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Accueil - Information professionnelle sur Duloxetin Axapharm 30 mg - Changements - 21.01.2021
36 Changements de l'information professionelle Duloxetin Axapharm 30 mg
  • -Durée du traitement: Après obtention de l’effet thérapeutique antidépresseur, il est recommandé de poursuivre le traitement plusieurs mois afin de prévenir les rechutes.
  • +Après obtention de l’effet thérapeutique antidépresseur, il est recommandé de poursuivre le traitement plusieurs mois afin de prévenir les rechutes.
  • -Chez les patients répondant à la duloxétine et ayant des antécédents de troubles dépressifs unipolaires répétés (≥3), un traitement à long terme à une posologie de 60-120 mg de duloxétine par jour peut être envisagé. Il s'agit généralement des mêmes doses que celles utilisées pour le traitement aigu. Le rapport bénéfice/risque de la prévention de la récurrence doit être réévalué régulièrement et il doit être pris en considération qu’il existe aussi d’autres possibilités de prévention de la récurrence d’épisodes dépressifs unipolaires.
  • +Chez les patients répondant à la duloxétine et ayant des antécédents de troubles dépressifs unipolaires répétés (≥3), un traitement à long terme à une posologie de 60-120 mg de duloxétine par jour peut être envisagé. Il sagit généralement des mêmes doses que celles utilisées pour le traitement aigu. Le rapport bénéfice/risque de la prévention de la récurrence doit être réévalué régulièrement et il doit être pris en considération qu’il existe aussi d’autres possibilités de prévention de la récurrence d’épisodes dépressifs unipolaires.
  • -Durée du traitement: Après obtention de l’effet thérapeutique, il est recommandé de poursuivre le traitement plusieurs mois afin de prévenir une détérioration des symptômes.
  • +Après obtention de l’effet thérapeutique, il est recommandé de poursuivre le traitement plusieurs mois afin de prévenir une détérioration des symptômes.
  • -Lors de l'arrêt de la duloxétine après plus d'une semaine de traitement, il est généralement recommandé de réduire progressivement la dose sur une période de 1 à 2 semaines avant l'arrêt définitif du traitement afin de diminuer le risque de symptômes de sevrage (voir «Effets indésirables»).
  • -Il est généralement conseillé de diminuer la dose de moitié ou de passer à une prise alternée un jour sur deux pendant cette période. Le schéma choisi devra toutefois être adapté individuellement à la situation du patient en tenant compte, par exemple, de la durée du traitement, de la dose atteinte au moment de l'arrêt du traitement, etc.
  • +Lors de larrêt de la duloxétine après plus dune semaine de traitement, il est généralement recommandé de réduire progressivement la dose sur une période de 1 à 2 semaines avant larrêt définitif du traitement afin de diminuer le risque de symptômes de sevrage (voir «Effets indésirables»).
  • +Il est généralement conseillé de diminuer la dose de moitié ou de passer à une prise alternée un jour sur deux pendant cette période. Le schéma choisi devra toutefois être adapté individuellement à la situation du patient en tenant compte, par exemple, de la durée du traitement, de la dose atteinte au moment de larrêt du traitement, etc.
  • -Des électrocardiogrammes ont été effectués chez 1139 patients sous duloxétine et chez 777 patients sous placebo lors d’études cliniques d’une durée de 8 semaines dans les épisodes dépressifs majeurs, ainsi que chez 528 patients sous duloxétine et chez 205 patients sous placebo lors d’études cliniques durant jusqu’à 13 semaines dans les douleurs neuropathiques diabétiques. L'intervalle QT – corrigé en fonction de la fréquence cardiaque – chez les patients sous duloxétine n'était pas différent de celui observé chez les patients sous placebo. La mesure des intervalles QT, PR, QRS ou QTcB n’a montré aucune différence cliniquement significative entre les groupes duloxétine et placebo.
  • +Des électrocardiogrammes ont été effectués chez 1139 patients sous duloxétine et chez 777 patients sous placebo lors d’études cliniques d’une durée de 8 semaines dans les épisodes dépressifs majeurs, ainsi que chez 528 patients sous duloxétine et chez 205 patients sous placebo lors d’études cliniques durant jusqu’à 13 semaines dans les douleurs neuropathiques diabétiques. Lintervalle QT – corrigé en fonction de la fréquence cardiaque – chez les patients sous duloxétine nétait pas différent de celui observé chez les patients sous placebo. La mesure des intervalles QT, PR, QRS ou QTcB n’a montré aucune différence cliniquement significative entre les groupes duloxétine et placebo.
  • -Ne pas augmenter la posologie lors de l'apparition d'une acathisie pendant les premières semaines de traitement.
  • +Ne pas augmenter la posologie lors de lapparition dune acathisie pendant les premières semaines de traitement.
  • -Des cas de saignements tels qu’ecchymoses, purpura, hémorragies gastro-intestinales et hémorragies du postpartum, ont été observés et mis en rapport avec les ISRS (inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine) et les IRSN (inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine/norépinéphrine), y compris la duloxétine.
