106 Changements de l'information professionelle Saxenda 6 mg/ml |
-Principe actif
-Liraglutide.
- +Principes actifs
- +Liraglutidum.
-Dinatrii phosphas dihydricus, Propylenglycolum, Conserv.: Phenolum 5.5 mg; Aqua ad iniectabilia.
- +Dinatrii phosphas dihydricus, Propylenglycolum, Phenolum, Acidum hydrochloridum/Natrii hydroxidum (q.s. ad pH), Aqua ad iniectabilia.
- +Ce médicament contient 0,367 mg/ml de sodium.
- +
-·Les adolescents à partir de 12 ans dont le poids est ≥60 kg et en situation d'obésité, conformément aux seuils internationalement reconnus en la matière (correspond à un IMC ≥30 kg/m2 chez l'adulte).
-*Seuils IMC de l'IOTF pour l'obésité en fonction du sexe pour les adolescents entre 12 et 18 ans
- +·Les adolescents à partir de 12 ans dont le poids est ≥60 kg et en situation d'obésité, conformément aux seuils internationalement reconnus en la matière (correspond à un IMC ≥30 kg/m2 chez l'adulte)*.
- +*Seuils IMC de l'IOTF pour l'obésité en fonction du sexe pour les adolescents entre 12 et 18 ans.
-Le traitement avec Saxenda doit être interrompu ou réévalué si l'IMC ou la valeur Z de l'IMC des patients s'est pas améliorée d'au moins 4% après un traitement de 12 semaines avec une dose de 3,0 mg/jour ou une dose maximale autorisée.
- +Le traitement avec Saxenda doit être interrompu ou réévalué si l'IMC ou la valeur Z de l'IMC des patients ne s'est pas améliorée d'au moins 4% après un traitement de 12 semaines avec une dose de 3,0 mg/jour ou une dose maximale autorisée.
-Posologie habituelle
- +Posologie usuelle
-Adaptation de la dose/titration
- +Ajustement de la posologie / titration
-Groupes de patients particuliers
-Patients atteints d'insuffisance hépatique
- +Instructions posologiques particulières
- +Patients présentant des troubles de la fonction hépatique
-Patients atteints de troubles de la fonction rénale
- +Patients présentant des troubles de la fonction rénale
-Pour les adolescents âgés entre 12 et 18 ans, une augmentation de la dose similaire à celle utilisée chez l'adulte doit être effectuée. La dose doit être augmentée jusqu'à 3,0 mg (dose d'entretien) ou jusqu'à la dose maximale tolérée. Les doses quotidiennes supérieures à 3,0 mg ne sont pas conseillées.
- +Pour les adolescents âgés entre 12 et 18 ans, une augmentation de la dose similaire à celle utilisée chez l'adulte doit être effectuée (voir Tableau 1). La dose doit être augmentée jusqu'à 3,0 mg (dose d'entretien) ou jusqu'à la dose maximale tolérée. Les doses quotidiennes supérieures à 3,0 mg ne sont pas conseillées.
-Saxenda ne doit pas être utilisé à la place de l'insuline chez les patients diabétiques. Des cas d'acidocétose diabétique ont été rapportés chez des patients insulino-dépendants après une interruption rapide de l'administration d'insuline ou une réduction rapide de la dose d'insuline (voir sous «Posologie/Mode d'emploi»).
- +Saxenda ne doit pas être utilisé à la place de l'insuline chez les patients diabétiques. Des cas d'acidocétose diabétique ont été rapportés chez des patients insulino-dépendants après une interruption rapide de l'administration d'insuline ou une réduction rapide de la dose d'insuline (voir sous rubrique «Posologie/Mode d'emploi»).
-Le liraglutide augmente la fréquence cardiaque (voir sous «Propriétés / Effets»). La fréquence cardiaque doit être mesurée à intervalles réguliers conformément à la pratique clinique habituelle. Les patients doivent être informés des symptômes caractéristiques d'une fréquence cardiaque élevée (palpitations ou sensation d'emballement du cœur au repos). Le liraglutide doit être arrêté chez les patients qui présentent une élévation durable cliniquement significative de la fréquence cardiaque au repos.
- +Le liraglutide augmente la fréquence cardiaque (voir sous «Propriétés/Effets»). La fréquence cardiaque doit être mesurée à intervalles réguliers conformément à la pratique clinique habituelle. Les patients doivent être informés des symptômes caractéristiques d'une fréquence cardiaque élevée (palpitations ou sensation d'emballement du cœur au repos). Le liraglutide doit être arrêté chez les patients qui présentent une élévation durable cliniquement significative de la fréquence cardiaque au repos.
-Saxenda contient du sodium, mais moins de 1 mmol (23 mg) de sel par dose, ce qui implique que le médicament est considéré comme «sans sel».
- +Saxenda contient du sodium, mais moins de 1 mmol (23 mg) de sodium par dose, c.-à-d. que le médicament est essentiellement «sans sodium».
-Le liraglutide n'a pas entraîné de modification de l'exposition totale au paracétamol après administration d'une dose unique de 1'000 mg. La Cmax du paracétamol a diminué de 31%; le tmax moyen a augmenté jusqu'à 15 min. Aucune adaptation de la dose n'est nécessaire en cas d'utilisation concomitante de paracétamol.
- +Le liraglutide n'a pas entraîné de modification de l'exposition totale au paracétamol après administration d'une dose unique de 1'000 mg. La Cmax du paracétamol a diminué de 31 %; le tmax moyen a augmenté jusqu'à 15 min. Aucune adaptation de la dose n'est nécessaire en cas d'utilisation concomitante de paracétamol.
