ch.oddb.org
 
Apotheken | Hôpital | Interactions | LiMA | Médecin | Médicaments | Services | T. de l'Autorisation
Accueil - Information professionnelle sur Saxenda 6 mg/ml - Changements - 10.07.2019
66 Changements de l'information professionelle Saxenda 6 mg/ml
  • - Dose Semaines
  • + Dose Semaines
  • -Saxenda n'a pas été étudié chez les patients traités par l'insuline. Lors de l'initiation du traitement par Saxenda, il faut envisager une réduction de la dose de l'insuline utilisée ou des sécrétagogues (tels que les sulfonylurées), afin de réduire le risque d'hypoglycémie.
  • +Saxenda n'a pas été étudié chez les patients traités par l'insuline. Lors de l'initiation du traitement par Saxenda, il faut envisager une réduction de la dose de l'insuline utilisée ou des sécrétagogues (tels que les sulfonylurées), afin de réduire le risque d'hypoglycémie. Une autosurveillance glycémique par le patient est nécessaire pour ajuster la dose d’insuline ou des sécrétagogues de l’insuline.
  • -Patients âgés (≥65 ans)
  • -Aucun ajustement posologique n'est nécessaire chez les patients âgés. L'expérience de ce traitement chez les patients de ≥75 ans est limitée et l'utilisation n'est pas recommandée chez ces patients (voir sous «Mises en garde et précautions» et «Pharmacocinétique»).
  • +Patients âgés (≥ 65 ans)
  • +Aucun ajustement posologique n'est nécessaire chez les patients âgés. L'expérience de ce traitement chez les patients de ≥ 75 ans est limitée et l'utilisation n'est pas recommandée chez ces patients (voir sous «Mises en garde et précautions» et «Pharmacocinétique»).
  • -Chez les patients atteints d'une insuffisance rénale légère ou modérée (clairance de la créatinine ≥30 ml/min), aucune adaptation posologique n'est nécessaire. L'expérience clinique avec ce traitement est cependant limitée chez ces patients et Saxenda devrait être utilisé avec prudence dans cette population. L'utilisation de Saxenda ne peut être recommandée chez les patients atteints d'une insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine <30 ml/min), y compris chez les patients présentant une insuffisance rénale terminale (voir sous «Mises en garde et précautions», «Effets indésirables» et «Pharmacocinétique»).
  • +Chez les patients atteints d'une insuffisance rénale légère ou modérée (clairance de la créatinine ≥ 30 ml/min), aucune adaptation posologique n'est nécessaire. L'expérience clinique avec ce traitement est cependant limitée chez ces patients et Saxenda devrait être utilisé avec prudence dans cette population. L'utilisation de Saxenda ne peut être recommandée chez les patients atteints d'une insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine < 30 ml/min), y compris chez les patients présentant une insuffisance rénale terminale (voir sous «Mises en garde et précautions», «Effets indésirables» et «Pharmacocinétique»).
  • -Chez les patients atteints d'une insuffisance hépatique légère ou modérée, aucun ajustement posologique n'est nécessaire. L'utilisation de Saxenda ne peut être recommandée chez les patients atteints d'une insuffisance hépatique sévère et doit se faire avec prudence chez les patients présentant une insuffisance hépatique légère à modérée (voir sous «Mises en garde et précautions» et«Pharmacocinétique»).
  • +Chez les patients atteints d'une insuffisance hépatique légère ou modérée, aucun ajustement posologique n'est nécessaire. L'utilisation de Saxenda ne peut être recommandée chez les patients atteints d'une insuffisance hépatique sévère et doit se faire avec prudence chez les patients présentant une insuffisance hépatique légère à modérée (voir sous «Mises en garde et précautions» et «Pharmacocinétique»).
  • -En cas d'oubli d'une dose, si l'intervalle avec l'heure habituelle de l'utilisation est inférieur à 12 heures, le patient doit rattraper la dose le plus vite possible. S'il reste moins de 12 heures jusqu'à la prochaine dose prévue, le patient ne doit pas rattraper la dose oubliée, mais poursuivre son schéma posologique d'une prise quotidienne en prenant la prochaine dose prévue. Dans ce cas, aucune dose supplémentaire ne doit être injectée et la dose suivante ne doit pas être augmentée pour compenser la dose oubliée. D'autres remarques concernant la manipulation sont disponibles sous «Remarques particulières». Un mode d'emploi précis est annexé à l'information destinée aux patients.
