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Accueil - Information professionnelle sur Enstilar - Changements - 08.12.2021
36 Changements de l'information professionelle Enstilar
  • -Calcipotriol sous forme de monhydrate de calcipotriol et bétaméthasone sous forme de dipropionate de bétamethasone.
  • +Calcipotriol sous forme de monohydrate de calcipotriol et bétaméthasone sous forme de dipropionate de bétamethasone.
  • -Le traitement par Enstilar ne devrait pas durer plus de 4 semaines. Il n'existe pas de données suffisantes sur l'efficacité et la sécurité pendant une période prolongée ou sur l'utilisation répétée à la posologie proposée.
  • -
  • +La durée recommandée de traitement par Enstilar est de 4 semaines.
  • +En cas de réponse clinique au traitement initial par Enstilar et de récidive des lésions psoriasiques après la fin du traitement, le traitement par Enstilar peut être répété. Voir «Propriétés/Effets».
  • +Dose maximale
  • +
  • -Étant donné qu'Enstilar contient du calcipotriol, son utilisation est contre-indiquée chez les patients présentant des troubles avérés du métabolisme calcique.
  • -En outre, comme Enstilar contient un corticostéroïde, son utilisation est également contre-indiquée en cas d'affections virales de la peau (p.ex. herpes ou varicelle) et d'infections dues à des champignons, des bactéries et des parasites, lors de manifestations cutanées liées à la tuberculose ou la syphilis, de dermatite périorale, d'atrophie cutanée, de vergetures, en cas de fragilité accrue du réseau cutané veineux, d'ichthyose, d'acné vulgaire, d'acné rosacée, de rosacée, d'ulcérations cutanées, de plaies et de prurit périanal et génital (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +Étant donné qu'Enstilar contient du calcipotriol, son utilisation est contre-indiquée chez les patients présentant des troubles avérés du métabolisme calcique (voir «Mises en garde et précautions»). En outre, comme Enstilar contient un corticostéroïde, son utilisation est également contre-indiquée en cas d'affections virales de la peau (p.ex. herpes ou varicelle) et d'infections dues à des champignons, des bactéries et des parasites, lors de manifestations cutanées liées à la tuberculose ou la syphilis, de dermatite périorale, d'atrophie cutanée, de vergetures, en cas de fragilité accrue du réseau cutané veineux, d'ichthyose, d'acné vulgaire, d'acné rosacée, de rosacée, d'ulcérations cutanées, de plaies et de prurit périanal et génital (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +Application correcte
  • +Troubles visuels:
  • +Des troubles visuels peuvent apparaitre lors d'une corticothérapie par voie systémique ou locale. Si un patient présente des symptômes tels qu'une vision floue ou d'autres troubles visuels, il faut envisager de l'adresser à un ophtalmologiste pour une évaluation des causes possibles; celles-ci comprennent, sans s'y limiter, la cataracte, le glaucome ou des affections rares telles que la choriorétinopathie séreuse centrale (CSC) qui ont été signalées après l'utilisation de corticostéroïdes par voie systémiques ou topiques.
  • +
  • -Parce que l'acide salicylique inactive rapidement le calcipotriol, Enstilar mousse ne doit pas être mélangé avec des préparations contenant de l'acide salicylique. En revanche l'action de la bétaméthasone contenue dans Enstilar n'est cependant pas influencée par l'acide salicylique. L'acide salicylique n'est pas résorbé et reste quelques heures à la surface de la peau de sorte que l'effet du calcipotriol peut diminuer, même en cas d'application différée. Aucune expérience n'est disponible sur les interactions possibles avec d'autres produits antipsoriasiques.
  • +Parce que l'acide salicylique inactive rapidement le calcipotriol, Enstilar mousse ne doit pas être mélangé avec des préparations contenant de l'acide salicylique. En revanche l'action de la bétaméthasone contenue dans Enstilar n'est cependant pas influencée par l'acide salicylique. L'acide salicylique n'est pas résorbé et reste quelques heures à la surface de la peau de sorte que l'effet du calcipotriol peut diminuer, même en cas d'application différée. Aucune expérience n'est disponible sur les interactions possibles avec d'autres produits antipsoriatiques.
