36 Changements de l'information professionelle Revestive 5 mg |
-Antécédents, au cours des cinq dernières années, d’un cancer de l’appareil gastro-intestinal incluant le système hépatobiliaire.
- +Antécédents, au cours des cinq dernières années, d’un cancer de l’appareil gastro-intestinal, du système hépatobiliaire ou du pancréas.
-Des événements indésirables affectant le pancreas ont été rapportés lors des études cliniques : une pancréatite chronique ou aiguë, des cas de sténoses du canal pancréatique, d’infections du pancréas ou d’augmentation de l’amylasémie et de la lipasémie,. Des analyses de laboratoire de la lipase et de l’amylase doivent être effectuées avant le début du traitement et pendant le traitement par Revestive, afin de pouvoir constater l’éventuelle apparition ou aggravation d’une affection pancréatique. Si des altérations cliniquement pertinentes sont constatées ou s’il existe un tableau clinique suspect, d’autres examens - dont l’étude des résultats d’imagerie du pancréas sont recommandés, et la nécessité de poursuivre le traitement par Revestive doit être réévaluée.
- +Des événements indésirables affectant le pancreas ont été rapportés lors des études cliniques: une pancréatite chronique ou aiguë, des cas de sténoses du canal pancréatique, d’infections du pancréas ou d’augmentation de l’amylasémie et de la lipasémie,. Des analyses de laboratoire de la lipase et de l’amylase doivent être effectuées avant le début du traitement et pendant le traitement par Revestive, afin de pouvoir constater l’éventuelle apparition ou aggravation d’une affection pancréatique. Si des altérations cliniquement pertinentes sont constatées ou s’il existe un tableau clinique suspect, d’autres examens - dont l’étude des résultats d’imagerie du pancréas sont recommandés, et la nécessité de poursuivre le traitement par Revestive doit être réévaluée.
-Affections cardio-vasculaires
-Des cas d’œdèmes périphériques et d’insuffisance cardiaque ont été observés dans les études cliniques. La fréquence des événements indésirables associés à des œdèmes périphériques était la plus élevée durant les quatre premières semaines de traitement, puis diminuait avec le temps.
-Les patients avec et sans antécédents d’affections cardio-vasculaires (comme une insuffisance cardiaque et une hypertension) doivent faire l’objet d’un suivi en matière d’œdèmes périphériques en raison d’une prise de liquides accrue, notamment en début de traitement. Il convient de demander aux patients de consulter leur médecin en cas de prise de poids soudaine, de gonflement des chevilles et/ou de dyspnée. En règle générale, il est possible d’éviter une rétention hydrique par l’évaluation voire l’adaptation adéquate et en temps utiles des besoins en nutrition parentérale. Cette évaluation doit être plus fréquente durant les premiers mois du traitement, puis un suivi étroit doit être effectué. En cas d’aggravation significative de l’affection cardiovasculaire, la nécessité de poursuivre le traitement par Revestive doit être réévaluée.
- +Surcharge liquidienne
- +Des cas de surcharge liquidienne ont été observés dans les études cliniques. La fréquence des événements indésirables associés à une surcharge liquidienne était la plus élevée durant les quatre premières semaines de traitement, puis diminuait avec le temps.
- +Les patients avec et sans antécédents d’affections cardio-vasculaires (comme une insuffisance cardiaque et une hypertension) doivent faire l’objet d’un suivi en matière de surcharge liquidienne en raison d’une prise de liquides accrue, notamment en début de traitement. Il convient de demander aux patients de consulter leur médecin en cas de prise de poids soudaine, de gonflement des chevilles et/ou de dyspnée. En règle générale, il est possible d’éviter une surcharge liquidienne par l’évaluation voire l’adaptation adéquate et en temps utiles des besoins en nutrition parentérale. Cette évaluation doit être plus fréquente durant les premiers mois du traitement, puis un suivi étroit doit être effectué. Des cas d’insuffisance cardiaque ont été observés dans les études cliniques. En cas d’aggravation significative de l’affection cardiovasculaire, la nécessité de poursuivre le traitement par Revestive doit être réévaluée.