  • +En cas d'oubli d'une dose, si l'intervalle avec l'heure habituelle de l'utilisation est inférieur à 12 heures, le patient doit rattraper la dose le plus vite possible. S'il reste moins de 12 heures jusqu'à la prochaine dose prévue, le patient ne doit pas rattraper la dose oubliée, mais poursuivre son schéma posologique d'une administration quotidienne en prenant la prochaine dose prévue. Dans ce cas, aucune dose supplémentaire ne doit être injectée et la dose suivante ne doit pas être augmentée pour compenser la dose oubliée. D'autres remarques concernant la manipulation sont disponibles sous «Remarques particulières». Un mode d'emploi précis est annexé à l'information destinée aux patients.
  • -Saxenda ne doit pas être utilisé à la place de l'insuline chez les patients diabétiques.
  • +Saxenda ne doit pas être utilisé à la place de l'insuline chez les patients diabétiques. Des cas d’acidocétose diabétique ont été rapportés chez des patients insulino-dépendants après une interruption rapide de l'administration d’insuline ou une réduction rapide de la dose d’insuline (voir sous «Posologie/Mode d'emploi»).
  • -Au cours des études cliniques menées chez des patients atteints de diabète de type 2, des effets indésirables thyroïdiens tels qu'un goître ont été rapportés, en particulier chez les patients présentant une maladie thyroïdienne préexistante. Le liraglutide doit donc être utilisé avec prudence chez les patients présentant des pathologies thyroïdiennes.
  • +Au cours des études cliniques menées chez des patients atteints de diabète de type 2, des effets indésirables thyroïdiens tels qu'un goitre ont été rapportés, en particulier chez les patients présentant une maladie thyroïdienne préexistante. Le liraglutide doit donc être utilisé avec prudence chez les patients présentant des pathologies thyroïdiennes.
  • -Après l'administration d'une dose unique de 20 mg de lisinopril avec du liraglutide, l'AUC du lisinopril a été réduite de 15% et la Cmax a diminué de 27%. Avec le liraglutide, le tmax moyen du lisinopril a été retardé, passant de 6h à 8h. Ces résultats indiquent qu'aucun ajustement des posologies de lisinopril n'est nécessaire.
  • +Après l'administration d'une dose unique de 20 mg de lisinopril avec du liraglutide, l'AUC du lisinopril a été réduite de 15% et la Cmax a diminué de 27%. Avec le liraglutide, le tmax moyen du lisinopril a été retardé, passant de 6h à 8h. Ces résultats indiquent qu'aucun ajustement posologique du lisinopril n'est nécessaire.
  • -La sécurité de Saxenda a été évaluée dans le cadre de 5 études cliniques en double aveugle et contrôlées par placebo dans lesquelles ont été inclus 5 813 patients obèses ou en surpoids présentant au moins un facteur de comorbidité lié au poids. Dans l'ensemble, les effets indésirables signalés le plus fréquemment lors du traitement par Saxenda concernaient des effets indésirables gastro-intestinaux (voir sous «Description de certaines réactions indésirables»).
  • +La sécurité de Saxenda a été évaluée dans le cadre de 5 études cliniques en double aveugle et contrôlées par placebo dans lesquelles ont été inclus 5'813 patients obèses ou en surpoids présentant au moins un facteur de comorbidité lié au poids. Dans l'ensemble, les effets indésirables signalés le plus fréquemment lors du traitement par Saxenda concernaient des effets indésirables gastro-intestinaux (voir sous «Description de certaines réactions indésirables»).
  • -Le Tableau 2 répertorie les effets indésirables rapportés au cours des études contrôlées de phase 2 et de phase 3. Les effets indésirables sont énumérés par classe de systèmes d'organes et par fréquence. Les catégories de fréquences sont définies de la manière suivante: «très fréquents» (≥1/10), «fréquents» (<1/10, ≥1/100), «occasionnels» (<1/100, ≥1/1000), «rares» (<1/1000, ≥1/10 000), «très rares» (<1/10 000). Au sein de chaque groupe de fréquence, les réactions indésirables sont présentées suivant un ordre décroissant de gravité.
