100 Changements de l'information professionelle Saxenda 6 mg/ml |
-Liraglutidum.
- +Liraglutidum
-Ce médicament contient 0,367 mg/ml de sodium.
- +Ce médicament contient 0.367 mg/ml de sodium.
-12 26,02 26,67
-12,5 26,43 27,24
-13 26,84 27,76
-13,5 27,25 28,20
-14 27,63 28,57
-14,5 27,98 28,87
-15 28,30 29,11
-15,5 28,60 29,29
-16 28,88 29,43
-16,5 29,14 29,56
-17 29,41 29,69
-17,5 29,70 29,84
-18 30,00- 30,00
- +12 26.02 26.67
- +12,5 26.43 27.24
- +13 26.84 27.76
- +13,5 27.25 28.20
- +14 27.63 28.57
- +14,5 27.98 28.87
- +15 28.30 29.11
- +15,5 28.60 29.29
- +16 28.88 29.43
- +16,5 29.14 29.56
- +17 29.41 29.69
- +17,5 29.70 29.84
- +18 30.00- 30.00
-Le traitement avec Saxenda doit être interrompu ou réévalué si l'IMC ou la valeur Z de l'IMC des patients ne s'est pas améliorée d'au moins 4% après un traitement de 12 semaines avec une dose de 3,0 mg/jour ou une dose maximale autorisée.
- +Le traitement avec Saxenda doit être interrompu ou réévalué si l'IMC ou la valeur Z de l'IMC des patients ne s'est pas améliorée d'au moins 4% après un traitement de 12 semaines avec une dose de 3.0 mg/jour ou une dose maximale autorisée.
-La dose initiale est de 0,6 mg une fois par jour. La dose doit être augmentée progressivement jusqu'à un maximum de 3,0 mg une fois par jour. Afin d'améliorer la tolérance gastro-intestinale, ceci peut se faire par paliers de 0,6 mg à intervalles d'au moins une semaine (voir Tableau 1). Si le passage à la dose supérieure n'est pas supporté pendant deux semaines consécutives, il faut considérer l'arrêt du traitement. Des doses quotidiennes supérieures à 3,0 mg ne sont pas recommandées.
- +La dose initiale est de 0.6 mg une fois par jour. La dose doit être augmentée progressivement jusqu'à un maximum de 3.0 mg une fois par jour. Afin d'améliorer la tolérance gastro-intestinale, ceci peut se faire par paliers de 0.6 mg à intervalles d'au moins une semaine (voir Tableau 1). Si le passage à la dose supérieure n'est pas supporté pendant deux semaines consécutives, il faut considérer l'arrêt du traitement. Des doses quotidiennes supérieures à 3.0 mg ne sont pas recommandées.
-Augmentation de la dose sur 4 semaines 0,6 mg 1
-1,2 mg 1
-1,8 mg 1
-2,4 mg 1
-Dose d'entretien 3,0 mg
- +Augmentation de la dose sur 4 semaines 0.6 mg 1
- +1.2 mg 1
- +1.8 mg 1
- +2.4 mg 1
- +Dose d'entretien 3.0 mg
-Pour les adolescents âgés entre 12 et 18 ans, une augmentation de la dose similaire à celle utilisée chez l'adulte doit être effectuée (voir Tableau 1). La dose doit être augmentée jusqu'à 3,0 mg (dose d'entretien) ou jusqu'à la dose maximale tolérée. Les doses quotidiennes supérieures à 3,0 mg ne sont pas conseillées.
- +Pour les adolescents âgés entre 12 et 18 ans, une augmentation de la dose similaire à celle utilisée chez l'adulte doit être effectuée (voir Tableau 1). La dose doit être augmentée jusqu'à 3.0 mg (dose d'entretien) ou jusqu'à la dose maximale tolérée. Les doses quotidiennes supérieures à 3.0 mg ne sont pas conseillées.
-Saxenda est utilisé une fois par jour à n'importe quelle heure, indépendamment de l'heure des repas. L'injection peut avoir lieu dans la paroi abdominale, la cuisse ou le bras. Il convient de changer chaque fois de point d'injection dans la partie du corps choisie afin de réduire le risque d'amylose cutanée (voir rubrique «Effets indésirables»). Le site et le moment de l'injection peuvent être modifiés sans adaptation de la dose. Toutefois, Saxenda doit être injecté de préférence toujours à la même heure, une fois que le moment le plus propice a été choisi.
-Saxenda ne doit pas être mélangé à d'autres médicaments injectables (p.ex. insuline).
- +Saxenda est utilisé une fois par jour à n'importe quelle heure, indépendamment de l'heure des repas. L'injection peut avoir lieu dans la paroi abdominale, la cuisse ou le bras. Il convient de changer chaque fois de point d'injection dans la partie du corps choisie afin de réduire le risque d'amylose cutanée (voir «Effets indésirables»). Le site et le moment de l'injection peuvent être modifiés sans adaptation de la dose. Toutefois, Saxenda doit être injecté de préférence toujours à la même heure, une fois que le moment le plus propice a été choisi.
- +Saxenda ne doit pas être mélangé à d'autres médicaments injectables (p. ex. insuline).
-Saxenda ne doit pas être utilisé à la place de l'insuline chez les patients diabétiques. Des cas d'acidocétose diabétique ont été rapportés chez des patients insulino-dépendants après une interruption rapide de l'administration d'insuline ou une réduction rapide de la dose d'insuline (voir sous rubrique «Posologie/Mode d'emploi»).
-On ne dispose d'aucune expérience clinique chez les patients présentant une insuffisance cardiaque de classe IV de la New York Heart Association (NYHA), par conséquent l'utilisation du liraglutide est déconseillée chez ces patients. Les expériences chez les patients atteints d'une insuffisance cardiaque de classes I-III NYHA sont basées sur l'étude LEADER au cours de laquelle ils ont été traités au liraglutide à une dose quotidienne maximale de 1,8 mg.
- +Saxenda ne doit pas être utilisé à la place de l'insuline chez les patients diabétiques. Des cas d'acidocétose diabétique ont été rapportés chez des patients insulino-dépendants après une interruption rapide de l'administration d'insuline ou une réduction rapide de la dose d'insuline (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
- +On ne dispose d'aucune expérience clinique chez les patients présentant une insuffisance cardiaque de classe IV de la New York Heart Association (NYHA), par conséquent l'utilisation du liraglutide est déconseillée chez ces patients. Les expériences chez les patients atteints d'une insuffisance cardiaque de classes I-III NYHA sont basées sur l'étude LEADER au cours de laquelle ils ont été traités au liraglutide à une dose quotidienne maximale de 1.8 mg.
- +Maladie inflammatoire de l'intestin et gastroparésie diabétique
- +
-Une pancréatite aiguë a été observée avec l'utilisation d'agonistes des récepteurs du GLP-1. Les patients doivent être informés des symptômes caractéristiques de la pancréatite aiguë. En cas de suspicion de pancréatite, le liraglutide doit être arrêté; si la pancréatite aiguë est confirmée, le traitement par le liraglutide ne doit pas être repris.
- +Une pancréatite aiguë a été observée avec l'utilisation d'agonistes des récepteurs du GLP-1. Les patients doivent être informés des symptômes caractéristiques de la pancréatite aiguë. En cas de suspicion de pancréatite, le liraglutide doit être arrêté; si la pancréatite aiguë est confirmée, le traitement par le liraglutide ne doit pas être repris. Une augmentation isolée des enzymes pancréatiques sous traitement par Saxenda (sans symptômes caractéristique) n'indique pas nécessairement une pancréatite aiguë (voir «Effets indésirables»).