-Les effets indésirables recensés chez les patients présentant un syndrome du grêle court et ayant été traité par Revestive lors de leur participation à deux études cliniques de 24 semaines - randomisées en double aveugle et contrôlées contre placebo (étude CL0600-020 et étude CL0600-004, soit 109 patients sous Revestive au total) - sont présentés ci-après. Les effets indésirables les plus fréquemment rapportés étaient les suivants: douleurs abdominales (39%), ballonnements (17%), infections des voies respiratoires supérieures (28%), nausées (27%), réactions au site d’injection (20%), céphalées (17%), vomissements (14%) et œdème périphérique (10%). Environ 38% des patients traités et porteurs d’une stomie ont présenté des complications gastro-intestinales liées à la stomie. La majorité de ces effets indésirables a été de sévérité légère ou modérée.
-Les effets indésirables sont répertoriés par classe de système d’organes MedDRA et par fréquence. Les fréquences sont définies de la façon suivantes: très fréquent (≥ 1/10), fréquent (≥ 1/100, 1/10), occasionnel (≥ 1/1000, < 1/100), rare (≥ 1/10 000, < 1/1000), très rare (< 1/10 000).
- +Les effets indésirables recensés chez les patients présentant un syndrome du grêle court et ayant été traité par Revestive lors de leur participation à deux études cliniques de 24 semaines - randomisées en double aveugle et contrôlées contre placebo (étude CL0600-020 et étude CL0600-004, soit 109 patients sous Revestive au total) - sont présentés ci-après. Les effets indésirables les plus fréquemment rapportés étaient les suivants: douleurs abdominales (28%), ballonnements (17%), infections des voies respiratoires (dont rhinopharyngite, grippe, infections des voies respiratoires supérieures et infection des voies respiratoires inférieures) (28%), nausées (27%), réactions au site d’injection (26%), céphalées (17%), vomissements (14%). Environ 38% des patients traités et porteurs d’une stomie ont présenté des complications gastro-intestinales liées à la stomie. La majorité de ces effets indésirables a été de sévérité légère ou modérée.
- +Les effets indésirables sont répertoriés par classe de système d’organes MedDRA et par fréquence. Les fréquences sont définies de la façon suivantes: très fréquent (≥ 1/10), fréquent (≥ 1/100, 1/10), occasionnel (≥ 1/1000, < 1/100), rare (≥ 1/10 000, < 1/1000), très rare (< 1/10 000); fréquence indéterminée (ne peut être estimée sur la base des données disponibles). Tous les effets indésirables identifiés depuis la commercialisation sont indiqués en italique.
-Très fréquents: infections des voies respiratoires (28%)
-Fréquents: grippe
- +Très fréquents: infections des voies respiratoires (28%)*
- +Fréquents: syndrome pseudo-grippal
- +Affections du système immunitaire
- +Fréquence indéterminée: hypersensibilité
-Fréquents: diminution de l’appétit
- +Fréquents: diminution de l’appétit, surcharge liquidienne
-Fréquents: troubles du sommeil, anxiété
- +Fréquents: insomnie, anxiété
-Fréquents: paresthésie
-Affections vasculaires
-Fréquents: bouffées vasomotrices
-Occasionnels: syncopes
-Très fréquents: douleurs abdominales (39%), nausées (27%), ballonnements (17%), vomissements (14%), complications d’une stomie gastro-intestinale (16%)
-Fréquents: pancréatite, occlusion intestinale
- +Très fréquents: douleurs abdominales (28%), ballonnements (17%), nausées (26%), vomissements (14%),
- +Fréquents: polype colorectal, sténose du côlon, flatulences, pancréatite**, sténose du canal pancréatique, occlusion intestinale, sténose de l’intestin grêle
- +Occasionnels: polype duodénal
-Fréquents: cholestase et cholécystite
-Affections de la peau et du tissu sous-cutané
-Fréquents: dermite allergique
-Affections musculo-squelettiques et systémiques
-Fréquents: arthralgies
-Affections rénales et urinaires
-Fréquents: coliques néphrétiques, sensibilité de l’angle costo-vertébral
- +Fréquents: cholécystite, cholécystite aiguë
-Très fréquents: œdème périphérique (10%), réactions au site d’injection (20%)*
-Fréquents: douleur thoracique, sueurs nocturnes
-* Les réactions au site d’injection incluent les érythèmes, les hématomes et les douleurs.
