'effets secondaires présumés après l'autorisation est d'une grande importance. Elle permet un suivi continu du rapport bénéfice-risque du médicament. Les professionnels de santé sont tenus de déclarer toute suspicion d'effet secondaire nouveau ou grave via le portail d'annonce ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet sur www.swissmedic.ch.
  • +L'annonce d'effets secondaires présumés après l'autorisation est d'une grande importance. Elle permet un suivi continu du rapport bénéfice-risque du médicament. Les professionnels de santé sont tenus de déclarer toute suspicion d'effet secondaire nouveau ou grave via le portail d'annonce en ligne ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet sur www.swissmedic.ch.
  • -Après application topique d'acide 5-aminolévulinique, le principe actif est métabolisé en protoporphyrine IX, un composé photoactif qui s'accumule dans les espaces intracellulaires des lésions de kératose actinique et de carcinome basocellulaire traitées. La protoporphyrine IX est activée par illumination par la lumière rouge d'une longueur d'onde et d'une énergie adaptée. En présence d'oxygène, il se forme des espèces réactives de l'oxygène qui endommagent les composants cellulaires et finissent par détruire les cellules cibles.
  • +Après application topique d'acide 5-aminolévulinique, le principe actif est métabolisé en protoporphyrine IX, un composé photoactif qui s'accumule dans les espaces intracellulaires des lésions de kératose actinique et de carcinome basocellulaire traitées. La protoporphyrine IX est activée par illumination par la lumière rouge d'une longueur d'onde et d'une énergie adaptées. En présence d'oxygène, il se forme des espèces réactives de l'oxygène qui endommagent les composants cellulaires et finissent par détruire les cellules cibles.
  • -L'efficacité et la sécurité d'Ameluz dans le traitement de la kératose actinique ont été évaluées dans des études cliniques réalisées sur 696 patients. Durant la phase III, 436 patients ont été au total traités avec Ameluz. Tous les patients présentaient au moins 4 lésions de kératose actinique légères à modérées sur le visage et/ou le cuir chevelu. La préparation des sites d'application et la durée d'incubation étaient conformes à la description figurant à la rubrique «Posologie/Mode d'emploi». Les lésions ou champs de cancérisation qui n'étaient pas totalement guéris 12 semaines après le traitement initial ont été traités une seconde fois de la même manière.
  • +L'efficacité et la sécurité d'Ameluz dans le traitement de la kératose actinique ont été évaluées dans des études cliniques réalisées sur 746 patients. Durant la phase III, 486 patients ont été au total traités avec Ameluz. Tous les patients présentaient au moins quatre lésions de kératose actinique légères à modérées. La préparation des sites d'application et la durée d'incubation étaient conformes à la description figurant à la rubrique «Posologie/Mode d'emploi». Les lésions ou champs de cancérisation qui n'étaient pas complètement guéris 12 semaines après le traitement initial ont été traités une seconde fois de la même manière.
  • -1 Légère Tâches plates et roses, sans signes d'hyperkératose ni d'érythème, palpabilité légère, la KA étant mieux détectée au toucher qu'à la vue.
  • -2 Modérée Papules roses à rougeâtres et plaques érythémateuses à surface hyperkératosique, KA d'épaisseur modérée, facile à voir et à sentir au toucher.
  • +1 Léger Tâches plates et roses, sans signes d'hyperkératose ni d'érythème, palpabilité légère, la KA étant mieux détectée au toucher qu'à la vue.
  • +2 Modéré Papules roses à rougeâtres et plaques érythémateuses à surface hyperkératosique, KA d'épaisseur modérée, facile à voir et à sentir au toucher.
