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Accueil - Information professionnelle sur Omeprax-Drossapharm 10mg - Changements - 05.12.2017
52 Changements de l'information professionelle Omeprax-Drossapharm 10mg
  • -Principe actif: Omeprazolum
  • -Excipients: (Omeprax-Drossapharm 10 mg, 20 mg et 40 mg), (Omeprax-Drossapharm 10 mg, 20 mg et 40 mg), (Omeprax-Drossapharm 20 mg et 40 mg); Excipiens pro capsula.
  • +Omeprax-Drossapharm
  • +Principe actif: Omeprazolum.
  • +Excipients : Excipiens pro capsula.
  • -Enfants 5 mois : On n’a acquis que peu d’expérience dans cette tranche d’âge. Il faut donc poser l’indication de façon stricte. La dose initiale est de 0,5 mg/kg/jour. Si l’efficacité clinique est insuffisante, on peut augmenter la dose à 1 mg/kg/jour.
  • -Enfants >5 mois, pesant < 20 kg: 1 mg/kg/jour. Si l’efficacité est insuffisante, on peut augmenter la dose à 1,4 mg/kg/jour.
  • -Enfants pesant 20 kilos: 20 mg une fois par jour. Si l’efficacité clinique est insuffisante, on peut augmenter la dose à 40 mg une fois par jour.
  • +Enfants de 5 mois ou moins: On n’a acquis que peu d’expérience dans cette tranche d’âge. Il faut donc poser l’indication de façon stricte. La dose initiale est de 0,5 mg/kg/jour. Si l’efficacité clinique est insuffisante, on peut augmenter la dose à 1 mg/kg/jour.
  • +Enfants de plus de 5 mois, pesant moins de 20 kg: 1 mg/kg/jour. Si l’efficacité est insuffisante, on peut augmenter la dose à 1,4 mg/kg/jour.
  • +Enfants pesant 20 kilos ou plus: 20 mg une fois par jour. Si l’efficacité clinique est insuffisante, on peut augmenter la dose à 40 mg une fois par jour.
  • -Pour la prophylaxie des récidives de l’oesophagite de reflux guérie, la dose recommandée est de 10 mg d’Omeprax-Drossapharm une fois par jour. Les études cliniques ont cependant montré qu’à la dose de 10 mg d’Omeprax-Drossapharm une fois par jour, le taux de récidives est plus élevé qu’à la dose standard. La dose pourra être augmentée à 20–40 mg d’Omeprax-Drossapharm une fois par jour si nécessaire.
  • +Pour la prophylaxie des récidives de l’oesophagite de reflux guérie, la dose recommandée est de 10 mg d’Omeprax-Drossapharm une fois par jour. Les études cliniques ont cependant montré qu’à la dose de 10 mg d’Omeprax-Drossapharm une fois par jour, le taux de récidives est plus élevé qu’à la dose standard. La dose pourra être élevée à 20–40 mg d’Omeprax-Drossapharm une fois par jour si nécessaire.
  • -La biodisponibilité et la durée de demi-vie plasmatique de l’oméprazole sont augmentées chez les patients présentant des troubles de la fonction hépatique.
  • +La biodisponibilité et le temps de demi-vie plasmatique de l’oméprazole sont augmentés chez les patients présentant des troubles de la fonction hépatique.
  • -En présence de signes inquiétants, comme une perte de poids involontaire significative, des vomissements persistants, une dysphagie, une hématémèse ou un méléna, et si on suspecte un ulcère gastrique, il convient d’en exclure le caractère malin avant l’instauration du traitement. Sans clarification de la malignité, des symptômes peuvent être masqués par le traitement, et le diagnostic peut être retardé.
  • +En présence de signes inquiétants, comme une perte de poids involontaire significative, des vomissements persistants, une dysphagie, une hématémèse ou une melaena, et si on suspecte un ulcère gastrique, il convient d’en exclure le caractère malin avant l’instauration du traitement. Sans clarification de la malignité, des symptômes peuvent être masqués par le traitement, et le diagnostic peut être retardé.
