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Accueil - Information professionnelle sur Descovy 200/10 mg - Changements - 14.05.2018
44 Changements de l'information professionelle Descovy 200/10 mg
  • -Aucune adaptation posologique de Descovy n'est nécessaire chez les patients présentant une insuffisance hépatique légère (score de Child-Pugh A) ou modérée (score de Child-Pugh B). Descovy n'a pas été étudié chez les patients présentant une insuffisance hépatique sévère (score de Child-Pugh C). Par conséquent, Descovy n'est pas recommandé chez les patients présentant une insuffisance hépatique sévère (voir «Mises en garde et précautions» et «Pharmacocinétique»).
  • +Aucune adaptation posologique de Descovy n'est nécessaire chez les patients présentant une insuffisance hépatique.
  • -Bien qu'il ait été démontré que l'efficacité virologique d'un traitement antirétroviral réduise substantiellement le risque de transmission du VIH par voie sexuelle, un risque résiduel ne peut être exclu. Des précautions doivent être prises conformément aux recommandations nationales afin de prévenir toute transmission.
  • -Patients co-infectés par le VIH et le virus de l'hépatite B ou C
  • -Les patients atteints d'une hépatite B ou C chronique et traités par association d'antirétroviraux présentent un risque accru de développer des effets indésirables hépatiques sévères et potentiellement fatals. La sécurité et l'efficacité de Descovy ne sont pas établies chez les patients co-infectés par le VIH-1 et par le virus de l'hépatite B ou C.
  • -Les médecins doivent se référer aux recommandations actuelles pour la prise en charge thérapeutique optimale de l'infection par le VIH chez les patients coinfectés par le virus de l'hépatite B.
  • -En cas d'administration concomitante d'un traitement antiviral de l'hépatite B ou C, veuillez consulter l'information professionnelle de ces médicaments. Descovy ne doit pas être administré conjointement à des médicaments contenant des promédicaments du ténofovir, de la lamivudine ou de l'adéfovir dipivoxil, lesquels sont utilisés dans le traitement de l'hépatite B.
  • -L'arrêt du traitement par Descovy chez les patients co-infectés par le VIH et le virus de l'hépatite B peut être associé à une exacerbation aiguë sévère de l'hépatite. Les patients coinfectés par le VIH et le virus de l'hépatite B arrêtant le traitement par Descovy doivent être étroitement surveillés sur les plans clinique et biologique pendant plusieurs mois après l'arrêt du traitement par Descovy. Il peut être nécessaire d'introduire un traitement contre l'hépatite B, en particulier chez les patients souffrant d'une maladie hépatique à un stade avancé ou de cirrhose, car une exacerbation de l'hépatite après la fin du traitement peut entraîner une décompensation hépatique.
  • +Bien qu’il ait été démontré que l’efficacité virologique d’un traitement antirétroviral réduise substantiellement le risque de transmission du VIH par voie sexuelle, un risque résiduel ne peut être exclu. Des précautions doivent être prises conformément aux recommandations nationales afin de prévenir toute transmission.
  • +Patients co-infectés par le VIH et le virus de l’hépatite B ou C
  • +Les patients atteints d’une hépatite B ou C chronique et traités par association d’antirétroviraux présentent un risque accru de développer des effets indésirables hépatiques sévères et potentiellement fatals. La sécurité et l’efficacité de Descovy ne sont pas établies chez les patients co-infectés par le VIH-1 et par le virus de l’hépatite B ou C.
  • +Les médecins doivent se référer aux recommandations actuelles pour la prise en charge thérapeutique optimale de l’infection par le VIH chez les patients coinfectés par le virus de l’hépatite B.
  • +En cas d’administration concomitante d’un traitement antiviral de l’hépatite B ou C, veuillez consulter l’information professionnelle de ces médicaments.
  • +L’arrêt du traitement par Descovy chez les patients co-infectés par le VIH et le virus de l’hépatite B peut être associé à une exacerbation aiguë sévère de l’hépatite. Les patients co-infectés par le VIH et le virus de l’hépatite B arrêtant le traitement par Descovy doivent être étroitement surveillés sur les plans clinique et biologique pendant plusieurs mois après l’arrêt du traitement par Descovy. Il peut être nécessaire d’introduire un traitement contre l’hépatite B, en particulier chez les patients souffrant d’une maladie hépatique à un stade avancé ou de cirrhose, car une exacerbation de l’hépatite après la fin du traitement peut entraîner une décompensation hépatique.
  • -La sécurité et l'efficacité de Descovy n'ont pas été établies chez les patients présentant des troubles préexistants de la fonction hépatique (score de Child-Pugh A et B). Descovy n'a pas été étudié chez les patients présentant une insuffisance hépatique sévère (score de Child-Pugh C). (Voir «Posologie/Mode d'emploi» et «Pharmacocinétique».)
  • -Les patients ayant des troubles préexistants de la fonction hépatique, y compris une hépatite chronique active, ont, au cours d'un traitement par association d'antirétroviraux (ART), une fréquence plus élevée d'anomalies de la fonction hépatique et doivent faire l'objet d'une surveillance appropriée. Chez ces patients, en cas de signes d'aggravation de l'atteinte hépatique, l'interruption ou l'arrêt définitif du traitement doit être envisagé.