  • +Le Tableau 2 répertorie les effets indésirables rapportés au cours des études contrôlées de phase 2 et de phase 3. Les effets indésirables sont énumérés par classe de systèmes d'organes et par fréquence. Les catégories de fréquences sont définies de la manière suivante: «très fréquents» (≥ 1/10), «fréquents» (< 1/10, ≥ 1/100), «occasionnels» (< 1/100, ≥ 1/1000), «rares» (< 1/1000, ≥ 1/10 000), «très rares» (< 1/10 000). Au sein de chaque groupe de fréquence, les réactions indésirables sont présentées suivant un ordre décroissant de gravité.
  • -Dans le cadre des études cliniques portant sur Saxenda, un cancer papillaire de la thyroïde a été rapporté chez 8 (0,2%) des 3291 patients traités par Saxenda par rapport à l'absence de cas chez les 1843 patients recevant le placebo. Parmi ces carcinomes thyroïdiens, quatre avaient un diamètre maximal inférieur à 1 cm, et 4 ont été diagnostiqués sur des échantillons tissulaires après thyroïdectomie effectuée en raison de résultats obtenus avant le traitement par Saxenda.
  • +Dans le cadre des études cliniques portant sur Saxenda, un cancer papillaire de la thyroïde a été rapporté chez 8 (0,2%) des 3'291 patients traités par Saxenda par rapport à l'absence de cas chez les 1'843 patients recevant le placebo. Parmi ces carcinomes thyroïdiens, quatre avaient un diamètre maximal inférieur à 1 cm, et 4 ont été diagnostiqués sur des échantillons tissulaires après thyroïdectomie effectuée en raison de résultats obtenus avant le traitement par Saxenda.
  • -Dans les études cliniques portant sur Saxenda, des tumeurs colorectales bénignes (principalement des adénomes coliques) ont été rapportés chez 20 (0,6%) des 3291 patients traités par Saxenda par rapport à 7 (0,4%) des 1843 patients recevant le placebo. Six cas de carcinome colorectal ont été rapportés, 5 (0,2%) chez les patients traités par Saxenda et un (0,1%) chez les patients recevant le placebo.
  • +Dans les études cliniques portant sur Saxenda, des tumeurs colorectales bénignes (principalement des adénomes coliques) ont été rapportés chez 20 (0,6%) des 3'291 patients traités par Saxenda par rapport à 7 (0,4%) des 1'843 patients recevant le placebo. Six cas de carcinome colorectal ont été rapportés, 5 (0,2%) chez les patients traités par Saxenda et un (0,1%) chez les patients recevant le placebo.
  • -Chez les patients de ≥65 ans, des troubles gastro-intestinaux peuvent être plus fréquents au cours du traitement par Saxenda.
  • -Les patients dont la fonction rénale est légèrement ou modérément diminuée (clairance de la créatinine ≥30 ml/min) peuvent présenter plus fréquemment des troubles gastro-intestinaux sous traitement par Saxenda.
  • +Chez les patients de ≥ 65 ans, des troubles gastro-intestinaux peuvent être plus fréquents au cours du traitement par Saxenda.
  • +Les patients dont la fonction rénale est légèrement ou modérément diminuée (clairance de la créatinine ≥ 30 ml/min) peuvent présenter plus fréquemment des troubles gastro-intestinaux sous traitement par Saxenda.
  • -Le liraglutide stimule la sécrétion d'insuline et diminue la sécrétion de glucagon par un mécanisme gluco-dépendant, ce qui provoque une diminution de la glycémie postprandiale et de la glycémie à jeun. L'effet hypoglycémiant est plus marqué chez les patients pré-diabétiques et diabétiques que chez les patients dont les glycémies se situent dans des domaines normaux. Des études cliniques suggèrent que le liraglutide améliore et prolonge la fonction bêta-cellulaire, selon le modèle HOMA-B, et le rapport pro-insuline/insuline.
