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Accueil - Information professionnelle sur Descovy 200/10 mg - Changements - 22.09.2021
102 Changements de l'information professionelle Descovy 200/10 mg
  • -·qui sont virologiquement contrôlés (taux d'ARN du VIH-1<50 copies/ml) depuis au moins 6 mois par un traitement antiviral stable, et
  • +·qui sont virologiquement contrôlés (taux d'ARN du VIH-1 < 50 copies/ml) depuis au moins 6 mois par un traitement antiviral stable, et
  • -Descovy ne doit pas être initié chez les patients présentant une CrCl estimée <30 ml/min compte tenu de l'absence de données concernant l'utilisation de Descovy pour ce groupe de patients (voir «Propriétés/Effets»).
  • +Descovy ne doit pas être initié chez les patients présentant une CrCl estimée < 30 ml/min compte tenu de l'absence de données concernant l'utilisation de Descovy pour ce groupe de patients (voir «Propriétés/Effets»).
  • -Aucun ajustement de la posologie de Descovy n'est nécessaire chez les patients âgés. Dans les études cliniques, 80 des 97 patients âgés de 65 ans et plus inclus ont pris l'emtricitabine et le ténofovir alafénamide avec l'elvitégravir et le cobicistat, sous la forme d'association à dose fixe. Aucune différence concernant la sécurité ou l'efficacité n'a été observée entre les patients âgés et les patients de 12 à <65 ans.
  • +Aucun ajustement de la posologie de Descovy n'est nécessaire chez les patients âgés. Dans les études cliniques, 80 des 97 patients âgés de 65 ans et plus inclus ont pris l'emtricitabine et le ténofovir alafénamide avec l'elvitégravir et le cobicistat, sous la forme d'association à dose fixe. Aucune différence concernant la sécurité ou l'efficacité n'a été observée entre les patients âgés et les patients de 12 à < 65 ans.
  • -Fonction rénale
  • -Des cas d'insuffisance rénale, incluant des cas de défaillance rénale aiguë et de syndrome de Fanconi (tubulopathie rénale avec hypophosphatémie sévère), ont été rapportés lors de l'utilisation de promédicaments du ténofovir dans le cadre d'études expérimentales de toxicité chez des animaux ainsi que pendant des études chez l'homme. Lors des études cliniques menées avec elvitégravir/cobicistat/emtricitabine/ténofovir alafénamide (E/C/F/TAF) (association à dose fixe emtricitabine/ténofovir alafénamide [F/TAF] avec elvitégravir et cobicistat), aucun cas de syndrome de Fanconi ni de tubulopathie rénale proximale n'a été observé. Dans les études cliniques menées avec E/C/F/TAF chez des patients naïfs de tout traitement et des patients virologiquement contrôlés passés à un traitement par E/C/F/TAF et présentant un débit de filtration glomérulaire estimé (DFGe) >50 ml/min, moins de 1% des patients traités par E/C/F/TAF ont eu des événements indésirables rénaux graves ou ont dû interrompre le traitement en raison d'événements indésirables rénaux. Dans une étude de patients virologiquement contrôlés qui présentaient à l'inclusion un DFGe compris entre 30 et 69 ml/min et qui ont été traités avec E/C/F/TAF pendant une durée médiane de 48 semaines, le traitement E/C/F/TAF a été arrêté durablement chez trois des 80 patients (4%) présentant à l'inclusion un DFGe compris entre 30 et 50 ml/min en raison d'une détérioration de la fonction rénale (voir «Effets indésirables»). L'utilisation de Descovy n'est pas recommandée chez les patients dont la CrCl estimée est inférieure à 30 ml/min compte tenu de l'absence de données suffisantes pour ce groupe de patients.
  • +Néphrotoxicité
  • +Des cas d'insuffisance rénale, incluant des cas de défaillance rénale aiguë et de syndrome de Fanconi (tubulopathie rénale avec hypophosphatémie sévère), ont été rapportés lors de l'utilisation de promédicaments du ténofovir dans le cadre d'études expérimentales de toxicité chez des animaux ainsi que pendant des études chez l'homme. Lors des études cliniques menées avec elvitégravir/cobicistat/emtricitabine/ténofovir alafénamide (E/C/F/TAF) (association à dose fixe emtricitabine/ténofovir alafénamide [F/TAF] avec elvitégravir et cobicistat), aucun cas de syndrome de Fanconi ni de tubulopathie rénale proximale n'a été observé. Dans les études cliniques menées avec E/C/F/TAF chez des patients naïfs de tout traitement et des patients virologiquement contrôlés passés à un traitement par E/C/F/TAF et présentant un débit de filtration glomérulaire estimé (DFGe) > 50 ml/min, moins de 1% des patients traités par E/C/F/TAF ont eu des événements indésirables rénaux graves ou ont dû interrompre le traitement en raison d'événements indésirables rénaux. Dans une étude de patients virologiquement contrôlés qui présentaient à l'inclusion un DFGe compris entre 30 et 69 ml/min et qui ont été traités avec E/C/F/TAF pendant une durée médiane de 48 semaines, le traitement E/C/F/TAF a été arrêté durablement chez trois des 80 patients (4%) présentant à l'inclusion un DFGe compris entre 30 et 50 ml/min en raison d'une détérioration de la fonction rénale (voir «Effets indésirables»). L'utilisation de Descovy n'est pas recommandée chez les patients dont la CrCl estimée est inférieure à 30 ml/min compte tenu de l'absence de données suffisantes pour ce groupe de patients.
  • -La CrCl estimée ainsi que la glucosurie et la protéinurie doivent être déterminées chez tous les patients avant le début du traitement par Descovy et surveillées régulièrement pendant le traitement. La fonction rénale des patients présentant une insuffisance rénale doit être surveillée plus fréquemment (CrCl, phosphate sérique, glucosurie et protéinurie).
  • +La CrCl estimée ainsi que la glucosurie et la protéinurie doivent, en fonction de la situation clinique, être déterminées chez tous les patients avant ou au début du traitement par Descovy et surveillées régulièrement pendant le traitement. La fonction rénale des patients présentant un dysfunctionnement rénal doit être surveillée plus fréquemment (CrCl, phosphate sérique, glucosurie et protéinurie).
