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Accueil - Information professionnelle sur Praluent 75 mg - Changements - 03.03.2023
58 Changements de l'information professionelle Praluent 75 mg
  • -Pour l'effet sur la mortalité cardiovasculaire, voir la section «Propriétés/Effets».
  • +Pour l'effet sur la mortalité cardiovasculaire, voir la rubrique «Propriétés/Effets».
  • -Aucun ajustement posologique n'est nécessaire en fonction du poids du patient (voir section «Pharmacocinétique»).
  • +Aucun ajustement posologique n'est nécessaire en fonction du poids du patient (voir rubrique «Pharmacocinétique»).
  • -Aucun ajustement posologique n'est nécessaire chez les patients présentant une insuffisance hépatique légère ou modérée. Aucune donnée n'est disponible pour les patients souffrant d'une insuffisance hépatique grave (voir section «Pharmacocinétique»).
  • +Aucun ajustement posologique n'est nécessaire chez les patients présentant une insuffisance hépatique légère ou modérée. Aucune donnée n'est disponible pour les patients souffrant d'une insuffisance hépatique grave (voir rubrique «Pharmacocinétique»).
  • -Aucun ajustement posologique n'est nécessaire chez les patients présentant une insuffisance rénale légère ou modérée. Aucune donnée n'est disponible pour les patients souffrant d'une insuffisance rénale grave (voir section «Pharmacocinétique»).
  • +Aucun ajustement posologique n'est nécessaire chez les patients présentant une insuffisance rénale légère ou modérée. Aucune donnée n'est disponible pour les patients souffrant d'une insuffisance rénale grave (voir rubrique «Pharmacocinétique»).
  • -Aucun ajustement posologique n'est nécessaire chez les patients âgés (voir section «Pharmacocinétique»).
  • +Aucun ajustement posologique n'est nécessaire chez les patients âgés (voir rubrique «Pharmacocinétique»).
  • -Hypersensibilité à la substance active ou à l'un des excipients répertoriés à la section «Composition».
  • +Hypersensibilité à la substance active ou à l'un des excipients répertoriés à la rubrique «Composition».
  • -Des réactions allergiques générales, y compris le prurit, ainsi que des réactions allergiques rares et parfois graves telles que l'hypersensibilité, l'eczéma nummulaire, l'urticaire et la vascularite d'hypersensibilité ont été signalées dans des essais cliniques (voir section «Effets indésirables»). Des angiœdèmes ont été rapportés après commercialisation. Si des signes ou des symptômes de réactions allergiques graves apparaissent, il est nécessaire d'arrêter le traitement par Praluent et de commencer un traitement symptomatique approprié (voir section «Contre-indications»).
  • +Des réactions allergiques générales, y compris le prurit, ainsi que des réactions allergiques rares et parfois graves telles que l'hypersensibilité, l'eczéma nummulaire, l'urticaire et la vascularite d'hypersensibilité ont été signalées dans des essais cliniques (voir rubrique «Effets indésirables»). Des angiœdèmes ont été rapportés après commercialisation. Si des signes ou des symptômes de réactions allergiques graves apparaissent, il est nécessaire d'arrêter le traitement par Praluent et de commencer un traitement symptomatique approprié (voir rubrique «Contre-indications»).
  • -Il nexiste pas de données cliniques concernant lemploi chez la femme enceinte. On sattend à ce que lalirocumab, tout comme les autres anticorps IgG, franchisse la barrière placentaire (voir section «Données précliniques»). Les expérimentations animales nont révélé aucune toxicité directe ou indirecte ayant une incidence sur la grossesse, le développement embryonnaire, le développement fœtal et/ou le développement post-natal.
  • -Praluent ne doit pas être utilisé pendant la grossesse, à moins que létat clinique de la patiente ne nécessite un traitement par Praluent.
  • -Si Praluent est administré à des femmes en âge de procréer en même temps quune statine ou un autre médicament hypolipémiant (par ex. lézétimibe), le médecin prescripteur doit se référer à la rubrique «Grossesse» de linformation professionnelle des autres médicaments.
  • +Il n'existe pas de données cliniques concernant l'emploi chez la femme enceinte. On s'attend à ce que l'alirocumab, tout comme les autres anticorps IgG, franchisse la barrière placentaire (voir rubrique «Données précliniques»). Les expérimentations animales n'ont révélé aucune toxicité directe ou indirecte ayant une incidence sur la grossesse, le développement embryonnaire, le développement fœtal et/ou le développement post-natal.