-Après l'administration d'une dose unique de 1 mg de digoxine avec du liraglutide, l'AUC de la digoxine a été réduite de 16% et la Cmax a diminué de 31%. Avec le liraglutide, le tmax moyen de la digoxine passait de 1h à 1,5h. Ces résultats indiquent qu'aucun ajustement posologique de la digoxine n'est nécessaire.
- +Après l'administration d'une dose unique de 1 mg de digoxine avec du liraglutide, l'AUC de la digoxine a été réduite de 16 % et la Cmax a diminué de 31 %. Avec le liraglutide, le tmax moyen de la digoxine passait de 1h à 1,5h. Ces résultats indiquent qu'aucun ajustement posologique de la digoxine n'est nécessaire.
-Après l'administration d'une dose unique de 20 mg de lisinopril avec du liraglutide, l'AUC du lisinopril a été réduite de 15% et la Cmax a diminué de 27%. Avec le liraglutide, le tmax moyen du lisinopril a été retardé, passant de 6h à 8h. Ces résultats indiquent qu'aucun ajustement posologique du lisinopril n'est nécessaire.
- +Après l'administration d'une dose unique de 20 mg de lisinopril avec du liraglutide, l'AUC du lisinopril a été réduite de 15 % et la Cmax a diminué de 27 %. Avec le liraglutide, le tmax moyen du lisinopril a été retardé, passant de 6h à 8h. Ces résultats indiquent qu'aucun ajustement posologique du lisinopril n'est nécessaire.
-Après l'administration d'une dose unique d'un contraceptif oral, le liraglutide a diminué la Cmax de l'éthinylestradiol et du lévonorgestrel de respectivement 12 et 13%. Le tmax des deux substances s'est prolongé de 1,5 h sous le liraglutide. Aucun effet cliniquement significatif concernant l'AUC de l'éthinylestradiol ou du lévonorgestrel n'a été observé. L'effet contraceptif n'est donc apparemment pas altéré lors de l'administration simultanée du liraglutide.
- +Après l'administration d'une dose unique d'un contraceptif oral, le liraglutide a diminué la Cmax de l'éthinylestradiol et du lévonorgestrel de respectivement 12 % et 13 %. Le tmax des deux substances s'est prolongé de 1,5 h sous le liraglutide. Aucun effet cliniquement significatif concernant l'AUC de l'éthinylestradiol ou du lévonorgestrel n'a été observé. L'effet contraceptif n'est donc apparemment pas altéré lors de l'administration simultanée du liraglutide.
-Saxenda ne présente pas d'effet ou un effet négligeable sur l'aptitude à la conduite et à l'utilisation des machines.
- +Saxenda n'a aucune influence ou a une influence négligeable sur l'aptitude à la conduite ou l'utilisation de machines.
-Les catégories de fréquences sont définies de la manière suivante: «très fréquents» (≥1/10), «fréquents» (≥1/100 à <1/10), «occasionnels» (≥1/1000 à <1/100), «rares» (≥1/10 000 à <1/1000), «très rares» (<1/10 000). Au sein de chaque groupe de fréquence, les réactions indésirables sont présentées suivant un ordre décroissant de gravité.
- +Les catégories de fréquences sont définies de la manière suivante: «très fréquents» (≥1/10), «fréquents» (≥1/100 à <1/10), «occasionnels» (≥1/1000 à <1/100), «rares» (≥1/10'000 à <1/1000), «très rares» (<1/10'000). Au sein de chaque groupe de fréquence, les réactions indésirables sont présentées suivant un ordre décroissant de gravité.
-Troubles de la peau et du tissu sous-cutané Occasionnels Urticaire
-Troubles rénaux et des voies urinaires Rares Insuffisance rénale aiguë Insuffisance rénale
- +Affections de la peau et du tissu sous-cutané Occasionnels Urticaire
- +Affections du rein et des voies urinaires Rares Insuffisance rénale aiguë Insuffisance rénale
-Description de certains effets indésirables:
- +Description de certains effets indésirables
-Dans le cadre des études cliniques portant sur Saxenda, un cancer du sein a été rapporté chez 17 (0,7%) des 2379 femmes traitées par Saxenda par rapport à 3 (0,2%) des 1300 femmes recevant le placebo, y compris des cancers invasifs (13 femmes traitées par Saxenda et 2 femmes recevant le placebo) et des carcinomes canalaires in situ (4 femmes traitées par Saxenda et 1 femme recevant le placebo). La plupart des cancers étaient positifs pour les récepteurs à estrogènes et progestérone. Les cas n'étaient pas assez nombreux pour qu'on puisse déterminer s'ils étaient liés à Saxenda. En outre, les données disponibles sont insuffisantes pour déterminer si Saxenda a des effets sur une néoplasie du sein préexistante.
- +Dans le cadre des études cliniques portant sur Saxenda, un cancer du sein a été rapporté chez 17 (0,7 %) des 2379 femmes traitées par Saxenda par rapport à 3 (0,2 %) des 1300 femmes recevant le placebo, y compris des cancers invasifs (13 femmes traitées par Saxenda et 2 femmes recevant le placebo) et des carcinomes canalaires in situ (4 femmes traitées par Saxenda et 1 femme recevant le placebo). La plupart des cancers étaient positifs pour les récepteurs à estrogènes et progestérone. Les cas n'étaient pas assez nombreux pour qu'on puisse déterminer s'ils étaient liés à Saxenda. En outre, les données disponibles sont insuffisantes pour déterminer si Saxenda a des effets sur une néoplasie du sein préexistante.
-Dans le cadre des études cliniques portant sur Saxenda, un cancer papillaire de la thyroïde a été rapporté chez 8 (0,2%) des 3'291 patients traités par Saxenda par rapport à l'absence de cas chez les 1'843 patients recevant le placebo. Parmi ces carcinomes papillaires de la thyroïde, quatre avaient un diamètre maximal inférieur à 1 cm, et 4 ont été diagnostiqués sur des échantillons tissulaires après thyroïdectomie effectuée en raison de résultats obtenus avant le traitement par Saxenda.
