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Accueil - Information professionnelle sur Ameluz 78 mg/g - Changements - 26.11.2020
98 Changements de l'information professionelle Ameluz 78 mg/g
  • -Principe actif: chlorhydrate d'acide aminolévulinique.
  • -Excipients: propylène glycol; conserv.: benzoate de sodium (E211); excip. ad gelatum.
  • -Forme galénique et quantité de principe actif par unité
  • -1 g de gel contient 78 mg d'acide 5-aminolévulinique (soit 100 mg/g de chlorhydrate d'acide aminolévulinique).
  • -
  • +Principes actifs
  • +Acide 5-aminolévulinique (sous forme de chlorhydrate d'acide 5-aminolévulinique).
  • +Excipients
  • +10 mg/g de propylène glycol (E 1520), 2,36 mg/g de benzoate de sodium (E 211), gomme de xanthane, lécithine de soja hydrogénée, polysorbate 80, triglycérides à chaine moyenne, 2-propanol, phosphate disodique dihydraté, phosphate monosodique dihydraté, eau purifiée.
  • +
  • +
  • -·Traitement de la kératose actinique d'intensité légère à modérée du visage et du cuir chevelu (grade Olsen 1 à 2, voir «Propriétés/Effets», Pharmacodynamique) et de cancérisation d'une zone chez les adultes.
  • -·Traitement du carcinome basocellulaire superficiel et/ou nodulaire chez les adultes, qui ne peut être traité par voie chirurgicale en raison d'une morbidité éventuelle due à la maladie et/ou d'un mauvais résultat cosmétique.
  • +·Traitement de la kératose actinique d'intensité légère à modérée du visage et du cuir chevelu (grade Olsen 1 à 2; voir également «Propriétés/Effets», Mécanisme d'action) et de champs de cancérisation chez l'adulte.
  • +·Traitement du carcinome basocellulaire superficiel et/ou nodulaire chez l'adulte, qui ne peut être traité par la chirurgie en raison d'une morbidité éventuelle due à la maladie et/ou d'un mauvais résultat esthétique.
  • -Ameluz doit être administré uniquement sous la surveillance d'un médecin ou d'un(e) infirmier(ère) expérimenté(e) en thérapie photodynamique (TPD).
  • -Posologie chez les adultes
  • +Le médicament ne doit être administré que sous la supervision d'un médecin ou d'un professionnel de santé expérimenté dans l'utilisation de la thérapie photodynamique (TPD).
  • +Posologie usuelle
  • -Dans le cadre du traitement de la kératose actinique (KA), une séance de thérapie photodynamique (avec lumière du jour ou lumière rouge) doit être pratiquée sur une ou plusieurs lésions ou pour des zones cancérisées entières (zones de peau sur lesquelles plusieurs lésions de KA sont entourées par une zone étroitement délimitée avec des dommages actiniques et dus au soleil).
  • -Les lésions de kératose actinique ou les zones (cancérisées) doivent être réévaluées trois mois après le traitement. Il faut renouveler le traitement si les lésions traitées ou les zones cancérisées ne sont pas totalement guéries après trois mois.
  • +Pour le traitement de la kératose actinique (KA) chez l'adulte, une séance de TPD (avec lumière du jour ou lampe à lumière rouge) doit être pratiquée sur une ou plusieurs lésions ou sur des champs de cancérisation entiers (zones plusieurs lésions de KA très localisées sont entourées de dommages actiniques provoqués par le soleil).
  • +Les lésions de kératose actinique ou les champs (de cancérisation) doivent être réévalués trois mois après le traitement. Le traitement doit être renouvelé si les lésions traitées ou les champs de cancérisation ne sont pas totalement guéris après trois mois.
  • -Deux séances de thérapie photodynamique avec lampe à lumière rouge espacées d'une semaine environ doivent être pratiquées pour une seule ou plusieurs lésions dans le cadre du traitement du carcinome basocellulaire (CBC). Les lésions du carcinome basocellulaire feront l'objet d'une réévaluation trois mois après le traitement. Il faut renouveler le traitement si les lésions traitées ne sont pas totalement guéries après trois mois.
  • +Pour le traitement du carcinome basocellulaire (CBC) chez l'adulte, deux séances de TPD avec lampe à lumière rouge doivent être pratiquées sur une seule ou plusieurs lésions, en respectant un intervalle d'environ une semaine entre les séances. Les lésions du carcinome basocellulaire doivent être réévaluées trois mois après le traitement. Le traitement doit être renouvelé si les lésions traitées ne sont pas totalement guéries après trois mois.
  • -Il n'y a pas d'utilisation pertinente d'Ameluz chez les enfants et les adolescents.
  • -Il n'existe aucune étude démontrant la sécurité et l'efficacité d'Ameluz dans le traitement des patients âgés de moins de 18 ans.
  • +L'usage d'Ameluz n'est pas pertinent chez l'enfant et l'adolescent
  • +Il n'existe pas d'études attestant de la sécurité et de l'efficacité d'Ameluz dans le traitement des patients âgés de moins de 18 ans.
  • -Ameluz est utilisé en application sur la peau.
  • -Traitement de la KA, des zones cancérisées et du CBC avec une lampe à lumière rouge
  • +Ameluz est destiné à une application sur la peau.
  • +Traitement de la KA, des champs de cancérisation et du CBC avec une lampe à lumière rouge
  • -Avant l'application d'Ameluz, un tampon de coton imprégné d'éthanol ou d'isopropanol doit être passé minutieusement sur toutes les lésions pour dégraisser la peau. Les squames et les croûtes doivent être soigneusement éliminées tandis que les surfaces de toutes les lésions seront rendues rugueuses, en douceur, en veillant à ne pas les faire saigner.
  • +Avant l'application d'Ameluz, un tampon de coton imprégné d'éthanol ou d'isopropanol doit être passé minutieusement sur toutes les lésions pour dégraisser la peau. Les squames et les croûtes doivent être soigneusement éliminées et la surface de toutes les lésions doit être abrasée en douceur, en veillant à ne pas les faire saigner.
  • -Ameluz doit être appliqué jusqu'à 20 cm2 sur la surface de la lésion ou toutes les zones cancérisées, du bout des doigts protégés par un gant ou à l'aide d'une spatule.
  • -Le gel doit couvrir les lésions et les zones concernées ainsi qu'une partie d'environ 5 mm tout autour de celles-ci, en formant un film avoisinant 1 mm d'épaisseur.
  • +Appliquer Ameluz du bout des doigts, la main étant protégée par un gant, ou avec une spatule, en recouvrant la surface de la lésion ou l'ensemble du champ de cancérisation sur une surface jusqu'à 20 cm2.
  • +Le gel doit couvrir les lésions ou l'ensemble du champ et un pourtour d'env. 5 mm, en formant un film d'env. 1 mm d'épaisseur.
  • -Le gel peut être appliqué sur la peau saine entourant les lésions, tandis que l'application au niveau des yeux, des narines, de la bouche, des oreilles ou des muqueuses doit être évitée (respecter une distance de 1 cm). Éviter le contact direct d'Ameluz avec les yeux ou les muqueuses. En cas de contact accidentel, il est recommandé de rincer la zone à l'eau.
  • +Le gel peut être appliqué sur la peau saine entourant les lésions, en évitant toutefois le contour des yeux, des narines, de la bouche, des oreilles et des muqueuses (respecter une distance de 1 cm). Éviter le contact direct d'Ameluz avec les yeux ou les muqueuses. En cas de contact accidentel, il est recommandé de rincer à l'eau.
  • -Immédiatement après le nettoyage des lésions, la totalité de la zone à traiter est illuminée par une source de lumière rouge, soit à spectre étroit d'environ 630 nm et avec une dose de lumière d'environ 37 J/cm2, soit à spectre plus large et continu entre 570 et 670 nm avec une dose de lumière comprise entre 75 et 200 J/cm2. Il est important de s'assurer que la bonne dose de lumière est administrée. La dose de lumière est déterminée par des facteurs tels que la taille du champ lumineux, la distance entre la lampe et la surface de la peau ainsi que la durée d'illumination. Ces facteurs varient selon le type de lampe. La dose de lumière appliquée doit être surveillée si un détecteur adapté est disponible. Durant l'illumination, la lampe doit être fixée à la distance de la surface de la peau indiquée dans le mode d'emploi. Il est recommandé d'utiliser une lampe à spectre étroit pour obtenir des taux de guérison des lésions plus élevés. Un traitement symptomatique peut être envisagé en cas d'effets indésirables au niveau des zones d'application. Un spectre plus large et continu peut être utilisé si les sources de lumière à spectre étroit ne sont pas tolérées (voir «Effets indésirables» et «Propriétés/Effets», Pharmacodynamique).