-Pathologies thyroïdiennes
- +Maladies thyroïdiennes
-Saxenda contient du sodium, mais moins de 1 mmol (23 mg) de sodium par dose, c.-à-d. que le médicament est essentiellement « sans sodium ».
- +Ce médicament contient moins de 1 mmol (23 mg) de sodium par dose, c.-à-d. qu'il est essentiellement «sans sodium».
-In vitro le liraglutide a montré un très faible potentiel d'interactions pharmacocinétiques avec d'autres principes actifs associés au cytochrome P450 (CYP) ou à une liaison aux protéines plasmatiques.
- +Évaluation in vitro des interactions médicamenteuses avec le liraglutide
- +Le liraglutide a montré un très faible potentiel d'interactions pharmacocinétiques avec d'autres principes actifs associés au cytochrome P450 (CYP) et à une liaison aux protéines plasmatiques.
- +Évaluation in vivo des interactions médicamenteuses avec le liraglutide
- +
-Les études d'interaction ont été réalisées avec 1,8 mg de liraglutide. L'effet sur la vitesse de vidange gastrique était équivalent pour 1,8 mg de liraglutide et 3 mg de liraglutide (paracétamol AUC0-300 min). Quelques patients traités par le liraglutide ont signalé au moins un épisode sévère de diarrhée. La diarrhée peut influencer l'absorption concomitante des médicaments pris par voie orale.
- +Les études d'interaction ont été réalisées avec 1.8 mg de liraglutide. L'effet sur la vitesse de vidange gastrique était équivalent pour 1.8 mg de liraglutide et 3 mg de liraglutide (paracétamol AUC0-300 min). Quelques patients traités par le liraglutide ont signalé au moins un épisode sévère de diarrhée. Une diarrhée peut influencer l'absorption concomitante des médicaments pris par voie orale.
-Après l'administration d'une dose unique de 1 mg de digoxine avec du liraglutide, l'AUC de la digoxine a été réduite de 16 % et la Cmax a diminué de 31 %. Avec le liraglutide, le tmax moyen de la digoxine passait de 1h à 1,5h. Ces résultats indiquent qu'aucun ajustement posologique de la digoxine n'est nécessaire.
- +Après l'administration d'une dose unique de 1 mg de digoxine avec du liraglutide, l'AUC de la digoxine a été réduite de 16 % et la Cmax a diminué de 31 %. Avec le liraglutide, le tmax moyen de la digoxine passait de 1h à 1.5 h. Ces résultats indiquent qu'aucun ajustement posologique de la digoxine n'est nécessaire.
-Après l'administration d'une dose unique d'un contraceptif oral, le liraglutide a diminué la Cmax de l'éthinylestradiol et du lévonorgestrel de respectivement 12 % et 13 %. Le tmax des deux substances s'est prolongé de 1,5 h sous le liraglutide. Aucun effet cliniquement significatif concernant l'AUC de l'éthinylestradiol ou du lévonorgestrel n'a été observé. L'effet contraceptif n'est donc apparemment pas altéré lors de l'administration simultanée du liraglutide.
- +Après l'administration d'une dose unique d'un contraceptif oral, le liraglutide a diminué la Cmax de l'éthinylestradiol et du lévonorgestrel de respectivement 12 % et 13 %. Le tmax des deux substances s'est prolongé de 1.5 h sous le liraglutide. Aucun effet cliniquement significatif concernant l'AUC de l'éthinylestradiol ou du lévonorgestrel n'a été observé. L'effet contraceptif n'est donc apparemment pas altéré lors de l'administration simultanée du liraglutide.
-Le liraglutide ne doit pas être utilisé durant la grossesse, sauf indication absolue. En cas de projet de grossesse ou en cas de grossesse, le traitement par le liraglutide devra être interrompu.
- +Saxenda ne doit pas être utilisé durant la grossesse, à moins que cela ne soit clairement nécessaire. En cas de projet de grossesse ou en cas de grossesse, le traitement par Saxenda devra être interrompu.
- +Fréquence inconnue Obstruction intestinale†
- +
-Dans le cadre des études cliniques portant sur Saxenda, un cancer du sein a été rapporté chez 17 (0,7 %) des 2379 femmes traitées par Saxenda par rapport à 3 (0,2 %) des 1300 femmes recevant le placebo, y compris des cancers invasifs (13 femmes traitées par Saxenda et 2 femmes recevant le placebo) et des carcinomes canalaires in situ (4 femmes traitées par Saxenda et 1 femme recevant le placebo). La plupart des cancers étaient positifs pour les récepteurs à estrogènes et progestérone. Les cas n'étaient pas assez nombreux pour qu'on puisse déterminer s'ils étaient liés à Saxenda. En outre, les données disponibles sont insuffisantes pour déterminer si Saxenda a des effets sur une néoplasie du sein préexistante.
- +Dans le cadre des études cliniques portant sur Saxenda, un cancer du sein a été rapporté chez 17 (0.7 %) des 2379 femmes traitées par Saxenda par rapport à 3 (0.2 %) des 1300 femmes recevant le placebo, y compris des cancers invasifs (13 femmes traitées par Saxenda et 2 femmes recevant le placebo) et des carcinomes canalaires in situ (4 femmes traitées par Saxenda et 1 femme recevant le placebo). La plupart des cancers étaient positifs pour les récepteurs à estrogènes et progestérone. Les cas n'étaient pas assez nombreux pour qu'on puisse déterminer s'ils étaient liés à Saxenda. En outre, les données disponibles sont insuffisantes pour déterminer si Saxenda a des effets sur une néoplasie du sein préexistante.
-Dans le cadre des études cliniques portant sur Saxenda, un cancer papillaire de la thyroïde a été rapporté chez 8 (0,2 %) des 3'291 patients traités par Saxenda par rapport à l'absence de cas chez les 1'843 patients recevant le placebo. Parmi ces carcinomes papillaires de la thyroïde, quatre avaient un diamètre maximal inférieur à 1 cm, et 4 ont été diagnostiqués sur des échantillons tissulaires après thyroïdectomie effectuée en raison de résultats obtenus avant le traitement par Saxenda.
- +Dans le cadre des études cliniques portant sur Saxenda, un cancer papillaire de la thyroïde a été rapporté chez 8 (0.2 %) des 3'291 patients traités par Saxenda par rapport à l'absence de cas chez les 1'843 patients recevant le placebo. Parmi ces carcinomes papillaires de la thyroïde, quatre avaient un diamètre maximal inférieur à 1 cm, et 4 ont été diagnostiqués sur des échantillons tissulaires après thyroïdectomie effectuée en raison de résultats obtenus avant le traitement par Saxenda.
-Dans les études cliniques portant sur Saxenda, des tumeurs colorectales bénignes (principalement des adénomes coliques) ont été rapportées chez 20 (0,6 %) des 3'291 patients traités par Saxenda par rapport à 7 (0,4 %) des 1'843 patients recevant le placebo. Six cas de carcinome colorectal ont été rapportés, 5 (0,2 %) chez les patients traités par Saxenda et un (0,1 %) chez les patients recevant le placebo.