  • -Il n'existe pas de données suffisantes concernant l'application d'Enstilar chez la femme enceinte. Les études chez l'animal après administration orale de calcipotriol n'ont pas mis en évidence d'effets tératogènes, bien qu'une toxicité sur la reproduction ait été mise en évidence (voir «Données précliniques»).
  • -Les études chez l'animal ont montré en effet que les glucocorticoïdes présentaient une toxicité sur la reproduction, mais plusieurs études épidémiologiques (moins de 300 grossesses) n'ont trouvé aucun indice suggérant des malformations congénitales chez les enfants dont la mère avait été traitée par des corticostéroïdes. On n'a pas connaissance d'un risque potentiel chez la femme. Enstilar ne devrait par conséquent pas être utilisé pendant la grossesse, sauf en cas de nécessité absolue.
  • +Il n'existe pas de données suffisantes concernant l'application d'Enstilar chez la femme enceinte. Les études chez l'animal après administration orale de calcipotriol n'ont pas mis en évidence d'effets tératogènes, bien qu'une toxicité sur la reproduction ait été mise en évidence (voir «Données précliniques»). Les études chez l'animal ont montré en effet que les glucocorticoïdes présentaient une toxicité sur la reproduction, mais plusieurs études épidémiologiques (moins de 300 grossesses) n'ont trouvé aucun indice suggérant des malformations congénitales chez les enfants dont la mère avait été traitée par des corticostéroïdes. On n'a pas connaissance d'un risque potentiel chez la femme. Enstilar mousse ne devrait par conséquent pas être utilisé pendant la grossesse, sauf en cas de nécessité absolue.
  • +Fréquence inconnue ne peut être estimée sur la base des données disponibles
  • +Affections oculaires
  • +Non connu: Vision floue (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +En cas d'utilisation prolongée (voir «Propriétés/Effets»).
  • +Fréquents: Cataractes.
  • +Occasionnels: Choriorétinopathie.
  • +Fréquence inconnue: Modification de la couleur des cheveux (pour les produits combinés avec le calcipotriol et la bétaméthasone, un changement temporaire de la couleur des cheveux blancs ou gris au site d'application vers le jaunâtre a été rapporté), érythème au site d'application
  • +
  • -Occasionnels: Effet rebond, douleurs au site d'application, prurit au site d'application, irritation au site d'application.
  • +Occasionnels: Effet rebond, douleurs au site d'application, y compris brûlures au site d'application, prurit au site d'application, irritation au site d'application.
  • +Fréquence inconnue: Érythème au site d'application.
  • +Troubles vasculaires
  • +En cas d'utilisation prolongée (voir «Propriétés/Effets»).
  • +Dans l'étude à long terme LP0053-1004, on a constaté une distribution inégale des événements cardiovasculaires graves lors de l'utilisation régulière d'Enstilar mousse 2x par semaine pendant une période allant jusqu'à 1 an par rapport au traitement intermittent. Une évaluation causale de ces cas n'est pas possible avec certitude.
  • +
  • -Les effets indésirables regroupent réactions au site d'application, prurit, irritations cutanées, sensations de brûlure et de picotements, sècheresse cutanée, érythème, rougeur cutanée, dermatite, eczéma, aggravation du psoriasis, photosensibilité et réactions d'hypersensibilité y compris angio-œdème et œdème au niveau du visage dans des cas très rares. Les effets systémiques observés après utilisation topique sont très rares et se résument à une hypercalcémie ou à une hypercalciurie (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +Les effets indésirables regroupent des réactions au site d'application, prurit, irritations cutanées, brûlure et picotements, sècheresse cutanée, érythème, rougeur cutanée, dermatite, eczéma, aggravation du psoriasis, photosensibilité et réactions d'hypersensibilité y compris angio-œdème et œdème au niveau du visage dans des cas très rares. Les effets systémiques observés après utilisation topique sont très rares et se résument à une hypercalcémie ou à une hypercalciurie (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -Les réactions locales pouvant apparaître après utilisation topique, notamment après une durée de traitement prolongée, regroupent atrophie de la peau, télangiectasies, stries, folliculite, hypertrichose, dermatite périorale, dermatite allergique de contact, dépigmentation, et milium colloïde. Le risque de psoriasis pustuleux généralisé existe lors du traitement du psoriasis avec des corticoïdes topiques.
