68 Changements de l'information professionelle Domperidon axapharm lingual 10 mg |
-Il est conseillé de prendre Neogast-X lingual 15 à 30 minutes avant les repas pour ne pas ralentir l'absorption du médicament.
-Neogast-X lingual est un comprimé orodispersible rapidement soluble. La prise peut s'effectuer sans liquide. Le comprimé orodispersible se dissout à la surface de la langue en l'espace de quelques secondes, avant d'être avalé avec la salive.
-Recommandations posologiques dans le cadre d'une prescription médicale
- +Il est conseillé de prendre Neogast-X lingual 15 à 30 minutes avant les repas pour ne pas ralentir l’absorption du médicament.
- +Neogast-X lingual est un comprimé orodispersible rapidement soluble. La prise peut s’effectuer sans liquide. Le comprimé orodispersible se dissout à la surface de la langue en l’espace de quelques secondes, avant d’être avalé avec la salive.
- +Recommandations posologiques dans le cadre d’une prescription médicale
-Adultes jusqu'à 60 ans et adolescents à partir de 12 ans et de 35 kg
-Neogast-X lingual 10 mg peuvent être administrés jusqu'à 3 fois par jour.
- +Adultes jusqu’à 60 ans et adolescents à partir de 12 ans et de 35 kg
- +Neogast-X lingual 10 mg peuvent être administrés jusqu’à 3 fois par jour.
-En cas d'insuffisance rénale
-La quantité de médicament éliminée sous forme non métabolisée par voie rénale étant très faible, l'administration d'une dose unique à des insuffisants rénaux ne nécessite aucun ajustement particulier. En raison de l'allongement de la demi-vie plasmatique de la dompéridone (qui passe de 7 heures à 20 heures) dans les cas d'insuffisance rénale sévère (créatinine sérique >6 mg/100 ml, c.-à-d. >0.6 mmol/l), il est souhaitable, lors d'une administration répétée de Neogast-X lingual, de ramener la fréquence des prises à une ou deux par jour selon la gravité de la maladie et, au besoin, de diminuer la dose. Si le traitement est de relativement longue durée, les patients atteints d'insuffisance rénale sévère devront faire l'objet de contrôles réguliers (voir «Pharmacocinétique»).
- +En cas d’insuffisance rénale
- +La quantité de médicament éliminée sous forme non métabolisée par voie rénale étant très faible, l’administration d’une dose unique à des insuffisants rénaux ne nécessite aucun ajustement particulier. En raison de l’allongement de la demi-vie plasmatique de la dompéridone (qui passe de 7 heures à 20 heures) dans les cas d’insuffisance rénale sévère (créatinine sérique >6 mg/100 ml, c.à.d. >0.6 mmol/l), il est souhaitable, lors d’une administration répétée de Neogast-X lingual, de ramener la fréquence des prises à 1x ou 2x par jour selon la gravité de la maladie et, au besoin, de diminuer la dose. Si le traitement est de relativement longue durée, les patients atteints d’insuffisance rénale sévère devront faire l’objet de contrôles réguliers (voir «Pharmacocinétique»).
-Neogast-X lingual est contre-indiqué chez les patients souffrant de troubles de la fonction hépatique modérés (score de Child-Pugh 7 à 9) ou sévères (score de Child-Pugh >9) (voir «Contre-indications»). Une adaptation de la dose n'est pas nécessaire chez les patients souffrant de troubles de la fonction hépatique légers (score de Child-Pugh 5-6) (voir «Pharmacocinétique»).
- +Neogast-X lingual est contre-indiqué chez les patients souffrant de troubles de la fonction hépatique modérés (score de Child-Pugh 7 à 9) ou sévères (score de Child-Pugh >9) (voir «Contre-indications»). Une adaptation de la dose n’est pas nécessaire chez les patients souffrant de troubles de la fonction hépatique légers (score de Child-Pugh 5-6) (voir «Pharmacocinétique»).
-·chez les patients présentant une hypersensibilité connue à la dompéridone ou à l'un des excipients, en fonction de la composition du produit;
-·chez les patients porteurs d'un adénome hypophysaire à prolactine (prolactinome);
-·chez les patients présentant un allongement de l'intervalle de conduction cardiaque, en particulier de l'intervalle QTc, et chez les patients présentant des troubles électrolytiques significatifs (hypokaliémie, hyperkaliémie, hypomagnésémie) ou des pathologies cardiaques telles qu'une insuffisance cardiaque congestive (voir «Mises en garde et précautions»).
-·en cas d'utilisation concomitante de puissants inhibiteurs du CYP3A4 qui allongent l'intervalle QT de façon avérée, tels que la clarithromycine, l'érythromycine, l'itraconazole, le kétoconazole oral, le posaconazole, le ritonavir, le saquinavir, la télithromycine, le télaprévir et le voriconazole (voir «Mises en garde et précautions» et «Interactions»).