  • -Traitement à la lumière du jour de la KA et des zones cancérisées
  • +Immédiatement après le nettoyage des lésions, la totalité de la zone à traiter est illuminée par une source de lumière rouge, soit à spectre étroit d'environ 630 nm, à une dose de lumière d'environ 37 J/cm2, soit à spectre plus large et continu entre 570 et 670 nm, à une dose de lumière comprise entre 75 et 200 J/cm2. Il est important de s'assurer que la bonne dose de lumière est administrée. La dose de lumière est déterminée par des facteurs tels que la taille du champ lumineux, la distance entre la lampe et la surface de la peau, ainsi que la durée d'illumination. Ces facteurs varient selon le type de lampe. La dose de lumière délivrée doit être surveillée, si un détecteur adapté est disponible. Durant l'illumination, la lampe doit être placée de telle sorte à respecter la distance par rapport à la surface de la peau qui est indiquée dans le mode d'emploi. Il est recommandé d'utiliser une lampe à spectre étroit pour obtenir de meilleurs taux de guérison. Un traitement symptomatique peut être envisagé en cas d'effets indésirables au niveau du site d'application. Un spectre plus large et continu peut être utilisé si les sources de lumière à spectre étroit ne sont pas tolérées (voir «Effets indésirables» et «Propriétés/Effets», Mécanisme d'action).
  • +Traitement de la KA et des champs de cancérisation à la lumière du jour
  • -Le traitement à la lumière du jour doit être administré uniquement si une exposition est possible dans des conditions agréables à l'extérieur pendant deux heures (températures >10 °C). En cas de pluie ou de forte probabilité de pluie, le traitement à la lumière du jour ne doit pas être pratiqué.
  • +Le traitement à la lumière du jour ne doit être administré que si une exposition est possible à l'extérieur dans des conditions agréables pendant 2 heures (températures >10°C). En cas de pluie ou de forte probabilité de pluie, le traitement à la lumière du jour ne doit pas être pratiqué.
  • -Une protection solaire doit être appliquée 15 minutes avant la préparation au traitement afin de protéger la peau exposée au soleil. Seules les protections solaires avec filtres chimiques et un indice de protection de 30 minimum peuvent être utilisées. Les protections solaires avec filtres physiques tels l'oxyde de titane ou de zinc, etc. ne doivent pas être utilisées car ces filtres peuvent entraver l'absorption de la lumière et réduire ainsi l'efficacité du traitement.
  • -Avant l'application d'Ameluz, un tampon de coton imprégné d'éthanol ou d'isopropanol doit être passé minutieusement sur toutes les lésions pour dégraisser la peau. Les squames et les croûtes doivent être soigneusement éliminées tandis que les surfaces de toutes les lésions seront rendues rugueuses, en douceur, en veillant à ne pas les faire saigner.
  • +Une protection solaire doit être appliquée 15 minutes avant la préparation des lésions afin de protéger la peau exposée au soleil. Seules les protections solaires avec filtres chimiques et un indice de protection de 30 minimum peuvent être utilisées. Les protections solaires avec filtres physiques tels que le dioxyde de titane ou l'oxyde de zinc, etc. ne doivent pas être utilisées car ces filtres peuvent entraver l'absorption de la lumière et réduire ainsi l'efficacité du traitement.
  • +Avant l'application d'Ameluz, un tampon de coton imprégné d'éthanol ou d'isopropanol doit être passé minutieusement sur toutes les lésions pour dégraisser la peau. Les squames et les croûtes doivent être soigneusement éliminées et la surface de toutes les lésions doit être abrasée en douceur, en veillant à ne pas les faire saigner.
  • -Appliquer une fine couche d'Ameluz sur la surface de la lésion ou toutes les zones cancérisées, du bout des doigts protégés par un gant ou à l'aide d'une spatule. Le gel doit couvrir les lésions ou les zones ainsi qu'une surface de 5 mm environ autour de celles-ci. Un pansement n'est pas nécessaire. Le gel peut être appliqué sur la peau saine entourant les lésions, tandis que l'application au niveau des yeux, des narines, de la bouche, des oreilles ou des muqueuses doit être évitée (respecter une distance de 1 cm). Éviter le contact direct d'Ameluz avec les yeux ou les muqueuses. En cas de contact accidentel, il est recommandé de rincer la zone à l'eau. Le gel doit rester sur la peau pendant toute la durée du traitement photodynamique à la lumière du jour.
  • +Appliquer Ameluz en couche mince, du bout des doigts, la main étant protégée par un gant, ou avec une spatule, en recouvrant la surface de la lésion ou l'ensemble du champ de cancérisation. Le gel doit couvrir les lésions ou l'ensemble du champ et un pourtour d'env. 5 mm. Un pansement n'est pas nécessaire. Le gel peut être appliqué sur la peau saine entourant les lésions, en évitant toutefois le contour des yeux, des narines, de la bouche, des oreilles et des muqueuses (respecter une distance de 1 cm). Éviter le contact direct d'Ameluz avec les yeux ou les muqueuses. En cas de contact accidentel, il est recommandé de rincer à l'eau. Le gel doit rester sur la peau pendant toute la durée du traitement photodynamique à la lumière du jour.
  • -Si les conditions sont favorables (voir paragraphe précédent «Réflexions avant le traitement»), les patients doivent aller à l'extérieur dans un délai de 30 minutes après l'application du gel et s'exposer à la lumière du jour pendant 2 heures consécutives. S'il fait chaud, il est permis de se mettre à l'ombre. L'interruption de l'exposition à l'extérieur devra être compensée par une illumination plus longue. Le gel restant est éliminé à la fin de l'exposition à la lumière.
  • -Les lésions doivent être réévaluées après trois mois et les éventuelles lésions ou zones résiduelles doivent être traitées une nouvelle fois.
  • -Il est recommandé de confirmer la réaction des lésions du CBC par un examen histologique du matériel de biopsie, si ceci est considéré comme nécessaire. Il est conseillé, par la suite, de procéder à une surveillance clinique ��troite du CBC à l'aide d'un examen histologique, si nécessaire.
  • +Si les conditions sont adaptées (voir paragraphe ci-dessus «Réflexions avant le traitement»), les patients doivent aller à l'extérieur dans un délai de 30 minutes après l'application du gel et s'exposer à la lumière du jour complète pendant 2 heures consécutives. S'il fait chaud, il est permis de se mettre à l'ombre. Une interruption de l'exposition à l'extérieur devra être compensée par une durée d'illumination plus longue. Le gel restant est éliminé à la fin de l'exposition à la lumière.
  • +Les lésions doivent être réévaluées après trois mois et le traitement doit être renouvelé sur les éventuelles lésions ou champs résiduels.
  • +Il est recommandé de confirmer la réaction des lésions du CBC par un examen histologique du matériel de biopsie, si ceci est jugé nécessaire. Par la suite, il est conseillé de mettre en place une étroite surveillance clinique �� long terme du CBC, si nécessaire en procédant à un examen histologique.
  • -Ameluz est contre-indiqué dans les cas suivants:
  • -Risque d'une amnésie globale transitoire (AGT)
  • -Dans de très rares cas, une thérapie photodynamique (TPD) peut être un facteur déclenchant l'apparition d'une amnésie globale transitoire. Bien que le mécanisme ne soit pas connu, le stress et les douleurs liés à une TPD peuvent accroître le risque d'apparition d'une amnésie transitoire. La TPD doit être immédiatement stoppée en cas d'observation d'une amnésie (voir «Effets indésirables»).