  • +Le liraglutide stimule la sécrétion d'insuline et diminue la sécrétion de glucagon par un mécanisme glucose-dépendant, ce qui provoque une diminution de la glycémie postprandiale et de la glycémie à jeun. L'effet hypoglycémiant est plus marqué chez les patients pré-diabétiques et diabétiques que chez les patients dont les glycémies se situent dans des domaines normaux. Des études cliniques suggèrent que le liraglutide améliore et prolonge la fonction bêta-cellulaire, selon le modèle HOMA-B, et le rapport pro-insuline/insuline.
  • -·Étude 1 (SCALE Obesity & Pre-Diabetes - 1839): au total, 3 731 patients obèses (IMC ≥30 kg/m2) ou en surpoids (IMC ≥27 kg/m2) présentant une dyslipidémie et/ou une hypertension artérielle ont été stratifiés selon leur stade prédiabétique au moment de l'inclusion et de leur IMC au départ (≥30 kg/m² ou <30 kg/m²). Les 3 731 patients randomisés ont reçu un traitement pendant 56 semaines et 2 254 patients prédiabétiques au moment de l'inclusion ont reçu un traitement pendant 160 semaines. Les deux périodes de traitement ont été suivies d'une période de suivi de 12 semaines sans médicament ni placebo. La thérapie de base pour tous les patients consistait en une intervention axée sur le mode de vie sous la forme d'un régime à valeur énergétique réduite et en conseils sur l'activité physique.La perte de poids a été évaluée pendant 56 semaines au cours de l'étude 1 chez les 3 731 patients randomisés (2 590 patients ont terminé l'étude).Dans la partie de l'étude 1 d'une durée de 160 semaines, le délai d'apparition du diabète sucré de type 2 a été évalué auprès de 2 254 patients randomisés atteints de pré-diabète (1 128 patients ont terminé l'étude).
  • +·Étude 1 (SCALE Obesity & Pre-Diabetes - 1839): au total, 3'731 patients obèses (IMC ≥ 30 kg/m2) ou en surpoids (IMC ≥ 27 kg/m2) présentant une dyslipidémie et/ou une hypertension artérielle ont été stratifiés selon leur stade prédiabétique au moment de l'inclusion et de leur IMC au départ (≥ 30 kg/m² ou < 30 kg/m²). Les 3 731 patients randomisés ont reçu un traitement pendant 56 semaines et 2'254 patients prédiabétiques au moment de l'inclusion ont reçu un traitement pendant 160 semaines. Les deux périodes de traitement ont été suivies d'une période de suivi de 12 semaines sans médicament ni placebo. La thérapie de base pour tous les patients consistait en une intervention axée sur le mode de vie sous la forme d'un régime à valeur énergétique réduite et en conseils sur l'activité physique.La perte de poids a été évaluée pendant 56 semaines au cours de l'étude 1 chez les 3'731 patients randomisés (2'590 patients ont terminé l'étude).Dans la partie de l'étude 1 d'une durée de 160 semaines, le délai d'apparition du diabète sucré de type 2 a été évalué auprès de 2'254 patients randomisés atteints de pré-diabète (1'128 patients ont terminé l'étude).
  • -·Étude 3 (SCALE Maintenance - 1923): une étude randomisée de 56 semaines évaluant la perte de poids et la stabilisation du poids comme critère d'évaluation principal chez 422 patients obèses ou en surpoids (dont 305 ont terminé l'étude) présentant une hypertension artérielle ou une dyslipidémie après une perte de poids antérieure ≥5% obtenue par un régime hypocalorique.
  • +·Étude 3 (SCALE Maintenance - 1923): une étude randomisée de 56 semaines évaluant la perte de poids et la stabilisation du poids comme critère d'évaluation principal chez 422 patients obèses ou en surpoids (dont 305 ont terminé l'étude) présentant une hypertension artérielle ou une dyslipidémie après une perte de poids antérieure ≥ 5% obtenue par un régime hypocalorique.