  • +Aucune adaptation posologique de Descovy n'est nécessaire chez les patients présentant une insuffisance hépatique.
  • +La sécurité et l’efficacité de Descovy n’ont pas été établies chez les patients présentant des troubles préexistants significatifs de la fonction hépatique (voir «Posologie/Mode d’emploi» et «Pharmacocinétique».)
  • +Les patients ayant des troubles préexistants de la fonction hépatique, y compris une hépatite chronique active, ont, au cours d’un traitement par association d’antirétroviraux (ART), une fréquence plus élevée d’anomalies de la fonction hépatique et doivent faire l’objet d’une surveillance appropriée. Chez ces patients, en cas de signes d’aggravation de l’atteinte hépatique, l’interruption ou l’arrêt définitif du traitement doit être envisagé.
  • -Des cas d'insuffisance rénale, incluant des cas de défaillance rénale aiguë et de syndrome de Fanconi (tubulopathie rénale avec hypophosphatémie sévère), ont été rapportés lors de l'utilisation de promédicaments du ténofovir dans le cadre d'études expérimentales de toxicité chez des animaux ainsi que pendant des études chez l'homme. Lors des études cliniques menées avec elvitégravir/cobicistat/emtricitabine/ténofovir alafénamide (E/C/F/TAF) (association à dose fixe emtricitabine/ténofovir alafénamide [F/TAF] avec elvitégravir et cobicistat), aucun cas de syndrome de Fanconi ni de tubulopathie rénale proximale n'a été observé. Dans les études cliniques menées avec E/C/F/TAF chez des patients naïfs de tout traitement et des patients virologiquement contrôlés passés à un traitement par E/C/F/TAF et présentant un débit de filtration glomérulaire estimé (DFGe) >50 ml/min, moins de 1% des patients traités par E/C/F/TAF ont eu des événements indésirables rénaux graves ou ont dû interrompre le traitement en raison d'événements indésirables rénaux. Dans une étude de patients virologiquement contrôlés qui présentaient à l'inclusion un DFGe compris entre 30 et 69 ml/min et qui ont été traités avec E/C/F/TAF pendant une durée médiane de 48 semaines, le traitement E/C/F/TAF a été arrêté durablement chez trois des 80 patients (4%) présentant à l'inclusion un DFGe compris entre 30 et 50 ml/min en raison d'une détérioration de la fonction rénale (voir «Effets indésirables»). L'utilisation de Descovy n'est pas recommandée chez les patients dont la CrCl estimée est inférieure à 30 ml/min compte tenu de l'absence de données suffisantes pour ce groupe de patients.
  • +Des cas d’insuffisance rénale, incluant des cas de défaillance rénale aiguë et de syndrome de Fanconi (tubulopathie rénale avec hypophosphatémie sévère), ont été rapportés lors de l’utilisation de promédicaments du ténofovir dans le cadre d’études expérimentales de toxicité chez des animaux ainsi que pendant des études chez l’homme. Lors des études cliniques menées avec elvitégravir/cobicistat/emtricitabine/ténofovir alafénamide (E/C/F/TAF) (association à dose fixe emtricitabine/ténofovir alafénamide [F/TAF] avec elvitégravir et cobicistat), aucun cas de syndrome de Fanconi ni de tubulopathie rénale proximale n’a été observé. Dans les études cliniques menées avec E/C/F/TAF chez des patients naïfs de tout traitement et des patients virologiquement contrôlés passés à un traitement par E/C/F/TAF et présentant un débit de filtration glomérulaire estimé (DFGe) >50 ml/min, moins de 1% des patients traités par E/C/F/TAF ont eu des événements indésirables rénaux graves ou ont dû interrompre le traitement en raison d’événements indésirables rénaux. Dans une étude de patients virologiquement contrôlés qui présentaient à l’inclusion un DFGe compris entre 30 et 69 ml/min et qui ont été traités avec E/C/F/TAF pendant une durée médiane de 48 semaines, le traitement E/C/F/TAF a été arrêté durablement chez trois des 80 patients (4%) présentant à l’inclusion un DFGe compris entre 30 et 50 ml/min en raison d’une détérioration de la fonction rénale (voir «Effets indésirables»). L’utilisation de Descovy n’est pas recommandée chez les patients dont la CrCl estimée est inférieure à 30 ml/min compte tenu de l’absence de données suffisantes pour ce groupe de patients.
  • -Dans le cadre d'études de la toxicité chez l'animal et dans le cadre d'études cliniques chez l'homme, un lien a été établi entre le ténofovir alafénamide et le ténofovir d'une part et une diminution de la densité minérale osseuse (DMO) et une augmentation du marqueur biochimique du métabolisme osseux d'autre part, suggérant une intensification du remodelage osseux. Une diminution significative de la DMO a été observée chez 15% des patients traités par E/C/F/TAF dans le cadre d'études cliniques chez des adultes infectés par le VIH-1 et naïfs de tout traitement (voir «Effets indésirables»). L'effet clinique à long terme de ces modifications n'est pas connu. Une évaluation de la DMO doit être envisagée pour les patients adultes et pédiatriques traités par Descovy et présentant un antécédent de fractures osseuses pathologiques ou d'autres facteurs de risque d'ostéoporose. L'administration de préparations de calcium et de vitamine D peut être utile pour tous les patients. Toute suspicion de lésions osseuses doit pousser à consulter un spécialiste.