- +Dans les études cliniques portant sur Saxenda, des tumeurs colorectales bénignes (principalement des adénomes coliques) ont été rapportées chez 20 (0.6 %) des 3'291 patients traités par Saxenda par rapport à 7 (0.4 %) des 1'843 patients recevant le placebo. Six cas de carcinome colorectal ont été rapportés, 5 (0.2 %) chez les patients traités par Saxenda et un (0.1 %) chez les patients recevant le placebo.
-Au cours d'une étude clinique menée chez des patients obèses ou en surpoids présentant un diabète de type 2 et traités par Saxenda en association à un régime alimentaire et à de l'activité physique, des évènements hypoglycémiques sévères (nécessitant l'intervention d'un tiers) ont été rapportés par 0,7 % des patients traités par Saxenda, mais uniquement chez les patients traités de façon concomitante par une sulfonylurée. De plus, chez ces patients, des hypoglycémies symptomatiques documentées ont été rapportées par 43,6 % des patients traités par Saxenda et par 27,3 % des patients recevant un placebo. Parmi les patients non traités de manière concomitante par une sulfonylurée, 15,7 % des patients traités par Saxenda et 7,6 % des patients recevant un placebo ont rapporté des événements hypoglycémiques symptomatiques documentés (définis par une glycémie ≤3,9 mmol/l accompagnée de symptômes).
- +Au cours d'une étude clinique menée chez des patients obèses ou en surpoids présentant un diabète de type 2 et traités par Saxenda en association à un régime alimentaire et à de l'activité physique, des évènements hypoglycémiques sévères (nécessitant l'intervention d'un tiers) ont été rapportés par 0.7 % des patients traités par Saxenda, mais uniquement chez les patients traités de façon concomitante par une sulfonylurée. De plus, chez ces patients, des hypoglycémies symptomatiques documentées ont été rapportées par 43.6 % des patients traités par Saxenda et par 27.3 % des patients recevant un placebo. Parmi les patients non traités de manière concomitante par une sulfonylurée, 15.7 % des patients traités par Saxenda et 7.6 % des patients recevant un placebo ont rapporté des événements hypoglycémiques symptomatiques documentés (définis par une glycémie ≤3.9 mmol/l accompagnée de symptômes).
-Dans le cadre d'une étude clinique menée auprès de patients en surpoids ou obèses atteints de diabète sucré de type 2, traités à l'insuline et à Saxenda en association avec un régime alimentaire et une activité physique et traités par jusqu'à deux ADO, 1,5 % d'hypoglycémies sévères (nécessitant une aide extérieure) ont été signalées sous Saxenda. Dans cette étude, 47,2 % d'hypoglycémies symptomatiques (définie par un taux de glucose plasmatique de ≤3,9 mmol/l accompagné de symptômes) ont été signalées avec Saxenda et 51,8 % avec le placebo. Dans le sous-groupe de patients traités en plus par une sulfonylurée, 60,9 % des patients sous Saxenda ont signalé des événements hypoglycémiques symptomatiques documentés et 60% sous placebo.
- +Dans le cadre d'une étude clinique menée auprès de patients en surpoids ou obèses atteints de diabète sucré de type 2, traités à l'insuline et à Saxenda en association avec un régime alimentaire et une activité physique et traités par jusqu'à deux ADO, 1.5 % d'hypoglycémies sévères (nécessitant une aide extérieure) ont été signalées sous Saxenda. Dans cette étude, 47.2 % d'hypoglycémies symptomatiques (définie par un taux de glucose plasmatique de ≤3.9 mmol/l accompagné de symptômes) ont été signalées avec Saxenda et 51.8 % avec le placebo. Dans le sous-groupe de patients traités en plus par une sulfonylurée, 60.9 % des patients sous Saxenda ont signalé des événements hypoglycémiques symptomatiques documentés et 60% sous placebo.
-Au cours des études cliniques menées chez des patients obèses ou en surpoids ne présentant pas de diabète de type 2 et traités par Saxenda en association à un régime alimentaire et à de l'activité physique, aucun événement hypoglycémique sévère (nécessitant l'intervention d'un tiers) n'a été rapporté. Des symptômes compatibles avec une hypoglycémie ont été rapportés par 1,6 % des patients traités par Saxenda et par 1,1 % des patients recevant le placebo; ces événements n'ont toutefois pas été confirmés par une mesure de la glycémie. La majorité de ces événements était d'intensité légère.
- +Au cours des études cliniques menées chez des patients obèses ou en surpoids ne présentant pas de diabète de type 2 et traités par Saxenda en association à un régime alimentaire et à de l'activité physique, aucun événement hypoglycémique sévère (nécessitant l'intervention d'un tiers) n'a été rapporté. Des symptômes compatibles avec une hypoglycémie ont été rapportés par 1.6 % des patients traités par Saxenda et par 1.1 % des patients recevant le placebo; ces événements n'ont toutefois pas été confirmés par une mesure de la glycémie. La majorité de ces événements était d'intensité légère.
-Au cours des études cliniques, une tachycardie a été rapportée chez 0,6 % des patients traités par Saxenda et chez 0,1 % des patients recevant le placebo. La plupart de ces évènements étaient d'intensité légère à modérée. Les évènements apparaissaient uniquement de manière isolée et la majorité d'entre eux s'est résolue lors de la poursuite du traitement par Saxenda.
- +Au cours des études cliniques, une tachycardie a été rapportée chez 0.6 % des patients traités par Saxenda et chez 0.1 % des patients recevant le placebo. La plupart de ces évènements étaient d'intensité légère à modérée. Les évènements apparaissaient uniquement de manière isolée et la majorité d'entre eux s'est résolue lors de la poursuite du traitement par Saxenda.
-Les effets indésirables liés à l'hypotension artérielle (c'est-à-dire les rapports d'hypotension, hypotension orthostatique, de collapsus circulatoire et de chute de tension artérielle) ont été rapportés plus fréquemment (1,1 %) au cours des études cliniques menées sur Saxenda que lors de l'utilisation du placebo (0,5 %). Les baisses de la tension artérielle systolique inférieures à 80 mmHg ont été rapportées chez 4 (0,1 %) patients traités par Saxenda alors qu'elles n'étaient rapportées chez aucun patient recevant le placebo. Chez l'un des patients traités par Saxenda, l'hypotension artérielle est apparue dans un contexte d'effets indésirables gastro-intestinaux et d'insuffisance rénale.
- +Les effets indésirables liés à l'hypotension artérielle (c'est-à-dire les rapports d'hypotension, hypotension orthostatique, de collapsus circulatoire et de chute de tension artérielle) ont été rapportés plus fréquemment (1.1 %) au cours des études cliniques menées sur Saxenda que lors de l'utilisation du placebo (0.5 %). Les baisses de la tension artérielle systolique inférieures à 80 mmHg ont été rapportées chez 4 (0.1 %) patients traités par Saxenda alors qu'elles n'étaient rapportées chez aucun patient recevant le placebo. Chez l'un des patients traités par Saxenda, l'hypotension artérielle est apparue dans un contexte d'effets indésirables gastro-intestinaux et d'insuffisance rénale.
-Très fréquents – Nausées (39,3 %), vomissements (15,7 %), diarrhée (20,9 %), constipation (19,4 %)
- +Très fréquents – Nausées (39.3 %), vomissements (15.7 %), diarrhée (20.9 %), constipation (19.4 %)
-Le taux de patients ayant signalé au moins un épisode d'hypoglycémie cliniquement pertinente était plus élevé chez les patients traités par Liraglutide (1,6 %) que chez ceux traités par placebo (0,8 %). Aucun épisode hypoglycémique sévère n'est survenu au cours de l'étude.