  • - Étude 1 (semaine 56) Étude 1 (semaine 160) Étude 2 Étude 3
  • - Saxenda n=2437 Placebo n=1225 Saxenda (N=1472) Placebo (N=738) Saxenda n=412 Placebo n=211 Saxenda n=207 Placebo n=206
  • + Étude 1 (semaine 56) Étude 1 (semaine 160) Étude 2 Étude 3
  • + Saxenda n=2'437 Placebo n=1'225 Saxenda (n=1'472) Placebo (n=738) Saxenda n=412 Placebo n=211 Saxenda n=207 Placebo n=206
  • -Analyse complète (FAS=Full Analysis Set). Pour le poids, les valeurs initiales sont des moyennes, les modifications à la semaine 56 et à la semaine 160 par rapport aux valeurs initiales sont des moyennes estimées (LSMeans=moindres carrés) et les différences de traitement à la semaine 56 et à la semaine 160 sont des différences de traitement estimées. Pour les proportions de patients (%) ayant perdu ≥5/>10% de leur poids, les odds ratios estimés sont présentés. Les valeurs post-inclusion manquantes ont été imputées à l'aide de la dernière observation reportée (Last Observation Carried Forward, LOCF). * p <0,05. ** p <0,0001. ET = écart-type. IC = intervalle de confiance.
  • +Analyse complète (FAS=Full Analysis Set). Pour le poids, les valeurs initiales sont des moyennes, les modifications à la semaine 56 et à la semaine 160 par rapport aux valeurs initiales sont des moyennes estimées (LSMeans = moindres carrés) et les différences de traitement à la semaine 56 et à la semaine 160 sont des différences de traitement estimées. Pour les proportions de patients (%) ayant perdu ≥ 5/> 10% de leur poids, les odds ratios estimés sont présentés. Les valeurs post-inclusion manquantes ont été imputées à l'aide de la dernière observation reportée (Last Observation Carried Forward, LOCF). * p < 0,05. ** p < 0,0001. ET = écart-type. IC = intervalle de confiance.
  • -Les répondeurs précoces (early responders) étaient définis comme les patients ayant obtenu une perte de poids ≥5% après 12 semaines avec une dose thérapeutique de liraglutide (4 semaines d'augmentation de la dose et 12 semaines de traitement). Dans le cadre de l'étude 1, 67,5% des patients étaient des répondeurs précoces et dans le cadre de l'étude 2, 50,4% des patients. En poursuivant le traitement au liraglutide, probablement 86,2% de ces répondeurs précoces atteignent une réduction de poids ≥5% après 1 an de traitement et 51% une perte de poids ≥10%. La perte de poids moyenne prévue chez les répondeurs précoces qui ont suivi le traitement pendant 1 an est de 11,2% de leur poids corporel initial (9,7% chez les hommes et 11,6% chez les femmes). Dans le groupe de patients ayant atteint une perte de poids <5% après un traitement de 12 semaines de 3 mg de liraglutide par jour, 6,6% des patients ont encore présenté une perte de poids ≥10% après 1 an.
  • +Les répondeurs précoces (early responders) étaient définis comme les patients ayant obtenu une perte de poids ≥ 5% après 12 semaines avec une dose thérapeutique de liraglutide (4 semaines d'augmentation de la dose et 12 semaines de traitement). Dans le cadre de l'étude 1, 67,5% des patients étaient des répondeurs précoces et dans le cadre de l'étude 2, 50,4% des patients. En poursuivant le traitement au liraglutide, 86,2% de ces répondeurs précoces devraient atteindre une réduction de poids ≥5% après 1 an de traitement et 51% une perte de poids ≥10%. La perte de poids moyenne prévue chez les répondeurs précoces qui ont suivi le traitement pendant 1 an est de 11,2% de leur poids corporel initial (9,7% chez les hommes et 11,6% chez les femmes). Dans le groupe de patients ayant atteint une perte de poids < 5% après un traitement de 12 semaines de 3 mg de liraglutide par jour, 6,6% des patients ont encore présenté une perte de poids ≥ 10% après 1 an.