  • -Dans une étude clinique portant sur le traitement par E/C/F/TAF de patients infectés par le VIH-1 et présentant une insuffisance rénale légère à modérée (DFGe selon la formule de Cockcroft-Gault [DFGeCG]: 30-69 ml/min), il y a eu une augmentation plus fréquente des paramètres biologiques ASAT, GGT et amylase/lipase chez les patients présentant un DFGe <50 ml/min que chez les patients présentant un DFGe >50 ml/min (voir «Effets indésirables»).
  • +Dans une étude clinique portant sur le traitement par E/C/F/TAF de patients infectés par le VIH-1 et présentant une insuffisance rénale légère à modérée (DFGe selon la formule de Cockcroft-Gault [DFGeCG]: 30-69 ml/min), il y a eu une augmentation plus fréquente des paramètres biologiques ASAT, GGT et amylase/lipase chez les patients présentant un DFGe < 50 ml/min que chez les patients présentant un DFGe > 50 ml/min (voir «Effets indésirables»).
  • -Grossesse/Allaitement
  • +Grossesse, allaitement
  • -Les effets indésirables figurant dans le tableau 3 sont présentés par classe de systèmes d'organes et par fréquence. Les fréquences sont définies comme suit: très fréquents (≥1/10), fréquents (≥1/100, <1/10) et occasionnels (≥1/1000, <1/100).
  • +Les effets indésirables figurant dans le tableau 3 sont présentés par classe de systèmes d'organes et par fréquence. Les fréquences sont définies comme suit: très fréquents (≥1/10), fréquents (≥1/100, < 1/10) et occasionnels (≥1/1000, < 1/100).
  • -Cholestérol LDL (à jeun) (>190 mg/dl) 5% 2%
  • -Cholestérol total (à jeun) (>300 mg/dl) 2% 1%
  • +Cholestérol LDL (à jeun) (> 190 mg/dl) 5% 2%
  • +Cholestérol total (à jeun) (> 300 mg/dl) 2% 1%
  • -La sécurité de l'association emtricitabine+ténofovir alafénamide a été étudiée sur 24 semaines, dans le cadre d'une étude clinique en ouvert (GS-US-292-0106) au cours de laquelle des adolescents âgés de 12 à <18 ans infectés par le VIH-1 et naïfs de tout traitement ont pris emtricitabine+ténofovir alafénamide avec l'elvitégravir et le cobicistat, sous la forme d'association à dose fixe. Le profil de sécurité d'emploi observé chez les 50 patients adolescents ayant reçu un traitement par emtricitabine+ténofovir alafénamide a été similaire à celui observé chez l'adulte (voir «Pharmacocinétique»).
  • +La sécurité de l'association emtricitabine+ténofovir alafénamide a été étudiée sur 24 semaines, dans le cadre d'une étude clinique en ouvert (GS-US-292-0106) au cours de laquelle des adolescents âgés de 12 à < 18 ans infectés par le VIH-1 et naïfs de tout traitement ont pris emtricitabine+ténofovir alafénamide avec l'elvitégravir et le cobicistat, sous la forme d'association à dose fixe. Le profil de sécurité d'emploi observé chez les 50 patients adolescents ayant reçu un traitement par emtricitabine+ténofovir alafénamide a été similaire à celui observé chez l'adulte (voir «Pharmacocinétique»).
  • -La sécurité de l'emtricitabine et du ténofovir alafénamide a été étudiée dans une étude clinique en ouvert de 48 semaines (GS-US-292-0112) chez 248 patients infectés par le VIH-1 présentant une insuffisance rénale légère à modérée (DFGe selon la formule de Cockcroft-Gault [DFGeCG]: 30 à 69 ml/min) naïfs de tout traitement (n = 6) ou virologiquement contrôlés (n = 242), traités par l'emtricitabine et le ténofovir alafénamide avec l'elvitégravir et le cobicistat sous la forme d'association à dose fixe. Le profil de sécurité d'emploi de l'emtricitabine et du ténofovir alafénamide chez les patients présentant une insuffisance rénale légère à modérée a été similaire à celui de patients présentant une fonction rénale normale (voir «Pharmacocinétique»). Le tableau 6 présente les fréquences des modifications des paramètres biologiques observées après 48 semaines dans l'étude 0112 chez les patients traités par E/C/F/TAF et présentant un DFGeCG <50 ml/min ou ≥50 ml/min.
  • +La sécurité de l'emtricitabine et du ténofovir alafénamide a été étudiée dans une étude clinique en ouvert de 48 semaines (GS-US-292-0112) chez 248 patients infectés par le VIH-1 présentant une insuffisance rénale légère à modérée (DFGe selon la formule de Cockcroft-Gault [DFGeCG]: 30 à 69 ml/min) naïfs de tout traitement (n = 6) ou virologiquement contrôlés (n = 242), traités par l'emtricitabine et le ténofovir alafénamide avec l'elvitégravir et le cobicistat sous la forme d'association à dose fixe. Le profil de sécurité d'emploi de l'emtricitabine et du ténofovir alafénamide chez les patients présentant une insuffisance rénale légère à modérée a été similaire à celui de patients présentant une fonction rénale normale (voir «Pharmacocinétique»). Le tableau 6 présente les fréquences des modifications des paramètres biologiques observées après 48 semaines dans l'étude 0112 chez les patients traités par E/C/F/TAF et présentant un DFGeCG < 50 ml/min ou ≥50 ml/min.
  • -DFGeCG <50 ml/min (n = 80) DFGeCG ≥50 ml/min (n = 162)
  • +DFGeCG < 50 ml/min (n = 80) DFGeCG ≥50 ml/min (n = 162)
  • -b Le dosage de la lipase n'a été réalisé que pour les patients présentant un taux sérique d'amylase >1,5 x LSN.
  • +b Le dosage de la lipase n'a été réalisé que pour les patients présentant un taux sérique d'amylase > 1,5 x LSN.