- +Le taux de patients ayant signalé au moins un épisode d'hypoglycémie cliniquement pertinente était plus élevé chez les patients traités par Liraglutide (1.6 %) que chez ceux traités par placebo (0.8 %). Aucun épisode hypoglycémique sévère n'est survenu au cours de l'étude.
-·Étude 1 (SCALE Obesity & Pre-Diabetes - 1839): au total, 3'731 patients obèses (IMC ≥30 kg/m2) ou en surpoids (IMC ≥27 kg/m2) présentant une dyslipidémie et/ou une hypertension artérielle ont été stratifiés selon leur stade prédiabétique au moment de l'inclusion et de leur IMC au départ (≥30 kg/m² ou <30 kg/m²). Les 3'731 patients randomisés ont reçu un traitement pendant 56 semaines et 2'254 patients randomisés prédiabétiques au moment de l'inclusion ont reçu un traitement pendant 160 semaines. Les deux périodes de traitement ont été suivies d'une période de suivi de 12 semaines sans médicament ni placebo. La thérapie de base pour tous les patients consistait en une intervention axée sur le mode de vie sous la forme d'un régime à valeur énergétique réduite et en conseils sur l'activité physique.La perte de poids a été évaluée pendant 56 semaines au cours de l'étude 1 chez les 3'731 patients randomisés (2'590 patients ont terminé l'étude).Dans la partie de l'étude 1 d'une durée de 160 semaines, le délai d'apparition du diabète sucré de type 2 a été évalué auprès de 2'254 patients randomisés atteints de pré-diabète (1'128 patients ont terminé l'étude).
-·Étude 2 (SCALE Diabetes - 1922): une étude randomisée de 56 semaines évaluant la perte de poids comme critère d'évaluation principal chez 846 patients obèses ou en surpoids (dont 628 ont terminé l'étude) présentant un diabète de type 2 insuffisamment contrôlé (HbA1c compris entre 7 et 10 %). Le traitement de fond au début de l'étude était soit un régime alimentaire et de l'activité physique seuls, ou en association avec un traitement par la metformine, une sulfonylurée ou une glitazone en monothérapie, soit une association de ces traitements.
-·Étude 3 (SCALE Maintenance - 1923): une étude de 56 semaines évaluant la perte de poids et la stabilisation du poids comme critère d'évaluation principal chez 422 patients randomisés obèses ou en surpoids (dont 305 ont terminé l'étude) présentant une hypertension artérielle ou une dyslipidémie après une perte de poids antérieure ≥5 % obtenue par un régime hypocalorique.
-·Étude 4 (SCALE Sleep Apnoe - 3970): une étude de 32 semaines évaluant la sévérité de l'apnée du sommeil comme critère d'évaluation principal et la perte de poids comme critère d'évaluation secondaire chez 359 patients obèses randomisés (dont 276 ont terminé l'étude) présentant une apnée obstructive du sommeil modérée ou sévère.
- +Étude 1 (SCALE Obesity & Pre-Diabetes - 1839): au total, 3'731 patients obèses (IMC ≥30 kg/m2) ou en surpoids (IMC ≥27 kg/m2) présentant une dyslipidémie et/ou une hypertension artérielle ont été stratifiés selon leur stade prédiabétique au moment de l'inclusion et de leur IMC au départ (≥30 kg/m² ou <30 kg/m²). Les 3'731 patients randomisés ont reçu un traitement pendant 56 semaines et 2'254 patients randomisés prédiabétiques au moment de l'inclusion ont reçu un traitement pendant 160 semaines. Les deux périodes de traitement ont été suivies d'une période de suivi de 12 semaines sans médicament ni placebo. La thérapie de base pour tous les patients consistait en une intervention axée sur le mode de vie sous la forme d'un régime à valeur énergétique réduite et en conseils sur l'activité physique.La perte de poids a été évaluée pendant 56 semaines au cours de l'étude 1 chez les 3'731 patients randomisés (2'590 patients ont terminé l'étude).Dans la partie de l'étude 1 d'une durée de 160 semaines, le délai d'apparition du diabète sucré de type 2 a été évalué auprès de 2'254 patients randomisés atteints de pré-diabète (1'128 patients ont terminé l'étude).
- +Étude 2 (SCALE Diabetes - 1922): une étude randomisée de 56 semaines évaluant la perte de poids comme critère d'évaluation principal chez 846 patients obèses ou en surpoids (dont 628 ont terminé l'étude) présentant un diabète de type 2 insuffisamment contrôlé (HbA1c compris entre 7 et 10 %). Le traitement de fond au début de l'étude était soit un régime alimentaire et de l'activité physique seuls, ou en association avec un traitement par la metformine, une sulfonylurée ou une glitazone en monothérapie, soit une association de ces traitements.
- +Étude 3 (SCALE Maintenance - 1923): une étude de 56 semaines évaluant la perte de poids et la stabilisation du poids comme critère d'évaluation principal chez 422 patients randomisés obèses ou en surpoids (dont 305 ont terminé l'étude) présentant une hypertension artérielle ou une dyslipidémie après une perte de poids antérieure ≥5 % obtenue par un régime hypocalorique.
- +Étude 4 (SCALE Sleep Apnoe - 3970): une étude de 32 semaines évaluant la sévérité de l'apnée du sommeil comme critère d'évaluation principal et la perte de poids comme critère d'évaluation secondaire chez 359 patients obèses randomisés (dont 276 ont terminé l'étude) présentant une apnée obstructive du sommeil modérée ou sévère.
