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Accueil - Information professionnelle sur Pregabalin Zentiva 25 mg - Changements - 10.07.2023
134 Changements de l'information professionelle Pregabalin Zentiva 25 mg
  • -Principe actif: pregabalinum.
  • +Principes actifs
  • +Pregabalinum.
  • -Lactosum monohydricum; Excipiens pro compresso
  • -Forme galénique et quantité de principe actif par unité
  • -Gélules à 25 mg, 50 mg, 75 mg, 100 mg, 150 mg, 200 mg ou 300 mg de prégabaline.
  • -
  • +Lactosum monohydricum; Excipiens pro compresso.
  • +
  • +
  • -Pregabalin Zentiva est indiqué dans le traitement des douleurs neuropathiques périphériques et centrales chez ladulte.
  • -Des études cliniques ont démontré lefficacité de la prégabaline contre les douleurs neuropathiques dans la polyneuropathie diabétique, la névralgie postherpétique, ainsi que dans les lésions de la moelle épinière (modèles pour les douleurs neuropathiques dorigine centrale) (voir «Propriétés/Effets, Expériences cliniques»).
  • +Pregabalin Zentiva est indiqué dans le traitement des douleurs neuropathiques périphériques et centrales chez l'adulte.
  • +Des études cliniques ont démontré l'efficacité de la prégabaline contre les douleurs neuropathiques dans la polyneuropathie diabétique, la névralgie postherpétique, ainsi que dans les lésions de la moelle épinière (modèles pour les douleurs neuropathiques d'origine centrale) (voir «Propriétés/Effets, Efficacité clinique»).
  • -Pregabalin Zentiva est utilisé dans le traitement adjuvant des crises dépilepsie partielles comportant ou non une généralisation secondaire chez les patients adultes qui répondent de façon insuffisante à dautres antiépileptiques.
  • +Pregabalin Zentiva est utilisé dans le traitement adjuvant des crises d'épilepsie partielles comportant ou non une généralisation secondaire chez les patients adultes qui répondent de façon insuffisante à d'autres antiépileptiques.
  • -Pregabalin Zentiva est utilisé pour le traitement des troubles anxieux généralisés de ladulte.
  • +Pregabalin Zentiva est utilisé pour le traitement des troubles anxieux généralisés de l'adulte.
  • -En fonction de la réponse et de la tolérance du patient, la posologie peut être augmentée à 300 mg par jour après un intervalle de 1 semaine, administrés en deux ou trois prises unitaires. Laugmentation jusquà la dose maximale de 600 mg par jour en deux ou trois prises unitaires est également possible après un délai supplémentaire dune semaine.
  • +En fonction de la réponse et de la tolérance du patient, la posologie peut être augmentée à 300 mg par jour après un intervalle de 1 semaine, administrés en deux ou trois prises unitaires. L'augmentation jusqu'à la dose maximale de 600 mg par jour en deux ou trois prises unitaires est également possible après un délai supplémentaire d'une semaine.
  • -Il nest pas nécessaire de doser la concentration plasmatique de prégabaline pour optimiser le traitement par la prégabaline.
  • +Il n'est pas nécessaire de doser la concentration plasmatique de prégabaline pour optimiser le traitement par la prégabaline.
  • -En fonction de la réponse clinique et de la tolérance individuelle, la posologie peut être augmentée à 300 mg par jour après un intervalle dune semaine. La dose peut être augmentée à 450 mg par jour après une semaine supplémentaire. La dose maximale de 600 mg par jour peut être atteinte après un délai supplémentaire dune semaine.
  • +En fonction de la réponse clinique et de la tolérance individuelle, la posologie peut être augmentée à 300 mg par jour après un intervalle d'une semaine. La dose peut être augmentée à 450 mg par jour après une semaine supplémentaire. La dose maximale de 600 mg par jour peut être atteinte après un délai supplémentaire d'une semaine.
  • -Dans la pratique clinique habituelle, il est recommandé à larrêt du traitement, quelle que soit lindication, de diminuer progressivement la dose de prégabaline sur une période dune semaine au moins.
  • +Dans la pratique clinique habituelle, il est recommandé à l'arrêt du traitement, quelle que soit l'indication, de diminuer progressivement la dose de prégabaline sur une période d'une semaine au moins.
  • -Clairance de la créatinine (Clcr) (ml/min) Dose journalière totale de prégabaline* Schéma posologique
  • +Clairance de la créatinine (Clcr) (ml/min) Dose journalière totale de prégabaline* Schéma posologique
  • -* La quantité en mg par prise sobtient en divisant la dose journalière totale (mg/jour) par le nombre de prises unitaires.
  • -Patients présentant une insuffisance hépatique
  • -Aucun ajustement de la posologie nest nécessaire chez les patients présentant une insuffisance hépatique (voir «Pharmacocinétique»).
  • -Utilisation chez l’enfant et l’adolescent de moins de 18 ans
  • -L’innocuité et lefficacité de la prégabaline nont pas été étudiées chez lenfant et ladolescent de moins de 18 ans. En conséquence, lutilisation de Pregabalin Zentiva nest pas recommandée dans ces tranches dâge.
  • -Utilisation chez le sujet âgé (plus de 65 ans)
  • -Une réduction de la posologie n’est nécessaire chez les patients âgés que s’ils présentent une insuffisance rénale (voir tableau 1).
  • -
  • +* La quantité en mg par prise s'obtient en divisant la dose journalière totale (mg/jour) par le nombre de prises unitaires.
  • +Patients âgés
  • +Une réduction de la posologie n'est nécessaire chez les patients âgés (plus de 65 ans) que s'ils présentent une insuffisance rénale (voir tableau 1).
  • +Enfants et adolescents
  • +L'innocuité et l'efficacité de la prégabaline n'ont pas été étudiées chez l'enfant et l'adolescent de moins de 18 ans. En conséquence, l'utilisation de Pregabalin Zentiva n'est pas recommandée dans ces tranches d'âge.
  • -Hypersensibilité au principe actif ou à lun des excipients (voir «Composition»).
  • +Hypersensibilité au principe actif ou à l'un des excipients (voir «Composition»).
  • -La sécurité demploi de la prégabaline na pas été étudiée dans les cas dinsuffisance rénale sévère.
  • -La sécurité demploi de la prégabaline na pas été étudiée chez les patients présentant des troubles de la fonction hépatique (voir «Pharmacocinétique»).
  • +La sécurité d'emploi de la prégabaline n'a pas été étudiée dans les cas d'insuffisance rénale sévère.
  • +La sécurité d'emploi de la prégabaline n'a pas été étudiée chez les patients présentant des troubles de la fonction hépatique (voir «Pharmacocinétique»).
  • -Bien que leffet dun arrêt du traitement sur la réversibilité dune insuffisance rénale nait pas été systématiquement étudié, des rapports existent sur lamélioration de la fonction rénale après larrêt ou la réduction posologique de la prégabaline.
  • +Bien que l'effet d'un arrêt du traitement sur la réversibilité d'une insuffisance rénale n'ait pas été systématiquement étudié, des rapports existent sur l'amélioration de la fonction rénale après l'arrêt ou la réduction posologique de la prégabaline.
  • -La prégabaline na pas été testée chez des patients présentant une insuffisance cardiaque. En conséquence, leffet de la prégabaline favorisant les œdèmes pourrait avoir des répercussions défavorables chez ces patients.