  • -Dans une analyse combinée portant sur des patients naïfs de tout traitement antirétroviral ayant reçu un traitement par emtricitabine+ténofovir alafénamide avec elvitégravir+cobicistat sous la forme d'association à dose fixe dans les études GS-US-292-0104 et GS-US-292-0111 et dans une étude de phase 2 (GS-US-292-0102), un génotypage a été effectué sur les isolats plasmatiques de VIH-1 issus de tous les patients présentant un échec virologique confirmé avec un taux d'ARN du VIH-1>400 copies/ml à la semaine 48 ou au moment de l'arrêt précoce du médicament à l'étude. À partir de la semaine 48, on a observé le développement d'une ou de plusieurs mutations primaires associées à la résistance à l'emtricitabine, au ténofovir alafénamide ou à l'elvitégravir chez 7 des 14 patients pour lesquels des données génotypiques obtenues à partir d'isolats prélevés à l'inclusion et au moment de l'échec thérapeutique du traitement par E/C/F/TAF étaient évaluables (7 patients sur 978 [0,7%]), comparativement à 7 isolats sur 15 après échec thérapeutique chez des patients du groupe de traitement elvitégravir/cobicistat/emtricitabine/fumarate de ténofovir disoproxil (E/C/F/TDF) (7 patients sur 925 [0,8%]). Parmi les 7 patients du groupe E/C/F/TAF chez lesquels une résistance s'était développée, les mutations suivantes étaient apparues: M184V/I (n = 7) et K65R (n = 1) au niveau de la TI et T66T/A/I/V (n = 2), E92Q (n = 2), Q148Q/R (n = 1) et N155H (n = 1) au niveau de l'intégrase. Parmi les 7 patients du groupe E/C/F/TDF chez lesquels une résistance s'était développée, les mutations suivantes étaient apparues: M184V/I (n = 7) et K65R (n = 2) au niveau de la TI et E92E/Q (n = 3) et Q148R (n = 2) au niveau de l'intégrase. Tous les patients des deux groupes de traitement ayant développé des mutations associées à une résistance à l'elvitégravir au niveau de l'intégrase ont également développé des mutations associées à une résistance à l'emtricitabine au niveau de la TI.
  • +Dans une analyse combinée portant sur des patients naïfs de tout traitement antirétroviral ayant reçu un traitement par emtricitabine+ténofovir alafénamide avec elvitégravir+cobicistat sous la forme d'association à dose fixe dans les études GS-US-292-0104 et GS-US-292-0111 et dans une étude de phase 2 (GS-US-292-0102), un génotypage a été effectué sur les isolats plasmatiques de VIH-1 issus de tous les patients présentant un échec virologique confirmé avec un taux d'ARN du VIH-1 > 400 copies/ml à la semaine 48 ou au moment de l'arrêt précoce du médicament à l'étude. À partir de la semaine 48, on a observé le développement d'une ou de plusieurs mutations primaires associées à la résistance à l'emtricitabine, au ténofovir alafénamide ou à l'elvitégravir chez 7 des 14 patients pour lesquels des données génotypiques obtenues à partir d'isolats prélevés à l'inclusion et au moment de l'échec thérapeutique du traitement par E/C/F/TAF étaient évaluables (7 patients sur 978 [0,7%]), comparativement à 7 isolats sur 15 après échec thérapeutique chez des patients du groupe de traitement elvitégravir/cobicistat/emtricitabine/fumarate de ténofovir disoproxil (E/C/F/TDF) (7 patients sur 925 [0,8%]). Parmi les 7 patients du groupe E/C/F/TAF chez lesquels une résistance s'était développée, les mutations suivantes étaient apparues: M184V/I (n = 7) et K65R (n = 1) au niveau de la TI et T66T/A/I/V (n = 2), E92Q (n = 2), Q148Q/R (n = 1) et N155H (n = 1) au niveau de l'intégrase. Parmi les 7 patients du groupe E/C/F/TDF chez lesquels une résistance s'était développée, les mutations suivantes étaient apparues: M184V/I (n = 7) et K65R (n = 2) au niveau de la TI et E92E/Q (n = 3) et Q148R (n = 2) au niveau de l'intégrase. Tous les patients des deux groupes de traitement ayant développé des mutations associées à une résistance à l'elvitégravir au niveau de l'intégrase ont également développé des mutations associées à une résistance à l'emtricitabine au niveau de la TI.
  • -Les taux généraux de succès virologique à la semaine 24 étaient les suivants: E/C/F/TAF 88,4%, E/C/F/TDF 89,7%; différence en pourcentage: -2,9%, IC 95%: -13,5% à 7,7%. Le taux de succès virologique pour les sous-groupes, au niveau initial d'ARN du VIH-1>100 000 copies/ml et au nombre initial de cellules CD4+ <200 cellules/mm3, était plus bas pour E/C/F/TAF que pour E/C/F/TDF (tableau 7).
  • -Tableau 7: Étude GS-US-292-0102: Résultat virologique (ARN du VIH-1<50 copies/ml selon l'algorithme snapshot défini par la FDA) à la semaine 24
  • +Les taux généraux de succès virologique à la semaine 24 étaient les suivants: E/C/F/TAF 88,4%, E/C/F/TDF 89,7%; différence en pourcentage: -2,9%, IC 95%: -13,5% à 7,7%. Le taux de succès virologique pour les sous-groupes, au niveau initial d'ARN du VIH-1 > 100 000 copies/ml et au nombre initial de cellules CD4+ < 200 cellules/mm3, était plus bas pour E/C/F/TAF que pour E/C/F/TDF (tableau 7).
  • +Tableau 7: Étude GS-US-292-0102: Résultat virologique (ARN du VIH-1 < 50 copies/ml selon l'algorithme snapshot défini par la FDA) à la semaine 24
  • -Niveau initial d'ARN de VIH-1 (copies/ml)
  • +Niveau initial d'ARN de VIH-1 (copies/ml)
  • ->100'000 13/19 (68,4%) 14/16 (87,5%) -19,1% (-45,5% à 7,4%)
  • +> 100'000 13/19 (68,4%) 14/16 (87,5%) -19,1% (-45,5% à 7,4%)
  • -<200 cellules/mm3 10/14 (71,4%) 10/11 (90,9%) -17,1% (-48,4% à 14,2%)
  • +< 200 cellules/mm3 10/14 (71,4%) 10/11 (90,9%) -17,1% (-48,4% à 14,2%)
  • -L'efficacité et la sécurité de l'association emtricitabine+ténofovir alafénamide chez des adultes infectés par le VIH-1 et naïfs de tout traitement sont issues des données de 48 semaines de deux études de phase 3, randomisées, en double aveugle, contrôlées par médicament actif, GS-US-292-0104 et GS-US-292-0111 (n = 1733). L'efficacité et la sécurité de l'association emtricitabine+ténofovir alafénamide chez des adultes infectés par le VIH-1 virologiquement contrôlés sont issues des données de 48 semaines d'une étude de phase 3, randomisée en ouvert, contrôlée, GS-US-292-0109 (n = 1436). L'efficacité et la sécurité de l'association emtricitabine+ténofovir alafénamide chez des patients infectés par le VIH-1 virologiquement contrôlés et présentant une insuffisance rénale légère à modérée sont issues des données de 48 semaines d'une étude de phase 3, en ouvert, GS-US-292-0112 (n = 242). L'efficacité et la sécurité de l'association emtricitabine+ténofovir alafénamide chez des adolescents de 12 à <18 ans infectés par le VIH-1 naïfs de tout traitement sont issues des données de 24 semaines d'une étude de phase 3, en ouvert, GS-US-292-0106 (n = 50).
