48 Changements de l'information professionelle Imatinib Sandoz 100 mg |
-·Traitement des adultes atteints d'une leucémie lymphoïde aiguë Ph+ (LLA Ph+) en association avec une chimiothérapie standard.
- +·Traitement des adultes et de patients pédiatriques atteints d'une leucémie lymphoïde aiguë Ph+ (LLA Ph+) en association avec une chimiothérapie standard.
-L'expérience chez les patients pédiatriques est limitée et ne concerne que la LMC. La détermination de la posologie chez l'enfant devrait se fonder sur la surface corporelle (mg/m2). La dose quotidienne recommandée est de 340 mg/m2 (dose maximale 600 mg). La dose calculée devrait chaque fois être arrondie au multiple de 100 mg le plus proche. Chez les enfants (<12 ans) il faut si possible arrondir au multiple de 50 mg le plus proche.
-On ne dispose d'aucune expérience concernant le traitement des enfants de moins de 2 ans atteints de LMC.
- +L'expérience chez les patients pédiatriques est limitée et ne concerne que la LMC et la LLA Ph+. La détermination de la posologie chez l'enfant devrait se fonder sur la surface corporelle (mg/m2). La dose quotidienne recommandée est de 340 mg/m2 (dose maximale 600 mg). La dose calculée devrait chaque fois être arrondie au multiple de 100 mg le plus proche. Chez les enfants (<12 ans) il faut si possible arrondir au multiple de 50 mg le plus proche.
- +On ne dispose d'aucune expérience concernant le traitement des enfants de moins de 2 ans atteints de LMC ni celui des enfants de moins de 1 an atteints de LLA Ph+.
-Néoplasmes bénins, malins et non spécifiés (y compris kystes et polypes)
- +Tumeurs bénignes, malignes et non précisées (incl kystes et polypes)
-Troubles du système immunitaire
- +Affections du système immunitaire
-Occasionnel: septicémie, pneumonie (notamment dans la LMC en phase d'accélération et en crise blastique), herpes simplex, zona, rhinopharyngite, sinusite, cellulite, infection des voies respiratoires supérieures, grippe, infection des voies urinaires, gastro-entérite.
- +Occasionnel: septicémie, pneumonie (notamment dans la LMC en phase d’accélération et en crise blastique), herpes simplex, zona, rhinopharyngite, sinusite, cellulite, infection des voies respiratoires supérieures, grippe, infection des voies urinaires, gastro-entérite.
-Inconnu: réactivation de l'hépatite B.
-Troubles de la circulation sanguine et lymphatique
- +Inconnu: réactivation de l’hépatite B.
- +Affections hématologiques et du système lymphatique
-Occasionnel: hypokaliémie, hypophosphatémie, hyponatrémie, augmentation de l'appétit, diminution de l'appétit, déshydratation, goutte, hyperuricémie, hypercalcémie, hyperglycémie.
- +Occasionnel: hypokaliémie, hypophosphatémie, hyponatrémie, augmentation de l’appétit, diminution de l’appétit, déshydratation, goutte, hyperuricémie, hypercalcémie, hyperglycémie.
-Troubles psychiatriques
- +Affections psychiatriques
-Troubles du système nerveux
- +Affections du système nerveux
-Troubles oculaires
- +Affections oculaires
-Troubles de l'oreille et du conduit auditif
- +Affections de l’oreille et du labyrinthe
-Occasionnel: palpitations cardiaques, insuffisance cardiaque congestive (sur la base des années-patients, se rencontre plus souvent lors de LMC en phase d'accélération et en phase blastique que lors de LMC en phase chronique), œdème pulmonaire, tachycardie.
- +Occasionnel: palpitations cardiaques, insuffisance cardiaque congestive (sur la base des années-patients, se rencontre plus souvent lors de LMC en phase d’accélération et en phase blastique que lors de LMC en phase chronique), œdème pulmonaire, tachycardie.
-Troubles vasculaires
-Fréquent: bouffées vasomotrices, hémorragie (plus fréquent lors de LMC en phase d'accélération et en phase blastique).
-Occasionnel: hypertension, hématome (notamment lors de LMC en phase d'accélération et en phase blastique), hématomes sous-duraux, extrémités froides, hypotension, syndrome de Raynaud, thrombose/embolie.
- +Affections vasculaires
- +Fréquent: bouffées vasomotrices, hémorragie (plus fréquent lors de LMC en phase d’accélération et en phase blastique).
- +Occasionnel: hypertension, hématome (notamment lors de LMC en phase d’accélération et en phase blastique), hématomes sous-duraux, extrémités froides, hypotension, syndrome de Raynaud, thrombose/embolie.
-Organes respiratoires
- +Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales
-Occasionnel: épanchement pleural (plus fréquent lors de LMC en phase d'accélération et en phase blastique que lors de LMC en phase chronique), douleurs du pharynx et de la gorge, pharyngite, insuffisance respiratoire aiguë (y compris des cas mortels chez des patients à un stade avancé de la maladie, présentant des infections sévères, des neutropénies sévères et d'autres troubles cliniques concomitants sévères), maladie pulmonaire interstitielle.