  • +Des cas de saignements tels qu’ecchymoses, purpura, hémorragies gastro-intestinales et hémorragies postpartum, ont été observés et mis en rapport avec les ISRS (inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine) et les IRSN (inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine/norépinéphrine), y compris la duloxétine.
  • -Les inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS)/inhibiteurs de la recapture de la sérotonine et de la noradrénaline (ou norépinéphrine) (IRSN) peuvent causer des symptômes de dysfonction sexuelle. Des cas de dysfonction sexuelle de longue durée, dont les symptômes ont persisté malgré l'arrêt du traitement par les ISRS/IRSN, ont été rapportés.
  • +Les inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS)/inhibiteurs de la recapture de la sérotonine et de la noradrénaline (IRSN) peuvent causer une dysfonction sexuelle. Des cas de dysfonction sexuelle de longue durée, dont les symptômes ont persisté malgré larrêt du traitement par les ISRS/IRSN, ont été rapportés.
  • -Intolérance au saccharose
  • -Les capsules gastrorésistantes de Duloxétine Axapharm contiennent du saccharose. Les patients atteints de maladies héréditaires rares, comme une intolérance au fructose, un syndrome de malabsorption du glucose et du galactose ou une intolérance au sucroseisomaltose, ne doivent pas prendre ce médicament.
  • +Excipients
  • +Intolérance au saccharose: les capsules gastrorésistantes de Duloxétine Axapharm contiennent du saccharose (voir «Composition»). Les patients présentant une intolérance au fructose, un syndrome de malabsorption du glucose et du galactose ou un déficit en sucrase/isomaltase (maladies héréditaires rares) ne doivent pas prendre ce médicament.
  • -Effets de la duloxétine sur d’autres médicaments
  • +Effet de la duloxétine sur d’autres médicaments
  • -Effets des autres médicaments sur la duloxétine
  • +Effet d’autres médicaments sur la duloxétine
  • -Comme pour d’autres médicaments sérotoninergiques, des symptômes de sevrage peuvent survenir chez le nouveaux-né dont la mère a été traitée par la duloxétine peu de temps avant la fin de la grossesse. Les symptômes de sevrage observés chez les nouveaux-nés dont la mère a pris de la duloxétine, comprennent hypotension, tremblements, agitation, difficultés à s’alimenter, détresse respiratoire et convulsions. La majorité des cas ont eu lieu à la naissance ou dans les jours suivants la naissance.
  • -Les données d’études observationnelles indiquent un risque accru (moins de 2 fois) d’hémorragie du postpartum après exposition à la duloxétine peu de temps avant la naissance.
  • +Comme pour d’autres médicaments sérotoninergiques, des symptômes de sevrage peuvent survenir chez le nouveau-né dont la mère a été traitée par la duloxétine peu de temps avant la fin de la grossesse. Les symptômes de sevrage observés chez les nouveaux-nés dont la mère a pris de la duloxétine, comprennent hypotension, tremblements, agitation, difficultés à s’alimenter, détresse respiratoire et convulsions. La majorité des cas ont eu lieu à la naissance ou dans les jours suivants la naissance.
  • +Les données d’études observationnelles indiquent un risque accru (moins de 2 fois) d’hémorragie postpartum après exposition à la duloxétine peu de temps avant la naissance.
  • -«Très fréquent» (≥10%),
  • -«Fréquent» (≥1% et <10%),
  • -«Occasionnel» (≥0.1% et <1%),
  • -«Rare» (≥0.01% et <0.1%),
  • -«Très rare» (<0.01%).
  • +«Très fréquent» (≥1/10),
  • +«Fréquent» (≥1/100 et <1/10),
  • +«Occasionnel» (≥1/1000 et <1/100),
  • +«Rare» (≥1/10'000 et <1/1000),
  • +«Très rare» (<1/10'000).
  • -On ne connaît pas d’antidote spécifique à la duloxétine. Toutefois, si un syndrome sérotoninergique devait apparaître, un traitement spécifique peut être envisagé (comme la cyproheptadine et/ou le contrôle de la température). La liberté des voies aériennes supérieures devra être assurée. Une surveillance cardiovasculaire et des constantes vitales est recommandée en complément de mesures symptomatiques et de soutien appropriées. Un lavage gastrique peut être indiqué s'il est effectué peu de temps après l'ingestion, ou chez les patients symptomatiques. Le charbon activé peut être utile pour limiter l'absorption. La duloxétine ayant un grand volume de distribution, il est peu probable que la diurèse forcée, l'hémodialyse et l’exsanguino-transfusion (dialyse péritonéale) puissent être bénéfiques.
  • +On ne connaît pas d’antidote spécifique à la duloxétine. Toutefois, si un syndrome sérotoninergique devait apparaître, un traitement spécifique peut être envisagé (comme la cyproheptadine et/ou le contrôle de la température). La liberté des voies aériennes supérieures devra être assurée. Une surveillance cardiovasculaire et des constantes vitales est recommandée en complément de mesures symptomatiques et de soutien appropriées. Un lavage gastrique peut être indiqué sil est effectué peu de temps après lingestion, ou chez les patients symptomatiques. Le charbon activé peut être utile pour limiter labsorption. La duloxétine ayant un grand volume de distribution, il est peu probable que la diurèse forcée, lhémodialyse et l’exsanguino-transfusion (dialyse péritonéale) puissent être bénéfiques.