-·dans tous les cas où une stimulation de la motilité gastrique pourrait se révéler dangereuse, par exemple en cas de saignements gastro-intestinaux, d'occlusion d'origine mécanique ou de perforation.
-·chez les patients atteints de troubles modérés ou sévères de la fonction hépatique (voir «Pharmacocinétique»).
- +chez les patients présentant une hypersensibilité connue à la dompéridone ou à l’un des excipients, en fonction de la composition du produit;
- +chez les patients porteurs d’un adénome hypophysaire à prolactine (prolactinome);
- +chez les patients présentant un allongement de l’intervalle de conduction cardiaque, en particulier de l’intervalle QTc, et chez les patients présentant des troubles électrolytiques significatifs (hypokaliémie, hyperkaliémie, hypomagnésémie) ou des pathologies cardiaques telles qu’une insuffisance cardiaque congestive (voir «Mises en garde et précautions»);
- +en cas d’utilisation concomitante de puissants inhibiteurs du CYP3A4 qui allongent l’intervalle QT de façon avérée, tels que la clarithromycine, l’érythromycine, l’itraconazole, le kétoconazole oral, le posaconazole, le ritonavir, le saquinavir, la télithromycine, le télaprévir et le voriconazole (voir «Mises en garde et précautions» et «Interactions»);
- +dans tous les cas où une stimulation de la motilité gastrique pourrait se révéler dangereuse, par ex. en cas de saignements gastro-intestinaux, d’occlusion d’origine mécanique ou de perforation;
- +chez les patients atteints de troubles modérés ou sévères de la fonction hépatique (voir «Pharmacocinétique»).
-Les études épidémiologiques ont montré que l'administration de dompéridone s'accompagne d'un risque majoré d'arythmies ventriculaires graves ou de mort cardiaque subite (voir «Effets indésirables»). Ces études donnent à supposer que le risque majoré peut se faire sentir plus nettement au-delà de 60 ans et lorsque la posologie est supérieure à 30 mg par jour. Neogast-X lingual doit par conséquent être utilisé avec prudence chez les patients âgés.
- +Les études épidémiologiques ont montré que l’administration de dompéridone s’accompagne d’un risque majoré d’arythmies ventriculaires graves ou de mort cardiaque subite (voir «Effets indésirables»). Ces études donnent à supposer que le risque majoré peut se faire sentir plus nettement au-delà de 60 ans et lorsque la posologie est supérieure à 30 mg par jour. Neogast-X lingual doit par conséquent être utilisé avec prudence chez les patients âgés.
-En raison du risque accru d'arythmie ventriculaire, Neogast-X lingual est contre-indiqué chez les patients présentant des facteurs de risque cardiaques correspondants (voir «Contre-indications»). La prudence est également de mise en cas de bradycardie, car celle-ci augmente le risque d'arythmie.
-Le traitement par Neogast-X lingual doit être arrêté en cas d'apparition de signes ou de symptômes de troubles du rythme cardiaque. Dans ce cas, le patient doit immédiatement consulter son médecin.
-En cas d'insuffisance rénale
-Voir les instructions posologiques spéciales au chapitre «Posologie/Mode d'emploi».
-Les antacides et les médicaments antisécrétoires diminuent la biodisponibilité orale de la dompéridone, il convient donc d'en éviter une prise simultanée avec les formulations orales de Neogast-X lingual. En cas d'administration concomitante, la prise de Neogast-X lingual doit avoir lieu avant le repas et celle d'antacides ou d'antisécrétoires après le repas.
-Potentiel d'interactions médicamenteuses
-La dompéridone est principalement métabolisée par le CYP3A4. Les données in-vitro et les études pharmacocinétiques chez l'homme montrent que l'administration concomitante de substances significativement inhibitrices de cette enzyme entraîne une augmentation des taux plasmatiques de dompéridone. L'administration concomitante de dompéridone et de puissants inhibiteurs du CYP3A4, qui allongent l'intervalle QT de façon avérée, est contre-indiquée (voir «Contre-indications»).
-La prudence est de mise en cas d'administration concomitante de dompéridone et de puissants inhibiteurs du CYP3A4 dont l'effet d'allongement de l'intervalle QT n'a pas été prouvé, tels que l'indinavir. Il convient de surveiller étroitement l'apparition des symptômes d'effets indésirables chez ces patients (voir «Effets indésirables»).
-La prudence est de mise en cas d'administration concomitante de dompéridone et d'inhibiteurs du CYP3A4 qui allongent l'intervalle QT de façon avérée. Il convient de surveiller étroitement l'apparition des symptômes d'effets indésirables cardiovasculaires chez ces patients (voir «Effets indésirables»). Exemples:
-·antiarythmiques de classe IA (par ex. disopyramide, quinidine);
-·antiarythmiques de classe III (par ex. amiodarone, dofétilide, dronédarone, ibutilide, sotalol);
-·certains antipsychotiques (par ex. halopéridol, pimozide, sertindole);
-·certains antidépresseurs (par ex. citalopram, escitalopram);
-·certains antibiotiques (par ex. lévofloxacine, moxifloxacine);
-·certains antimycotiques (par ex. pentamidine);
-·certains antipaludiques (par ex. halofantrine);
-·certains agents contre les maladies gastro-intestinales (par ex. dolasétron);
-·certains cytostatiques (par ex. torémifène, vandétanib);
-·certains autres médicaments (par ex. bépridil, méthadone).
