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Accueil - Information professionnelle sur Loperamid Spirig HC 2 mg - Changements - 05.05.2022
78 Changements de l'information professionelle Loperamid Spirig HC 2 mg
  • -Traitement symptomatique de la diarrhée aiguë ou chronique détiologie diverse, y compris diarrhée du voyageur, diarrhée consécutive à une iléostomie, une résection de liléum ou une radiothérapie ainsi que lincontinence fécale.
  • +Traitement symptomatique de la diarrhée aiguë ou chronique d'étiologie diverse, y compris diarrhée du voyageur, diarrhée consécutive à une iléostomie, une résection de l'iléum ou une radiothérapie ainsi que l'incontinence fécale.
  • -Pendant la diarrhée, chez lenfant surtout, il faut veiller à un apport hydro-électrolytique suffisant.
  • +Pendant la diarrhée, chez l'enfant surtout, il faut veiller à un apport hydro-électrolytique suffisant.
  • -Diarrhée aiguë
  • +Diarrhée aiguë
  • -Dose dentretien après chaque selle liquide jusquà la dose journalière maximale 1 comprimé pelliculé (2 mg) 1 comprimé pelliculé (2 mg)
  • +Dose d'entretien après chaque selle liquide jusqu'à la dose journalière maximale 1 comprimé pelliculé (2 mg) 1 comprimé pelliculé (2 mg)
  • -Diarrhée chronique
  • +Diarrhée chronique
  • -Dose dentretien Adaptation individuelle de la posologie jusquà émission dune selle moulée 1 à 2 fois par jour 1-3 comprimés pelliculés (2-6 mg) par 20 kg de poids corporel 1-6 comprimés pelliculés (2-12 mg)
  • -Dose journalière maximale 3 comprimés pelliculés (6 mg) par 20 kg de poids corporel sans toutefois dépasser 8 comprimés pelliculés par jour (16 mg) 8 comprimés pelliculés (16 mg)
  • +Dose d'entretien Adaptation individuelle de la posologie jusqu'à émission d'une selle moulée 1 à 2 fois par jour 1-3 comprimés pelliculés (2-6 mg) par 20 kg de poids corporel 1-6 comprimés pelliculés (2-12 mg)
  • +Dose journalière maximale 3 comprimés pelliculés (6 mg) par 20 kg de poids corporel sans toutefois dépasser 8 comprimés pelliculés par jour (16 mg) 8 comprimés pelliculés (16 mg)
  • -Interrompre le traitement par le lopéramide dès que les selles sont à nouveau normales, ou lorsquaucune selle nest émise pendant plus de 12 heures.
  • +Interrompre le traitement par le lopéramide dès que les selles sont à nouveau normales, ou lorsqu'aucune selle n'est émise pendant plus de 12 heures.
  • -Bien que pour ce groupe de patients aucune donnée pharmacocinétique ne soit disponible, le lopéramide ne doit être utilisé uniquement avec précaution en raison du métabolisme de premier passage réduit (voir «Mises en garde et précautions»). Le lopéramide ne doit pas être utilisé en cas de troubles sévères de la fonction hépatique.
  • +Bien que pour ce groupe de patients aucune donnée pharmacocinétique ne soit disponible, le lopéramide ne doit être utilisé uniquement avec précaution en raison du métabolisme de premier passage réduit (voir «Mises en garde et précautions»). Le lopéramide ne doit pas être utilisé en cas de troubles sévères de la fonction hépatique.
  • -Les enfants de moins de 24 mois doivent être exclus de tout traitement par le lopéramide, car leur fonction hépatique peut être encore immature.
  • -Lopéramide Spirig HC est contre-indiqué chez les patients présentant une hypersensibilité connue au principe actif ou à lun des excipients conformément à la composition.
  • +Lopéramide Spirig HC est contre-indiqué chez les patients présentant une hypersensibilité connue au principe actif ou à l'un des excipients conformément à la composition.