-Valeur initiale moyenne, en kg (ET) 106,3 (21,2) 106,3 (21,7) 107,6 (21,6) 108,0 (21,8) 105,6 (21,9) 106,7 (21,2) 100,7 (20,8) 98,9 (21,2)
-Modification par rapport à la valeur initiale, en % -8,0 -2,6 -6,2 -1,8 -5,9 -2,0 -6,3 -0,2
-Saxenda versus placebo, en % (IC à 95 %) -5,4* (-5,8;-5,0) -4,3** (-4,9; -3,7) -4,0** (-4,8;-3,1) -6,1** (-7,5; -4,6)
-Modification par rapport à la valeur initiale, en kg -8,4 -2,8 -6,5 -2,0 -6,2 -2,2 -6,0 -0,2
-Saxenda versus placebo, en kg (IC à 95 %) -5,6** (-6,0; -5,1) -4,6** (-5,3; -3,9) -4,1** (-5,0; -3,1) -5,9** (-7,3; -4,4)
-% de patients ayant perdu ≥5 % du poids corporel 63,5 26,6 49,6 23,4 49,8 13,5 50,7 21,3
-Saxenda versus placebo, kg (IC à 95 %) 4,8** (4,1; 5,6) 3,2** (2,6; 3,9) 6,4** (4,1; 10,0) 3,8** (2,4; 6,0)
-% de patients ayant perdu >10 % de leur poids corporel 32,8 10,1 24,4 9,5 22,9 4,2 27,4 6,8
-Saxenda versus placebo, kg (IC à 95 %) 4,3** (3,5; 5,3) 3,1** (2,3; 4,1) 6,8** (3,4; 13,8) 5,1** (2,7; 9,7)
- +Valeur initiale moyenne, en kg (ET) 106.3 (21.2) 106.3 (21.7) 107.6 (21.6) 108.0 (21.8) 105.6 (21.9) 106.7 (21.2) 100.7 (20.8) 98.9 (21.2)
- +Modification par rapport à la valeur initiale, en % -8.0 -2.6 -6.2 -1.8 -5.9 -2.0 -6.3 -0.2
- +Saxenda versus placebo, en % (IC à 95 %) -5.4* (-5.8; -5.0) -4.3** (-4.9; -3.7) -4.0** (-4.8; -3.1) -6.1** (-7.5; -4.6)
- +Modification par rapport à la valeur initiale, en kg -8.4 -2.8 -6.5 -2.0 -6.2 -2.2 -6.0 -0.2
- +Saxenda versus placebo, en kg (IC à 95 %) -5.6** (-6.0; -5.1) -4.6** (-5.3; -3.9) -4.1** (-5.0; -3.1) -5.9** (-7.3; -4.4)
- +% de patients ayant perdu ≥5 % du poids corporel 63.5 26.6 49.6 23.4 49.8 13.5 50.7 21.3
- +Saxenda versus placebo, kg (IC à 95 %) 4.8** (4.1; 5.6) 3.2** (2.6; 3.9) 6.4** (4.1; 10.0) 3.8** (2.4; 6.0)
- +% de patients ayant perdu >10 % de leur poids corporel 32.8 10.1 24.4 9.5 22.9 4.2 27.4 6.8
- +Saxenda versus placebo, kg (IC à 95 %) 4.3** (3.5; 5.3) 3.1** (2.3; 4.1) 6.8** (3.4; 13.8) 5.1** (2.7; 9.7)
-Analyse complète (FAS=Full Analysis Set). Concernant le poids, les valeurs initiales sont des moyennes, les modifications à la semaine 56 et à la semaine 160 par rapport aux valeurs initiales sont des moyennes estimées (LSMeans = moindres carrés) et les différences de traitement à la semaine 56 et à la semaine 160 sont des différences de traitement estimées. Pour les proportions de patients (%) ayant perdu ≥5/>10% de leur poids, les odds ratios estimés sont présentés. Les valeurs post-inclusion manquantes ont été imputées à l'aide de la dernière observation reportée (Last Observation Carried Forward, LOCF). * p <0,05. ** p <0,0001. ET = écart-type. IC = intervalle de confiance.
- +Analyse complète (FAS=Full Analysis Set). Concernant le poids, les valeurs initiales sont des moyennes, les modifications à la semaine 56 et à la semaine 160 par rapport aux valeurs initiales sont des moyennes estimées (LSMeans = moindres carrés) et les différences de traitement à la semaine 56 et à la semaine 160 sont des différences de traitement estimées. Pour les proportions de patients (%) ayant perdu ≥5/>10% de leur poids, les odds ratios estimés sont présentés. Les valeurs post-inclusion manquantes ont été imputées à l'aide de la dernière observation reportée (Last Observation Carried Forward, LOCF). * p <0.05. ** p <0.0001. ET = écart-type. IC = intervalle de confiance.
-Perte de poids après 12 semaines de traitement par liraglutide (3,0 mg)
-Les répondeurs précoces (early responders) étaient définis comme les patients ayant obtenu une perte de poids ≥5 % après 12 semaines avec une dose thérapeutique de liraglutide (4 semaines d'augmentation de la dose et 12 semaines de traitement). Dans le cadre de l'étude 1, 67,5 % des patients étaient des répondeurs précoces et dans le cadre de l'étude 2, 50,4 % des patients. En poursuivant le traitement au liraglutide, 86,2 % de ces répondeurs précoces devraient atteindre une réduction de poids ≥5 % après 1 an de traitement et 51 % une perte de poids ≥10 %. La perte de poids moyenne prévue chez les répondeurs précoces qui ont suivi le traitement pendant 1 an est de 11,2 % de leur poids corporel initial (9,7 % chez les hommes et 11,6 % chez les femmes). Dans le groupe de patients ayant atteint une perte de poids <5 % après un traitement de 12 semaines de 3 mg de liraglutide par jour, 6,6 % des patients ont encore présenté une perte de poids ≥10 % après 1 an.
- +Perte de poids après 12 semaines de traitement par liraglutide (3.0 mg)
- +Les répondeurs précoces (early responders) étaient définis comme les patients ayant obtenu une perte de poids ≥5 % après 12 semaines avec une dose thérapeutique de liraglutide (4 semaines d'augmentation de la dose et 12 semaines de traitement). Dans le cadre de l'étude 1, 67.5 % des patients étaient des répondeurs précoces et dans le cadre de l'étude 2, 50.4 % des patients. En poursuivant le traitement au liraglutide, 86.2 % de ces répondeurs précoces devraient atteindre une réduction de poids ≥5 % après 1 an de traitement et 51 % une perte de poids ≥10 %. La perte de poids moyenne prévue chez les répondeurs précoces qui ont suivi le traitement pendant 1 an est de 11.2 % de leur poids corporel initial (9.7 % chez les hommes et 11.6 % chez les femmes). Dans le groupe de patients ayant atteint une perte de poids <5 % après un traitement de 12 semaines de 3 mg de liraglutide par jour, 6.6 % des patients ont encore présenté une perte de poids ≥10 % après 1 an.
-HbA1c, % 5,6 -0,3 5,6 -0,1 -0,23** (0,25; -0,21)
-Glycémie à jeun, mmol/l 5,3 -0,4 5,3 -0,01 -0,38** (0,42; -0,35)
-Pression artérielle systolique, mmHg 123,0 -4,3 123,3 -1,5 -2,8** (-3,6; -2,1)
-Pression artérielle diastolique, mmHg 78,7 -2,7 78,9 -1,8 -0,9* (-1,4; - 0,4)
-Tour de taille, cm 115,0 -8,2 114,5 -4,0 -4,2** (-4,7; -3,7)
- +HbA1c, % 5.6 -0.3 5.6 -0.1 -0.23** (0.25; -0.21)
- +Glycémie à jeun, mmol/l 5.3 -0.4 5.3 -0.01 -0.38** (0.42; -0.35)
- +Pression artérielle systolique, mmHg 123.0 -4.3 123.3 -1.5 -2.8** (-3.6; -2.1)
- +Pression artérielle diastolique, mmHg 78.7 -2.7 78.9 -1.8 -0.9* (-1.4; - 0.4)
- +Tour de taille, cm 115.0 -8.2 114.5 -4.0 -4.2** (-4.7; -3.7)
-HbA1c, % 5,75 -0,35 5,74 -0,14 -0,21** (-0,24; -0,18)
-Glycémie à jeun, mmol/l 5,50 -0,37 5,46 0,04 -0,41** (-0,46; -0,36)
-Pression artérielle systolique, mmHg 124,80 -3,24 125,01 -0,44 -2,80** (-3,81; -1,79)
-Pression artérielle diastolique, mmHg 79,40 -2,36 79,83 -1,74 -0.62 (-1.33; 0.09)
-Tour de taille, cm 116,64 -6,88 116,74 -3,35 -3.53** (-4.23; -2.83)
- +HbA1c, % 5.75 -0.35 5.74 -0.14 -0.21** (-0.24; -0.18)
- +Glycémie à jeun, mmol/l 5.50 -0.37 5.46 0.04 -0.41** (-0.46; -0.36)
- +Pression artérielle systolique, mmHg 124.80 -3.24 125.01 -0.44 -2.80** (-3.81; -1.79)
- +Pression artérielle diastolique, mmHg 79.40 -2.36 79.83 -1.74 -0.62 (-1.33; 0.09)
- +Tour de taille, cm 116.64 -6.88 116.74 -3.35 -3.53** (-4.23; -2.83)
-HbA1c, % 7,9 -1,3 7,9 -0,4 -0,9** (-1,1; -0,8)
-Glycémie à jeun, mmol/l 8,8 -1,9 8,6 -0,1 -1,8** (-2,1; -1,4)
-Pression artérielle systolique, mmHg 128,9 -3,0 129,2 -0,4 -2,6* (-4,6; - 0,6)
-Pression artérielle diastolique, mmHg 79,0 -1,0 79,3 -0,6 -0,4 (1,7; 1,0)
-Tour de taille, cm 118,1 -6,0 117,3 -2,8 -3,2** (-4,2; -2,2)
-Lors de l'analyse statistique des paramètres glycémiques et cardiométaboliques, le test multiple n'a pas été évalué et les résultats ne doivent donc pas être considérés comme statistiquement confirmatoires. Analyse complète (FAS = Full Analyse Set). Pour l'HbA1c, la glycémie à jeun, la pression artérielle et le tour de taille, les valeurs initiales sont des moyennes, les modifications observées à la semaine 56 et à la semaine 160 par rapport aux valeurs initiales sont des moyennes estimées (LSmeans, moindres carrés) et les différences de traitement à la semaine 56 et à la semaine 160 sont des différences de traitement estimées. Les valeurs post-inclusion manquantes ont été calculées à l'aide de la dernière observation reportée (Last Observation Carried Forward – LOCF). * p <0,05. ** p <0,0001. ET = écart-type. IC = intervalle de confiance.