- +Dans le cadre des études cliniques portant sur Saxenda, un cancer papillaire de la thyroïde a été rapporté chez 8 (0,2 %) des 3'291 patients traités par Saxenda par rapport à l'absence de cas chez les 1'843 patients recevant le placebo. Parmi ces carcinomes papillaires de la thyroïde, quatre avaient un diamètre maximal inférieur à 1 cm, et 4 ont été diagnostiqués sur des échantillons tissulaires après thyroïdectomie effectuée en raison de résultats obtenus avant le traitement par Saxenda.
-Dans les études cliniques portant sur Saxenda, des tumeurs colorectales bénignes (principalement des adénomes coliques) ont été rapportées chez 20 (0,6%) des 3'291 patients traités par Saxenda par rapport à 7 (0,4%) des 1'843 patients recevant le placebo. Six cas de carcinome colorectal ont été rapportés, 5 (0,2%) chez les patients traités par Saxenda et un (0,1%) chez les patients recevant le placebo.
- +Dans les études cliniques portant sur Saxenda, des tumeurs colorectales bénignes (principalement des adénomes coliques) ont été rapportées chez 20 (0,6 %) des 3'291 patients traités par Saxenda par rapport à 7 (0,4 %) des 1'843 patients recevant le placebo. Six cas de carcinome colorectal ont été rapportés, 5 (0,2 %) chez les patients traités par Saxenda et un (0,1 %) chez les patients recevant le placebo.
-Très fréquents – Hypoglycémie chez les patients présentant un diabète de type 2 (23%)
-Au cours d'une étude clinique menée chez des patients obèses ou en surpoids présentant un diabète de type 2 et traités par Saxenda en association à un régime alimentaire et à de l'activité physique, des évènements hypoglycémiques sévères (nécessitant l'intervention d'un tiers) ont été rapportés par 0,7% des patients traités par Saxenda, mais uniquement chez les patients traités de façon concomitante par une sulfonylurée. De plus, chez ces patients, des hypoglycémies symptomatiques documentées ont été rapportées par 43,6% des patients traités par Saxenda et par 27,3% des patients recevant un placebo. Parmi les patients non traités de manière concomitante par une sulfonylurée, 15,7% des patients traités par Saxenda et 7,6% des patients recevant un placebo ont rapporté des événements hypoglycémiques symptomatiques documentés (définis par une glycémie ≤3,9 mmol/l accompagnée de symptômes).
- +Très fréquents – Hypoglycémie chez les patients présentant un diabète de type 2 (23 %)
- +Au cours d'une étude clinique menée chez des patients obèses ou en surpoids présentant un diabète de type 2 et traités par Saxenda en association à un régime alimentaire et à de l'activité physique, des évènements hypoglycémiques sévères (nécessitant l'intervention d'un tiers) ont été rapportés par 0,7 % des patients traités par Saxenda, mais uniquement chez les patients traités de façon concomitante par une sulfonylurée. De plus, chez ces patients, des hypoglycémies symptomatiques documentées ont été rapportées par 43,6 % des patients traités par Saxenda et par 27,3 % des patients recevant un placebo. Parmi les patients non traités de manière concomitante par une sulfonylurée, 15,7 % des patients traités par Saxenda et 7,6 % des patients recevant un placebo ont rapporté des événements hypoglycémiques symptomatiques documentés (définis par une glycémie ≤3,9 mmol/l accompagnée de symptômes).
-Dans le cadre d'une étude clinique menée auprès de patients en surpoids ou obèses atteints de diabète sucré de type 2, traités à l'insuline et à Saxenda en association avec un régime alimentaire et une activité physique et traités par jusqu'à deux ADO, 1,5% d'hypoglycémies sévères (nécessitant une aide extérieure) ont été signalées sous Saxenda. Dans cette étude, 47,2% d'hypoglycémies symptomatiques (définie par un taux de glucose plasmatique de ≤3,9 mmol/l accompagné de symptômes) ont été signalées avec Saxenda et 51,8% avec le placebo. Dans le sous-groupe de patients traités en plus par une sulfonylurée, 60,9% des patients sous Saxenda ont signalé des événements hypoglycémiques symptomatiques documentés et 60% sous placebo.
- +Dans le cadre d'une étude clinique menée auprès de patients en surpoids ou obèses atteints de diabète sucré de type 2, traités à l'insuline et à Saxenda en association avec un régime alimentaire et une activité physique et traités par jusqu'à deux ADO, 1,5 % d'hypoglycémies sévères (nécessitant une aide extérieure) ont été signalées sous Saxenda. Dans cette étude, 47,2 % d'hypoglycémies symptomatiques (définie par un taux de glucose plasmatique de ≤3,9 mmol/l accompagné de symptômes) ont été signalées avec Saxenda et 51,8 % avec le placebo. Dans le sous-groupe de patients traités en plus par une sulfonylurée, 60,9 % des patients sous Saxenda ont signalé des événements hypoglycémiques symptomatiques documentés et 60% sous placebo.
-Au cours des études cliniques menées chez des patients obèses ou en surpoids ne présentant pas de diabète de type 2 et traités par Saxenda en association à un régime alimentaire et à de l'activité physique, aucun événement hypoglycémique sévère (nécessitant l'intervention d'un tiers) n'a été rapporté. Des symptômes compatibles avec une hypoglycémie ont été rapportés par 1,6% des patients traités par Saxenda et par 1,1% des patients recevant le placebo; ces événements n'ont toutefois pas été confirmés par une mesure de la glycémie. La majorité de ces événements était d'intensité légère.