  • -Des cas d'ostéomalacie associée à une tubulopathie rénale proximale, se traduisant par des douleurs osseuses et dans les membres et pouvant favoriser les fractures, ont été rapportés en lien avec l'utilisation de médicaments contenant du fumarate de ténofovir disoproxil (TDF). Des patients présentant un risque d'insuffisance rénale ont présenté une hypophosphatémie et une ostéomalacie résultant d'une tubulopathie rénale proximale. Ces patients présentent des symptômes osseux et musculaires durables ou s'aggravant pendant l'utilisation de médicaments contenant du TDF.
  • -Acidose lactique
  • -Une acidose lactique, associée habituellement à une stéatose hépatique, a été rapportée après l'administration d'analogues nucléosidiques. Les symptômes précoces (hyperlactatémie symptomatique) incluent entre autres des troubles digestifs bénins (nausées, vomissements et douleurs abdominales), une sensation de malaise général, une perte d'appétit, une perte de poids, des symptômes respiratoires (respiration rapide ou profonde) ou neurologiques (incluant une faiblesse motrice). L'acidose lactique entraîne une mortalité élevée et peut être associée à une pancréatite, une défaillance hépatique ou une défaillance rénale. L'acidose lactique apparaît généralement après quelques voire plusieurs mois de traitement.
  • -Le traitement par les analogues nucléosidiques doit être arrêté en cas d'hyperlactatémie symptomatique et d'acidose métabolique/lactique, d'hépatomégalie progressive ou d'élévation rapide des transaminases.
  • -L'administration d'analogues nucléosidiques se fera avec prudence chez tous les patients (notamment les femmes obèses) ayant une hépatomégalie, une hépatite ou tout autre facteur de risque connu d'atteinte hépatique ou de stéatose hépatique (incluant la prise de certains médicaments ou d'alcool). Les patients co-infectés par le virus de l'hépatite C et traités par l'interféron alpha et la ribavirine présentent vraisemblablement un risque accru. Les patients avec un risque élevé devront faire l'objet d'une surveillance étroite.
  • -Les patients chez lesquels surviennent des symptômes tels que pancréatite, acidose lactique symptomatique et neuropathies associés à une faiblesse musculaire doivent également être étroitement surveillés pendant au moins un mois après l'arrêt de Descovy afin de détecter une récidive de ces symptômes.
  • -Lipodystrophie
  • -Les traitements par ART ont été associés, chez les patients infectés par le VIH, à une redistribution de la masse grasse corporelle (lipodystrophie). Les conséquences à long terme de ces événements ne sont actuellement pas connues. Le mécanisme à l'origine de ces anomalies n'est pas complètement élucidé. L'hypothèse d'une relation entre lipomatose viscérale et inhibiteurs de protéase (IP) d'une part, et lipoatrophie et inhibiteurs nucléosidiques de la transcriptase inverse (INTI) d'autre part, a été émise. Le risque de lipodystrophie est majoré par des facteurs individuels du patient tels qu'un âge plus avancé et par des facteurs liés au traitement tels qu'une plus longue durée du traitement antirétroviral avec les anomalies métaboliques qui lui sont associées. L'examen clinique doit comporter une évaluation des signes physiques de redistribution des graisses. Des dosages à jeun des lipides sériques et de la glycémie doivent être envisagés. Si nécessaire, les troubles lipidiques devront être pris cliniquement en charge (voir «Effets indésirables»).
  • -Dysfonctionnement mitochondrial
  • -Il a été démontré que les analogues nucléosidiques et nucléotidiques entraînent, in vivo et in vitro, des atteintes mitochondriales plus ou moins sévères. Des cas de dysfonctionnement mitochondrial ont été rapportés chez des nourrissons non infectés par le VIH, exposés in utero et/ou en période post-natale à des analogues nucléosidiques. Les effets indésirables principalement rapportés sont des atteintes hématologiques (anémie, neutropénie) et des troubles métaboliques (hyperlactatémie, hyperlipasémie). Ces effets indésirables sont généralement transitoires. Des troubles neurologiques d'apparition tardive ont été rapportés (hypertension, convulsions, troubles du comportement). Le caractère transitoire ou permanent de ces troubles neurologiques n'est pas établi à ce jour. Tout enfant exposé in utero à des analogues nucléosidiques ou nucléotidiques, y compris les enfants séronégatifs pour le VIH, devra faire l'objet d'un suivi clinique et biologique ainsi que d'un bilan approfondi à la recherche d'un éventuel dysfonctionnement mitochondrial lors de tout signe ou symptôme évocateur. Ces données ne modifient pas les recommandations nationales actuelles quant à l'utilisation d'un traitement antirétroviral chez la femme enceinte dans la prévention de la transmission verticale du VIH.