- +HbA1c, % 7.9 -1.3 7.9 -0.4 -0.9** (-1.1; -0.8)
- +Glycémie à jeun, mmol/l 8.8 -1.9 8.6 -0.1 -1.8** (-2.1; -1.4)
- +Pression artérielle systolique, mmHg 128.9 -3.0 129.2 -0.4 -2.6* (-4.6; - 0.6)
- +Pression artérielle diastolique, mmHg 79.0 -1.0 79.3 -0.6 -0.4 (1.7; 1.0)
- +Tour de taille, cm 118.1 -6.0 117.3 -2.8 -3.2** (-4.2; -2.2)
- +Lors de l'analyse statistique des paramètres glycémiques et cardiométaboliques, le test multiple n'a pas été évalué et les résultats ne doivent donc pas être considérés comme statistiquement confirmatoires. Analyse complète (FAS = Full Analyse Set). Pour l'HbA1c, la glycémie à jeun, la pression artérielle et le tour de taille, les valeurs initiales sont des moyennes, les modifications observées à la semaine 56 et à la semaine 160 par rapport aux valeurs initiales sont des moyennes estimées (LSmeans, moindres carrés) et les différences de traitement à la semaine 56 et à la semaine 160 sont des différences de traitement estimées. Les valeurs post-inclusion manquantes ont été calculées à l'aide de la dernière observation reportée (Last Observation Carried Forward – LOCF). * p <0.05. ** p <0.0001. ET = écart-type. IC = intervalle de confiance.
-Les patients traités par Saxenda peuvent développer des anticorps anti-liraglutide. Lors d'une analyse effectuée après le début du traitement, 42 (2,8 %) des 1'505 patients traités par Saxenda présentaient des anticorps anti-liraglutide. Des anticorps dotés d'un effet neutralisant au cours d'un test effectué in vitro sont apparus chez 18 (1,2 %) des 1'505 patients traités par Saxenda. La présence d'anticorps pourrait être en rapport avec l'apparition accrue de réactions au site d'injection et d'hypoglycémies rapportées. Au cours d'études cliniques, ces résultats ont été généralement d'intensité légère et disparaissaient lors de la poursuite du traitement. La détection de formation d'anticorps est fortement dépendante de la sensibilité et de la spécificité du test. En outre, l'incidence observée des anticorps détectés (y compris des anticorps neutralisants) dans un test peut être influencée par divers facteurs, comme la méthode de test, la gestion des échantillons, le déroulement du recueil des échantillons, la comédication ainsi que les maladies sous-jacentes. Cela explique pourquoi la survenue d'anticorps contre Saxenda ne peut être directement comparée à la survenue d'anticorps d'autres produits.
- +Les patients traités par Saxenda peuvent développer des anticorps anti-liraglutide. Lors d'une analyse effectuée après le début du traitement, 42 (2.8 %) des 1'505 patients traités par Saxenda présentaient des anticorps anti-liraglutide. Des anticorps dotés d'un effet neutralisant au cours d'un test effectué in vitro sont apparus chez 18 (1.2 %) des 1'505 patients traités par Saxenda. La présence d'anticorps pourrait être en rapport avec l'apparition accrue de réactions au site d'injection et d'hypoglycémies rapportées. Au cours d'études cliniques, ces résultats ont été généralement d'intensité légère et disparaissaient lors de la poursuite du traitement. La détection de formation d'anticorps est fortement dépendante de la sensibilité et de la spécificité du test. En outre, l'incidence observée des anticorps détectés (y compris des anticorps neutralisants) dans un test peut être influencée par divers facteurs, comme la méthode de test, la gestion des échantillons, le déroulement du recueil des échantillons, la comédication ainsi que les maladies sous-jacentes. Cela explique pourquoi la survenue d'anticorps contre Saxenda ne peut être directement comparée à la survenue d'anticorps d'autres produits.
-Les événements indésirables cardiovasculaires majeurs (MACE) ont été évalués par un groupe d'experts indépendants externes et définis comme infarctus du myocarde non fatal, accident vasculaire cérébral non fatal et le décès cardiovasculaire. Dans l'ensemble des études menées avec Saxenda, 6 MACE ont été observés chez les patients traités par liraglutide et 10 chez les patients recevant un placebo. Le rapport de risque et l'IC à 95 % est de 0,33 [0,12; 0,90] pour le liraglutide par rapport au placebo. Une élévation moyenne de la fréquence cardiaque de 2,5 battements par minute par rapport à la valeur initiale (allant de 1,6 à 3,6 battements par minute suivant l'étude) a été observée avec le liraglutide dans les études de phase 3, qui a atteint son maximum après environ 6 semaines et était réversible après l'arrêt du liraglutide (voir «Mises en garde et précautions»).
-L'étude LEADER (Liraglutide Effect and Action in Diabetes Evaluation of Cardiovascular Outcome Results) a étudié l'incidence des événements cardiovasculaires sévères (MACE: décès cardiovasculaire, infarctus du myocarde non mortel, accident vasculaire cérébral non mortel) chez 9'340 patients présentant un diabète sucré de type 2 important et un risque cardiovasculaire accru. Après randomisation (1:1), les patients ont été traités (durée moyenne du traitement environ 3,5 ans), en plus du traitement standard, soit avec jusqu'à 1,8 mg de liraglutide par jour (4'668 patients) ou un placebo (4'672 patients). Le critère d'évaluation principal était le délai d'apparition d'un MACE. Le liraglutide a significativement réduit ce risque à la dose testée (rapport de risque 0,87 [0,78; 0,97] IC à 95 %).