- +Au cours des études cliniques menées chez des patients obèses ou en surpoids ne présentant pas de diabète de type 2 et traités par Saxenda en association à un régime alimentaire et à de l'activité physique, aucun événement hypoglycémique sévère (nécessitant l'intervention d'un tiers) n'a été rapporté. Des symptômes compatibles avec une hypoglycémie ont été rapportés par 1,6 % des patients traités par Saxenda et par 1,1 % des patients recevant le placebo; ces événements n'ont toutefois pas été confirmés par une mesure de la glycémie. La majorité de ces événements était d'intensité légère.
-Au cours des études cliniques, une tachycardie a été rapportée chez 0,6% des patients traités par Saxenda et chez 0,1% des patients recevant le placebo. La plupart de ces évènements étaient d'intensité légère à modérée. Les évènements apparaissaient uniquement de manière isolée et la majorité d'entre eux s'est résolue lors de la poursuite du traitement par Saxenda.
- +Au cours des études cliniques, une tachycardie a été rapportée chez 0,6 % des patients traités par Saxenda et chez 0,1 % des patients recevant le placebo. La plupart de ces évènements étaient d'intensité légère à modérée. Les évènements apparaissaient uniquement de manière isolée et la majorité d'entre eux s'est résolue lors de la poursuite du traitement par Saxenda.
-Les effets indésirables liés à l'hypotension artérielle (c'est-à-dire les rapports d'hypotension, hypotension orthostatique, de collapsus circulatoire et de chute de tension artérielle) ont été rapportés plus fréquemment (1,1%) au cours des études cliniques menées sur Saxenda que lors de l'utilisation du placebo (0,5%). Les baisses de la tension artérielle systolique inférieures à 80 mmHg ont été rapportées chez 4 (0,1%) patients traités par Saxenda alors qu'elles n'étaient rapportées chez aucun patient recevant le placebo. Chez l'un des patients traités par Saxenda, l'hypotension artérielle est apparue dans un contexte d'effets indésirables gastro-intestinaux et d'insuffisance rénale.
- +Les effets indésirables liés à l'hypotension artérielle (c'est-à-dire les rapports d'hypotension, hypotension orthostatique, de collapsus circulatoire et de chute de tension artérielle) ont été rapportés plus fréquemment (1,1 %) au cours des études cliniques menées sur Saxenda que lors de l'utilisation du placebo (0,5 %). Les baisses de la tension artérielle systolique inférieures à 80 mmHg ont été rapportées chez 4 (0,1 %) patients traités par Saxenda alors qu'elles n'étaient rapportées chez aucun patient recevant le placebo. Chez l'un des patients traités par Saxenda, l'hypotension artérielle est apparue dans un contexte d'effets indésirables gastro-intestinaux et d'insuffisance rénale.
-Très fréquents – Nausées (39,3%), vomissements (15,7%), diarrhée (20,9%), constipation (19,4%)
- +Très fréquents – Nausées (39,3 %), vomissements (15,7 %), diarrhée (20,9 %), constipation (19,4 %)
-Affections des reins et des voies urinaires
- +Affections du rein et des voies urinaires
-Troubles généraux et anomalies au site d'injection
- +Troubles généraux et anomalies au site d'administration
-Le liraglutide est un analogue acylé du glucagon-like peptide 1 humain (GLP-1) présentant 97% d'homologie en termes de séquence d'acides aminés avec le GLP-1 humain, qui se lie au récepteur du GLP-1 et l'active.
- +Le liraglutide est un analogue acylé du glucagon-like peptide 1 humain (GLP-1) présentant 97 % d'homologie en termes de séquence d'acides aminés avec le GLP-1 humain, qui se lie au récepteur du GLP-1 et l'active.
-·Étude 1 (SCALE Obesity & Pre-Diabetes - 1839): au total, 3'731 patients obèses (IMC ≥30 kg/m2) ou en surpoids (IMC ≥27 kg/m2) présentant une dyslipidémie et/ou une hypertension artérielle ont été stratifiés selon leur stade prédiabétique au moment de l'inclusion et de leur IMC au départ (≥30 kg/m² ou <30 kg/m²). Les 3 731 patients randomisés ont reçu un traitement pendant 56 semaines et 2'254 patients randomisés prédiabétiques au moment de l'inclusion ont reçu un traitement pendant 160 semaines. Les deux périodes de traitement ont été suivies d'une période de suivi de 12 semaines sans médicament ni placebo. La thérapie de base pour tous les patients consistait en une intervention axée sur le mode de vie sous la forme d'un régime à valeur énergétique réduite et en conseils sur l'activité physique.La perte de poids a été évaluée pendant 56 semaines au cours de l'étude 1 chez les 3'731 patients randomisés (2'590 patients ont terminé l'étude).Dans la partie de l'étude 1 d'une durée de 160 semaines, le délai d'apparition du diabète sucré de type 2 a été évalué auprès de 2'254 patients randomisés atteints de pré-diabète (1'128 patients ont terminé l'étude).
-·Étude 2 (SCALE Diabetes - 1922): une étude randomisée de 56 semaines évaluant la perte de poids comme critère d'évaluation principal chez 846 patients obèses ou en surpoids (dont 628 ont terminé l'étude) présentant un diabète de type 2 insuffisamment contrôlé (HbA1c compris entre 7 et 10%). Le traitement de fond au début de l'étude était soit un régime alimentaire et de l'activité physique seuls, ou en association avec un traitement par la metformine, une sulfonylurée ou une glitazone en monothérapie, soit une association de ces traitements.