  • +Lupus érythémateux cutané subaigu: Les inhibiteurs de la pompe à protons sont associés à des cas très peu fréquents de Lupus érythémateux cutané subaigu (LECS). Si des lésions de développent, notamment sur les zones cutanées exposées au soleil, et si elles s’accompagnent d’arthralgie, le patient doit consulter un médecin rapidement et le professionnel de santé doit envisager d’arrêter Omeprax-Drossapharm. La survenue d’un LECS après traitement par un inhibiteur de la pompe à protons peut augmenter le risque de LECS avec d’autres inhibiteurs de la pompe à protons.
  • +
  • -Métabolisme: L’oméprazole étant métabolisé dans le foie par voie du cytochrome P450 2C19, mais étant aussi un inhibiteur compétitif du CYP3A4 et du CYP2C19, l’élimination de médicaments tels que le diazépam, le cilostazol, la phénytoïne, la warfarine (R-warfarine) et d’autres antagonistes de la vitamine K qui sont en partie métabolisés par le CYP2C19 peut être ralentie. Il est recommandé de surveiller les taux plasmatiques chez les patients traités à la phénytoïne et d’ajuster la posologie au besoin. Une administration concomitante de 20 mg d’oméprazole par jour n’a cependant pas influencé le taux plasmatique de phénytoïne chez les patients sous traitement continu à la phénytoïne. Chez les patients traités à la warfarine ou aux antagonistes de la vitamine K, une surveillance de l’INR est recommandée et une réduction de la dose de warfarine (ou de l’antagoniste de la vitamine K) peut devenir nécessaire bien qu’une administration concomitante de 20 mg d’oméprazole par jour n’influence pas le temps de coagulation chez les patients sous traitement continu à la warfarine. Dans une étude croisée, l’administration de 40 mg d’oméprazole chez des volontaires a augmenté la Cmax et de l’AUC du cilostazol de 18 et de 26 % respectivement, et celles d’un métabolite actif du cilostazol de 29 et de 69 % respectivement.
  • +Métabolisme: L’oméprazole étant métabolisé dans le foie par voie du cytochrome P450 2C19, mais étant aussi un inhibiteur compétitif du CYP3A4 et du CYP2C19, l’élimination de médicaments tels que le diazépam, le cilostazol, la phénytoïne, la warfarine (R-warfarine) et d’autres antagonistes de la vitamine K qui sont en partie métabolisés par le CYP2C19 peut être ralentie. Il est recommandé de surveiller les taux plasmatiques chez les patients traités à la phénytoïne et d’ajuster la posologie au besoin. Une administration concomitante de 20 mg d’oméprazole par jour n’a cependant pas influencé le taux plasmatique de phénytoïne chez les patients sous traitement continu à la phénytoïne. Chez les patients traités à la warfarine ou aux antagonistes de la vitamine K, une surveillance de l’INR est recommandée et une réduction de la dose de warfarine (ou de l’antagoniste de la vitamine K) peut devenir nécessaire bien qu’une administration concomitante de 20 mg d’oméprazole par jour n’influence pas le temps de coagulation chez les patients sous traitement continu à la warfarine. Dans une étude croisée, l’administration de 40 mg d’oméprazole chez des volontaires a augmenté la Cmax et de l’AUC du cilostazol de 18 et de 26% respectivement, et celles d’un métabolite actif du cilostazol de 29 et de 69% respectivement.
  • -Des interactions entre l’oméprazole et des agents antirétroviraux ont été rapportées. La signification clinique et les mécanismes de ces interactions rapportées ne sont pas toujours connus. Un pH intragastrique accru pendant un traitement à l’oméprazole peut éventuellement modifier l’absorption du médicament antirétroviral. D’autres mécanismes d’interaction possibles dépendent du CYP2C19. Pour certains agents antirétroviraux tels que l’atazanavir et le nelfinavir, on a rapporté des taux sériques réduits lors d’une administration concomitante d’oméprazole. Par conséquent, une telle association n’est pas recommandée. L’administration d’oméprazole (40 mg, 1× par jour) chez des sujets sains recevant en même temps de l’atazanavir 300 mg/ritonavir 100 mg a entraîné une réduction considérable de l’exposition à l’atazanavir (réduction de l’AUC, de la Cmax et de la Cmin d’environ 75 %). L’augmentation de la dose d’atazanavir à 400 mg n’a pas compensé l’influence de l’oméprazole sur l’exposition à l’atazanavir. Des taux sériques accrus ont été rapportés pour d’autres agents antirétroviraux, par exemple pour le saquinavir. Il existe aussi certains agents antirétroviraux dont le taux sérique reste inchangé lors d’une administration concomitante d’oméprazole.
