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Accueil - Information professionnelle sur Descovy 200/10 mg - Changements - 19.12.2019
152 Changements de l'information professionelle Descovy 200/10 mg
  • -Principes actifs: Emtricitabine, ténofovir alafénamide (sous forme de fumarate).
  • -Excipients:
  • -Descovy 200 mg/10 mg: Excip. pro compresso obducto.
  • -Descovy 200 mg/25 mg: Carmin d'indigo (E132); Excip. pro compresso obducto.
  • -Forme galénique et quantité de principe actif par unité
  • +Principes actifs
  • +Emtricitabine, ténofovir alafénamide (sous forme de fumarate).
  • +Excipients
  • -Comprimés pelliculés à 200 mg d'emtricitabine et 10 mg de ténofovir alafénamide (correspondant à 11,2 mg de fumarate de ténofovir alafénamide).
  • +Excip. pro compresso obducto.
  • -Comprimés pelliculés à 200 mg d'emtricitabine et 25 mg de ténofovir alafénamide (correspondant à 28,0 mg de fumarate de ténofovir alafénamide).
  • -
  • +Carmin d'indigo (E132); Excip. pro compresso obducto.
  • +
  • +
  • -·qui sont virologiquement contrôlés (taux d'ARN du VIH-1 <50 copies/ml) depuis au moins 6 mois par un traitement antiviral stable, et
  • +·qui sont virologiquement contrôlés (taux d'ARN du VIH-1<50 copies/ml) depuis au moins 6 mois par un traitement antiviral stable, et
  • -Descovy doit être pris une fois par jour avec un repas (voir «Pharmacocinétique»). Les comprimés pelliculés ne doivent pas être croqués, écrasés, ni cassés.
  • +Descovy doit être pris une fois par jour avec un repas (voir «Pharmacocinétique»).
  • -Oubli d'une dose
  • -Si le patient oublie de prendre une dose de Descovy et s'en aperçoit dans les 18 heures suivant l'heure de prise habituelle, il doit prendre Descovy dès que possible, avec un repas, puis poursuivre le traitement selon son horaire de prise habituel. Si le patient oublie de prendre une dose de Descovy et s'en aperçoit plus de 18 heures après l'heure de prise habituelle, et que l'heure de la dose suivante est proche, le patient ne doit pas prendre la dose oubliée mais simplement reprendre son traitement à la prise suivante selon son horaire habituel.
  • -Si le patient vomit dans l’heure suivant la prise de Descovy, il doit prendre un autre comprimé avec un repas.
  • -Instructions spéciales pour la posologie
  • -Patients âgés
  • -Aucune adaptation posologique de Descovy n'est nécessaire chez les patients âgés. Dans les études cliniques, 80 des 97 patients âgés de 65 ans et plus inclus ont pris l'emtricitabine et le ténofovir alafénamide avec l'elvitégravir et le cobicistat, sous la forme d'association à dose fixe. Aucune différence concernant la sécurité ou l'efficacité n'a été observée entre les patients âgés et les patients de 12 à <65 ans.
  • -Insuffisance rénale
  • -Aucune adaptation posologique de Descovy n'est nécessaire chez les patients adultes présentant une clairance de la créatinine estimée (CrCl) ≥30 ml/min. Descovy doit être arrêté chez les patients dont la CrCl estimée chute en deçà de 30 ml/min pendant le traitement (voir «Mises en garde et précautions» et «Propriétés/Effets»).
  • +Instructions posologiques particulières
  • +Patients présentant des troubles de la fonction hépatique
  • +Aucun ajustement de la posologie de Descovy n'est nécessaire chez les patients présentant une insuffisance hépatique.
  • +Si le traitement avec Descovy est arrêté chez des patients co-infectés par le VIH et le virus de l'hépatite B, ces patients doivent être étroitement surveillés afin de détecter tout signe d'exacerbation de l'hépatite (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +Patients présentant des troubles de la fonction rénale
  • +Aucun ajustement de la posologie de Descovy n'est nécessaire chez les patients adultes présentant une clairance de la créatinine estimée (CrCl) ≥30 ml/min. Descovy doit être arrêté chez les patients dont la CrCl estimée chute en deçà de 30 ml/min pendant le traitement (voir «Mises en garde et précautions» et «Propriétés/Effets»).
  • -Insuffisance hépatique
  • -Aucune adaptation posologique de Descovy n'est nécessaire chez les patients présentant une insuffisance hépatique.
  • -Si le traitement avec Descovy est arrêchez des patients co-infectés par le VIH et le virus de l'hépatite B, ces patients doivent être étroitement surveillés afin de détecter tout signe d'exacerbation de l'hépatite (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +Patients âgés
  • +Aucun ajustement de la posologie de Descovy n'est nécessaire chez les patients âgés. Dans les études cliniques, 80 des 97 patients âgés de 65 ans et plus inclus ont pris l'emtricitabine et le ténofovir alafénamide avec l'elvitégravir et le cobicistat, sous la forme d'association à dose fixe. Aucune différence concernant la sécurité ou l'efficacité n'a éobservée entre les patients âgés et les patients de 12 à <65 ans.
  • +Prise retardée
  • +Si le patient oublie de prendre une dose de Descovy et s'en aperçoit dans les 18 heures suivant l'heure de prise habituelle, il doit prendre Descovy dès que possible, avec un repas, puis poursuivre le traitement selon son horaire de prise habituel. Si le patient oublie de prendre une dose de Descovy et s'en aperçoit plus de 18 heures après l'heure de prise habituelle, et que l'heure de la dose suivante est proche, le patient ne doit pas prendre la dose oubliée mais simplement reprendre son traitement à la prise suivante selon son horaire habituel.
  • +Si le patient vomit dans l'heure suivant la prise de Descovy, il doit prendre un autre comprimé avec un repas.
  • +Mode d'administration
  • +Les comprimés pelliculés ne doivent pas être croqués, écrasés, ni cassés.
  • -Bien quil ait été démontré que lefficacité virologique dun traitement antirétroviral réduise substantiellement le risque de transmission du VIH par voie sexuelle, un risque résiduel ne peut être exclu. Des précautions doivent être prises conformément aux recommandations nationales afin de prévenir toute transmission.
  • -Patients co-infectés par le VIH et le virus de lhépatite B ou C
  • -Les patients atteints dune hépatite B ou C chronique et traités par association dantirétroviraux présentent un risque accru de développer des effets indésirables hépatiques sévères et potentiellement fatals. La sécurité et lefficacité de Descovy ne sont pas établies chez les patients co-infectés par le VIH-1 et par le virus de lhépatite B ou C.
  • -Les médecins doivent se référer aux recommandations actuelles pour la prise en charge thérapeutique optimale de linfection par le VIH chez les patients coinfectés par le virus de lhépatite B.
  • -En cas dadministration concomitante dun traitement antiviral de lhépatite B ou C, veuillez consulter linformation professionnelle de ces médicaments.
  • -Larrêt du traitement par Descovy chez les patients co-infectés par le VIH et le virus de lhépatite B peut être associé à une exacerbation aiguë sévère de lhépatite. Les patients co-infectés par le VIH et le virus de lhépatite B arrêtant le traitement par Descovy doivent être étroitement surveillés sur les plans clinique et biologique pendant plusieurs mois après larrêt du traitement par Descovy. Il peut être nécessaire dintroduire un traitement contre lhépatite B, en particulier chez les patients souffrant dune maladie hépatique à un stade avancé ou de cirrhose, car une exacerbation de lhépatite après la fin du traitement peut entraîner une décompensation hépatique.
  • +Bien qu'il ait été démontré que l'efficacité virologique d'un traitement antirétroviral réduise substantiellement le risque de transmission du VIH par voie sexuelle, un risque résiduel ne peut être exclu. Des précautions doivent être prises conformément aux recommandations nationales afin de prévenir toute transmission.
  • +Patients co-infectés par le VIH et le virus de l'hépatite B ou C
  • +Les patients atteints d'une hépatite B ou C chronique et traités par association d'antirétroviraux présentent un risque accru de développer des effets indésirables hépatiques sévères et potentiellement fatals. La sécurité et l'efficacité de Descovy ne sont pas établies chez les patients co-infectés par le VIH-1 et par le virus de l'hépatite B ou C.
  • +Les médecins doivent se référer aux recommandations actuelles pour la prise en charge thérapeutique optimale de l'infection par le VIH chez les patients coinfectés par le virus de l'hépatite B.
  • +En cas d'administration concomitante d'un traitement antiviral de l'hépatite B ou C, veuillez consulter l'information professionnelle de ces médicaments.
  • +L'arrêt du traitement par Descovy chez les patients co-infectés par le VIH et le virus de l'hépatite B peut être associé à une exacerbation aiguë sévère de l'hépatite. Les patients co-infectés par le VIH et le virus de l'hépatite B arrêtant le traitement par Descovy doivent être étroitement surveillés sur les plans clinique et biologique pendant plusieurs mois après l'arrêt du traitement par Descovy. Il peut être nécessaire d'introduire un traitement contre l'hépatite B, en particulier chez les patients souffrant d'une maladie hépatique à un stade avancé ou de cirrhose, car une exacerbation de l'hépatite après la fin du traitement peut entraîner une décompensation hépatique.
  • -Aucune adaptation posologique de Descovy n'est nécessaire chez les patients présentant une insuffisance hépatique.
  • -La sécurité et lefficacité de Descovy nont pas été établies chez les patients présentant des troubles préexistants significatifs de la fonction hépatique (voir «Posologie/Mode demploi» et «Pharmacocinétique».)
  • -Les patients ayant des troubles préexistants de la fonction hépatique, y compris une hépatite chronique active, ont, au cours dun traitement par association dantirétroviraux (ART), une fréquence plus élevée danomalies de la fonction hépatique et doivent faire lobjet dune surveillance appropriée. Chez ces patients, en cas de signes daggravation de latteinte hépatique, linterruption ou larrêt définitif du traitement doit être envisagé.
  • +Aucun ajustement de la posologie de Descovy n'est nécessaire chez les patients présentant une insuffisance hépatique.
  • +La sécurité et l'efficacité de Descovy n'ont pas été établies chez les patients présentant des troubles préexistants significatifs de la fonction hépatique (voir «Posologie/Mode d'emploi» et «Pharmacocinétique».)
  • +Les patients ayant des troubles préexistants de la fonction hépatique, y compris une hépatite chronique active, ont, au cours d'un traitement par association d'antirétroviraux (ART), une fréquence plus élevée d'anomalies de la fonction hépatique et doivent faire l'objet d'une surveillance appropriée. Chez ces patients, en cas de signes d'aggravation de l'atteinte hépatique, l'interruption ou l'arrêt définitif du traitement doit être envisagé.
  • -Des cas dinsuffisance rénale, incluant des cas de défaillance rénale aiguë et de syndrome de Fanconi (tubulopathie rénale avec hypophosphatémie sévère), ont été rapportés lors de lutilisation de promédicaments du ténofovir dans le cadre détudes expérimentales de toxicité chez des animaux ainsi que pendant des études chez lhomme. Lors des études cliniques menées avec elvitégravir/cobicistat/emtricitabine/ténofovir alafénamide (E/C/F/TAF) (association à dose fixe emtricitabine/ténofovir alafénamide [F/TAF] avec elvitégravir et cobicistat), aucun cas de syndrome de Fanconi ni de tubulopathie rénale proximale na été observé. Dans les études cliniques menées avec E/C/F/TAF chez des patients naïfs de tout traitement et des patients virologiquement contrôlés passés à un traitement par E/C/F/TAF et présentant un débit de filtration glomérulaire estimé (DFGe) >50 ml/min, moins de 1% des patients traités par E/C/F/TAF ont eu des événements indésirables rénaux graves ou ont dû interrompre le traitement en raison dévénements indésirables rénaux. Dans une étude de patients virologiquement contrôlés qui présentaient à linclusion un DFGe compris entre 30 et 69 ml/min et qui ont été traités avec E/C/F/TAF pendant une durée médiane de 48 semaines, le traitement E/C/F/TAF a été arrêté durablement chez trois des 80 patients (4%) présentant à linclusion un DFGe compris entre 30 et 50 ml/min en raison dune détérioration de la fonction rénale (voir «Effets indésirables»). Lutilisation de Descovy nest pas recommandée chez les patients dont la CrCl estimée est inférieure à 30 ml/min compte tenu de labsence de données suffisantes pour ce groupe de patients.