- +En raison du risque accru d’arythmie ventriculaire, Neogast-X lingual est contre-indiqué chez les patients présentant des facteurs de risque cardiaques correspondants (voir «Contre-indications»). La prudence est également de mise en cas de bradycardie, car celle-ci augmente le risque d’arythmie.
- +Le traitement par Neogast-X lingual doit être arrêté en cas d’apparition de signes ou de symptômes de troubles du rythme cardiaque. Dans ce cas, le patient doit immédiatement consulter son médecin.
- +En cas d’insuffisance rénale
- +Voir les instructions posologiques spéciales au chapitre «Posologie/Mode d’emploi».
- +Les antacides et les médicaments antisécrétoires diminuent la biodisponibilité orale de la dompéridone, il convient donc d’en éviter une prise simultanée avec Neogast-X lingual. En cas d’administration concomitante, la prise de Neogast-X lingual doit avoir lieu avant le repas et celle d’antacides ou d’antisécrétoires après le repas.
- +Potentiel d’interactions médicamenteuses
- +La dompéridone est principalement métabolisée par le CYP3A4. Les données in-vitro et les études pharmacocinétiques chez l’homme montrent que l’administration concomitante de substances significativement inhibitrices de cette enzyme entraîne une augmentation des taux plasmatiques de dompéridone. L’administration concomitante de dompéridone et de puissants inhibiteurs du CYP3A4, qui allongent l’intervalle QT de façon avérée, est contre-indiquée (voir «Contre-indications»).
- +La prudence est de mise en cas d’administration concomitante de dompéridone et de puissants inhibiteurs du CYP3A4 dont l’effet d’allongement de l’intervalle QT n’a pas été prouvé, tels que l’indinavir. Il convient de surveiller étroitement l’apparition des symptômes d’effets indésirables chez ces patients (voir «Effets indésirables»).
- +La prudence est de mise en cas d’administration concomitante de dompéridone et d’inhibiteurs du CYP3A4 qui allongent l’intervalle QT de façon avérée. Il convient de surveiller étroitement l’apparition des symptômes d’effets indésirables cardiovasculaires chez ces patients (voir «Effets indésirables»). Exemples:
- +antiarythmiques de classe IA (par ex. disopyramide, quinidine);
- +antiarythmiques de classe III (par ex. amiodarone, dofétilide, dronédarone, ibutilide, sotalol);
- +certains antipsychotiques (par ex. halopéridol, pimozide, sertindole);
- +certains antidépresseurs (par ex. citalopram, escitalopram);
- +certains antibiotiques (par ex. lévofloxacine, moxifloxacine);
- +certains antimycotiques (par ex. pentamidine);
- +certains antipaludiques (par ex. halofantrine);
- +certains agents contre les maladies gastro-intestinales (par ex. dolasétron);
- +certains cytostatiques (par ex. torémifène, vandétanib);
- +certains autres médicaments (par ex. bépridil, méthadone).
-Les comprimés linguaux orodispersibles contiennent de l'aspartame et ne conviennent donc pas aux patients à risque d'hyperphénylalaninémie.
- +Les comprimés orodispersibles contiennent de l’aspartame et ne conviennent donc pas aux patients à risque d’hyperphénylalaninémie.
-La dompéridone est essentiellement métabolisée par le CYP3A4. Il ressort des données in vitro et des études de pharmacocinétique humaine que l'administration concomitante de substances significativement inhibitrices de cette isoenzyme CYP augmente les taux plasmatiques de dompéridone.
-Lors de l'administration concomitante de dompéridone et de puissants inhibiteurs du CYP3A4 qui allongent l'intervalle QT de façon avérée, un allongement cliniquement significatif de l'intervalle QT a été observé. Par conséquent, l'administration concomitante de dompéridone et de certains médicaments est contre-indiquée (voir «Contre-indications»).
-La prudence est de mise en cas d'administration concomitante de dompéridone et de puissants inhibiteurs du CYP3A4 dont l'effet d'allongement de l'intervalle QT n'a pas été prouvé ou d'autres médicaments qui allongent l'intervalle QT de façon avérée (voir «Mises en garde et précautions»).
- +La dompéridone est essentiellement métabolisée par le CYP3A4. Il ressort des données in vitro et des études de pharmacocinétique humaine que l’administration concomitante de substances significativement inhibitrices de cette isoenzyme CYP augmente les taux plasmatiques de dompéridone.