- +Les événements indésirables cardiovasculaires majeurs (MACE) ont été évalués par un groupe d'experts indépendants externes et définis comme infarctus du myocarde non fatal, accident vasculaire cérébral non fatal et le décès cardiovasculaire. Dans l'ensemble des études menées avec Saxenda, 6 MACE ont été observés chez les patients traités par liraglutide et 10 chez les patients recevant un placebo. Le rapport de risque et l'IC à 95 % est de 0.33 [0.12; 0.90] pour le liraglutide par rapport au placebo. Une élévation moyenne de la fréquence cardiaque de 2.5 battements par minute par rapport à la valeur initiale (allant de 1.6 à 3.6 battements par minute suivant l'étude) a été observée avec le liraglutide dans les études de phase 3, qui a atteint son maximum après environ 6 semaines et était réversible après l'arrêt du liraglutide (voir «Mises en garde et précautions»).
- +L'étude LEADER (Liraglutide Effect and Action in Diabetes Evaluation of Cardiovascular Outcome Results) a étudié l'incidence des événements cardiovasculaires sévères (MACE: décès cardiovasculaire, infarctus du myocarde non mortel, accident vasculaire cérébral non mortel) chez 9'340 patients présentant un diabète sucré de type 2 important et un risque cardiovasculaire accru. Après randomisation (1:1), les patients ont été traités (durée moyenne du traitement environ 3.5 ans), en plus du traitement standard, soit avec jusqu'à 1.8 mg de liraglutide par jour (4'668 patients) ou un placebo (4'672 patients). Le critère d'évaluation principal était le délai d'apparition d'un MACE. Le liraglutide a significativement réduit ce risque à la dose testée (rapport de risque 0.87 [0.78; 0,97] IC à 95 %).
-Valeur de base, IMC-SDS (SD) 3,14 (0,65) 3,20 (0,77)
-Modification moyenne en semaine 56 (95%-KI) -0,23 -0,00 -0,22* (-0,37; -0,08)
-Semaine 56, IMC-SDS (SD) 2,88 (0,94) 3,14 (0,98)
-Modification moyenne de la semaine 56 à la semaine 82, IMC-SDS (95%-KI) 0,22 0,07 0,15** (0,07; 0,23)
- +Valeur de base, IMC-SDS (SD) 3.14 (0.65) 3.20 (0.77)
- +Modification moyenne en semaine 56 (95%-KI) -0.23 -0.00 -0.22* (-0.37; -0.08)
- +Semaine 56, IMC-SDS (SD) 2.88 (0.94) 3.14 (0.98)
- +Modification moyenne de la semaine 56 à la semaine 82, IMC-SDS (95%-KI) 0.22 0.07 0.15** (0.07; 0.23)
-Valeur de base, kg (SD) 99,3 (19,7) 102,2 (21,6) -
-Modification moyenne en semaine 56, % (95%-KI) -2,65 2,37 -5,01** (-7,63; -2,39)
-Modification moyenne en semaine 56, kg (95%-KI) -2,26 2,25 -4,50** (-7,17; -1,84)
- +Valeur de base, kg (SD) 99.3 (19.7) 102.2 (21.6) -
- +Modification moyenne en semaine 56, % (95%-KI) -2.65 2.37 -5.01** (-7.63; -2.39)
- +Modification moyenne en semaine 56, kg (95%-KI) -2.26 2.25 -4.50** (-7.17; -1.84)
-Valeur de base, kg/m2 (SD) 35,3 (5,1) 35,8 (5,7) -
-Modification moyenne en semaine 56, kg/m2 (95%-KI) -1,39 0,19 -1,58** (-2,47; -0,69)
-Proportion de patients avec une réduction de la valeur de base de l'IMC de ≥5% en semaine 56, % (95%-KI) 43,25 18,73 3,31** (1,78; 6,16)
-Proportion de patients avec une rédution de la valeur de base de l'IMC de ≥10% en semaine 56, % (95%-KI) 26,08 8,11 4,00** (1,81; 8,83)
-Groupe total (FAS=Full Analysis Set). Pour l'IMC-SDS, le poids, et l'IMC, les valeurs de base sont des moyennes, les modifications par rapport aux valeurs de base en semaine 56 sont des moyennes estimées (LSMeans) et les contrastes de traitements en semaine 56 sont des différences de traitement estimées. Les valeurs IMC -SDS en semaine 56 sont des valeurs moyennes, les modification entre la semaine 56 et la semaine 82 sont des moyennes estimées (LSMeans) et les contrastes de traitement en semaine 82 sont des différences de traitement estimées. Pour la proportion de patients pour lequel la valeur de base de l'IMC a été réduite de ≥5%/≥10%, le rapport de cotes estimé est indiqué. Les observations manquantes ont été complétées par une imputation multiple (approche de saut à a référence, x100) basée sur le groupe placebo. *p<0,01, **p<0,001. KI=Intervalle de confiance. SD=Déviation standard.
- +Valeur de base, kg/m2 (SD) 35.3 (5.1) 35.8 (5.7) -
- +Modification moyenne en semaine 56, kg/m2 (95%-KI) -1.39 0.19 -1.58** (-2.47; -0.69)
- +Proportion de patients avec une réduction de la valeur de base de l'IMC de ≥5% en semaine 56, % (95%-KI) 43.25 18.73 3.31** (1.78; 6.16)
- +Proportion de patients avec une rédution de la valeur de base de l'IMC de ≥10% en semaine 56, % (95%-KI) 26.08 8.11 4.00** (1.81; 8.83)
- +Groupe total (FAS=Full Analysis Set). Pour l'IMC-SDS, le poids, et l'IMC, les valeurs de base sont des moyennes, les modifications par rapport aux valeurs de base en semaine 56 sont des moyennes estimées (LSMeans) et les contrastes de traitements en semaine 56 sont des différences de traitement estimées. Les valeurs IMC -SDS en semaine 56 sont des valeurs moyennes, les modification entre la semaine 56 et la semaine 82 sont des moyennes estimées (LSMeans) et les contrastes de traitement en semaine 82 sont des différences de traitement estimées. Pour la proportion de patients pour lequel la valeur de base de l'IMC a été réduite de ≥5%/≥10%, le rapport de cotes estimé est indiqué. Les observations manquantes ont été complétées par une imputation multiple (approche de saut à a référence, x100) basée sur le groupe placebo. *p<0.01, **p<0.001. KI=Intervalle de confiance. SD=Déviation standard.
-En fonction de la tolérance, la dose a été augmentée à 3,0 mg chez 103 patients (82,4 %), à 2,4 mg chez 11 patients (8,8 %), à 1,8mg chez 4 patients (3,2 %), à 1,2 mg chez 4 patients (3,2 %) et 3 patients (2,4 %) sont restés à 0,6 mg.
- +En fonction de la tolérance, la dose a été augmentée à 3.0 mg chez 103 patients (82.4 %), à 2.4 mg chez 11 patients (8.8 %), à 1.8mg chez 4 patients (3.2 %), à 1.2 mg chez 4 patients (3.2 %) et 3 patients (2.4 %) sont restés à 0.6 mg.
-Les patients ayant un poids corporel inférieur à 45 kg ont débuté l'augmentation de la dose à une dose plus faible de 0,3 mg au lieu de 0,6 mg, jusqu'à une dose maximale de 2,4 mg.