  • +Risque d'amnésie globale transitoire (AGT)
  • +Dans de très rares cas, une TPD peut être un facteur déclenchant l'apparition d'une amnésie globale transitoire. Bien que le mécanisme exact ne soit pas connu, le stress et les douleurs liés à une TPD peuvent accroître le risque d'apparition d'une amnésie transitoire. La TPD doit être immédiatement stoppée en cas d'observation d'une amnésie (voir également la rubrique «Effets indésirables»).
  • -Une réaction inflammatoire jouant un rôle déterminant sur les effets de la TPD, les patients suivant actuellement une thérapie à base d'immunosuppresseurs ont été exclus des études portant sur l'efficacité et la sécurité d'Ameluz. Par conséquent, nous ne disposons pas d'expériences quant à l'utilisation d'Ameluz chez les patients sous immunosuppresseurs et il est donc déconseillé d'utiliser des immunosuppresseurs durant un traitement avec Ameluz.
  • +Une réaction inflammatoire jouant un rôle déterminant sur les effets de la TPD, les patients suivant actuellement un traitement à base d'immunosuppresseurs ont été exclus des études portant sur l'efficacité et la sécurité d'Ameluz. Par conséquent, on ne dispose d'aucune expérience quant à l'utilisation d'Ameluz chez les patients sous immunosuppresseurs et il est donc déconseillé d'utiliser des immunosuppresseurs durant un traitement avec Ameluz.
  • -On ne dispose d'aucune expérience sur l'utilisation d'Ameluz chez les patients présentant des troubles de la coagulation héréditaires ou acquis. Pour ces patients, il faut particulièrement veiller à éviter des saignements lors de la préparation des lésions (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
  • +On ne dispose d'aucune expérience quant à l'utilisation d'Ameluz chez les patients présentant des troubles de la coagulation héréditaires ou acquis. Chez ces patients, il faut particulièrement veiller à éviter un saignement lors de la préparation des lésions (voir également la rubrique «Posologie/Mode d'emploi»).
  • -Ameluz peut provoquer des irritations des muqueuses et des yeux. L'excipient benzoate de sodium peut être légèrement irritant pour la peau, les yeux ou les muqueuses. Le propylène glycol peut provoquer des irritations.
  • +Ameluz peut provoquer des irritations des muqueuses et des yeux. Le conservateur benzoate de sodium peut être légèrement irritant pour la peau, les yeux ou les muqueuses. Le propylène glycol peut provoquer des irritations.
  • -Utilisation sur des zones de la peau concernées par d'autres maladies ou sur des tatouages
  • -La réussite et l'évaluation du traitement peuvent être compromis si la zone traitée est le siège de maladies de la peau (inflammation de la peau, infection locale, psoriasis, eczéma et tumeurs malignes de la peau) ou si elle porte des tatouages. On ne dispose d'aucune expérience dans ces situations.
  • +Utilisation sur des zones cutanées affectées par d'autres maladies ou tatouées
  • +La réussite et l'évaluation du traitement peuvent être compromises si la zone traitée est le siège de maladies de la peau (inflammation de la peau, infection localisée, psoriasis, eczéma et tumeurs malignes de la peau) ou porte des tatouages. On ne dispose d'aucune expérience dans ces situations.
  • -Ameluz intensifie temporairement la phototoxicité. Toute thérapie aux UV doit être arrêtée avant le traitement. De manière générale, il convient d'éviter toute exposition au soleil des lésions traitées et de la zone cutanée environnante pour une durée avoisinant 48 heures après le traitement.
  • -L'utilisation concomitante de médicaments connus pour avoir un potentiel phototoxique ou photoallergique comme p.ex. le millepertuis, la griséofulvine, les diurétiques thiazidiques, les sulfonylurées, les phénothiazines, les sulfamides, les quinolones et les tétracyclines, peut intensifier la réaction phototoxique à la thérapie. L'utilisation concomitante d'autres médicaments topiques doit être évitée.
  • +Ameluz intensifie temporairement la phototoxicité. Toute thérapie aux UV doit être arrêtée avant le traitement. Par mesure de précaution, les lésions traitées et la zone cutanée environnante ne doivent pas être exposées au soleil dans les 48 heures environ après le traitement. L'utilisation concomitante de médicaments connus pour avoir un potentiel phototoxique ou photoallergique comme le millepertuis, la griséofulvine, les diurétiques thiazidiques, les sulfonylurées, les phénothiazines, les sulfamides, les quinolones et les tétracyclines, peut potentialiser la réaction phototoxique à la TPD. L'utilisation concomitante d'autres médicaments topiques doit être évitée.
  • -Ameluz contient de la phosphatidylcholine extraite du soja et ne doit pas être utilisé chez les patients présentant une allergie connue à l'arachide ou au soja (voir «Contre-indications»).
  • -On ne dispose d'aucune expérience sur le traitement de la maladie de Bowen. Aussi cette affection ne devrait pas être traitée par ce médicament.
  • +Ameluz contient de la phosphatidylcholine extraite du soja et ne doit pas être utilisé chez les patients présentant une allergie connue à l'arachide ou au soja (voir également la rubrique «Contre-indications»).
  • +On ne dispose d'aucune expérience sur le traitement de la maladie de Bowen. Aussi, cette affection ne devrait pas être traitée avec Ameluz.
  • +Ce médicament contient 10 mg de propylène glycol dans 1 g de gel. Le propylène glycol (E 1520) peut provoquer des irritations cutanées.
  • +Le médicament contient 2.36 mg de benzoate de sodium (E 211), un conservateur, dans 1 g de gel. Le benzoate de sodium peut provoquer des irritations locales.
  • -Grossesse/Allaitement
  • +Grossesse, allaitement
  • -On ne dispose jusqu'à maintenant d'aucune expérience sur l'emploi de l'acide 5-aminolévulinique chez la femme enceinte. Les expérimentations animales n'ont pas révélé de toxicité de reproduction (voir «Données précliniques»). Par mesure de précaution, Ameluz n'est pas recommandé pendant la grossesse, ni chez les femmes en âge de procréer n'utilisant pas de moyen de contraception.
  • +On ne dispose à ce jour d'aucune expérience sur l'emploi de l'acide 5-aminolévulinique chez la femme enceinte. Les expérimentations animales n'ont pas révélé de toxicité sur la reproduction (voir également la rubrique «Données précliniques»). Par mesure de précaution, l'utilisation d'Ameluz est déconseillée pendant la grossesse et chez la femme en âge de procréer n'utilisant pas de moyen de contraception.
  • -Ameluz a une influence moindre sur l'aptitude à la conduite ou la capacité à utiliser des machines. Certains effets indésirables comme des maux de tête et une limite de l'acuité visuelle peuvent entraîner une diminution de l'aptitude à la conduite. Aucune étude n'a été menée à ce sujet.
  • +Ameluz a une légère influence sur l'aptitude à la conduite ou l'utilisation de machines. Certains effets indésirables comme des céphalées et une altération de la vue peuvent entraîner une diminution de l'aptitude à la conduite. Aucune étude n'a été menée à ce sujet.
  • -Dans les études cliniques menées avec Ameluz, des réactions cutanées locales au niveau des zones d'application ont été observées chez la plupart des patients traités pour une kératose actinique ou un carcinome basocellulaire. De telles réactions sont à attendre du fait que le principe de la thérapie photodynamique repose sur les effets phototoxiques de la protoporphyrine IX synthétisée à partir du principe actif acide 5-aminolévulinique.
  • -Les signes et les symptômes les plus fréquents sont des sensations de brûlure, un érythème, des douleurs et un œdème au niveau des zones d'application. L'intensité de ces effets dépend du type d'illumination utilisé pour la thérapie photodynamique. Les effets renforcés des lampes à spectre étroit sont corrélés aux taux de guérison plus élevés lors de l'utilisation de ces lampes (voir «Propriétés/Effets», Pharmacodynamique). La plupart des effets indésirables apparaissent pendant l'illumination ou peu de temps après. Les symptômes sont en général d'intensité légère à modérée (évaluation par le médecin investigateur sur une échelle à 4 points) et durent entre 1 et 4 jours dans la majorité des cas. Dans certains cas, ils peuvent cependant persister durant 1 à 2 semaines ou plus longtemps. Dans de rares cas, les effets indésirables peuvent nécessiter l'interruption ou l'arrêt de l'illumination.