  • +Des cas d'insuffisance rénale, incluant des cas de défaillance rénale aiguë et de syndrome de Fanconi (tubulopathie rénale avec hypophosphatémie sévère), ont été rapportés lors de l'utilisation de promédicaments du ténofovir dans le cadre d'études expérimentales de toxicité chez des animaux ainsi que pendant des études chez l'homme. Lors des études cliniques menées avec elvitégravir/cobicistat/emtricitabine/ténofovir alafénamide (E/C/F/TAF) (association à dose fixe emtricitabine/ténofovir alafénamide [F/TAF] avec elvitégravir et cobicistat), aucun cas de syndrome de Fanconi ni de tubulopathie rénale proximale n'a été observé. Dans les études cliniques menées avec E/C/F/TAF chez des patients naïfs de tout traitement et des patients virologiquement contrôlés passés à un traitement par E/C/F/TAF et présentant un débit de filtration glomérulaire estimé (DFGe) >50 ml/min, moins de 1% des patients traités par E/C/F/TAF ont eu des événements indésirables rénaux graves ou ont dû interrompre le traitement en raison d'événements indésirables rénaux. Dans une étude de patients virologiquement contrôlés qui présentaient à l'inclusion un DFGe compris entre 30 et 69 ml/min et qui ont été traités avec E/C/F/TAF pendant une durée médiane de 48 semaines, le traitement E/C/F/TAF a été arrêté durablement chez trois des 80 patients (4%) présentant à l'inclusion un DFGe compris entre 30 et 50 ml/min en raison d'une détérioration de la fonction rénale (voir «Effets indésirables»). L'utilisation de Descovy n'est pas recommandée chez les patients dont la CrCl estimée est inférieure à 30 ml/min compte tenu de l'absence de données suffisantes pour ce groupe de patients.
  • -Dans le cadre détudes de la toxicité chez lanimal et dans le cadre détudes cliniques chez lhomme, un lien a été établi entre le ténofovir alafénamide et le ténofovir dune part et une diminution de la densité minérale osseuse (DMO) et une augmentation du marqueur biochimique du métabolisme osseux dautre part, suggérant une intensification du remodelage osseux. Une diminution significative de la DMO a été observée chez 15% des patients traités par E/C/F/TAF dans le cadre détudes cliniques chez des adultes infectés par le VIH-1 et naïfs de tout traitement (voir «Effets indésirables»). Leffet clinique à long terme de ces modifications nest pas connu. Une évaluation de la DMO doit être envisagée pour les patients adultes et pédiatriques traités par Descovy et présentant un antécédent de fractures osseuses pathologiques ou dautres facteurs de risque dostéoporose. Ladministration de préparations de calcium et de vitamine D peut être utile pour tous les patients. Toute suspicion de lésions osseuses doit pousser à consulter un spécialiste.
  • -Des cas dostéomalacie associée à une tubulopathie rénale proximale, se traduisant par des douleurs osseuses et dans les membres et pouvant favoriser les fractures, ont été rapportés en lien avec lutilisation de médicaments contenant du fumarate de ténofovir disoproxil (TDF). Des patients présentant un risque dinsuffisance rénale ont présenté une hypophosphatémie et une ostéomalacie résultant dune tubulopathie rénale proximale. Ces patients présentent des symptômes osseux et musculaires durables ou saggravant pendant lutilisation de médicaments contenant du TDF.
  • +Dans le cadre d'études de la toxicité chez l'animal et dans le cadre d'études cliniques chez l'homme, un lien a été établi entre le ténofovir alafénamide et le ténofovir d'une part et une diminution de la densité minérale osseuse (DMO) et une augmentation du marqueur biochimique du métabolisme osseux d'autre part, suggérant une intensification du remodelage osseux. Une diminution significative de la DMO a été observée chez 15% des patients traités par E/C/F/TAF dans le cadre d'études cliniques chez des adultes infectés par le VIH-1 et naïfs de tout traitement (voir «Effets indésirables»). L'effet clinique à long terme de ces modifications n'est pas connu. Une évaluation de la DMO doit être envisagée pour les patients adultes et pédiatriques traités par Descovy et présentant un antécédent de fractures osseuses pathologiques ou d'autres facteurs de risque d'ostéoporose. L'administration de préparations de calcium et de vitamine D peut être utile pour tous les patients. Toute suspicion de lésions osseuses doit pousser à consulter un spécialiste.
  • +Des cas d'ostéomalacie associée à une tubulopathie rénale proximale, se traduisant par des douleurs osseuses et dans les membres et pouvant favoriser les fractures, ont été rapportés en lien avec l'utilisation de médicaments contenant du fumarate de ténofovir disoproxil (TDF). Des patients présentant un risque d'insuffisance rénale ont présenté une hypophosphatémie et une ostéomalacie résultant d'une tubulopathie rénale proximale. Ces patients présentent des symptômes osseux et musculaires durables ou s'aggravant pendant l'utilisation de médicaments contenant du TDF.
  • -Une augmentation du poids corporel et des taux de lipides et de glucose sanguins peut survenir au cours dun traitement antirétroviral. De telles modifications peuvent être en partie liées à lamélioration de létat de santé et au mode de vie. Dans certains cas, un effet du traitement sur les valeurs sanguines lipidiques est établi, alors quaucun lien na clairement été établi entre la prise de poids et un quelconque traitement. La surveillance des taux de lipides et de glucose sanguins devrait tenir compte des directives en vigueur pour les traitements contre linfection par le VIH. Les troubles lipidiques devront être pris en charge selon lévaluation clinique.
  • +Une augmentation du poids corporel et des taux de lipides et de glucose sanguins peut survenir au cours d'un traitement antirétroviral. De telles modifications peuvent être en partie liées à l'amélioration de l'état de santé et au mode de vie. Dans certains cas, un effet du traitement sur les valeurs sanguines lipidiques est établi, alors qu'aucun lien n'a clairement été établi entre la prise de poids et un quelconque traitement. La surveillance des taux de lipides et de glucose sanguins devrait tenir compte des directives en vigueur pour les traitements contre l'infection par le VIH. Les troubles lipidiques devront être pris en charge selon l'évaluation clinique.
  • -Les analogues nucléosidiques et nucléotidiques peuvent avoir un effet variable sur la fonction mitochondriale, leffet le plus marqué étant observé avec la stavudine, la didanosine et la zidovudine. Des cas de dysfonctionnement mitochondrial ont été rapportés chez des nourrissons non infectés par le VIH, exposés in utero et/ou en période post-natale à des analogues nucléosidiques. Il sagissait principalement de traitements comportant de la zidovudine. Les effets indésirables principalement rapportés étaient des troubles hématologiques (anémie, neutropénie) et des troubles métaboliques (hyperlactatémie, hyperlipasémie). Ces évènements étaient transitoires pour la plupart. Des troubles neurologiques dapparition tardive ont été rapportés dans de rares cas (hypertonie, convulsions, troubles du comportement). Le caractère transitoire ou permanent de ces troubles neurologiques nest pas établi à ce jour. Ces données doivent être prises en compte chez tout enfant exposé in utero à des analogues nucléosidiques ou nucléotidiques qui présente des manifestations cliniques sévères détiologie inconnue, en particulier des manifestations neurologiques. Chaque enfant exposé in utero à des analogues nucléosidiques ou nucléotidiques, y compris les enfants non infectés par le VIH, doit être examiné sur le plan clinique et des paramètres de laboratoire et doit, en cas de signes ou symptômes significatifs, faire lobjet dinvestigations complètes à la recherche de possibles troubles de la fonction mitochondriale. Ces données ne modifient pas les recommandations nationales actuelles quant à lutilisation dun traitement antirétroviral chez la femme enceinte dans la prévention dune transmission materno-fœtale du VIH.
  • +Les analogues nucléosidiques et nucléotidiques peuvent avoir un effet variable sur la fonction mitochondriale, l'effet le plus marqué étant observé avec la stavudine, la didanosine et la zidovudine. Des cas de dysfonctionnement mitochondrial ont été rapportés chez des nourrissons non infectés par le VIH, exposés in utero et/ou en période post-natale à des analogues nucléosidiques. Il s'agissait principalement de traitements comportant de la zidovudine. Les effets indésirables principalement rapportés étaient des troubles hématologiques (anémie, neutropénie) et des troubles métaboliques (hyperlactatémie, hyperlipasémie). Ces évènements étaient transitoires pour la plupart. Des troubles neurologiques d'apparition tardive ont été rapportés dans de rares cas (hypertonie, convulsions, troubles du comportement). Le caractère transitoire ou permanent de ces troubles neurologiques n'est pas établi à ce jour. Ces données doivent être prises en compte chez tout enfant exposé in utero à des analogues nucléosidiques ou nucléotidiques qui présente des manifestations cliniques sévères d'étiologie inconnue, en particulier des manifestations neurologiques. Chaque enfant exposé in utero à des analogues nucléosidiques ou nucléotidiques, y compris les enfants non infectés par le VIH, doit être examiné sur le plan clinique et des paramètres de laboratoire et doit, en cas de signes ou symptômes significatifs, faire l'objet d'investigations complètes à la recherche de possibles troubles de la fonction mitochondriale. Ces données ne modifient pas les recommandations nationales actuelles quant à l'utilisation d'un traitement antirétroviral chez la femme enceinte dans la prévention d'une transmission materno-fœtale du VIH.
  • -Des cas de syndrome de restauration immunitaire ont été rapportés chez des patients infectés par le VIH ayant été traités par un ART, y compris un ART incluant lemtricitabine. Chez les patients infectés par le VIH et présentant un déficit immunitaire sévère, une réaction inflammatoire à des infections opportunistes asymptomatiques ou résiduelles peut se produire au moment de linstauration du traitement par ART et entraîner des manifestations cliniques graves ou une aggravation des symptômes. De telles réactions ont été observées classiquement au cours des premières semaines ou mois suivant linstauration du traitement par ART. Des exemples pertinents incluent les rétinites à cytomégalovirus, les infections mycobactériennes disséminées et/ou localisées, et les pneumopathies à Pneumocystis jirovecii. Tout symptôme inflammatoire doit être évalué et un traitement doit être instauré si nécessaire.
  • -Des maladies auto-immunes (comme la maladie de Basedow) ont également été rapportées dans le cadre dune restauration immunitaire; cependant, le délai dapparition décrit est plus variable et ces événements peuvent survenir plusieurs mois après linstauration du traitement.
  • +Des cas de syndrome de restauration immunitaire ont été rapportés chez des patients infectés par le VIH ayant été traités par un ART, y compris un ART incluant l'emtricitabine. Chez les patients infectés par le VIH et présentant un déficit immunitaire sévère, une réaction inflammatoire à des infections opportunistes asymptomatiques ou résiduelles peut se produire au moment de l'instauration du traitement par ART et entraîner des manifestations cliniques graves ou une aggravation des symptômes. De telles réactions ont été observées classiquement au cours des premières semaines ou mois suivant l'instauration du traitement par ART. Des exemples pertinents incluent les rétinites à cytomégalovirus, les infections mycobactériennes disséminées et/ou localisées, et les pneumopathies à Pneumocystis jirovecii. Tout symptôme inflammatoire doit être évalué et un traitement doit être instauré si nécessaire.