  • -Des rapports issus de la surveillance post-marketing font cas dinsuffisance cardiaque chez quelques patients traités par la prégabaline. Lors de traitements à court terme de patients sans maladie cardiaque ou vasculaire périphérique cliniquement significative, aucune association na été mise en évidence entre les œdèmes périphériques et les complications cardiovasculaires comme lhypertension ou linsuffisance cardiaque. Parce que les données sur les patients présentant une insuffisance cardiaque sévère sont limitées, la prégabaline sera utilisée avec prudence chez ces patients (voir «Effets indésirables»).
  • +La prégabaline n'a pas été testée chez des patients présentant une insuffisance cardiaque. En conséquence, l'effet de la prégabaline favorisant les œdèmes pourrait avoir des répercussions défavorables chez ces patients.
  • +Des rapports issus de la surveillance post-marketing font cas d'insuffisance cardiaque chez quelques patients traités par la prégabaline. Lors de traitements à court terme de patients sans maladie cardiaque ou vasculaire périphérique cliniquement significative, aucune association n'a été mise en évidence entre les œdèmes périphériques et les complications cardiovasculaires comme l'hypertension ou l'insuffisance cardiaque. Parce que les données sur les patients présentant une insuffisance cardiaque sévère sont limitées, la prégabaline sera utilisée avec prudence chez ces patients (voir «Effets indésirables»).
  • -Réactions dhypersensibilité
  • -Dans le cadre de lexpérience post-marketing, des réactions dhypersensibilité, y compris des cas dangio-œdèmes, ont été rapportés. La prise de prégabaline doit immédiatement être arrêtée si des symptômes dangio-œdèmes – tels que gonflement du visage, de la bouche ou des voies respiratoires supérieures – se présentent.
  • +Réactions d'hypersensibilité
  • +Dans le cadre de l'expérience post-marketing, des réactions d'hypersensibilité, y compris des cas d'angio-œdèmes, ont été rapportés. La prise de prégabaline doit immédiatement être arrêtée si des symptômes d'angio-œdèmes – tels que gonflement du visage, de la bouche ou des voies respiratoires supérieures – se présentent.
  • -Au cours des études contrôlées, les patients sous prégabaline se sont plus souvent plaints dune vision floue que les patients sous placebo. Dans la majorité des cas, cet effet indésirable a disparu avec la poursuite du traitement. Au cours des études cliniques contrôlées, des examens ophtalmologiques (comprenant des tests de lacuité visuelle et du champ visuel, de même quun examen du fond dœil en détail) ont été réalisés chez plus de 3600 patients. Une réduction de lacuité visuelle a été constatée chez 6.5% des patients sous prégabaline contre 4.8% des patients sous placebo. Une modification du champ visuel a été observée chez 12.4% des patients sous prégabaline contre 11.7% des patients sous placebo. Le fond dœil a permis de constater des modifications chez 1.7% des patients sous prégabaline contre 2.1% des patients sous placebo.
  • -Des effets indésirables au niveau de lœil ont également été rapportés au cours des expériences post-marketing. La plupart du temps, il sagissait de vision passagèrement floue ou dautres troubles de lacuité visuelle. Larrêt de la prise de prégabaline peut dans ces cas-là entraîner la disparition ou lamélioration des symptômes visuels.
  • +Au cours des études contrôlées, les patients sous prégabaline se sont plus souvent plaints d'une vision floue que les patients sous placebo. Dans la majorité des cas, cet effet indésirable a disparu avec la poursuite du traitement. Au cours des études cliniques contrôlées, des examens ophtalmologiques (comprenant des tests de l'acuité visuelle et du champ visuel, de même qu'un examen du fond d'œil en détail) ont été réalisés chez plus de 3600 patients. Une réduction de l'acuité visuelle a été constatée chez 6.5% des patients sous prégabaline contre 4.8% des patients sous placebo. Une modification du champ visuel a été observée chez 12.4% des patients sous prégabaline contre 11.7% des patients sous placebo. Le fond d'œil a permis de constater des modifications chez 1.7% des patients sous prégabaline contre 2.1% des patients sous placebo.
  • +Des effets indésirables au niveau de l'œil ont également été rapportés au cours des expériences post-marketing. La plupart du temps, il s'agissait de vision passagèrement floue ou d'autres troubles de l'acuité visuelle. L'arrêt de la prise de prégabaline peut dans ces cas-là entraîner la disparition ou l'amélioration des symptômes visuels.
  • -Le traitement par la prégabaline a été associé à des étourdissements et de la somnolence qui peuvent conduire à la survenue plus fréquente de traumatismes liés à des chutes chez les personnes âgées. Des cas de perte de conscience, de confusion et daltération de létat psychique ont également été rapportés dans des rapports post-marketing. En conséquence, on conseillera aux patients dêtre prudents jusquà ce quils soient habitués aux effets potentiels du médicament.
  • +Le traitement par la prégabaline a été associé à des étourdissements et de la somnolence qui peuvent conduire à la survenue plus fréquente de traumatismes liés à des chutes chez les personnes âgées. Des cas de perte de conscience, de confusion et d'altération de l'état psychique ont également été rapportés dans des rapports post-marketing. En conséquence, on conseillera aux patients d'être prudents jusqu'à ce qu'ils soient habitués aux effets potentiels du médicament.
  • -Après interruption dun traitement à court ou à long terme par la prégabaline, des symptômes de sevrage ont été observés chez certains patients. Les événements suivants ont été rapportés: troubles du sommeil, céphalées, nausées, diarrhée, symptômes de type grippal, nervosité, dépression, anxiété, douleurs, sudation et étourdissements (voir «Effets indésirables»), lesquels peuvent également être interprétés comme une dépendance physique. Le patient doit être informé en début de traitement de ce phénomène.
  • -Potentiel dabus
  • -Des cas dabus ont été rapportés. La prudence est recommandée chez les patients ayant des antécédents dabus de drogues; ils devront être surveillés quant aux symptômes dabus de prégabaline (par ex. développement dune tolérance, doses croissantes, «drug seeking behaviour»).
  • +Après interruption d'un traitement à court ou à long terme par la prégabaline, des symptômes de sevrage ont été observés chez certains patients. Les événements suivants ont été rapportés: troubles du sommeil, céphalées, nausées, diarrhée, symptômes de type grippal, nervosité, dépression, anxiété, douleurs, sudation et étourdissements (voir «Effets indésirables»), lesquels peuvent également être interprétés comme une dépendance physique. Le patient doit être informé en début de traitement de ce phénomène.
  • +Potentiel d'abus
  • +Des cas d'abus ont été rapportés. La prudence est recommandée chez les patients ayant des antécédents d'abus de drogues; ils devront être surveillés quant aux symptômes d'abus de prégabaline (par ex. développement d'une tolérance, doses croissantes, «drug seeking behaviour»).
  • -Des idées et un comportement suicidaires ont été rapportés chez des patients traités par des antiépileptiques dans différentes indications. Une méta-analyse détudes randomisées contrôlées par placebo, portant sur des antiépileptiques, a aussi montré un risque légèrement accru de survenue didées et de comportement suicidaires. Le mécanisme du déclenchement de cet effet indésirable est inconnu et les données disponibles nexcluent pas la possibilité dune augmentation du risque lors de la prise de prégabaline.