  • -Dans une étude de prévention des rechutes, les patients ayant répondu à un traitement aigu de 12 semaines par la duloxétine 60 mg, une fois par jour, ont été randomisés, pour une durée supplémentaire de 6 mois, soit dans le groupe duloxétine 60 mg une fois par jour, soit dans le groupe placebo. La duloxétine, à la dose de 60 mg une fois par jour, a démontré une supériorité statistiquement significative par rapport au placebo sur le critère primaire d’évaluation qui était la prévention des rechutes, mesurée par le délai jusqu'à l’apparition d’une rechute (p= 0.004). L’incidence des rechutes pendant la période de suivi en double insu de 6 mois a été de 17% sous duloxétine et de 29% sous placebo.
  • +Dans une étude de prévention des rechutes, les patients ayant répondu à un traitement aigu de 12 semaines par la duloxétine 60 mg, une fois par jour, ont été randomisés, pour une durée supplémentaire de 6 mois, soit dans le groupe duloxétine 60 mg une fois par jour, soit dans le groupe placebo. La duloxétine, à la dose de 60 mg une fois par jour, a démontré une supériorité statistiquement significative par rapport au placebo sur le critère primaire d’évaluation qui était la prévention des rechutes, mesurée par le délai jusquà l’apparition d’une rechute (p = 0.004). L’incidence des rechutes pendant la période de suivi en double insu de 6 mois a été de 17% sous duloxétine et de 29% sous placebo.
  • -L'efficacité de la duloxétine dans le traitement de la douleur neuropathique diabétique a été démontrée dans deux essais randomisés, de 12 semaines, menés en double et contrôlés contre placebo, à dose fixe, chez des adultes (âgés de 22 à 88 ans) souffrant de douleurs neuropathiques diabétiques depuis au moins 6 mois. Dans l’étude 1, les patients ont été assignés par randomisation à un traitement par duloxétine à 20 mg une fois par jour, duloxétine à 60 mg une fois par jour, duloxétine à 60 mg deux fois par jour ou placebo. Dans l’étude 2, les patients ont été assignés par randomisation à un traitement par duloxétine à 60 mg une fois par jour, duloxétine à 60 mg deux fois par jour ou placebo. Chez les patients dans cette étude, le traitement a été arrêté progressivement après 12 semaines. Les patients présentant les critères diagnostiques d’une maladie dépressive sévère ont été exclus de cette étude. Le critère d'évaluation principal dans les deux études était la moyenne hebdomadaire des scores moyens de douleur sur 24 heures. La douleur était notée par les patients dans des carnets sur une échelle de Likert à 11 points.
  • +Lefficacité de la duloxétine dans le traitement de la douleur neuropathique diabétique a été démontrée dans deux essais randomisés, de 12 semaines, menés en double et contrôlés contre placebo, à dose fixe, chez des adultes (âgés de 22 à 88 ans) souffrant de douleurs neuropathiques diabétiques depuis au moins 6 mois. Dans l’étude 1, les patients ont été assignés par randomisation à un traitement par duloxétine à 20 mg une fois par jour, duloxétine à 60 mg une fois par jour, duloxétine à 60 mg deux fois par jour ou placebo. Dans l’étude 2, les patients ont été assignés par randomisation à un traitement par duloxétine à 60 mg une fois par jour, duloxétine à 60 mg deux fois par jour ou placebo. Chez les patients dans cette étude, le traitement a été arrêté progressivement après 12 semaines. Les patients présentant les critères diagnostiques d’une maladie dépressive sévère ont été exclus de cette étude. Le critère dévaluation principal dans les deux études était la moyenne hebdomadaire des scores moyens de douleur sur 24 heures. La douleur était notée par les patients dans des carnets sur une échelle de Likert à 11 points.
  • -La duloxétine est bien absorbée après administration orale, avec une Cmax atteinte 6 heures après l’administration. La biodisponibilité absolue par voie orale de la duloxétine varie de 32% à 80% (moyenne de 50%; n= 8 volontaires). La prise d’aliments retarde l’apparition du pic de concentration qui passe de 6 à 10 heures et réduit de façon marginale le taux d’absorption (11% environ). Ces modifications n’ont aucune signification clinique.
  • +La duloxétine est bien absorbée après administration orale, avec une Cmax atteinte 6 heures après l’administration. La biodisponibilité absolue par voie orale de la duloxétine varie de 32% à 80% (moyenne de 50%; n = 8 volontaires). La prise d’aliments retarde l’apparition du pic de concentration qui passe de 6 à 10 heures et réduit de façon marginale le taux d’absorption (11% environ). Ces modifications n’ont aucune signification clinique.
  • -Septembre 2019.
  • +Avril 2020.
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