  • - Saxenda (n=2437) Placebo (n=1225) Saxenda versus placebo
  • -Étude 1 (semaine 56) Valeur initiale Modification Valeur initiale Modification
  • + Saxenda (n=2'437) Placebo (n=1'225) Saxenda versus placebo
  • +Étude 1 (semaine 56) Valeur initiale Modification Valeur initiale Modification
  • - Saxenda (n=1472) Placebo (n=738) Saxenda versus placebo
  • -Étude 1 (semaine 160) Valeur initiale Modification Valeur initiale Modification
  • + Saxenda (n=1'472) Placebo (n=738) Saxenda versus placebo
  • +Étude 1 (semaine 160) Valeur initiale Modification Valeur initiale Modification
  • -Étude 2 (n=412) (n=211)
  • +Étude 2 (n=412) (n=211)
  • -Lors de l'analyse statistique des paramètres glycémiques et cardiométaboliques, le test multiple n'a pas été évalué et les résultats ne doivent donc pas être considérés comme statistiquement confirmatoires. Analyse complète (FAS=Full Analyse Set). Pour l'HbA1c, la glycémie à jeun, la pression artérielle et le tour de taille, les valeurs initiales sont des moyennes, les modifications observées à la semaine 56 et à la semaine 160 par rapport aux valeurs initiales sont des moyennes estimées (LSmeans, moindres carrés) et les différences de traitement à la semaine 56 et à la semaine 160 sont des différences de traitement estimées. Les valeurs post-inclusion manquantes ont été calculées à l'aide de la dernière observation reportée (Last Observation Carried Forward – LOCF).
  • -* p <0,05.
  • -** p <0,0001.
  • +Lors de l'analyse statistique des paramètres glycémiques et cardiométaboliques, le test multiple n'a pas été évalué et les résultats ne doivent donc pas être considérés comme statistiquement confirmatoires. Analyse complète (FAS = Full Analyse Set). Pour l'HbA1c, la glycémie à jeun, la pression artérielle et le tour de taille, les valeurs initiales sont des moyennes, les modifications observées à la semaine 56 et à la semaine 160 par rapport aux valeurs initiales sont des moyennes estimées (LSmeans, moindres carrés) et les différences de traitement à la semaine 56 et à la semaine 160 sont des différences de traitement estimées. Les valeurs post-inclusion manquantes ont été calculées à l'aide de la dernière observation reportée (Last Observation Carried Forward – LOCF).
  • +* p < 0,05.
  • +** p < 0,0001.
  • -Les patients traités par Saxenda peuvent développer des anticorps anti-liraglutide. Lors d'une analyse effectuée après le début du traitement, 42 (2,8%) des 1 505 patients traités par Saxenda présentaient des anticorps anti-liraglutide. Des anticorps dotés d'un effet neutralisant au cours d'un test effectué in vitro sont apparus chez 18 (1,2%) des 1 505 patients traités par Saxenda. La présence d'anticorps pourrait être en rapport avec l'apparition accrue de réactions au site d'injection et d'hypoglycémies rapportées. Au cours d'études cliniques, ces résultats ont été généralement d'intensité légère et disparaissaient lors de la poursuite du traitement. La détection de formation d'anticorps est fortement dépendante de la sensibilité et de la spécificité du test. En outre, l'incidence observée des anticorps détectés (y compris des anticorps neutralisants) dans un test peut être influencée par divers facteurs, comme la méthode de test, la gestion des échantillons, le déroulement du recueil des échantillons, la comédication ainsi que les maladies sous-jacentes. Cela explique pourquoi la survenue d'anticorps contre Saxenda ne peut être directement comparée à la survenue d'anticorps d'autres produits.
  • +Les patients traités par Saxenda peuvent développer des anticorps anti-liraglutide. Lors d'une analyse effectuée après le début du traitement, 42 (2,8%) des 1'505 patients traités par Saxenda présentaient des anticorps anti-liraglutide. Des anticorps dotés d'un effet neutralisant au cours d'un test effectué in vitro sont apparus chez 18 (1,2%) des 1'505 patients traités par Saxenda. La présence d'anticorps pourrait être en rapport avec l'apparition accrue de réactions au site d'injection et d'hypoglycémies rapportées. Au cours d'études cliniques, ces résultats ont été généralement d'intensité légère et disparaissaient lors de la poursuite du traitement. La détection de formation d'anticorps est fortement dépendante de la sensibilité et de la spécificité du test. En outre, l'incidence observée des anticorps détectés (y compris des anticorps neutralisants) dans un test peut être influencée par divers facteurs, comme la méthode de test, la gestion des échantillons, le déroulement du recueil des échantillons, la comédication ainsi que les maladies sous-jacentes. Cela explique pourquoi la survenue d'anticorps contre Saxenda ne peut être directement comparée à la survenue d'anticorps d'autres produits.