  • -Les patients devront donc être surveillés quant aux signes didées et de comportement suicidaires et un traitement approprié devra être envisagé. Les patients (et les personnes prenant soin deux) devront être avertis de la nécessité de faire appel à un médecin en cas de survenue de signes didées ou de comportement suicidaires.
  • +Des idées et un comportement suicidaires ont été rapportés chez des patients traités par des antiépileptiques dans différentes indications. Une méta-analyse d'études randomisées contrôlées par placebo, portant sur des antiépileptiques, a aussi montré un risque légèrement accru de survenue d'idées et de comportement suicidaires. Le mécanisme du déclenchement de cet effet indésirable est inconnu et les données disponibles n'excluent pas la possibilité d'une augmentation du risque lors de la prise de prégabaline.
  • +Les patients devront donc être surveillés quant aux signes d'idées et de comportement suicidaires et un traitement approprié devra être envisagé. Les patients (et les personnes prenant soin d'eux) devront être avertis de la nécessité de faire appel à un médecin en cas de survenue de signes d'idées ou de comportement suicidaires.
  • -Les patients présentant une intolérance héréditaire rare au galactose, un déficit total en lactase ou une malabsorption du glucose et du galactose ne doivent pas prendre Pregabalin Zentiva.
  • +Femmes en âge de procréer/contraception
  • +L'utilisation de prégabaline au cours du premier trimestre de grossesse peut provoquer des malformations congénitales majeures (définies par le réseau European Surveillance of Congenital Anomalies [EUROCAT], version 2014) chez l'enfant à naître et avoir un effet négatif sur le développement neurologique post-natal ainsi que sur le poids de naissance. La prégabaline ne doit pas être utilisée pendant la grossesse, sauf si le bénéfice pour la mère l'emporte clairement sur les risques potentiels pour le fœtus. Les femmes en âge de procréer doivent utiliser une méthode de contraception efficace pendant le traitement (voir «Grossesse, Allaitement»).
  • +Les patients présentant une intolérance au galactose, un déficit total en lactase ou un syndrome de malabsorption du glucose et du galactose (maladies héréditaires rares) ne devraient pas prendre Pregabalin Zentiva.
  • -La prégabaline est éliminée par les reins, principalement sous forme inchangée, et nest pratiquement pas métabolisée par lorganisme humain (<2% dune dose sont retrouvés sous forme de métabolites dans les urines). In vitro, la prégabaline ninhibe pas le métabolisme des médicaments et ne se lie pas aux protéines plasmatiques. Il est donc peu probable que la prégabaline provoque des interactions médicamenteuses ou en soit lobjet.
  • -Par conséquent, aucune interaction pharmacocinétique cliniquement significative na été observée dans les études in vivo entre la prégabaline et la phénytoïne, la carbamazépine, lacide valproïque, la lamotrigine, la gabapentine, le lorazépam, loxycodone ou léthanol. De plus, des analyses ont montré que les trois classes de médicaments les plus souvent utilisés que sont les antidiabétiques oraux, les diurétiques et linsuline, de même que les antiépileptiques souvent administrés que sont la phénytoïne, la carbamazépine, lacide valproïque, la lamotrigine, le phénobarbital, la tiagabine et le topiramate, navaient pas deffet cliniquement significatif sur la clairance de la prégabaline. De même, ces analyses ont montré que la prégabaline na pas dinfluence cliniquement significative sur la clairance des substances suivantes: phénytoïne, carbamazépine, acide valproïque, lamotrigine, topiramate et phénobarbital.
  • -Ladministration concomitante de prégabaline avec les contraceptifs oraux à base de noréthistérone et/ou déthinylestradiol ninfluence pas les paramètres pharmacocinétiques à létat déquilibre de lune ou lautre de ces substances.
  • -La prégabaline peut potentialiser les effets de léthanol et du lorazépam. Dans des études cliniques contrôlées, ladministration de doses orales multiples de prégabaline en même temps que loxycodone, le lorazépam ou léthanol na pas provoqué deffets cliniquement pertinents sur la fonction respiratoire.
  • -Une insuffisance respiratoire et un coma ont été rapportés dans le cadre de lexpérience post-marketing chez les patients prenant simultanément de la prégabaline et dautres médicaments à effet dépresseur sur le SNC.
  • -L’altération de la fonction cognitive et motrice globale provoquée par loxycodone semble être accentuée par la prégabaline.
  • -En cas dadministration simultanée de prégabaline et de médicaments pouvant provoquer une constipation (p.ex. opioïdes), une insuffisance fonctionnelle du tractus gastro-intestinal inférieur a été rapportée (p.ex. iléus, iléus paralytique, constipation) dans le cadre des expériences post-marketing.
  • -Aucune étude pharmacodynamique spécifique na été conduite chez des volontaires âgés.
  • -Grossesse/Allaitement
  • +La prégabaline est éliminée par les reins, principalement sous forme inchangée, et n'est pratiquement pas métabolisée par l'organisme humain (<2% d'une dose sont retrouvés sous forme de métabolites dans les urines). In vitro, la prégabaline n'inhibe pas le métabolisme des médicaments et ne se lie pas aux protéines plasmatiques. Il est donc peu probable que la prégabaline provoque des interactions médicamenteuses ou en soit l'objet.
  • +Par conséquent, aucune interaction pharmacocinétique cliniquement significative n'a été observée dans les études in vivo entre la prégabaline et la phénytoïne, la carbamazépine, l'acide valproïque, la lamotrigine, la gabapentine, le lorazépam, l'oxycodone ou l'éthanol. De plus, des analyses ont montré que les trois classes de médicaments les plus souvent utilisés que sont les antidiabétiques oraux, les diurétiques et l'insuline, de même que les antiépileptiques souvent administrés que sont la phénytoïne, la carbamazépine, l'acide valproïque, la lamotrigine, le phénobarbital, la tiagabine et le topiramate, n'avaient pas d'effet cliniquement significatif sur la clairance de la prégabaline. De même, ces analyses ont montré que la prégabaline n'a pas d'influence cliniquement significative sur la clairance des substances suivantes: phénytoïne, carbamazépine, acide valproïque, lamotrigine, topiramate et phénobarbital.
  • +L'administration concomitante de prégabaline avec les contraceptifs oraux à base de noréthistérone et/ou d'éthinylestradiol n'influence pas les paramètres pharmacocinétiques à l'état d'équilibre de l'une ou l'autre de ces substances.
  • +La prégabaline peut potentialiser les effets de l'éthanol et du lorazépam. Dans des études cliniques contrôlées, l'administration de doses orales multiples de prégabaline en même temps que l'oxycodone, le lorazépam ou l'éthanol n'a pas provoqué d'effets cliniquement pertinents sur la fonction respiratoire.
  • +Une insuffisance respiratoire, un coma et des décès ont été rapportés dans le cadre de l'expérience post-marketing chez les patients prenant simultanément de la prégabaline et d'autres médicaments à effet dépresseur sur le SNC (en particulier des opioïdes), y compris chez les patients toxicomanes.
  • +L'altération de la fonction cognitive et motrice globale provoquée par l'oxycodone semble être accentuée par la prégabaline.
  • +En cas d'administration simultanée de prégabaline et de médicaments pouvant provoquer une constipation (p.ex. opioïdes), une insuffisance fonctionnelle du tractus gastro-intestinal inférieur a été rapportée (p.ex. iléus, iléus paralytique, constipation) dans le cadre des expériences post-marketing.
