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Accueil - Information professionnelle sur Genvoya 150mg/150mg/200mg/10mg - Changements - 25.03.2020
178 Changements de l'information professionelle Genvoya 150mg/150mg/200mg/10mg
  • -Principes actifs: Elvitégravir, cobicistat, emtricitabine et ténofovir alafénamide (sous forme de fumarate).
  • -Excipients: Lactose monohydraté, Color.: Laque aluminique d'indigotine (E132); Excip. pro compresso obducto.
  • -Un comprimé pelliculé de Genvoya contient 61 mg de lactose monohydraté.
  • -Forme galénique et quantité de principe actif par unité
  • -Comprimés pelliculés à 150 mg d'elvitégravir, 150 mg de cobicistat, 200 mg d'emtricitabine et 10 mg de ténofovir alafénamide (correspondant à 11 mg de fumarate de ténofovir alafénamide).
  • +Principes actifs
  • +Elvitégravir, cobicistat, emtricitabine et ténofovir alafénamide (sous forme de fumarate).
  • +Excipients
  • +Lactose monohydraté, Color.: Laque aluminique d'indigotine (E132); Excip. pro compresso obducto.
  • -La dose recommandée de Genvoya est d'un comprimé une fois par jour avec un repas. Les comprimés pelliculés ne doivent pas être croqués, écrasés, ni cassés.
  • -Oubli d'une dose
  • -Si le patient oublie de prendre une dose de Genvoya et s'en aperçoit dans les 18 heures suivant l'heure de prise habituelle, il doit prendre Genvoya dès que possible, avec un repas, puis poursuivre le traitement selon son horaire de prise habituel. Si le patient oublie de prendre une dose de Genvoya et s'en aperçoit plus de 18 heures après l'heure de prise habituelle, et que l'heure de la dose suivante est proche, le patient ne doit pas prendre la dose oubliée mais simplement reprendre son traitement à la prise suivante selon son horaire habituel.
  • -Si le patient vomit dans l'heure suivant la prise de Genvoya, il doit prendre un autre comprimé.
  • -Instructions spéciales pour la posologie
  • -Patients âgés
  • -Aucune adaptation posologique de Genvoya n'est nécessaire chez les patients âgés. Dans les études cliniques, 80 patients de 65 ans et plus ont reçu Genvoya. Aucune différence concernant la sécurité ou l'efficacité n'a été observée entre les patients âgés et les patients de 12 à <65 ans.
  • -Insuffisance rénale
  • -Aucune adaptation posologique de Genvoya n'est nécessaire chez les patients adultes présentant une clairance de la créatinine estimée (CrCl) ≥30 ml/min. Genvoya doit être arrêté chez les patients dont la CrCl estimée chute en deçà de 30 ml/min pendant le traitement (voir «Mises en garde et précautions» et «Propriétés/Effets»).
  • +La dose recommandée de Genvoya est d'un comprimé une fois par jour avec un repas.
  • +Instructions posologiques particulières
  • +Patients présentant des troubles de la fonction hépatique
  • +Aucun ajustement de la posologie de Genvoya n'est nécessaire chez les patients présentant une insuffisance hépatique légère (score de Child-Pugh A) ou modérée (score de Child-Pugh B). Genvoya n'a pas été étudié chez les patients présentant une insuffisance hépatique sévère (score de Child-Pugh C). Par conséquent, Genvoya n'est pas recommandé chez les patients présentant une insuffisance hépatique sévère (voir «Mises en garde et précautions» et «Pharmacocinétique»).
  • +Si le traitement avec Genvoya est arrêté chez des patients co-infectés par le VIH et le virus de l'hépatite B (VHB), ces patients doivent être étroitement surveillés afin de détecter tout signe d'exacerbation de l'hépatite (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +Patients présentant des troubles de la fonction rénale
  • +Aucun ajustement de la posologie de Genvoya n'est nécessaire chez les patients adultes présentant une clairance de la créatinine estimée (CrCl) ≥30 ml/min. Genvoya doit être arrêté chez les patients dont la CrCl estimée chute en deçà de 30 ml/min pendant le traitement (voir «Mises en garde et précautions» et «Propriétés/Effets»).
  • -Insuffisance hépatique
  • -Aucune adaptation posologique de Genvoya n'est nécessaire chez les patients présentant une insuffisance hépatique légère (score de Child-Pugh A) ou modérée (score de Child-Pugh B). Genvoya n'a pas été étudié chez les patients présentant une insuffisance hépatique sévère (score de Child-Pugh C). Par conséquent, Genvoya n'est pas recommandé chez les patients présentant une insuffisance hépatique sévère (voir «Mises en garde et précautions» et «Pharmacocinétique»).
  • -Si le traitement avec Genvoya est arrêté chez des patients co-infectés par le VIH et le virus de l'hépatite B (VHB), ces patients doivent être étroitement surveillés afin de détecter tout signe d'exacerbation de l'hépatite (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +Patients âgés
  • +Aucun ajustement de la posologie de Genvoya n'est nécessaire chez les patients âgés. Dans les études cliniques, 80 patients de 65 ans et plus ont reçu Genvoya. Aucune différence concernant la sécurité ou l'efficacité n'a été observée entre les patients âgés et les patients de 12 à <65 ans.
  • -Le traitement par cobicistat et elvitégravir pendant la grossesse entraîne une exposition plus faible au cobicistat et à l'elvitégravir (voir «Cinétique pour certains groupes de patients»). Par conséquent, aucun traitement par Genvoya ne doit être instauré pendant la grossesse et le traitement des femmes qui débutent une grossesse pendant un traitement par Genvoya doit être changé (voir «Grossesse/Allaitement»).
  • +Le traitement par cobicistat et elvitégravir pendant la grossesse entraîne une exposition plus faible au cobicistat et à l'elvitégravir (voir «Cinétique pour certains groupes de patients»). Par conséquent, aucun traitement par Genvoya ne doit être instauré pendant la grossesse et le traitement des femmes qui débutent une grossesse pendant un traitement par Genvoya doit être changé (voir «Grossesse, Allaitement»).
  • +Prise retardée
  • +Si le patient oublie de prendre une dose de Genvoya et s'en aperçoit dans les 18 heures suivant l'heure de prise habituelle, il doit prendre Genvoya dès que possible, avec un repas, puis poursuivre le traitement selon son horaire de prise habituel. Si le patient oublie de prendre une dose de Genvoya et s'en aperçoit plus de 18 heures après l'heure de prise habituelle, et que l'heure de la dose suivante est proche, le patient ne doit pas prendre la dose oubliée mais simplement reprendre son traitement à la prise suivante selon son horaire habituel.
  • +Si le patient vomit dans l'heure suivant la prise de Genvoya, il doit prendre un autre comprimé.
  • +Mode d'administration
  • +Les comprimés pelliculés ne doivent pas être croqués, écrasés, ni cassés.
  • +
  • -Transmission du VIH:
  • +Transmission du VIH
  • -Patients co-infectés par le VIH et le virus de l'hépatite B (VHB) ou C (VHC):
  • +Patients co-infectés par le VIH et le virus de l'hépatite B (VHB) ou C (VHC)
  • -Maladie hépatique:
  • +Maladie hépatique
  • -Fonction rénale:
  • +Fonction rénale
  • -Effets osseux:
  • -Dans le cadre d'études de la toxicité chez l'animal et dans le cadre d'études cliniques chez l'homme, un lien a été établi entre le ténofovir alafénamide et le ténofovir d'une part et une diminution de la densité minérale osseuse (DMO) et une augmentation du marqueur biochimique du métabolisme osseux d'autre part, suggérant une intensification du remodelage osseux. Une diminution significative de la DMO a été observée chez 15% des patients traités par Genvoya dans le cadre d'études cliniques chez des adultes infectés par le VIH-1 et naïfs de tout traitement (voir «Effets indésirables »). L'effet clinique à long terme de ces modifications n'est pas connu. Une évaluation de la DMO doit être envisagée pour les patients adultes et pédiatriques traités par Genvoya et présentant des antécédents de fractures osseuses pathologiques ou d'autres facteurs de risque d'ostéoporose. L'administration de préparations de calcium et de vitamine D peut être utile pour tous les patients. Toute suspicion de lésions osseuses doit pousser à consulter un spécialiste.
  • +Effets osseux
  • +Dans le cadre d'études de la toxicité chez l'animal et dans le cadre d'études cliniques chez l'homme, un lien a été établi entre le ténofovir alafénamide et le ténofovir d'une part et une diminution de la densité minérale osseuse (DMO) et une augmentation du marqueur biochimique du métabolisme osseux d'autre part, suggérant une intensification du remodelage osseux. Une diminution significative de la DMO a été observée chez 15% des patients traités par Genvoya dans le cadre d'études cliniques chez des adultes infectés par le VIH-1 et naïfs de tout traitement (voir «Effets indésirables»). L'effet clinique à long terme de ces modifications n'est pas connu. Une évaluation de la DMO doit être envisagée pour les patients adultes et pédiatriques traités par Genvoya et présentant des antécédents de fractures osseuses pathologiques ou d'autres facteurs de risque d'ostéoporose. L'administration de préparations de calcium et de vitamine D peut être utile pour tous les patients. Toute suspicion de lésions osseuses doit pousser à consulter un spécialiste.
  • -Poids et paramètres métaboliques:
  • +Poids et paramètres métaboliques
  • -Exposition in utero: dysfonctionnement mitochondrial:
  • +Exposition in utero: dysfonctionnement mitochondrial
  • -Syndrome de restauration immunitaire:
  • +Syndrome de restauration immunitaire
  • -Des maladies auto-immunes (comme la maladie de Basedow) ont également été rapportées dans le cadre d'une restauration immunitaire; cependant, le délai d'apparition décrit est plus variable et ces événements peuvent survenir plusieurs mois après l'instauration du traitement.