  • -L'incidence des effets indésirables chez 574 patients ayant été traités par TPD avec Ameluz dans le cadre d'études pivots et l'incidence des effets secondaires signalés après l'autorisation de mise sur le marché sont présentées ci-après. Les fréquences sont définies comme suit: très fréquents (≥1/10), fréquents (<1/10, ≥1/100), occasionnels (<1/100, ≥1/1000), rares (<1/1000, ≥1/10000), très rares (<1/10000) et cas isolés (la fréquence ne peut pas être estimée sur la base des données disponibles). Dans chaque groupe de fréquence, les effets indésirables sont présentés par ordre décroissant de gravité.
  • +Dans les études cliniques menées avec Ameluz, des réactions cutanées locales ont été observées au niveau du site d'application chez la plupart des patients traités pour une kératose actinique ou un carcinome basocellulaire. De telles réactions sont à attendre du fait que le principe de la TPD repose sur les effets phototoxiques de la protoporphyrine IX synthétisée à partir du principe actif acide 5-aminolévulinique.
  • +Les signes et symptômes les plus fréquents sont des sensations de brûlure, un érythème, des douleurs et un œdème sur le site d'application. L'intensité de ces effets dépend du type d'illumination utilisé pour la thérapie photodynamique. Les effets renforcés des lampes à spectre étroit sont en corrélation avec les taux de guérison plus élevés lors de l'utilisation de ces lampes (voir «Propriétés/Effets», Mécanisme d'action). La plupart des effets indésirables apparaissent pendant l'illumination ou peu de temps après. Les symptômes sont en général d'intensité légère à modérée (évaluation par le médecin investigateur sur une échelle à 4 points) et durent entre 1 et 4 jours dans la majorité des cas. Dans certains cas, ils peuvent cependant persister durant 1 à 2 semaines ou plus longtemps. Dans de rares cas, les effets indésirables peuvent nécessiter l'interruption ou l'arrêt de l'illumination
  • +Effets indésirables identifiés après la mise sur le marché
  • +L'incidence des effets indésirables chez 574 patients ayant été traités par TPD avec Ameluz dans le cadre d'études pivots, ainsi que l'incidence des effets secondaires signalés après l'autorisation de mise sur le marché sont présentées ci-après. Les fréquences sont définies comme suit: très fréquents (≥1/10), fréquents (1/100 à <1/10), occasionnels (1/1000 à <1/100), rares (1/10 000 à <1/1000), très rares (<1/10 000) et cas isolés (la fréquence ne peut être estimée sur la base des données disponibles). Dans chaque groupe de fréquence, les effets indésirables sont présentés par ordre décroissant de gravité.
  • -Au niveau des zones d'application: pustules.
  • -Ailleurs que sur les zones d'application: éruption pustuleuse.
  • +Au site d'application: pustules.
  • +En dehors du site d'application: éruption pustuleuse.
  • -Cas isolés1: amnésie globale transitoire (avec confusion et désorientation)
  • +Cas isolés1: amnésie globale transitoire (avec confusion et désorientation).
  • -Occasionnels: œdème palpébral, vision trouble, altération de la vue.
  • +Occasionnels: œdème palpébral, vision floue, altération de la vue.
  • -Fréquents: au niveau des zones d'application: tension de la peau.
  • -Occasionnels: au niveau des zones d'application: formation de vésicules, peau sèche, pétéchies, hyperkératose.
  • -Affections des muscles squelettiques, du tissu conjonctif et des os
  • -Occasionnels: maux de dos.
  • -Troubles généraux et anomalies des zones d'administration
  • +Fréquents: au site d'application: tension de la peau.
  • +Occasionnels: au site d'application: formation de vésicules, peau sèche, pétéchies, hyperkératose.
  • +Affections musculosquelettiques et du tissu conjonctif
  • +Occasionnels: mal de dos.
  • +Troubles généraux et anomalies au site d'administration
  • -Au niveau des zones d'application: érythème (84%), douleurs (incluant des sensations de brûlure) (78%), brûlures (51%), prurit (34%), œdème (27%), formation de croûte (18%), exfoliation (16%), induration (13%), paresthésie (12%).
  • +Au site d'application: érythème (84%), douleurs (y compris sensations de brûlure) (78%), brûlures (51%), prurit (34%), œdème (27%), formation de croûte (18%), exfoliation (16%), induration (13%), paresthésie (12%).
  • -Au niveau des zones d'application: vésicules, sécrétions, érosion, réactions, gêne, hyperalgésie, hémorragie, sensation de chaleur.
  • +Au site d'application: vésicules, sécrétions, érosion, réactions, sensation désagréable, hyperalgésie, hémorragie, sensation de chaleur.
  • -Au niveau des zones d'application: changement de couleur, ulcère, enflure, inflammation.
  • -Ailleurs que sur les zones d'application: frissons, sensation de chaleur, pyrexie, douleurs, fatigue, ulcère.
  • -Examens
  • -Cas isolés2: pression sanguine plus élevée (immédiatement après la TPD).
  • -Blessure, intoxication et complications occasionnées par les interventions
  • +Au site d'application: changement de couleur, ulcère, gonflement, inflammation.
  • +En dehors du site d'application: frissons, sensation de chaleur, pyrexie, douleurs, fatigue, ulcère.
  • +Investigations
  • +Cas isolés2: pression artérielle plus élevée (immédiatement après la TPD).
  • +Lésions, intoxications et complications d'interventions
  • -Maladies vasculaires
  • +Affections vasculaires
  • -1 Données issues de la surveillance d'utilisation. Cinq comptes-rendus (trois cas tirés de la littérature scientifique et deux notifications volontaires) concernent les événements de ces passages. La confusion et la désorientation ont été signalées comme effets supplémentaires.
  • -2 Données issues de la surveillance d'utilisation. Trois comptes-rendus (deux cas tirés de la littérature scientifique et une notification volontaire) concernent les événements de ces passages.
  • -Une étude a été menée afin d'évaluer le potentiel de sensibilisation de l'acide aminolévulinique sur 216 sujets sains. Continuellement exposés durant 21 jours à des doses d'acide aminolévulinique supérieures à celles utilisées habituellement dans le traitement de la KA, 13 sujets (6%) ont développé une dermatite de contact allergique. Aucune dermatite de contact allergique n'a été observée dans des conditions normales de traitement.
  • +1 Données issues des études observationnelles. Cinq comptes-rendus (trois cas tirés de la littérature scientifique et deux signalements spontas) concernent les événements de ces passages. La confusion et la désorientation ont été signalées comme événements supplémentaires.
  • +2 Données issues des études observationnelles. Trois comptes-rendus (deux cas tirés de la littérature scientifique et un signalement sponta) concernent les événements de ces passages.
  • +Dans une étude menée sur 216 sujets sains afin d'évaluer le potentiel de sensibilisation de l'ALA, 13 sujets (6%) ont développé une dermatite de contact allergique après avoir été exposés en continu durant 21 jours à des doses d'ALA supérieures à celles utilisées habituellement dans le traitement de la KA. Aucune dermatite de contact allergique n'a été observée dans des conditions normales de traitement.
  • +L'annonce d'effets secondaires présumés après l'autorisation est d'une grande importance. Elle permet un suivi continu du rapport bénéfice-risque du médicament. Les professionnels de santé sont tenus de déclarer toute suspicion d'effet secondaire nouveau ou grave via le portail d'annonce ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet sur www.swissmedic.ch.
  • -Un surdosage à la suite d'une utilisation topique d'Ameluz est improbable et aucun cas n'a été observé dans les études cliniques. Une toxicité systémique est improbable en cas d'ingestion accidentelle d'Ameluz. Il convient néanmoins de recommander au patient de ne pas s'exposer au soleil pendant 48 heures et de le surveiller.
  • +Un surdosage à la suite d'une application topique d'Ameluz est improbable et aucun cas n'a été observé dans les études cliniques. Une toxicité systémique est improbable en cas d'ingestion accidentelle d'Ameluz. Il convient néanmoins de recommander au patient de ne pas s'exposer au soleil pendant 48 heures et de le surveiller.
