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Accueil - Information professionnelle sur Omeprax-Drossapharm 10mg - Changements - 12.08.2022
90 Changements de l'information professionelle Omeprax-Drossapharm 10mg
  • -Excipients : Excipiens pro capsula.
  • -Forme galénique et quantité de principe actif par unité
  • -1 capsule gastro-résistante d’Omeprax-Drossapharm contient 10 mg, 20 mg ou 40 mg d’oméprazole.
  • +Excipients: Excipiens pro capsula.
  • -Ulcère duodénal, ulcère gastrique, oesophagite de reflux et syndrome de Zollinger-Ellison. Le diagnostic sera si possible confirmé par endoscopie.
  • -Traitement au long cours et prophylaxie de l’oesophagite de reflux, prophylaxie des récidives de lulcère duodénal en cas dHelicobacter pylori résistant au traitement.
  • -Omeprax-Drossapharm 20 mg et Omeprax-Drossapharm 40 mg peuvent aussi être utilisés pour la prophylaxie des récidives de lulcère gastrique.
  • -Eradication de lHelicobacter pylori en association à deux antibiotiques dans lulcère peptique.
  • +Ulcère duodénal, ulcère gastrique, œsophagite de reflux et syndrome de Zollinger-Ellison. Le diagnostic sera si possible confirmé par endoscopie.
  • +Traitement au long cours et prophylaxie de lsophagite de reflux, prophylaxie des récidives de l'ulcère duodénal en cas d'Helicobacter pylori résistant au traitement.
  • +Omeprax-Drossapharm 20 mg et Omeprax-Drossapharm 40 mg peuvent aussi être utilisés pour la prophylaxie des récidives de l'ulcère gastrique.
  • +Eradication de l'Helicobacter pylori en association à deux antibiotiques dans l'ulcère peptique.
  • -Reflux gastro-oesophagien symptomatique (dyspepsie, brûlures destomac, renvois acides).
  • +Reflux gastroœsophagien symptomatique (dyspepsie, brûlures d'estomac, renvois acides).
  • -Prophylaxie des récidives de l’oesophagite de reflux guérie.
  • +Prophylaxie des récidives de lsophagite de reflux guérie.
  • -Pour enfants jusquà 12 ans
  • +Enfants jusqu'à 12 ans
  • -Enfants jusquà 12 ans
  • +Enfants jusqu'à 12 ans
  • -Enfants de 5 mois ou moins: On na acquis que peu dexpérience dans cette tranche dâge. Il faut donc poser lindication de façon stricte. La dose initiale est de 0,5 mg/kg/jour. Si lefficacité clinique est insuffisante, on peut augmenter la dose à 1 mg/kg/jour.
  • -Enfants de plus de 5 mois, pesant moins de 20 kg: 1 mg/kg/jour. Si lefficacité est insuffisante, on peut augmenter la dose à 1,4 mg/kg/jour.
  • -Enfants pesant 20 kilos ou plus: 20 mg une fois par jour. Si lefficacité clinique est insuffisante, on peut augmenter la dose à 40 mg une fois par jour.
  • +Enfants de 5 mois ou moins: On n'a acquis que peu d'expérience dans cette tranche d'âge. Il faut donc poser l'indication de façon stricte. La dose initiale est de 0,5 mg/kg/jour. Si l'efficacité clinique est insuffisante, on peut augmenter la dose à 1 mg/kg/jour.
  • +Enfants de plus de 5 mois, pesant moins de 20 kg: 1 mg/kg/jour. Si l'efficacité est insuffisante, on peut augmenter la dose à 1,4 mg/kg/jour.
  • +Enfants pesant 20 kilos ou plus: 20 mg une fois par jour. Si l'efficacité clinique est insuffisante, on peut augmenter la dose à 40 mg une fois par jour.
  • -Ulcère duodénal: normalement 20 mg dOmeprax-Drossapharm une fois par jour. Les symptômes disparaissent rapidement et lulcère guérit normalement en 2 semaines. Si un traitement de 2 semaines est insuffisant, un traitement supplémentaire de 2 semaines permet en général dobtenir la guérison. Les patients avec un ulcère duodénal qui ont insuffisamment réagi à dautres traitements devraient être traités par Omeprax-Drossapharm 40 mg une fois par jour. A cette posologie, la guérison est atteinte normalement en 4 semaines.
  • -Pour la prophylaxie des récidives de lulcère duodénal, la dose recommandée est de 20–40 mg dOmeprax-Drossapharm une fois par jour.