  • +Dans le cadre d’études de la toxicité chez l’animal et dans le cadre d’études cliniques chez l’homme, un lien a été établi entre le ténofovir alafénamide et le ténofovir d’une part et une diminution de la densité minérale osseuse (DMO) et une augmentation du marqueur biochimique du métabolisme osseux d’autre part, suggérant une intensification du remodelage osseux. Une diminution significative de la DMO a été observée chez 15% des patients traités par E/C/F/TAF dans le cadre d’études cliniques chez des adultes infectés par le VIH-1 et naïfs de tout traitement (voir «Effets indésirables»). L’effet clinique à long terme de ces modifications n’est pas connu. Une évaluation de la DMO doit être envisagée pour les patients adultes et pédiatriques traités par Descovy et présentant un antécédent de fractures osseuses pathologiques ou d’autres facteurs de risque d’ostéoporose. L’administration de préparations de calcium et de vitamine D peut être utile pour tous les patients. Toute suspicion de lésions osseuses doit pousser à consulter un spécialiste.
  • +Des cas d’ostéomalacie associée à une tubulopathie rénale proximale, se traduisant par des douleurs osseuses et dans les membres et pouvant favoriser les fractures, ont été rapportés en lien avec l’utilisation de médicaments contenant du fumarate de ténofovir disoproxil (TDF). Des patients présentant un risque d’insuffisance rénale ont présenté une hypophosphatémie et une ostéomalacie résultant d’une tubulopathie rénale proximale. Ces patients présentent des symptômes osseux et musculaires durables ou s’aggravant pendant l’utilisation de médicaments contenant du TDF.
  • +Poids et paramètres métaboliques
  • +Une augmentation du poids corporel et des taux de lipides et de glucose sanguins peut survenir au cours d’un traitement antirétroviral. De telles modifications peuvent être en partie liées à l’amélioration de l’état de santé et au mode de vie. Dans certains cas, un effet du traitement sur les valeurs sanguines lipidiques est établi, alors qu’aucun lien n’a clairement été établi entre la prise de poids et un quelconque traitement. La surveillance des taux de lipides et de glucose sanguins devrait tenir compte des directives en vigueur pour les traitements contre l’infection par le VIH. Les troubles lipidiques devront être pris en charge selon l’évaluation clinique.
  • +Exposition in utero: dysfonctionnement mitochondrial
  • +Les analogues nucléosidiques et nucléotidiques peuvent avoir un effet variable sur la fonction mitochondriale, l’effet le plus marqué étant observé avec la stavudine, la didanosine et la zidovudine. Des cas de dysfonctionnement mitochondrial ont été rapportés chez des nourrissons non infectés par le VIH, exposés in utero et/ou en période post-natale à des analogues nucléosidiques. Il s’agissait principalement de traitements comportant de la zidovudine. Les effets indésirables principalement rapportés étaient des troubles hématologiques (anémie, neutropénie) et des troubles métaboliques (hyperlactatémie, hyperlipasémie). Ces évènements étaient transitoires pour la plupart. Des troubles neurologiques d’apparition tardive ont été rapportés dans de rares cas (hypertonie, convulsions, troubles du comportement). Le caractère transitoire ou permanent de ces troubles neurologiques n’est pas établi à ce jour. Ces données doivent être prises en compte chez tout enfant exposé in utero à des analogues nucléosidiques ou nucléotidiques qui présente des manifestations cliniques sévères d’étiologie inconnue, en particulier des manifestations neurologiques. Chaque enfant exposé in utero à des analogues nucléosidiques ou nucléotidiques, y compris les enfants non infectés par le VIH, doit être examiné sur le plan clinique et des paramètres de laboratoire et doit, en cas de signes ou symptômes significatifs, faire l’objet d’investigations complètes à la recherche de possibles troubles de la fonction mitochondriale. Ces données ne modifient pas les recommandations nationales actuelles quant à l’utilisation d’un traitement antirétroviral chez la femme enceinte dans la prévention d’une transmission materno-fÅ“tale du VIH.
  • -Des cas de syndrome de restauration immunitaire ont été rapportés chez des patients infectés par le VIH ayant été traités par un ART, y compris un ART incluant l'emtricitabine. Chez les patients infectés par le VIH et présentant un déficit immunitaire sévère, une réaction inflammatoire à des infections opportunistes asymptomatiques ou résiduelles peut se produire au moment de l'instauration du traitement par ART et entraîner des manifestations cliniques graves ou une aggravation des symptômes. De telles réactions ont été observées classiquement au cours des premières semaines ou mois suivant l'instauration du traitement par ART. Des exemples pertinents incluent les rétinites à cytomégalovirus, les infections mycobactériennes disséminées et/ou localisées, et les pneumopathies à Pneumocystis jirovecii. Tout symptôme inflammatoire doit être évalué et un traitement doit être instauré si nécessaire.
  • -Des maladies auto-immunes (comme la maladie de Basedow) ont également été rapportées dans le cadre d'une restauration immunitaire; cependant, le délai d'apparition décrit est plus variable et ces événements peuvent survenir plusieurs mois après l'instauration du traitement.