-·Étude 3 (SCALE Maintenance - 1923): une étude de 56 semaines évaluant la perte de poids et la stabilisation du poids comme critère d'évaluation principal chez 422 patients randomisés obèses ou en surpoids (dont 305 ont terminé l'étude) présentant une hypertension artérielle ou une dyslipidémie après une perte de poids antérieure ≥5% obtenue par un régime hypocalorique.
- +·Étude 1 (SCALE Obesity & Pre-Diabetes - 1839): au total, 3'731 patients obèses (IMC ≥30 kg/m2) ou en surpoids (IMC ≥27 kg/m2) présentant une dyslipidémie et/ou une hypertension artérielle ont été stratifiés selon leur stade prédiabétique au moment de l'inclusion et de leur IMC au départ (≥30 kg/m² ou <30 kg/m²). Les 3'731 patients randomisés ont reçu un traitement pendant 56 semaines et 2'254 patients randomisés prédiabétiques au moment de l'inclusion ont reçu un traitement pendant 160 semaines. Les deux périodes de traitement ont été suivies d'une période de suivi de 12 semaines sans médicament ni placebo. La thérapie de base pour tous les patients consistait en une intervention axée sur le mode de vie sous la forme d'un régime à valeur énergétique réduite et en conseils sur l'activité physique.La perte de poids a été évaluée pendant 56 semaines au cours de l'étude 1 chez les 3'731 patients randomisés (2'590 patients ont terminé l'étude).Dans la partie de l'étude 1 d'une durée de 160 semaines, le délai d'apparition du diabète sucré de type 2 a été évalué auprès de 2'254 patients randomisés atteints de pré-diabète (1'128 patients ont terminé l'étude).
- +·Étude 2 (SCALE Diabetes - 1922): une étude randomisée de 56 semaines évaluant la perte de poids comme critère d'évaluation principal chez 846 patients obèses ou en surpoids (dont 628 ont terminé l'étude) présentant un diabète de type 2 insuffisamment contrôlé (HbA1c compris entre 7 et 10 %). Le traitement de fond au début de l'étude était soit un régime alimentaire et de l'activité physique seuls, ou en association avec un traitement par la metformine, une sulfonylurée ou une glitazone en monothérapie, soit une association de ces traitements.
- +·Étude 3 (SCALE Maintenance - 1923): une étude de 56 semaines évaluant la perte de poids et la stabilisation du poids comme critère d'évaluation principal chez 422 patients randomisés obèses ou en surpoids (dont 305 ont terminé l'étude) présentant une hypertension artérielle ou une dyslipidémie après une perte de poids antérieure ≥5 % obtenue par un régime hypocalorique.
- Saxenda n=2'437 Placebo n=1'225 Saxenda (n=1'472) Placebo (n=738) Saxenda n=412 Placebo n=211 Saxenda n=207 Placebo n=206
- + Saxenda n=2437 Placebo n=1225 Saxenda (n=1472) Placebo (n=738) Saxenda n=412 Placebo n=211 Saxenda n=207 Placebo n=206
-Saxenda versus placebo, en % (IC à 95%) -5,4* (-5,8;-5,0) -4,3** (-4,9; -3,7) -4,0** (-4,8;-3,1) -6,1** (-7,5; -4,6)
- +Saxenda versus placebo, en % (IC à 95 %) -5,4* (-5,8;-5,0) -4,3** (-4,9; -3,7) -4,0** (-4,8;-3,1) -6,1** (-7,5; -4,6)
-Saxenda versus placebo, en kg (IC à 95%) -5,6** (-6,0; -5,1) -4,6** (-5,3; -3,9) -4,1** (-5,0; -3,1) -5,9** (-7,3; -4,4)
-% de patients ayant perdu ≥5% du poids corporel 63,5 26,6 49,6 23,4 49,8 13,5 50,7 21,3
-Saxenda versus placebo, kg (IC à 95%) 4,8** (4,1; 5,6) 3,2** (2,6; 3,9) 6,4** (4,1; 10,0) 3,8** (2,4; 6,0)
-% de patients ayant perdu >10% de leur poids corporel 32,8 10,1 24,4 9,5 22,9 4,2 27,4 6,8
-Saxenda versus placebo, kg (IC à 95%) 4,3** (3,5; 5,3) 3,1** (2,3; 4,1) 6,8** (3,4; 13,8) 5,1** (2,7; 9,7)
- +Saxenda versus placebo, en kg (IC à 95 %) -5,6** (-6,0; -5,1) -4,6** (-5,3; -3,9) -4,1** (-5,0; -3,1) -5,9** (-7,3; -4,4)
- +% de patients ayant perdu ≥5 % du poids corporel 63,5 26,6 49,6 23,4 49,8 13,5 50,7 21,3
- +Saxenda versus placebo, kg (IC à 95 %) 4,8** (4,1; 5,6) 3,2** (2,6; 3,9) 6,4** (4,1; 10,0) 3,8** (2,4; 6,0)
- +% de patients ayant perdu >10 % de leur poids corporel 32,8 10,1 24,4 9,5 22,9 4,2 27,4 6,8
- +Saxenda versus placebo, kg (IC à 95 %) 4,3** (3,5; 5,3) 3,1** (2,3; 4,1) 6,8** (3,4; 13,8) 5,1** (2,7; 9,7)
-Les répondeurs précoces (early responders) étaient définis comme les patients ayant obtenu une perte de poids ≥5% après 12 semaines avec une dose thérapeutique de liraglutide (4 semaines d'augmentation de la dose et 12 semaines de traitement). Dans le cadre de l'étude 1, 67,5% des patients étaient des répondeurs précoces et dans le cadre de l'étude 2, 50,4% des patients. En poursuivant le traitement au liraglutide, 86,2% de ces répondeurs précoces devraient atteindre une réduction de poids ≥5% après 1 an de traitement et 51% une perte de poids ≥10%. La perte de poids moyenne prévue chez les répondeurs précoces qui ont suivi le traitement pendant 1 an est de 11,2% de leur poids corporel initial (9,7% chez les hommes et 11,6% chez les femmes). Dans le groupe de patients ayant atteint une perte de poids <5% après un traitement de 12 semaines de 3 mg de liraglutide par jour, 6,6% des patients ont encore présenté une perte de poids ≥10% après 1 an.