  • -·patients souffrant de dysenterie aiguë (caractérisée par des selles muco-sanglantes et une fièvre élevée),patients souffrant d'une colite ulcéreuse aiguë,
  • -·patients souffrant d'une entérocolite bactérienne provoquée par des micro-organismes
  • -·invasifs, tels que salmonelles, shigelles et Campylobacter,
  • +·patients souffrant de dysenterie aiguë (caractérisée par des selles muco-sanglantes et une fièvre élevée),
  • +·patients souffrant d'une colite ulcéreuse aiguë,
  • +·patients souffrant d'une entérocolite bactérienne provoquée par des micro-organismes invasifs, tels que salmonelles, shigelles et Campylobacter,
  • -Le lopéramide ne doit pas être utilisé lorsque linhibition du péristaltisme est à éviter à cause du risque éventuel de graves complications comme liléus, le mégacôlon et le mégacôlon toxique.
  • +Le lopéramide ne doit pas être utilisé lorsque l'inhibition du péristaltisme est à éviter à cause du risque éventuel de graves complications comme l'iléus, le mégacôlon et le mégacôlon toxique.
  • -Le traitement de la diarrhée par le lopéramide est purement symptomatique. À chaque fois que la cause dune maladie sous-jacente peut être constatée, un traitement spécifique correspondant doit être appliqué.
  • -Des troubles hydro-électrolytiques peuvent survenir chez des patients diarrhéiques, spécialement chez l’enfant. Dans ces cas, la mesure la plus importante est dassurer une substitution appropriée de liquide et délectrolytes.
  • -Lutilisation de Lopéramide Spirig HC, comprimés pelliculés n'est pas autorisée chez les enfants de moins de 6 ans.
  • -Si la diarrhée ne sest pas améliorée après deux jours, interrompre le traitement et procéder à des examens plus pussés.
  • -Chez les patients atteints du sida qui reçoivent du lopéramide comme antidiarrhéique, le traitement doit être interrompu dès les premiers signes de ballonnements abdominaux. Une constipation avec risque majoré de mégacôlon toxique a pu être observée dans des cas isolés après traitement dune colite infectieuse dorigine virale ou bactérienne chez ce type de patients.
  • -Bien quaucune donnée pharmacocinétique ne soit disponible pour les patients en insuffisance hépatique, la prudence simpose avec le lopéramide en raison du métabolisme de premier passage réduit.
  • +Le traitement de la diarrhée par le lopéramide est purement symptomatique. À chaque fois que la cause d'une maladie sous-jacente peut être constatée, un traitement spécifique correspondant doit être appliqué.
  • +Des troubles hydro-électrolytiques peuvent survenir chez des patients diarrhéiques, spécialement chez l'enfant. Dans ces cas, la mesure la plus importante est d'assurer une substitution appropriée de liquide et d'électrolytes.
  • +L'utilisation de Lopéramide Spirig HC 2 mg, comprimés pelliculés n'est pas autorisée chez les enfants de moins de 6 ans.
  • +Si la diarrhée ne s'est pas améliorée après deux jours, interrompre le traitement et procéder à des examens plus pussés.
  • +Chez les patients atteints du sida qui reçoivent du lopéramide comme antidiarrhéique, le traitement doit être interrompu dès les premiers signes de ballonnements abdominaux. Une constipation avec risque majoré de mégacôlon toxique a pu être observée dans des cas isolés après traitement d'une colite infectieuse d'origine virale ou bactérienne chez ce type de patients.
  • +Bien qu'aucune donnée pharmacocinétique ne soit disponible pour les patients en insuffisance hépatique, la prudence s'impose avec le lopéramide en raison du métabolisme de premier passage réduit.
  • -Les comprimés pelliculés Lopéramide Spirig HC renferment du lactose. Les patients souffrant d’intolérance au galactose, d’un déficit en lactase ou de malabsorption du glucose-galactose ne doivent pas prendre ce médicament.
  • -Il ressort de données non cliniques que le lopéramide est un substrat de la glycoprotéine-p. Ladministration simultanée de lopéramide (dose unique de 16 mg) et de quinidine ou de ritonavir, tous deux inhibiteurs de la glycoprotéine-p, sest traduite par un doublement, voire un triplement des taux plasmatiques de lopéramide. On ignore limportance clinique de cette interaction pharmacocinétique avec les inhibiteurs de la glycoprotéine-p lors dune utilisation du lopéramide aux posologies recommandées.