  • -Les effets indésirables systémiques observés après l'application topique de corticoïdes sont certes rares chez l'adulte, mais elles peuvent être sévères. Une suppression corticosurrénale, une cataracte, des infections, des modifications au niveau du contrôle métabolique d'un diabète sucré et une augmentation de la pression intraoculaire peuvent survenir, notamment après un traitement prolongé. Un effet systémique apparaît plus fréquemment lors d'une application sous occlusion (feuille plastique, plis cutanés), sur de grandes surfaces et lors d'un traitement de longue durée (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +Les réactions locales pouvant apparaître après utilisation topique, notamment après une durée de traitement prolongée, regroupent atrophie de la peau, télangiectasies, stries, folliculite, hypertrichose, dermatite périorale, dermatite allergique de contact, dépigmentation, et milium colloïde. Le risque de psoriasis pustuleux généralisé existe lors du traitement du psoriasis avec des corticoïdes topiques. Les effets indésirables systémiques observés après l'application topique de corticoïdes sont certes rares chez l'adulte, mais elles peuvent être sévères. Une suppression corticosurrénale, une cataracte, des infections, des modifications au niveau du contrôle métabolique d'un diabète sucré et une augmentation de la pression intraoculaire peuvent survenir, notamment après un traitement prolongé. Un effet systémique apparaît plus fréquemment lors d'une application sous occlusion (feuille plastique, plis cutanés), sur de grandes surfaces et lors d'un traitement de longue durée (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -Le dépassement du dosage recommandé susmentionné peut entraîner une élévation du taux de calcium sérique qui revient à la normale à l'arrêt du traitement. Les symptômes de l'hypercalcémie incluent polyurie, constipation, faiblesse musculaire, confusion et coma. Une prolongation excessive de la durée de la corticothérapie locale peut inhiber la fonction hypophyso-surrénale, ce qui entraîne une insuffisance surrénale, normalement réversible. Dans de tels cas, un traitement symptomatique est indiqué. En cas de toxicité chronique, l'arrêt de la corticothérapie doit se faire progressivement.
  • -Un cas de syndrome de Cushing et de psoriasis pustuleux après arrêt brusque du traitement a été rapporté chez un patient souffrant à la base d'un psoriasis érythrodermique extensif traité de manière abusive par 240 g de Daivobet® par semaine (dose maximale: 100 g/semaine, cf. «Posologie/Mode d'emploi» et «Mises en garde et précautions») durant 5 mois.
  • +Le dépassement du dosage recommandé susmentionné peut entraîner une élévation du taux de calcium sérique qui revient à la normale à l'arrêt du traitement. Les symptômes de l'hypercalcémie incluent polyurie, constipation, faiblesse musculaire, confusion et coma. Une prolongation excessive de la durée de la corticothérapie locale peut inhiber la fonction hypophyso-surrénale, ce qui entraîne une insuffisance surrénale, normalement réversible. Dans de tels cas, un traitement symptomatique est indiqué. En cas de toxicité chronique, l'arrêt de la corticothérapie doit se faire progressivement. Un cas de syndrome de Cushing et de psoriasis pustuleux après arrêt brusque du traitement a été rapporté chez un patient souffrant à la base d'un psoriasis érythrodermique extensif traité de manière abusive par 240 g de Daivobet® par semaine (dose maximale: 100 g/semaine, cf. «Posologie/Mode d'emploi» et «Mises en garde et précautions») durant 5 mois.
  • -Enstilar associe les effets pharmacologiques du calcipotriol monohydrate qui est un analogue synthétique de la vitamine D3 et du dipropionate de bétaméthasone, un corticoïde d'origine synthétique.
  • +Enstilar mousse associe les effets pharmacologiques du calcipotriol monohydrate qui est un analogue synthétique de la vitamine D3 et du dipropionate de bétaméthasone, un corticoïde d'origine synthétique.