  • +Des maladies auto-immunes (comme la maladie de Basedow et l'hépatite auto-immune) ont également été rapportées dans le cadre d'une restauration immunitaire; cependant, le délai d'apparition décrit est plus variable et ces événements peuvent survenir plusieurs mois après l'instauration du traitement.
  • -Des taux élevés déchec virologique et lapparition dune résistance à un stade précoce ont été rapportés au cours de traitements par des associations de ténofovir disoproxil avec de la lamivudine et de labacavir ou de la lamivudine et de la didanosine, ou avec de la didanosine et de léfavirenz ainsi quavec de la lamivudine et de la névirapine, en prise quotidienne unique. Il existe une similitude structurelle étroite entre la lamivudine et lemtricitabine ainsi que des similitudes pharmacocinétiques et pharmacodynamiques entre les deux principes actifs. Cest pourquoi ces associations ainsi que les triples associations de INTI en général contenant de lemtricitabine et/ou du ténofovir disoproxil ne sont pas recommandées.
  • +Des taux élevés d'échec virologique et l'apparition d'une résistance à un stade précoce ont été rapportés au cours de traitements par des associations de ténofovir disoproxil avec de la lamivudine et de l'abacavir ou de la lamivudine et de la didanosine, ou avec de la didanosine et de l'éfavirenz ainsi qu'avec de la lamivudine et de la névirapine, en prise quotidienne unique. Il existe une similitude structurelle étroite entre la lamivudine et l'emtricitabine ainsi que des similitudes pharmacocinétiques et pharmacodynamiques entre les deux principes actifs. C'est pourquoi ces associations ainsi que les triples associations de INTI en général contenant de l'emtricitabine et/ou du ténofovir disoproxil ne sont pas recommandées.
  • -Descovy ne doit pas être utilisé chez les patients prétraités par des antirétroviraux et infectés par des souches du VIH-1 présentant la mutation K65R, celle-ci entraînant la perte complète de lefficacité du ténofovir (voir «Pharmacodynamique»).
  • +Descovy ne doit pas être utilisé chez les patients prétraités par des antirétroviraux et infectés par des souches du VIH-1 présentant la mutation K65R, celle-ci entraînant la perte complète de l'efficacité du ténofovir (voir «Pharmacodynamique»).
  • -Lapparition dinfections opportunistes et dautres complications liées à lévolution de linfection par le VIH reste possible sous Descovy ou tout autre traitement antirétroviral. En conséquence, une surveillance clinique étroite continue par un médecin expérimenté dans le traitement de linfection par le VIH et des maladies associées reste indispensable.
  • +L'apparition d'infections opportunistes et d'autres complications liées à l'évolution de l'infection par le VIH reste possible sous Descovy ou tout autre traitement antirétroviral. En conséquence, une surveillance clinique étroite continue par un médecin expérimenté dans le traitement de l'infection par le VIH et des maladies associées reste indispensable.
  • -Létiologie est considérée comme multifactorielle (incluant lutilisation de corticoïdes, la consommation dalcool, une immunosuppression sévère, un indice de masse corporelle élevé), cependant des cas dostéonécrose ont été rapportés en particulier chez des patients à un stade avancé de la maladie liée au VIH et/ou ayant un traitement par ART au long cours. Il est conseillé aux patients de solliciter un avis médical sils éprouvent des douleurs et des arthralgies, une raideur articulaire ou des difficultés à se mouvoir.
  • +L'étiologie est considérée comme multifactorielle (incluant l'utilisation de corticoïdes, la consommation d'alcool, une immunosuppression sévère, un indice de masse corporelle élevé), cependant des cas d'ostéonécrose ont été rapportés en particulier chez des patients à un stade avancé de la maladie liée au VIH et/ou ayant un traitement par ART au long cours. Il est conseillé aux patients de solliciter un avis médical s'ils éprouvent des douleurs et des arthralgies, une raideur articulaire ou des difficultés à se mouvoir.
  • -Une faiblesse motrice généralisée a été observée très rarement chez les patients qui recevaient un traitement par ART avec des analogues nucléosidiques. Cette affection a été observée le plus souvent, mais pas toujours, dans le cadre dune acidose lactique. Cette faiblesse motrice peut cliniquement ressembler à un syndrome de Guillain-Barré, y compris la paralysie respiratoire. Les symptômes peuvent le cas échéant persister après la fin du traitement, voire saggraver encore davantage.
  • -Coadministration dautres médicaments
  • -Descovy ne doit pas être administré en même temps que dautres médicaments contenant les mêmes principes actifs (emtricitabine et ténofovir alafénamide) ni que des médicaments contenant de la lamivudine ou des promédicaments du ténofovir. Descovy ne doit pas être coadministré avec ladéfovir dipivoxil.
  • +Une faiblesse motrice généralisée a été observée très rarement chez les patients qui recevaient un traitement par ART avec des analogues nucléosidiques. Cette affection a été observée le plus souvent, mais pas toujours, dans le cadre d'une acidose lactique. Cette faiblesse motrice peut cliniquement ressembler à un syndrome de Guillain-Barré, y compris la paralysie respiratoire. Les symptômes peuvent le cas échéant persister après la fin du traitement, voire s'aggraver encore davantage.
  • +Coadministration d'autres médicaments
  • +Descovy ne doit pas être administré en même temps que d'autres médicaments contenant les mêmes principes actifs (emtricitabine et ténofovir alafénamide) ni que des médicaments contenant de la lamivudine ou des promédicaments du ténofovir. Descovy ne doit pas être coadministré avec l'adéfovir dipivoxil.
  • -Les femmes en âge de procréer doivent utiliser soit un contraceptif hormonal de léthinylestradiol et du norgestimate comme progestatif, soit une autre méthode de contraception fiable (voir «Interactions» et «Grossesse/Allaitement»). Leffet de la co-administration de Descovy avec des contraceptifs oraux contenant des progestatifs autres que le norgestimate nest pas connu et cette co-administration doit donc être évitée.
  • +Les femmes en âge de procréer doivent utiliser soit un contraceptif hormonal de l'éthinylestradiol et du norgestimate comme progestatif, soit une autre méthode de contraception fiable (voir «Interactions» et «Grossesse, Allaitement»). L'effet de la co-administration de Descovy avec des contraceptifs oraux contenant des progestatifs autres que le norgestimate n'est pas connu et cette co-administration doit donc être évitée.
  • -Le ténofovir alafénamide est transporté par la glycoprotéine P (Pgp) et la protéine de résistance du cancer du sein (BCRP). Les médicaments ayant une forte influence sur lactivité de la Pgp et la BCRP peuvent aussi influer sur la résorption du ténofovir alafénamide. On peut sattendre à ce que les médicaments induisant lactivité de la Pgp (par ex. rifampicine, rifabutine, carbamazépine, phénobarbital) réduisent la résorption du ténofovir alafénamide et abaissent ainsi la concentration plasmatique du ténofovir alafénamide, ce qui peut conduire à une perte de leffet thérapeutique de Descovy et à lapparition de résistance. En cas de co-administration de Descovy avec dautres médicaments inhibant lactivité de la Pgp et la BCRP (par ex. cobicistat, ritonavir, ciclosporine), on peut sattendre à une élévation de la résorption et de la concentration plasmatique du ténofovir alafénamide. On ne sait pas si la co-administration de Descovy et dinhibiteurs de la xanthine oxydase (par ex. fébuxostat) pourrait accroître lexposition systémique au ténofovir.
  • +Le ténofovir alafénamide est transporté par la glycoprotéine P (Pgp) et la protéine de résistance du cancer du sein (BCRP). Les médicaments ayant une forte influence sur l'activité de la Pgp et la BCRP peuvent aussi influer sur l'absorption du ténofovir alafénamide. On peut s'attendre à ce que les médicaments induisant l'activité de la Pgp (par ex. rifampicine, rifabutine, carbamazépine, phénobarbital) réduisent l'absorption du ténofovir alafénamide et abaissent ainsi la concentration plasmatique du ténofovir alafénamide, ce qui peut conduire à une perte de l'effet thérapeutique de Descovy et à l'apparition de résistance. En cas de co-administration de Descovy avec d'autres médicaments inhibant l'activité de la Pgp et la BCRP (par ex. cobicistat, ritonavir, ciclosporine), on peut s'attendre à une élévation de l'absorption et de la concentration plasmatique du ténofovir alafénamide. On ne sait pas si la coadministration de Descovy et d'inhibiteurs de la xanthine oxydase (par ex. fébuxostat) pourrait accroître l'exposition systémique au ténofovir.
  • -Lédipasvir (90 mg q.d.)/sofosbuvir (400 mg q.d.), emtricitabine (200 mg q.d.)/ténofovir alafénamide (10 mg q.d.)3 Il n'y a pas lieu de s'attendre à ce que l'exposition au ténofovir alafénamide ou à l'emtricitabine soit influencée par la co-administration de lédipasvir/sofosbuvir. Rien n'indique qu'une adaptation posologique soit nécessaire en cas de coadministration. La dose de Descovy dépend du médicament antirétroviral associé (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
  • -Lédipasvir (90 mg q.d.)/sofosbuvir (400 mg q.d.), emtricitabine (200 mg q.d.)/ténofovir alafénamide (25 mg q.d.)4 Lédipasvir: ↔ ASC: 1,02 (0,97; 1,06) ↔ Cmax: 1,01 (0,97; 1,05) ↔ Cmin: 1,02 (0,98; 1,07) Sofosbuvir: ↔ ASC: 1,05 (1,01; 1,09) ↔ Cmax: 0,96 (0,89; 1,04) Métabolite du sofosbuvir, GS-331007: ↔ ASC: 1,08 (1,06; 1,10) ↔ Cmax: 1,08 (1,05; 1,12) ↔ Cmin: 1,10 (1,08; 1,12) Emtricitabine: ↔ ASC: 1,00 (0,98; 1,02) ↔ Cmax: 0,97 (0,93; 1,02) Ténofovir alafénamide: ↑ ASC: 1,32 (1,25; 1,40) ↔ Cmax: 1,03 (0,94; 1,14) Rien n'indique qu'une adaptation posologique soit nécessaire en cas de coadministration. La dose de Descovy dépend du médicament antirétroviral associé (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
  • -Sofosbuvir (400 mg q.d.)/ velpatasvir (100 mg q.d.), emtricitabine (200 mg q.d.)/ ténofovir alafénamide (10 mg q.d.)³ Sofosbuvir: ↑ ASC: 1,37 (1,23; 1,52) ↔ Cmax: 1,23 (1,07; 1,42) Métabolite de sofosbuvir, GS-331007: ↑ ASC: 1,48 (1,43; 1,52) ↔ Cmax: 1,29 (1,25; 1,33) ↑ Cmin: 1,58 (1,52; 1,65) Velpatasvir: ↑ ASC: 1,50 (1,35; 1,66) ↑ Cmax: 1,30 (1,17; 1,45) ↑ Cmin: 1,60 (1,44; 1,78) Emtricitabine: ↔ ASC: 1,01 (0,98; 1,04) ↔ Cmax: 1,02 (0,97; 1,06) ↔ Cmin: 1,02 (0,97; 1,07) Ténofovir alafénamide: ↔ ASC: 0,87 (0,81; 0,94) ↓ Cmax: 0,80 (0,68; 0,94) Aucune adaptation posologique du sofosbuvir ou du velpatasvir n'est nécessaire. La dose de Descovy dépend du médicament antirétroviral associé (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
  • +Lédipasvir (90 mg q.d.)/sofosbuvir (400 mg q.d.), emtricitabine (200 mg q.d.)/ténofovir alafénamide (10 mg q.d.)3 Il n'y a pas lieu de s'attendre à ce que l'exposition au ténofovir alafénamide ou à l'emtricitabine soit influencée par la co-administration de lédipasvir/sofosbuvir. Rien n'indique qu'un ajustement de la posologie soit nécessaire en cas de coadministration. La dose de Descovy dépend du médicament antirétroviral associé (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
  • +Lédipasvir (90 mg q.d.)/sofosbuvir (400 mg q.d.), emtricitabine (200 mg q.d.)/ténofovir alafénamide (25 mg q.d.)4 Lédipasvir: ↔ ASC: 1,02 (0,97; 1,06) ↔ Cmax: 1,01 (0,97; 1,05) ↔ Cmin: 1,02 (0,98; 1,07) Sofosbuvir: ↔ ASC: 1,05 (1,01; 1,09) ↔ Cmax: 0,96 (0,89; 1,04) Métabolite du sofosbuvir, GS-331007: ↔ ASC: 1,08 (1,06; 1,10) ↔ Cmax: 1,08 (1,05; 1,12) ↔ Cmin: 1,10 (1,08; 1,12) Emtricitabine: ↔ ASC: 1,00 (0,98; 1,02) ↔ Cmax: 0,97 (0,93; 1,02) Ténofovir alafénamide: ↑ ASC: 1,32 (1,25; 1,40) ↔ Cmax: 1,03 (0,94; 1,14) Rien n'indique qu'un ajustement de la posologie soit nécessaire en cas de coadministration. La dose de Descovy dépend du médicament antirétroviral associé (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
  • +Sofosbuvir (400 mg q.d.)/ velpatasvir (100 mg q.d.), emtricitabine (200 mg q.d.)/ ténofovir alafénamide (10 mg q.d.)3 Sofosbuvir: ↑ ASC: 1,37 (1,23; 1,52) ↔ Cmax: 1,23 (1,07; 1,42) Métabolite de sofosbuvir, GS-331007: ↑ ASC: 1,48 (1,43; 1,52) ↔ Cmax: 1,29 (1,25; 1,33) ↑ Cmin: 1,58 (1,52; 1,65) Velpatasvir: ↑ ASC: 1,50 (1,35; 1,66) ↑ Cmax: 1,30 (1,17; 1,45) ↑ Cmin: 1,60 (1,44; 1,78) Emtricitabine: ↔ ASC: 1,01 (0,98; 1,04) ↔ Cmax: 1,02 (0,97; 1,06) ↔ Cmin: 1,02 (0,97; 1,07) Ténofovir alafénamide: ↔ ASC: 0,87 (0,81; 0,94) ↓ Cmax: 0,80 (0,68; 0,94) Aucun ajustement de la posologie du sofosbuvir ou du velpatasvir n'est nécessaire. La dose de Descovy dépend du médicament antirétroviral associé (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
  • -Atazanavir/ritonavir (300/100 mg q.d.), ténofovir alafénamide (10 mg)6 Ténofovir alafénamide: ↑ ASC: 1,91 (1,55; 2,35) ↑ Cmax: 1,77 (1,28; 2,44) Atazanavir: ↔ ASC: 0,99 (0,96; 1,01) ↔ Cmax: 0,98 (0,89; 1,07) ↔ Cmin: 1,00 (0,96; 1,04) La dose recommandée de Descovy est de 200/10 mg une fois par jour.