  • +Aucune étude pharmacodynamique spécifique n'a été conduite chez des volontaires âgés.
  • +Grossesse, allaitement
  • -Aucune étude contrôlée n’a été réalisée sur l’administration de la prégabaline chez la femme enceinte.
  • -Des études effectuées chez lanimal ont montré une toxicité sur la reproduction (voir «Données précliniques»). En conséquence, le produit ne doit pas être administré pendant la grossesse, sauf en cas de nécessité absolue. Les femmes en âge de procréer doivent utiliser une méthode de contraception efficace pendant le traitement.
  • +On ne dispose que de données limitées sur l'administration de la prégabaline chez la femme enceinte.
  • +Les données issues d'une étude observationnelle portant sur plus de 2'700 expositions à la prégabaline pendant la grossesse, obtenues grâce à des données collectées régulièrement dans les registres administratifs et de santé danois, finlandais, norvégiens et suédois, n'ont révélé aucun risque significativement plus élevé de malformations congénitales majeures (définies dans l'European Surveillance of Congenital Anomalies [EUROCAT], version 2014), d'effets indésirables sur la naissance (p.ex. mortinaissances) ou de développement neurologique post-natal anormal après une exposition à la prégabaline pendant la grossesse (voir ci-après).
  • +Malformations congénitales majeures (définies dans l'European Surveillance of Congenital Anomalies [EUROCAT], version 2014)
  • +Dans les méta-analyses standard, le rapport de prévalence ajusté (aPR) et l'intervalle de confiance (IC) à 95% s'élevaient à 1.14 (0.96-1.35) pour les grossesses exposées à la prégabaline en monothérapie au cours du premier trimestre par rapport aux grossesses non exposées à des antiépileptiques.
  • +Effets sur la naissance et troubles du développement neurologique post-natal
  • +Aucun effet statistiquement significatif n'a été constaté en ce qui concerne une mortinaissance, un faible poids de naissance, une prématurité, une taille ou un poids insuffisant pour l'âge gestationnel (c'est-à-dire un nouveau-né dont le poids de naissance ou la taille se situe dans la fourchette inférieure de la distribution normale pour l'âge gestationnel correspondant), un faible score d'Apgar et une microcéphalie.
  • +Dans une population pédiatrique ayant été exposée in utero, aucun risque accru de trouble du déficit de l'attention avec ou sans hyperactivité (TDAH), de trouble du spectre de l'autisme (TSA) et de déficience intellectuelle n'a été mis en évidence au cours de l'étude.
  • +Des études effectuées chez l'animal ont montré une toxicité sur la reproduction (voir «Données précliniques»). En conséquence, la prégabaline ne doit pas être administrée pendant la grossesse, sauf si le bénéfice pour la mère l'emporte clairement sur les risques potentiels pour le fœtus. Les femmes en âge de procréer doivent utiliser une méthode de contraception efficace pendant le traitement.
  • -La prégabaline passe dans le lait maternel (voir données sous «Pharmacocinétique»). La sécurité demploi de la prégabaline chez les nourrissons est inconnue, il est donc recommandé de ne pas allaiter pendant le traitement. Tenant compte de lutilité de lallaitement pour lenfant dune part et la nécessité et des bénéfices du traitement pour la mère dautre part, on décidera soit de larrêt de lallaitement soit de linterruption du traitement pendant lallaitement.
  • +La prégabaline passe dans le lait maternel (voir données sous «Pharmacocinétique»). La sécurité d'emploi de la prégabaline chez les nourrissons est inconnue, il est donc recommandé de ne pas allaiter pendant le traitement. Tenant compte de l'utilité de l'allaitement pour l'enfant d'une part et la nécessité et des bénéfices du traitement pour la mère d'autre part, on décidera soit de l'arrêt de l'allaitement soit de l'interruption du traitement pendant l'allaitement.
  • -La prégabaline peut induire des étourdissements et une somnolence. Il est donc conseillé aux patients de ne pas conduire, de ne pas utiliser de machines complexes ni dentreprendre dautres activités potentiellement dangereuses tant quils ignorent si ce médicament altère leur capacité à effectuer ces activités.
  • +La prégabaline peut induire des étourdissements et une somnolence. Il est donc conseillé aux patients de ne pas conduire, de ne pas utiliser de machines complexes ni d'entreprendre d'autres activités potentiellement dangereuses tant qu'ils ignorent si ce médicament altère leur capacité à effectuer ces activités.
  • -Les effets indésirables suivants proviennent détudes cliniques portant sur plus de 8000 patients. Les effets indésirables les plus fréquemment rapportés ont été les étourdissements et la somnolence. La sévérité des effets indésirables était en règle générale légère à modérée. Le taux darrêt du traitement en raison deffets indésirables dans toutes les études contrôlées se situe à 13% chez les patients sous prégabaline et à 7% chez les patients sous placebo. Les effets indésirables les plus fréquemment rapportés ayant entraîné larrêt du traitement par la prégabaline étaient les étourdissements et la somnolence.
  • -Dans les études contrôlées réalisées sur 5-12 semaines, une augmentation pondérale dau moins 7% du poids corporel a été observée chez 5.2% des patients diabétiques traités par la prégabaline.
  • +Les effets indésirables suivants proviennent d'études cliniques portant sur plus de 8000 patients. Les effets indésirables les plus fréquemment rapportés ont été les étourdissements et la somnolence. La sévérité des effets indésirables était en règle générale légère à modérée. Le taux d'arrêt du traitement en raison d'effets indésirables dans toutes les études contrôlées se situe à 13% chez les patients sous prégabaline et à 7% chez les patients sous placebo. Les effets indésirables les plus fréquemment rapportés ayant entraîné l'arrêt du traitement par la prégabaline étaient les étourdissements et la somnolence.
  • +Dans les études contrôlées réalisées sur 5-12 semaines, une augmentation pondérale d'au moins 7% du poids corporel a été observée chez 5.2% des patients diabétiques traités par la prégabaline.
  • -Après interruption dun traitement à court ou à long terme par la prégabaline, des symptômes de sevrage ont été observés chez certains patients. Les événements suivants ont été rapportés: troubles du sommeil, céphalées, nausées, diarrhée, symptômes de type grippal, nervosité, dépression, douleurs, sudation et étourdissements, lesquels peuvent également être interprétés comme une dépendance physique. Le patient doit être informé en début de traitement de ce phénomène.
  • -On ne possède pas de données sur la fréquence et la sévérité des symptômes de sevrage observés en fonction de la durée de traitement et de la dose administrée après arrêt dun traitement prolongé par la prégabaline.
  • -La liste ci-dessous énumère les effets indésirables apparus dans le programme détudes cliniques, indépendamment de leur cause, classés par système dorgane et par fréquence (très fréquents (≥1/10), fréquents (≥1/100 et <1/10), occasionnels (≥1/1000 et <1/100), rares (<1/1000)).
  • -«Expérience post-marketing»: les données issues de lexpérience post-marketing décrivent les effets secondaires notifiés spontanément, décrits dans la littérature et notifiés par les autorités à travers le monde. Lexpérience post-marketing enregistre des événements indésirables et inattendus, qui, indépendamment de leur causalité, sont survenus après la prise de Lyrica.