  • -Infections opportunistes:
  • +Des maladies auto-immunes (comme la maladie de Basedow et l'hépatite auto-immune) ont également été rapportées dans le cadre d'une restauration immunitaire; cependant, le délai d'apparition décrit est plus variable et ces événements peuvent survenir plusieurs mois après l'instauration du traitement.
  • +Infections opportunistes
  • -Ostéonécrose:
  • +Ostéonécrose
  • -Faiblesse motrice généralisée:
  • +Faiblesse motrice généralisée
  • -Coadministration de Genvoya avec d'autres médicaments:
  • +Coadministration de Genvoya avec d'autres médicaments
  • -Les femmes en âge de procréer doivent utiliser soit un contraceptif hormonal contenant au moins une dose de 30 µg d'éthinylestradiol et la drospirénone ou le norgestimate comme progestatif, soit une autre méthode de contraception fiable (voir «Interactions» et «Grossesse/Allaitement»). L'effet de la co-administration de Genvoya avec des contraceptifs oraux contenant des progestatifs autres que la drospirénone ou le norgestimate n'est pas connu et cette co-administration doit donc être évitée.
  • -Excipients:
  • -Genvoya contient du lactose monohydraté. En conséquence, les patients présentant des troubles héréditaires rares d'intolérance au galactose, de déficit en lactase de Lapp ou un syndrome de malabsorption du glucose et du galactose ne doivent pas prendre ce médicament.
  • +Les femmes en âge de procréer doivent utiliser soit un contraceptif hormonal contenant au moins une dose de 30 µg d'éthinylestradiol et la drospirénone ou le norgestimate comme progestatif, soit une autre méthode de contraception fiable (voir «Interactions» et «Grossesse, Allaitement»). L'effet de la co-administration de Genvoya avec des contraceptifs oraux contenant des progestatifs autres que la drospirénone ou le norgestimate n'est pas connu et cette co-administration doit donc être évitée.
  • +Excipients
  • +Genvoya contient 61 mg de lactose monohydraté. Les patients présentant une intolérance au galactose, un déficit total en lactase ou un syndrome de malabsorption du glucose et du galactose (maladies héréditaires rares) ne doivent pas prendre ce médicament.
  • -L'elvitégravir est métabolisé principalement par le CYP3A et, dans une moindre mesure, par l'UGT1A1. Les médicaments inducteurs ou inhibiteurs du CYP3A devraient donc avoir une influence sur l'exposition à l'elvitégravir. La co-administration de Genvoya avec des médicaments inducteurs du CYP3A peut provoquer une baisse des concentrations plasmatiques d'elvitégravir, une diminution de l'effet thérapeutique de Genvoya et l'apparition d'une résistance (voir «Co-administration contre-indiquée» et «Contre-indications»).
  • +L'elvitégravir est métabolisé principalement par le CYP3A et, dans une moindre mesure, par l'UGT1A1. Les médicaments inducteurs ou inhibiteurs du CYP3A devraient donc avoir une influence sur l'exposition à l'elvitégravir. La co-administration de Genvoya avec des médicaments inducteurs du CYP3A peut provoquer une baisse des concentrations plasmatiques d'elvitégravir, une diminution de l'effet thérapeutique de Genvoya et l'apparition d'une résistance (voir «Utilisation concomitante contre-indiquée» et «Contre-indications»).
  • -La coadministration de Genvoya avec des médicaments qui sont principalement métabolisés par le CYP3A ou le CYP2D6 ou qui sont des substrats de la Pgp, de la BCRP, de l'OATP1B1 ou de l'OATP1B3 peut provoquer une augmentation des concentrations plasmatiques de ces produits, ce qui peut accentuer ou prolonger leur effet thérapeutique et les effets indésirables leur étant associés (voir «Co-administration contre-indiquée» et «Contre-indications»). Les médicaments qui inhibent le CYP3A peuvent provoquer une baisse de la clairance du cobicistat, ce qui se traduit par une augmentation des concentrations plasmatiques de cobicistat.
  • +La coadministration de Genvoya avec des médicaments qui sont principalement métabolisés par le CYP3A ou le CYP2D6 ou qui sont des substrats de la Pgp, de la BCRP, de l'OATP1B1 ou de l'OATP1B3 peut provoquer une augmentation des concentrations plasmatiques de ces produits, ce qui peut accentuer ou prolonger leur effet thérapeutique et les effets indésirables leur étant associés (voir «Utilisation concomitante contre-indiquée» et «Contre-indications»). Les médicaments qui inhibent le CYP3A peuvent provoquer une baisse de la clairance du cobicistat, ce qui se traduit par une augmentation des concentrations plasmatiques de cobicistat.
  • -Rifabutine (150 mg q.o.d.)/ Elvitégravir5 (150 mg q.d.)/ Cobicistat (150 mg q.d.) La coadministration de rifabutine, un puissant inducteur du CYP3A et de la Pgp, peut provoquer une baisse significative des concentrations plasmatiques de cobicistat, d'elvitégravir et de ténofovir alafénamide et, par conséquent, une perte de l'effet thérapeutique, ainsi que l'apparition d'une résistance. Rifabutine: ↔ ASC: 0,92 (0,83; 1,03) ↔ Cmin: 0,94 (0,85; 1,04) ↔ Cmax: 1,09 (0,98; 1,20) 25-O-désacétylrifabutine ↑ ASC: 6,25 (5,08; 7,69) ↑ Cmin: 4,94 (4,04; 6,04) ↑ Cmax: 4,84 (4,09; 5,74) Elvitégravir: ↔ ASC: 0,79 (0,74; 0,85) ↓ Cmin: 0,33 (0,27; 0,40) ↔ Cmax: 0,91 (0,84; 0,99) La coadministration de Genvoya et de rifabutine est contre-indiquée.
  • +Rifabutine (150 mg q.o.d.)/ Elvitégravir5 (150 mg q.d.)/ Cobicistat (150 mg q.d.) La coadministration de rifabutine, un puissant inducteur du CYP3A et de la Pgp, peut provoquer une baisse significative des concentrations plasmatiques de cobicistat, d'elvitégravir et de ténofovir alafénamide et, par conséquent, une perte de l'effet thérapeutique, ainsi que l'apparition d'une résistance. Rifabutine: ↔ ASC: 0,92 (0,83; 1,03) ↔ Cmin: 0,94 (0,85; 1,04) ↔ Cmax: 1,09 (0,98; 1,20) 25-O-désacétylrifabutine: ↑ ASC: 6,25 (5,08; 7,69) ↑ Cmin: 4,94 (4,04; 6,04) ↑ Cmax: 4,84 (4,09; 5,74) Elvitégravir: ↔ ASC: 0,79 (0,74; 0,85) ↓ Cmin: 0,33 (0,27; 0,40) ↔ Cmax: 0,91 (0,84; 0,99) La coadministration de Genvoya et de rifabutine est contre-indiquée.
  • -Lédipasvir (90 mg q.d.)/ Sofosbuvir (400 mg q.d.)/ Elvitégravir (150 mg q.d.)/ Cobicistat (150 mg q.d.)/ Emtricitabine (200 mg q.d.)/ Ténofovir alafénamide (10 mg q.d.)6 Lédipasvir: ↑ ASC: 1,79 (1,64; 1,96) ↑ Cmin: 1,93 (1,74; 2,15) ↑ Cmax: 1,65 (1,53; 1,78) Sofosbuvir: ↑ ASC: 1,47 (1,35; 1,59) Cmin: Non évaluée ↑ Cmax: 1,28 (1,12; 1,47) Métabolite du sofosbuvir, GS-331007: ↑ ASC: 1,48 (1,43; 1,53) ↑ Cmin: 1,66 (1,60; 1,73) ↔ Cmax: 1,29 (1,24; 1,35) Elvitégravir: ↔ ASC: 1,11 (1,02; 1,19) ↑ Cmin: 1,46 (1,28; 1,66) ↔ Cmax: 0,98 (0,90; 1,07) Cobicistat: ↑ ASC: 1,53 (1,45; 1,62) ↑ Cmin: 3,25 (2,88; 3,67) ↔ Cmax: 1,23 (1,15; 1,32) Emtricitabine: ↔ ASC: 0,97 (0,93; 1,00) ↔ Cmin: 0,95 (0,91; 0,99) ↔ Cmax: 1,03 (0,96; 1,11) Ténofovir alafénamide: ↔ ASC: 0,86 (0,78; 0,94) Cmin: Non évaluée ↔ Cmax: 0,90 (0,73; 1,11) Aucune adaptation posologique n'est nécessaire en cas de co-administration de lédipasvir/sofosbuvir et de Genvoya.
  • +Lédipasvir (90 mg q.d.)/ Sofosbuvir (400 mg q.d.)/ Elvitégravir (150 mg q.d.)/ Cobicistat (150 mg q.d.)/ Emtricitabine (200 mg q.d.)/ Ténofovir alafénamide (10 mg q.d.)6 Lédipasvir: ↑ ASC: 1,79 (1,64; 1,96) ↑ Cmin: 1,93 (1,74; 2,15) ↑ Cmax: 1,65 (1,53; 1,78) Sofosbuvir: ↑ ASC: 1,47 (1,35; 1,59) Cmin: Non évaluée ↑ Cmax: 1,28 (1,12; 1,47) Métabolite du sofosbuvir, GS-331007: ↑ ASC: 1,48 (1,43; 1,53) ↑ Cmin: 1,66 (1,60; 1,73) ↔ Cmax: 1,29 (1,24; 1,35) Elvitégravir: ↔ ASC: 1,11 (1,02; 1,19) ↑ Cmin: 1,46 (1,28; 1,66) ↔ Cmax: 0,98 (0,90; 1,07) Cobicistat: ↑ ASC: 1,53 (1,45; 1,62) ↑ Cmin: 3,25 (2,88; 3,67) ↔ Cmax: 1,23 (1,15; 1,32) Emtricitabine: ↔ ASC: 0,97 (0,93; 1,00) ↔ Cmin: 0,95 (0,91; 0,99) ↔ Cmax: 1,03 (0,96; 1,11) Ténofovir alafénamide: ↔ ASC: 0,86 (0,78; 0,94) Cmin: Non évaluée ↔ Cmax: 0,90 (0,73; 1,11) Aucun ajustement de la posologie n'est nécessaire en cas de co-administration de lédipasvir/sofosbuvir et de Genvoya.