  • -Les événements indésirables cardiovasculaires majeurs (MACE) ont été évalués par un groupe d'experts indépendants externes et définis comme infarctus du myocarde non fatal, accident vasculaire cérébral non fatal et décès cardiovasculaire. Dans l'ensemble des études menées avec Saxenda, 6 MACE ont été observés chez les patients traités par liraglutide et 10 chez les patients recevant un placebo. Le rapport de risque et IC à 95% est de 0,33 [0,12; 0,90] pour le liraglutide par rapport au placebo. Une élévation moyenne de la fréquence cardiaque de 2,5 battements par minute par rapport à la valeur initiale (allant de 1,6 à 3,6 battements par minute suivant l'étude) a été observée avec le liraglutide dans les études de phase 3, qui a atteint son maximum après environ 6 semaines et était réversible après l'arrêt du liraglutide (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -L'étude LEADER (Liraglutide Effect and Action in Diabetes Evaluation of Cardiovascular Outcome Results) a étudié l'incidence des événements cardiovasculaires graves (MACE: décès cardiovasculaire, infarctus du myocarde non mortel, accident vasculaire cérébral non mortel) chez 9 340 patients présentant un diabète sucré de type 2 important et un risque cardiovasculaire accru. Après randomisation (1:1), les patients ont été traités (durée moyenne du traitement environ 3,5 ans), en plus du traitement standard, soit avec jusqu'à 1,8 mg de liraglutide par jour (4 668 patients) ou un placebo (4 672 patients). Le critère d'évaluation principal était le délai d'apparition d'un MACE. Le liraglutide a significativement réduit ce risque à la dose testée (rapport de risque 0,87 [0,78; 0,97] IC à 95%).
  • +Les événements indésirables cardiovasculaires majeurs (MACE) ont été évalués par un groupe d'experts indépendants externes et définis comme infarctus du myocarde non fatal, accident vasculaire cérébral non fatal et le décès cardiovasculaire. Dans l'ensemble des études menées avec Saxenda, 6 MACE ont été observés chez les patients traités par liraglutide et 10 chez les patients recevant un placebo. Le rapport de risque et l'IC à 95% est de 0,33 [0,12; 0,90] pour le liraglutide par rapport au placebo. Une élévation moyenne de la fréquence cardiaque de 2,5 battements par minute par rapport à la valeur initiale (allant de 1,6 à 3,6 battements par minute suivant l'étude) a été observée avec le liraglutide dans les études de phase 3, qui a atteint son maximum après environ 6 semaines et était réversible après l'arrêt du liraglutide (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +L'étude LEADER (Liraglutide Effect and Action in Diabetes Evaluation of Cardiovascular Outcome Results) a étudié l'incidence des événements cardiovasculaires graves (MACE: décès cardiovasculaire, infarctus du myocarde non mortel, accident vasculaire cérébral non mortel) chez 9'340 patients présentant un diabète sucré de type 2 important et un risque cardiovasculaire accru. Après randomisation (1:1), les patients ont été traités (durée moyenne du traitement environ 3,5 ans), en plus du traitement standard, soit avec jusqu'à 1,8 mg de liraglutide par jour (4'668 patients) ou un placebo (4'672 patients). Le critère d'évaluation principal était le délai d'apparition d'un MACE. Le liraglutide a significativement réduit ce risque à la dose testée (rapport de risque 0,87 [0,78; 0,97] IC à 95%).
  • -Après administration sous-cutanée de 3,0 mg de liraglutide, le volume de distribution moyen apparent est de 20-25 l (chez une personne pesant environ 100 kg). Le liraglutide se lie largement aux protéines plasmatiques (>98%).