  • -Darunavir/cobicistat (800/150 mg q.d.), ténofovir alafénamide (25 mg q.d.)2 Ténofovir alafénamide: ↔ ASC: 0,98 (0,80; 1,19) ↔ Cmax: 0,93 (0,72; 1,21) Ténofovir: ↑ ASC: 3,24 (3,02; 3,47) ↑ Cmax: 3,16 (3,00; 3,33) ↑ Cmin: 3,20 (2,90; 3,54) Darunavir: ↔ ASC: 0,99 (0,92; 1,07) ↔ Cmax: 1,02 (0,96; 1,09) ↔ Cmin: 0,97 (0,82; 1,15) L'expérience de la coadministration de Descovy et de darunavir/cobicistat n'est pas suffisante pour pouvoir recommander une posologie.
  • -Darunavir/ritonavir (800/100 mg q.d.), ténofovir alafénamide (10 mg q.d.)6 Ténofovir alafénamide: ↔ ASC: 1,06 (0,84; 1,35) ↔ Cmax: 1,42 (0,96; 2,09) Ténofovir: ↑ ASC: 1,06 (0,84; 1,35) ↑ Cmax: 1,42 (0,96; 2,09) Darunavir: ↔ ASC: 1,01 (0,96; 1,06) ↔ Cmax: 0,99 (0,91; 1,08) ↔ Cmin: 1,13 (0,95; 1,34) La dose recommandée de Descovy est de 200/10 mg une fois par jour.
  • -Lopinavir/ritonavir (800/200 mg q.d.), ténofovir alafénamide (10 mg q.d.)6 Ténofovir alafénamide: ↑ ASC: 1,47 (1,17; 1,85) ↑ Cmax: 2,19 (1,72; 2,79) Lopinavir: ↔ ASC: 1,00 (0,92; 1,09) ↔ Cmax: 1,00 (0,95; 1,06) ↔ Cmin: 0,98 (0,85; 1,12) La dose recommandée de Descovy est de 200/10 mg une fois par jour.
  • +Atazanavir/ritonavir (300/100 mg q.d.), ténofovir alafénamide (10 mg)6 Ténofovir alafénamide: ↑ ASC: 1,91 (1,55; 2,35) ↑ Cmax: 1,77 (1,28; 2,44) Atazanavir: ↔ ASC: 0,99 (0,96; 1,01) ↔ Cmax: 0,98 (0,89; 1,07) ↔ Cmin: 1,00 (0,96; 1,04) La dose recommandée de Descovy est de 200/10 mg une fois par jour.
  • +Darunavir/cobicistat (800/150 mg q.d.), ténofovir alafénamide (25 mg q.d.)2 Ténofovir alafénamide: ↔ ASC: 0,98 (0,80; 1,19) ↔ Cmax: 0,93 (0,72; 1,21) Ténofovir: ↑ ASC: 3,24 (3,02; 3,47) ↑ Cmax: 3,16 (3,00; 3,33) ↑ Cmin: 3,20 (2,90; 3,54) Darunavir: ↔ ASC: 0,99 (0,92; 1,07) ↔ Cmax: 1,02 (0,96; 1,09) ↔ Cmin: 0,97 (0,82; 1,15) L'expérience de la coadministration de Descovy et de darunavir/cobicistat n'est pas suffisante pour pouvoir recommander une posologie.
  • +Darunavir/ritonavir (800/100 mg q.d.), ténofovir alafénamide (10 mg q.d.)6 Ténofovir alafénamide: ↔ ASC: 1,06 (0,84; 1,35) ↔ Cmax: 1,42 (0,96; 2,09) Ténofovir: ↑ ASC: 1,06 (0,84; 1,35) ↑ Cmax: 1,42 (0,96; 2,09) Darunavir: ↔ ASC: 1,01 (0,96; 1,06) ↔ Cmax: 0,99 (0,91; 1,08) ↔ Cmin: 1,13 (0,95; 1,34) La dose recommandée de Descovy est de 200/10 mg une fois par jour.
  • +Lopinavir/ritonavir (800/200 mg q.d.), ténofovir alafénamide (10 mg q.d.)6 Ténofovir alafénamide: ↑ ASC: 1,47 (1,17; 1,85) ↑ Cmax: 2,19 (1,72; 2,79) Lopinavir: ↔ ASC: 1,00 (0,92; 1,09) ↔ Cmax: 1,00 (0,95; 1,06) ↔ Cmin: 0,98 (0,85; 1,12) La dose recommandée de Descovy est de 200/10 mg une fois par jour.
  • -Dolutégravir (50 mg q.d.), ténofovir alafénamide (10 mg q.d.)3,6 Il n'y a pas lieu de s'attendre à ce que l'exposition au ténofovir alafénamide soit influencée par la co-administration de dolutégravir. La dose recommandée de Descovy est de 200/25 mg une fois par jour.
  • +Dolutégravir (50 mg q.d.), ténofovir alafénamide (10 mg q.d.)3,6 Il n'y a pas lieu de s'attendre à ce que l'exposition au ténofovir alafénamide soit influencée par la co-administration de dolutégravir. La dose recommandée de Descovy est de 200/25 mg une fois par jour.
  • -Efavirenz (600 mg q.d.), ténofovir alafénamide (40 mg q.d.)2,6 Ténofovir alafénamide: ↔ ASC: 0,86 (0,72; 1,02) ↔ Cmax: 0,78 (0,58; 1,05) L'expérience de la coadministration de Descovy et de l'éfavirenz n'est pas suffisante pour pouvoir recommander une posologie.
  • +Éfavirenz (600 mg q.d.), ténofovir alafénamide (40 mg q.d.)2,6 Ténofovir alafénamide: ↔ ASC: 0,86 (0,72; 1,02) ↔ Cmax: 0,78 (0,58; 1,05) L'expérience de la coadministration de Descovy et de l'éfavirenz n'est pas suffisante pour pouvoir recommander une posologie.
  • -Sertraline (50 mg q.d.), ténofovir alafénamide (10 mg q.d.)3 Il n'y a pas lieu de s'attendre à ce que l'exposition au ténofovir alafénamide soit influencée par la co-administration de sertraline. La co-administration de Descovy n'influe pas sur les concentrations de sertraline. Aucune adaptation posologique n'est nécessaire en cas de co-administration.
  • +Sertraline (50 mg q.d.), ténofovir alafénamide (10 mg q.d.)3 Il n'y a pas lieu de s'attendre à ce que l'exposition au ténofovir alafénamide soit influencée par la co-administration de sertraline. La co-administration de Descovy n'influe pas sur les concentrations de sertraline. Aucun ajustement de la posologie n'est nécessaire en cas de co-administration.
  • -Midazolam par voie orale (2,5 mg q.d.), ténofovir alafénamide (25 mg q.d.) Midazolam: ↔ ASC: 1,12 (1,03; 1,22) ↔ Cmax: 1,02 (0,92; 1,13) La co-administration de Descovy n'influe pas sur les concentrations de midazolam. Aucune adaptation posologique n'est nécessaire en cas de co-administration.
  • -Midazolam par voie intraveineuse (q.d.), ténofovir alafénamide (25 mg q.d.) Midazolam: ↔ ASC: 1,08 (1,04; 1,14) ↔ Cmax: 0,99 (0,89; 1,11) La co-administration de Descovy n'influe pas sur les concentrations de midazolam. Aucune adaptation posologique n'est nécessaire en cas de co-administration.
  • +Midazolam par voie orale (2,5 mg q.d.), ténofovir alafénamide (25 mg q.d.) Midazolam: ↔ ASC: 1,12 (1,03; 1,22) ↔ Cmax: 1,02 (0,92; 1,13) La co-administration de Descovy n'influe pas sur les concentrations de midazolam. Aucun ajustement de la posologie n'est nécessaire en cas de co-administration.
  • +Midazolam par voie intraveineuse (q.d.), ténofovir alafénamide (25 mg q.d.) Midazolam: ↔ ASC: 1,08 (1,04; 1,14) ↔ Cmax: 0,99 (0,89; 1,11) La co-administration de Descovy n'influe pas sur les concentrations de midazolam. Aucun ajustement de la posologie n'est nécessaire en cas de co-administration.