  • -Ladministration simultanée de lopéramide (dose unique de 4 mg) et ditraconazole, inhibiteur du CYP3A4 et de la glycoprotéine-p, a triplé, voire quadruplé les taux plasmatiques de lopéramide. Dans la même étude, linhibiteur du CYP2C8 gemfibrozil a environ doublé les valeurs du lopéramide. Avec une association ditraconazole et de gemfibrozil, les pics plasmatiques de lopéramide ont quadruplé et lexposition plasmatique totale a été multipliée par 13. Il na pas été observé deffet opiacé central.
  • -Ladministration simultanée de lopéramide (dose unique de 16 mg) et de kétoconazole, inhibiteur du CYP3A4 et de la glycoprotéine-p, a quintuplé les taux plasmatiques de lopéramide. Il na pas été observé deffet opiacé central.
  • -Ladministration simultanée de desmopressine orale sest traduite par un triplement des taux plasmatiques de desmopressine, ceci étant selon toute vraisemblance à mettre sur le compte dune motilité gastro-intestinale réduite.
  • -Il faut supposer que les médicaments aux propriétés pharmacologiques semblables renforcent laction du lopéramide, alors que les accélérateurs du transit gastro-intestinal la réduisent.
  • -Grossesse, Allaitement
  • +Il ressort de données non cliniques que le lopéramide est un substrat de la glycoprotéine-p. L'administration simultanée de lopéramide (dose unique de 16 mg) et de quinidine ou de ritonavir, tous deux inhibiteurs de la glycoprotéine-p, s'est traduite par un doublement, voire un triplement des taux plasmatiques de lopéramide. On ignore l'importance clinique de cette interaction pharmacocinétique avec les inhibiteurs de la glycoprotéine-p lors d'une utilisation du lopéramide aux posologies recommandées.
  • +L'administration simultanée de lopéramide (dose unique de 4 mg) et d'itraconazole, inhibiteur du CYP3A4 et de la glycoprotéine-p, a triplé, voire quadruplé les taux plasmatiques de lopéramide. Dans la même étude, l'inhibiteur du CYP2C8 gemfibrozil a environ doublé les valeurs du lopéramide. Avec une association d'itraconazole et de gemfibrozil, les pics plasmatiques de lopéramide ont quadruplé et l'exposition plasmatique totale a été multipliée par 13. Il n'a pas été observé d'effet opiacé central.
  • +L'administration simultanée de lopéramide (dose unique de 16 mg) et de kétoconazole, inhibiteur du CYP3A4 et de la glycoprotéine-p, a quintuplé les taux plasmatiques de lopéramide. Il n'a pas été observé d'effet opiacé central.
  • +L'administration simultanée de desmopressine orale s'est traduite par un triplement des taux plasmatiques de desmopressine, ceci étant selon toute vraisemblance à mettre sur le compte d'une motilité gastro-intestinale réduite.
  • +Il faut supposer que les médicaments aux propriétés pharmacologiques semblables renforcent l'action du lopéramide, alors que les accélérateurs du transit gastro-intestinal la réduisent.
  • +Grossesse, allaitement
  • -Aucun indice ne suggère des effets tératogènes ou embryotoxiques du lopéramide. Lopéramide ne doit être administré à la femme enceinte quen cas de nécessité absolue.
  • +Aucun indice ne suggère des effets tératogènes ou embryotoxiques du lopéramide. Lopéramide ne doit être administré à la femme enceinte qu'en cas de nécessité absolue.
  • -Le lopéramide passe en faible quantité dans le lait maternel, raison pour laquelle lopéramide ne doit pas être utilisé pendant l'allaitement.
  • +Le lopéramide passe en faible quantité dans le lait maternel, raison pour laquelle lopéramide ne doit pas être utilisé pendant l'allaitement.
  • -Dans le cadre dune diarrhée traitée par lopéramide peuvent apparaître de la fatigue, des crises de vertige et des états dobnubilation. Cest pourquoi la prudence est recommandée lors de la conduite de véhicules et du maniement de machines (voir «Effets indésirables»).