  • -Clarithromycine Les interactions avec les principes actifs de Genvoya n'ont pas été étudiées. Les concentrations de clarithromycine et/ou de cobicistat peuvent être modifiées par la coadministration de Genvoya. ↑ Clarithromycine ↑ Cobicistat ↑ Elvitégravir Patients présentant une ClCr égale ou supérieure à 60 ml/min: aucune adaptation de la posologie de la clarithromycine n'est nécessaire. Patients présentant une ClCr comprise entre 30 ml/min et 60 ml/min: la dose de clarithromycine doit être réduite de 50%.
  • +Clarithromycine Les interactions avec les principes actifs de Genvoya n'ont pas été étudiées. Les concentrations de clarithromycine et/ou de cobicistat peuvent être modifiées par la coadministration de Genvoya. ↑ Clarithromycine ↑ Cobicistat ↑ Elvitégravir Patients présentant une ClCr égale ou supérieure à 60 ml/min: aucun ajustement de la posologie de la clarithromycine n'est nécessaire. Patients présentant une ClCr comprise entre 30 ml/min et 60 ml/min: la dose de clarithromycine doit être réduite de 50%.
  • -Suspension antiacide contenant du magnésium/de l'aluminium (dose unique de 20 ml)/ Elvitégravir5 (dose unique de 50 mg)/Ritonavir (dose unique de 100 mg) Elvitégravir (administration de la suspension antiacide 2 heures avant): ↔ ASC: 0,80 (0,75; 0,86) ↔ Cmin: 0,80 (0,73; 0,89) ↔ Cmax: 0,79 (0,71; 0,88) Elvitégravir (administration de la suspension antiacide 2 heures après): ↔ ASC: 0,85 (0,79; 0,91) ↔ Cmin: 0,90 (0,82; 0,99) ↔ Cmax: 0,82 (0,74; 0,91) Elvitégravir (administration simultanée): ↓ ASC: 0,55 (0,50; 0,60) ↓ Cmin: 0,59 (0,52; 0,67) ↓ Cmax: 0,53 (0,47; 0,60) Avec les antiacides, les concentrations plasmatiques d'elvitégravir sont diminuées en raison d'une complexation dans le tractus gastro-intestinal et non de modifications du pH gastrique. Il est recommandé de laisser un intervalle d'au moins 4 heures entre la prise d'antiacides et la prise de Genvoya. Pour obtenir des renseignements sur les autres agents antiacides (par exemple antagonistes des récepteurs H2 et inhibiteurs de la pompe à protons), voir Études conduites avec d'autres médicaments.
  • +Suspension antiacide contenant du magnésium/de l'aluminium (dose unique de 20 ml)/ Elvitégravir5 (dose unique de 50 mg)/ Ritonavir (dose unique de 100 mg) Elvitégravir (administration de la suspension antiacide 2 heures avant): ↔ ASC: 0,80 (0,75; 0,86) ↔ Cmin: 0,80 (0,73; 0,89) ↔ Cmax: 0,79 (0,71; 0,88) Elvitégravir (administration de la suspension antiacide 2 heures après): ↔ ASC: 0,85 (0,79; 0,91) ↔ Cmin: 0,90 (0,82; 0,99) ↔ Cmax: 0,82 (0,74; 0,91) Elvitégravir (administration simultanée): ↓ ASC: 0,55 (0,50; 0,60) ↓ Cmin: 0,59 (0,52; 0,67) ↓ Cmax: 0,53 (0,47; 0,60) Avec les antiacides, les concentrations plasmatiques d'elvitégravir sont diminuées en raison d'une complexation dans le tractus gastro-intestinal et non de modifications du pH gastrique. Il est recommandé de laisser un intervalle d'au moins 4 heures entre la prise d'antiacides et la prise de Genvoya. Pour obtenir des renseignements sur les autres agents antiacides (par exemple antagonistes des récepteurs H2 et inhibiteurs de la pompe à protons), voir «Études conduites avec d'autres médicaments».
  • -Metformine Les interactions avec les principes actifs de Genvoya n'ont pas été étudiées. Le cobicistat exerce une inhibition réversible sur MATE1 et les concentrations de metformine peuvent augmenter en cas de coadministration avec Genvoya. Il est recommandé de surveiller attentivement le patient et d'adapter la posologie de la metformine chez les patients sous Genvoya.
  • +Metformine Les interactions avec les principes actifs de Genvoya n'ont pas été étudiées. Le cobicistat exerce une inhibition réversible sur MATE1 et les concentrations de metformine peuvent augmenter en cas de coadministration avec Genvoya. Il est recommandé de surveiller attentivement le patient et d'ajuster la posologie de la metformine chez les patients sous Genvoya.
  • -Méthadone (80-120 mg)/ Elvitégravir5 (150 mg q.d.)/ Cobicistat (150 mg q.d.) R-méthadone: ↔ ASC: 1,07 (0,96; 1,19) ↔ Cmin: 1,10 (0,95; 1,28) ↔ Cmax: 1,01 (0,91; 1,13) S-méthadone: ↔ ASC: 1,00 (0,89; 1,12) ↔ Cmin: 1,02 (0,89; 1,17) ↔ Cmax: 0,96 (0,87; 1,06) Aucune adaptation posologique de la méthadone n'est nécessaire.
  • -Buprénorphine/Naloxone (16/4 à 24/6 mg)/ Elvitégravir5 (150 mg q.d.)/ Cobicistat (150 mg q.d.) Buprénorphine: ↑ ASC: 1,35 (1,18; 1,55) ↑ Cmin: 1,66 (1,43; 1,93) ↔ Cmax: 1,12 (0,98; 1,27) Naloxone: ↓ ASC: 0,72 (0,59; 0,87) ↓ Cmax: 0,72 (0,61; 0,85) Aucune adaptation posologique de la buprénorphine/naloxone n'est nécessaire. Une surveillance clinique est recommandée en cas de co-administration avec Genvoya.
  • +Méthadone (80-120 mg)/ Elvitégravir5 (150 mg q.d.)/ Cobicistat (150 mg q.d.) R-méthadone: ↔ ASC: 1,07 (0,96; 1,19) ↔ Cmin: 1,10 (0,95; 1,28) ↔ Cmax: 1,01 (0,91; 1,13) S-méthadone: ↔ ASC: 1,00 (0,89; 1,12) ↔ Cmin: 1,02 (0,89; 1,17) ↔ Cmax: 0,96 (0,87; 1,06) Aucun ajustement de la posologie de la méthadone n'est nécessaire.
  • +Buprénorphine/Naloxone (16/4 à 24/6 mg)/ Elvitégravir5 (150 mg q.d.)/ Cobicistat (150 mg q.d.) Buprénorphine: ↑ ASC: 1,35 (1,18; 1,55) ↑ Cmin: 1,66 (1,43; 1,93) ↔ Cmax: 1,12 (0,98; 1,27) Naloxone: ↓ ASC: 0,72 (0,59; 0,87) ↓ Cmax: 0,72 (0,61; 0,85) Aucun ajustement de la posologie de la buprénorphine/naloxone n'est nécessaire. Une surveillance clinique est recommandée en cas de co-administration avec Genvoya.
  • -Drospirénone/Éthinylestradiol (dose unique de 3 mg/0,02 mg)/Cobicistat (150 mg q.d.)7 Drospirénone/Éthinylestradiol (dose unique de 3 mg/0,02 mg)/Atazanavir (300 mg q.d.)/Cobicistat (150 mg q.d.) Drospirénone/Éthinylestradiol (dose unique de 3 mg/0,02 mg)/Darunavir (800 mg q.d.)/Cobicistat (150 mg q.d.) Les interactions avec Genvoya n'ont pas été étudiées. La concentration de drospirénone peut augmenter en cas de coadministration avec du cobicistat. Drospirénone: ↑ ASC: 2,30 (2,00; 2,64) ↔ Cmax: 1,12 (1,05; 1,19) Drospirénone: ↑ ASC: 1,58 (1,47; 1,71) ↔ Cmax: 1,15 (1,05; 1,26) Les concentrations plasmatiques de drospirénone peuvent augmenter en cas de co-administration avec un médicament contenant du cobicistat. Une surveillance clinique est recommandée en raison d'un risque potentiel d'hyperkaliémie. La coadministration de Genvoya et d'un contraceptif hormonal doit se faire avec prudence. Le contraceptif hormonal doit contenir au moins 30 µg d'éthinylestradiol et la drospirénone ou le norgestimate comme progestatif. Les effets à long terme d'augmentations importantes de l'exposition à la progestérone ne sont pas connus. L'effet de la co-administration de Genvoya avec des contraceptifs oraux contenant des progestatifs autres que la drospirénone ou le norgestimate ou contenant moins de 25 µg d'éthinylestradiol n'est pas connu et cette co-administration doit donc être évitée. Les patientes doivent utiliser une autre méthode de contraception fiable. L'usage de méthodes barrières de contraception ou d'autres méthodes non hormonales doit être envisagé (voir «Mises en garde et précautions» et «Grossesse/Allaitement»).