-La modification estimée de l'IMC-SDS moyen était comparable dans les deux bras de traitement à la semaine 16 (différence entre le liraglutide 3 mg et le placebo [IC à 95 %]: -0,07 [-0,23; 0,09] dans la partie A et -0,06 [-1,06; 0,93] dans la partie B) comme à la semaine 52 (différence entre le liraglutide 3 mg et le placebo [IC à 95 %]: -0,14 [-0,62; 0,34] dans la partie A et -0,07 [-0,89; 0,76] dans la partie B).
- +Les patients ayant un poids corporel inférieur à 45 kg ont débuté l'augmentation de la dose à une dose plus faible de 0.3 mg au lieu de 0.6 mg, jusqu'à une dose maximale de 2.4 mg.
- +La modification estimée de l'IMC-SDS moyen était comparable dans les deux bras de traitement à la semaine 16 (différence entre le liraglutide 3 mg et le placebo [IC à 95 %]: -0.07 [-0.23; 0.09] dans la partie A et -0.06 [-1.06; 0.93] dans la partie B) comme à la semaine 52 (différence entre le liraglutide 3 mg et le placebo [IC à 95 %]: -0.14 [-0.62; 0.34] dans la partie A et -0.07 [-0.89; 0.76] dans la partie B).
-L'absorption du liraglutide administré par voie sous-cutanée est lente; la concentration sérique maximale est atteinte environ 11 heures après l'injection. Après administration d'une dose unique de 3,0 mg de liraglutide à un patient obèse (IMC 30-40 kg/m2), la concentration moyenne à l'état d'équilibre (AUCτ/24) du liraglutide était d'environ 31 nmol/l. L'exposition au liraglutide s'élevait dans la fourchette entre 0,6 mg et 3,0 mg de manière proportionnelle à la dose. La biodisponibilité absolue du liraglutide après administration sous-cutanée est d'environ 55 %.
- +L'absorption du liraglutide administré par voie sous-cutanée est lente; la concentration sérique maximale est atteinte environ 11 heures après l'injection. Après administration d'une dose unique de 3.0 mg de liraglutide à un patient obèse (IMC 30-40 kg/m2), la concentration moyenne à l'état d'équilibre (AUCτ/24) du liraglutide était d'environ 31 nmol/l. L'exposition au liraglutide s'élevait dans la fourchette entre 0.6 mg et 3.0 mg de manière proportionnelle à la dose. La biodisponibilité absolue du liraglutide après administration sous-cutanée est d'environ 55 %.
-Après administration sous-cutanée de 3,0 mg de liraglutide, le volume de distribution moyen apparent est de 20-25 l (chez une personne pesant environ 100 kg). Le liraglutide se lie largement aux protéines plasmatiques (>98 %).
- +Après administration sous-cutanée de 3.0 mg de liraglutide, le volume de distribution moyen apparent est de 20-25 l (chez une personne pesant environ 100 kg). Le liraglutide se lie largement aux protéines plasmatiques (>98 %).
-Après administration sous-cutanée du liraglutide, la clairance moyenne est d'environ 0,9-1,4 l/h avec une demi-vie d'élimination d'environ 13 heures.
- +Après administration sous-cutanée du liraglutide, la clairance moyenne est d'environ 0.9-1.4 l/h avec une demi-vie d'élimination d'environ 13 heures.
-La pharmacocinétique du liraglutide a été évaluée chez des sujets présentant un degré variable d'insuffisance hépatique dans une étude avec des doses uniques (0,75 mg). L'exposition au liraglutide a diminué de 13-23 % chez les sujets qui présentaient une insuffisance hépatique légère à modérée par rapport aux sujets sains. L'exposition avait nettement diminuée (44 %) chez les patients atteints d'une insuffisance hépatique sévère (score de Child Pugh >9).
- +La pharmacocinétique du liraglutide a été évaluée chez des sujets présentant un degré variable d'insuffisance hépatique dans une étude avec des doses uniques (0.75 mg). L'exposition au liraglutide a diminué de 13-23 % chez les sujets qui présentaient une insuffisance hépatique légère à modérée par rapport aux sujets sains. L'exposition avait nettement diminuée (44 %) chez les patients atteints d'une insuffisance hépatique sévère (score de Child Pugh >9).
-Au cours de l'étude à doses uniques (0,75 mg), l'exposition au liraglutide s'est révélée plus faible chez les sujets qui présentaient une insuffisance rénale par rapport à ceux ayant une fonction rénale normale. L'exposition au liraglutide a diminué de respectivement 33%, 14 %, 27 % et 26 % chez les sujets présentant respectivement une insuffisance rénale légère (clairance de la créatinine ClCr 50-80 ml/min), modérée (ClCr 30-50 ml/min), sévère (ClCr <30 ml/min) et une insuffisance rénale terminale nécessitant une dialyse.
- +Au cours de l'étude à doses uniques (0.75 mg), l'exposition au liraglutide s'est révélée plus faible chez les sujets qui présentaient une insuffisance rénale par rapport à ceux ayant une fonction rénale normale. L'exposition au liraglutide a diminué de respectivement 33%, 14 %, 27 % et 26 % chez les sujets présentant respectivement une insuffisance rénale légère (clairance de la créatinine ClCr 50-80 ml/min), modérée (ClCr 30-50 ml/min), sévère (ClCr <30 ml/min) et une insuffisance rénale terminale nécessitant une dialyse.
-Les propriétés pharmacocinétiques du liraglutide 3,0 mg ont été évaluées dans des études cliniques chez des adolescents obèses âgés de 12 à 18 ans (134 patients, poids corporel 62-178 kg). L'exposition au liraglutide chez les adolescents (12-18 ans) était comparable à celle des adultes atteints d'obésité.
-Les propriétés pharmacocinétiques ont également été évaluées dans une étude de pharmacologie clinique chez des enfants obèses âgés de 7 à 11 ans (13 patients, poids corporel 54-87 kg). L'exposition associée à 3,0 mg de liraglutide a été estimée comparable chez les enfants âgés de 7 à 11 ans et chez les adultes après correction en fonction du poids corporel.
- +Les propriétés pharmacocinétiques du liraglutide 3.0 mg ont été évaluées dans des études cliniques chez des adolescents obèses âgés de 12 à 18 ans (134 patients, poids corporel 62-178 kg). L'exposition au liraglutide chez les adolescents (12-18 ans) était comparable à celle des adultes atteints d'obésité.
- +Les propriétés pharmacocinétiques ont également été évaluées dans une étude de pharmacologie clinique chez des enfants obèses âgés de 7 à 11 ans (13 patients, poids corporel 54-87 kg). L'exposition associée à 3.0 mg de liraglutide a été estimée comparable chez les enfants âgés de 7 à 11 ans et chez les adultes après correction en fonction du poids corporel.
-Ne pas stocker à proximité immédiate d'éléments réfrigérants.
-Conserver le capuchon sur le stylo pour le protéger de la lumière.
- +Ne pas conserver à proximité d'éléments réfrigérants.
- +Conserver le capuchon du stylo pour le protéger de la lumière.
-Chaque stylo contient 3 ml de solution et permet l'administration de doses de 0,6 mg, 1,2 mg, 1,8 mg, 2,4 mg et 3,0 mg.
- +Chaque stylo contient 3 ml de solution et permet l'administration de doses de 0.6 mg, 1.2 mg, 1.8 mg, 2.4 mg et 3.0 mg.
-Octobre 2023
- +Août 2024
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