  • +Dans le cadre d'une diarrhée traitée par lopéramide peuvent apparaître de la fatigue, des crises de vertige et des états d'obnubilation. C'est pourquoi la prudence est recommandée lors de la conduite de véhicules et du maniement de machines (voir «Effets indésirables»).
  • -Données provenant détudes cliniques
  • +Données provenant d'études cliniques
  • -La sécurité demploi du lopéramide a été évaluée chez 3076 adolescents et adultes dans le cadre de 31 études cliniques contrôlées et non contrôlées avec le lopéramide pour le traitement de la diarrhée. Sur ce total, 26 études (N= 2755) sintéressaient à la diarrhée aiguë et 5 (N= 312) à la diarrhée chronique.
  • +La sécurité d'emploi du lopéramide a été évaluée chez 3076 adolescents et adultes dans le cadre de 31 études cliniques contrôlées et non contrôlées avec le lopéramide pour le traitement de la diarrhée. Sur ce total, 26 études (N= 2755) s'intéressaient à la diarrhée aiguë et 5 (N= 312) à la diarrhée chronique.
  • -Les effets indésirables suivants du médicament ont été observés en cas dadministration de chlorhydrate de lopéramide lors détudes cliniques chez ladolescent (≥12 ans) et ladulte (diarrhée aiguë et chronique).
  • -Leur fréquence est indiquée comme suit: très fréquent (≥1/10), fréquent (<1/10, ≥1/100), occasionnel (<1/100, ≥1/1000), rare (<1/1000, ≥1/10000), très rare (<1/10000).
  • +Les effets indésirables suivants du médicament ont été observés en cas d'administration de chlorhydrate de lopéramide lors d'études cliniques chez l'adolescent (≥12 ans) et l'adulte (diarrhée aiguë et chronique).
  • +Leur fréquence est indiquée comme suit: très fréquent (≥1/10), fréquent (<1/10, ≥1/100), occasionnel (<1/100, ≥1/1000), rare (<1/1000, ≥1/10'000), très rare (<1/10'000).
  • -Affections de la peau de du tissu sous-cutané
  • +Affections de la peau et du tissu sous-cutané
  • -La sécurité demploi du lopéramide a été évaluée chez 607 enfants dâge compris entre 10 jours et 13 ans dans le cadre de 13 études cliniques contrôlées et non contrôlées avec le lopéramide pour le traitement de la diarrhée aiguë. Le profil deffets indésirables dans cette population de patients était de manière générale comparable à celui observé à loccasion des études cliniques du lopéramide chez ladolescent (≥12 ans) et ladulte.
  • -Données Post-Marketing
  • +La sécurité d'emploi du lopéramide a été évaluée chez 607 enfants d'âge compris entre 10 jours et 13 ans dans le cadre de 13 études cliniques contrôlées et non contrôlées avec le lopéramide pour le traitement de la diarrhée aiguë. Le profil d'effets indésirables dans cette population de patients était de manière générale comparable à celui observé à l'occasion des études cliniques du lopéramide chez l'adolescent (≥12 ans) et l'adulte.
  • +Effets indésirables identifiés après la mise sur le marché
  • -Réaction dhypersensibilité, réaction anaphylactique (y compris choc anaphylactique), réaction anaphylactoïde.
  • +Réaction d'hypersensibilité, réaction anaphylactique (y compris choc anaphylactique), réaction anaphylactoïde.
  • -Troubles de la coordination, restriction de la conscience, augmentation du tonus musculaire, perte de conscience, somnolence, stupeur.
  • +Troubles de la coordination, restriction de la conscience, augmentation du tonus musculaire, perte de conscience, somnolence, stupeur.
  • -Troubles généraux et anomalies au site dadministration
  • +Troubles généraux et anomalies au site d'administration
  • -Lannonce deffets secondaires présumés après lautorisation est dune grande importance. Elle permet un suivi continu du rapport bénéfice-risque du médicament. Les professionnels de santé sont tenus de déclarer toute suspicion deffet secondaire nouveau ou grave via le portail dannonce en ligne ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet sur www.swissmedic.ch.