  • +Des cas de syndrome de restauration immunitaire ont été rapportés chez des patients infectés par le VIH ayant été traités par un ART, y compris un ART incluant l’emtricitabine. Chez les patients infectés par le VIH et présentant un déficit immunitaire sévère, une réaction inflammatoire à des infections opportunistes asymptomatiques ou résiduelles peut se produire au moment de l’instauration du traitement par ART et entraîner des manifestations cliniques graves ou une aggravation des symptômes. De telles réactions ont été observées classiquement au cours des premières semaines ou mois suivant l’instauration du traitement par ART. Des exemples pertinents incluent les rétinites à cytomégalovirus, les infections mycobactériennes disséminées et/ou localisées, et les pneumopathies à Pneumocystis jirovecii. Tout symptôme inflammatoire doit être évalué et un traitement doit être instauré si nécessaire.
  • +Des maladies auto-immunes (comme la maladie de Basedow) ont également été rapportées dans le cadre d’une restauration immunitaire; cependant, le délai d’apparition décrit est plus variable et ces événements peuvent survenir plusieurs mois après l’instauration du traitement.
  • -Un taux élevé d'échec virologique et l'apparition précoce de résistances ont été rapportés au cours de traitements par le fumarate de ténofovir disoproxil avec de la lamivudine et de l'abacavir ou de la lamivudine et de la didanosine, ou avec de la didanosine et de l'éfavirenz ainsi qu'avec de la lamivudine et de la névirapine, en prise quotidienne unique. Il existe une similitude structurelle étroite entre la lamivudine et l'emtricitabine ainsi que des similitudes pharmacocinétiques et pharmacodynamiques entre les deux principes actifs. C'est pourquoi ces associations ainsi que les triples associations de INTI en général contenant de l'emtricitabine et/ou du ténofovir disoproxil ne sont pas recommandées.
  • +Des taux élevés d’échec virologique et l’apparition d’une résistance à un stade précoce ont été rapportés au cours de traitements par des associations de ténofovir disoproxil avec de la lamivudine et de l’abacavir ou de la lamivudine et de la didanosine, ou avec de la didanosine et de l’éfavirenz ainsi qu’avec de la lamivudine et de la névirapine, en prise quotidienne unique. Il existe une similitude structurelle étroite entre la lamivudine et l’emtricitabine ainsi que des similitudes pharmacocinétiques et pharmacodynamiques entre les deux principes actifs. C’est pourquoi ces associations ainsi que les triples associations de INTI en général contenant de l’emtricitabine et/ou du ténofovir disoproxil ne sont pas recommandées.
  • -Descovy ne doit pas être utilisé chez les patients prétraités par des antirétroviraux et infectés par des souches du VIH-1 présentant la mutation K65R, celle-ci entraînant la perte complète de l'efficacité du ténofovir (voir «Pharmacodynamique»).
  • +Descovy ne doit pas être utilisé chez les patients prétraités par des antirétroviraux et infectés par des souches du VIH-1 présentant la mutation K65R, celle-ci entraînant la perte complète de l’efficacité du ténofovir (voir «Pharmacodynamique»).
  • -L'apparition d'infections opportunistes et d'autres complications liées à l'évolution de l'infection par le VIH reste possible sous Descovy ou tout autre traitement antirétroviral. En conséquence, une surveillance clinique étroite continue par un médecin expérimenté dans le traitement de l'infection par le VIH et des maladies associées reste indispensable.
  • +L’apparition d’infections opportunistes et d’autres complications liées à l’évolution de l’infection par le VIH reste possible sous Descovy ou tout autre traitement antirétroviral. En conséquence, une surveillance clinique étroite continue par un médecin expérimenté dans le traitement de l’infection par le VIH et des maladies associées reste indispensable.
  • -L'étiologie est considérée comme multifactorielle (incluant l'utilisation de corticoïdes, la consommation d'alcool, une immunosuppression sévère, un indice de masse corporelle élevé), cependant des cas d'ostéonécrose ont été rapportés en particulier chez des patients à un stade avancé de la maladie liée au VIH et/ou ayant un traitement par ART au long cours. Il est conseillé aux patients de solliciter un avis médical s'ils éprouvent des douleurs et des arthralgies, une raideur articulaire ou des difficultés à se mouvoir.
  • +L’étiologie est considérée comme multifactorielle (incluant l’utilisation de corticoïdes, la consommation d’alcool, une immunosuppression sévère, un indice de masse corporelle élevé), cependant des cas d’ostéonécrose ont été rapportés en particulier chez des patients à un stade avancé de la maladie liée au VIH et/ou ayant un traitement par ART au long cours. Il est conseillé aux patients de solliciter un avis médical s’ils éprouvent des douleurs et des arthralgies, une raideur articulaire ou des difficultés à se mouvoir.
  • -Une faiblesse motrice généralisée a été observée très rarement chez les patients qui recevaient un traitement par ART avec des analogues nucléosidiques. Cette affection a été observée le plus souvent, mais pas toujours, dans le cadre d'une acidose lactique. Cette faiblesse motrice peut cliniquement ressembler à un syndrome de Guillain-Barré, y compris la paralysie respiratoire. Les symptômes peuvent le cas échéant persister après la fin du traitement, voire s'aggraver encore davantage.