  • -Dans une étude clinique randomisée, avec observateur en aveugle, menée sur 571 patients avec KA, et avec une période de suivi de 6 à 12 mois, la TPD avec Ameluz a été testée pour démontrer sa non-infériorité par rapport à une crème autorisée contenant de l'aminolévulinate de méthyle à 16% (MAL, méthyl-[5-amino-4-oxopentanoate]) et sa supériorité par rapport à un placebo. La source de lumière rouge était soit une lampe à spectre étroit (Aktilite CL 128 ou Omnilux PDT), soit une lampe à spectre lumineux plus large et continu (Waldmann PDT 1200 L ou Hydrosun Photodyn 505 ou 750). Le critère d'évaluation principal était la guérison complète de toutes les lésions du patient 12 semaines après la dernière TPD. Ameluz (78,2%) a été significativement plus efficace que le MAL (64,2%, [intervalle de confiance à 97,5%: 5,9; ∞]) et que le placebo (17,1%, [intervalle de confiance à 95%: 51,2; 71,0]). Les taux de guérison complète des lésions étaient plus élevés avec Ameluz (90,4%) qu'avec le MAL (83,2%) et le placebo (37,1%). Les taux de guérison et la tolérance dépendaient de la source de lumière utilisée. Le tableau ci-dessous présente l'efficacité et les effets indésirables «douleurs passagères» et «érythème» au site d'application pour le traitement de la KA par TPD avec différentes sources de lumière:
  • +A) Traitement photodynamique avec lumière rouge pour la KA du visage et du cuir chevelu
  • +Dans l'étude ALA-AK-CT002, une étude clinique randomisée, avec observateur en aveugle, menée sur 571 patients avec KA, et avec une période de suivi de 6 à 12 mois, la TPD avec Ameluz a été testée pour démontrer sa non-infériorité par rapport à une crème autorisée contenant de l'aminolévulinate de méthyle à 16% (MAL, méthyl-[5-amino-4-oxopentanoate]) et sa supériorité par rapport à un placebo. La source de lumière rouge était soit une lampe à spectre étroit (Aktilite CL 128 ou Omnilux PDT), soit une lampe à spectre lumineux plus large et continu (Waldmann PDT 1200 L ou Hydrosun Photodyn 505 ou 750). Le critère d'évaluation principal était la guérison complète de toutes les lésions du patient 12 semaines après la dernière TPD. Ameluz (78,2%) a été significativement plus efficace que le MAL (64,2%, [intervalle de confiance à 97,5%: 5,9; ∞]) et que le placebo (17,1%, [intervalle de confiance à 95%: 51,2; 71,0]). Les taux de disparition totale des lésions étaient plus élevés avec Ameluz (90,4%) qu'avec le MAL (83,2%) et le placebo (37,1%). Les taux de guérison et la tolérance dépendaient de la source de lumière utilisée. Le tableau ci-dessous présente l'efficacité et les effets indésirables «douleurs passagères» et «érythème» au site d'application pour le traitement de la KA par TPD avec différentes sources de lumière lors de l'étude ALA-AK-CT002:
  • -Ameluz a également été comparé à un traitement placebo dans une étude clinique randomisée, en double aveugle, incluant 122 patients avec KA. La source de lumière rouge délivrait soit un spectre étroit autour de 630 nm à une dose de lumière de 37 J/cm2 (Aktilite CL 128), soit un spectre plus large et continu entre 570 et 670 nm à une dose de lumière de 170 J/cm2 (Photodyn 750). Le critère d'évaluation principal était la guérison complète de toutes les lésions du patient 12 semaines après la dernière séance de thérapie photodynamique. La TPD avec Ameluz (66,3%) était significativement plus efficace qu'avec le placebo (12,5%, p<0,0001). Le taux de guérison des lésions était plus élevé avec Ameluz (81,1%) qu'avec le placebo (20,9%). Les taux de guérison et la tolérance dépendaient de la source d'illumination et étaient en faveur de la source de lumière à spectre étroit. L'efficacité clinique s'est maintenue pendant les périodes de suivi de 6 et 12 mois après la dernière séance de TPD. Avant de décider de réaliser une TPD, il faut tenir compte du fait que la probabilité de guérison de toutes les lésions d'un patient 12 mois après la dernière séance était, avec des lampes à spectre étroit ou avec tous types de lampes confondus, de 67,5% ou de 46,8% avec le traitement par Ameluz. La probabilité de n'avoir besoin que d'une séance de traitement par Ameluz et de rester sans aucune lésion 12 mois plus tard était en moyenne, toutes lampes confondues, de 34,5%.