  • +L'efficacité et la sécurité de l'association emtricitabine+ténofovir alafénamide chez des adultes infectés par le VIH-1 et naïfs de tout traitement sont issues des données de 48 semaines de deux études de phase 3, randomisées, en double aveugle, contrôlées par médicament actif, GS-US-292-0104 et GS-US-292-0111 (n = 1733). L'efficacité et la sécurité de l'association emtricitabine+ténofovir alafénamide chez des adultes infectés par le VIH-1 virologiquement contrôlés sont issues des données de 48 semaines d'une étude de phase 3, randomisée en ouvert, contrôlée, GS-US-292-0109 (n = 1436). L'efficacité et la sécurité de l'association emtricitabine+ténofovir alafénamide chez des patients infectés par le VIH-1 virologiquement contrôlés et présentant une insuffisance rénale légère à modérée sont issues des données de 48 semaines d'une étude de phase 3, en ouvert, GS-US-292-0112 (n = 242). L'efficacité et la sécurité de l'association emtricitabine+ténofovir alafénamide chez des adolescents de 12 à < 18 ans infectés par le VIH-1 naïfs de tout traitement sont issues des données de 24 semaines d'une étude de phase 3, en ouvert, GS-US-292-0106 (n = 50).
  • -Dans les études GS-US-292-0104 et GS-US-292-0111, les patients ont été randomisés selon un rapport de 1:1 pour recevoir une fois par jour soit emtricitabine+ténofovir alafénamide (n = 866), soit emtricitabine+fumarate de ténofovir disoproxil (n = 867), administrés dans les deux cas avec elvitégravir+cobicistat, sous la forme d'association à dose fixe. L'âge moyen dans les études GS-US-292-0104 et GS-US-292-0111 était de 36 ans (intervalle: 18-76), 85% des patients étaient de sexe masculin, 57% étaient blancs, 25% étaient noirs et 10% étaient asiatiques. Dix-neuf pour cent des patients ont été identifiés comme hispaniques/latino-américains. Le taux plasmatique moyen d'ARN du VIH-1 à l'inclusion était de 4,5 log10 copies/ml (intervalle: 1,3-7,0) et 23% des patients présentaient à l'inclusion une charge virale >100'000 copies/ml. Le taux moyen de CD4+ à l'inclusion était de 427 cellules/mm3 (intervalle: 0-1360) et 13% présentaient un taux de CD4+ <200 cellules/mm3.
  • -Dans les deux études, les patients ont été stratifiés selon le taux d'ARN du VIH-1 à l'inclusion (≤100'000 copies/ml, >100'000 copies/ml et ≤400'000 copies/ml, ou >400'000 copies/ml), selon le taux de CD4+ (<50 cellules/μl, 50-199 cellules/μl ou ≥200 cellules/μl) et selon la région (États-Unis ou hors États-Unis).
  • +Dans les études GS-US-292-0104 et GS-US-292-0111, les patients ont été randomisés selon un rapport de 1:1 pour recevoir une fois par jour soit emtricitabine+ténofovir alafénamide (n = 866), soit emtricitabine+fumarate de ténofovir disoproxil (n = 867), administrés dans les deux cas avec elvitégravir+cobicistat, sous la forme d'association à dose fixe. L'âge moyen dans les études GS-US-292-0104 et GS-US-292-0111 était de 36 ans (intervalle: 18-76), 85% des patients étaient de sexe masculin, 57% étaient blancs, 25% étaient noirs et 10% étaient asiatiques. Dix-neuf pour cent des patients ont été identifiés comme hispaniques/latino-américains. Le taux plasmatique moyen d'ARN du VIH-1 à l'inclusion était de 4,5 log10 copies/ml (intervalle: 1,3-7,0) et 23% des patients présentaient à l'inclusion une charge virale > 100'000 copies/ml. Le taux moyen de CD4+ à l'inclusion était de 427 cellules/mm3 (intervalle: 0-1360) et 13% présentaient un taux de CD4+ < 200 cellules/mm3.
  • +Dans les deux études, les patients ont été stratifiés selon le taux d'ARN du VIH-1 à l'inclusion (≤100'000 copies/ml, > 100'000 copies/ml et ≤400'000 copies/ml, ou > 400'000 copies/ml), selon le taux de CD4+ (< 50 cellules/μl, 50-199 cellules/μl ou ≥200 cellules/μl) et selon la région (États-Unis ou hors États-Unis).