  • -Coadministration d'autres médicaments
  • -Descovy ne doit pas être administré en même temps que d'autres médicaments contenant les mêmes principes actifs (emtricitabine et ténofovir alafénamide) ni que des médicaments contenant de la lamivudine ou des promédicaments du ténofovir. Descovy ne doit pas être coadministré avec l'adéfovir dipivoxil.
  • +Une faiblesse motrice généralisée a été observée très rarement chez les patients qui recevaient un traitement par ART avec des analogues nucléosidiques. Cette affection a été observée le plus souvent, mais pas toujours, dans le cadre d’une acidose lactique. Cette faiblesse motrice peut cliniquement ressembler à un syndrome de Guillain-Barré, y compris la paralysie respiratoire. Les symptômes peuvent le cas échéant persister après la fin du traitement, voire s’aggraver encore davantage.
  • +Coadministration d’autres médicaments
  • +Descovy ne doit pas être administré en même temps que d’autres médicaments contenant les mêmes principes actifs (emtricitabine et ténofovir alafénamide) ni que des médicaments contenant de la lamivudine ou des promédicaments du ténofovir. Descovy ne doit pas être coadministré avec l’adéfovir dipivoxil.
  • -Les femmes en âge de procréer doivent utiliser soit un contraceptif hormonal de l'éthinylestradiol et du norgestimate comme progestatif, soit une autre méthode de contraception fiable (voir «Interactions» et «Grossesse/Allaitement»). L'effet de la co-administration de Descovy avec des contraceptifs oraux contenant des progestatifs autres que le norgestimate n'est pas connu et cette co-administration doit donc être évitée.
  • +Les femmes en âge de procréer doivent utiliser soit un contraceptif hormonal de l’éthinylestradiol et du norgestimate comme progestatif, soit une autre méthode de contraception fiable (voir «Interactions» et «Grossesse/Allaitement»). L’effet de la co-administration de Descovy avec des contraceptifs oraux contenant des progestatifs autres que le norgestimate n’est pas connu et cette co-administration doit donc être évitée.
  • -Le ténofovir alafénamide est transporté par la glycoprotéine P (Pgp) et la protéine de résistance du cancer du sein (BCRP). Les médicaments ayant une forte influence sur l’activité de la Pgp et de la BCRP peuvent aussi influer sur la résorption du ténofovir alafénamide. On peut s’attendre à ce que les médicaments induisant l’activité de la Pgp (par ex. rifampicine, rifabutine, carbamazépine, phénobarbital) réduisent la résorption du ténofovir alafénamide et abaissent ainsi la concentration plasmatique du ténofovir alafénamide, ce qui peut conduire à une perte de l’effet thérapeutique de Descovy et à l’apparition de résistance. En cas de co-administration de Descovy avec d’autres médicaments inhibant l’activité de la Pgp et la BCRP (par ex. cobicistat, ritonavir, ciclosporine), on peut s’attendre à une élévation de la résorption et de la concentration plasmatique du ténofovir alafénamide. On ne sait pas si la co-administration de Descovy et d’inhibiteurs de la xanthine oxydase (par ex. fébuxostat) pourrait accroître l’exposition systémique au ténofovir.
  • +Le ténofovir alafénamide est transporté par la glycoprotéine P (Pgp) et la protéine de résistance du cancer du sein (BCRP). Les médicaments ayant une forte influence sur l’activité de la Pgp et la BCRP peuvent aussi influer sur la résorption du ténofovir alafénamide. On peut s’attendre à ce que les médicaments induisant l’activité de la Pgp (par ex. rifampicine, rifabutine, carbamazépine, phénobarbital) réduisent la résorption du ténofovir alafénamide et abaissent ainsi la concentration plasmatique du ténofovir alafénamide, ce qui peut conduire à une perte de l’effet thérapeutique de Descovy et à l’apparition de résistance. En cas de co-administration de Descovy avec d’autres médicaments inhibant l’activité de la Pgp et la BCRP (par ex. cobicistat, ritonavir, ciclosporine), on peut s’attendre à une élévation de la résorption et de la concentration plasmatique du ténofovir alafénamide. On ne sait pas si la co-administration de Descovy et d’inhibiteurs de la xanthine oxydase (par ex. fébuxostat) pourrait accroître l’exposition systémique au ténofovir.
  • +Sofosbuvir (400 mg q.d.)/ velpatasvir (100 mg q.d.), emtricitabine (200 mg q.d.)/ ténofovir alafénamide (10 mg q.d.)³ Sofosbuvir: ↑ ASC: 1,37 (1,23; 1,52) ↔ Cmax: 1,23 (1,07; 1,42) Métabolite de sofosbuvir, GS-331007: ↑ ASC: 1,48 (1,43; 1,52) ↔ Cmax: 1,29 (1,25; 1,33) ↑ Cmin: 1,58 (1,52; 1,65) Velpatasvir: ↑ ASC: 1,50 (1,35; 1,66) ↑ Cmax: 1,30 (1,17; 1,45) ↑ Cmin: 1,60 (1,44; 1,78) Emtricitabine: ↔ ASC: 1,01 (0,98; 1,04) ↔ Cmax: 1,02 (0,97; 1,06) ↔ Cmin: 1,02 (0,97; 1,07) Ténofovir alafénamide: ↔ ASC: 0,87 (0,81; 0,94) ↓ Cmax: 0,80 (0,68; 0,94) Aucune adaptation posologique du sofosbuvir ou du velpatasvir n'est nécessaire. La dose de Descovy dépend du médicament antirétroviral associé (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
  • +
  • -Tipranavir/Ritonavir Les interactions avec les principes actifs de Descovy n'ont pas été étudiées. On peut s'attendre à ce que l'exposition au ténofovir alafénamide diminue si tipranavir/ ritonavir est administré en association avec Descovy. Il n'existe pas de données permettant de recommander une posologie. La coadministration avec Descovy n'est pas recommandée.