  • +Ameluz a également été comparé à un traitement placebo dans l'étude ALA-AK CT003, une étude clinique randomisée, en double aveugle, incluant 122 patients avec KA. La source de lumière rouge délivrait soit un spectre étroit autour de 630 nm à une dose de lumière de 37 J/cm2 (Aktilite CL 128), soit un spectre plus large et continu entre 570 et 670 nm à une dose de lumière de 170 J/cm2 (Photodyn 750). Le critère d'évaluation principal était la guérison complète de toutes les lésions du patient 12 semaines après la dernière séance de thérapie photodynamique. La TPD avec Ameluz (66,3%) était significativement plus efficace qu'avec le placebo (12,5%, p<0,0001). Le taux de guérison des lésions était plus élevé avec Ameluz (81,1%) qu'avec le placebo (20,9%). Les taux de guérison et la tolérance dépendaient de la source d'illumination et étaient en faveur de la source de lumière à spectre étroit. L'efficacité clinique s'est maintenue pendant les périodes de suivi de 6 et 12 mois après la dernière séance de TPD. Avant de décider de réaliser une TPD, il faut tenir compte du fait que la probabilité de guérison de toutes les lésions d'un patient 12 mois après la dernière séance était, avec des lampes à spectre étroit ou avec tous types de lampes confondus, de 67,5% ou de 46,8% avec le traitement par Ameluz. La probabilité de n'avoir besoin que d'une séance de traitement par Ameluz et de rester sans aucune lésion 12 mois plus tard était en moyenne, toutes lampes confondues, de 34,5%.
  • -Dans les deux études sur la KA, les taux de guérison étaient plus élevés après une illumination par des sources de lumière à spectre étroit, mais l'incidence et l'intensité des réactions au site d'application (p.ex. douleurs passagères, érythème) étaient plus importantes chez les patients soumis à une illumination avec ces dispositifs (voir tableaux ci-dessus et rubrique «Effets indésirables»).
  • +Dans les deux études sur la KA (ALA-AK-CT002 et -CT003), les taux de guérison étaient plus élevés après une illumination par des sources de lumière à spectre étroit, mais l'incidence et l'intensité des réactions au site d'application (p.ex. douleurs passagères, érythème) étaient plus importantes chez les patients soumis à une illumination avec ces dispositifs (voir tableaux ci-dessus et rubrique «Effets indésirables»).
  • -Dans une troisième étude clinique randomisée, menée en double aveugle sur 87 patients, Ameluz (n=55) a été comparé à un placebo (n=32) lors d'une utilisation sur l'ensemble des champs de traitement (champs de cancérisation) comportant 4 à 8 lésions de KA sur une étendue maximale de 20 cm2. La source de lumière rouge délivrait un spectre étroit de 635 nm à une dose de lumière de 37 J/cm2 (BF-RhodoLED). Ameluz s'est révélé supérieur au placebo, tant par le taux de guérison complète de toutes les lésions d'un patient (90,9% pour Ameluz vs 21,9% pour le placebo, p<0,0001) que par le taux total de guérison des lésions (94,3% vs 32,9%; p<0,0001) 12 semaines après la dernière séance de TPD.
  • -Une guérison de toutes les lésions a été observée chez 96,9% des patients présentant une KA au niveau du visage et du front, et chez 81,8% des patients avec une KA au niveau du cuir chevelu. Le taux de guérison des lésions légères était de 99,1% (Ameluz) contre 49,2% (placebo), celui des lésions modérées de 91,7% (Ameluz) contre 24,1% (placebo). Après une seule séance de TPD, le taux de guérison complète de toutes les lésions du patient s'élevait à 61,8% sous Ameluz contre 9,4% sous placebo, tandis que le taux total de guérison des lésions atteignait 84,2% contre 22,0% respectivement.