  • +Drospirénone/Éthinylestradiol (dose unique de 3 mg/0,02 mg)/Cobicistat (150 mg q.d.)7 Drospirénone/Éthinylestradiol (dose unique de 3 mg/0,02 mg)/Atazanavir (300 mg q.d.)/Cobicistat (150 mg q.d.) Drospirénone/Éthinylestradiol (dose unique de 3 mg/0,02 mg)/Darunavir (800 mg q.d.)/Cobicistat (150 mg q.d.) Les interactions avec Genvoya n'ont pas été étudiées. La concentration de drospirénone peut augmenter en cas de coadministration avec du cobicistat. Drospirénone: ↑ ASC: 2,30 (2,00; 2,64) ↔ Cmax: 1,12 (1,05; 1,19) Drospirénone: ↑ ASC: 1,58 (1,47; 1,71) ↔ Cmax: 1,15 (1,05; 1,26) Les concentrations plasmatiques de drospirénone peuvent augmenter en cas de co-administration avec un médicament contenant du cobicistat. Une surveillance clinique est recommandée en raison d'un risque potentiel d'hyperkaliémie. La coadministration de Genvoya et d'un contraceptif hormonal doit se faire avec prudence. Le contraceptif hormonal doit contenir au moins 30 µg d'éthinylestradiol et la drospirénone ou le norgestimate comme progestatif. Les effets à long terme d'augmentations importantes de l'exposition à la progestérone ne sont pas connus. L'effet de la co-administration de Genvoya avec des contraceptifs oraux contenant des progestatifs autres que la drospirénone ou le norgestimate ou contenant moins de 25 µg d'éthinylestradiol n'est pas connu et cette co-administration doit donc être évitée. Les patientes doivent utiliser une autre méthode de contraception fiable. L'usage de méthodes barrières de contraception ou d'autres méthodes non hormonales doit être envisagé (voir «Mises en garde et précautions» et «Grossesse, Allaitement»).
  • -Edoxaban Les interactions avec les principes actifs de Genvoya n'ont pas été étudiées. La co-administration de Genvoya peut conduire à des concentrations plasmatiques accrues d'édoxaban, ce qui peut avoir pour conséquence un risque élevé d'hémorragies. ↑ Edoxaban En cas de co-administration de Genvoya et édoxaban, on recommande une surveillance clinique et/ou une adaptation posologique. Il convient de prendre en compte l'information professionnelle d'édoxaban en ce qui concerne les interactions avec les inhibiteurs de la P-gp.
  • +Edoxaban Les interactions avec les principes actifs de Genvoya n'ont pas été étudiées. La co-administration de Genvoya peut conduire à des concentrations plasmatiques accrues d'édoxaban, ce qui peut avoir pour conséquence un risque élevé d'hémorragies. ↑ Edoxaban En cas de co-administration de Genvoya et édoxaban, on recommande une surveillance clinique et/ou un ajustement de la posologie. Il convient de prendre en compte l'information professionnelle d'édoxaban en ce qui concerne les interactions avec les inhibiteurs de la P-gp.
  • -Pitavastatine Pravastatine Fluvastatine Les interactions avec les principes actifs de Genvoya n'ont pas été étudiées. La co-administration avec de l'elvitégravir et du cobicistat peut augmenter les concentrations de pitavastatine, de pravastatine ou de fluvastatine. Aucune adaptation posologique n'est nécessaire en cas de coadministration avec Genvoya. Une surveillance attentive de la sécurité (p.ex. myopathie) est recommandée en cas de co-administration avec Genvoya.
  • +Pitavastatine Pravastatine Fluvastatine Les interactions avec les principes actifs de Genvoya n'ont pas été étudiées. La co-administration avec de l'elvitégravir et du cobicistat peut augmenter les concentrations de pitavastatine, de pravastatine ou de fluvastatine. Aucun ajustement de la posologie n'est nécessaire en cas de coadministration avec Genvoya. Une surveillance attentive de la sécurité (p.ex. myopathie) est recommandée en cas de co-administration avec Genvoya.
  • -Sildénafil Tadalafil Vardénafil Les interactions avec les principes actifs de Genvoya n'ont pas été étudiées. Les inhibiteurs de la PDE-5 sont principalement métabolisés par le CYP3A. La coadministration avec Genvoya peut provoquer une augmentation des concentrations plasmatiques de sildénafil, tadalafil et vardénafil, ce qui peut être à l'origine d'effets indésirables associés aux inhibiteurs de la PDE-5. La coadministration de Genvoya et de sildénafil pour traiter l'hypertension artérielle pulmonaire, est contre-indiquée. La coadministration de Genvoya et de vardénafil est contre-indiquée. Les adaptations posologiques suivantes sont recommandées pour la co-administration de Genvoya avec le tadalafil pour le traitement de l'hypertension pulmonaire. Co-administration de taladafil à des patients sous Genvoya: pour les patients recevant Genvoya pendant au moins 1 semaine, l'administration de tadalafil commence à une dose de 20 mg une fois par jour. La dose de tadalafil est portée à 40 mg une fois par jour selon la tolérance individuelle. Co-administration de Genvoya à des patients sous tadalafil: il convient d'éviter l'utilisation du tadalafil au moment de l'instauration du traitement par Genvoya. Le tadalafil doit être arrêté au moins 24 heures avant le début du traitement par Genvoya. Le traitement par tadalafil sera repris à une dose de 20 mg une fois par jour après écoulement d'au moins une semaine depuis l'instauration du traitement par Genvoya. La dose de tadalafil est portée à 40 mg une fois par jour selon la tolérance individuelle. Pour le traitement du dysfonctionnement érectile, il est recommandé d'utiliser les doses suivantes en cas de co-administration avec Genvoya: une dose unique de sildénafil inférieure ou égale à 25 mg en 48 heures ou une dose unique de tadalafil inférieure ou égale à 10 mg en 72 heures.
  • +Sildénafil Tadalafil Vardénafil Les interactions avec les principes actifs de Genvoya n'ont pas été étudiées. Les inhibiteurs de la PDE-5 sont principalement métabolisés par le CYP3A. La coadministration avec Genvoya peut provoquer une augmentation des concentrations plasmatiques de sildénafil, tadalafil et vardénafil, ce qui peut être à l'origine d'effets indésirables associés aux inhibiteurs de la PDE-5. La coadministration de Genvoya et de sildénafil pour traiter l'hypertension artérielle pulmonaire, est contre-indiquée. La coadministration de Genvoya et de vardénafil est contre-indiquée. Les ajustements de la posologie suivants sont recommandés pour la co-administration de Genvoya avec le tadalafil pour le traitement de l'hypertension pulmonaire. Co-administration de taladafil à des patients sous Genvoya: pour les patients recevant Genvoya pendant au moins 1 semaine, l'administration de tadalafil commence à une dose de 20 mg une fois par jour. La dose de tadalafil est portée à 40 mg une fois par jour selon la tolérance individuelle. Co-administration de Genvoya à des patients sous tadalafil: il convient d'éviter l'utilisation du tadalafil au moment de l'instauration du traitement par Genvoya. Le tadalafil doit être arrêté au moins 24 heures avant le début du traitement par Genvoya. Le traitement par tadalafil sera repris à une dose de 20 mg une fois par jour après écoulement d'au moins une semaine depuis l'instauration du traitement par Genvoya. La dose de tadalafil est portée à 40 mg une fois par jour selon la tolérance individuelle. Pour le traitement du dysfonctionnement érectile, il est recommandé d'utiliser les doses suivantes en cas de co-administration avec Genvoya: une dose unique de sildénafil inférieure ou égale à 25 mg en 48 heures ou une dose unique de tadalafil inférieure ou égale à 10 mg en 72 heures.
  • -Sertraline (50 mg q.d.)/ Elvitégravir (150 mg q.d.)/ Cobicistat (150 mg q.d.)/ Emtricitabine (200 mg q.d.)/ Ténofovir alafénamide (10 mg q.d.)6 Elvitégravir: ↔ ASC: 0,93 (0,89; 0,98) ↔ Cmin: 0,99 (0,93; 1,05) ↔ Cmax: 0,87 (0,82; 0,93) Ténofovir alafénamide: ↔ ASC: 0,96 (0,89; 1,02) ↔ Cmax: 1,00 (0,86; 1,16) Sertraline: ↔ ASC: 0,93 (0,77; 1,13) ↔ Cmax: 1,14 (0,94; 1,38) Les concentrations de sertraline ne sont que faiblement modifiées en cas de co-administration avec Genvoya. Aucune adaptation de la posologie ne devrait être nécessaire en cas de co-administration.
  • -Antidépresseurs tricycliques (TAD) Trazodone Inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS) Escitalopram Les interactions avec les principes actifs de Genvoya n'ont pas été étudiées. Les concentrations des antidépresseurs peuvent augmenter en cas de co-administration avec du cobicistat. Une surveillance clinique et un contrôle des concentrations sanguines, ainsi que, si nécessaire, une adaptation posologique progressive prudente de l'antidépresseur et un contrôle de l'effet antidépressif sont recommandés.
  • +Sertraline (50 mg q.d.)/ Elvitégravir (150 mg q.d.)/ Cobicistat (150 mg q.d.)/ Emtricitabine (200 mg q.d.)/ Ténofovir alafénamide (10 mg q.d.)6 Elvitégravir: ↔ ASC: 0,93 (0,89; 0,98) ↔ Cmin: 0,99 (0,93; 1,05) ↔ Cmax: 0,87 (0,82; 0,93) Ténofovir alafénamide: ↔ ASC: 0,96 (0,89; 1,02) ↔ Cmax: 1,00 (0,86; 1,16) Sertraline: ↔ ASC: 0,93 (0,77; 1,13) ↔ Cmax: 1,14 (0,94; 1,38) Les concentrations de sertraline ne sont que faiblement modifiées en cas de co-administration avec Genvoya. Aucun ajustement de la posologie ne devrait être nécessaire en cas de co-administration.