  • +Praluent ne doit pas être utilisé pendant la grossesse, à moins que l'état clinique de la patiente ne nécessite un traitement par Praluent.
  • +Si Praluent est administré à des femmes en âge de procréer en même temps qu'une statine ou un autre médicament hypolipémiant (par ex. l'ézétimibe), le médecin prescripteur doit se référer à la rubrique «Grossesse» de l'information professionnelle des autres médicaments.
  • -Les statines sont contre-indiquées chez la femme allaitante. Se reporter au résumé des caractéristiques du produit respectif en vigueur.
  • +Les statines sont contre-indiquées chez la femme allaitante. Se reporter à l'information professionnelle du produit respectif en vigueur.
  • -Les essais réalisés sur des animaux n'ont révélé aucun effet indésirable sur les marqueurs de substitution de la fertilité (voir section «Données précliniques»). Il n'existe aucune donnée relative aux effets indésirables sur la fertilité chez l'humain.
  • +Les essais réalisés sur des animaux n'ont révélé aucun effet indésirable sur les marqueurs de substitution de la fertilité (voir rubrique «Données précliniques»). Il n'existe aucune donnée relative aux effets indésirables sur la fertilité chez l'humain.
  • -Les effets indésirables sont présentés par classes de systèmes d'organes et par ordre décroissant de fréquence, La fréquence est indiquée comme suit: «très fréquents» (≥1/10), «fréquents» (≥1/100 à <1/10) «occasionnels» (≥1/1000 à <1/100), «rares» (≥1/10'000 à <1/1000), «très rares» (<1/10'000).
  • +Les effets indésirables sont présentés par classes de systèmes d'organes et par ordre décroissant de fréquence. La fréquence est indiquée comme suit: «très fréquents» (≥1/10), «fréquents» (≥1/100 à <1/10), «occasionnels» (≥1/1000 à <1/100), «rares» (≥1/10'000 à <1/1000), «très rares» (<1/10'000).
  • -La fréquence des effets indésirables rapportés au cours dutilisation après commercialisation ne peut pas être déterminée car ils proviennent de déclarations spontanées. En conséquence, la fréquence de ces effets indésirables est qualifiée d«indéterminée».
  • -Troubles généraux et anomalies au site dadministration
  • +La fréquence des effets indésirables rapportés au cours d'utilisation après commercialisation ne peut pas être déterminée car ils proviennent de déclarations spontanées. En conséquence, la fréquence de ces effets indésirables est qualifiée d'«indéterminée».
  • +Troubles généraux et anomalies au site d'administration
  • -Des réactions allergiques générales ont été rapportées plus fréquemment dans le groupe recevant de l'alirocumab que dans le groupe témoin. Le pourcentage de patients ayant arrêté le traitement par Praluent en raison de réactions allergiques a été supérieur dans le groupe recevant Praluent (0,6% contre 0,2%). En outre, des réactions allergiques rares et parfois graves telles que l'hypersensibilité, l'eczéma nummulaire, l'urticaire et la vascularite d'hypersensibilité ont été signalées dans des essais cliniques contrôlés (voir section «Mises en garde et précautions»).
  • +Des réactions allergiques générales ont été rapportées plus fréquemment dans le groupe recevant de l'alirocumab que dans le groupe témoin. Le pourcentage de patients ayant arrêté le traitement par Praluent en raison de réactions allergiques a été supérieur dans le groupe recevant Praluent (0,6% contre 0,2%). En outre, des réactions allergiques rares et parfois graves telles que l'hypersensibilité, l'eczéma nummulaire, l'urticaire et la vascularite d'hypersensibilité ont été signalées dans des essais cliniques contrôlés (voir rubrique «Mises en garde et précautions»).
  • -Même si les essais sur l'alirocumab n'ont pas montré de conséquences indésirables d'une valeur LDL-C très faible, les effets à long terme de valeurs LDL-C très faibles ne sont pas connus. Dans des études génétiques publiées, ainsi que des essais cliniques et des études d'observation avec des traitements hypolipémiants, un risque accru d'apparition de diabète était associé à des valeurs de LDL-C plus faibles.