  • +Dans l'étude ALA-AK-CT007, une troisième étude clinique randomisée, menée en double aveugle sur 87 patients, Ameluz (n=55) a été comparé à un placebo (n=32) lors d'une utilisation sur l'ensemble des champs de traitement (champs de cancérisation) comportant 4 à 8 lésions de KA sur une étendue maximale de 20 cm2. La source de lumière rouge délivrait un spectre étroit de 635 nm à une dose de lumière de 37 J/cm2 (BF-RhodoLED). Ameluz s'est révélé supérieur au placebo, tant par le taux de guérison complète de toutes les lésions d'un patient (90,9% pour Ameluz vs 21,9% pour le placebo, p<0,0001) que par le taux de disparition totale des lésions (94,3% vs 32,9%; p<0,0001) 12 semaines après la dernière séance de TPD.
  • +Une guérison de toutes les lésions a été observée chez 96,9% des patients présentant une KA au niveau du visage et du front, et chez 81,8% des patients avec une KA au niveau du cuir chevelu. Le taux de guérison des lésions légères était de 99,1% (Ameluz) contre 49,2% (placebo), celui des lésions modérées de 91,7% (Ameluz) contre 24,1% (placebo). Après une seule séance de TPD, le taux de guérison complète de toutes les lésions du patient s'élevait à 61,8% sous Ameluz contre 9,4% sous placebo, tandis que le taux de disparition totale des lésions atteignait 84,2% contre 22,0% respectivement.
  • -L'efficacité d'Ameluz, associé à une thérapie photodynamique à la lumière du jour, a été examinée dans une étude clinique de phase III intra-individuelle, randomisée, avec observateur en aveugle, menée sur 52 patients présentant chacun 3 à 9 KA sur les deux côtés du visage et/ou du cuir chevelu. La non-infériorité d'Ameluz par rapport à une crème contenant 16% d'aminolévulinate de méthyle (MAL, méthyl-[5-amino-4-oxopentanoate]) et autorisée pour la thérapie photodynamique à la lumière du jour, a été testée. Les deux côtés du visage/du cuir chevelu ont été traités chacun avec l'un des deux médicaments. La thérapie photodynamique à la lumière du jour a été pratiquée en extérieur pendant 2 heures consécutives d'exposition à la lumière du jour complète. Pendant les journées ensoleillées, les patients qui ne se sentaient pas bien à la lumière directe du soleil ont pu se mettre à l'ombre. En cas de pluie ou si le patient devait se retirer un moment dans un bâtiment, la durée de l'exposition en extérieur était prolongée d'autant. Pendant les mois d'hiver, la lumière du jour dans certaines régions d'Europe n'est pas suffisante pour permettre un traitement à la lumière du jour avec Ameluz. La thérapie photodynamique à la lumière du jour avec Ameluz est possible toute l'année dans le sud de l'Europe, de février à octobre en Europe centrale et de mars à octobre au nord de l'Europe.
  • -Le taux de guérison complète des lésions obtenu avec Ameluz, utilisé en parallèle à une thérapie photodynamique à la lumière du jour unique, était de 79,8%, contre 76,5% pour la préparation de référence à base de MAL. L'étude a démontré la non-infériorité d'Ameluz par rapport à la crème à base de MAL (borne inférieure de l'intervalle de confiance à 97,5% 0,0). Les effets indésirables et la tolérance étaient comparables pour les deux traitements.