  • -ARN du VIH-1<50 copies/ml 92% 90%
  • +ARN du VIH-1 < 50 copies/ml 92% 90%
  • -ARN du VIH-1≥50 copies/mlb 4% 4%
  • +ARN du VIH-1 ≥50 copies/mlb 4% 4%
  • -Arrêt du médicament de l'étude pour d'autres raisons et dernier taux d'ARN du VIH-1 disponible <50 copies/mld 2% 4%
  • -Données manquantes dans la fenêtre mais prise du médicament de l'étude 1% <1%
  • -Proportion (%) de patients avec un taux d'ARN du VIH-1<50 copies/ml selon le sous-groupe
  • +Arrêt du médicament de l'étude pour d'autres raisons et dernier taux d'ARN du VIH-1 disponible < 50 copies/mld 2% 4%
  • +Données manquantes dans la fenêtre mais prise du médicament de l'étude 1% < 1%
  • +Proportion (%) de patients avec un taux d'ARN du VIH-1 < 50 copies/ml selon le sous-groupe
  • -<50 ans ≥50 ans 716/777 (92%) 84/89 (94%) 680/753 (90%) 104/114 (91%)
  • +< 50 ans 716/777 (92%) 680/753 (90%)
  • +≥ 50 ans 84/89 (94%) 104/114 (91%)
  • -Masculin Féminin 674/733 (92%) 126/133 (95%) 673/740 (91%) 111/127 (87%)
  • +Masculin 674/733 (92%) 673/740 (91%)
  • +Féminin 126/133 (95%) 111/127 (87%)
  • -Noire Non noire 197/223 (88%) 603/643 (94%) 177/213 (83%) 607/654 (93%)
  • +Noire 197/223 (88%) 177/213 (83%)
  • +Non noire 603/643 (94%) 607/654 (93%)
  • -≤100'000 copies/ml >100'000 copies/ml 629/670 (94%) 171/196 (87%) 610/672 (91%) 174/195 (89%)
  • + 100'000 copies/ml 629/670 (94%) 610/672 (91%)
  • +> 100'000 copies/ml 171/196 (87%) 174/195 (89%)
  • -<200 cellules/mm3 200 cellules/mm3 96/112 (86%) 703/753 (93%) 104/117 (89%) 680/750 (91%)
  • +< 200 cellules/mm3 96/112 (86%) 104 /117 (89%)
  • +200 cellules/mm3 703/753 (93%) 680/750 (91%)
  • -L'association emtricitabine+ténofovir alafénamide a satisfait au critère de non-infériorité (obtention d'un taux d'ARN du VIH-1<50 copies/ml) par rapport à l'association emtricitabine+fumarate de ténofovir disoproxil, administrées dans les deux cas avec elvitégravir+cobicistat, sous la forme d'association à dose fixe.
  • +L'association emtricitabine+ténofovir alafénamide a satisfait au critère de non-infériorité (obtention d'un taux d'ARN du VIH-1 < 50 copies/ml) par rapport à l'association emtricitabine+fumarate de ténofovir disoproxil, administrées dans les deux cas avec elvitégravir+cobicistat, sous la forme d'association à dose fixe.
  • -Dans l'étude GS-US-292-0109, l'efficacité et la sécurité du changement de traitement par éfavirenz/emtricitabine/fumarate de ténofovir disoproxil, emtricitabine/fumarate de ténofovir disoproxil plus atazanavir (potentialisé par le cobicistat ou le ritonavir) ou E/C/F/TDF au traitement par emtricitabine+ténofovir alafénamide avec elvitégravir+cobicistat, sous la forme d'association à dose fixe, ont été évaluées dans une étude randomisée en ouvert chez des adultes infectés par le VIH-1 virologiquement contrôlés (taux d'ARN du VIH-1<50 copies/ml) (n = 1436). Les patients devaient être virologiquement contrôlés et stables (taux d'ARN du VIH-1<50 copies/ml) sous le traitement reçu à l'inclusion depuis au moins 6 mois et être porteurs d'un VIH-1 exempt de mutations associées à une résistance à l'emtricitabine, au ténofovir alafénamide ou à l'elvitégravir avant l'inclusion. Ces patients n'avaient par ailleurs pas d'antécédent d'échec virologique et recevaient leur premier ou deuxième traitement antirétroviral. Les patients ont été randomisés selon un rapport de 2:1 à l'inclusion pour changer de traitement pour l'association emtricitabine+ténofovir alafénamide avec elvitégravir+cobicistat, sous la forme d'association à dose fixe (n = 959), ou poursuivre leur traitement antirétroviral initial (n = 477). L'âge moyen des patients était de 41 ans (intervalle: 21-77), 89% étaient de sexe masculin, 67% étaient blancs et 19% étaient noirs. Le taux moyen de CD4+ à l'inclusion était de 697 cellules/mm3 (intervalle: 79-1951).
  • +Dans l'étude GS-US-292-0109, l'efficacité et la sécurité du changement de traitement par éfavirenz/emtricitabine/fumarate de ténofovir disoproxil, emtricitabine/fumarate de ténofovir disoproxil plus atazanavir (potentialisé par le cobicistat ou le ritonavir) ou E/C/F/TDF au traitement par emtricitabine+ténofovir alafénamide avec elvitégravir+cobicistat, sous la forme d'association à dose fixe, ont été évaluées dans une étude randomisée en ouvert chez des adultes infectés par le VIH-1 virologiquement contrôlés (taux d'ARN du VIH-1 < 50 copies/ml) (n = 1436). Les patients devaient être virologiquement contrôlés et stables (taux d'ARN du VIH-1 < 50 copies/ml) sous le traitement reçu à l'inclusion depuis au moins 6 mois et être porteurs d'un VIH-1 exempt de mutations associées à une résistance à l'emtricitabine, au ténofovir alafénamide ou à l'elvitégravir avant l'inclusion. Ces patients n'avaient par ailleurs pas d'antécédent d'échec virologique et recevaient leur premier ou deuxième traitement antirétroviral. Les patients ont été randomisés selon un rapport de 2:1 à l'inclusion pour changer de traitement pour l'association emtricitabine+ténofovir alafénamide avec elvitégravir+cobicistat, sous la forme d'association à dose fixe (n = 959), ou poursuivre leur traitement antirétroviral initial (n = 477). L'âge moyen des patients était de 41 ans (intervalle: 21-77), 89% étaient de sexe masculin, 67% étaient blancs et 19% étaient noirs. Le taux moyen de CD4+ à l'inclusion était de 697 cellules/mm3 (intervalle: 79-1951).
  • -Le passage d'un traitement à base de TDF à l'association E/C/F/TAF a été supérieur au maintien du traitement initial s'agissant de conserver un taux d'ARN du VIH-1<50 copies/ml (tableau 9).
  • +Le passage d'un traitement à base de TDF à l'association E/C/F/TAF a été supérieur au maintien du traitement initial s'agissant de conserver un taux d'ARN du VIH-1 < 50 copies/ml (tableau 9).