  • -Ulcère gastrique, œsophagite de reflux: normalement 20 mg dOmeprax-Drossapharm une fois par jour. Les symptômes disparaissent rapidement et lulcère guérit en quatre semaines chez la plupart des patients. Si un traitement de 4 semaines est insuffisant, un traitement supplémentaire de 4 semaines permet en général dobtenir la guérison. Les patients avec un ulcère gastrique ou une oesophagite de reflux qui ont insuffisamment réagi à dautres traitements devraient être traités par Omeprax-Drossapharm 40 mg une fois par jour. A cette posologie, la guérison est atteinte normalement en 8 semaines.
  • -Pour la prophylaxie des récidives de lulcère gastrique, la dose recommandée est de 20 mg dOmeprax-Drossapharm une fois par jour. La dose peut être élevée à 40 mg dOmeprax-Drossapharm une fois par jour si nécessaire.
  • -Dans des études cliniques sur des traitements de courte durée visant à léradication de lHelicobacter pylori dans lulcère peptique, les schémas thérapeutiques suivants ont été testés
  • -Deux fois par jour: 20 mg dOmeprax-Drossapharm en association à lamoxicilline 1 g et à la clarithromycine 500 mg;
  • -durée du traitement: 1 semaine;
  • +Ulcère duodénal
  • +Normalement 20 mg d'Omeprax-Drossapharm une fois par jour. Les symptômes disparaissent rapidement et l'ulcère guérit normalement en 2 semaines. Si un traitement de 2 semaines est insuffisant, un traitement supplémentaire de 2 semaines permet en général d'obtenir la guérison. Les patients avec un ulcère duodénal qui ont insuffisamment réagi à d'autres traitements devraient être traités par Omeprax-Drossapharm 40 mg une fois par jour. A cette posologie, la guérison est atteinte normalement en 4 semaines.
  • +Pour la prophylaxie des récidives de l'ulcère duodénal, la dose recommandée est de 20–40 mg d'Omeprax-Drossapharm une fois par jour.
  • +Ulcère gastrique, œsophagite de reflux
  • +Normalement 20 mg d'Omeprax-Drossapharm une fois par jour. Les symptômes disparaissent rapidement et l'ulcère guérit en quatre semaines chez la plupart des patients. Si un traitement de 4 semaines est insuffisant, un traitement supplémentaire de 4 semaines permet en général d'obtenir la guérison. Les patients avec un ulcère gastrique ou une œsophagite de reflux qui ont insuffisamment réagi à d'autres traitements devraient être traités par Omeprax-Drossapharm 40 mg une fois par jour. A cette posologie, la guérison est atteinte normalement en 8 semaines.
  • +Pour la prophylaxie des récidives de l'ulcère gastrique, la dose recommandée est de 20 mg d'Omeprax-Drossapharm une fois par jour. La dose peut être élevée à 40 mg d'Omeprax-Drossapharm une fois par jour si nécessaire.
  • +Dans des études cliniques sur des traitements de courte durée visant à l'éradication de l'Helicobacter pylori dans l'ulcère peptique, les schémas thérapeutiques suivants ont été testés
  • +Deux fois par jour 20 mg d'Omeprax-Drossapharm en association à l'amoxicilline 1 g et à la clarithromycine 500 mg;
  • +Durée du traitement: 1 semaine
  • -deux fois par jour: 20 mg dOmeprax-Drossapharm en association à la clarithromycine 250 mg et au métronidazole 500 mg (ou au tinidazole 500 mg);
  • -durée du traitement: 1 semaine;
  • +Deux fois par jour 20 mg d'Omeprax-Drossapharm en association à la clarithromycine 250 mg et au métronidazole 500 mg (ou au tinidazole 500 mg);
  • +Durée du traitement: 1 semaine
  • -40 mg dOmeprax-Drossapharm une fois par jour, en association à lamoxicilline 500 mg et au métronidazole 500 mg à raison de trois fois par jour chacun;
  • +40 mg d'Omeprax-Drossapharm une fois par jour, en association à l'amoxicilline 500 mg et au métronidazole 500 mg à raison de trois fois par jour chacun;
  • -Au cas où le patient est toujours Helicobacter pylori-positif à lissue dun traitement rapide de 1 semaine, le traitement pourra être répété.
  • -Afin dassurer la guérison dulcères peptiques actifs, on est prié dobserver également les posologies recommandées dans lulcère duodénal et lulcère gastrique.
  • -Ulcères ou érosions gastro-duodénales causés par des AINS: la dose recommandée est de 20 mg dOmeprax-Drossapharm une fois par jour chez les patients traités simultanément ou non par des AINS. Les symptômes disparaissent rapidement et lulcère guérit normalement en quatre semaines. Si un traitement de 4 semaines est insuffisant, un traitement supplémentaire de 4 semaines permet en général dobtenir la guérison. La dose peut être élevée à 40 mg dOmeprax-Drossapharm une fois par jour si nécessaire.