  • +Après interruption d'un traitement à court ou à long terme par la prégabaline, des symptômes de sevrage ont été observés chez certains patients. Les événements suivants ont été rapportés: troubles du sommeil, céphalées, nausées, diarrhée, symptômes de type grippal, nervosité, dépression, douleurs, sudation et étourdissements, lesquels peuvent également être interprétés comme une dépendance physique. Le patient doit être informé en début de traitement de ce phénomène.
  • +On ne possède pas de données sur la fréquence et la sévérité des symptômes de sevrage observés en fonction de la durée de traitement et de la dose administrée après arrêt d'un traitement prolongé par la prégabaline.
  • +La liste ci-dessous énumère les effets indésirables apparus dans le programme d'études cliniques, indépendamment de leur cause, classés par système d'organe et par fréquence (très fréquents (≥1/10), fréquents (≥1/100 à <1/10), occasionnels (≥1/1000 à <1/100), rares (<1/1000)).
  • +«Expérience post-marketing»: les données issues de l'expérience post-marketing décrivent les effets secondaires notifiés spontanément, décrits dans la littérature et notifiés par les autorités à travers le monde. L'expérience post-marketing enregistre des événements indésirables et inattendus, qui, indépendamment de leur causalité, sont survenus après la prise de prégabaline.
  • -Infections
  • +Infections et infestations
  • -Circulation sanguine et lymphatique
  • +Affections hématologiques et du système lymphatique
  • -Système immunitaire
  • +Affections du système immunitaire
  • -Fréquent: augmentation de lappétit.
  • +Fréquent: augmentation de l'appétit.
  • -Troubles psychiatriques
  • +Affections psychiatriques
  • -Système nerveux
  • +Affections du système nerveux
  • -Fréquents: ataxie, troubles de la coordination, tremblements, dysarthrie, amnésie, troubles de la mémoire, troubles de lattention, paresthésies, hypoesthésies, sédation, troubles de léquilibre, léthargie.
  • -Occasionnels: syncopes, myoclonies, hyperactivité psychomotrice, dyskinésie, vertige orthostatique, tremblement intentionnel, nystagmus, troubles cognitifs, troubles de lélocution, diminution des réflexes, hyperesthésies, sensation de brûlure.
  • +Fréquents: ataxie, troubles de la coordination, tremblements, dysarthrie, amnésie, troubles de la mémoire, troubles de l'attention, paresthésies, hypoesthésies, sédation, troubles de l'équilibre, léthargie.
  • +Occasionnels: syncopes, myoclonies, hyperactivité psychomotrice, dyskinésie, vertige orthostatique, tremblement intentionnel, nystagmus, troubles cognitifs, troubles de l'élocution, diminution des réflexes, hyperesthésies, sensation de brûlure.
  • -Expérience post-marketing: Très fréquents: céphalées. Occasionnels: perte de conscience, altération de létat psychique.
  • -Troubles oculaires
  • +Expérience post-marketing: Très fréquents: céphalées. Occasionnels: perte de conscience, altération de l'état psychique.
  • +Affections oculaires
  • -Occasionnels: perte de la vision périphérique (vision «en tunnel»), troubles de la vision, gonflement oculaire, pertes de champ visuel, diminution de lacuité visuelle, douleurs oculaires, amblyopie, photopsie, xérophtalmie, larmoiement, irritations oculaires.
  • +Occasionnels: perte de la vision périphérique (vision «en tunnel»), troubles de la vision, gonflement oculaire, pertes de champ visuel, diminution de l'acuité visuelle, douleurs oculaires, amblyopie, photopsie, xérophtalmie, larmoiement, irritations oculaires.
  • -Oreille et conduit auditif
  • +Affections de l'oreille et du labyrinthe
  • -Troubles cardiaques
  • +Affections cardiaques
  • -Troubles vasculaires
  • +Affections vasculaires
  • -Organes respiratoires
  • +Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales
  • -Troubles gastro-intestinaux
  • +Affections gastro-intestinales
  • -Troubles cutanés et des tissus sous-cutanés
  • +Affections de la peau et du tissu sous-cutané
  • -Expérience post-marketing: Occasionnels: tuméfaction du visage, prurit, cas de syndrome de Stevens-Johnson.
  • -Troubles musculosquelettiques
  • +Expérience post-marketing: Occasionnels: tuméfaction du visage, prurit. Cas de syndrome de Stevens-Johnson.
  • +Affections musculosquelettiques et du tissu conjonctif
  • -Troubles rénaux et urinaires
  • +Affections du rein et des voies urinaires
  • -Troubles des organes de reproduction et des seins
  • +Affections des organes de reproduction et du sein
  • -Troubles généraux
  • -Fréquents: œdèmes périphériques, œdèmes, chutes, troubles de la marche, sensation débriété, trouble sensoriel, épuisement.
  • -Occasionnels: œdèmes généralisés, sensation doppression thoracique, douleurs, fièvre, soif, frissons, asthénie.
  • +Troubles généraux et anomalies au site d'administration
  • +Fréquents: œdèmes périphériques, œdèmes, chutes, troubles de la marche, sensation d'ébriété, trouble sensoriel, épuisement.
  • +Occasionnels: œdèmes généralisés, sensation d'oppression thoracique, douleurs, fièvre, soif, frissons, asthénie.
  • -Occasionnels: élévations de la créatine phosphokinase, de lalanine-aminotransférase et de laspartate-aminotransférase; diminution du nombre de plaquettes, hypokaliémie, perte de poids.
  • +Occasionnels: élévations de la créatine phosphokinase, de l'alanine-aminotransférase et de l'aspartate-aminotransférase; diminution du nombre de plaquettes, hypokaliémie, perte de poids.
  • +L'annonce d'effets secondaires présumés après l'autorisation est d'une grande importance. Elle permet un suivi continu du rapport bénéfice-risque du médicament. Les professionnels de santé sont tenus de déclarer toute suspicion d'effet secondaire nouveau ou grave via le portail d'annonce en ligne ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet sur www.swissmedic.ch.
  • +
  • -Lors de surdosages (1.7 g jusquà 15 g), aucun événement indésirable inattendu na été rapporté.
  • -Les effets indésirables les plus fréquemment rapportés dans lexpérience post-marketing lorsque la prégabaline a été prise à doses trop élevées regroupent troubles affectifs, somnolence, états confusionnels, dépression, besoin de bouger et agitation. De rares cas de coma ont été rapportés. Des crises convulsives ont également été rapportées.
  • -Le traitement dun surdosage de prégabaline comprendra des mesures générales de soutien et une hémodialyse si nécessaire.
  • +Lors de surdosages (1.7 g jusqu'à 15 g), aucun événement indésirable inattendu n'a été rapporté.
  • +Signes et symptômes
  • +Les effets indésirables les plus fréquemment rapportés dans l'expérience post-marketing lorsque la prégabaline a été prise à doses trop élevées regroupent troubles affectifs, somnolence, états confusionnels, dépression, besoin de bouger et agitation. De rares cas de coma ont été rapportés. Des crises convulsives ont également été rapportées.
  • +Traitement
  • +Le traitement d'un surdosage de prégabaline comprendra des mesures générales de soutien et une hémodialyse si nécessaire.