  • +L'annonce d'effets secondaires présumés après l'autorisation est d'une grande importance. Elle permet un suivi continu du rapport bénéfice-risque du médicament. Les professionnels de santé sont tenus de déclarer toute suspicion d'effet secondaire nouveau ou grave via le portail d'annonce en ligne ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet sur www.swissmedic.ch.
  • -Une dépression du SNC (stupeur, troubles de la coordination, somnolence, myosis, hypertonie musculaire, dépression respiratoire), une rétention urinaire et des iléus ont été observés dans les cas de surdosage (y compris surdosage relatif lié à des troubles de la fonction hépatique). Les enfants peuvent être plus sensibles aux effets sur le SNC que les adultes.
  • +Une dépression du SNC (stupeur, troubles de la coordination, somnolence, myosis, hypertonie musculaire, dépression respiratoire), une rétention urinaire et des iléus ont été observés dans les cas de surdosage (y compris surdosage relatif lié à des troubles de la fonction hépatique). Les enfants peuvent être plus sensibles aux effets sur le SNC que les adultes.
  • -Le traitement est symptomatique. De la naloxone peut être administrée comme antidote en présence de symptômes touchant le SNC consécutifs à un surdosage. Comme leffet du lopéramide dure plus longtemps que celui de la naloxone (1-3 heures), ladministration répétée de naloxone peut être indiquée. Surveiller étroitement le patient pendant 48 heures au minimum en raison de léventualité dune dépression du SNC.
  • +Le traitement est symptomatique. De la naloxone peut être administrée comme antidote en présence de symptômes touchant le SNC consécutifs à 'un surdosage. Comme l'effet du lopéramide dure plus longtemps que celui de la naloxone (1-3 heures), l'administration répétée de naloxone peut être indiquée. Surveiller étroitement le patient pendant 48 heures au minimum en raison de l'éventualité d'une dépression du SNC.
  • -Mécanisme daction
  • -Le lopéramide est un antidiarrhéique de synthèse à usage oral très efficace. Sa liaison aux récepteurs µ des opiacés de la paroi intestinale est très forte, et il se distingue par une entrée en action rapide et une durée daction prolongée.
  • +Mécanisme d'action
  • +Le lopéramide est un antidiarrhéique de synthèse à usage oral très efficace. Sa liaison aux récepteurs µ des opiacés de la paroi intestinale est très forte, et il se distingue par une entrée en action rapide et une durée d'action prolongée.
  • -Voir «mécanisme d'action».
  • +Voir «Mécanisme d'action».
  • -Dans une étude clinique multicentrique, randomisée en double aveugle menée en 1975 auprès de 213 patientes et patients souffrant de diarrhée aigüe ayant reçu du lopéramide, un placébo ou un autre médicament contre la diarrhée, plus de la moitié des 56 patientes et patients du groupe traité par le lopéramide ne présentaient plus de selles informes environ deux heures après la prise dune dose de 4 mg (correspondant à 2 comprimés pelliculés). Les études cliniques relatives à la diarrhée ont confirmé cette action très rapide du lopéramide.
  • +Dans une étude clinique multicentrique, randomisée en double aveugle menée en 1975 auprès de 213 patientes et patients souffrant de diarrhée aigüe ayant reçu du lopéramide, un placébo ou un autre médicament contre la diarrhée, plus de la moitié des 56 patientes et patients du groupe traité par le lopéramide ne présentaient plus de selles informes environ deux heures après la prise d'une dose de 4 mg (correspondant à 2 comprimés pelliculés). Les études cliniques relatives à la diarrhée ont confirmé cette action très rapide du lopéramide.
  • -Une grande partie du lopéramide ingéré est absorbée au niveau intestinal, mais sa biodisponibilité systémique ne se situe, en raison dun effet de premier passage prononcé, quaux alentours de 0,3%. Les concentrations plasmatiques maximales sont mesurées environ 4 heures après la prise.
  • +Une grande partie du lopéramide ingéré est absorbée au niveau intestinal, mais sa biodisponibilité systémique ne se situe, en raison d'un effet de premier passage prononcé, qu'aux alentours de 0,3%. Les concentrations plasmatiques maximales sont mesurées environ 4 heures après la prise.