  • -Code ATC: L01XD04
  • -Pharmacodynamique
  • -
  • +Code ATC
  • +L01XD04
  • -Après application topique d'acide 5-aminolévulinique, le principe actif est métabolisé en protoporphyrine IX, un composé photoactif qui s'accumule dans les espaces intracellulaires des lésions de kératose actinique et de carcinome basocellulaire traitées. La protoporphyrine IX est activée par illumination par la lumière rouge d'une longueur d'onde et d'une énergie adaptées. En présence d'oxygène, il se forme des dérivés réactifs de l'oxygène qui endommagent les composants cellulaires et finissent par détruire les cellules cibles.
  • +Après application topique d'acide 5-aminolévulinique, le principe actif est métabolisé en protoporphyrine IX, un composé photoactif qui s'accumule dans les espaces intracellulaires des lésions de kératose actinique et de carcinome basocellulaire traitées. La protoporphyrine IX est activée par illumination par la lumière rouge d'une longueur d'onde et d'une énergie adaptée. En présence d'oxygène, il se forme des espèces réactives de l'oxygène qui endommagent les composants cellulaires et finissent par détruire les cellules cibles.
  • +Pharmacodynamique
  • +Pas de données.
  • +
  • -Traitement de la kératose actinique (KA) et de la zone cancérisée
  • -L'efficacité et la sécurité d'Ameluz dans le traitement de la kératose actinique ont été évaluées dans des études cliniques réalisées sur 696 patients. En phase clinique III, 436 patients ont été traités avec Ameluz. Tous les patients présentaient au moins 4 lésions de kératose actinique légères à modérées sur le visage et/ou le cuir chevelu. La préparation des zones d'application et la durée d'incubation étaient conformes à la description figurant à la rubrique «Posologie/Mode d'emploi». Les lésions ou zones cancérisées qui n'étaient pas totalement guéries 12 semaines après le traitement initial ont été traitées une seconde fois de la même manière.
  • +Traitement de la kératose actinique (KA) et de champs de cancérisation
  • +L'efficacité et la sécurité d'Ameluz dans le traitement de la kératose actinique ont été évaluées dans des études cliniques réalisées sur 696 patients. Durant la phase III, 436 patients ont été au total traités avec Ameluz. Tous les patients présentaient au moins 4 lésions de kératose actinique légères à modérées sur le visage et/ou le cuir chevelu. La préparation des sites d'application et la durée d'incubation étaient conformes à la description figurant à la rubrique «Posologie/Mode d'emploi». Les lésions ou champs de cancérisation qui n'étaient pas totalement guéris 12 semaines après le traitement initial ont été traités une seconde fois de la même manière.
  • -Dans une étude clinique randomisée, avec observateur en aveugle, menée sur 571 patients KA, et une période de suivi de 6 à 12 mois, la thérapie photodynamique avec Ameluz a été testée pour démontrer sa non-infériorité par rapport à une crème autorisée contenant de l'aminolévulinate de méthyle à 16% (MAL, méthyl-[5-amino-4-oxopentanoate]) et sa supériorité par rapport à un placebo. La source de lumière rouge était soit une lampe à spectre étroit (Aktilite CL 128 ou Omnilux PDT), soit une lampe à spectre lumineux plus large et continu (Waldmann PDT 1200 L ou Hydrosun Photodyn 505 ou 750). Le critère d'évaluation principal était la guérison complète de toutes les lésions du patient 12 semaines après la dernière TPD. Ameluz (78,2%) a été significativement plus efficace que le MAL (64,2%, [intervalle de confiance à 97,5%: 5,9; ∞]) et que le placebo (17,1%, [intervalle de confiance à 95%: 51,2; 71,0]). Les taux de guérison complète des lésions étaient plus élevés avec Ameluz (90,4%) qu'avec le MAL (83,2%) et le placebo (37,1%). Les taux de guérison et la tolérance dépendaient de la source de lumière utilisée. Le tableau ci-dessous présente l'efficacité et les effets indésirables «douleurs passagères» et «érythème» au niveau des zones d'application pendant la TPD avec différentes sources de lumière pour le traitement de la KA:
  • -Source de lumière Médicament Guérison complète des patients (%) Érythème au niveau des zones d'application (%) Douleur au niveau des zones d'application (%)
  • +Dans une étude clinique randomisée, avec observateur en aveugle, menée sur 571 patients avec KA, et avec une période de suivi de 6 à 12 mois, la TPD avec Ameluz a été testée pour démontrer sa non-infériorité par rapport à une crème autorisée contenant de l'aminolévulinate de méthyle à 16% (MAL, méthyl-[5-amino-4-oxopentanoate]) et sa supériorité par rapport à un placebo. La source de lumière rouge était soit une lampe à spectre étroit (Aktilite CL 128 ou Omnilux PDT), soit une lampe à spectre lumineux plus large et continu (Waldmann PDT 1200 L ou Hydrosun Photodyn 505 ou 750). Le critère d'évaluation principal était la guérison complète de toutes les lésions du patient 12 semaines après la dernière TPD. Ameluz (78,2%) a été significativement plus efficace que le MAL (64,2%, [intervalle de confiance à 97,5%: 5,9; ∞]) et que le placebo (17,1%, [intervalle de confiance à 95%: 51,2; 71,0]). Les taux de guérison complète des lésions étaient plus élevés avec Ameluz (90,4%) qu'avec le MAL (83,2%) et le placebo (37,1%). Les taux de guérison et la tolérance dépendaient de la source de lumière utilisée. Le tableau ci-dessous présente l'efficacité et les effets indésirables «douleurs passagères» et «érythème» au site d'application pour le traitement de la KA par TPD avec différentes sources de lumière:
  • +Source de lumière Médicament Guérison complète des patients (%) Érythème au site d'application (%) Douleur au site d'application (%)
  • -L'efficacité clinique a été réévaluée lors d'examens de suivi réalisés 6 à 12 mois après la dernière TPD. Les taux de récidive à 12 mois étaient légèrement meilleurs avec Ameluz (41,6%, [intervalle de confiance à 95%: 34,4; 49,1]) qu'avec le MAL (44,8%, [intervalle de confiance à 95%: 36,8; 53,0]) et dépendaient du spectre lumineux utilisé pour l'illumination, les résultats ayant été meilleurs avec les lampes à spectre étroit. Avant de décider de réaliser une thérapie photodynamique, il faut tenir compte du fait que la probabilité de guérison de toutes les lésions d'un patient 12 mois après la dernière séance était, avec des lampes à spectre étroit ou avec tous les types de lampes, de 53,1% ou de 47,2% avec le traitement par Ameluz et de 40,8% ou de 36,3% avec le traitement par le MAL. La probabilité de n'avoir besoin que d'une séance de traitement et de n'avoir plus aucune lésion 12 mois après la TPD était en moyenne de 32,3% pour les patients du groupe Ameluz et de 22,4% pour les patients du groupe MAL avec toutes les lampes.
  • -Le résultat cosmétique évalué 12 semaines après la dernière séance de TPD (en excluant les scores totaux en ligne de base de 0) a été jugé très bon ou bon pour 43,1% des patients du groupe Ameluz, 45,2% de ceux du groupe MAL et 36,4% de ceux du groupe placebo et peu satisfaisant ou insuffisant pour 7,9%, 8,1% et 18,2% des patients.
  • -Ameluz a également été comparé à un traitement placebo dans une étude clinique randomisée, en double aveugle, incluant 122 patients KA. La source de lumière rouge a fourni soit un spectre étroit autour de 630 nm à une dose de lumière de 37 J/cm2 (Aktilite CL 128), soit un spectre plus large et continu entre 570 et 670 nm à une dose de lumière de 170 J/cm2 (Photodyn 750). Le critère d'évaluation principal était la guérison complète de toutes les lésions des patients, 12 semaines après la dernière séance de thérapie photodynamique. La thérapie photodynamique avec Ameluz (66,3%) était significativement plus efficace qu'avec le placebo (12,5%, p<0,0001). Le taux de guérison des lésions était plus élevé avec Ameluz (81,1%) qu'avec le placebo (20,9%). Les taux de guérison et la tolérance dépendaient de la source d'illumination et ont été meilleurs avec la source de lumière à spectre étroit. L'efficacité clinique s'est maintenue pendant les durées de suivi de 6 et 12 mois après la dernière séance de thérapie photodynamique. Avant de décider de réaliser une thérapie photodynamique, il faut tenir compte du fait que la probabilité de guérison de toutes les lésions d'un patient 12 mois après la dernière séance était de 67,5% ou de 46,8% avec le traitement par Ameluz, avec des lampes à spectre étroit ou avec tous les types de lampes. La probabilité de n'avoir besoin que d'une séance de traitement par Ameluz et de rester sans aucune lésion 12 mois plus tard était en moyenne de 34,5% avec toutes les lampes.