  • +B) Thérapie photodynamique à la lumière rouge pour la KA au niveau du tronc, de la nuque et des extrémités
  • +L'efficacité d'Ameluz dans le traitement de la KA au niveau des extrémités, du tronc et de la nuque a été comparée avec un traitement placebo dans le cadre de l'étude clinique ALA-AK-CT010, une étude de phase III intra-individuelle, randomisée, en double aveugle, menée auprès de 50 patients présentant 4 à 10 lésions de KA sur les faces opposées des extrémités et/ou au niveau du tronc/de la nuque. La source de lumière rouge délivrait un spectre étroit de 635 nm à une dose de lumière de 37 J/cm2 (BF-RhodoLED) (voir également «Posologie/Mode d'emploi»). Le critère d'évaluation principal était la disparition totale des lésions 12 semaines après la dernière séance de thérapie photodynamique. Ameluz s'est révélé supérieur au placebo, tant par les taux moyens de disparition totale des lésions (86,0% vs 32,9%) que par les taux de guérison complète de toutes les lésions d'un patient (67,3 % vs 12,2 % pour Ameluz et le placebo, respectivement) 12 semaines après la dernière séance de TPD. En revanche, le taux des lésions qui ont été confirmées comme complètement guéries à la fois par l'évaluation du médecin investigateur, mais aussi par l'examen histopathologique d'une biopsie, s'est révélé inférieur dans les deux groupes: 70,2% dans le groupe Ameluz et 19,1% dans le groupe placebo.
  • +C) Thérapie photodynamique à la lumière du jour pour la KA dans le visage ou sur le cuir chevelu
  • +L'efficacité d'Ameluz, associé à une thérapie photodynamique à la lumière du jour, a été examinée dans une étude clinique de phase III (ALA-AK-CT009) intra-individuelle, randomisée, avec observateur en aveugle, menée sur 52 patients présentant chacun 3 à 9 lésions de KA sur les deux côtés du visage et/ou du cuir chevelu. La non-infériorité d'Ameluz par rapport à une crème contenant 16% d'aminolévulinate de méthyle (MAL, méthyl-[5-amino-4-oxopentanoate]) et autorisée pour la thérapie photodynamique à la lumière du jour, a été testée. Les deux côtés du visage/du cuir chevelu ont été traités chacun avec l'un des deux médicaments. La thérapie photodynamique à la lumière du jour a été pratiquée en extérieur pendant 2 heures consécutives d'exposition à la pleine lumière du jour. Pendant les journées ensoleillées, les patients qui ne se sentaient pas bien à la lumière directe du soleil ont pu se mettre à l'ombre. En cas de pluie ou si le patient devait se retirer un moment dans un bâtiment, la durée de l'exposition en extérieur était prolongée d'autant. Pendant les mois d'hiver, la lumière du jour dans certaines régions d'Europe n'est pas suffisante pour permettre un traitement à la lumière du jour avec Ameluz. La thérapie photodynamique à la lumière du jour avec Ameluz est possible toute l'année dans le sud de l'Europe, de février à octobre en Europe centrale et de mars à octobre dans le nord de l'Europe.
  • +Le taux de disparition totale des lésions obtenu avec Ameluz, utilisé en parallèle à une thérapie photodynamique à la lumière du jour unique, était de 79,8%, contre 76,5% pour la préparation de référence à base de MAL. L'étude a démontré la non-infériorité d'Ameluz par rapport à la crème à base de MAL (borne inférieure de l'intervalle de confiance à 97,5% 0,0). Les effets indésirables et la tolérance étaient comparables pour les deux traitements. L'efficacité clinique a été réévaluée lors d'examens de suivi réalisés 6 et 12 mois après la dernière thérapie photodynamique (TPD à la lumière du jour). Les taux moyens de récidive rapportés aux lésions à 12 mois étaient numériquement inférieurs avec Ameluz (19,5%) par rapport au MAL (31,2%).
  • -L'efficacité et la sécurité d'Ameluz dans le traitement du carcinome basocellulaire (CBC) d'une épaisseur <2 mm ont été évaluées sur 281 patients lors d'une étude clinique de phase III. 138 patients en tout ont été traités avec Ameluz au cours de cette étude. Tous les patients présentaient 1 à 3 lésions résultant d'un CBC sur le visage/front, sur des zones glabres du cuir chevelu, aux extrémités et/ou sur la nuque/le tronc. Lors de cette étude, la thérapie photodynamique (TPD) avec Ameluz a été testée pour démontrer sa non-infériorité par rapport à une crème contenant de l'aminolévulinate de méthyle à 16% (MAL, méthyl-[5-amino-4-oxopentanoate]). La source de lumière rouge délivrait un spectre étroit d'environ 635 nm à une dose de lumière de 37 J/cm2 (BF-RhodoLED). Le critère d'évaluation principal était le taux de guérison complète des patients 12 semaines après la dernière séance de TPD.