  • +Bien qu'aucune conséquence défavorable de très faibles taux de LDL-C n'ait été identifiée dans le cadre des essais avec l'alirocumab, les effets à long terme de taux très bas de LDL-C prolongés dans le temps sont inconnus.
  • -Etude multicentrique en double aveugle contrôlée contre placebo, réalisée sur une période de 48 semaines auprès de 540 patients recevant une statine à la dose maximale tolérée, avec ou sans autre traitement hypolipémiant (308 patients dans le groupe recevant l'alirocumab à raison de 300 mg une fois toutes les 4 semaines, 76 dans le groupe recevant l'alirocumab à raison de 75 mg une fois toutes les 2 semaines et 156 dans le groupe recevant le placebo), et 252 patients ne recevant pas de statine (144 dans le groupe recevant l'alirocumab à raison de 300 mg une fois toutes les 4 semaines, 37 dans le groupe recevant l'alirocumab à raison de 75 mg une fois toutes les 2 semaines et 71 dans le groupe recevant le placebo). Les patients ont reçu soit de l'alirocumab à raison de 300 mg une fois toutes les 4 semaines ou de 75 mg une fois toutes les 2 semaines, soit un placebo, en plus de leur traitement hypolipémiant en cours (statine, hypolipémiant autre qu'une statine ou régime alimentaire seul). Globalement, 71,6% des patients étaient classés parmi les patients à risque cardiovasculaire élevé ou très élevé et n'avaient pas atteint leur objectif LDL-C. Dans les groupes recevant de l'alirocumab, l'ajustement de la dose à 150 mg toutes les 2 semaines a eu lieu à la semaine 12 chez les patients dont le taux de LDL-C ≥1.81 mmol/L ou ≥2.59 mmol/L mg/dl, en fonction de leur niveau de risque cardiovasculaire, ou chez les patients qui n'avaient pas obtenu une réduction d'au moins 30% de leur LDL-C par rapport aux valeurs initiales.
  • +Etude multicentrique en double aveugle contrôlée contre placebo, réalisée sur une période de 48 semaines auprès de 540 patients recevant une statine à la dose maximale tolérée, avec ou sans autre traitement hypolipémiant (308 patients dans le groupe recevant l'alirocumab à raison de 300 mg une fois toutes les 4 semaines, 76 dans le groupe recevant l'alirocumab à raison de 75 mg une fois toutes les 2 semaines et 156 dans le groupe recevant le placebo), et 252 patients ne recevant pas de statine (144 dans le groupe recevant l'alirocumab à raison de 300 mg une fois toutes les 4 semaines, 37 dans le groupe recevant l'alirocumab à raison de 75 mg une fois toutes les 2 semaines et 71 dans le groupe recevant le placebo). Les patients ont reçu soit de l'alirocumab à raison de 300 mg une fois toutes les 4 semaines ou de 75 mg une fois toutes les 2 semaines, soit un placebo, en plus de leur traitement hypolipémiant en cours (statine, hypolipémiant autre qu'une statine ou régime alimentaire seul). Globalement, 71,6% des patients étaient classés parmi les patients à risque cardiovasculaire élevé ou très élevé et n'avaient pas atteint leur objectif LDL-C. Dans les groupes recevant de l'alirocumab, l'ajustement de la dose à 150 mg toutes les 2 semaines a eu lieu à la semaine 12 chez les patients dont le taux de LDL-C ≥1.81 mmol/L ou ≥2.59 mmol/L, en fonction de leur niveau de risque cardiovasculaire, ou chez les patients qui n'avaient pas obtenu une réduction d'au moins 30% de leur LDL-C par rapport aux valeurs initiales.
  • -Une analyse pharmacocinétique de population a montré que le poids corporel exerce une légère influence sur lexposition à lalirocumab, probablement sans conséquence sur lefficacité ou linnocuité. Lexposition à lalirocumab (ASC0-14j) à létat déquilibre pour des posologies de 75 mg et 150 mg 2 fois par semaine a diminué de 29% et 36% chez les patients pesant plus de 100 kg, par comparaison avec les patients pesant entre 50 kg et 100 kg.