  • +Antidépresseurs tricycliques (TAD) Trazodone Inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS) Escitalopram Les interactions avec les principes actifs de Genvoya n'ont pas été étudiées. Les concentrations des antidépresseurs peuvent augmenter en cas de co-administration avec du cobicistat. Une surveillance clinique et un contrôle des concentrations sanguines, ainsi que, si nécessaire, un ajustement progressif prudent de la posologie de l'antidépresseur et un contrôle de l'effet antidépressif sont recommandés.
  • -Midazolam Le midazolam est principalement métabolisé par le CYP3A. En raison de la présence de cobicistat, la coadministration avec Genvoya peut provoquer une augmentation des concentrations plasmatiques de ce médicament, laquelle peut être associée à un risque de réactions graves et/ou pouvant mettre en jeu le pronostic vital. La co-administration de Genvoya et de midazolam administré par voie orale est contre-indiquée (voir Contre-indications).
  • +Midazolam Le midazolam est principalement métabolisé par le CYP3A. En raison de la présence de cobicistat, la coadministration avec Genvoya peut provoquer une augmentation des concentrations plasmatiques de ce médicament, laquelle peut être associée à un risque de réactions graves et/ou pouvant mettre en jeu le pronostic vital. La co-administration de Genvoya et de midazolam administré par voie orale est contre-indiquée (voir «Contre-indications»).
  • -Femmes en âge de procréer
  • +Femmes en âge de procréer/Contraception chez l'homme et la femme
  • -Les études effectuées chez l'animal n'ont pas mis en évidence d'effets délétères directs ou indirects de l'elvitégravir ou de l'emtricitabine, administrés séparément, sur la fertilité, la grossesse, le développement fœtal, la parturition ou le développement post-natal. Des études réalisées sur des rats n'ont mis en évidence aucun effet néfaste du cobocistat, du ténofovir alafénamide ou du fumarate de ténofovir disoproxil (TDF) administrés séparément sur le développement du fœtus, ni aucun effet néfaste du TDF sur le développement péri-/postnatal, sauf dans des doses qui étaient toxiques pour la mère (voir «Données précliniques»).
  • +Les études effectuées chez l'animal n'ont pas mis en évidence d'effets délétères directs ou indirects de l'elvitégravir ou de l'emtricitabine, administrés séparément, sur la fertilité, la grossesse, le développement fœtal, la parturition ou le développement post-natal. Des études réalisées sur des rats n'ont mis en évidence aucun effet néfaste du cobicistat, du ténofovir alafénamide ou du fumarate de ténofovir disoproxil (TDF) administrés séparément sur le développement du fœtus, ni aucun effet néfaste du TDF sur le développement péri-/postnatal, sauf dans des doses qui étaient toxiques pour la mère (voir «Données précliniques»).
  • -L'évaluation des effets indésirables repose sur les données de sécurité d'emploi issues de l'ensemble des études de phases 2 et 3 au cours desquelles 2'396 patients ont reçu Genvoya. Les effets indésirables les plus fréquemment rapportés au cours des études cliniques pendant 96 semaines étaient des nausées (10%), des diarrhées (7%) et des céphalées (6%) (données combinées issues des études cliniques de phase 3 GS-US-292-0104 et GS-US-292-0111 menées chez 866 patients adultes naïfs de tout traitement qui ont reçu Genvoya pendant 96 semaines).
  • +L'évaluation des effets indésirables repose sur les données de sécurité d'emploi issues de l'ensemble des études de phases 2 et 3 au cours desquelles 2396 patients ont reçu Genvoya et sur les données de sécurité recueillies depuis la commercialisation. Les effets indésirables les plus fréquemment rapportés au cours des études cliniques pendant 96 semaines étaient des nausées (10%), des diarrhées (7%) et des céphalées (6%) (données combinées issues des études cliniques de phase 3 GS-US-292-0104 et GS-US-292-0111 menées chez 866 patients adultes naïfs de tout traitement qui ont reçu Genvoya pendant 96 semaines).
  • -Les effets indésirables figurant dans le tableau 2 sont présentés par classe de systèmes d'organes et par fréquence. Les fréquences sont définies comme suit: très fréquents (≥1/10), fréquents (≥1/100, <1/10) et occasionnels (≥1/1'000, <1/100).
  • +Les effets indésirables figurant dans le tableau 2 sont présentés par classe de systèmes d'organes et par fréquence. Les fréquences sont définies comme suit: très fréquents (≥1/10), fréquents (≥1/100, <1/10) et occasionnels (≥1/1000, <1/100).
  • +Occasionnels: idées suicidaires et tentative de suicide (chez les patients ayant des antécédents de dépression ou de maladie psychiatrique)
  • +
  • -Fréquents: éruption
  • -Occasionnels: angio-oedème1,2, prurit
  • -Affections musculo-squelettiques et du tissu conjonctif:
  • -Occasionnels: arthralgie³
  • +Fréquents: éruption, urticaire3
  • +Occasionnels: angiooedème2,3, prurit
  • +Affections musculosquelettiques et du tissu conjonctif:
  • +Occasionnels: arthralgie4
  • -2 Cet effet indésirable a été identifié dans le cadre de la pharmacovigilance post-commercialisation pour l'emtricitabine. Cet effet indésirable n'a cependant pas été observé lors des études cliniques randomisées contrôlées menées sur l'emtricitabine chez des adultes ou des enfants infectés par le VIH. La catégorie de fréquence a été estimée d'après des calculs statistiques basés sur le nombre total de patients exposés à l'emtricitabine lors des études cliniques randomiseés contrôlées menées avec l'emtricitabine (n = 1563).
  • -3 Effets indésirables rapportés dans le cadre d'études cliniques menées sur l'emtricitabine + ténofovir alfénamide.
  • -Description de certains effets indésirables particuliers
  • +2 Cet effet indésirable a été rapporté dans le cadre de la pharmacovigilance post-commercialisation pour des médicaments contenant de l'emtricitabine.
  • +3 Cet effet indésirable a été rapporté dans le cadre de la pharmacovigilance post-commercialisation pour des médicaments contenant du ténofovir alafénamide; la fréquence a été calculée sur la base des études GS-US-292-0104, GS-US-292-0111 et GS-US-292-0109.
  • +4 Cet effet indésirable a été rapporté lors des études cliniques avec des médicaments contenant de l'emtricitabine et du ténofovir alafénamide.
  • +Description de certains effets indésirables
  • -Adultes naïfs de tout traitement: dans deux études randomisées contrôlées de 96 semaines incluant au total 1'733 adultes naïfs de tout traitement présentant un DFGe médian de 115 ml/min à l'inclusion, la créatinine sérique a augmenté de moins de 0,1 mg/dl dans le groupe Genvoya et de 0,1 mg/dl dans le groupe Stribild entre le début de l'étude et la semaine 96. Le rapport protéinurie/créatininurie (RPC) médian dans le groupe Genvoya était de 44 mg/g à l'inclusion et de 42 mg/g à la semaine 96. Chez les patients traités par Stribild, le RPC médian était de 44 mg/g à l'inclusion et de 54 mg/g à la semaine 96. Aucun cas de tubulopathie rénale proximale (y compris le syndrome de Fanconi) n'est survenu dans le groupe sous Genvoya à la semaine 96.
  • -Adultes virologiquement contrôlés: dans une étude incluant 1'436 adultes virologiquement contrôlés et traités par le TDF présentant un DFGe moyen de 112 ml/min à l'inclusion et randomisés pour poursuivre le traitement initial ou passer à Genvoya, la créatinine sérique moyenne à la semaine 96 a été similaire à la créatinine sérique moyenne à l'inclusion dans le groupe poursuivant le traitement initial et dans le groupe passant à Genvoya. Le RPC médian dans le groupe passé à Genvoya était de 61 mg/g à l'inclusion et de 45 mg/g à la semaine 96. Chez les patients poursuivant le traitement initial, le RPC médian était de 60 mg/g à l'inclusion et de 61 mg/g à la semaine 96. Aucun cas de tubulopathie rénale proximale (y compris le syndrome de Fanconi) n'est survenu dans le groupe sous Genvoya à la semaine 96.
  • +Adultes naïfs de tout traitement: dans deux études randomisées contrôlées de 96 semaines incluant au total 1733 adultes naïfs de tout traitement présentant un DFGe médian de 115 ml/min à l'inclusion, la créatinine sérique a augmenté de moins de 0,1 mg/dl dans le groupe Genvoya et de 0,1 mg/dl dans le groupe Stribild entre le début de l'étude et la semaine 96. Le rapport protéinurie/créatininurie (RPC) médian dans le groupe Genvoya était de 44 mg/g à l'inclusion et de 42 mg/g à la semaine 96. Chez les patients traités par Stribild, le RPC médian était de 44 mg/g à l'inclusion et de 54 mg/g à la semaine 96. Aucun cas de tubulopathie rénale proximale (y compris le syndrome de Fanconi) n'est survenu dans le groupe sous Genvoya à la semaine 96.