  • -Code ATC: N03AX16
  • -La substance active prégabaline est un analogue de lacide gamma-aminobutyrique (GABA) répondant à la dénomination chimique (S)-3-(aminométhyl)-5-acide méthylhexanoïque.
  • -Mécanisme d’action
  • -Les études réalisées in vitro ont montré que la prégabaline se lie à une sous unité (protéine α2δ) du canal calcique voltage-dépendant dans le système nerveux central et déloge ainsi effectivement la [³H]-gabapentine. Bien que le mécanisme daction précis ne soit pas encore élucidé, on a pu montrer que la prégabaline diminue la libération de différents neurotransmetteurs y compris le glutamate, la noradrénaline et la substance P, réduisant ainsi lirritabilité neuronale dans le système nerveux central.
  • +Code ATC
  • +N03AX16
  • +Mécanisme d'action
  • +La substance active prégabaline est un analogue de l'acide gamma-aminobutyrique (GABA) répondant à la dénomination chimique (S)-3-(aminométhyl)-5-acide méthylhexanoïque.
  • +Pharmacodynamique
  • +Les études réalisées in vitro ont montré que la prégabaline se lie à une sous unité (protéine α2δ) du canal calcique voltage-dépendant dans le système nerveux central et déloge ainsi effectivement la [³H]-gabapentine. Bien que le mécanisme d'action précis ne soit pas encore élucidé, on a pu montrer que la prégabaline diminue la libération de différents neurotransmetteurs y compris le glutamate, la noradrénaline et la substance P, réduisant ainsi l'irritabilité neuronale dans le système nerveux central.
  • -Expériences cliniques
  • +Efficacité clinique
  • -Lefficacité de la prégabaline a été évaluée dans le traitement des douleurs neuropathiques dans 12 études multicentriques réalisées en double aveugle et contrôlées contre placebo dune durée allant jusquà 13 semaines avec une administration 2 fois par jour, ou jusquà 8 semaines avec une administration 3 fois par jour. Au total, 2'912 patients ont été inclus dans les 12 études. Les études incluaient des patients qui présentaient des douleurs dintensité modérée à forte.
  • -Dans les études cliniques sur les polyneuropathies diabétiques allant jusquà 13 semaines, le critère de jugement moyen sur léchelle de la douleur sest amélioré significativement par rapport au placebo de –1.3 à –1.5 avec 300 mg/j et de –1.0 à –1.5 avec 600 mg/j. Une baisse significative des douleurs par rapport au placebo a été établie au cours de la première semaine et sest maintenue pendant toute la durée du traitement. Le taux de sujets répondeurs (baisse de 50% sur léchelle de la douleur) atteignait 33–46% pour une dose de 300 mg/j et 39–48% pour une dose de 600 mg/j comparé à 15–30% sous placebo.
  • -Dans les études cliniques sur la névralgie post-herpétique pendant 13 semaines, le critère de jugement moyen sur léchelle de la douleur sest amélioré significativement par rapport au placebo de –0.9 à –1.2 avec 150 mg/j, de –1.1 à –1.6 avec 300 mg/j et de –1.7 à –1.8 avec 600 mg/j. Une baisse significative des douleurs par rapport au placebo a été mise en évidence au cours de la première semaine et sest maintenue pendant toute la durée du traitement. Le taux de sujets répondeurs (baisse de 50% sur léchelle de la douleur) atteignait 22–26% pour une dose de 150 mg/j, 26–28% pour une dose de 300 mg/j et 38–50% pour une dose de 600 mg/j comparé à 9–20% sous placebo.
  • -Dans une étude clinique sur des lésions de la moelle épinière menée sur 12 semaines, le critère de jugement moyen sur léchelle de la douleur sest amélioré significativement par rapport au placebo de –1.53 sur léchelle numérique dévaluation de la douleur, qui compte 11 points. Le taux de sujets répondeurs (baisse de 50% sur léchelle de la douleur) atteignait 22% chez les patients traités par la prégabaline, comparé à 7% chez les patients sous placebo.
  • +L'efficacité de la prégabaline a été évaluée dans le traitement des douleurs neuropathiques dans 12 études multicentriques réalisées en double aveugle et contrôlées contre placebo d'une durée allant jusqu'à 13 semaines avec une administration 2 fois par jour, ou jusqu'à 8 semaines avec une administration 3 fois par jour. Au total, 2'912 patients ont été inclus dans les 12 études. Les études incluaient des patients qui présentaient des douleurs d'intensité modérée à forte.
  • +Dans les études cliniques sur les polyneuropathies diabétiques allant jusqu'à 13 semaines, le critère de jugement moyen sur l'échelle de la douleur s'est amélioré significativement par rapport au placebo de –1.3 à –1.5 avec 300 mg/j et de –1.0 à –1.5 avec 600 mg/j. Une baisse significative des douleurs par rapport au placebo a été établie au cours de la première semaine et s'est maintenue pendant toute la durée du traitement. Le taux de sujets répondeurs (baisse de 50% sur l'échelle de la douleur) atteignait 33–46% pour une dose de 300 mg/j et 39–48% pour une dose de 600 mg/j comparé à 15–30% sous placebo.
  • +Dans les études cliniques sur la névralgie post-herpétique pendant 13 semaines, le critère de jugement moyen sur l'échelle de la douleur s'est amélioré significativement par rapport au placebo de –0.9 à –1.2 avec 150 mg/j, de –1.1 à –1.6 avec 300 mg/j et de –1.7 à –1.8 avec 600 mg/j. Une baisse significative des douleurs par rapport au placebo a été mise en évidence au cours de la première semaine et s'est maintenue pendant toute la durée du traitement. Le taux de sujets répondeurs (baisse de 50% sur l'échelle de la douleur) atteignait 22–26% pour une dose de 150 mg/j, 26–28% pour une dose de 300 mg/j et 38–50% pour une dose de 600 mg/j comparé à 9–20% sous placebo.
  • +Dans une étude clinique sur des lésions de la moelle épinière menée sur 12 semaines, le critère de jugement moyen sur l'échelle de la douleur s'est amélioré significativement par rapport au placebo de –1.53 sur l'échelle numérique d'évaluation de la douleur, qui compte 11 points. Le taux de sujets répondeurs (baisse de 50% sur l'échelle de la douleur) atteignait 22% chez les patients traités par la prégabaline, comparé à 7% chez les patients sous placebo.
  • -Lefficacité de la prégabaline comme traitement adjuvant a été évaluée dans trois études multicentriques, randomisées, menées en double aveugle et contrôlées contre placebo dune durée de 12 semaines chez 1052 patients traités par une posologie répartie en deux et/ou en trois prises quotidiennes. Les patients présentaient des crises réfractaires partielles avec ou sans généralisation secondaire ainsi quinitialement une fréquence moyenne de crises entre 19 et 27 crises et une fréquence médiane de crises entre 9 et 12 crises en 28 jours.
  • -Lefficacité de la prégabaline dans lépilepsie a été démontrée dans toutes les études par la réduction du nombre de crises par rapport au placebo. Les patients répondeurs étaient ceux qui ont vu la fréquence de leurs crises partielles réduite de ≥50% pendant le traitement par rapport à la fréquence initiale. Les taux des répondeurs étaient de 14 à 31% avec 150 mg/j, de 40% avec 300 mg/j et de 43 à 51% avec 600 mg/j comparé à 6–14% sous placebo, ce qui indique un effet dose-dépendant.