- +Très fréquents: réactions au site d’injection (26%)***
- +Fréquents: oedème périphérique
-Fréquents: augmentation de la protéine C réactive**
-** Une augmentation modérée du taux de protéine C réactive, d’environ 25 mg/ml, a été observée au cours des sept premiers jours de traitement par Revestive ; ces taux ont diminué de façon continue avec la poursuite des injections quotidiennes.
- +Fréquents: augmentation de la protéine C réactive****
- +Lésions, intoxications et complications liées aux procédures
- +Très fréquents: complication d’une stomie gastro-intestinale (38%)*****
- +* Inclut les termes: grippe, rhinopharyngite, infections des voies respiratoires supérieures et infections des voies respiratoires inférieures.
- +** Inclut les termes préférentiels suivants: pancréatite, pancréatite aiguë et pancréatite chronique.
- +*** Inclut les termes préférentiels suivants: hématome au site d’injection, érythème au site d’injection, douleur au site d’injection, gonflement au site d’injection et hémorragie au site d’injection.
- +**** Une augmentation modérée du taux de protéine C réactive, d’environ 25 mg/ml, a été observée au cours des sept premiers jours de traitement par Revestive; ces taux ont diminué de façon continue avec la poursuite des injections quotidiennes.
- +***** pourcentage fondé sur 67 participants porteurs d’une stomie.
- +
-D’après les données issues de deux études chez des adultes présentant un syndrome du grêle court (une étude randomisée et contrôlée contre placebo d’une durée de six mois, suivie d’une étude ouverte de 24 mois), l’incidence des anticorps antiteduglutide était de 3% (2/60) au mois 3, de 18% (13/74) au mois 6, de 25% (18/71) au mois 12, de 31% (10/32) au mois 24 et de 48% (14/29) au mois 30 chez les sujets ayant reçu quotidiennement 0,05 mg/kg de Revestive en administration sous-cutanée. Les anticorps antiteduglutide présentaient une activité croisée avec le glucagonlike peptide (GLP-2) natif chez 5 des 6 patients (83%) porteurs d’anticorps antiteduglutide. Les anticorps antiteduglutide paraissent ne présenter aucun impact sur l’efficacité et la sécurité à court terme (jusqu’à plus de 2,5 ans), tandis que les effets à long terme ne sont pas connus.
- +Dans deux études menées chez des adultes présentant un syndrome du grêle court (une étude randomisée et contrôlée contre placebo d’une durée de six mois, suivie d’une étude ouverte de 24 mois) ayant reçu quotidiennement 0,05 mg/kg de Revestive en administration sous-cutanée, 3% des patients (2/60) ont développé des anticorps anti-teduglutide jusqu’au mois 3, 17% (13/77) jusqu’au mois 6, 24% (16/67) jusqu’au mois 12, 33% (11/33) jusqu’au mois 24 et 48% (14/29) jusqu’au mois 30.
- +Les anticorps anti-teduglutide présentaient une activité croisée avec le glucagonlike peptide (GLP-2) natif chez 5 des 6 patients (83%) porteurs d’anticorps anti-teduglutide. Les anticorps anti-teduglutide paraissent ne présenter aucun impact sur l’efficacité et la sécurité à court terme (jusqu’à plus de 2,5 ans), tandis que les effets à long terme ne sont pas connus.