  • -Norgestimate (0,180/0,215/0,250 mg q.d.)/ éthinylestradiol (0,025 mg q.d.), ténofovir alafénamide (25 mg q.d.)2 Norgestromine ↔ ASC: 1,12 (1,07; 1,17) ↔ Cmax: 1,17 (1,07; 1,26) ↔ Cmin: 1,16 (1,08; 1,24) Norgestrel ↔ ASC: 1,09 (1,01; 1,18) ↔ Cmax: 1,10 (1,02; 1,18) ↔ Cmin: 1,11 (1,03; 1,20) Éthinylestradiol: ↔ ASC: 1,11 (1,07; 1,16) ↔ Cmax: 1,22 (1,15; 1,29) ↔ Cmin: 1,02 (0,93; 1,12) Aucune adaptation posologique de norgestimate/éthinylestradiol n'est nécessaire. La dose de Descovy dépend du médicament antirétroviral associé (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
  • +Norgestimate (0,180/0,215/0,250 mg q.d.)/ éthinylestradiol (0,025 mg q.d.), ténofovir alafénamide (25 mg q.d.)2 Norgestromine ↔ ASC: 1,12 (1,07; 1,17) ↔ Cmax: 1,17 (1,07; 1,26) ↔ Cmin: 1,16 (1,08; 1,24) Norgestrel ↔ ASC: 1,09 (1,01; 1,18) ↔ Cmax: 1,10 (1,02; 1,18) ↔ Cmin: 1,11 (1,03; 1,20) Éthinylestradiol: ↔ ASC: 1,11 (1,07; 1,16) ↔ Cmax: 1,22 (1,15; 1,29) ↔ Cmin: 1,02 (0,93; 1,12) Aucun ajustement de la posologie de norgestimate/éthinylestradiol n'est nécessaire. La dose de Descovy dépend du médicament antirétroviral associé (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
  • -Femmes en âge de procréer
  • +Femmes en âge de procréer/Contraception chez l'homme et la femme
  • -L'évaluation des effets indésirables repose sur les données de sécurité issues de l'ensemble des études de phase 2 et 3 au cours desquelles 2'832 patients infectés par le VIH-1 au total ont reçu des médicaments contenant de l'emtricitabine et du ténofovir alafénamide. Dans les études cliniques portant sur 866 patients adultes naïfs de tout traitement et recevant de l'emtricitabine et du ténofovir alafénamide avec de l'elvitégravir et du cobicistat sous forme de l'association à dose fixe contenant 150 mg d'elvitégravir/150 mg de cobicistat/200 mg d'emtricitabine/10 mg de ténofovir alafénamide (sous forme de fumarate) (E/C/F/TAF), les effets indésirables les plus fréquemment rapportés étaient des diarrhées (7%), des nausées (10%) et des céphalées (6%).
  • +L'évaluation des effets indésirables repose sur les données de sécurité issues de l'ensemble des études de phase 2 et 3 au cours desquelles 2832 patients infectés par le VIH-1 au total ont reçu des médicaments contenant de l'emtricitabine et du ténofovir alafénamide et sur la surveillance après la commercialisation. Dans les études cliniques portant sur 866 patients adultes naïfs de tout traitement et recevant de l'emtricitabine et du ténofovir alafénamide avec de l'elvitégravir et du cobicistat sous forme de l'association à dose fixe contenant 150 mg d'elvitégravir/150 mg de cobicistat/200 mg d'emtricitabine/10 mg de ténofovir alafénamide (sous forme de fumarate) (E/C/F/TAF), les effets indésirables les plus fréquemment rapportés étaient des diarrhées (7%), des nausées (10%) et des céphalées (6%).
  • -Les effets indésirables figurant dans le tableau 3 sont présentés par classe de systèmes d'organes et par fréquence. Les fréquences sont définies comme suit: très fréquents (≥1/10), fréquents (≥1/100, <1/10) et occasionnels (≥1/1'000, <1/100).
  • +Les effets indésirables figurant dans le tableau 3 sont présentés par classe de systèmes d'organes et par fréquence. Les fréquences sont définies comme suit: très fréquents (≥1/10), fréquents (≥1/100, <1/10) et occasionnels (≥1/1000, <1/100).
  • -Occasionnels: angiœdème1,2, prurit
  • -Affections musculo-squelettiques et du tissu conjonctif
  • +Occasionnels: angiœdème2,3, prurit, urticaire3
  • +Affections musculosquelettiques et du tissu conjonctif
  • -Troubles généraux et anomalies au site d'administration
  • +Troubles généraux
  • -2 Cet effet indésirable a été identifié dans le cadre de la surveillance post-commercialisation de l'emtricitabine. Il n'a toutefois été observé dans aucune étude clinique randomisée contrôlée de l'emtricitabine chez des adultes ou enfants infectés par le VIH. La catégorie de fréquence est a été estimée d'après un calcul statistique basé sur le nombre total de patients traités avec de l'emtricitabine dans le cadre d'études randomisées contrôlées (n = 1'563).
  • -Description de certains effets indésirables particuliers
  • +2 Cet effet indésirable a été identifié dans le cadre de la surveillance post-commercialisation pour des médicaments contenant de l'emtricitabine.
  • +3 Cet effet indésirable a été identifié dans le cadre de la surveillance post-commercialisation pour des médicaments contenant du TAF
  • +Description de certains effets indésirables
  • -Adultes naïfs de tout traitement: Au cours de deux études randomisées contrôlées de 48 semaines (GS-US-292-0104 et GS-US-292-0111) portant sur un total de 1'733 adultes naïfs de tout traitement présentant un DFGe médian de 115 ml/min à l'inclusion, la créatinine sérique a augmenté en moyenne de 0,1 mg/dl dans les groupes F/TAF (en association avec l'elvitégravir et le cobicistat) et emtricitabine/fumarate de ténofovir disoproxil (F/TDF) (en association avec l'elvitégravir et le cobicistat) entre l'inclusion et la semaine 48. Le rapport protéinurie/créatininurie (RPC) médian dans le groupe F/TAF (en association avec l'elvitégravir et le cobicistat) était de 44 mg/g à l'inclusion et à la semaine 48. Chez les patients traités par F/TDF (en association avec l'elvitégravir et le cobicistat), le RPC médian était de 44 mg/g à l'inclusion et de 55 mg/g à la semaine 48.
  • -Adultes virologiquement contrôlés: Dans l'étude GS-US-292-0109 incluant 1'436 adultes virologiquement contrôlés et traités par le TDF présentant un DFGe moyen de 112 ml/min à l'inclusion et randomisés pour poursuivre le traitement initial ou passer au F/TAF (en association avec l'elvitégravir et le cobicistat), la créatinine sérique moyenne à la semaine 48 a été similaire à la créatinine sérique moyenne à l'inclusion dans le groupe poursuivant le traitement initial et dans le groupe passant au F/TAF (en association avec l'elvitégravir et le cobicistat). Le RPC médian dans le groupe passé au F/TAF (en association avec l'elvitégravir et le cobicistat) était de 61 mg/g à l'inclusion et de 46 mg/g à la semaine 48. Chez les patients poursuivant le traitement initial, le RPC médian était de 60 mg/g à l'inclusion et de 63 mg/g à la semaine 48.
  • +Adultes naïfs de tout traitement: Au cours de deux études randomisées contrôlées de 48 semaines (GS-US-292-0104 et GS-US-292-0111) portant sur un total de 1733 adultes naïfs de tout traitement présentant un DFGe médian de 115 ml/min à l'inclusion, la créatinine sérique a augmenté en moyenne de 0,1 mg/dl dans les groupes F/TAF (en association avec l'elvitégravir et le cobicistat) et emtricitabine/fumarate de ténofovir disoproxil (F/TDF) (en association avec l'elvitégravir et le cobicistat) entre l'inclusion et la semaine 48. Le rapport protéinurie/créatininurie (RPC) médian dans le groupe F/TAF (en association avec l'elvitégravir et le cobicistat) était de 44 mg/g à l'inclusion et à la semaine 48. Chez les patients traités par F/TDF (en association avec l'elvitégravir et le cobicistat), le RPC médian était de 44 mg/g à l'inclusion et de 55 mg/g à la semaine 48.
  • +Adultes virologiquement contrôlés: Dans l'étude GS-US-292-0109 incluant 1436 adultes virologiquement contrôlés et traités par le TDF présentant un DFGe moyen de 112 ml/min à l'inclusion et randomisés pour poursuivre le traitement initial ou passer au F/TAF (en association avec l'elvitégravir et le cobicistat), la créatinine sérique moyenne à la semaine 48 a été similaire à la créatinine sérique moyenne à l'inclusion dans le groupe poursuivant le traitement initial et dans le groupe passant au F/TAF (en association avec l'elvitégravir et le cobicistat). Le RPC médian dans le groupe passé au F/TAF (en association avec l'elvitégravir et le cobicistat) était de 61 mg/g à l'inclusion et de 46 mg/g à la semaine 48. Chez les patients poursuivant le traitement initial, le RPC médian était de 60 mg/g à l'inclusion et de 63 mg/g à la semaine 48.
  • -Adultes naïfs de tout traitement: Dans lanalyse combinée des études GS-US-292-0104 et GS-US-292-0111 (deux études cliniques contrôlées de 48 semaines au cours desquelles 1733 patients naïfs de tout traitement ont reçu F/TAF (n = 866) ou F/TDF (n = 867), administrés dans les deux cas avec l'elvitégravir et le cobicistat, sous la forme d'association à dose fixe), la DMO a été évaluée par DXA (Dual Energy Xray Absorptiometry) afin de comparer la sécurité osseuse du ténofovir alafénamide à celle du TDF administrés sous la forme E/C/F/TAF ou E/C/F/TDF. La DMO moyenne au niveau du rachis lombaire a diminué de 1,30% entre l'inclusion et la semaine 48 sous E/C/F/TAF et de 2,86% sous E/C/F/TDF; au niveau de la hanche, elle a diminué de 0,66% et de 2,95%, respectivement. Une diminution de la DMO au niveau du rachis lombaire de 5% ou plus a été observée chez 10% des patients traités par E/C/F/TAF et chez 22% des patients traités par E/C/F/TDF. Une diminution de la DMO au niveau du col du fémur de 7% ou plus a été observée chez 7% des patients traités par E/C/F/TAF et chez 19% des patients traités par E/C/F/TDF. L'effet clinique à long terme de ces modifications de la DMO n'est pas connu. Des fractures (hors doigts et orteils) ont été rapportées à la semaine 48 par 7 patients du groupe E/C/F/TAF (0,8%) et 12 patients du groupe E/C/F/TDF (1,4%).
  • +Adultes naïfs de tout traitement: Dans l'analyse combinée des études GS-US-292-0104 et GS-US-292-0111 (deux études cliniques contrôlées de 48 semaines au cours desquelles 1733 patients naïfs de tout traitement ont reçu F/TAF (n = 866) ou F/TDF (n = 867), administrés dans les deux cas avec l'elvitégravir et le cobicistat, sous la forme d'association à dose fixe), la DMO a été évaluée par DXA (Dual Energy Xray Absorptiometry) afin de comparer la sécurité osseuse du ténofovir alafénamide à celle du TDF administrés sous la forme E/C/F/TAF ou E/C/F/TDF. La DMO moyenne au niveau du rachis lombaire a diminué de 1,30% entre l'inclusion et la semaine 48 sous E/C/F/TAF et de 2,86% sous E/C/F/TDF; au niveau de la hanche, elle a diminué de 0,66% et de 2,95%, respectivement. Une diminution de la DMO au niveau du rachis lombaire de 5% ou plus a été observée chez 10% des patients traités par E/C/F/TAF et chez 22% des patients traités par E/C/F/TDF. Une diminution de la DMO au niveau du col du fémur de 7% ou plus a été observée chez 7% des patients traités par E/C/F/TAF et chez 19% des patients traités par E/C/F/TDF. L'effet clinique à long terme de ces modifications de la DMO n'est pas connu. Des fractures (hors doigts et orteils) ont été rapportées à la semaine 48 par 7 patients du groupe E/C/F/TAF (0,8%) et 12 patients du groupe E/C/F/TDF (1,4%).