  • -Une étude auprès de volontaires sains a révélé une interaction pharmacocinétique/pharmacodynamique entre le clopidogrel et l'oméprazole. Dans cette étude, le clopidogrel a été administré à une dose initiale de 300 mg, puis à une dose d'entretien de 75 mg par jour en association avec 80 mg d'oméprazole par jour. Les concentrations plasmatiques du métabolite actif du clopidogrel ont baissé en moyenne de 46 % d'après les tests effectués les jours 5, 14 et 29 de l'étude. L'inhibition maximale de l'agrégation plaquettaire après stimulation par ADP a baissé de 16 % en moyenne. L'interaction ne peut pas être évitée par un écart temporel entre l'administration du clopidogrel et l'administration de l'oméprazole. Des données contradictoires concernant la pertinence clinique de cette interaction PC/PD en termes de complications cardio-vasculaires sévères ont été rapportées par des études observationnelles et des études cliniques. Dans ces conditions, il est recommandé d'éviter une administration concomitante de clopidogrel et d'oméprazole.
  • +Des interactions entre l’oméprazole et des agents antirétroviraux ont été rapportées. La signification clinique et les mécanismes de ces interactions rapportées ne sont pas toujours connus. Un pH intragastrique accru pendant un traitement à l’oméprazole peut éventuellement modifier l’absorption du médicament antirétroviral. D’autres mécanismes d’interaction possibles dépendent du CYP2C19. Pour certains agents antirétroviraux tels que l’atazanavir et le nelfinavir, on a rapporté des taux sériques réduits lors d’une administration concomitante d’oméprazole. Par conséquent, une telle association n’est pas recommandée. L’administration d’oméprazole (40 mg, 1× par jour) chez des sujets sains recevant en même temps de l’atazanavir 300 mg/ritonavir 100 mg a entraîné une réduction considérable de l’exposition à l’atazanavir (réduction de l’AUC, de la Cmax et de la Cmin d’environ 75%). L’augmentation de la dose d’atazanavir à 400 mg n’a pas compensé l’influence de l’oméprazole sur l’exposition à l’atazanavir. Des taux sériques accrus ont été rapportés pour d’autres agents antirétroviraux, par exemple pour le saquinavir. Il existe aussi certains agents antirétroviraux dont le taux sérique reste inchangé lors d’une administration concomitante d’oméprazole.
  • +Une étude auprès de volontaires sains a révélé une interaction pharmacocinétique/pharmacodynamique entre le clopidogrel et l'oméprazole. Dans cette étude, le clopidogrel a été administré à une dose initiale de 300 mg, puis à une dose d'entretien de 75 mg par jour en association avec 80 mg d'oméprazole par jour. Les concentrations plasmatiques du métabolite actif du clopidogrel ont baissé en moyenne de 46% d'après les tests effectués les jours 5, 14 et 29 de l'étude. L'inhibition maximale de l'agrégation plaquettaire après stimulation par ADP a baissé de 16% en moyenne. L'interaction ne peut pas être évitée par un écart temporel entre l'administration du clopidogrel et l'administration de l'oméprazole. Des données contradictoires concernant la pertinence clinique de cette interaction PC/PD en termes de complications cardio-vasculaires sévères ont été rapportées par des études observationnelles et des études cliniques. Dans ces conditions, il est recommandé d'éviter une administration concomitante de clopidogrel et d'oméprazole.
  • -Les études menées chez l’animal pour évaluer la toxicité sur la reproduction n’ont pas montré de risques pour les embryons ou foetus. Comme il n’existe pas d’études contrôlées menées chez des femmes enceintes, il faut être prudent lors de l’utilisation de ces médicaments pendant la grossesse.
  • +Les études menées chez l’animal pour évaluer la toxicité sur la reproduction n’ont pas montré de risques pour les embryons ou fœtus. Comme il n’existe pas d’études contrôlées menées chez des femmes enceintes, il faut être prudent lors de l’utilisation de ces médicaments pendant la grossesse.
  • -En raison de possibles effets secondaires, Omeprax-Drossapharm peut perturber l’aptitude à la conduite automobile et à l’utilisation de machines.
  • +En raison de ces possibles effets secondaires, Omeprax-Drossapharm peut perturber l’aptitude à la conduite automobile et à l’utilisation de machines.