  • -Dans des conditions d'application maximale, chez des sujets avec un psoriasis étendu sur le corps ou le cuir chevelu ayant été traités jusqu'à 4 semaines, la réponse surrénalienne à l'ACTH (adrénocorticotrophine) a été déterminée par la mesure du taux de cortisone. Aucun des 35 sujets ne présentait de réduction du taux de cortisone sérique 30 à 60 minutes après la stimulation par l'ACTH.
  • +Données à court terme sur 4 semaines
  • +Dans des conditions d'application maximale, chez des sujets avec un psoriasis étendu sur le corps ou le cuir chevelu ayant été traités jusqu'à 4 semaines, la réponse surrénalienne à l'ACTH (adrénocorticotrophine) a été déterminée par la mesure du taux de cortisol. Aucun des 35 sujets ne présentait de réduction du taux de cortisol sérique 30 à 60 minutes après la stimulation par l'ACTH.
  • +Données à long terme
  • +La réponse surrénalienne à l'ACTH a été évaluée dans un sous-groupe de sujets adultes atteints de psoriasis vulgaire modéré à sévère affectant au moins 10% de la surface corporelle. Les sujets ont été randomisés pour recevoir Enstilar ou le véhicule de la mousse 2x par semaine pendant 52 semaines (traitement d'entretien à long terme). Les patients ayant fait une récidive ont été traités avec Enstilar 1x par jour pendant 4 semaines, puis ont poursuivi le traitement randomisé.
  • +Après 52 semaines de traitement, un total de 2 sujets sur 21 dans le groupe Enstilar et 1 sujet sur 19 dans le groupe véhicule de la mousse ont présenté des taux de cortisol ≤18 µg/dl 30 minutes après l'exposition à l'ACTH. Un 3ème sujet du groupe Enstilar, qui avait un taux de cortisol normal à 30 minutes, a montré un taux de cortisol diminué <18 µg/dL à 60 minutes. Aucun des sujets de l'un ou l'autre groupe de traitement n'a présenté des taux de cortisol ≤18 µg/dL après 30 et 60 minutes (voir « Mises en garde et précautions »). Cette étude n'a pas mis en évidence d'effet cliniquement significatif sur le métabolisme calcique.
  • +Données à court terme sur 4 semaines
  • +
  • -Dans le cadre de l'étude 1, 426 sujets ont aléatoirement été répartis dans le groupe «Enstilar mousse» ou dans le groupe «véhicule de la mousse». Dans le cadre de l'étude 2, 302 sujets ont été répartis aléatoirement dans les groupes «Enstilar mousse», «dipropionate de bétaméthasone (BDP) mousse», ou «calcipotriol mousse». Dans le cadre de l'étude 3, 376 sujets ont aléatoirement été répartis dans les groupes «Enstilar mousse», «Daivobet® pommade», «véhicule de la mousse» ou «véhicule de la pommade». Le critère d'évaluation primaire était le «pourcentage de patients répondant au traitement selon le PGA après la semaine 4: blanchi ou presque blanchi chez les sujets avec une maladie au moins d'intensité modérée au début du traitement (base), et blanchi chez les sujets avec une maladie d'intensité légère au début du traitement.
  • +Dans le cadre de l'étude 1, 426 patients ont aléatoirement été répartis dans le groupe «Enstilar mousse» ou dans le groupe «véhicule de la mousse». Dans le cadre de l'étude 2, 302 patients ont été répartis aléatoirement dans les groupes «Enstilar mousse», «dipropionate de bétaméthasone (BDP) mousse», ou «calcipotriol mousse». Dans le cadre de l'étude 3, 376 patients ont aléatoirement été répartis dans les groupes «Enstilar mousse», «Daivobet® pommade», «véhicule de la mousse» ou «véhicule de la pommade». Le critère d'évaluation primaire était le «pourcentage de patients répondant au traitement selon le PGA après la semaine 4: blanchi ou presque blanchi chez les patients avec une maladie au moins d'intensité modérée au début du traitement (base), et blanchi chez les patients avec une maladie d'intensité légère au début du traitement.