- +Les répondeurs précoces (early responders) étaient définis comme les patients ayant obtenu une perte de poids ≥5 % après 12 semaines avec une dose thérapeutique de liraglutide (4 semaines d'augmentation de la dose et 12 semaines de traitement). Dans le cadre de l'étude 1, 67,5 % des patients étaient des répondeurs précoces et dans le cadre de l'étude 2, 50,4 % des patients. En poursuivant le traitement au liraglutide, 86,2 % de ces répondeurs précoces devraient atteindre une réduction de poids ≥5 % après 1 an de traitement et 51 % une perte de poids ≥10 %. La perte de poids moyenne prévue chez les répondeurs précoces qui ont suivi le traitement pendant 1 an est de 11,2 % de leur poids corporel initial (9,7 % chez les hommes et 11,6 % chez les femmes). Dans le groupe de patients ayant atteint une perte de poids <5 % après un traitement de 12 semaines de 3 mg de liraglutide par jour, 6,6 % des patients ont encore présenté une perte de poids ≥10 % après 1 an.
-HbA1c, % 5,6 -0,3 5,6 -0,1 -0,23** (0,25; -0,21)
-Glycémie à jeun, mmol/l 5,3 -0,4 5,3 -0,01 -0,38** (0,42; -0,35)
-Pression artérielle systolique, mmHg 123,0 -4,3 123,3 -1,5 -2,8** (-3,6; -2,1)
-Pression artérielle diastolique, mmHg 78,7 -2,7 78,9 -1,8 -0,9* (-1,4; - 0,4)
- +HbA1c, % 5,6 -0,3 5,6 -0,1 -0,23** (0,25; -0,21)
- +Glycémie à jeun, mmol/l 5,3 -0,4 5,3 -0,01 -0,38** (0,42; -0,35)
- +Pression artérielle systolique, mmHg 123,0 -4,3 123,3 -1,5 -2,8** (-3,6; -2,1)
- +Pression artérielle diastolique, mmHg 78,7 -2,7 78,9 -1,8 -0,9* (-1,4; - 0,4)
-Glycémie à jeun, mmol/l 5,50 -0,37 5,46 0,04 -0,41** (-0,46; -0,36)
-Pression artérielle systolique, mmHg 124,80 -3,24 125.01 -0,44 -2,80** (-3,81; -1,79)
-Pression artérielle diastolique, mmHg 79,40 -2,36 79,83 -1,74 -0,62 (-1,33; 0,09)
-Tour de taille, cm 116,64 -6,88 116,74 -3,35 -3,53** (-4,23; -2,83)
- +Glycémie à jeun,mmol/l 5,50 -0,37 5,46 0,04 -0,41** (-0,46; -0,36)
- +Pression artérielle systolique, mmHg 124,80 -3,24 125,01 -0,44 -2,80** (-3,81; -1,79)
- +Pression artérielle diastolique, mmHg 79,40 -2,36 79,83 -1,74 -0.62 (-1.33; 0.09)
- +Tour de taille, cm 116,64 -6,88 116,74 -3,35 -3.53** (-4.23; -2.83)
-Les patients traités par Saxenda peuvent développer des anticorps anti-liraglutide. Lors d'une analyse effectuée après le début du traitement, 42 (2,8%) des 1'505 patients traités par Saxenda présentaient des anticorps anti-liraglutide. Des anticorps dotés d'un effet neutralisant au cours d'un test effectué in vitro sont apparus chez 18 (1,2%) des 1'505 patients traités par Saxenda. La présence d'anticorps pourrait être en rapport avec l'apparition accrue de réactions au site d'injection et d'hypoglycémies rapportées. Au cours d'études cliniques, ces résultats ont été généralement d'intensité légère et disparaissaient lors de la poursuite du traitement. La détection de formation d'anticorps est fortement dépendante de la sensibilité et de la spécificité du test. En outre, l'incidence observée des anticorps détectés (y compris des anticorps neutralisants) dans un test peut être influencée par divers facteurs, comme la méthode de test, la gestion des échantillons, le déroulement du recueil des échantillons, la comédication ainsi que les maladies sous-jacentes. Cela explique pourquoi la survenue d'anticorps contre Saxenda ne peut être directement comparée à la survenue d'anticorps d'autres produits.
- +Les patients traités par Saxenda peuvent développer des anticorps anti-liraglutide. Lors d'une analyse effectuée après le début du traitement, 42 (2,8 %) des 1'505 patients traités par Saxenda présentaient des anticorps anti-liraglutide. Des anticorps dotés d'un effet neutralisant au cours d'un test effectué in vitro sont apparus chez 18 (1,2 %) des 1'505 patients traités par Saxenda. La présence d'anticorps pourrait être en rapport avec l'apparition accrue de réactions au site d'injection et d'hypoglycémies rapportées. Au cours d'études cliniques, ces résultats ont été généralement d'intensité légère et disparaissaient lors de la poursuite du traitement. La détection de formation d'anticorps est fortement dépendante de la sensibilité et de la spécificité du test. En outre, l'incidence observée des anticorps détectés (y compris des anticorps neutralisants) dans un test peut être influencée par divers facteurs, comme la méthode de test, la gestion des échantillons, le déroulement du recueil des échantillons, la comédication ainsi que les maladies sous-jacentes. Cela explique pourquoi la survenue d'anticorps contre Saxenda ne peut être directement comparée à la survenue d'anticorps d'autres produits.