  • +Adultes virologiquement contrôlés: dans une étude incluant 1436 adultes virologiquement contrôlés et traités par le TDF présentant un DFGe moyen de 112 ml/min à l'inclusion et randomisés pour poursuivre le traitement initial ou passer à Genvoya, la créatinine sérique moyenne à la semaine 96 a été similaire à la créatinine sérique moyenne à l'inclusion dans le groupe poursuivant le traitement initial et dans le groupe passant à Genvoya. Le RPC médian dans le groupe passé à Genvoya était de 61 mg/g à l'inclusion et de 45 mg/g à la semaine 96. Chez les patients poursuivant le traitement initial, le RPC médian était de 60 mg/g à l'inclusion et de 61 mg/g à la semaine 96. Aucun cas de tubulopathie rénale proximale (y compris le syndrome de Fanconi) n'est survenu dans le groupe sous Genvoya à la semaine 96.
  • -Adultes naïfs de tout traitement: dans une analyse combinée des études GS-US-292-0104 et GS-US-292-0111, les effets de Genvoya sur la modification de la densité minérale osseuse (DMO) par rapport à Stribild a été évaluée par DXA (Dual Energy X-ray Absorptiometry) à l'inclusion et à la semaine 96 . La DMO moyenne au niveau du rachis lombaire a diminué de 0,96% entre l'inclusion et la semaine 96 sous Genvoya et de 2,79% sous Stribild; au niveau de la hanche, elle a diminué de 0,67% et de 3,28%, respectivement. Une diminution de la DMO au niveau du rachis lombaire de 5% ou plus a été observée chez 12% des patients traités par Genvoya et chez 26% des patients traités par Stribild. Une diminution de la DMO au niveau du col du fémur de 7% ou plus a été observée chez 11% des patients traités par Genvoya et chez 26% des patients traités par Stribild. L'effet clinique à long terme de ces modifications de la DMO n'est pas connu.
  • +Adultes naïfs de tout traitement: dans une analyse combinée des études GS-US-292-0104 et GS-US-292-0111, les effets de Genvoya sur la modification de la densité minérale osseuse (DMO) par rapport à Stribild a été évaluée par DXA (Dual Energy X-ray Absorptiometry) à l'inclusion et à la semaine 96. La DMO moyenne au niveau du rachis lombaire a diminué de 0,96% entre l'inclusion et la semaine 96 sous Genvoya et de 2,79% sous Stribild; au niveau de la hanche, elle a diminué de 0,67% et de 3,28%, respectivement. Une diminution de la DMO au niveau du rachis lombaire de 5% ou plus a été observée chez 12% des patients traités par Genvoya et chez 26% des patients traités par Stribild. Une diminution de la DMO au niveau du col du fémur de 7% ou plus a été observée chez 11% des patients traités par Genvoya et chez 26% des patients traités par Stribild. L'effet clinique à long terme de ces modifications de la DMO n'est pas connu.
  • -Amylase (>2,0× LSN) 2% 4%
  • -ASAT (>5,0× LSN) 2% 2%
  • -Créatine kinase (≥10,0× LSN) 9% 7%
  • +Amylase (>2,0 x LSN) 2% 4%
  • +ASAT (>5,0 x LSN) 2% 2%
  • +Créatine kinase (≥10,0 x LSN) 9% 7%
  • -Chez les patients infectés par le VIH et présentant un déficit immunitaire sévère, une réaction inflammatoire à des infections opportunistes asymptomatiques ou résiduelles peut se produire au moment de l'instauration du traitement par ART. Des maladies auto-immunes (comme la maladie de Basedow) ont également été rapportées; cependant, le délai d'apparition décrit est très variable et ces événements peuvent survenir plusieurs mois après l'instauration du traitement (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +Chez les patients infectés par le VIH et présentant un déficit immunitaire sévère, une réaction inflammatoire à des infections opportunistes asymptomatiques ou résiduelles peut se produire au moment de l'instauration du traitement par ART. Des maladies auto-immunes (comme la maladie de Basedow et l'hépatite auto-immune) ont également été rapportées; cependant, le délai d'apparition décrit est très variable et ces événements peuvent survenir plusieurs mois après l'instauration du traitement (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -eGFRCG <50 ml/min (n = 80) eGFRCG ≥50 ml/min (n = 162) eGFRCG <50 ml/min (n = 80) eGFRCG ≥50 ml/min (n = 162)
  • -ALAT (>5,0× LSN) 0 2 (1%) 1 (1%) 5 (3%)
  • -Amylase (>2,0× LSN) 6 (8%) 2 (1%) 6 (8%) 4 (2%)
  • -ASAT (>5,0× LSN) 1 (1%) 0 1 (1%) 3 (2%)
  • -GGT (>5,0× LSN) 2 (3%) 1 (1%) 2 (3%) 3 (2%)
  • +eGFRCG <50 ml/min (n = 80) eGFRCG ≥50 ml/min (n = 162) eGFRCG <50 ml/min (n = 80) eGFRCG ≥50 ml/min (n = 162)
  • +ALAT (>5,0 x LSN) 0 2 (1%) 1 (1%) 5 (3%)
  • +Amylase (>2,0 x LSN) 6 (8%) 2 (1%) 6 (8%) 4 (2%)
  • +ASAT (>5,0 x LSN) 1 (1%) 0 1 (1%) 3 (2%)
  • +GGT (>5,0 x LSN) 2 (3%) 1 (1%) 2 (3%) 3 (2%)
  • +L'annonce d'effets secondaires présumés après l'autorisation est d'une grande importance. Elle permet un suivi continu du rapport bénéfice-risque du médicament. Les professionnels de santé sont tenus de déclarer toute suspicion d'effet secondaire nouveau ou grave via le portail d'annonce en ligne ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet sur www.swissmedic.ch.
  • +
  • -Code ATC: J05AR18
  • -Mécanisme d'action/pharmacodynamique:
  • -
  • +Code ATC
  • +J05AR18
  • -Résistance:
  • +Résistance
  • -Effets sur l'électrocardiogramme:
  • +Effets sur l'électrocardiogramme
  • -Effets du cobicistat sur la créatinine sérique:
  • +Effets du cobicistat sur la créatinine sérique
  • -Efficacité et sécurité clinique:
  • +Efficacité clinique
  • -L'efficacité et la sécurité de Genvoya chez des adultes infectés par le VIH-1 et naïfs de tout traitement sont issues des données de 96 semaines de deux études de phase 3, randomisées, en double aveugle, contrôlées par médicament actif, GS-US-292-0104 et GS-US-292-0111 (n = 1'733). L'efficacité et la sécurité de Genvoya chez des adultes infectés par le VIH-1 virologiquement contrôlés sont issues des données de 96 semaines d'une étude de phase 3, randomisée en ouvert, contrôlée, GS-US-292-0109 (n = 1'436). L'efficacité et la sécurité de Genvoya chez des adultes infectés par le VIH-1 virologiquement contrôlés et présentant une insuffisance rénale légère à modérée sont issues des données de 96 semaines d'une étude de phase 3, en ouvert, GS-US-292-0112 (n = 242). L'efficacité et la sécurité de Genvoya chez des adolescents de 12 à <18 ans infectés par le VIH-1 naïfs de tout traitement sont issues des données de 48 semaines d'une étude de phase 3, en ouvert, GS-US-292-0106 (n = 50).
  • +L'efficacité et la sécurité de Genvoya chez des adultes infectés par le VIH-1 et naïfs de tout traitement sont issues des données de 96 semaines de deux études de phase 3, randomisées, en double aveugle, contrôlées par médicament actif, GS-US-292-0104 et GS-US-292-0111 (n = 1733). L'efficacité et la sécurité de Genvoya chez des adultes infectés par le VIH-1 virologiquement contrôlés sont issues des données de 96 semaines d'une étude de phase 3, randomisée en ouvert, contrôlée, GS-US-292-0109 (n = 1436). L'efficacité et la sécurité de Genvoya chez des adultes infectés par le VIH-1 virologiquement contrôlés et présentant une insuffisance rénale légère à modérée sont issues des données de 96 semaines d'une étude de phase 3, en ouvert, GS-US-292-0112 (n = 242). L'efficacité et la sécurité de Genvoya chez des adolescents de 12 à <18 ans infectés par le VIH-1 naïfs de tout traitement sont issues des données de 48 semaines d'une étude de phase 3, en ouvert, GS-US-292-0106 (n = 50).
  • -Dans les études GS-US-292-0104 et GS-US-292-0111, les patients ont été randomisés selon un rapport de 1:1 pour recevoir soit Genvoya (n = 866) soit E/C/F/TDF (Stribild) (n = 867) une fois par jour. L'âge moyen était de 36 ans (intervalle: 18-76), 85% étaient de sexe masculin, 57% étaient blancs, 25% étaient noirs et 10% étaient asiatiques. Dix-neuf pour cent des patients ont été identifiés comme hispaniques/latino-américains. Le taux plasmatique moyen d'ARN du VIH-1 à l'inclusion était de 4,5 log10 copies/ml (intervalle: 1,3-7,0) et 23% présentaient à l'inclusion une charge virale >100'000 copies/ml. Le taux moyen de CD4+ à l'inclusion était de 427 cellules/mm3 (intervalle: 0-1'360) et 13% présentaient un taux de CD4+ <200 cellules/mm3.
  • +Dans les études GS-US-292-0104 et GS-US-292-0111, les patients ont été randomisés selon un rapport de 1:1 pour recevoir soit Genvoya (n = 866) soit E/C/F/TDF (Stribild) (n = 867) une fois par jour. L'âge moyen était de 36 ans (intervalle: 18-76), 85% étaient de sexe masculin, 57% étaient blancs, 25% étaient noirs et 10% étaient asiatiques. Dix-neuf pour cent des patients ont été identifiés comme hispaniques/latino-américains. Le taux plasmatique moyen d'ARN du VIH-1 à l'inclusion était de 4,5 log10 copies/ml (intervalle: 1,3-7,0) et 23% présentaient à l'inclusion une charge virale >100'000 copies/ml. Le taux moyen de CD4+ à l'inclusion était de 427 cellules/mm3 (intervalle: 0-1360) et 13% présentaient un taux de CD4+ <200 cellules/mm3.