- +Lors de l’administration concomitante de dompéridone et de puissants inhibiteurs du CYP3A4 qui allongent l’intervalle QT de façon avérée, un allongement cliniquement significatif de l’intervalle QT a été observé. Par conséquent, l’administration concomitante de dompéridone et de certains médicaments est contre-indiquée (voir «Contre-indications»).
- +La prudence est de mise en cas d’administration concomitante de dompéridone et de puissants inhibiteurs du CYP3A4 dont l’effet d’allongement de l’intervalle QT n’a pas été prouvé ou d’autres médicaments qui allongent l’intervalle QT de façon avérée (voir «Mises en garde et précautions»).
-·les antimycosiques azolés comme le fluconazole*, le miconazole, le kétoconazole*, l'itraconazole et le voriconazole*;
-·les antibiotiques macrolides tels que l'érythromycine*, la clarithromycine*, la troléandomycine;
-·les inhibiteurs de la protéase du VIH: amprénavir, atazanavir, fosamprénavir, indinavir, nelfinavir, ritonavir et saquinavir;
-·les antagonistes du calcium comme le diltiazem et le vérapamil;
-·l'aprépitant;
-·la néfazodone;
-·la télithromycine*.
-* allongent également l'intervalle QTc: voir «Contre-indications».
-Des études distinctes d'interaction pharmacocinétique/pharmacodynamique sur des sujets sains prenant du kétoconazole oral ou de l'érythromycine orale ont confirmé une nette inhibition par ceux-ci du métabolisme de premier passage de la dompéridone sous l'effet du cytochrome 3A4 (voir tableau suivant).
-Étude Principe actif 1 Posologie Principe actif 2 Posologie Durée d'exposition (d = jours) Dompéridone: modification de la Cmax et de l'ASC Augmentation «moyenne» du QTc (ms) pendant la période d'observation Période d'observation (d = jours)
-«Étude érythromycine» sujets sains, dompéridone 4× 10 mg/d - - 5 d 2.5 7 d
- +les antimycosiques azolés comme le fluconazole*, le miconazole, le kétoconazole*, l’itraconazole et le voriconazole*;
- +les antibiotiques macrolides tels que l’érythromycine*, la clarithromycine*, la troléandomycine;
- +les inhibiteurs de la protéase du VIH: amprénavir, atazanavir, fosamprénavir, indinavir, nelfinavir, ritonavir et saquinavir;
- +les antagonistes du calcium comme le diltiazem et le vérapamil;
- +l’aprépitant;
- +la néfazodone;
- +la télithromycine*.
- +* allongent également l’intervalle QTc: voir «Contre-indications».
- +Des études distinctes d’interaction pharmacocinétique/pharmacodynamique sur des sujets sains prenant du kétoconazole oral ou de l’érythromycine orale ont confirmé une nette inhibition par ceux-ci du métabolisme de premier passage de la dompéridone sous l’effet du cytochrome 3A4 (voir tableau suivant).
- +Étude Principe actif 1 Posologie Principe actif 2 Posologie Durée d’exposition (d = jours) Dompéridone: modification de la Cmaxet de l’ASC Augmentation «moyenne» du QTc (ms) pendant la période d’observation Période d’observation (d = jours)
- +«Étude érythromycine» sujets sains dompéridone 4× 10 mg/d - - 5 d 2.5 7 d
-«Étude kétoconazole» sujets sains, dompéridone 4× 10 mg/d 7 d 1.6 5 d
- +«Étude kétoconazole» sujets sains dompéridone 4× 10 mg/d 7 d 1.6 5 d
-L'administration concomitante d'anticholinergiques peut antagoniser l'action antidyspeptique de la dompéridone.
-Étant donné ses effets gastrocinétiques, dompéridone peut en théorie influencer l'absorption de médicaments oraux pris simultanément, surtout s'il s'agit de formes retard ou à enrobage gastrorésistant.
-Chez les patients déjà traités par digoxine ou paracétamol, aucune influence sur les taux plasmatiques de ces substances n'est apparue en relation avec la prise simultanée de dompéridone.
- +L’administration concomitante d’anticholinergiques peut antagoniser l’action antidyspeptique de la dompéridone.
- +Étant donné ses effets gastrocinétiques, dompéridone peut en théorie influencer l’absorption de médicaments oraux pris simultanément, surtout s’il s’agit de formes retard ou à enrobage gastrorésistant.
- +Chez les patients déjà traités par digoxine ou paracétamol, aucune influence sur les taux plasmatiques de ces substances n’est apparue en relation avec la prise simultanée de dompéridone.
-·neuroleptiques, dont il ne potentialise pas l'effet;
-·dopaminergiques (bromocriptine, L-dopa), dont il jugule les effets périphériques indésirables comme les troubles digestifs, la nausée et les vomissements, sans en contrarier les propriétés centrales.
- +neuroleptiques, dont il ne potentialise pas l’effet;
- +dopaminergiques (bromocriptine, L-dopa), dont il jugule les effets périphériques indésirables comme les troubles digestifs, la nausée et les vomissements, sans en contrarier les propriétés centrales.