-Les événements indésirables cardiovasculaires majeurs (MACE) ont été évalués par un groupe d'experts indépendants externes et définis comme infarctus du myocarde non fatal, accident vasculaire cérébral non fatal et le décès cardiovasculaire. Dans l'ensemble des études menées avec Saxenda, 6 MACE ont été observés chez les patients traités par liraglutide et 10 chez les patients recevant un placebo. Le rapport de risque et l'IC à 95% est de 0,33 [0,12; 0,90] pour le liraglutide par rapport au placebo. Une élévation moyenne de la fréquence cardiaque de 2,5 battements par minute par rapport à la valeur initiale (allant de 1,6 à 3,6 battements par minute suivant l'étude) a été observée avec le liraglutide dans les études de phase 3, qui a atteint son maximum après environ 6 semaines et était réversible après l'arrêt du liraglutide (voir «Mises en garde et précautions»).
-L'étude LEADER (Liraglutide Effect and Action in Diabetes Evaluation of Cardiovascular Outcome Results) a étudié l'incidence des événements cardiovasculaires sévères (MACE: décès cardiovasculaire, infarctus du myocarde non mortel, accident vasculaire cérébral non mortel) chez 9'340 patients présentant un diabète sucré de type 2 important et un risque cardiovasculaire accru. Après randomisation (1:1), les patients ont été traités (durée moyenne du traitement environ 3,5 ans), en plus du traitement standard, soit avec jusqu'à 1,8 mg de liraglutide par jour (4'668 patients) ou un placebo (4'672 patients). Le critère d'évaluation principal était le délai d'apparition d'un MACE. Le liraglutide a significativement réduit ce risque à la dose testée (rapport de risque 0,87 [0,78; 0,97] IC à 95%).
- +Les événements indésirables cardiovasculaires majeurs (MACE) ont été évalués par un groupe d'experts indépendants externes et définis comme infarctus du myocarde non fatal, accident vasculaire cérébral non fatal et le décès cardiovasculaire. Dans l'ensemble des études menées avec Saxenda, 6 MACE ont été observés chez les patients traités par liraglutide et 10 chez les patients recevant un placebo. Le rapport de risque et l'IC à 95 % est de 0,33 [0,12; 0,90] pour le liraglutide par rapport au placebo. Une élévation moyenne de la fréquence cardiaque de 2,5 battements par minute par rapport à la valeur initiale (allant de 1,6 à 3,6 battements par minute suivant l'étude) a été observée avec le liraglutide dans les études de phase 3, qui a atteint son maximum après environ 6 semaines et était réversible après l'arrêt du liraglutide (voir «Mises en garde et précautions»).
- +L'étude LEADER (Liraglutide Effect and Action in Diabetes Evaluation of Cardiovascular Outcome Results) a étudié l'incidence des événements cardiovasculaires sévères (MACE: décès cardiovasculaire, infarctus du myocarde non mortel, accident vasculaire cérébral non mortel) chez 9'340 patients présentant un diabète sucré de type 2 important et un risque cardiovasculaire accru. Après randomisation (1:1), les patients ont été traités (durée moyenne du traitement environ 3,5 ans), en plus du traitement standard, soit avec jusqu'à 1,8 mg de liraglutide par jour (4'668 patients) ou un placebo (4'672 patients). Le critère d'évaluation principal était le délai d'apparition d'un MACE. Le liraglutide a significativement réduit ce risque à la dose testée (rapport de risque 0,87 [0,78; 0,97] IC à 95 %).
-Le diagramme indique les différences estimées (Saxenda vs. placebo) dans la modification de l'IMC-SDS entre le début de l'étude jusqu'à la semaine 56, en fonction dela valeur de l'IMC de départ ([kg/m2]: ≥25 -<30, ≥30 - <35, ≥35 - <40 et ≥40) et du statut glycémique au départ de l'étude (normoglycémie vs prédiabète ou diabète de type 2), y compris les valeurs p des test d'interaction.
- +Le diagramme indique les différences estimées (Saxenda vs. placebo) dans la modification de l'IMC-SDS entre le début de l'étude jusqu'à la semaine 56, en fonction de la valeur de l'IMC de départ ([kg/m2]: ≥25 - <30, ≥30 - <35, ≥35 - <40 et ≥40) et du statut glycémique au départ de l'étude (normoglycémie vs prédiabète ou diabète de type 2), y compris les valeurs p des test d'interaction.
- Saxenda (N=125) Placebo (N=126) Saxenda vs. placebo
- + Saxenda (N=125) Placebo (N=126) Saxenda vs. Placebo
-Poids
- +Poids corporel
-Mofidication moyenne en semaine 56, kg (95%-KI) -2,26 2,25 -4,50** (-7,17; -1,84)
- +Modification moyenne en semaine 56, kg (95%-KI) -2,26 2,25 -4,50** (-7,17; -1,84)
-L'absorption du liraglutide administré par voie sous-cutanée est lente; la concentration sérique maximale est atteinte environ 11 heures après l'injection. Après administration d'une dose unique de 3,0 mg de liraglutide à un patient obèse (IMC 30-40 kg/m2), la concentration moyenne à l'état d'équilibre (AUCτ/24) du liraglutide était d'environ 31 nmol/l. L'exposition au liraglutide s'élevait dans la fourchette entre 0,6 mg et 3,0 mg de manière proportionnelle à la dose. La biodisponibilité absolue du liraglutide après administration sous-cutanée est d'environ 55%.