  • -Le taux total de guérison des patients s'élevait à 93,4% avec Ameluz contre 91,8% avec le MAL. L'étude a démontré la non-infériorité d'Ameluz par rapport à la crème à base de MAL (intervalle de confiance à 97,5% -6,5). Le taux de guérison des lésions du CBC était de 94,6% avec Ameluz contre 92,9% avec le MAL. Le taux de guérison des lésions dans le cas d'un CBC nodulaire était de 89,3% avec Ameluz contre 78,6% avec le MAL.
  • +L'efficacité et la sécurité d'Ameluz dans le traitement du carcinome basocellulaire (CBC) d'une épaisseur <2 mm ont été évaluées sur 281 patients lors d'une étude clinique de phase III (ALA-BCC-CT008). En tout, 138 patients ont été traités avec Ameluz au cours de cette étude. Tous les patients présentaient 1 à 3 lésions résultant d'un CBC sur le visage/front, sur des zones glabres du cuir chevelu, aux extrémités et/ou sur la nuque/le tronc. Lors de cette étude, la thérapie photodynamique (TPD) avec Ameluz a été testée pour démontrer sa non-infériorité par rapport à une crème contenant de l'aminolévulinate de méthyle à 16% (MAL, méthyl-[5-amino-4-oxopentanoate]). La source de lumière rouge délivrait un spectre étroit d'environ 635 nm à une dose de lumière de 37 J/cm2 (BF-RhodoLED). Le critère d'évaluation principal était le taux de guérison complète des patients 12 semaines après la dernière séance de TPD.
  • +Le taux de guérison totale des patients s'élevait à 93,4% avec Ameluz contre 91,8% avec le MAL. L'étude a démontré la non-infériorité d'Ameluz par rapport à la crème à base de MAL (intervalle de confiance à 97,5% -6,5). Le taux de disparition des lésions du CBC était de 94,6% avec Ameluz contre 92,9% avec le MAL. Le taux de disparition des lésions dans le cas d'un CBC nodulaire était de 89,3% avec Ameluz contre 78,6% avec le MAL.
  • -Les taux de récidive liés aux lésions à 6 et 12 mois étaient respectivement de 2,9% et de 6,7% avec Ameluz et de 4,3% et de 8,2% avec le MAL.
  • +Les taux de récidive rapportés aux lésions à 6 et 12 mois étaient respectivement de 2,9% et de 6,7% avec Ameluz et de 4,3% et de 8,2% avec le MAL.
  • -Chez la plupart des patients, une augmentation jusqu'à un facteur 2,5 des concentrations plasmatiques de base de l'ALA a été observée pendant les 3 premières heures après l'application d'Ameluz, ce qui reste dans les valeurs normales des concentrations d'ALA endogène jusqu'à présent rapportées et publiées. Les concentrations plasmatiques du métabolite PpIX ont été en général faibles chez tous les patients, et aucune augmentation significative de la concentration plasmatique de PpIX n'a été observée chez les sujets après l'application d'Ameluz.
  • +Chez la plupart des patients, une augmentation jusqu'à un facteur 2,5 des concentrations plasmatiques de base de l'ALA a été observée pendant les 3 premières heures après l'application d'ALA, ce qui reste dans les valeurs normales des concentrations d'ALA endogène jusqu'à présent rapportées et publiées. Les concentrations plasmatiques du métabolite PpIX ont été en général faibles chez tous les patients, et aucune augmentation significative de la concentration plasmatique de PpIX n'a été observée chez les sujets après l'application d'Ameluz.
  • -Juin 2020.
  • +Mars 2022
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