  • +Tipranavir/Ritonavir Les interactions avec les principes actifs de Descovy n'ont pas été étudiées. On peut s'attendre à ce que l'exposition au ténofovir alafénamide diminue si tipranavir/ ritonavir est administré en association avec Descovy. La coadministration avec Descovy n'est pas recommandée.
  • -Oxcarbazépine Phénobarbital Phénytoïne Les interactions avec les principes actifs de Descovy n'ont pas été étudiées. La coadministration d'oxcarbazépine, de phénobarbital ou de phénytoïne, qui sont tous des inducteurs de la Pgp, peut provoquer une baisse des concentrations plasmatiques du ténofovir alafénamide et, par conséquent, une perte de l'effet thérapeutique ainsi que l'apparition de résistance. Envisager l'utilisation d'autres anticonvulsivants.
  • +Oxcarbazépine Phénobarbital Phénytoïne Les interactions avec les principes actifs de Descovy n'ont pas été étudiées. La coadministration d'oxcarbazépine, de phénobarbital ou de phénytoïne, qui sont tous des inducteurs de la Pgp, peut provoquer une baisse des concentrations plasmatiques du ténofovir alafénamide et, par conséquent, une perte de l'effet thérapeutique ainsi que l'apparition de résistance. Envisager l'utilisation d'autres anticonvulsivants. La co-administration de Descovy et oxcarbazépine, phénobarbital ou phénytoïne n'est pas recommandée.
  • -Norgestimate (0,180/0,215/0,250 mg q.d.)/ éthinylestradiol (0,025 mg q.d.), ténofovir alafénamide (25 mg q.d.)2 Norgestromine ↔ ASC: 1,12 (1,07; 1,17) ↔ Cmax: 1,17 (1,07; 1,26) ↔ Cmin: 1,16 (1,08; 1,24) Norgestrel ↔ ASC: 1,09 (1,01; 1,18) ↔ Cmax: 1,10 (1,02; 1,18) ↔ Cmin: 1,11 (1,03; 1,20) Éthinylestradiol: ↔ ASC: 1,11 (1,07; 1,16) ↔ Cmax: 1,22 (1,15; 1,29) ↔ Cmin: 1,02 (0,93; 1,12) La dose de Descovy dépend du médicament antirétroviral associé (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
  • +Norgestimate (0,180/0,215/0,250 mg q.d.)/ éthinylestradiol (0,025 mg q.d.), ténofovir alafénamide (25 mg q.d.)2 Norgestromine ↔ ASC: 1,12 (1,07; 1,17) ↔ Cmax: 1,17 (1,07; 1,26) ↔ Cmin: 1,16 (1,08; 1,24) Norgestrel ↔ ASC: 1,09 (1,01; 1,18) ↔ Cmax: 1,10 (1,02; 1,18) ↔ Cmin: 1,11 (1,03; 1,20) Éthinylestradiol: ↔ ASC: 1,11 (1,07; 1,16) ↔ Cmax: 1,22 (1,15; 1,29) ↔ Cmin: 1,02 (0,93; 1,12) Aucune adaptation posologique de norgestimate/éthinylestradiol n'est nécessaire. La dose de Descovy dépend du médicament antirétroviral associé (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
  • -Lors d’une étude menée chez des patients virologiquement contrôlés ayant changé d’un traitement par emtricitabine/fumarate de ténofovir disoproxil pour Descovy tout en conservant le troisième agent antirétroviral (GS-US-311-1089), des augmentations par rapport à l’initiation du traitement ont été observées pour les paramètres lipidiques mesurés à jeun: le cholestérol total, le cholestérol LDL direct et les triglycérides dans le groupe traité par Descovy en comparaison aux faibles changements observés dans le groupe traité par emtricitabine/fumarate de ténofovir disoproxil (p ≤0,009 pour la différence entre les groupes en termes de changements par rapport à l’initiation du traitement). Peu de changements ont été observés entre l’initiation du traitement et la semaine 96 pour les valeurs médianes à jeun du cholestérol HDL et du glucose ou du ratio entre cholestérol total et cholestérol HDL entre les groupes de traitement. Aucun de ces changements n’a été jugé cliniquement pertinent.
  • -Acidose lactique et hépatomégalie sévère avec stéatose
  • -Une acidose lactique, associée habituellement à une stéatose hépatique, a été rapportée après l'administration d'analogues nucléosidiques (voir «Mises en garde et précautions».)