  • -Pour la prophylaxie des récidives dulcères peptiques, dérosions gastro-duodénales et de symptômes dyspeptiques causés par des AINS, la dose recommandée est de 20 mg dOmeprax-Drossapharm une fois par jour.
  • -Reflux gastro-oesophagien symptomatique: la dose recommandée est de 20 mg dOmeprax-Drossapharm une fois par jour. Les symptômes disparaissent rapidement. Si un traitement de 4 semaines par 20 mg dOmeprax-Drossapharm est insuffisant, on procédera à des examens complémentaires.
  • -Syndrome de Zollinger-Ellison: la posologie doit être adaptée individuellement. La dose initiale recommandée est de 60 mg dOmeprax-Drossapharm par jour en une prise. Le traitement doit être poursuivi aussi longtemps quil y a une indication clinique. Plus de 90% des patients atteints dune forme très sévère de cette affection qui ont présenté une réponse insuffisante à dautres traitements ont pu être maintenus avec une posologie journalière de 20–120 mg. Si plus de 80 mg par jour sont nécessaires, la dose journalière sera fractionnée en deux prises.
  • +Au cas où le patient est toujours Helicobacter pylori-positif à l'issue d'un traitement rapide de 1 semaine, le traitement pourra être répété.
  • +Afin d'assurer la guérison d'ulcères peptiques actifs, on est prié d'observer également les posologies recommandées dans l'ulcère duodénal et l'ulcère gastrique.
  • +Ulcères ou érosions gastro-duodénales causés par des AINS
  • +La dose recommandée est de 20 mg d'Omeprax-Drossapharm une fois par jour chez les patients traités simultanément ou non par des AINS. Les symptômes disparaissent rapidement et l'ulcère guérit normalement en quatre semaines. Si un traitement de 4 semaines est insuffisant, un traitement supplémentaire de 4 semaines permet en général d'obtenir la guérison. La dose peut être élevée à 40 mg d'Omeprax-Drossapharm une fois par jour si nécessaire.
  • +Pour la prophylaxie des récidives d'ulcères peptiques, d'érosions gastro-duodénales et de symptômes dyspeptiques causés par des AINS, la dose recommandée est de 20 mg d'Omeprax-Drossapharm une fois par jour.
  • +Reflux gastroœsophagien symptomatique
  • +La dose recommandée est de 20 mg d'Omeprax-Drossapharm une fois par jour. Les symptômes disparaissent rapidement. Si un traitement de 4 semaines par 20 mg d'Omeprax-Drossapharm est insuffisant, on procédera à des examens complémentaires.
  • +Syndrome de Zollinger-Ellison
  • +La posologie doit être adaptée individuellement. La dose initiale recommandée est de 60 mg d'Omeprax-Drossapharm par jour en une prise. Le traitement doit être poursuivi aussi longtemps qu'il y a une indication clinique. Plus de 90% des patients atteints d'une forme très sévère de cette affection qui ont présenté une réponse insuffisante à d'autres traitements ont pu être maintenus avec une posologie journalière de 20–120 mg. Si plus de 80 mg par jour sont nécessaires, la dose journalière sera fractionnée en deux prises.
  • -Pour la prophylaxie des récidives de l’oesophagite de reflux guérie, la dose recommandée est de 10 mg dOmeprax-Drossapharm une fois par jour. Les études cliniques ont cependant montré quà la dose de 10 mg dOmeprax-Drossapharm une fois par jour, le taux de récidives est plus élevé quà la dose standard. La dose pourra être élevée à 20–40 mg dOmeprax-Drossapharm une fois par jour si nécessaire.
  • -Dyspepsie fonctionnelle acido-dépendante: la dose dOmeprax-Drossapharm recommandée pour le traitement symptomatique des douleurs/troubles épigastriques avec ou sans brûlures gastriques est de 10 mg une fois par jour. Si les symptômes ne diminuent pas après quatre semaines, il convient de procéder à des examens plus approfondis.
  • -Mode et durée de ladministration
  • -On prendra les capsules dOmeprax-Drossapharm avec un demi-verre deau, sans les mâcher, de préférence le matin.
  • -Pour les patients ayant des problèmes de déglutition ainsi que pour les enfants capables de boire ou davaler des aliments semi-solides, les capsules peuvent être ouvertes et leur contenu mélangé dans des boissons sans acide carbonique ou dans des boissons légèrement acides (p.ex. jus, yoghourt ou lait caillé) avant d’être avalé. Préparé ainsi, le médicament doit être pris immédiatement (dans les 30 minutes).
  • -Remplir le verre à moitié avec de leau, le rincer et boire. Ne pas utiliser du lait ou de leau gazéifiée.