-On ne dispose que de peu de données postérieures à la commercialisation sur l'emploi de la dompéridone chez les femmes enceintes. Les études chez l'animal ont mis en évidence des effets toxiques pour la reproduction à des doses maternelles toxiques (voir «Données précliniques»). Le risque potentiel chez l'homme est inconnu. Neogast-X lingual ne doit être prescrit au cours de la grossesse que si le bénéfice thérapeutique escompté est supérieur au risque pour le fœtus.
- +On ne dispose que de peu de données postérieures à la commercialisation sur l’emploi de la dompéridone chez les femmes enceintes. Les études chez l’animal ont mis en évidence des effets toxiques pour la reproduction à des doses maternelles toxiques (voir «Données précliniques»). Le risque potentiel chez l’homme est inconnu. Neogast-X lingual ne doit être prescrit au cours de la grossesse que si le bénéfice thérapeutique escompté est supérieur au risque pour le fœtus.
-La quantité totale de dompéridone qu'un nourrisson absorbe par le lait maternel est très faible. La dose relative maximale pour le nourrisson (%) est de 0.1% de la dose maternelle en fonction du poids. On ignore si la présence de dompéridone dans le lait maternel peut représenter un danger pour le nouveau-né, aussi est-il recommandé aux femmes qui prennent de la dompéridone de ne pas allaiter.
- +La quantité totale de dompéridone qu’un nourrisson absorbe par le lait maternel est très faible. La dose relative maximale pour le nourrisson (%) est de 0.1% de la dose maternelle en fonction du poids. On ignore si la présence de dompéridone dans le lait maternel peut représenter un danger pour le nouveau-né, aussi est-il recommandé aux femmes qui prennent de la dompéridone de ne pas allaiter.
-Vertiges et somnolence ont été observés après utilisation de la dompéridone (voir «Effets indésirables»). Par conséquent, il convient de conseiller aux patients de ne pas conduire de véhicule, de ne pas utiliser de machines et de ne pas exercer des activités requérant vivacité d'esprit et coordination tant qu'ils n'ont pas déterminé quels effets la dompéridone a sur eux.
- +Vertiges et somnolence ont été observés après utilisation de la dompéridone (voir «Effets indésirables»). Par conséquent, il convient de conseiller aux patients de ne pas conduire de véhicule, de ne pas utiliser de machines et de ne pas exercer des activités requérant vivacité d’esprit et coordination tant qu’ils n’ont pas déterminé quels effets la dompéridone a sur eux.
-La sécurité d'emploi de dompéridone a été évaluée chez 1221 patients souffrant de gastroparésie, de dyspepsie, de reflux œsophagien (RGO) ou d'autres pathologies associées, à l'occasion de 45 études cliniques dont les résultats ont été intégrés à la banque de données de sécurité. Tous les patients avaient ≥15 ans et ont reçu au moins une dose orale de dompéridone). Une petite moitié (553/1221) était diabétique. La dose journalière moyenne se situait à 80 mg (entre 10 et 160 mg), 230 patients recevant une dose de plus de 80 mg. La durée moyenne de traitement était de 56 jours (entre 1 et 2248 jours).
-Les effets indésirables signalés par les patients traités par voie orale dans le cadre de ces 45 études cliniques avec dompéridone, ainsi que les effets indésirables qui se sont produits en dehors de ce cadre et ont fait l'objet de déclarations spontanées, sont représentés ci-dessous.
-Leurs fréquences, également représentées ci-dessous, sont indiquées d'après le système MedDra.
-Indications de fréquence (classe d'organes selon le système MedDra): très fréquents ≥1/10, fréquents ≥1/100 à <1/10, occasionnels ≥1/1'000 à <1/100, rares ≥1/10'000 à <1/1'000, très rares <1/10'000 y compris les rapports isolés.
- +La sécurité d’emploi de dompéridone a été évaluée chez 1221 patients souffrant de gastroparésie, de dyspepsie, de reflux œsophagien (RGO) ou d’autres pathologies associées, à l’occasion de 45 études cliniques dont les résultats ont été intégrés à la banque de données de sécurité. Tous les patients avaient ≥15 ans et ont reçu au moins une dose orale de dompéridone. Une petite moitié (553/1221) était diabétique. La dose journalière moyenne se situait à 80 mg (entre 10 et 160 mg), 230 patients recevant une dose de plus de 80 mg. La durée moyenne de traitement était de 56 jours (entre 1 et 2248 jours).
- +Les effets indésirables signalés par les patients traités par voie orale dans le cadre de ces 45 études cliniques avec dompéridone, ainsi que les effets indésirables qui se sont produits en dehors de ce cadre et ont fait l’objet de déclarations spontanées, sont représentés ci-dessous.
- +Leurs fréquences, également représentées ci-dessous, sont indiquées d’après le système MedDra.