  • -Créatine kinase (≥10,0× LSN) 7% 6%
  • +Créatine kinase (≥10,0 x LSN) 7% 6%
  • - E/C/F/TAF n = 866 E/C/F/TDF n = 867
  • + E/C/F/TAF n = 866 E/C/F/TDF n = 867
  • -Lors dune étude menée chez des patients virologiquement contrôlés ayant changé dun traitement par emtricitabine/fumarate de ténofovir disoproxil pour Descovy tout en conservant le troisième agent antirétroviral (GS-US-311-1089), des augmentations par rapport à linitiation du traitement ont été observées pour les paramètres lipidiques mesurés à jeun: le cholestérol total, le cholestérol LDL direct et les triglycérides dans le groupe traité par Descovy en comparaison aux faibles changements observés dans le groupe traité par emtricitabine/fumarate de ténofovir disoproxil (p ≤0,009 pour la différence entre les groupes en termes de changements par rapport à linitiation du traitement). Peu de changements ont été observés entre linitiation du traitement et la semaine 96 pour les valeurs médianes à jeun du cholestérol HDL et du glucose ou du ratio entre cholestérol total et cholestérol HDL à jeun entre les groupes de traitement. Aucun de ces changements na été jugé cliniquement pertinent.
  • +Lors d'une étude menée chez des patients virologiquement contrôlés ayant changé d'un traitement par emtricitabine/fumarate de ténofovir disoproxil pour Descovy tout en conservant le troisième agent antirétroviral (GS-US-311-1089), des augmentations par rapport à l'initiation du traitement ont été observées pour les paramètres lipidiques mesurés à jeun: le cholestérol total, le cholestérol LDL direct et les triglycérides dans le groupe traité par Descovy en comparaison aux faibles changements observés dans le groupe traité par emtricitabine/fumarate de ténofovir disoproxil (p ≤0,009 pour la différence entre les groupes en termes de changements par rapport à l'initiation du traitement). Peu de changements ont été observés entre l'initiation du traitement et la semaine 96 pour les valeurs médianes à jeun du cholestérol HDL et du glucose ou du ratio entre cholestérol total et cholestérol HDL à jeun entre les groupes de traitement. Aucun de ces changements n'a été jugé cliniquement pertinent.
  • -Chez les patients infectés par le VIH et présentant un déficit immunitaire sévère, une réaction inflammatoire à des infections opportunistes asymptomatiques ou résiduelles peut se produire au moment de l'instauration du traitement par ART. Des maladies auto-immunes (comme la maladie de Basedow) ont également été rapportées; cependant, le délai d'apparition décrit est très variable et ces événements peuvent survenir plusieurs mois après l'instauration du traitement (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +Chez les patients infectés par le VIH et présentant un déficit immunitaire sévère, une réaction inflammatoire à des infections opportunistes asymptomatiques ou résiduelles peut se produire au moment de l'instauration du traitement par ART. Des maladies auto-immunes (comme la maladie de Basedow et l'hépatite autoimmune) ont également été rapportées; cependant, le délai d'apparition décrit est très variable et ces événements peuvent survenir plusieurs mois après l'instauration du traitement (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -b Le dosage de la lipase n'a été réalisé que pour les patients présentant un taux sérique d'amylase >1,5× LSN.
  • +b Le dosage de la lipase n'a été réalisé que pour les patients présentant un taux sérique d'amylase >1,5 x LSN.
  • +L'annonce d'effets secondaires présumés après l'autorisation est d'une grande importance. Elle permet un suivi continu du rapport bénéfice-risque du médicament. Les professionnels de santé sont tenus de déclarer toute suspicion d'effet secondaire nouveau ou grave via le portail d'annonce en ligne ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet sur www.swissmedic.ch.
  • +
  • -Code ATC: J05AR17
  • +Code ATC
  • +J05AR17
  • -Efficacité et sécurité clinique
  • +Efficacité clinique
  • -Les taux généraux de succès virologique à la semaine 24 étaient les suivants: E/C/F/TAF 88,4%, E/C/F/TDF 89,7%; différence en pourcentage: -2,9%, IC 95%: -13,5% à 7,7%. Le taux de succès virologique pour les sous-groupes, au niveau initial d'ARN du VIH-1>100'000 copies/ml et au nombre initial de cellules CD4+ <200 cellules/mm3, était plus bas pour E/C/F/TAF que pour E/C/F/TDF (tableau 7).
  • -Tableau 7: Étude GS-US-292-0102: Résultat virologique (ARN du VIH-1 <50 copies/ml selon l'algorithme snapshot défini par la FDA) à la semaine 24
  • - Comparaison E/C/F/TAF vs E/C/F/TDF
  • +Les taux généraux de succès virologique à la semaine 24 étaient les suivants: E/C/F/TAF 88,4%, E/C/F/TDF 89,7%; différence en pourcentage: -2,9%, IC 95%: -13,5% à 7,7%. Le taux de succès virologique pour les sous-groupes, au niveau initial d'ARN du VIH-1>100 000 copies/ml et au nombre initial de cellules CD4+ <200 cellules/mm3, était plus bas pour E/C/F/TAF que pour E/C/F/TDF (tableau 7).
  • +Tableau 7: Étude GS-US-292-0102: Résultat virologique (ARN du VIH-1<50 copies/ml selon l'algorithme snapshot défini par la FDA) à la semaine 24
  • + Comparaison E/C/F/TAF vs E/C/F/TDF
  • -L'efficacité et la sécurité de l'association emtricitabine+ténofovir alafénamide chez des adultes infectés par le VIH-1 et naïfs de tout traitement sont issues des données de 48 semaines de deux études de phase 3, randomisées, en double aveugle, contrôlées par médicament actif, GS-US-292-0104 et GS-US-292-0111 (n = 1'733). L'efficacité et la sécurité de l'association emtricitabine+ténofovir alafénamide chez des adultes infectés par le VIH-1 virologiquement contrôlés sont issues des données de 48 semaines d'une étude de phase 3, randomisée en ouvert, contrôlée, GS-US-292-0109 (n = 1'436). L'efficacité et la sécurité de l'association emtricitabine+ténofovir alafénamide chez des patients infectés par le VIH-1 virologiquement contrôlés et présentant une insuffisance rénale légère à modérée sont issues des données de 48 semaines d'une étude de phase 3, en ouvert, GS-US-292-0112 (n = 242). L'efficacité et la sécurité de l'association emtricitabine+ténofovir alafénamide chez des adolescents de 12 à <18 ans infectés par le VIH-1 naïfs de tout traitement sont issues des données de 24 semaines d'une étude de phase 3, en ouvert, GS-US-292-0106 (n = 50).
  • +L'efficacité et la sécurité de l'association emtricitabine+ténofovir alafénamide chez des adultes infectés par le VIH-1 et naïfs de tout traitement sont issues des données de 48 semaines de deux études de phase 3, randomisées, en double aveugle, contrôlées par médicament actif, GS-US-292-0104 et GS-US-292-0111 (n = 1733). L'efficacité et la sécurité de l'association emtricitabine+ténofovir alafénamide chez des adultes infectés par le VIH-1 virologiquement contrôlés sont issues des données de 48 semaines d'une étude de phase 3, randomisée en ouvert, contrôlée, GS-US-292-0109 (n = 1436). L'efficacité et la sécurité de l'association emtricitabine+ténofovir alafénamide chez des patients infectés par le VIH-1 virologiquement contrôlés et présentant une insuffisance rénale légère à modérée sont issues des données de 48 semaines d'une étude de phase 3, en ouvert, GS-US-292-0112 (n = 242). L'efficacité et la sécurité de l'association emtricitabine+ténofovir alafénamide chez des adolescents de 12 à <18 ans infectés par le VIH-1 naïfs de tout traitement sont issues des données de 24 semaines d'une étude de phase 3, en ouvert, GS-US-292-0106 (n = 50).
  • -Dans les études GS-US-292-0104 et GS-US-292-0111, les patients ont été randomisés selon un rapport de 1:1 pour recevoir une fois par jour soit emtricitabine+ténofovir alafénamide (n = 866), soit emtricitabine+fumarate de ténofovir disoproxil (n = 867), administrés dans les deux cas avec elvitégravir+cobicistat, sous la forme d'association à dose fixe. L'âge moyen dans les études GS-US-292-0104 et GS-US-292-0111 était de 36 ans (intervalle: 18-76), 85% des patients étaient de sexe masculin, 57% étaient blancs, 25% étaient noirs et 10% étaient asiatiques. Dix-neuf pour cent des patients ont été identifiés comme hispaniques/latino-américains. Le taux plasmatique moyen d'ARN du VIH-1 à l'inclusion était de 4,5 log10 copies/ml (intervalle: 1,3-7,0) et 23% des patients présentaient à l'inclusion une charge virale >100'000 copies/ml. Le taux moyen de CD4+ à l'inclusion était de 427 cellules/mm3 (intervalle: 0-1'360) et 13% présentaient un taux de CD4+ <200 cellules/mm3.
  • +Dans les études GS-US-292-0104 et GS-US-292-0111, les patients ont été randomisés selon un rapport de 1:1 pour recevoir une fois par jour soit emtricitabine+ténofovir alafénamide (n = 866), soit emtricitabine+fumarate de ténofovir disoproxil (n = 867), administrés dans les deux cas avec elvitégravir+cobicistat, sous la forme d'association à dose fixe. L'âge moyen dans les études GS-US-292-0104 et GS-US-292-0111 était de 36 ans (intervalle: 18-76), 85% des patients étaient de sexe masculin, 57% étaient blancs, 25% étaient noirs et 10% étaient asiatiques. Dix-neuf pour cent des patients ont été identifiés comme hispaniques/latino-américains. Le taux plasmatique moyen d'ARN du VIH-1 à l'inclusion était de 4,5 log10 copies/ml (intervalle: 1,3-7,0) et 23% des patients présentaient à l'inclusion une charge virale >100'000 copies/ml. Le taux moyen de CD4+ à l'inclusion était de 427 cellules/mm3 (intervalle: 0-1360) et 13% présentaient un taux de CD4+ <200 cellules/mm3.
  • - Emtricitabine+ ténofovir alafénamide (administrés sous la forme E/C/F/TAF) (n = 866) Emtricitabine+ fumarate de ténofovir disoproxil (administrés sous la forme E/C/F/TDF) (n = 867)
  • -ARN du VIH-1 <50 copies/ml 92% 90%
  • + Emtricitabine+ ténofovir alafénamide (administrés sous la forme E/C/F/TAF) (n = 866) Emtricitabine+ fumarate de ténofovir disoproxil (administrés sous la forme E/C/F/TDF) (n = 867)
  • +ARN du VIH-1<50 copies/ml 92% 90%
  • -Proportion (%) de patients avec un taux d'ARN du VIH-1 <50 copies/ml selon le sous-groupe
  • +Proportion (%) de patients avec un taux d'ARN du VIH-1<50 copies/ml selon le sous-groupe
  • -L'association emtricitabine+ténofovir alafénamide a satisfait au critère de non-infériorité (obtention d'un taux d'ARN du VIH-1 <50 copies/ml) par rapport à l'association emtricitabine+fumarate de ténofovir disoproxil, administrées dans les deux cas avec elvitégravir+cobicistat, sous la forme d'association à dose fixe.
  • +L'association emtricitabine+ténofovir alafénamide a satisfait au critère de non-infériorité (obtention d'un taux d'ARN du VIH-1<50 copies/ml) par rapport à l'association emtricitabine+fumarate de ténofovir disoproxil, administrées dans les deux cas avec elvitégravir+cobicistat, sous la forme d'association à dose fixe.