- +Occasionnel: épanchement pleural (plus fréquent lors de LMC en phase d’accélération et en phase blastique que lors de LMC en phase chronique), douleurs du pharynx et de la gorge, pharyngite, insuffisance respiratoire aiguë (y compris des cas mortels chez des patients à un stade avancé de la maladie, présentant des infections sévères, des neutropénies sévères et d’autres troubles cliniques concomitants sévères), maladie pulmonaire interstitielle.
-Troubles gastro-intestinaux
- +Affections gastro-intestinales
-Troubles hépato-biliaires
- +Affections hépatobiliaires
-Troubles cutanés
- +Affections de la peau et du tissu sous-cutané
-Inconnu: éruption cutanée d'origine médicamenteuse avec éosinophilie et symptômes systémiques (DRESS Syndrom).
-Troubles musculosquelettiques
-Très fréquent: spasmes et crampes musculaires (36%), douleurs musculosquelettiques pendant et après l'arrêt du traitement par l'imatinib, y compris myalgies (14%), arthralgies (14%), douleurs osseuses (5%).
- +Inconnu: éruption cutanée d’origine médicamenteuse avec éosinophilie et symptômes systémiques (DRESS Syndrom).
- +Affections musculo-squelettiques et du tissu conjonctif
- +Très fréquent: spasmes et crampes musculaires (36%), douleurs musculosquelettiques pendant et après l’arrêt du traitement par l’imatinib, y compris myalgies (14%), arthralgies (14%), douleurs osseuses (5%).
-Inconnu: ralentissement de la croissance chez l'enfant.
-Troubles rénaux et urinaires
- +Inconnu: ralentissement de la croissance chez l’enfant.
- +Affections du rein et des voies urinaires
-Troubles généraux
- +Troubles généraux et anomalies au site d'administration
-Rare: augmentation des valeurs de l'amylase sanguine.
-Réactivation de l'hépatite B
-Des réactivations de l'hépatite B ont été observées en rapport avec les inhibiteurs de tyrosine kinase BCR-ABL. Dans certains cas, cela a conduit à de graves insuffisances hépatiques ou à une hépatite fulminante, qui ont rendu nécessaire une transplantation du foie ou ont conduit au décès (voir la rubrique «Mises en garde et précautions»).
- +Rare: augmentation des valeurs de l’amylase sanguine.
- +Réactivation de l’hépatite B
- +Des réactivations de l’hépatite B ont été observées en rapport avec les inhibiteurs de tyrosine kinase BCR-ABL. Dans certains cas, cela a conduit à de graves insuffisances hépatiques ou à une hépatite fulminante, qui ont rendu nécessaire une transplantation du foie ou ont conduit au décès (voir la rubrique «Mises en garde et précautions»).
- +Enfants/adolescents: 93 enfants, adolescents et jeunes adultes avec LLA Ph+ ont été traités par imatinib en association avec une chimiothérapie multimodale (340 mg/m2 d'imatinib par jour) dans le cadre d'une étude de phase III de cohortes séquentielles (étude I2301), non randomisée, multicentrique, ouverte). Imatinib a été administré par intermittence dans les cohortes 1 à 5, avec une augmentation de la durée et un début de traitement par imatinib plus précoce de cohorte en cohorte. Dans la cohorte 5, imatinib a été administré en traitement journalier continu et on a observé dans cette cohorte une augmentation de la survie sans événement (EFS) sur 4 ans par rapport aux cohortes 1 à 3; cette augmentation a été de 83,6% vs 44,8% par rapport aux contrôles historiques avec la chimiothérapie seule. Par rapport aux autres cohortes, la fréquence des transplantations de cellules souches était significativement plus faible dans la cohorte 5.
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-Des papillomes/carcinomes des glandes prépuciales et clitoridiennes ont été observés à des doses de ≥30 mg/kg/j, ce qui représente approximativement 0.5 fois ou 0.3 fois la dose journalière chez l'adulte traité respectivement par 400 mg/j ou 800 mg/j, et 0.4 fois la dose journalière (basée sur l'AUC) chez l'enfant et l'adolescent traité par 340 mg/m2/j. La pertinence pour l'être humain de ces résultats n'est pas encore clarifiée et un risque pour l'être humain ne peut pas être exclu. Une analyse des données de sécurité issues des études cliniques et des rapports spontanés d'effets indésirables n'indique aucune évidence parlant pour une fréquence accrue de modifications malignes chez les patients traités par imatinib par rapport à la population générale.
- +Des papillomes/carcinomes des glandes prépuciales et clitoridiennes ont été observés à des doses de ≥30 mg/kg/j, ce qui représente approximativement 0,5 fois ou 0,3 fois la dose journalière chez l'adulte traité respectivement par 400 mg/j ou 800 mg/j, et 0,4 fois la dose journalière (basée sur l'AUC) chez l'enfant et l'adolescent traité par 340 mg/m2/j. La pertinence pour l'être humain de ces résultats n'est pas encore clarifiée et un risque pour l'être humain ne peut pas être exclu. Une analyse des données de sécurité issues des études cliniques et des rapports spontanés d'effets indésirables n'indique aucune évidence parlant pour une fréquence accrue de modifications malignes chez les patients traités par imatinib par rapport à la population générale.
-Conserver dans l'emballage original, pas audessus de 30 °C et hors de la portée des enfants.
- +Conserver dans l'emballage original, pas au-dessus de 30 °C et hors de la portée des enfants.
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