  • -Source de lumière Médicament Guérison complète des patients (%) Érythème au niveau des zones d'application (%) Douleur au niveau des zones d'application (%)
  • +L'efficacité clinique a été réévaluée lors d'examens de suivi réalisés 6 et 12 mois après la dernière TPD. Les taux de récidive à 12 mois étaient légèrement meilleurs avec Ameluz (41,6%, [intervalle de confiance à 95%: 34,4; 49,1]) qu'avec le MAL (44,8%, [intervalle de confiance à 95%: 36,8; 53,0]) et dépendaient du spectre lumineux utilisé pour l'illumination, les résultats ayant été en faveur des lampes à spectre étroit. Avant de décider de réaliser une thérapie photodynamique, il faut tenir compte du fait que la probabilité de guérison de toutes les lésions d'un patient 12 mois après la dernière séance était, avec des lampes à spectre étroit ou avec tous types de lampes confondus, de 53,1% ou de 47,2% avec le traitement par Ameluz et de 40,8% ou de 36,3% avec le traitement par MAL. La probabilité de n'avoir besoin que d'une séance de traitement et de n'avoir plus aucune lésion 12 mois après la TPD était en moyenne, toutes lampes confondues, de 32,3% pour les patients du groupe Ameluz contre 22,4% pour les patients du groupe MAL.
  • +Le résultat esthétique évalué 12 semaines après la dernière séance de TPD (en excluant les scores totaux de 0 à l'inclusion) a été jugé très bon ou bon pour 43,1% des patients du groupe Ameluz, 45,2% de ceux du groupe MAL et 36,4% de ceux du groupe placebo et peu satisfaisant ou insuffisant pour respectivement 7,9%, 8,1% et 18,2% des patients.
  • +Ameluz a également été comparé à un traitement placebo dans une étude clinique randomisée, en double aveugle, incluant 122 patients avec KA. La source de lumière rouge délivrait soit un spectre étroit autour de 630 nm à une dose de lumière de 37 J/cm2 (Aktilite CL 128), soit un spectre plus large et continu entre 570 et 670 nm à une dose de lumière de 170 J/cm2 (Photodyn 750). Le critère d'évaluation principal était la guérison complète de toutes les lésions du patient 12 semaines après la dernière séance de thérapie photodynamique. La TPD avec Ameluz (66,3%) était significativement plus efficace qu'avec le placebo (12,5%, p<0,0001). Le taux de guérison des lésions était plus élevé avec Ameluz (81,1%) qu'avec le placebo (20,9%). Les taux de guérison et la tolérance dépendaient de la source d'illumination et étaient en faveur de la source de lumière à spectre étroit. L'efficacité clinique s'est maintenue pendant les périodes de suivi de 6 et 12 mois après la dernière séance de TPD. Avant de décider de réaliser une TPD, il faut tenir compte du fait que la probabilité de guérison de toutes les lésions d'un patient 12 mois après la dernière séance était, avec des lampes à spectre étroit ou avec tous types de lampes confondus, de 67,5% ou de 46,8% avec le traitement par Ameluz. La probabilité de n'avoir besoin que d'une séance de traitement par Ameluz et de rester sans aucune lésion 12 mois plus tard était en moyenne, toutes lampes confondues, de 34,5%.
  • +Source de lumière Médicament Guérison complète des patients (%) Érythème au site d'application (%) Douleur au site d'application (%)
  • -Dans les deux études KA, les taux de guérison étaient plus élevés après une illumination par des sources de lumière à spectre étroit, mais l'incidence et l'intensité des réactions des zones d'application (p.ex. douleurs passagères, érythème) étaient plus importantes chez les patients soumis à une illumination par ces appareils (voir tableaux ci-dessus et «Effets indésirables»).
  • -Le résultat cosmétique a été évalué comme étant très bon ou bon pour 47,6% des patients du groupe Ameluz contre 25,0% des patients du groupe placebo. Le résultat cosmétique a été jugé peu satisfaisant ou insuffisant chez 3,8% des patients du groupe Ameluz et chez 22,5% des patients du groupe placebo.
  • -Dans une troisième étude clinique randomisée, menée en double aveugle sur 87 patients, Ameluz (n=55) a été comparé à un placebo (n=32) lors d'une utilisation sur l'ensemble des zones de traitement (zones cancérisées) comportant 4 à 8 lésions KA sur une étendue maximale de 20 cm2. La source de lumière rouge a fourni un spectre étroit de 635 nm à une dose de lumière de 37 J/cm2 (BF-RhodoLED). Ameluz s'est révélé supérieur au placebo, tant par le taux de guérison complète de toutes les lésions d'un patient (90,9% vs. 21,9% pour Ameluz, resp. le placebo, p<0,0001) que par le taux total de guérison des lésions (94,3% vs. 32,9%; p<0,0001) 12 semaines après la dernière séance de TPD.
  • -Une guérison de toutes les lésions a été observée chez 96,9% des patients présentant une KA au niveau du visage et du front. Ceci vaut aussi pour 81,8% des patients avec une KA du cuir chevelu. Le taux de guérison des lésions légères était de 99,1% (Ameluz) contre 49,2% (placebo), celui des lésions modérées de 91,7% (Ameluz) contre 24,1% (placebo). Après une seule séance de TPD, le taux de guérison complète de toutes les lésions du patient s'élevait à 61,8% et à 9,4% tandis que le taux total de guérison des lésions atteignait 84,2% et 22,0% avec Ameluz et le placebo.
  • -L'efficacité clinique a été maintenue au-delà des périodes de suivi de 6 et 12 mois après la dernière séance de TPD. Consécutivement au traitement par Ameluz, 6,2% des lésions sont réapparues après 6 mois et 2,9% supplémentaires après 12 mois (placebo: 1,9% après 6 mois et 0% supplémentaire après 12 mois). Les taux de récidive spécifiques aux patients étaient de 24,5%, et de 14,3% après 6 mois et 12,2% en sus et 0% après 12 mois, systématiquement sous Ameluz et un placebo.
  • -L'efficacité d'Ameluz, allié à une thérapie photodynamique à la lumière du jour, a été examinée dans une étude clinique de phase III intra-individuelle, randomisée, avec observateur en aveugle, menée sur 52 patients présentant chacun 3-9 KA sur les deux côtés du visage et/ou du cuir chevelu. La non-infériorité d'Ameluz par rapport à une crème contenant 16% d'aminolévulinate de méthyle (MAL, méthyl-[5-amino-4-oxopentanoate]) et autorisée pour la thérapie photodynamique à la lumière du jour, a été testée. Les deux côtés du visage/du cuir chevelu ont été traités chacun avec l'un des deux médicaments. La thérapie photodynamique à la lumière du jour a été pratiquée en extérieur pendant 2 heures consécutives d'exposition à la lumière du jour complète. Pendant les journées ensoleillées, les patients qui ne se sentaient pas bien à la lumière directe du soleil ont pu se mettre à l'ombre. En cas de pluie ou d'un séjour dans un bâtiment, la durée de l'exposition en extérieur a été prolongée d'autant. Pendant les mois d'hiver, la lumière du jour dans certaines régions d'Europe n'est pas suffisante pour permettre un traitement à la lumière du jour avec Ameluz. La thérapie photodynamique à la lumière du jour avec Ameluz est possible toute l'année dans le sud de l'Europe, de février à octobre en Europe centrale et de mars à octobre au nord de l'Europe.