  • -Dans l'étude GS-US-292-0109, l'efficacité et la sécurité du changement de traitement après un traitement par éfavirenz (EFV)/emtricitabine (FTC)/fumarate de ténofovir disoproxil (TDF), FTC/TDF plus atazanavir (potentialisé par le cobicistat ou le ritonavir), ou E/C/F/TDF pour passer sous Genvoya ont été évaluées dans une étude randomisée en ouvert chez des adultes infectés par le VIH-1 virologiquement contrôlés (taux d'ARN du VIH-1<50 copies/ml) (n = 1'436). Les patients devaient être virologiquement contrôlés et stables (taux d'ARN du VIH-1<50 copies/ml) sous le traitement reçu à l'inclusion depuis au moins 6 mois et être porteurs d'un VIH-1 exempt de mutations associées à une résistance à l'un des principes actifs de Genvoya avant l'inclusion. Ces patients n'avaient par ailleurs pas d'antécédent d'échec virologique et recevaient leur premier ou deuxième traitement antirétroviral. Les patients ont été randomisés selon un rapport de 2:1 pour changer de traitement pour Genvoya à l'inclusion (n = 959) ou poursuivre leur traitement antirétroviral initial (n = 477). L'âge moyen des patients était de 41 ans (intervalle: 21-77), 89% étaient de sexe masculin, 67% étaient blancs et 19% étaient noirs. Le taux moyen de CD4+ à l'inclusion était de 697 cellules/mm3 (intervalle: 79-1'951). Les patients ont été stratifiés selon leur traitement précédent. Lors de la sélection, 42% des patients recevaient un traitement par FTC/TDF plus atazanavir (potentialisé par le cobicistat ou le ritonavir), 32% des patients recevaient un traitement par E/C/F/TDF et 26% des patients recevaient un traitement par EFV/FTC/TDF.
  • +Dans l'étude GS-US-292-0109, l'efficacité et la sécurité du changement de traitement après un traitement par éfavirenz (EFV)/emtricitabine (FTC)/fumarate de ténofovir disoproxil (TDF), FTC/TDF plus atazanavir (potentialisé par le cobicistat ou le ritonavir), ou E/C/F/TDF pour passer sous Genvoya ont été évaluées dans une étude randomisée en ouvert chez des adultes infectés par le VIH-1 virologiquement contrôlés (taux d'ARN du VIH-1<50 copies/ml) (n = 1436). Les patients devaient être virologiquement contrôlés et stables (taux d'ARN du VIH-1<50 copies/ml) sous le traitement reçu à l'inclusion depuis au moins 6 mois et être porteurs d'un VIH-1 exempt de mutations associées à une résistance à l'un des principes actifs de Genvoya avant l'inclusion. Ces patients n'avaient par ailleurs pas d'antécédent d'échec virologique et recevaient leur premier ou deuxième traitement antirétroviral. Les patients ont été randomisés selon un rapport de 2:1 pour changer de traitement pour Genvoya à l'inclusion (n = 959) ou poursuivre leur traitement antirétroviral initial (n = 477). L'âge moyen des patients était de 41 ans (intervalle: 21-77), 89% étaient de sexe masculin, 67% étaient blancs et 19% étaient noirs. Le taux moyen de CD4+ à l'inclusion était de 697 cellules/mm3 (intervalle: 79-1951). Les patients ont été stratifiés selon leur traitement précédent. Lors de la sélection, 42% des patients recevaient un traitement par FTC/TDF plus atazanavir (potentialisé par le cobicistat ou le ritonavir), 32% des patients recevaient un traitement par E/C/F/TDF et 26% des patients recevaient un traitement par EFV/FTC/TDF.
  • - Genvoya (n = 959) Traitement initial (n = 477) Genvoya (n = 959) Traitement initial (n = 477)
  • +Genvoya (n = 959) Traitement initial (n = 477) Genvoya (n = 959) Traitement initial (n = 477)
  • -Dans l'étude GS-US-292-0112, l'efficacité et la sécurité de Genvoya ont été évaluées dans une étude clinique en ouvert menée chez 242 patients infectés par le VIH-1 et présentant une insuffisance rénale légère à modérée (DFGeCG: 30-69 ml/min). Les patients étaient virologiquement contrôlés (taux d'ARN du VIH-1<50 copies/ml) depuis au moins 6 mois avant de changer de traitement pour passer sous Genvoya. L'âge moyen était de 58 ans (intervalle: 24-82) et 63 patients (26%) étaient âgés de ≥65 ans. 79% étaient de sexe masculin, 63% étaient blancs, 18% étaient noirs et 14% étaient asiatiques. Treize pour cent des patients ont été identifiés comme hispaniques/latino-américains. À l'inclusion, 80 patients (33%) présentaient un DFGeCG <50 ml/min et 162 patients présentaient un DFGeCG ≥50 ml/min. À l'inclusion, le DFGe médian était de 56 ml/min. Le taux moyen de CD4+ à l'inclusion était de 664 cellules/mm3 (intervalle: 126-1'813).
  • +Dans l'étude GS-US-292-0112, l'efficacité et la sécurité de Genvoya ont été évaluées dans une étude clinique en ouvert menée chez 242 patients infectés par le VIH-1 et présentant une insuffisance rénale légère à modérée (DFGeCG: 30-69 ml/min). Les patients étaient virologiquement contrôlés (taux d'ARN du VIH-1<50 copies/ml) depuis au moins 6 mois avant de changer de traitement pour passer sous Genvoya. L'âge moyen était de 58 ans (intervalle: 24-82) et 63 patients (26%) étaient âgés de ≥65 ans. 79% étaient de sexe masculin, 63% étaient blancs, 18% étaient noirs et 14% étaient asiatiques. Treize pour cent des patients ont été identifiés comme hispaniques/latino-américains. À l'inclusion, 80 patients (33%) présentaient un DFGeCG <50 ml/min et 162 patients présentaient un DFGeCG ≥50 ml/min. À l'inclusion, le DFGe médian était de 56 ml/min. Le taux moyen de CD4+ à l'inclusion était de 664 cellules/mm3 (intervalle: 126-1813).
  • -Au cours du programme de développement clinique dans lequel des patients naïfs de tout traitement, des patients ayant précédemment suivi un traitement contenant du TDF, des patients présentant une insuffisance rénale légère à modérée et des adolescents ont été inclus, il a été démontré que Genvoya avait des effets plus limités sur les paramètres rénaux et osseux que E/C/F/TDF ou d'autres traitements contenant du TDF (tableaux 9 à 13 et «Adolescents»).
  • +Au cours du programme de développement clinique dans lequel des patients naïfs de tout traitement, des patients ayant précédemment suivi un traitement contenant du TDF, des patients présentant une insuffisance rénale légère à modérée et des adolescents ont été inclus, il a été démontré que Genvoya avait des effets plus limités sur les paramètres rénaux et osseux que E/C/F/TDF ou d'autres traitements contenant du TDF (tableaux 9 à 13 et «Sécurité et efficacité en pédiatrie»).
  • - Genvoya E/C/F/TDF Différence entre les groupes de traitement Genvoya E/C/F/TDF Différences entre les groupes de traitement
  • +Genvoya E/C/F/TDF Différence entre les groupes de traitement Genvoya E/C/F/TDF Différences entre les groupes de traitement
  • - Genvoya Traitement initial Différence entre les groupes de traitement Genvoya Traitement initial Différences entre les groupes de traitement
  • +Genvoya Traitement initial Différence entre les groupes de traitement Genvoya Traitement initial Différences entre les groupes de traitement
  • -Amélioration de la protéinurie d'après le test sur bandelettea À la semaine 48: 61/74 (82%) À la semaine 96: 60/71(85%) À la semaine 48: 12/18(67%) À la semaine 96: 11/18(61%) À la semaine 49/56 (88%) À la semaine 96: 49/53(92%)
  • +Amélioration de la protéinurie d'après le test sur bandelettea À la semaine 48: 61/74 (82%) À la semaine 96: 60/71 (85%) À la semaine 48: 12/18 (67%) À la semaine 96: 11/18 (61%) À la semaine 49/56 (88%) À la semaine 96: 49/53 (92%)
  • -Paramètres biologiques de la fonction rénale Genvoya (n = 959) FTC/TDF+3.Principe actif (n = 477)
  • +Paramètres biologiques de la fonction rénale Genvoya (n = 959) FTC/TDF+3ème principe actif (n = 477)
  • -Adolescents
  • -Dans l'étude GS-US-292-0106, l'efficacité, la sécurité et la pharmacocinétique de Genvoya ont été évaluées dans une étude en ouvert menée chez des adolescents infectés par le VIH-1, naïfs de tout traitement. Les 50 patients traités étaient âgés en moyenne de 15 ans (intervalle: 12-17), 44% étaient de sexe masculin, 12% étaient asiatiques et 88% étaient noirs. À l'inclusion, le taux plasmatique moyen d'ARN du VIH-1 était de 4,6 log10 copies/ml, le taux médian de CD4+ était de 456 cellules/mm3 (intervalle: 95 à 1'110) et le pourcentage médian de CD4+ était de 23% (intervalle: 7% à 45%). Globalement, 22% présentaient à l'inclusion un taux plasmatique d'ARN du VIH-1>100'000 copies/ml.