  • +Une analyse pharmacocinétique de population a montré que le poids corporel exerce une légère influence sur l'exposition à l'alirocumab, probablement sans conséquence sur l'efficacité ou l'innocuité. L'exposition à l'alirocumab (ASC0-14j) à l'état d'équilibre pour des posologies de 75 mg et 150 mg 2 fois par semaine a diminué de 29% et 36% chez les patients pesant plus de 100 kg, par comparaison avec les patients pesant entre 50 kg et 100 kg.
  • -Leffet pharmacodynamique de lalirocumab, cest-à-dire de réduction du taux de LDL-C, est indirect et médié par la liaison à la PCSK9. Une réduction concentration-dépendante des taux de PCSK9 libre et de LDL-C est observée jusquà ce que la saturation de la cible soit atteinte. À saturation de la liaison à la PCSK9, des augmentations supplémentaires des concentrations dalirocumab nentraînent pas de réduction supplémentaire du taux de LDL-C. Cependant, une durée prolongée de leffet réducteur du taux de LDL-C est observée.
  • +L'effet pharmacodynamique de l'alirocumab, c'est-à-dire de réduction du taux de LDL-C, est indirect et médié par la liaison à la PCSK9. Une réduction concentration-dépendante des taux de PCSK9 libre et de LDL-C est observée jusqu'à ce que la saturation de la cible soit atteinte. À saturation de la liaison à la PCSK9, des augmentations supplémentaires des concentrations d'alirocumab n'entraînent pas de réduction supplémentaire du taux de LDL-C. Cependant, une durée prolongée de l'effet réducteur du taux de LDL-C est observée.
  • -Dans une étude de phase 1, après ladministration dune dose sous-cutanée unique de 75 mg, lexposition à lalirocumab des sujets présentant une insuffisance hépatique légère à modérée a été légèrement reduit comparée à celle des sujets présentant une fonction hépatique normale. Aucune donnée nest disponible pour les patients souffrant dune insuffisance hépatique grave.
  • +Dans une étude de phase 1, après l'administration d'une dose sous-cutanée unique de 75 mg, l'exposition à l'alirocumab des sujets présentant une insuffisance hépatique légère à modérée a été légèrement reduit comparée à celle des sujets présentant une fonction hépatique normale. Aucune donnée n'est disponible pour les patients souffrant d'une insuffisance hépatique grave.
  • -Étant donné que les anticorps monoclonaux ne sont pas connus pour être éliminés par la voie rénale, la fonction rénale ne devrait pas influencer les propriétés pharmacocinétiques de lalirocumab. Les analyses pharmacocinétiques de la population indiquent quune insuffisance rénale légère à modérée nexerçait probablement pas dinfluence pertinent sur les propriétés pharmacocinétiques de lalirocumab. Aucune donnée nest disponible pour les patients souffrant dune insuffisance rénale grave.
  • +Étant donné que les anticorps monoclonaux ne sont pas connus pour être éliminés par la voie rénale, la fonction rénale ne devrait pas influencer les propriétés pharmacocinétiques de l'alirocumab. Les analyses pharmacocinétiques de la population indiquent qu'une insuffisance rénale légère à modérée n'exerçait probablement pas d'influence pertinent sur les propriétés pharmacocinétiques de l'alirocumab. Aucune donnée n'est disponible pour les patients souffrant d'une insuffisance rénale grave.
  • -Sur la base dune analyse pharmacocinétique de la population, lâge a été associé à une légère différence de lexposition à lalirocumab au stade déquilibre, probablement sans influence sur lefficacité ou linnocuité. Lexposition à lalirocumab à létat déquilibre (ASC0-14j) pour des posologies de 75 mg et 150 mg 2 fois par semaine a augmenté de 10% à 36% chez les patients âgés de plus de 75 ans par comparaison avec les patients âgés de moins de 65 ans.
  • +Sur la base d'une analyse pharmacocinétique de la population, l'âge a été associé à une légère différence de l'exposition à l'alirocumab au stade d'équilibre, probablement sans influence sur l'efficacité ou l'innocuité. L'exposition à l'alirocumab à l'état d'équilibre (ASC0-14j) pour des posologies de 75 mg et 150 mg 2 fois par semaine a augmenté de 10% à 36% chez les patients âgés de plus de 75 ans par comparaison avec les patients âgés de moins de 65 ans.
  • -Sur la base dune analyse pharmacocinétique de la population, la race n’a pas exercé dinfluence sur les propriétés pharmacocinétiques de lalirocumab. Suite à ladministration sous-cutanée dune dose unique de 100 mg à 300 mg dalirocumab, aucune différence significative na été observée en termes dexposition entre les sujets sains japonais et blancs.