  • +L'efficacité de la prégabaline comme traitement adjuvant a été évaluée dans trois études multicentriques, randomisées, menées en double aveugle et contrôlées contre placebo d'une durée de 12 semaines chez 1052 patients traités par une posologie répartie en deux et/ou en trois prises quotidiennes. Les patients présentaient des crises réfractaires partielles avec ou sans généralisation secondaire ainsi qu'initialement une fréquence moyenne de crises entre 19 et 27 crises et une fréquence médiane de crises entre 9 et 12 crises en 28 jours.
  • +L'efficacité de la prégabaline dans l'épilepsie a été démontrée dans toutes les études par la réduction du nombre de crises par rapport au placebo. Les patients répondeurs étaient ceux qui ont vu la fréquence de leurs crises partielles réduite de ≥50% pendant le traitement par rapport à la fréquence initiale. Les taux des répondeurs étaient de 14 à 31% avec 150 mg/j, de 40% avec 300 mg/j et de 43 à 51% avec 600 mg/j comparé à 6–14% sous placebo, ce qui indique un effet dose-dépendant.
  • -La prégabaline a été évaluée au cours de six études contrôlées portant sur une durée de 4–6 semaines, une étude de 8 semaines chez des patients âgés ainsi quune étude à long terme sur la prévention des rechutes avec une phase de prévention des rechutes en double aveugle de 6 mois.
  • -Une amélioration des symptômes des troubles anxieux généralisés sur la base de léchelle de Hamilton (Hamilton Anxiety Rating Scale, HAM-A) a été observée pendant la première semaine.
  • -Dans les études cliniques contrôlées portant sur une période de 4–8 semaines, 52% des patients traités par la prégabaline et 38% des patients sous placebo ont présenté une amélioration dau moins 50% du score global HAM-A par rapport aux valeurs initiales.
  • +La prégabaline a été évaluée au cours de six études contrôlées portant sur une durée de 4–6 semaines, une étude de 8 semaines chez des patients âgés ainsi qu'une étude à long terme sur la prévention des rechutes avec une phase de prévention des rechutes en double aveugle de 6 mois.
  • +Une amélioration des symptômes des troubles anxieux généralisés sur la base de l'échelle de Hamilton (Hamilton Anxiety Rating Scale, HAM-A) a été observée pendant la première semaine.
  • +Dans les études cliniques contrôlées portant sur une période de 4–8 semaines, 52% des patients traités par la prégabaline et 38% des patients sous placebo ont présenté une amélioration d'au moins 50% du score global HAM-A par rapport aux valeurs initiales.
  • -Les caractéristiques pharmacocinétiques à létat déquilibre de la prégabaline sont similaires chez les volontaires sains, chez les patients épileptiques recevant des médicaments antiépileptiques ainsi que chez les patients souffrant de douleurs chroniques.
  • +Les caractéristiques pharmacocinétiques à l'état d'équilibre de la prégabaline sont similaires chez les volontaires sains, chez les patients épileptiques recevant des médicaments antiépileptiques ainsi que chez les patients souffrant de douleurs chroniques.
  • -La prégabaline est rapidement absorbée lorsquelle est administrée à jeun. Les pics plasmatiques sont atteints dans lheure suivant ladministration dune dose unique ou de doses multiples. La biodisponibilité orale de la prégabaline est estimée à ≥90% et est indépendante de la dose. Après administration répétée du produit, létat déquilibre est atteint dans un délai de 24 à 48 heures. Le taux dabsorption de la prégabaline diminue lorsque le médicament est administré pendant un repas, entraînant une diminution de la Cmax de 25–30% environ et un retard du tmax de 2.5 heures environ. Toutefois, ladministration de la prégabaline au cours du repas na aucun effet cliniquement significatif sur son taux global dabsorption.
  • +La prégabaline est rapidement absorbée lorsqu'elle est administrée à jeun. Les pics plasmatiques sont atteints dans l'heure suivant l'administration d'une dose unique ou de doses multiples. La biodisponibilité orale de la prégabaline est estimée à ≥90% et est indépendante de la dose. Après administration répétée du produit, l'état d'équilibre est atteint dans un délai de 24 à 48 heures. Le taux d'absorption de la prégabaline diminue lorsque le médicament est administré pendant un repas, entraînant une diminution de la Cmax de 25–30% environ et un retard du tmax de 2.5 heures environ. Toutefois, l'administration de la prégabaline au cours du repas n'a aucun effet cliniquement significatif sur son taux global d'absorption.
  • -Les études précliniques ont montré que la prégabaline traverse rapidement la barrière hémato-encéphalique chez la souris, le rat et le singe. La prégabaline traverse le placenta chez la rate et est présente dans le lait des rates allaitantes. Chez lêtre humain, le volume de distribution après administration orale est de 0.56 l/kg environ. La prégabaline ne se lie pas aux protéines plasmatiques.
  • +Les études précliniques ont montré que la prégabaline traverse rapidement la barrière hémato-encéphalique chez la souris, le rat et le singe. La prégabaline traverse le placenta chez la rate et est présente dans le lait des rates allaitantes. Chez l'être humain, le volume de distribution après administration orale est de 0.56 l/kg environ. La prégabaline ne se lie pas aux protéines plasmatiques.
  • -La prégabaline est métabolisée de manière insignifiante chez lêtre humain. Après administration dune dose de prégabaline radiomarquée, environ 98% se trouvent dans lurine sous forme inchangée. Le dérivé N-méthylé, le principal métabolite de la prégabaline retrouvé dans lurine, représente 0.9% de la dose. Aucun signe de racémisation de lénantiomère S de la prégabaline en énantiomère R na été mis en évidence dans les études précliniques.
  • +La prégabaline est métabolisée de manière insignifiante chez l'être humain. Après administration d'une dose de prégabaline radiomarquée, environ 98% se trouvent dans l'urine sous forme inchangée. Le dérivé N-méthylé, le principal métabolite de la prégabaline retrouvé dans l'urine, représente 0.9% de la dose. Aucun signe de racémisation de l'énantiomère S de la prégabaline en énantiomère R n'a été mis en évidence dans les études précliniques.
  • -La demi-vie délimination de la prégabaline est de 6.3 heures en moyenne. La clairance plasmatique et la clairance rénale de la prégabaline sont directement proportionnelles à la clairance de la créatinine (voir «Cinétique pour certains groupes de patients», Troubles de la fonction rénale).
  • -Ladaptation de la dose de prégabaline est nécessaire chez les patients présentant une insuffisance rénale (voir «Posologie/Mode demploi», tableau 1).
  • +La demi-vie d'élimination de la prégabaline est de 6.3 heures en moyenne. La clairance plasmatique et la clairance rénale de la prégabaline sont directement proportionnelles à la clairance de la créatinine (voir «Cinétique pour certains groupes de patients», Troubles de la fonction rénale).
  • +L'adaptation de la dose de prégabaline est nécessaire chez les patients présentant une insuffisance rénale (voir «Posologie/Mode d'emploi», tableau 1).
  • -La prégabaline présente une pharmacocinétique linéaire aux doses journalières recommandées. La variabilité pharmacocinétique interindividuelle observée avec la prégabaline est faible (<20%). Les paramètres de pharmacocinétique après dose multiple sont extrapolables à partir de ceux obtenus lors de ladministration dune dose unique.