  • +Après administration sous-cutanée de 3,0 mg de liraglutide, le volume de distribution moyen apparent est de 20-25 l (chez une personne pesant environ 100 kg). Le liraglutide se lie largement aux protéines plasmatiques (> 98%).
  • -Dans les 24 heures suivant l'administration d'une dose unique de [3H]-liraglutide à des sujets sains, on trouvait principalement du liraglutide intact dans le plasma. Deux métabolites ont été détectés dans le plasma (≤9% et ≤5% de la radioactivité plasmatique totale).
  • +Dans les 24 heures suivant l'administration d'une dose unique de [3H]-liraglutide à des sujets sains, on trouvait principalement du liraglutide intact dans le plasma. Deux métabolites ont été détectés dans le plasma (≤ 9% et ≤ 5% de la radioactivité plasmatique totale).
  • -L'exposition au liraglutide diminue quand le poids initial augmente. D'après l'analyse des données d'efficacité des études cliniques, la dose quotidienne de 3 mg de liraglutide assurait une exposition systémique adéquate chez des patients d'un poids compris entre 60 et 234 kg. L'exposition au liraglutide n'a pas été étudiée chez les patients de poids >234 kg.
  • +L'exposition au liraglutide diminue quand le poids initial augmente. D'après l'analyse des données d'efficacité des études cliniques, la dose quotidienne de 3 mg de liraglutide assurait une exposition systémique adéquate chez des patients d'un poids compris entre 60 et 234 kg. L'exposition au liraglutide n'a pas été étudiée chez les patients de poids > 234 kg.
  • -La pharmacocinétique du liraglutide a été évaluée chez des sujets présentant un degré variable d'insuffisance hépatique dans une étude avec des doses uniques (0,75 mg). L'exposition au liraglutide a diminué de 13-23% chez les sujets qui présentaient une insuffisance hépatique légère à modérée par rapport aux sujets sains. L'exposition était nettement diminuée (44%) chez les patients atteints d'une insuffisance hépatique sévère (score de Child Pugh >9).
  • +La pharmacocinétique du liraglutide a été évaluée chez des sujets présentant un degré variable d'insuffisance hépatique dans une étude avec des doses uniques (0,75 mg). L'exposition au liraglutide a diminué de 13-23% chez les sujets qui présentaient une insuffisance hépatique légère à modérée par rapport aux sujets sains. L'exposition avait nettement diminuée (44%) chez les patients atteints d'une insuffisance hépatique sévère (score de Child Pugh > 9).
  • -Au cours de l'étude à doses uniques (0,75 mg), l'exposition au liraglutide s'est révélée plus faible chez les sujets qui présentaient une insuffisance rénale par rapport à ceux ayant une fonction rénale normale. L'exposition au liraglutide a diminué de respectivement 33%, 14%, 27% et 26% chez les sujets présentant respectivement une insuffisance rénale légère (clairance de la créatinine ClCr 50-80 ml/min), modérée (ClCr 30-50 ml/min), sévère (ClCr <30 ml/min) et une insuffisance rénale terminale nécessitant une dialyse.
  • +Au cours de l'étude à doses uniques (0,75 mg), l'exposition au liraglutide s'est révélée plus faible chez les sujets qui présentaient une insuffisance rénale par rapport à ceux ayant une fonction rénale normale. L'exposition au liraglutide a diminué de respectivement 33%, 14%, 27% et 26% chez les sujets présentant respectivement une insuffisance rénale légère (clairance de la créatinine ClCr 50-80 ml/min), modérée (ClCr 30-50 ml/min), sévère (ClCr < 30 ml/min) et une insuffisance rénale terminale nécessitant une dialyse.
  • -Après ouverture: après la première utilisation du stylo Saxenda, le produit peut être conservé 1 mois à température ambiante (pas plus de 30°C) ou au réfrigérateur (2-8°C).
  • +Après ouverture: après la première utilisation du stylo Saxenda, le produit peut être conservé 1 mois à température ambiante (à pas plus de 30°C) ou au réfrigérateur (2-8°C).
  • -Octobre 2018.
  • +Avril 2019.
2025 ©ywesee GmbH
Einstellungen | Aide | FAQ | Identification | Contact | Home