  • -Dans l'étude GS-US-292-0109, l'efficacité et la sécurité du changement de traitement par éfavirenz/emtricitabine/fumarate de ténofovir disoproxil, emtricitabine/fumarate de ténofovir disoproxil plus atazanavir (potentialisé par le cobicistat ou le ritonavir) ou E/C/F/TDF au traitement par emtricitabine+ténofovir alafénamide avec elvitégravir+cobicistat, sous la forme d'association à dose fixe, ont été évaluées dans une étude randomisée en ouvert chez des adultes infectés par le VIH-1 virologiquement contrôlés (taux d'ARN du VIH-1 <50 copies/ml) (n = 1'436). Les patients devaient être virologiquement contrôlés et stables (taux d'ARN du VIH-1 <50 copies/ml) sous le traitement reçu à l'inclusion depuis au moins 6 mois et être porteurs d'un VIH-1 exempt de mutations associées à une résistance à l'emtricitabine, au ténofovir alafénamide ou à l'elvitégravir avant l'inclusion. Ces patients n'avaient par ailleurs pas d'antécédent d'échec virologique et recevaient leur premier ou deuxième traitement antirétroviral. Les patients ont été randomisés selon un rapport de 2:1 à l'inclusion pour changer de traitement pour l'association emtricitabine+ténofovir alafénamide avec elvitégravir+cobicistat, sous la forme d'association à dose fixe (n = 959), ou poursuivre leur traitement antirétroviral initial (n = 477). L'âge moyen des patients était de 41 ans (intervalle: 21-77), 89% étaient de sexe masculin, 67% étaient blancs et 19% étaient noirs. Le taux moyen de CD4+ à l'inclusion était de 697 cellules/mm3 (intervalle: 79-1'951).
  • +Dans l'étude GS-US-292-0109, l'efficacité et la sécurité du changement de traitement par éfavirenz/emtricitabine/fumarate de ténofovir disoproxil, emtricitabine/fumarate de ténofovir disoproxil plus atazanavir (potentialisé par le cobicistat ou le ritonavir) ou E/C/F/TDF au traitement par emtricitabine+ténofovir alafénamide avec elvitégravir+cobicistat, sous la forme d'association à dose fixe, ont été évaluées dans une étude randomisée en ouvert chez des adultes infectés par le VIH-1 virologiquement contrôlés (taux d'ARN du VIH-1<50 copies/ml) (n = 1436). Les patients devaient être virologiquement contrôlés et stables (taux d'ARN du VIH-1<50 copies/ml) sous le traitement reçu à l'inclusion depuis au moins 6 mois et être porteurs d'un VIH-1 exempt de mutations associées à une résistance à l'emtricitabine, au ténofovir alafénamide ou à l'elvitégravir avant l'inclusion. Ces patients n'avaient par ailleurs pas d'antécédent d'échec virologique et recevaient leur premier ou deuxième traitement antirétroviral. Les patients ont été randomisés selon un rapport de 2:1 à l'inclusion pour changer de traitement pour l'association emtricitabine+ténofovir alafénamide avec elvitégravir+cobicistat, sous la forme d'association à dose fixe (n = 959), ou poursuivre leur traitement antirétroviral initial (n = 477). L'âge moyen des patients était de 41 ans (intervalle: 21-77), 89% étaient de sexe masculin, 67% étaient blancs et 19% étaient noirs. Le taux moyen de CD4+ à l'inclusion était de 697 cellules/mm3 (intervalle: 79-1951).
  • -Le passage d'un traitement à base de TDF à l'association E/C/F/TAF a été supérieur au maintien du traitement initial s'agissant de conserver un taux d'ARN du VIH-1 <50 copies/ml (tableau 9).
  • +Le passage d'un traitement à base de TDF à l'association E/C/F/TAF a été supérieur au maintien du traitement initial s'agissant de conserver un taux d'ARN du VIH-1<50 copies/ml (tableau 9).
  • - Emtricitabine+ ténofovir alafénamide (administrés sous la forme E/C/F/TAF) (n = 959) Traitement initial (n = 477)
  • -ARN du VIH-1 <50 copies/ml 97% 93%
  • + Emtricitabine+ ténofovir alafénamide (administrés sous la forme E/C/F/TAF) (n = 959) Traitement initial (n = 477)
  • +ARN du VIH-1<50 copies/ml 97% 93%
  • -Proportion (%) de patients avec un taux d'ARN du VIH-1 <50 copies/ml selon le traitement précédent
  • +Proportion (%) de patients avec un taux d'ARN du VIH-1<50 copies/ml selon le traitement précédent
  • -Dans l'étude GS-US-311-1089, l'efficacité et la sécurité du changement de traitement de l'association emtricitabine/fumarate de ténofovir disoproxil à Descovy sans changer le troisième principe actif antirétroviral ont été évaluées dans une étude randomisée en double aveugle chez des adultes infectés par le VIH-1 virologiquement contrôlés (n = 663). Les patients devaient être contrôlés de façon stable par leur traitement initial depuis au moins 6 mois (taux d'ARN du VIH-1 <50 copies/ml). Les patients ont été randomisés selon un rapport de 1:1 à l'inclusion pour changer de traitement pour Descovy (n = 333) ou poursuivre leur traitement initial avec l'emtricitabine et le fumarate de ténofovir disoproxil (n = 330). Les patients ont été stratifiés en fonction de la classe du troisième principe actif de leur traitement précédent. À l'inclusion, 46% des patients prenaient de l'emtricitabine et du fumarate de ténofovir disoproxil associés à un IP potentialisé et 54% de l'emtricitabine et du fumarate de ténofovir disoproxil en association avec un troisième principe actif non potentialisé.
  • -Les résultats thérapeutiques de létude GS-US-311-1089 jusquaux semaines 48 et 96 sont présentés dans le tableau 10.
  • -Tableau 10: Résultats virologiques de létude GS-US-311-1089 aux semaines 48a et 96b
  • - Semaine 48 Semaine 96
  • - Régime de traitement avec Descovy (n = 333) Régime de traitement avec emtricitabine/ fumarate de ténofovir disoproxil (n = 330) Régime de traitement avec Descovy (n = 333) Régime de traitement avec emtricitabine/fumarate de ténofovir disoproxil (n = 330)
  • +Dans l'étude GS-US-311-1089, l'efficacité et la sécurité du changement de traitement de l'association emtricitabine/fumarate de ténofovir disoproxil à Descovy sans changer le troisième principe actif antirétroviral ont été évaluées dans une étude randomisée en double aveugle chez des adultes infectés par le VIH-1 virologiquement contrôlés (n = 663). Les patients devaient être contrôlés de façon stable par leur traitement initial depuis au moins 6 mois (taux d'ARN du VIH-1<50 copies/ml). Les patients ont été randomisés selon un rapport de 1:1 à l'inclusion pour changer de traitement pour Descovy (n = 333) ou poursuivre leur traitement initial avec l'emtricitabine et le fumarate de ténofovir disoproxil (n = 330). Les patients ont été stratifiés en fonction de la classe du troisième principe actif de leur traitement précédent. À l'inclusion, 46% des patients prenaient de l'emtricitabine et du fumarate de ténofovir disoproxil associés à un IP potentialisé et 54% de l'emtricitabine et du fumarate de ténofovir disoproxil en association avec un troisième principe actif non potentialisé.
  • +Les résultats thérapeutiques de l'étude GS-US-311-1089 jusqu'aux semaines 48 et 96 sont présentés dans le tableau 10.
  • +Tableau 10: Résultats virologiques de l'étude GS-US-311-1089 aux semaines 48a et 96b
  • + Semaine 48 Semaine 96
  • + Régime de traitement avec Descovy (n = 333) Régime de traitement avec emtricitabine/ fumarate de ténofovir disoproxil (n = 330) Régime de traitement avec Descovy (n = 333) Régime de traitement avec emtricitabine/ fumarate de ténofovir disoproxil (n = 330)
  • -Proportion (%) de patients avec un taux d'ARN du VIH-1<50 copies/ml après le traitement précédent
  • +Proportion (%) de patients avec un taux d'ARN du VIH-1<50 copies/ml après le traitement précédent
  • -Dans l'étude GS-US-292-0112, l'efficacité et la sécurité de l'association E/C/F/TAF ont été évaluées dans une étude clinique en ouvert menée chez 242 patients infectés par le VIH-1 et présentant une insuffisance rénale légère à modérée (DFGeCG: 30–69 ml/min). Les patients étaient virologiquement contrôlés (taux d'ARN du VIH-1 <50 copies/ml) depuis au moins 6 mois avant de changer de traitement pour passer sous E/C/F/TAF. L'âge moyen était de 58 ans (intervalle: 24-82) et 63 patients (26%) étaient âgés de ≥65 ans. Septante-neuf pour cent étaient de sexe masculin, 63% étaient blancs, 18% étaient noirs et 14% étaient asiatiques. Treize pour cent des patients ont été identifiés comme hispaniques/latino-américains. À l'inclusion, 80 patients (33%) présentaient un DFGeCG <50 ml/min et 162 patients présentaient un DFGeCG ≥50 ml/min. À l'inclusion, le DFGe médian était de 56 ml/min. Le taux moyen de CD4+ à l'inclusion était de 664 cellules/mm3 (intervalle: 126-1'813).
  • -À la semaine 48, 92% (222/242 patients) ont conservé un taux d'ARN du VIH-1 <50 copies/ml après être passés sous E/C/F/TAF. Trois patients étaient en situation d'échec virologique à la semaine 48.
  • -Au cours du programme de développement clinique dans lequel des patients naïfs de tout traitement, des patients ayant précédemment suivi un traitement contenant du TDF, des patients présentant une insuffisance rénale légère à modérée et des adolescents ont été inclus, il a été démontré que l'association E/C/F/TAF avait des effets plus limités sur les paramètres rénaux et osseux que E/C/F/TDF ou d'autres traitements contenant du TDF (tableaux 11 à 14 et «Adolescents»).
  • +Dans l'étude GS-US-292-0112, l'efficacité et la sécurité de l'association E/C/F/TAF ont été évaluées dans une étude clinique en ouvert menée chez 242 patients infectés par le VIH-1 et présentant une insuffisance rénale légère à modérée (DFGeCG: 30–69 ml/min). Les patients étaient virologiquement contrôlés (taux d'ARN du VIH-1<50 copies/ml) depuis au moins 6 mois avant de changer de traitement pour passer sous E/C/F/TAF. L'âge moyen était de 58 ans (intervalle: 24-82) et 63 patients (26%) étaient âgés de ≥65 ans. Septante-neuf pour cent étaient de sexe masculin, 63% étaient blancs, 18% étaient noirs et 14% étaient asiatiques. Treize pour cent des patients ont été identifiés comme hispaniques/latino-américains. À l'inclusion, 80 patients (33%) présentaient un DFGeCG <50 ml/min et 162 patients présentaient un DFGeCG ≥50 ml/min. À l'inclusion, le DFGe médian était de 56 ml/min. Le taux moyen de CD4+ à l'inclusion était de 664 cellules/mm3 (intervalle: 126-1813).
  • +À la semaine 48, 92% (222/242 patients) ont conservé un taux d'ARN du VIH-1<50 copies/ml après être passés sous E/C/F/TAF. Trois patients étaient en situation d'échec virologique à la semaine 48.
  • +Au cours du programme de développement clinique dans lequel des patients naïfs de tout traitement, des patients ayant précédemment suivi un traitement contenant du TDF, des patients présentant une insuffisance rénale légère à modérée et des adolescents ont été inclus, il a été démontré que l'association E/C/F/TAF avait des effets plus limités sur les paramètres rénaux et osseux que E/C/F/TDF ou d'autres traitements contenant du TDF (tableaux 11 à 14 et «Sécurité et efficacité en pédiatrie»).