  • -La concentration de lopéramide dans le sang nest pas suffisante pour quil pénètre dans le système nerveux central. La liaison aux protéines plasmatiques est de lordre de 95%, essentiellement à lalbumine.
  • -Daprès des données non cliniques, le lopéramide est un substrat de la glycoprotéine-p.
  • +La concentration de lopéramide dans le sang n'est pas suffisante pour qu'il pénètre dans le système nerveux central. La liaison aux protéines plasmatiques est de l'ordre de 95%, essentiellement à l'albumine.
  • +D'après des données non cliniques, le lopéramide est un substrat de la glycoprotéine-p.
  • -Le lopéramide est presque intégralement métabolisé par le foie puis éliminé par la bile sous forme conjuguée. La Ndéméthylation oxydative est la principale voie de dégradation du lopéramide, essentiellement médiée par le CYP3A4 et le CYP2C8. A cause du très important effet de premier passage, les taux plasmatiques de principe actif inchangé se maintiennent extrêmement bas.
  • +Le lopéramide est presque intégralement métabolisé par le foie puis éliminé par la bile sous forme conjuguée. La N-déméthylation oxydative est la principale voie de dégradation du lopéramide, essentiellement médiée par le CYP3A4 et le CYP2C8. A cause du très important effet de premier passage, les taux plasmatiques de principe actif inchangé se maintiennent extrêmement bas.
  • -Chez lêtre humain, la demi-vie plasmatique du lopéramide sétablit dans la fourchette de 9 à 14 heures, avec une valeur moyenne de 11 heures environ. Le lopéramide inchangé et les métabolites principaux sont pour lessentiel éliminés par les selles. Le lopéramide nest pas éliminé dans lurine.
  • +Chez l'être humain, la demi-vie plasmatique du lopéramide s'établit dans la fourchette de 9 à 14 heures, avec une valeur moyenne de 11 heures environ. Le lopéramide inchangé et les métabolites principaux sont pour l'essentiel éliminés par les selles. Le lopéramide n'est pas éliminé dans l'urine.
  • -Aucune étude pharmacocinétique na été réalisée chez des patients de pédiatrie. On suppose toutefois une analogie de la pharmacocinétique et des interactions avec dautres médicaments au sein de cette population de patients avec celles observées dans la population adulte.
  • +Aucune étude pharmacocinétique n'a été réalisée chez des patients de pédiatrie. On suppose toutefois une analogie de la pharmacocinétique et des interactions avec d'autres médicaments au sein de cette population de patients avec celles observées dans la population adulte.
  • -Le lopéramide na pas été génotoxique dans plusieurs études in vivo et in vitro. Aucun potentiel cancérigène na été constaté. Lors des études de reproduction chez la rate gravide et/ou allaitante à des doses de lopéramide 40 mg/kg/jour, des manifestations toxiques des manifestations toxiques chez les mères, une baisse de leur fertilité et une survie réduite des foetus/de la progéniture ont été constatés. A des doses de 10 mg/kg, aucun effet sur la santé tant maternelle que foetale et aucune dinfluence sur le développement péri- et postnatal nont été observés.
  • +Le lopéramide n'a pas été génotoxique dans plusieurs études in vivo et in vitro. Aucun potentiel cancérigène n'a été constaté. Lors des études de reproduction chez la rate gravide et/ou allaitante à des doses de lopéramide 40 mg/kg/jour, des manifestations toxiques des manifestations toxiques chez les mères, une baisse de leur fertilité et une survie réduite des foetus/de la progéniture ont été constatés. A des doses de 10 mg/kg, aucun effet sur la santé tant maternelle que foetale et aucune d'influence sur le développement péri- et postnatal n'ont été observés.
  • -Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur lemballage.
  • +Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l'emballage.
  • -Conserver dans l'emballage d'origine, à l'abri de la lumière et de l`humidité. Ne pas conserver au-dessus de 25°C. Conserver hors de portée des enfants.
  • +Conserver dans l'emballage d'origine, à l'abri de la lumière et de l'humidité. Ne pas conserver au-dessus de 25°C. Conserver hors de portée des enfants.
  • -Janvier 2019.
  • +Octobre 2020.
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