  • -Sur la base dune analyse pharmacocinétique de la population, le sexe na pas exercé dinfluence sur les propriétés pharmacocinétiques de lalirocumab.
  • +Sur la base d'une analyse pharmacocinétique de la population, l'éthnicité n'a pas exercé d'influence sur les propriétés pharmacocinétiques de l'alirocumab. Suite à l'administration sous-cutanée d'une dose unique de 100 mg à 300 mg d'alirocumab, aucune différence significative n'a été observée en termes d'exposition entre les sujets sains japonais et blancs.
  • +Sur la base d'une analyse pharmacocinétique de la population, le sexe n'a pas exercé d'influence sur les propriétés pharmacocinétiques de l'alirocumab.
  • -Les données non cliniques ne révèlent aucun risque spécifique pour les humains, sur la base dévaluations de la pharmacologie de sécurité, de la toxicité des doses répétées et de la toxicité pour la reproduction et le développement.
  • +Les données non cliniques ne révèlent aucun risque spécifique pour les humains, sur la base d'évaluations de la pharmacologie de sécurité, de la toxicité des doses répétées et de la toxicité pour la reproduction et le développement.
  • -Aucune étude relative à la génotoxicité et à la mutagénicité na été réalisée.
  • +Aucune étude relative à la génotoxicité et à la mutagénicité n'a été réalisée.
  • -Aucune étude relative à la carcinogénicité na été réalisée.
  • +Aucune étude relative à la carcinogénicité n'a été réalisée.
  • -Des études relatives à la toxicologie reproductive, réalisées chez le rat et le singe, ont indiqué que lalirocumab, comme les autres anticorps IgG, traverse la barrière placentaire.
  • -Aucun effet indésirable na été observé sur les marqueurs de substitution de la fertilité (p.ex. cyclicité œstrale, volume testiculaire, volume déjaculation, motilité du sperme ou nombre total de spermatozoïdes par éjaculation) chez le singe, et aucun résultat anormal lié à lalirocumab na été observé au niveau des tissus reproducteurs sur les plans anatomique, pathologique ou histopathologique dans les études de toxicologie réalisées chez le rat ou le singe.
  • -Les descendants de singes ayant reçu des doses élevées dalirocumab une fois par semaine tout au long de la gestation ont présenté une réponse immunitaire secondaire plus faible après provocation antigénique que les animaux témoins. Aucun autre signe de trouble immunitaire na été observé chez les descendants.
  • +Des études relatives à la toxicologie reproductive, réalisées chez le rat et le singe, ont indiqué que l'alirocumab, comme les autres anticorps IgG, traverse la barrière placentaire.
  • +Aucun effet indésirable n'a été observé sur les marqueurs de substitution de la fertilité (p.ex. cyclicité œstrale, volume testiculaire, volume d'éjaculation, motilité du sperme ou nombre total de spermatozoïdes par éjaculation) chez le singe, et aucun résultat anormal lié à l'alirocumab n'a été observé au niveau des tissus reproducteurs sur les plans anatomique, pathologique ou histopathologique dans les études de toxicologie réalisées chez le rat ou le singe.
  • +Les descendants de singes ayant reçu des doses élevées d'alirocumab une fois par semaine tout au long de la gestation ont présenté une réponse immunitaire secondaire plus faible après provocation antigénique que les animaux témoins. Aucun autre signe de trouble immunitaire n'a été observé chez les descendants.
  • -Conserver hors de portée des enfants.
  • +Conserver hors de portée des enfants.
  • -Conserver le stylo dans dans son carton pour le protéger de la lumière.
  • +Conserver le stylo dans son carton pour le protéger de la lumière.
  • -Solution de 75 mg à injecter en stylo pré-rempli: boites de 1, 2 ou 6* stylos (B)
  • -Solution de 150 mg à injecter en stylo pré-rempli: boites de 2 ou 6* stylos (B)
  • +Solution de 75 mg à injecter en stylo pré-rempli: boîtes de 1, 2 ou 6* stylos (B)
  • +Solution de 150 mg à injecter en stylo pré-rempli: boîtes de 2 ou 6* stylos (B)
  • -Novembre 2020.
  • +Octobre 2022.
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