  • +Sécurité et efficacité en pédiatrie
  • +Dans l'étude GS-US-292-0106, l'efficacité, la sécurité et la pharmacocinétique de Genvoya ont été évaluées dans une étude en ouvert menée chez des adolescents infectés par le VIH-1, naïfs de tout traitement. Les 50 patients traités étaient âgés en moyenne de 15 ans (intervalle: 12-17), 44% étaient de sexe masculin, 12% étaient asiatiques et 88% étaient noirs. À l'inclusion, le taux plasmatique moyen d'ARN du VIH-1 était de 4,6 log10 copies/ml, le taux médian de CD4+ était de 456 cellules/mm3 (intervalle: 95 à 1110) et le pourcentage médian de CD4+ était de 23% (intervalle: 7% à 45%). Globalement, 22% présentaient à l'inclusion un taux plasmatique d'ARN du VIH-1>100'000 copies/ml.
  • -Elvitégravir:
  • +Elvitégravir
  • -Cobicistat:
  • +Cobicistat
  • -Emtricitabine:
  • +Emtricitabine
  • -Ténofovir alafénamide:
  • +Ténofovir alafénamide
  • -Elvitégravir:
  • +Elvitégravir
  • -Cobicistat:
  • +Cobicistat
  • -Emtricitabine:
  • +Emtricitabine
  • -Ténofovir alafénamide:
  • +Ténofovir alafénamide
  • -Elvitégravir:
  • +Elvitégravir
  • -Cobicistat:
  • +Cobicistat
  • -Emtricitabine:
  • +Emtricitabine
  • -Ténofovir alafénamide:
  • +Ténofovir alafénamide
  • -Elvitégravir:
  • +Elvitégravir
  • -Cobicistat:
  • +Cobicistat
  • -Emtricitabine:
  • +Emtricitabine
  • -Ténofovir alafénamide:
  • +Ténofovir alafénamide
  • -Linéarité/Non-linéarité
  • +Linéarité/non-linéarité
  • -Cinétique pour certains groupes de patients:
  • +Cinétique pour certains groupes de patients
  • -Insuffisance hépatique
  • -Elvitégravir et cobicistat:
  • -L'elvitégravir et le cobicistat sont, tous les deux, principalement métabolisés et éliminés par le foie. Une étude sur la pharmacocinétique de l'elvitégravir potentialisé par le cobicistat a été menée chez des patients non infectés par le VIH-1 présentant une insuffisance hépatique modérée (score de Child-Pugh B). Aucune différence cliniquement pertinente concernant la pharmacocinétique de l'elvitégravir ou du cobicistat n'a été observée entre les patients présentant une insuffisance hépatique modérée et les sujets sains. Aucune adaptation posologique de l'elvitégravir ou du cobicistat n'est nécessaire chez les patients présentant une insuffisance hépatique légère à modérée. L'effet d'une insuffisance hépatique sévère (score de Child-Pugh C) sur la pharmacocinétique de l'elvitégravir ou du cobicistat n'a pas été étudié.
  • -Emtricitabine:
  • +Troubles de la fonction hépatique
  • +Elvitégravir et cobicistat
  • +L'elvitégravir et le cobicistat sont, tous les deux, principalement métabolisés et éliminés par le foie. Une étude sur la pharmacocinétique de l'elvitégravir potentialisé par le cobicistat a été menée chez des patients non infectés par le VIH-1 présentant une insuffisance hépatique modérée (score de Child-Pugh B). Aucune différence cliniquement pertinente concernant la pharmacocinétique de l'elvitégravir ou du cobicistat n'a été observée entre les patients présentant une insuffisance hépatique modérée et les sujets sains. Aucun ajustement de la posologie de l'elvitégravir ou du cobicistat n'est nécessaire chez les patients présentant une insuffisance hépatique légère à modérée. L'effet d'une insuffisance hépatique sévère (score de Child-Pugh C) sur la pharmacocinétique de l'elvitégravir ou du cobicistat n'a pas été étudié.
  • +Emtricitabine
  • -Ténofovir alafénamide:
  • -Aucune modification cliniquement pertinente de la pharmacocinétique du ténofovir n'a été observée chez les patients présentant une insuffisance hépatique et aucune adaptation posologique du ténofovir alafénamide n'est nécessaire chez les patients présentant une insuffisance hépatique légère à modérée. L'effet d'une insuffisance hépatique sévère (score de Child-Pugh C) sur la pharmacocinétique du ténofovir alafénamide n'a pas été étudié.
  • -Insuffisance rénale
  • +Ténofovir alafénamide
  • +Aucune modification cliniquement pertinente de la pharmacocinétique du ténofovir n'a été observée chez les patients présentant une insuffisance hépatique et aucun ajustement de la posologie du ténofovir alafénamide n'est nécessaire chez les patients présentant une insuffisance hépatique légère à modérée. L'effet d'une insuffisance hépatique sévère (score de Child-Pugh C) sur la pharmacocinétique du ténofovir alafénamide n'a pas été étudié.
  • +Troubles de la fonction rénale
  • -* ASClast
  • +*ASClast
  • -b p <0.10 en comparaison avec la période post-partum
  • +b p <0,10 en comparaison avec la période post-partum
  • -Elvitégravir:
  • -L'elvitégravir a donné des résultats négatifs lors d'un test de mutagénicité bactérienne in vitro (test d'Ames) et lors d'un test du micronoyau in vivo chez le rat à des doses allant jusqu'à 2'000 mg/kg. Au cours d'un test d'aberration chromosomique in vitro, l'elvitégravir a donné des résultats négatifs en présence d'un système d'activation métabolique. On a cependant observé une réponse équivoque en l'absence d'activation. Les études de carcinogénicité orale à long terme concernant l'elvitégravir n'ont pas montré de potentiel carcinogène chez la souris et le rat.
  • +Elvitégravir
  • +L'elvitégravir a donné des résultats négatifs lors d'un test de mutagénicité bactérienne in vitro (test d'Ames) et lors d'un test du micronoyau in vivo chez le rat à des doses allant jusqu'à 2000 mg/kg. Au cours d'un test d'aberration chromosomique in vitro, l'elvitégravir a donné des résultats négatifs en présence d'un système d'activation métabolique. On a cependant observé une réponse équivoque en l'absence d'activation. Les études de carcinogénicité orale à long terme concernant l'elvitégravir n'ont pas montré de potentiel carcinogène chez la souris et le rat.
  • -Cobicistat:
  • -Une baisse de la durée du potentiel d'action et des effets inotropes négatifs ont été observés dans des études ex vivo sur le cobicistat et des tissus cardiaques isolés de lapin sans écart de sécurité par rapport à l'exposition clinique. Des études in vivo menées chez le chien suggèrent que le cobicistat présente un faible potentiel de prolongation de l'intervalle QT et qu'il peut prolonger légèrement l'intervalle PR et provoquer une faible réduction de la fonction ventriculaire gauche à des concentrations au moins 11 fois supérieures à celles obtenues chez l'homme pour la dose quotidienne recommandée de 150 mg (voir Propriétés/Effets”, „Effets sur l'électrocardiogramme).
  • +Cobicistat
  • +Une baisse de la durée du potentiel d'action et des effets inotropes négatifs ont été observés dans des études ex vivo sur le cobicistat et des tissus cardiaques isolés de lapin sans écart de sécurité par rapport à l'exposition clinique. Des études in vivo menées chez le chien suggèrent que le cobicistat présente un faible potentiel de prolongation de l'intervalle QT et qu'il peut prolonger légèrement l'intervalle PR et provoquer une faible réduction de la fonction ventriculaire gauche à des concentrations au moins 11 fois supérieures à celles obtenues chez l'homme pour la dose quotidienne recommandée de 150 mg (voir «Propriétés/Effets», «Effets sur l'électrocardiogramme»).
  • -Emtricitabine:
  • +Emtricitabine
  • -Ténofovir alafénamide:
  • +Ténofovir alafénamide
  • -Lors d'une étude sur la fertilité, réalisée sur des rats sous ténofovir alafénamide, aucun trouble de la fertilité n'a été mis en évidence. Le développement embryo-fœtal des lapins n'a pas été perturbé par le ténofovir alafénamide, celui des rats a été retardé, cependant uniquement à des doses qui étaient toxiques pour la mère.
  • -Dans les études de toxicité péri- et post-natales chez le rat, le TDF a réduit l'indice de viabilité et le poids des animaux à la naissance à des doses toxiques pour la mère.
  • +Lors d'une étude sur la fertilité, réalisée sur des rats sous ténofovir alafénamide, aucun trouble de la fertilité n'a été mis en évidence. Le développement embryo-fœtal des lapins n'a pas été perturbé par le ténofovir alafénamide, celui des rats a été retardé, cependant uniquement à des doses qui étaient toxiques pour la mère. Dans les études de toxicité péri- et post-natales chez le rat, le TDF a réduit l'indice de viabilité et le poids des animaux à la naissance à des doses toxiques pour la mère.
  • -Sans objet.
  • +Non pertinent.
  • -Le médicament ne doit pas être utilisé audelà de la date figurant après la mention «EXP» sur le récipient.
  • -Remarques concernant le stockage
  • +Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur le récipient.
  • +Remarques particulières concernant le stockage
  • -Ne pas conserver audessus de 30 °C.
  • -Conserver dans l'emballage d'origine, pour le protéger de l'humidité.
  • -Le flacon est muni d'une fermeture de sécurité enfants et contient un dessiccant en gel de silice. Conserver le flacon soigneusement fermé.
  • +Ne pas conserver au-dessus de 30 °C.
  • +Conserver dans l'emballage d'origine, pour protéger le contenu de l'humidité.
  • +Conserver le flacon soigneusement fermé.
  • +Le flacon est muni d'une fermeture de sécurité enfants et contient un dessiccant en gel de silice.
  • -Mars 2019.
  • +Janvier 2020.
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