- +Indications de fréquence (classe d’organes selon le système MedDra): très fréquents ≥1/10, fréquents ≥1/100 à <1/10, occasionnels ≥1/1’000 à <1/100, rares ≥1/10’000 à <1/1’000, très rares <1/10’000 y compris les rapports isolés.
-Cas isolés de mort cardiaque subite*, arythmies ventriculaires sévères* (tels que Torsade de pointes et tachycardies ventriculaires (liées à l'allongement de l'intervalle QTc, voir «Contre-indications»).
- +Cas isolés de mort cardiaque subite*, arythmies ventriculaires sévères* (tels que Torsade de pointes et tachycardies ventriculaires liées à l’allongement de l’intervalle QTc, voir «Contre-indications»).
-Fréquents: volume augmenté de la glande mammaire/gynécomastie, sensibilité des seins à la pression, galacthorrée, aménorrhée, douleurs mammaires, menstruation irrégulière, troubles de la lactation.
- +Fréquents: volume augmenté de la glande mammaire/gynécomastie, sensibilité des seins à la pression, galactorrhée, aménorrhée, douleurs mammaires, menstruation irrégulière, troubles de la lactation.
-Troubles généraux et anomalies au site d'administration
- +Troubles généraux et anomalies au site d’administration
-Dans la phase postérieure à la commercialisation, le profil de sécurité d'emploi n'a fait apparaître aucune différence entre l'adulte et l'enfant, à l'exception des troubles extrapyramidaux survenus principalement chez les nouveau-nés et jeunes enfants (jusqu'à 1 an).
-D'autres atteintes du système nerveux central, telles que convulsions et agitation, ont de même pour la plupart été observées chez le jeune enfant et l'enfant.
- +Dans la phase postérieure à la commercialisation, le profil de sécurité d’emploi n’a fait apparaître aucune différence entre l’adulte et l’enfant, à l’exception des troubles extrapyramidaux survenus principalement chez les nouveau-nés et jeunes enfants (jusqu’à 1 an).
- +D’autres atteintes du système nerveux central, telles que convulsions et agitation, ont de même pour la plupart été observées chez le jeune enfant et l’enfant.
-Agitation, modification de la conscience, convulsions, troubles de l'orientation, somnolence et réactions extrapyramidales, surtout chez l'enfant.
- +Agitation, modification de la conscience, convulsions, troubles de l’orientation, somnolence et réactions extrapyramidales, surtout chez l’enfant.
-Il n'existe pas d'antidote spécifique à la dompéridone, mais en cas de surdosage massif, un lavage d'estomac dans l'heure suivant la prise a son utilité, de même que l'administration de charbon actif. Une surveillance étroite et des mesures de soutien sont recommandées. Les anticholinergiques ou les antiparkinsoniens peuvent aider au traitement des réactions extrapyramidales.
- +Il n’existe pas d’antidote spécifique à la dompéridone, mais en cas de surdosage massif, un lavage d’estomac dans l’heure suivant la prise a son utilité, de même que l’administration de charbon actif. Une surveillance étroite et des mesures de soutien sont recommandées. Les anticholinergiques ou les antiparkinsoniens peuvent aider au traitement des réactions extrapyramidales.
-Son effet antiémétique repose sur une combinaison d'effets périphériques (motilité gastrique) et un antagonisme des récepteurs dopaminergiques dans la zone de stimulation des chimiorécepteurs, située hors de la barrière hémato-encéphalique. Les études réalisées chez l'animal tout comme les très faibles concentrations de dompéridone dans le cerveau indiquent un effet périphérique prédominant de la dompéridone sur les récepteurs dopaminergiques.
-Les études chez l'homme ont montré que la dompéridone per os augmente le tonus du sphincter inférieur de l'œsophage, améliore la motilité antroduodénale et accélère la vidange gastrique. Il n'y a pas d'effet sur la sécrétion gastrique.
-La dompéridone ne traverse pas facilement la barrière hémato-encéphalique. Chez les utilisateurs de dompéridone, en particulier chez les adultes, des effets secondaires extrapyramidaux sont donc très rares, mais la dompéridone entraîne la libération de prolactine par l'hypophyse.
- +Son effet antiémétique repose sur une combinaison d’effets périphériques (motilité gastrique) et un antagonisme des récepteurs dopaminergiques dans la zone de stimulation des chimiorécepteurs, située hors de la barrière hémato-encéphalique. Les études réalisées chez l’animal tout comme les très faibles concentrations de dompéridone dans le cerveau indiquent un effet périphérique prédominant de la dompéridone sur les récepteurs dopaminergiques.
- +Les études chez l’homme ont montré que la dompéridone per os augmente le tonus du sphincter inférieur de l’œsophage, améliore la motilité antroduodénale et accélère la vidange gastrique. Il n’y a pas d’effet sur la sécrétion gastrique.
- +La dompéridone ne traverse pas facilement la barrière hémato-encéphalique. Chez les utilisateurs de dompéridone, en particulier chez les adultes, des effets secondaires extrapyramidaux sont donc très rares, mais la dompéridone entraîne la libération de prolactine par l’hypophyse.