  • -Légère 65 (15.3%) 41 (13.6%) 63 (16.8%)
  • +Légere 65 (15.3%) 41 (13.6%) 63 (16.8%)
  • -L'effet d'Enstilar sur la qualité de vie a été étudié dans l'Etude 1 grâce au questionnaire générique EQ-5D-5L et au questionnaire spécifique à la dermatologie DLQI.
  • -Une amélioration de la qualité de vie significativement plus importante en faveur d'Enstilar a été démontrée, en comparaison aux sujets ayant reçu le véhicule de la mousse, avec le questionnaire DLQI à partir de la semaine 1 et tout au long du traitement. Après quatre semaines, une amélioration de la qualité de vie significativement plus importante en faveur d'Enstilar a été démontrée, en comparaison aux sujets ayant reçu le véhicule de la mousse, avec le questionnaire EQ-5D-5L.
  • +L'effet d'Enstilar sur la qualité de vie a été étudié dans l'étude 1 grâce au questionnaire générique EQ-5D-5L et au questionnaire spécifique à la dermatologie DLQI.
  • +Une amélioration de la qualité de vie significativement plus importante en faveur d'Enstilar a été démontrée, en comparaison aux patients ayant reçu le véhicule de la mousse, avec le questionnaire DLQI à partir de la semaine 1 et tout au long du traitement. Après quatre semaines, une amélioration de la qualité de vie significativement plus importante en faveur d'Enstilar a été démontrée, en comparaison aux patients ayant reçu le véhicule de la mousse, avec le questionnaire EQ-5D-5L.
  • +Données à long terme
  • +L'étude LP0053-1004 (NCT02899962), randomisée, en double aveugle et contrôlée par véhicule, a évalué l'utilisation à long terme d'Enstilar mousse chez des patients atteints de psoriasis ayant obtenu un succès durable du traitement (défini par un score PGA (Physician's Global Assessment of disease severity) de «aucun» ou «presque aucun» avec au moins 2 niveaux d'amélioration par rapport au jour 0). Initialement, un total de 650 patients atteints de psoriasis ont été traités par Enstilar mousse en une application quotidienne dans le cadre d'un traitement ouvert de 4 semaines (phase de rodage). Parmi les patients qui ont atteint l'objectif de traitement avec Enstilar mousse après les 4 semaines, 521 patients ont été randomisés pour continuer à recevoir Enstilar mousse ou le véhicule de la mousse deux fois par semaine pendant 2 jours non consécutifs pendant un total de 52 semaines supplémentaires. La gravité du psoriasis a été évaluée à l'aide d'un score PGA en 5 points. La majorité des patients de cette étude (82%) avaient une maladie de gravité «modérée» au départ, 11% des patients avaient une maladie de gravité «légère» au départ et 7% des patients avaient une maladie «sévère» au départ. L'étendue de l'atteinte de la maladie, mesurée par la surface corporelle moyenne, au départ était de 8,3 % (de 1 à 38 %). Les patients des deux bras qui ont présenté une perte de réponse (définie par un score PGA d'au moins «léger») au cours des 52 semaines ont été traités par Enstilar mousse une fois par jour pendant 4 semaines. Par la suite, ceux qui ont retrouvé un score PGA «nul» ou «presque nul» après 4 semaines de traitement quotidien avec Enstilar mousse ont continué le traitement randomisé initial avec Enstilar mousse ou le véhicule de la mousse 2 jours par semaine.
  • +Le temps médian jusqu'à la perte de l'effet thérapeutique était de 56 jours pour les patients traités avec la mousse Enstilar deux fois par semaine, contre 30 jours pour les patients traités avec la véhicule de la mousse deux fois par semaine. Au cours de la période d'évaluation de 52 semaines, les patients du groupe Enstilar, administré deux fois par semaine, ont connu une médiane de 2,0 rechutes par rapport aux patients du groupe véhicule de la mousse, administré deux fois par semaine, qui ont connu une médiane de 3.0 récidives au total sur 52 semaines.