  • -Lipides, lipodystrophie et anomalies métaboliques
  • -Les traitements par ART ont été associés à des anomalies métaboliques telles que l'hypertriglycéridémie, l'hypercholestérolémie, la résistance à l'insuline, l'hyperglycémie et l'hyperlactatémie (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -Les traitements par ART ont été associés, chez les patients infectés par le VIH, à une redistribution de la masse grasse corporelle (lipodystrophie), incluant une perte du tissu adipeux sous-cutané périphérique et facial, une augmentation de la masse grasse intra-abdominale et viscérale, une hypertrophie mammaire et une accumulation de la masse grasse au niveau dorso-cervical (bosse de bison) (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +Lors d’une étude menée chez des patients virologiquement contrôlés ayant changé d’un traitement par emtricitabine/fumarate de ténofovir disoproxil pour Descovy tout en conservant le troisième agent antirétroviral (GS-US-311-1089), des augmentations par rapport à l’initiation du traitement ont été observées pour les paramètres lipidiques mesurés à jeun: le cholestérol total, le cholestérol LDL direct et les triglycérides dans le groupe traité par Descovy en comparaison aux faibles changements observés dans le groupe traité par emtricitabine/fumarate de ténofovir disoproxil (p ≤0,009 pour la différence entre les groupes en termes de changements par rapport à l’initiation du traitement). Peu de changements ont été observés entre l’initiation du traitement et la semaine 96 pour les valeurs médianes à jeun du cholestérol HDL et du glucose ou du ratio entre cholestérol total et cholestérol HDL à jeun entre les groupes de traitement. Aucun de ces changements n’a été jugé cliniquement pertinent.
  • +Paramètres métaboliques
  • +Une prise de poids et une élévation des taux de lipides et de glucose sanguins peuvent survenir au cours d'un traitement antirétroviral (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -Lors d’une étude menée chez des patients adultes virologiquement contrôlés, des améliorations de la DMO ont été notées au bout de 96 semaines après le passage d’un traitement à base de TDF pour Descovy en comparaison à des changements minimes avec le maintien du traitement à base de TDF, mesurée par analyse DEXA de la hanche (variation moyenne par rapport à l’initiation du traitement de 1,9% vs -0,3%, p <0,001) et du rachis lombaire (variation moyenne par rapport à l’initiation du traitement de 2,2% vs -0,2%, p <0,001).
  • +Lors d’une étude menée chez des patients adultes virologiquement contrôlés, des améliorations de la DMO ont été notées au bout de 96 semaines après le passage d’un traitement à base de TDF pour Descovy en comparaison à des changements minimes avec le maintien du traitement à base de TDF, mesurées par analyse DEXA de la hanche (variation moyenne par rapport à l’initiation du traitement de 1,9% vs -0,3%, p <0,001) et du rachis lombaire (variation moyenne par rapport à l’initiation du traitement de 2,2% vs -0,2%, p <0,001).
  • -La pharmacocinétique de l'emtricitabine n'a pas été étudiée chez les patients présentant une insuffisance hépatique; cependant, comme l'emtricitabine n'est pas métabolisée par les enzymes hépatiques de manière significative, l'impact de l'insuffisance hépatique doit être limité. Aucune modification cliniquement pertinente de la pharmacocinétique du ténofovir n'a été observée chez les patients présentant une insuffisance hépatique légère à modérée et aucune adaptation posologique du ténofovir alafénamide n'est nécessaire chez les patients présentant une insuffisance hépatique légère à modérée. L'effet d'une insuffisance hépatique sévère (score de Child-Pugh C) sur la pharmacocinétique du ténofovir alafénamide n'a pas été étudié.
  • +La pharmacocinétique de l’emtricitabine n’a pas été étudiée chez les patients présentant une insuffisance hépatique; cependant, comme l’emtricitabine n’est pas métabolisée par les enzymes hépatiques de manière significative, l’impact de l’insuffisance hépatique doit être limité.
  • +Aucune modification cliniquement pertinente de la pharmacocinétique du ténofovir alafénamide ou de son métabolite ténofovir n’a été observée chez les patients présentant une insuffisance hépatique légère ou modérée. Chez les patients présentant une insuffisance hépatique sévère, les concentrations plasmatiques totales de ténofovir alafénamide et de ténofovir sont plus faibles que chez des sujets volontaires présentant une fonction hépatique normale. Les concentrations plasmatiques de ténofovir alafénamide non lié (libre), corrigées avec prise en compte de la liaison aux protéines, sont semblables pour les patients présentant une insuffisance hépatique sévère et les sujets présentant une fonction hépatique normale.
  • -Le ténofovir alafénamide n’a montré aucune génotoxicité in vitro dans des bactéries et des cultures de cellules de mammifères, ni in vivo dans le test de micronoyaux sur des rongeurs.
  • +Le ténofovir alafénamide n'a montré aucune génotoxicité in vitro dans des cultures de bactéries et de cellules de mammifères, ni in vivo dans le test de micronoyaux sur des rongeurs.
  • -Le flacon est muni d'une fermeture de sécurité enfants et contient un dessiccant en gel de silice. Conserver le flacon soigneusement fermé.
  • +Le flacon est muni d'une fermeture de sécurité enfants et contient un déshydratant en gel de silice. Conserver le flacon soigneusement fermé.
  • -Novembre 2017.
  • +Décembre 2017.
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