- +L'absorption du liraglutide administré par voie sous-cutanée est lente; la concentration sérique maximale est atteinte environ 11 heures après l'injection. Après administration d'une dose unique de 3,0 mg de liraglutide à un patient obèse (IMC 30-40 kg/m2), la concentration moyenne à l'état d'équilibre (AUCτ/24) du liraglutide était d'environ 31 nmol/l. L'exposition au liraglutide s'élevait dans la fourchette entre 0,6 mg et 3,0 mg de manière proportionnelle à la dose. La biodisponibilité absolue du liraglutide après administration sous-cutanée est d'environ 55 %.
-Après administration sous-cutanée de 3,0 mg de liraglutide, le volume de distribution moyen apparent est de 20-25 l (chez une personne pesant environ 100 kg). Le liraglutide se lie largement aux protéines plasmatiques (>98%).
- +Après administration sous-cutanée de 3,0 mg de liraglutide, le volume de distribution moyen apparent est de 20-25 l (chez une personne pesant environ 100 kg). Le liraglutide se lie largement aux protéines plasmatiques (>98 %).
-Le liraglutide est métabolisé par voie endogène de la même manière que les grosses protéines et aucun organe en particulier n'a été identifié comme voie d'élimination principale. Après administration d'une dose de [3H]-liraglutide, le liraglutide intact n'a été détecté ni dans les urines ni dans les fèces. Seule une petite proportion de la radioactivité administrée a été éliminée dans les urines ou dans les fèces sous forme de métabolites issus du liraglutide (6% et 5% respectivement). L'élimination de la radioactivité par les urines et les fèces a principalement eu lieu dans les 6 à 8 premiers jours, sous la forme des trois métabolites mineurs.
- +Le liraglutide est métabolisé par voie endogène de la même manière que les grosses protéines et aucun organe en particulier n'a été identifié comme voie d'élimination principale. Après administration d'une dose de [3H]-liraglutide, le liraglutide intact n'a été détecté ni dans les urines ni dans les fèces. Seule une petite proportion de la radioactivité administrée a été éliminée dans les urines ou dans les fèces sous forme de métabolites issus du liraglutide (6 % et 5 % respectivement). L'élimination de la radioactivité par les urines et les fèces a principalement eu lieu dans les 6 à 8 premiers jours, sous la forme des trois métabolites mineurs.
-Insuffisance hépatique
-La pharmacocinétique du liraglutide a été évaluée chez des sujets présentant un degré variable d'insuffisance hépatique dans une étude avec des doses uniques (0,75 mg). L'exposition au liraglutide a diminué de 13-23% chez les sujets qui présentaient une insuffisance hépatique légère à modérée par rapport aux sujets sains. L'exposition avait nettement diminuée (44%) chez les patients atteints d'une insuffisance hépatique sévère (score de Child Pugh >9).
-Insuffisance rénale
-Au cours de l'étude à doses uniques (0,75 mg), l'exposition au liraglutide s'est révélée plus faible chez les sujets qui présentaient une insuffisance rénale par rapport à ceux ayant une fonction rénale normale. L'exposition au liraglutide a diminué de respectivement 33%, 14%, 27% et 26% chez les sujets présentant respectivement une insuffisance rénale légère (clairance de la créatinine ClCr 50-80 ml/min), modérée (ClCr 30-50 ml/min), sévère (ClCr <30 ml/min) et une insuffisance rénale terminale nécessitant une dialyse.
- +Troubles de la fonction hépatique
- +La pharmacocinétique du liraglutide a été évaluée chez des sujets présentant un degré variable d'insuffisance hépatique dans une étude avec des doses uniques (0,75 mg). L'exposition au liraglutide a diminué de 13-23 % chez les sujets qui présentaient une insuffisance hépatique légère à modérée par rapport aux sujets sains. L'exposition avait nettement diminuée (44 %) chez les patients atteints d'une insuffisance hépatique sévère (score de Child Pugh >9).
- +Troubles de la fonction rénale
- +Au cours de l'étude à doses uniques (0,75 mg), l'exposition au liraglutide s'est révélée plus faible chez les sujets qui présentaient une insuffisance rénale par rapport à ceux ayant une fonction rénale normale. L'exposition au liraglutide a diminué de respectivement 33%, 14 %, 27 % et 26 % chez les sujets présentant respectivement une insuffisance rénale légère (clairance de la créatinine ClCr 50-80 ml/min), modérée (ClCr 30-50 ml/min), sévère (ClCr <30 ml/min) et une insuffisance rénale terminale nécessitant une dialyse.
-D'après les résultats des analyses pharmacocinétiques de population, les femmes présentent une clairance du liraglutide ajustée selon le poids de 24% inférieure à celle des hommes. D'après les données d'efficacité de l'exposition, aucun ajustement posologique n'est nécessaire en fonction du sexe.
- +D'après les résultats des analyses pharmacocinétiques de population, les femmes présentent une clairance du liraglutide ajustée selon le poids de 24 % inférieure à celle des hommes. D'après les données d'efficacité de l'exposition, aucun ajustement posologique n'est nécessaire en fonction du sexe.
-Après la première utilisation du stylo Saxenda, le produit peut être conservé 1 mois à température ambiante (à pas plus de 30 °C) ou au réfrigérateur (2-8 °C).
-Remarques concernant le stockage
-Tenir hors de portés des enfants
-À conserver au réfrigérateur (2-8 °C).
- +Après la première utilisation du stylo Saxenda, le produit peut être conservé 1 mois à température ambiante (ne dépassant pas 30°C) ou au réfrigérateur (2-8°C).
- +Remarques particulières concernant le stockage
- +Conserver hors de portée des enfants.
- +Conserver au réfrigérateur (2-8°C).
-Laisser le capuchon sur le stylo afin de protéger le contenu contre la lumière.
- +Conserver le capuchon sur le stylo pour le protéger de la lumière.
-Octobre 2021.
- +Juin 2022
|
|