  • -Le taux de guérison complète des lésions obtenu avec Ameluz, utilisé en parallèle à une thérapie photodynamique à la lumière du jour unique, était de 79,8%, contre 76,5% pour la préparation comparative MAL. L'étude a démontré la non-infériorité d'Ameluz par rapport à la crème MAL (sous la limite de l'intervalle de confiance 0,0 de 97,5%). Les effets indésirables et la tolérance étaient comparables pour les deux traitements.
  • +Dans les deux études sur la KA, les taux de guérison étaient plus élevés après une illumination par des sources de lumière à spectre étroit, mais l'incidence et l'intensité des réactions au site d'application (p.ex. douleurs passagères, érythème) étaient plus importantes chez les patients soumis à une illumination avec ces dispositifs (voir tableaux ci-dessus et rubrique «Effets indésirables»).
  • +Le résultat esthétique a été évalué comme étant très bon à bon chez 47,6% des patients du groupe Ameluz, contre 25,0% des patients du groupe placebo. Le résultat esthétique a été jugé peu satisfaisant ou insuffisant chez 3,8% des patients du groupe Ameluz et chez 22,5% des patients du groupe placebo.
  • +Dans une troisième étude clinique randomisée, menée en double aveugle sur 87 patients, Ameluz (n=55) a été comparé à un placebo (n=32) lors d'une utilisation sur l'ensemble des champs de traitement (champs de cancérisation) comportant 4 à 8 lésions de KA sur une étendue maximale de 20 cm2. La source de lumière rouge délivrait un spectre étroit de 635 nm à une dose de lumière de 37 J/cm2 (BF-RhodoLED). Ameluz s'est révélé supérieur au placebo, tant par le taux de guérison complète de toutes les lésions d'un patient (90,9% pour Ameluz vs 21,9% pour le placebo, p<0,0001) que par le taux total de guérison des lésions (94,3% vs 32,9%; p<0,0001) 12 semaines après la dernière séance de TPD.
  • +Une guérison de toutes les lésions a été observée chez 96,9% des patients présentant une KA au niveau du visage et du front, et chez 81,8% des patients avec une KA au niveau du cuir chevelu. Le taux de guérison des lésions légères était de 99,1% (Ameluz) contre 49,2% (placebo), celui des lésions modérées de 91,7% (Ameluz) contre 24,1% (placebo). Après une seule séance de TPD, le taux de guérison complète de toutes les lésions du patient s'élevait à 61,8% sous Ameluz contre 9,4% sous placebo, tandis que le taux total de guérison des lésions atteignait 84,2% contre 22,0% respectivement.
  • +L'efficacité clinique s'est maintenue au-delà des périodes de suivi de 6 et 12 mois après la dernière séance de TPD. Consécutivement au traitement par Ameluz, 6,2% des lésions sont réapparues après 6 mois, puis 2,9% supplémentaires après 12 mois (placebo: 1,9% après 6 mois, puis 0% supplémentaire après 12 mois). Les taux de récidive rapportés aux patients étaient de 24,5% sous Ameluz contre 14,3% sous placebo après 6 mois, puis 12,2% supplémentaires contre 0% supplémentaire respectivement après 12 mois.
  • +L'efficacité d'Ameluz, associé à une thérapie photodynamique à la lumière du jour, a été examinée dans une étude clinique de phase III intra-individuelle, randomisée, avec observateur en aveugle, menée sur 52 patients présentant chacun 3 à 9 KA sur les deux côtés du visage et/ou du cuir chevelu. La non-infériorité d'Ameluz par rapport à une crème contenant 16% d'aminolévulinate de méthyle (MAL, méthyl-[5-amino-4-oxopentanoate]) et autorisée pour la thérapie photodynamique à la lumière du jour, a été testée. Les deux côtés du visage/du cuir chevelu ont été traités chacun avec l'un des deux médicaments. La thérapie photodynamique à la lumière du jour a été pratiquée en extérieur pendant 2 heures consécutives d'exposition à la lumière du jour complète. Pendant les journées ensoleillées, les patients qui ne se sentaient pas bien à la lumière directe du soleil ont pu se mettre à l'ombre. En cas de pluie ou si le patient devait se retirer un moment dans un bâtiment, la durée de l'exposition en extérieur était prolongée d'autant. Pendant les mois d'hiver, la lumière du jour dans certaines régions d'Europe n'est pas suffisante pour permettre un traitement à la lumière du jour avec Ameluz. La thérapie photodynamique à la lumière du jour avec Ameluz est possible toute l'année dans le sud de l'Europe, de février à octobre en Europe centrale et de mars à octobre au nord de l'Europe.
  • +Le taux de guérison complète des lésions obtenu avec Ameluz, utilisé en parallèle à une thérapie photodynamique à la lumière du jour unique, était de 79,8%, contre 76,5% pour la préparation de référence à base de MAL. L'étude a démontré la non-infériorité d'Ameluz par rapport à la crème à base de MAL (borne inférieure de l'intervalle de confiance à 97,5% 0,0). Les effets indésirables et la tolérance étaient comparables pour les deux traitements.
  • -L'efficacité et la sécurité d'Ameluz dans le traitement du carcinome basocellulaire (CBC) d'une épaisseur <2 mm ont été évaluées sur 281 patients lors de la phase clinique III d'une étude. 138 patients en tout ont été traités avec Ameluz au cours de cette étude. Tous les patients présentaient 1 à 3 lésions résultant d'un CBC sur le visage/front, sur des zones du cuir chevelu dépourvues de cheveux, aux extrémités et/ou sur la nuque/le tronc. Lors de cette étude, la thérapie photodynamique (TPD) avec Ameluz a été testée pour démontrer sa non-infériorité par rapport à une crème contenant de l'aminolévulinate de méthyle à 16% (MAL, méthyl-[5-amino-4-oxopentanoate]). La source de lumière rouge a fourni un spectre étroit d'environ 635 nm à une dose de lumière de 37 J/cm2 (BF-RhodoLED). Le critère d'évaluation principal était le taux de guérison complète des patients 12 semaines après la dernière séance de TPD.
  • -Le taux de guérison des patients s'est élevé à 93,4% avec Ameluz contre 91,8% avec le MAL. L'étude a démontré la non-infériorité d'Ameluz par rapport à la crème MAL [intervalle de confiance à 97,5% -6,5]. Le taux de guérison des lésions du CBC était plus élevé avec Ameluz (94,6%) qu'avec le MAL (92,9%). Le taux de guérison des lésions dans le cas d'un CBC nodulaire était également plus élevé avec Ameluz (89,3%), contre 78,6% avec le MAL.
  • -L'efficacité clinique a été réévaluée dans le cadre de visites de suivi réalisées 6 et 12 mois après la dernière séance de TPD.
  • -Les taux de récidive liés aux lésions à 6 et 12 mois étaient de 2,9% et de 6,7% avec Ameluz et de 4,3% et de 8,2% avec le MAL.
  • +L'efficacité et la sécurité d'Ameluz dans le traitement du carcinome basocellulaire (CBC) d'une épaisseur <2 mm ont été évaluées sur 281 patients lors d'une étude clinique de phase III. 138 patients en tout ont été traités avec Ameluz au cours de cette étude. Tous les patients présentaient 1 à 3 lésions résultant d'un CBC sur le visage/front, sur des zones glabres du cuir chevelu, aux extrémités et/ou sur la nuque/le tronc. Lors de cette étude, la thérapie photodynamique (TPD) avec Ameluz a été testée pour démontrer sa non-infériorité par rapport à une crème contenant de l'aminolévulinate de méthyle à 16% (MAL, méthyl-[5-amino-4-oxopentanoate]). La source de lumière rouge délivrait un spectre étroit d'environ 635 nm à une dose de lumière de 37 J/cm2 (BF-RhodoLED). Le critère d'évaluation principal était le taux de guérison complète des patients 12 semaines après la dernière séance de TPD.
  • +Le taux total de guérison des patients s'élevait à 93,4% avec Ameluz contre 91,8% avec le MAL. L'étude a démontré la non-infériorité d'Ameluz par rapport à la crème à base de MAL (intervalle de confiance à 97,5% -6,5). Le taux de guérison des lésions du CBC était de 94,6% avec Ameluz contre 92,9% avec le MAL. Le taux de guérison des lésions dans le cas d'un CBC nodulaire était de 89,3% avec Ameluz contre 78,6% avec le MAL.