  • -Troubles de la circulation sanguine et lymphatique
  • +Affections hématologiques et du système lymphatique
  • -Troubles du système immunitaire
  • +Affections du système immunitaire
  • -Troubles psychiatriques
  • +Affections psychiatriques
  • -Troubles du système nerveux
  • +Affections du système nerveux
  • -Troubles oculaires
  • +Affections oculaires
  • -Organes respiratoires (troubles respiratoires, thoraciques et médiastinaux)
  • +Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales
  • -Troubles gastro-intestinaux
  • +Affections gastrointestinales
  • -En relation avec la durée du traitement, des dilatations polypeuses de la muqueuse gastrique, dont l’histologie correspond le plus souvent à celle de kystes glandulaires, peuvent apparaître sous oméprazole. Celles-ci sont bénignes et en partie réversibles. Leur signification n’est pas claire actuellement.
  • -Troubles hépatiques
  • +En relation avec la durée du traitement, des dilatations polypeuses de la muqueuse gastrique, dont l’histologie correspond le plus souvent à celle de kystes glandulaires, peuvent apparaître sous oméprazole ou oméprazole magnésium. Celles-ci sont bénignes et en partie réversibles. Leur signification n’est pas claire actuellement.
  • +Affections hépatobiliaires
  • -Troubles cutanés et des tissus sous-cutanés
  • +Affections de la peau et du tissu sous-cutané
  • -Troubles musculosquelettiques, du tissu conjonctif et des os
  • +Très rares: Lupus érythémateux cutané subaigu (LECS).
  • +Affections musculo-squelettiques et du tissu conjonctif
  • -Troubles rénaux et urinaires
  • +Affections du rein et des voies urinaires
  • -Troubles des organes de reproduction et des seins
  • +Affections des organes de reproduction et du sein
  • -Troubles généraux
  • +Troubles généraux et anomalies au site d’administration
  • -Chez des patients atteints d’un ulcère duodénal, on peut obtenir en 24 heures une diminution moyenne de 80 % de la sécrétion d’acide gastrique. 24 heures après l’administration d’oméprazole, la baisse moyenne du pic de production d’acide après stimulation par la pentagastrine est d’environ 70 %.
  • +Chez des patients atteints d’un ulcère duodénal, on peut obtenir en 24 heures une diminution moyenne de 80% de la sécrétion d’acide gastrique. 24 heures après l’administration d’oméprazole, la baisse moyenne du pic de production d’acide après stimulation par la pentagastrine est d’environ 70%.
  • -Environ 3 % de la population caucasienne et environ 15 à 20 % de la population asiatique ne possèdent pas d’enzyme CYP2C19 fonctionnelle et sont appelés des métaboliseurs lents. Chez ces individus, le métabolisme de l’oméprazole est catalysé essentiellement par le CYP3A4. Après l’administration quotidienne répétée de 20 mg d’oméprazole, l’AUC moyenne chez les métaboliseurs lents était 5 à 10 fois supérieure à celle observée chez les métaboliseurs rapides. Les concentrations plasmatiques maximales étaient en moyenne 3 à 5 fois supérieures. L’importance clinique de cette exposition accrue est inconnue, mais il existe des indices suggérant que les métaboliseurs lents sont exposés à un risque accru d’effets indésirables en raison de leur exposition à l’oméprazole plus élevée.
  • +Environ 3% de la population caucasienne et environ 15 à 20% de la population asiatique ne possèdent pas d’enzyme CYP2C19 fonctionnelle et sont appelés des métaboliseurs lents. Chez ces individus, le métabolisme de l’oméprazole est catalysé essentiellement par le CYP3A4. Après l’administration quotidienne répétée de 20 mg d’oméprazole, l’AUC moyenne chez les métaboliseurs lents était 5 à 10 fois supérieure à celle observée chez les métaboliseurs rapides. Les concentrations plasmatiques maximales étaient en moyenne 3 à 5 fois supérieures. L’importance clinique de cette exposition accrue est inconnue, mais il existe des indices suggérant que les métaboliseurs lents sont exposés à un risque accru d’effets indésirables en raison de leur exposition à l’oméprazole plus élevée.
  • -Ne pas conserver au-dessus de 25 °C.
  • +Ne pas conserver au-dessus de 25°C.
  • -Août 2013.
  • +Mai 2017.
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