-Après une période de jeûne, la dompéridone administrée par voie orale est rapidement absorbée, et la concentration plasmatique maximale est atteinte environ 60 minutes après la prise. Les valeurs de Cmax et l'ASC de la dompéridone ont augmenté proportionnellement à la dose dans l'intervalle de doses de 10 mg à 20 mg. La biodisponibilité absolue de la dompéridone est faible (env. 15%). Cela est dû à l'importante métabolisation de premier passage dans l'intestin et le foie. Après une administration orale de 30 mg par jour pendant deux semaines, un pic plasmatique de 21 ng/ml a été mesuré 90 minutes après la dernière prise, soit une valeur comparable au taux plasmatique maximal de 18 ng/ml mesuré après la première prise.
-Une diminution de l'acidité gastrique (due par exemple à la prise de nourriture, d'antacides ou d'anti-H2) peut ralentir et limiter l'absorption de la dompéridone à partir des comprimés orodispersibles.
-En cas de prise de la dompéridone après le repas, l'absorption maximale est atteinte plus tard, et l'ASC est légèrement augmentée.
- +Après une période de jeûne, la dompéridone administrée par voie orale est rapidement absorbée, et la concentration plasmatique maximale est atteinte environ 60 minutes après la prise. Les valeurs de Cmax et l’ASC de la dompéridone ont augmenté proportionnellement à la dose dans l’intervalle de doses de 10 mg à 20 mg. La biodisponibilité absolue de la dompéridone est faible (env. 15%). Cela est dû à l’importante métabolisation de premier passage dans l’intestin et le foie. Après une administration orale de 30 mg par jour pendant deux semaines, un pic plasmatique de 21 ng/ml a été mesuré 90 minutes après la dernière prise, soit une valeur comparable au taux plasmatique maximal de 18 ng/ml mesuré après la première prise.
- +Une diminution de l’acidité gastrique (due par exemple à la prise de nourriture, d’antacides ou d’anti-H2) peut ralentir et limiter l’absorption de la dompéridone à partir des comprimés orodispersibles.
- +En cas de prise de la dompéridone après le repas, l’absorption maximale est atteinte plus tard, et l’ASC est légèrement augmentée.
-Des études de distribution chez l'animal avec le produit radiomarqué ont montré une large distribution tissulaire, mais une présence infime du médicament dans le cerveau et le placenta.
- +Des études de distribution chez l’animal avec le produit radiomarqué ont montré une large distribution tissulaire, mais une présence infime du médicament dans le cerveau et le placenta.
-La dompéridone subit un métabolisme hépatique rapide et important par hydroxylation et N-désalkylation. Les études de métabolisme in vitro utilisant des inhibiteurs à visée diagnostique ont révélé que l'isoenzyme CYP 3A4 jouait le rôle principal dans la N-désalkylation de la dompéridone, tandis que dans son hydroxylation aromatique, CYP 1A2 et CYP 2E1 interviennent parallèlement à CYP 3A4.
- +La dompéridone subit un métabolisme hépatique rapide et important par hydroxylation et Ndésalkylation. Les études de métabolisme in vitro utilisant des inhibiteurs à visée diagnostique ont révélé que l’isoenzyme CYP 3A4 jouait le rôle principal dans la Ndésalkylation de la dompéridone, tandis que dans son hydroxylation aromatique, CYP 1A2 et CYP 2E1 interviennent parallèlement à CYP 3A4.
-Les excrétions urinaires et fécales représentent respectivement 31% et 66% de la dose orale. La quantité de principe actif éliminée sous forme inchangée est faible: de l'ordre de 10% des excrétions fécales et de 1% des excrétions urinaires. La demi-vie d'élimination après une dose orale unique est de 7 à 9 heures chez les sujets sains, mais est prolongée chez les insuffisants rénaux.
- +Les excrétions urinaires et fécales représentent respectivement 31% et 66% de la dose orale. La quantité de principe actif éliminée sous forme inchangée est faible: de l’ordre de 10% des excrétions fécales et de 1% des excrétions urinaires. La demi-vie d’élimination après une dose orale unique est de 7 à 9 heures chez les sujets sains, mais est prolongée chez les insuffisants rénaux.
-Dans une étude pharmacocinétique chez des patients présentant des troubles fonctionnels hépatiques modérés (score Child-Pugh B de 7 à 9), l'ASC et la Cmax de la dompéridone étaient, par rapport aux sujets sains, 2.9 et 1.5 fois plus élevées. La fraction libre non liée aux protéines hépatiques était de 25% supérieure et la demi-vie terminale allongée de 15 à 23 heures. Dans les cas d'altération légère de la fonction hépatique, l'exposition à la dompéridone était comparable à celle de sujets sains. Les patients souffrant de troubles fonctionnels hépatiques sévères n'ont fait, ici, l'objet d'aucune étude (voir «Contre-indications»).