  • -ARN du VIH-1<50 copies/ml 97% 93%
  • -Différence entre les groupes de traitement 4,1% (IC 95%: 1,6% à 6,7%, p <0,001b)
  • -ARN du VIH-1≥50 copies/mlc 1% 1%
  • +ARN du VIH-1 < 50 copies/ml 97% 93%
  • +Différence entre les groupes de traitement 4,1% (IC 95%: 1,6% à 6,7%, p < 0,001b)
  • +ARN du VIH-1 ≥50 copies/mlc 1% 1%
  • -Arrêt du médicament de l'étude pour d'autres raisons et dernier taux d'ARN du VIH-1 disponible <50 copies/mle 1% 4%
  • -Données manquantes dans la fenêtre mais prise du médicament de l'étude 0% <1%
  • -Proportion (%) de patients avec un taux d'ARN du VIH-1<50 copies/ml selon le traitement précédent
  • +Arrêt du médicament de l'étude pour d'autres raisons et dernier taux d'ARN du VIH-1 disponible < 50 copies/mle 1% 4%
  • +Données manquantes dans la fenêtre mais prise du médicament de l'étude 0% < 1%
  • +Proportion (%) de patients avec un taux d'ARN du VIH-1 < 50 copies/ml selon le traitement précédent
  • -Dans l'étude GS-US-311-1089, l'efficacité et la sécurité du changement de traitement de l'association emtricitabine/fumarate de ténofovir disoproxil à Descovy sans changer le troisième principe actif antirétroviral ont été évaluées dans une étude randomisée en double aveugle chez des adultes infectés par le VIH-1 virologiquement contrôlés (n = 663). Les patients devaient être contrôlés de façon stable par leur traitement initial depuis au moins 6 mois (taux d'ARN du VIH-1<50 copies/ml). Les patients ont été randomisés selon un rapport de 1:1 à l'inclusion pour changer de traitement pour Descovy (n = 333) ou poursuivre leur traitement initial avec l'emtricitabine et le fumarate de ténofovir disoproxil (n = 330). Les patients ont été stratifiés en fonction de la classe du troisième principe actif de leur traitement précédent. À l'inclusion, 46% des patients prenaient de l'emtricitabine et du fumarate de ténofovir disoproxil associés à un IP potentialisé et 54% de l'emtricitabine et du fumarate de ténofovir disoproxil en association avec un troisième principe actif non potentialisé.
  • +Dans l'étude GS-US-311-1089, l'efficacité et la sécurité du changement de traitement de l'association emtricitabine/fumarate de ténofovir disoproxil à Descovy sans changer le troisième principe actif antirétroviral ont été évaluées dans une étude randomisée en double aveugle chez des adultes infectés par le VIH-1 virologiquement contrôlés (n = 663). Les patients devaient être contrôlés de façon stable par leur traitement initial depuis au moins 6 mois (taux d'ARN du VIH-1 < 50 copies/ml). Les patients ont été randomisés selon un rapport de 1:1 à l'inclusion pour changer de traitement pour Descovy (n = 333) ou poursuivre leur traitement initial avec l'emtricitabine et le fumarate de ténofovir disoproxil (n = 330). Les patients ont été stratifiés en fonction de la classe du troisième principe actif de leur traitement précédent. À l'inclusion, 46% des patients prenaient de l'emtricitabine et du fumarate de ténofovir disoproxil associés à un IP potentialisé et 54% de l'emtricitabine et du fumarate de ténofovir disoproxil en association avec un troisième principe actif non potentialisé.
  • -ARN du VIH-1<50 copies/ml 94% 93% 89% 89%
  • +ARN du VIH-1 <50 copies/ml 94% 93% 89% 89%
  • -ARN du VIH-1≥50 copies/mlc <1% 2% 2% 1%
  • +ARN du VIH-1 ≥50 copies/mlc <1% 2% 2% 1%
  • -Proportion (%) de patients avec un taux d'ARN du VIH-1<50 copies/ml après le traitement précédent
  • +Proportion (%) de patients avec un taux d'ARN du VIH-1 <50 copies/ml après le traitement précédent
  • -Dans l'étude GS-US-292-0112, l'efficacité et la sécurité de l'association E/C/F/TAF ont été évaluées dans une étude clinique en ouvert menée chez 242 patients infectés par le VIH-1 et présentant une insuffisance rénale légère à modérée (DFGeCG: 30–69 ml/min). Les patients étaient virologiquement contrôlés (taux d'ARN du VIH-1<50 copies/ml) depuis au moins 6 mois avant de changer de traitement pour passer sous E/C/F/TAF. L'âge moyen était de 58 ans (intervalle: 24-82) et 63 patients (26%) étaient âgés de ≥65 ans. Septante-neuf pour cent étaient de sexe masculin, 63% étaient blancs, 18% étaient noirs et 14% étaient asiatiques. Treize pour cent des patients ont été identifiés comme hispaniques/latino-américains. À l'inclusion, 80 patients (33%) présentaient un DFGeCG <50 ml/min et 162 patients présentaient un DFGeCG ≥50 ml/min. À l'inclusion, le DFGe médian était de 56 ml/min. Le taux moyen de CD4+ à l'inclusion était de 664 cellules/mm3 (intervalle: 126-1813).
  • -À la semaine 48, 92% (222/242 patients) ont conservé un taux d'ARN du VIH-1<50 copies/ml après être passés sous E/C/F/TAF. Trois patients étaient en situation d'échec virologique à la semaine 48.
  • +Dans l'étude GS-US-292-0112, l'efficacité et la sécurité de l'association E/C/F/TAF ont été évaluées dans une étude clinique en ouvert menée chez 242 patients infectés par le VIH-1 et présentant une insuffisance rénale légère à modérée (DFGeCG: 30–69 ml/min). Les patients étaient virologiquement contrôlés (taux d'ARN du VIH-1 < 50 copies/ml) depuis au moins 6 mois avant de changer de traitement pour passer sous E/C/F/TAF. L'âge moyen était de 58 ans (intervalle: 24-82) et 63 patients (26%) étaient âgés de ≥65 ans. Septante-neuf pour cent étaient de sexe masculin, 63% étaient blancs, 18% étaient noirs et 14% étaient asiatiques. Treize pour cent des patients ont été identifiés comme hispaniques/latino-américains. À l'inclusion, 80 patients (33%) présentaient un DFGeCG < 50 ml/min et 162 patients présentaient un DFGeCG ≥50 ml/min. À l'inclusion, le DFGe médian était de 56 ml/min. Le taux moyen de CD4+ à l'inclusion était de 664 cellules/mm3 (intervalle: 126-1813).