  • +La prégabaline présente une pharmacocinétique linéaire aux doses journalières recommandées. La variabilité pharmacocinétique interindividuelle observée avec la prégabaline est faible (<20%). Les paramètres de pharmacocinétique après dose multiple sont extrapolables à partir de ceux obtenus lors de l'administration d'une dose unique.
  • -Les études cliniques ont montré que le sexe na aucune influence cliniquement significative sur les concentrations plasmatiques de prégabaline.
  • +Les études cliniques ont montré que le sexe n'a aucune influence cliniquement significative sur les concentrations plasmatiques de prégabaline.
  • -Aucune étude pharmacocinétique spécifique na été menée chez les patients présentant une insuffisance hépatique. Parce que la prégabaline nest quasiment pas métabolisée et quelle est essentiellement excrétée sous forme inchangée dans lurine, une insuffisance hépatique ne devrait pas modifier significativement les concentrations plasmatiques de prégabaline. Il faut cependant noter que la sécurité demploi de la prégabaline na pas été étudiée chez les patients qui présentent des troubles de la fonction hépatique.
  • -Troubles des la fonction rénale
  • -La clairance de la prégabaline est directement proportionnelle à la clairance de la créatinine. Ladministration de la moitié de la dose est indiquée chez les patients qui présentent une insuffisance rénale modérée (voir «Posologie/Mode demploi», tableau 1).
  • +Aucune étude pharmacocinétique spécifique n'a été menée chez les patients présentant une insuffisance hépatique. Parce que la prégabaline n'est quasiment pas métabolisée et qu'elle est essentiellement excrétée sous forme inchangée dans l'urine, une insuffisance hépatique ne devrait pas modifier significativement les concentrations plasmatiques de prégabaline. Il faut cependant noter que la sécurité d'emploi de la prégabaline n'a pas été étudiée chez les patients qui présentent des troubles de la fonction hépatique.
  • +Troubles de la fonction rénale
  • +La clairance de la prégabaline est directement proportionnelle à la clairance de la créatinine. L'administration de la moitié de la dose est indiquée chez les patients qui présentent une insuffisance rénale modérée (voir «Posologie/Mode d'emploi», tableau 1).
  • -La clairance de la prégabaline tend à diminuer avec lâge. Cette diminution de la clairance orale de la prégabaline correspond à la diminution de la clairance de la créatinine liée à lâge. Une réduction de la dose de prégabaline peut savérer nécessaire chez les patients qui présentent une diminution de la fonction rénale due à lâge (voir «Posologie/Mode demploi», tableau 1).
  • +La clairance de la prégabaline tend à diminuer avec l'âge. Cette diminution de la clairance orale de la prégabaline correspond à la diminution de la clairance de la créatinine liée à l'âge. Une réduction de la dose de prégabaline peut s'avérer nécessaire chez les patients qui présentent une diminution de la fonction rénale due à l'âge (voir «Posologie/Mode d'emploi», tableau 1).
  • -La pharmacocinétique de 300 mg de prégabaline par jour (150 mg toutes les 12 heures) a été étudiée chez 10 femmes qui allaitent (≥12 semaines post-partum). La lactation na eu quun effet minime ou nul sur la pharmacocinétique de la prégabaline. Dans le lait, la concentration moyenne à létat déquilibre représentait environ 76% de la concentration plasmatique maternelle. La dose de prégabaline quotidienne moyenne estimée chez le nourrisson (en partant dune consommation de lait moyenne de 150 ml/kg/j était de 0.31 mg/kg/j, ce qui représente, en se basant sur les mg/kg, environ 7% de la dose maternelle.
  • +La pharmacocinétique de 300 mg de prégabaline par jour (150 mg toutes les 12 heures) a été étudiée chez 10 femmes qui allaitent (≥12 semaines post-partum). La lactation n'a eu qu'un effet minime ou nul sur la pharmacocinétique de la prégabaline. Dans le lait, la concentration moyenne à l'état d'équilibre représentait environ 76% de la concentration plasmatique maternelle. La dose de prégabaline quotidienne moyenne estimée chez le nourrisson (en partant d'une consommation de lait moyenne de 150 ml/kg/j) était de 0.31 mg/kg/j, ce qui représente, en se basant sur les mg/kg, environ 7% de la dose maternelle.
  • -La prégabaline ne sest pas révélée tératogène chez la souris, le rat et le lapin. Une toxicité fœtale chez le rat et le lapin est uniquement apparue lors dexposition à des doses largement supérieures à celles administrées chez lêtre humain. Dans les études de toxicité pré- et postnatales effectuées chez le rat, la prégabaline a induit une toxicité sur le développement de la descendance à des expositions 5 fois supérieures à la dose maximale recommandée chez lêtre humain.
  • -La prégabaline nest pas génotoxique comme le montrent les résultats dune batterie de tests in vitro et in vivo.
  • -Les résultats obtenus lors dune étude réalisée chez le rat permettent de déduire que la prégabaline ne présente aucun risque deffets cancérigènes pour lespèce humaine. La pertinence des hémangiosarcomes observés chez la souris ne peut actuellement être déterminée de façon concluante pour lêtre humain.
  • +La prégabaline ne s'est pas révélée tératogène chez la souris, le rat et le lapin. Une toxicité fœtale chez le rat et le lapin est uniquement apparue lors d'exposition à des doses largement supérieures à celles administrées chez l'être humain. Dans les études de toxicité pré- et postnatales effectuées chez le rat, la prégabaline a induit une toxicité sur le développement de la descendance à des expositions 5 fois supérieures à la dose maximale recommandée chez l'être humain.
  • +La prégabaline n'est pas génotoxique comme le montrent les résultats d'une batterie de tests in vitro et in vivo.
  • +Les résultats obtenus lors d'une étude réalisée chez le rat permettent de déduire que la prégabaline ne présente aucun risque d'effets cancérigènes pour l'espèce humaine. La pertinence des hémangiosarcomes observés chez la souris ne peut actuellement être déterminée de façon concluante pour l'être humain.
  • -Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur lemballage.
  • -Remarques concernant le stockage
  • +Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l'emballage.
  • +Remarques particulières concernant le stockage
  • -Pregabalin Zentiva 25 mg: 14, 56 gélules. [B]
  • -Pregabalin Zentiva 50 mg: 14, 84 gélules. [B]
  • -Pregabalin Zentiva 75 mg: 14, 56 gélules. [B]
  • -Pregabalin Zentiva 100 mg: 84 gélules. [B]
  • -Pregabalin Zentiva 150 mg: 56, 168 gélules. [B]
  • -Pregabalin Zentiva 200 mg: 84 gélules. [B]
  • -Pregabalin Zentiva 300 mg: 56 et 168 gélules. [B]
  • +Pregabalin Zentiva 25 mg: 14, 56 capsules. [B]
  • +Pregabalin Zentiva 50 mg: 14, 84 capsules. [B]
  • +Pregabalin Zentiva 75 mg: 14, 56 capsules. [B]
  • +Pregabalin Zentiva 100 mg: 84 capsules. [B]
  • +Pregabalin Zentiva 150 mg: 56, 168 capsules. [B]
  • +Pregabalin Zentiva 200 mg: 84 capsules. [B]
  • +Pregabalin Zentiva 300 mg: 56 et 168 capsules. [B]
  • -Novembre 2019.
  • +Octobre 2022.
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