- +Dans une étude pharmacocinétique chez des patients présentant des troubles fonctionnels hépatiques modérés (score Child-Pugh B de 7 à 9), l’ASC et la Cmax de la dompéridone étaient, par rapport aux sujets sains, 2.9 et 1.5 fois plus élevées. La fraction libre non liée aux protéines hépatiques était de 25% supérieure et la demi-vie terminale allongée de 15 à 23 heures. Dans les cas d’altération légère de la fonction hépatique, l’exposition à la dompéridone était comparable à celle de sujets sains. Les patients souffrant de troubles fonctionnels hépatiques sévères n’ont fait, ici, l’objet d’aucune étude (voir «Contre-indications»).
-Chez des patients atteints d'insuffisance rénale sévère (créatininémie >6 mg/100 ml, soit >0.6 mmol/l), la demi-vie d'élimination de la dompéridone est passée de 7.4 à 20.8 heures, avec toutefois des taux plasmatiques inférieurs à ceux des sujets sains. L'excrétion rénale ne concerne qu'une quantité extrêmement faible (environ 1%) de dompéridone inchangée (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
- +Chez des patients atteints d’insuffisance rénale sévère (créatininémie >6 mg/100 ml, soit >0.6 mmol/l), la demi-vie d’élimination de la dompéridone est passée de 7.4 à 20.8 heures, avec toutefois des taux plasmatiques inférieurs à ceux des sujets sains. L’excrétion rénale ne concerne qu’une quantité extrêmement faible (environ 1%) de dompéridone inchangée (voir «Posologie/Mode d’emploi»).
-Sur la base de données pharmacologiques limitées, les concentrations plasmatiques de dompéridone chez le prématuré sont en bon accord avec celles mesurées chez l'adulte.
- +Sur la base de données pharmacologiques limitées, les concentrations plasmatiques de dompéridone chez le prématuré sont en bon accord avec celles mesurées chez l’adulte.
-Les études in vivo et in vitro ont montré qu'une forte concentration de dompéridone (correspondant à 8 à 135 fois la Cmax pour la substance non liée dans le plasma humain) peut allonger l'intervalle QTc. La concentration maximale était torsadogène.
-Des effets tératogènes chez le rat ont été observés à des doses élevées, toxiques pour les mères, de 200 mg/kg/jour par voie orale ou de 30 mg/kg/jour par voie intrapéritonéale (correspondant respectivement à des doses humaines équivalentes de 32 et 5 mg/kg/jour) (malformations telles qu'anophtalmie, microphtalmie et déplacement de l'artère subclavière). La signification clinique de ces résultats est inconnue. Aucun effet tératogène n'a été observé ni chez la souris jusqu'à une dose de 120 mg/kg/jour (correspondant à une dose humaine équivalente de 10 mg/kg/jour), ni chez le lapin jusqu'à une dose de 120 mg/kg/jour (correspondant à une dose humaine équivalente de 39 mg/kg/jour), ni à une dose par voie intraveineuse de 25 mg/kg/jour (correspondant à une dose humaine équivalente de 8 mg/kg/jour). Les doses maternelles toxiques ont conduit à une embryotoxicité chez la souris et le rat (y compris un retard d'ossification).
- +Les études in vivo et in vitro ont montré qu’une forte concentration de dompéridone (correspondant à 8 à 135 fois la Cmax pour la substance non liée dans le plasma humain) peut allonger l’intervalle QTc. La concentration maximale était torsadogène.
- +Des effets tératogènes chez le rat ont été observés à des doses élevées, toxiques pour les mères, de 200 mg/kg/jour par voie orale ou de 30 mg/kg/jour par voie intrapéritonéale (correspondant respectivement à des doses humaines équivalentes de 32 et 5 mg/kg/jour) (malformations telles qu’anophtalmie, microphtalmie et déplacement de l’artère subclavière). La signification clinique de ces résultats est inconnue. Aucun effet tératogène n’a été observé ni chez la souris jusqu’à une dose de 120 mg/kg/jour (correspondant à une dose humaine équivalente de 10 mg/kg/jour), ni chez le lapin jusqu’à une dose de 120 mg/kg/jour (correspondant à une dose humaine équivalente de 39 mg/kg/jour), ni à une dose par voie intraveineuse de 25 mg/kg/jour (correspondant à une dose humaine équivalente de 8 mg/kg/jour). Les doses maternelles toxiques ont conduit à une embryotoxicité chez la souris et le rat (y compris un retard d’ossification).
-Neogast-X lingual doit être conserver à température ambiante (15-25 °C) dans l'emballage original et hors de la portée des enfants.
- +Neogast-X lingual doit être conserver à température ambiante (15-25°C) dans l’emballage original et hors de la portée des enfants.
-Neogast-X lingual comprimés orodispersibles: emballage avec 30 comprimés orodispersibles. (C)
- +Neogast-X lingual comprimés orodispersibles: emballage avec 30 comprimés orodispersibles. (B)
|
|