  • +À la semaine 48, 92% (222/242 patients) ont conservé un taux d'ARN du VIH-1 < 50 copies/ml après être passés sous E/C/F/TAF. Trois patients étaient en situation d'échec virologique à la semaine 48.
  • -Modification moyenne en pourcentage de la DMO -0,7% -3,0% 2,29%, p <0,001
  • +Modification moyenne en pourcentage de la DMO -0,7% -3,0% 2,29%, p < 0,001
  • -Modification moyenne en pourcentage de la DMO -1,3% -2,9% 1,56%, p <0,001
  • +Modification moyenne en pourcentage de la DMO -1,3% -2,9% 1,56%, p < 0,001
  • -Modification moyenne en pourcentage de la DMO 1,5% -0,3% 1,81%, p <0,001
  • +Modification moyenne en pourcentage de la DMO 1,5% -0,3% 1,81%, p < 0,001
  • -Modification moyenne en pourcentage de la DMO 1,6% -0,4% 2,00%, p <0,001
  • +Modification moyenne en pourcentage de la DMO 1,6% -0,4% 2,00%, p < 0,001
  • -Lors d'une étude menée chez des patients adultes virologiquement contrôlés, des améliorations de la DMO ont été notées au bout de 96 semaines après le passage d'un traitement à base de TDF pour Descovy en comparaison à des changements minimes avec le maintien du traitement à base de TDF, mesurées par analyse DEXA de la hanche (variation moyenne par rapport à l'initiation du traitement de 1,9% vs -0,3%, p <0,001) et du rachis lombaire (variation moyenne par rapport à l'initiation du traitement de 2,2% vs -0,2%, p <0,001).
  • +Lors d'une étude menée chez des patients adultes virologiquement contrôlés, des améliorations de la DMO ont été notées au bout de 96 semaines après le passage d'un traitement à base de TDF pour Descovy en comparaison à des changements minimes avec le maintien du traitement à base de TDF, mesurées par analyse DEXA de la hanche (variation moyenne par rapport à l'initiation du traitement de 1,9% vs -0,3%, p < 0,001) et du rachis lombaire (variation moyenne par rapport à l'initiation du traitement de 2,2% vs -0,2%, p < 0,001).
  • -Chez les patients présentant une insuffisance rénale, la prévalence de protéinurie cliniquement significative (RPC >200 mg/g) a chuté de 42% à l'inclusion à 16% à la semaine 48 et la prévalence d'albuminurie cliniquement significative (RUC ≥30 mg/g) a chuté de 49% à l'inclusion à 26% à la semaine 48.
  • +Chez les patients présentant une insuffisance rénale, la prévalence de protéinurie cliniquement significative (RPC > 200 mg/g) a chuté de 42% à l'inclusion à 16% à la semaine 48 et la prévalence d'albuminurie cliniquement significative (RUC ≥30 mg/g) a chuté de 49% à l'inclusion à 26% à la semaine 48.
  • -Dans l'étude GS-US-292-0106, l'efficacité, la sécurité et la pharmacocinétique de l'association emtricitabine+ténofovir alafénamide ont été évaluées dans une étude en ouvert menée chez des adolescents infectés par le VIH-1, naïfs de tout traitement, qui ont reçu emtricitabine+ténofovir alafénamide avec elvitégravir+cobicistat, sous la forme d'association à dose fixe. Les 50 patients traités par E/C/F/TAF pendant 24 semaines étaient âgés en moyenne de 15 ans (intervalle: 12-17), 44% étaient de sexe masculin, 12% étaient asiatiques et 88% étaient noirs. À l'inclusion, le taux plasmatique moyen d'ARN du VIH-1 était de 4,7 log10 copies/ml, le taux médian de CD4+ était de 456 cellules/mm3 (intervalle: 95 à 1110) et le pourcentage médian de CD4+ était de 23% (intervalle: 7% à 45%). Globalement, 22% présentaient à l'inclusion un taux plasmatique d'ARN du VIH-1>100 000 copies/ml.
  • -Après 24 semaines, 90% des adolescents traités par E/C/F/TAF ont atteint un taux d'ARN du VIH-1<50 copies/ml, soit un taux similaire aux taux de réponse observés dans les études menées chez les adultes infectés par le VIH-1 naïfs de tout traitement. L'augmentation moyenne du taux de CD4+ entre l'inclusion et la semaine 24 a été de 191 cellules/mm3. Quatre patients étaient en situation d'échec virologique à la semaine 24; aucune résistance au traitement par emtricitabine+ténofovir alafénamide n'a été détectée.
  • +Dans l'étude GS-US-292-0106, l'efficacité, la sécurité et la pharmacocinétique de l'association emtricitabine+ténofovir alafénamide ont été évaluées dans une étude en ouvert menée chez des adolescents infectés par le VIH-1, naïfs de tout traitement, qui ont reçu emtricitabine+ténofovir alafénamide avec elvitégravir+cobicistat, sous la forme d'association à dose fixe. Les 50 patients traités par E/C/F/TAF pendant 24 semaines étaient âgés en moyenne de 15 ans (intervalle: 12-17), 44% étaient de sexe masculin, 12% étaient asiatiques et 88% étaient noirs. À l'inclusion, le taux plasmatique moyen d'ARN du VIH-1 était de 4,7 log10 copies/ml, le taux médian de CD4+ était de 456 cellules/mm3 (intervalle: 95 à 1110) et le pourcentage médian de CD4+ était de 23% (intervalle: 7% à 45%). Globalement, 22% présentaient à l'inclusion un taux plasmatique d'ARN du VIH-1 > 100 000 copies/ml.
  • +Après 24 semaines, 90% des adolescents traités par E/C/F/TAF ont atteint un taux d'ARN du VIH-1 < 50 copies/ml, soit un taux similaire aux taux de réponse observés dans les études menées chez les adultes infectés par le VIH-1 naïfs de tout traitement. L'augmentation moyenne du taux de CD4+ entre l'inclusion et la semaine 24 a été de 191 cellules/mm3. Quatre patients étaient en situation d'échec virologique à la semaine 24; aucune résistance au traitement par emtricitabine+ténofovir alafénamide n'a été détectée.