-Étude pivot en double aveugle CL0600-020: Revestive 0,05 mg/kg/jour (n = 43) ou un placebo (n = 43) ont été administrés pendant 24 semaines à raison d’une injection sous-cutanée par jour, après une optimisation et une stabilisation du volume de NP i.v. pour tous les patients. Des ajustements du volume de NP i.v. (jusqu’à 30% de réduction) et des évaluations cliniques ont été pratiqués après 2, 4, 8, 12, 20 et 24 semaines.
- +Étude pivot en double aveugle CL0600-020: Revestive 0,05 mg/kg/jour (n = 43) ou un placebo (n = 43) ont été administrés pendant 24 semaines à raison d’une injection sous-cutanée par jour, après une optimisation et une stabilisation du volume de NP i.v. pour tous les patients. Des ajustements du volume de NP i.v. (jusqu’à 30% de réduction) et des évaluations cliniques ont été pratiqués après 2, 4, 8, 12, 16, 20 et 24 semaines.
-Étude en double aveugle CL0600-004: Les patients ont été randomisés pour suivre l’un des schémas thérapeutiques suivants, sur une période de 24 semaines: Revestive 0,05 mg/kg/jour (n = 35), Revestive 0,10 mg/kg/dose quotidienne (n = 33) ou placebo (n = 16). Le critère d’évaluation primaire était un score catégorique gradué qui ne s’est pas révélé statistiquement significatif pour la dose élevée. L’évaluation de la réduction du volume de NP i.v. à l’aide d’un critère d’évaluation de réponse secondaire (c’est-à-dire la réduction d’au moins 20% du volume de NP i.v. par rapport à la valeur initiale jusqu’aux semaines 20 et 24) a montré que 46% des patients répondaient au Revestive administré à raison de 0,05 mg/kg/jour, alors que 6% répondaient au placebo. Après 24 semaines, les patients ont atteint une réduction du besoin de nutrition parentérale de 2,5 l/semaine avec les deux dosages de Revestive, contre 0,9 l/semaine pour le placebo. Deux patients du groupe sous 0,05 mg/kg/jour de Revestive étaient sevrés de toute nutrition parentérale en semaine 24.
- +Étude en double aveugle CL0600-004: Les patients ont été randomisés pour suivre l’un des schémas thérapeutiques suivants, sur une période de 24 semaines: Revestive 0,05 mg/kg/jour (n = 35), Revestive 0,10 mg/kg/dose quotidienne (n = 33), ou placebo (n = 16). Le critère d’évaluation primaire était un score catégorique gradué qui ne s’est pas révélé statistiquement significatif pour la dose élevée. L’évaluation de la réduction du volume de NP i.v. à l’aide d’un critère d’évaluation de réponse secondaire (c’est-à-dire la réduction d’au moins 20% du volume de NP i.v. par rapport à la valeur initiale jusqu’aux semaines 20 et 24) a montré que 46% des patients répondaient au Revestive administré à raison de 0,05 mg/kg/jour, alors que 6% répondaient au placebo. Après 24 semaines, les patients ont atteint une réduction du besoin de nutrition parentérale de 2,5 l/semaine avec les deux dosages de Revestive, contre 0,9 l/semaine pour le placebo. Deux patients du groupe sous 0,05 mg/kg/jour de Revestive étaient sevrés de toute nutrition parentérale en semaine 24.
-Le teduglutide a fourni un résultat négatif pour le test d’Ames, pour le test d’aberration chromosomique sur les cellules ovariennes du hamster de Chine ainsi que pour un test du micronoyau de la souris in vivo.
- +Le teduglutide a fourni un résultat négatif pour le test d’Ames, pour le test d’aberration chromosomique sur les cellules ovariennes du hamster de Chine ainsi que pour un test du micronoyau de la souris in vivo.
-65739 (Swissmedic).
- +65739 (Swissmedic)
-Shire Switzerland GmbH, Zug.
- +Shire Switzerland GmbH, Zoug
-Août 2016
- +Août 2017.
|
|