  • +L'efficacité clinique a été réévaluée lors des visites de suivi réalisées 6 et 12 mois après la dernière séance de TPD.
  • +Les taux de récidive liés aux lésions à 6 et 12 mois étaient respectivement de 2,9% et de 6,7% avec Ameluz et de 4,3% et de 8,2% avec le MAL.
  • -sorption
  • -La résorption dermique in vitro dans la peau humaine a été étudiée en utilisant Ameluz qui contient de l'acide 5-aminolévulinique radiomarqué. Après 24 heures, la résorption cumulée moyenne (y compris l'accumulation dans le derme) à travers la peau humaine était de 0,2% de la dose appliquée.
  • -Des études correspondantes sur la peau humaine présentant des lésions de kératose actinique et/ou une surface rendue rugueuse n'ont pas été menées.
  • -Application
  • -Dans une étude clinique de la phase II, les taux sériques d'acide 5-aminolévulinique et de protoporphyrine IX ainsi que les taux urinaires d'acide 5-aminolévulinique ont été mesurés avant mais aussi 3 et 24 heures après l'administration d'Ameluz pour une séance de traitement photodynamique. Aucun des taux mesurés après l'application n'avait augmenté par rapport aux taux existant naturellement, mesurés avant les applications. Ceci indique qu'il n'existe pas de résorption systémique importante après l'administration topique.
  • -Une étude pharmacocinétique «Maximal use» a été menée sur 12 patients qui présentaient au moins 10 cas de KA légère à modérée sur le visage ou sur le front. À ce titre, l'ensemble du contenu d'un tube de placebo et d'Ameluz, suivi d'une TPD, selon un programme avec séquence fixe et phase de lavage de 7 jours, a été appliqué sur les patients afin d'évaluer les concentrations plasmatiques d'acide aminolévulinique et de PpIX initiales et dues à Ameluz.
  • -Durant les 3 premières heures suivant l'application d'acide aminolévulinique, a été observée chez les patients une augmentation des concentrations plasmatiques basales d'acide aminolévulinique pouvant être 2,5 plus importante, mais qui reste dans la moyenne admise au vu des concentrations endogènes d'acide aminolévulinique précédemment notifiées et publiées. Les concentrations plasmatiques des métabolites de PpIX sont généralement restées faibles chez tous les patients, tandis qu'aucune augmentation significative de la concentration plasmatique de PpIX n'a été observée chez les sujets après l'application d'Ameluz.
  • +Absorption
  • +La résorption dermique in vitro dans la peau humaine a été étudiée avec de l'Ameluz qui contenait de l'acide 5-aminolévulinique radiomarqué. Après 24 heures, la résorption cumulée moyenne (y compris l'accumulation dans le derme) à travers la peau humaine était de 0,2% de la dose appliquée.
  • +Aucune étude correspondante sur la peau humaine présentant des lésions de kératose actinique et/ou une surface abrasée n'a été menée.
  • +Distribution
  • +Dans une étude clinique de phase II, les taux sériques d'acide 5-aminolévulinique et de protoporphyrine IX ainsi que les taux urinaires d'acide 5-aminolévulinique ont été mesurés avant, mais aussi 3 heures et 24 heures après l'application d'Ameluz pour une séance de traitement photodynamique. Aucune des concentrations mesurées après l'application n'avait augmenté par rapport aux concentrations naturelles mesurées avant les applications. Ceci indique qu'il n'existe pas de résorption systémique pertinente après l'administration topique.
  • +Une étude pharmacocinétique sous conditions d'utilisation maximales a été menée sur 12 patients qui présentaient au moins 10 lésions de KA légères à modérées sur le visage ou sur le front. Dans ce cadre, on a appliqué un tube entier de placebo et d'Ameluz, suivi d'une séance de TPD, selon un plan avec séquence fixe et phase d'élimination de 7 jours, afin d'évaluer les concentrations plasmatiques d'ALA et de PpIX à l'inclusion et sous traitement par Ameluz.
  • +Chez la plupart des patients, une augmentation jusqu'à un facteur 2,5 des concentrations plasmatiques de base de l'ALA a été observée pendant les 3 premières heures après l'application d'Ameluz, ce qui reste dans les valeurs normales des concentrations d'ALA endogène jusqu'à présent rapportées et publiées. Les concentrations plasmatiques du métabolite PpIX ont été en général faibles chez tous les patients, et aucune augmentation significative de la concentration plasmatique de PpIX n'a été observée chez les sujets après l'application d'Ameluz.
  • +Métabolisme
  • +Pas de données.
  • +Élimination
  • +Pas de données.
  • +
  • -Les données précliniques issues des études de toxicité dermique ou des études de toxicité après administration répétée, de génotoxicité et de toxicité de reproduction rapportées dans la littérature ne révèlent pas de risque particulier pour l'être humain.
  • -Aucune étude de carcinogénicité n'a été réalisée avec l'acide aminolévulinique.
  • +Les données précliniques issues des études de toxicité dermique ou des études de toxicité en cas d'administration répétée, de génotoxicité et de toxicité sur la reproduction rapportées dans la littérature ne révèlent pas de risque particulier pour l'être humain.
  • +Carcinogénicité
  • +Aucune étude de carcinogénicité n'a été réalisée avec Ameluz.
  • -Durée de conservation
  • -Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l'emballage.
  • -Après l'ouverture du tube, Ameluz se conserve pendant 12 semaines. Tout produit non utilisé doit être jeté.
  • -Remarques concernant le stockage
  • -Conserver hors de la portée des enfants.
  • -Conserver au réfrigérateur (2-8 °C).
  • -Conserver le tube soigneusement fermé après la première ouverture.
  • -Remarques concernant le maniement
  • -Chaque lampe doit être utilisée conformément au mode d'emploi. Il convient de n'utiliser que des lampes portant le marquage CE et équipées des filtres nécessaires et/ou de miroirs réfléchissants afin de minimiser l'exposition à la chaleur, à la lumière bleue et au rayonnement ultraviolet (UV). Avant d'utiliser une source de lumière définie, les spécifications techniques de l'appareil doivent être vérifiées et les exigences concernant le spectre lumineux prévu doivent être respectées. Le patient/la patiente et le personnel médical qui pratique la TPD doivent respecter les directives de sécurité de la source de lumière utilisée et porter des lunettes de protection adaptées pendant l'illumination. Il n'est pas nécessaire de protéger la peau saine non traitée entourant les lésions de kératose actinique ou de carcinomes basocellulaires traitées.
  • +Stabilité
  • +Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur le récipient.
  • +Stabilité après ouverture
  • +Ameluz doit être utilisé dans les 12 semaines après ouverture du tube. Tout résidu de médicament doit être jeté au-delà.
  • +Remarques particulières concernant le stockage
  • +Conserver hors de portée des enfants.
  • +Conserver au réfrigérateur (2-8°C).
  • +Après ouverture, conserver le tube fermé.
  • +Remarques concernant la manipulation
  • +Chaque lampe doit être utilisée conformément au mode d'emploi. Il convient de n'utiliser que des lampes portant le marquage CE et équipées des filtres et/ou miroirs réfléchissants nécessaires afin de minimiser l'exposition à la chaleur, à la lumière bleue et au rayonnement ultraviolet (UV). Avant d'utiliser une source de lumière, les spécifications techniques du dispositif doivent être vérifiées et les exigences concernant le spectre lumineux prévu doivent être respectées. Le patient et le personnel médical qui pratique la TPD doivent respecter les consignes de sécurité relatives à la source de lumière utilisée et porter des lunettes de protection adaptées pendant l'illumination. Il n'est pas nécessaire de protéger la peau saine non traitée entourant les lésions de kératose actinique ou de carcinome basocellulaire traitées.
  • -Ameluz: Tube de 2 g de gel. (B)
  • +Tube de 2 g de gel. (B)
  • -Louis Widmer SA, Rietbachstrasse 5, 8952 Schlieren-Zurich.
  • +Louis Widmer SA, 8952 Schlieren.
  • -Septembre 2018.
  • +Juin 2020.
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