  • -La métabolisation est une voie d'élimination majeure pour le ténofovir alafénamide chez l'homme et représente >80% d'une dose orale. Les études in vitro ont montré que le ténofovir alafénamide est métabolisé en ténofovir (métabolite majeur) par la cathepsine A dans les CMSP (y compris les lymphocytes et les autres cellules ciblées par le VIH) et les macrophages, et par la carboxylestérase 1 dans les hépatocytes. In vivo, le ténofovir alafénamide est hydrolysé au sein des cellules pour former le ténofovir (métabolite majeur), lequel est phosphorylé pour former le métabolite actif, le ténofovir diphosphate. Par comparaison avec une dose orale de 245 mg de ténofovir disoproxil (sous forme de fumarate), les études cliniques menées chez l'homme ont montré qu'une dose orale de 10 mg de ténofovir alafénamide aboutit à des concentrations de ténofovir diphosphate 3 à 5 fois supérieures dans les CMSP et à des concentrations de ténofovir plus de 90% inférieures dans le plasma.
  • +La métabolisation est une voie d'élimination majeure pour le ténofovir alafénamide chez l'homme et représente > 80% d'une dose orale. Les études in vitro ont montré que le ténofovir alafénamide est métabolisé en ténofovir (métabolite majeur) par la cathepsine A dans les CMSP (y compris les lymphocytes et les autres cellules ciblées par le VIH) et les macrophages, et par la carboxylestérase 1 dans les hépatocytes. In vivo, le ténofovir alafénamide est hydrolysé au sein des cellules pour former le ténofovir (métabolite majeur), lequel est phosphorylé pour former le métabolite actif, le ténofovir diphosphate. Par comparaison avec une dose orale de 245 mg de ténofovir disoproxil (sous forme de fumarate), les études cliniques menées chez l'homme ont montré qu'une dose orale de 10 mg de ténofovir alafénamide aboutit à des concentrations de ténofovir diphosphate 3 à 5 fois supérieures dans les CMSP et à des concentrations de ténofovir plus de 90% inférieures dans le plasma.
  • -Le ténofovir alafénamide est éliminé après métabolisation en ténofovir, métabolite principal dans les fèces et les urines. Tous les autres métabolites détectés dans les fèces et dans les urines n'étaient présents qu'à l'état de traces. Le ténofovir alafénamide et le ténofovir ont une demi-vie plasmatique médiane de 0,51 et 32,37 heures. Le ténofovir est éliminé de l'organisme par les reins à la fois par filtration glomérulaire et par sécrétion tubulaire active. L'élimination rénale de ténofovir alafénamide intact est négligeable, avec <1% de la dose éliminée dans les urines. Le métabolite pharmacologiquement actif, le ténofovir diphosphate, a une demi-vie de 150-180 heures dans les CMSP.
  • +Le ténofovir alafénamide est éliminé après métabolisation en ténofovir, métabolite principal dans les fèces et les urines. Tous les autres métabolites détectés dans les fèces et dans les urines n'étaient présents qu'à l'état de traces. Le ténofovir alafénamide et le ténofovir ont une demi-vie plasmatique médiane de 0,51 et 32,37 heures. Le ténofovir est éliminé de l'organisme par les reins à la fois par filtration glomérulaire et par sécrétion tubulaire active. L'élimination rénale de ténofovir alafénamide intact est négligeable, avec < 1% de la dose éliminée dans les urines. Le métabolite pharmacologiquement actif, le ténofovir diphosphate, a une demi-vie de 150-180 heures dans les CMSP.
  • -Les expositions à l'emtricitabine et au ténofovir alafénamide atteintes chez 24 adolescents âgés de 12 à <18 ans ont été similaires aux expositions atteintes chez les adultes naïfs de tout traitement.
  • +Les expositions à l'emtricitabine et au ténofovir alafénamide atteintes chez 24 adolescents âgés de 12 à < 18 ans ont été similaires aux expositions atteintes chez les adultes naïfs de tout traitement.
  • -Dans les études de l'elvitégravir potentialisé par le cobicistat, aucune différence cliniquement pertinente n'a été observée entre les sujets sains et les patients présentant une insuffisance rénale sévère (CrCl estimée <30 ml/min) s'agissant de la pharmacocinétique de l'elvitégravir ou du cobicistat. L'exposition systémique moyenne au ténofovir alafénamide et au ténofovir a été plus élevée (0,51 et 2,07 µg•h/ml) chez les patients présentant une insuffisance rénale sévère (CrCl <30 ml/min) que chez les patients présentant une fonction rénale normale (0,27 et 0,34 µg•h/ml). L'exposition systémique moyenne à l'emtricitabine a été plus élevée (33,7 µg•h/ml) chez les patients présentant une insuffisance rénale sévère (CrCl <30 ml/min) que chez les patients présentant une fonction rénale normale (11,8 µg•h/ml). Aucune donnée n'est disponible concernant la pharmacocinétique du ténofovir alafénamide chez les patients présentant une CrCl estimée <15 ml/min (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +Dans les études de l'elvitégravir potentialisé par le cobicistat, aucune différence cliniquement pertinente n'a été observée entre les sujets sains et les patients présentant une insuffisance rénale sévère (CrCl estimée < 30 ml/min) s'agissant de la pharmacocinétique de l'elvitégravir ou du cobicistat. L'exposition systémique moyenne au ténofovir alafénamide et au ténofovir a été plus élevée (0,51 et 2,07 µg•h/ml) chez les patients présentant une insuffisance rénale sévère (CrCl < 30 ml/min) que chez les patients présentant une fonction rénale normale (0,27 et 0,34 µg•h/ml). L'exposition systémique moyenne à l'emtricitabine a été plus élevée (33,7 µg•h/ml) chez les patients présentant une insuffisance rénale sévère (CrCl < 30 ml/min) que chez les patients présentant une fonction rénale normale (11,8 µg•h/ml). Aucune donnée n'est disponible concernant la pharmacocinétique du ténofovir alafénamide chez les patients présentant une CrCl estimée < 15 ml/min (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -Ne pas conserver au-dessus de 30 °C.
  • +Ne pas conserver au-dessus de 30°C.
  • -Décembre 2019
  • +Juillet 2021
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