  • +Les données disponibles sur la consommation dans le cadre d'un traitement de sauvetage n'ont pas montré un bénéfice cohérent de l'Enstilar par rapport au véhicule. Il ne peut être exclu qu'il y ait une forte augmentation de la consommation d'Enstilar dans un sous-groupe de sujets traités en permanence par Enstilar. L'image 1 montre le pourcentage de sujets qui ont conservé un score PGA «nul» ou «presque nul» jusqu'à la semaine 52 après la randomisation.
  • +Image 1: Pourcentage de patients qui ont conservé un score PGA «nul» ou «presque nul» jusqu'à la semaine 52 après la randomisation.
  • +(image)
  • +
  • -Le calcipotriol était quantifiable chez 1 sujet sur 35 (2.9%) et son métabolite principal, le MC1080, était quantifiable chez 3 sujets sur 35 (8.6%). Chez les sujets pour lesquels les concentrations étaient mesurables, la concentration plasmatique maximale (Cmax) et l'aire sous la courbe jusqu'au dernier point mesuré (AUClast) du calcipotriol étaient respectivement de 55,9 pg/mL et de 82.5 pg*h/mL; et les Cmax et AUClast moyennes ± écart-type du MC1080 étaient respectivement de 24.4 ± 1.9 pg/mL et de 59.3 ± 5.4 pg*h/mL. Le dipropionate de bétaméthasone était quantifiable chez 5 sujets sur 35 (14.3%) et son métabolite principal, le bétaméthasone-17-propionate (B17P), était quantifiable chez 27 sujets sur 35 (77.1%). Chez les sujets pour lesquels les concentrations étaient mesurables, les concentrations plasmatiques maximales (Cmax) du dipropionate de bétaméthasone et du B17P étaient respectivement de 52.2 pg/mL et de 148 pg/mL. Les Cmax et AUClast moyennes ± écart-type étaient respectivement de 52.2 ± 19.7 pg/mL et de 36.5 ± 27.4 pg*h/mL pour le dipropionate de bétaméthasone et respectivement de 147.9 ± 224.0 pg/mL et de 683.6 ± 910.6 pg*h/mL pour le B17P. La signification clinique de ces résultats est incertaine.
  • +Le calcipotriol était quantifiable chez 1 sujet sur 35 (2.9%) et son métabolite principal, le MC1080, était quantifiable chez 3 patients sur 35 (8.6%). Chez les patients pour lesquels les concentrations étaient mesurables, la concentration plasmatique maximale (Cmax) et l'aire sous la courbe jusqu'au dernier point mesuré (AUClast) du calcipotriol étaient respectivement de 55,9 pg/mL et de 82.5 pg*h/mL; et les Cmax et AUClast moyennes ± écart-type du MC1080 étaient respectivement de 24.4 ± 1.9 pg/mL et de 59.3 ± 5.4 pg*h/mL. Le dipropionate de bétaméthasone était quantifiable chez 5 patients sur 35 (14.3%) et son métabolite principal, le bétaméthasone-17-propionate (B17P), était quantifiable chez 27 patients sur 35 (77.1%). Chez les patients pour lesquels les concentrations étaient mesurables, les concentrations plasmatiques maximales (Cmax) du dipropionate de bétaméthasone et du B17P étaient respectivement de 52.2 pg/mL et de 148 pg/mL. Les Cmax et AUClast moyennes ± écart-type étaient respectivement de 52.2 ± 19.7 pg/mL et de 36.5 ± 27.4 pg*h/mL pour le dipropionate de bétaméthasone et respectivement de 147.9 ± 224.0 pg/mL et de 683.6 ± 910.6 pg*h/mL pour le B17P. La signification clinique de ces résultats est incertaine.
  • -Enstilar ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur le récipient.
  • +Enstilar ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l'emballage.
  • -Conserver le récipient bien fermé à 15-30 °C. Protéger du soleil et ne pas exposer à une température supérieure à 50 °C.
  • +Conserver le récipient bien fermé à 15-30°C. Protéger du soleil et ne pas exposer à une température supérieure à 50°C.
  • -Novembre 2019
  • +Septembre 2021
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