  • - E/C/F/TAF E/C/F/TDF Différence entre les groupes de traitement
  • -Analyse de l'os iliaque par DXA (n = 780) (n = 767)
  • + E/C/F/TAF E/C/F/TDF Différence entre les groupes de traitement
  • +Analyse de l'os iliaque par DXA (n = 780) (n = 767)
  • -Analyse du rachis lombaire par DXA (n = 784) (n = 773)
  • +Analyse du rachis lombaire par DXA (n = 784) (n = 773)
  • - E/C/F/TAF Traitement initial Différence entre les groupes de traitement
  • -Analyse de l'os iliaque par DXA (n = 902) (n = 452)
  • + E/C/F/TAF Traitement initial Différence entre les groupes de traitement
  • +Analyse de l'os iliaque par DXA (n = 902) (n = 452)
  • -Analyse du rachis lombaire par DXA (n = 912) (n = 457)
  • +Analyse du rachis lombaire par DXA (n = 912) (n = 457)
  • -Lors dune étude menée chez des patients adultes virologiquement contrôlés, des améliorations de la DMO ont été notées au bout de 96 semaines après le passage dun traitement à base de TDF pour Descovy en comparaison à des changements minimes avec le maintien du traitement à base de TDF, mesurées par analyse DEXA de la hanche (variation moyenne par rapport à linitiation du traitement de 1,9% vs -0,3%, p <0,001) et du rachis lombaire (variation moyenne par rapport à linitiation du traitement de 2,2% vs -0,2%, p <0,001).
  • +Lors d'une étude menée chez des patients adultes virologiquement contrôlés, des améliorations de la DMO ont été notées au bout de 96 semaines après le passage d'un traitement à base de TDF pour Descovy en comparaison à des changements minimes avec le maintien du traitement à base de TDF, mesurées par analyse DEXA de la hanche (variation moyenne par rapport à l'initiation du traitement de 1,9% vs -0,3%, p <0,001) et du rachis lombaire (variation moyenne par rapport à l'initiation du traitement de 2,2% vs -0,2%, p <0,001).
  • - E/C/F/TAF (n = 866) E/C/F/TDF (n = 867)
  • + E/C/F/TAF (n = 866) E/C/F/TDF (n = 867)
  • -Adolescents
  • -Dans l'étude GS-US-292-0106, l'efficacité, la sécurité et la pharmacocinétique de l'association emtricitabine+ténofovir alafénamide ont été évaluées dans une étude en ouvert menée chez des adolescents infectés par le VIH-1, naïfs de tout traitement, qui ont reçu emtricitabine+ténofovir alafénamide avec elvitégravir+cobicistat, sous la forme d'association à dose fixe. Les 50 patients traités par E/C/F/TAF pendant 24 semaines étaient âgés en moyenne de 15 ans (intervalle: 12-17), 44% étaient de sexe masculin, 12% étaient asiatiques et 88% étaient noirs. À l'inclusion, le taux plasmatique moyen d'ARN du VIH-1 était de 4,7 log10 copies/ml, le taux médian de CD4+ était de 456 cellules/mm3 (intervalle: 95 à 1'110) et le pourcentage médian de CD4+ était de 23% (intervalle: 7% à 45%). Globalement, 22% présentaient à l'inclusion un taux plasmatique d'ARN du VIH-1>100'000 copies/ml.
  • -Après 24 semaines, 90% des adolescents traités par E/C/F/TAF ont atteint un taux d'ARN du VIH-1 <50 copies/ml, soit un taux similaire aux taux de réponse observés dans les études menées chez les adultes infectés par le VIH-1 naïfs de tout traitement. L'augmentation moyenne du taux de CD4+ entre l'inclusion et la semaine 24 a été de 191 cellules/mm3. Quatre patients étaient en situation d'échec virologique à la semaine 24; aucune résistance au traitement par emtricitabine+ténofovir alafénamide n'a été détectée.
  • +Sécurité et efficacité en pédiatrie
  • +Dans l'étude GS-US-292-0106, l'efficacité, la sécurité et la pharmacocinétique de l'association emtricitabine+ténofovir alafénamide ont été évaluées dans une étude en ouvert menée chez des adolescents infectés par le VIH-1, naïfs de tout traitement, qui ont reçu emtricitabine+ténofovir alafénamide avec elvitégravir+cobicistat, sous la forme d'association à dose fixe. Les 50 patients traités par E/C/F/TAF pendant 24 semaines étaient âgés en moyenne de 15 ans (intervalle: 12-17), 44% étaient de sexe masculin, 12% étaient asiatiques et 88% étaient noirs. À l'inclusion, le taux plasmatique moyen d'ARN du VIH-1 était de 4,7 log10 copies/ml, le taux médian de CD4+ était de 456 cellules/mm3 (intervalle: 95 à 1110) et le pourcentage médian de CD4+ était de 23% (intervalle: 7% à 45%). Globalement, 22% présentaient à l'inclusion un taux plasmatique d'ARN du VIH-1>100 000 copies/ml.
  • +Après 24 semaines, 90% des adolescents traités par E/C/F/TAF ont atteint un taux d'ARN du VIH-1<50 copies/ml, soit un taux similaire aux taux de réponse observés dans les études menées chez les adultes infectés par le VIH-1 naïfs de tout traitement. L'augmentation moyenne du taux de CD4+ entre l'inclusion et la semaine 24 a été de 191 cellules/mm3. Quatre patients étaient en situation d'échec virologique à la semaine 24; aucune résistance au traitement par emtricitabine+ténofovir alafénamide n'a été détectée.
  • -Linéarité/Non-linéarité
  • +Linéarité/non-linéarité
  • - n Paramètres pharmacocinétiques du TAF* Moyenne (CV, %)
  • + n Paramètres pharmacocinétiques du TAF* Moyenne (CV, %)
  • -* La moyenne totale (CV, %) pour l'ASCtau du ténofovir (métabolite du TAF) dans l'étude GS-US-311-1089 était de 346,3 (40,0) ng•h/ml. En revanche, la moyenne (CV, %) pour l'ASC0-∞ du ténofovir après administration d'une dose unique de TDF à des sujets non infectés par le VIH était de 2'050 (50,8%) ng•h/ml.
  • -Cinétique pour certains groupes de patients:
  • +* La moyenne totale (CV, %) pour l'ASCtau du ténofovir (métabolite du TAF) dans l'étude GS-US-311-1089 était de 346,3 (40,0%) ng•h/ml. En revanche, la moyenne (CV, %) pour l'ASC0-∞ du ténofovir après administration d'une dose unique de TDF à des sujets non infectés par le VIH était de 2050 (50,8%) ng•h/ml.
  • +Cinétique pour certains groupes de patients
  • -Insuffisance rénale
  • +Troubles de la fonction hépatique
  • +La pharmacocinétique de l'emtricitabine n'a pas été étudiée chez les patients présentant une insuffisance hépatique; cependant, comme l'emtricitabine n'est pas métabolisée par les enzymes hépatiques de manière significative, l'impact de l'insuffisance hépatique doit être limité.
  • +Aucune modification cliniquement pertinente de la pharmacocinétique du ténofovir alafénamide ou de son métabolite ténofovir n'a été observée chez les patients présentant une insuffisance hépatique légère ou modérée. Chez les patients présentant une insuffisance hépatique sévère, les concentrations plasmatiques totales de ténofovir alafénamide et de ténofovir sont plus faibles que chez des sujets volontaires présentant une fonction hépatique normale. Les concentrations plasmatiques de ténofovir alafénamide non lié (libre), corrigées avec prise en compte de la liaison aux protéines, sont semblables pour les patients présentant une insuffisance hépatique sévère et les sujets présentant une fonction hépatique normale.
  • +Coinfection par le virus de l'hépatite B et/ou de l'hépatite C
  • +Les paramètres pharmacocinétiques de l'emtricitabine et du ténofovir alafénamide n'ont pas été complètement évalués chez les patients co-infectés par le virus de l'hépatite B et/ou C.
  • +Troubles de la fonction rénale
  • - ASCtau µg•h/ml Moyenne (CV, %)
  • + ASCtau µg•h/ml Moyenne (CV, %)
  • -*ASCder
  • +* ASCder
  • -Insuffisance hépatique
  • -La pharmacocinétique de l’emtricitabine n’a pas été étudiée chez les patients présentant une insuffisance hépatique; cependant, comme l’emtricitabine n’est pas métabolisée par les enzymes hépatiques de manière significative, l’impact de l’insuffisance hépatique doit être limité.
  • -Aucune modification cliniquement pertinente de la pharmacocinétique du ténofovir alafénamide ou de son métabolite ténofovir n’a été observée chez les patients présentant une insuffisance hépatique légère ou modérée. Chez les patients présentant une insuffisance hépatique sévère, les concentrations plasmatiques totales de ténofovir alafénamide et de ténofovir sont plus faibles que chez des sujets volontaires présentant une fonction hépatique normale. Les concentrations plasmatiques de ténofovir alafénamide non lié (libre), corrigées avec prise en compte de la liaison aux protéines, sont semblables pour les patients présentant une insuffisance hépatique sévère et les sujets présentant une fonction hépatique normale.
  • -Coinfection par le virus de l'hépatite B et/ou de l'hépatite C
  • -Les paramètres pharmacocinétiques de l'emtricitabine et du ténofovir alafénamide n'ont pas été complètement évalués chez les patients co-infectés par le virus de l'hépatite B et/ou C.
  • -Les études expérimentales effectuées avec le ténofovir alafénamide chez le rat et le chien ont révélé que les os et les reins étaient les principaux organes cibles de la toxicité. La toxicité osseuse sest manifestée par une baisse de la densité osseuse chez le rat et le chien, à des niveaux dexposition au ténofovir au moins quatre fois supérieurs à ceux attendus après ladministration de Descovy. Une infiltration minime des histiocytes a été observée au niveau des yeux chez le chien à des niveaux dexposition au ténofovir alafénamide et au ténofovir environ 4 et 17 fois supérieurs, respectivement, à ceux attendus après ladministration de Descovy.
  • +Les études expérimentales effectuées avec le ténofovir alafénamide chez le rat et le chien ont révélé que les os et les reins étaient les principaux organes cibles de la toxicité. La toxicité osseuse s'est manifestée par une baisse de la densité osseuse chez le rat et le chien, à des niveaux d'exposition au ténofovir au moins quatre fois supérieurs à ceux attendus après l'administration de Descovy. Une infiltration minime des histiocytes a été observée au niveau des yeux chez le chien à des niveaux d'exposition au ténofovir alafénamide et au ténofovir environ 4 et 17 fois supérieurs, respectivement, à ceux attendus après l'administration de Descovy.
  • -Toxicité sur les fonctions de reproduction
  • -Les études de toxicité sur les fonctions de reproduction chez le rat et le lapin n'ont montré aucun effet sur le comportement d'accouplement et les paramètres de fertilité, de gestation ou fœtaux. Toutefois, dans les études de toxicité péri- et post-natales, le fumarate de ténofovir disoproxil a réduit l'indice de viabilité et le poids des animaux à la naissance à des doses toxiques pour la mère.
  • +Toxicité sur la reproduction
  • +Les études de toxicité sur la reproduction chez le rat et le lapin n'ont montré aucun effet sur le comportement d'accouplement et les paramètres de fertilité, de gestation ou fœtaux. Toutefois, dans les études de toxicité péri- et post-natales, le fumarate de ténofovir disoproxil a réduit l'indice de viabilité et le poids des animaux à la naissance à des doses toxiques pour la mère.
  • -Remarques concernant le stockage
  • +Remarques particulières concernant le stockage
  • -Conserver dans l'emballage d'origine pour le protéger de l'humidité.
  • -Le flacon est muni d'une fermeture de sécurité enfants et contient un déshydratant en gel de silice. Conserver le flacon soigneusement fermé.
  • +Conserver dans l'emballage d'origine pour protéger le contenu de l'humidité.
  • +Conserver le flacon soigneusement fermé.
  • +Le flacon est muni d'une fermeture de sécurité enfants et contient un déshydratant en gel de silice.
  • -65921 (Swissmedic).
  • +65921 (Swissmedic)
  • -Gilead Sciences Switzerland Sàrl, Steinhausen.
  • +Gilead Sciences Switzerland Sàrl, Steinhausen
  • -Décembre 2017.
  • +Octobre 2019
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