  • +Pour la prophylaxie des récidives de lsophagite de reflux guérie, la dose recommandée est de 10 mg d'Omeprax-Drossapharm une fois par jour. Les études cliniques ont cependant montré qu'à la dose de 10 mg d'Omeprax-Drossapharm une fois par jour, le taux de récidives est plus élevé qu'à la dose standard. La dose pourra être élevée à 20–40 mg d'Omeprax-Drossapharm une fois par jour si nécessaire.
  • +Dyspepsie fonctionnelle acido-dépendante
  • +La dose d'Omeprax-Drossapharm recommandée pour le traitement symptomatique des douleurs/troubles épigastriques avec ou sans brûlures gastriques est de 10 mg une fois par jour. Si les symptômes ne diminuent pas après quatre semaines, il convient de procéder à des examens plus approfondis.
  • +Mode et durée de l'administration
  • +On prendra les capsules d'Omeprax-Drossapharm avec un demi-verre d'eau, sans les mâcher, de préférence le matin.
  • +Pour les patients ayant des problèmes de déglutition, ainsi que pour les enfants capables de boire ou d'avaler des aliments semi-solides, les capsules peuvent être ouvertes et leur contenu mélangé dans des boissons sans acide carbonique ou dans des boissons légèrement acides (par ex. jus, yoghourt ou lait caillé) avant la déglutition. Préparé ainsi, le médicament doit être pris immédiatement (dans les 30 minutes).
  • +Remplir ensuite le verre à moitié avec de l'eau, le rincer et boire. Ne pas utiliser du lait ou de l'eau gazéifiée.
  • -Une adaptation de la posologie nest pas nécessaire chez les patients souffrant de dysfonction rénale.
  • -La biodisponibilité et le temps de demi-vie plasmatique de loméprazole sont augmentés chez les patients présentant des troubles de la fonction hépatique.
  • -Aucun ajustement posologique nest nécessaire chez les patients âgés.
  • +Patients présentant des troubles de la fonction rénale
  • +Une adaptation de la posologie n'est pas nécessaire chez les patients souffrant de dysfonction rénale.
  • +La biodisponibilité et le temps de demi-vie plasmatique de l'oméprazole sont augmentés chez les patients présentant des troubles de la fonction hépatique.
  • +Patients âgés
  • +Aucun ajustement posologique n'est nécessaire chez les patients âgés.
  • -Hypersensibilité connue à loméprazole, aux benzimidazoles substitués ou à un autre constituant des capsules.
  • +Hypersensibilité connue à l'oméprazole, aux benzimidazoles substitués ou à un autre constituant des capsules.
  • -En présence de signes inquiétants, comme une perte de poids involontaire significative, des vomissements persistants, une dysphagie, une hématémèse ou une melaena, et si on suspecte un ulcère gastrique, il convient den exclure le caractère malin avant linstauration du traitement. Sans clarification de la malignité, des symptômes peuvent être masqués par le traitement, et le diagnostic peut être retardé.
  • +En présence de signes inquiétants, comme une perte de poids involontaire significative, des vomissements persistants, une dysphagie, une hématémèse ou un melaena, et si on suspecte un ulcère gastrique, il convient d'en exclure le caractère malin avant l'instauration du traitement. Sans clarification de la malignité, des symptômes peuvent être masqués par le traitement, et le diagnostic peut être retardé.
  • -La diminution de lacidité dans lestomac peut, de manière générale, augmenter le nombre de bactéries dans lestomac. Un traitement par des substances qui inhibent lacidité peut entraîner une légère augmentation du risque dinfections gastro-intestinales, notamment par des salmonelles ou par Campylobacter, ou éventuellement par Clostridium difficile chez des patients hospitalisés.
  • -Ladministration concomitante doméprazole et de médicaments tels que latazanavir ou le nelfinavir nest pas recommandée (voir «Interactions»). Ladministration concomitante doméprazole et de clopidogrel est déconseillée (voir «Interactions»).
  • -Fractures osseuses: les inhibiteurs de la pompe à protons peuvent, surtout lors d'une utilisation prolongée (>1 an) à dose élevée, accroître modérément le risque de fractures de la hanche, du poignet et de la colonne vertébrale, en particulier chez les patients âgés ou présentant d'autres facteurs de risque connus. Des études observationnelles suggèrent que les inhibiteurs de la pompe à protons peuvent augmenter le risque de fractures de 10 à 40 %. Ce risque accru pourrait aussi être dû partiellement à d'autres facteurs de risque. Les patients présentant un risque d'ostéoporose doivent être traités conformément aux directives cliniques applicables et recevoir un apport suffisant en vitamine D et en calcium
  • -Hypomagnésémie: une hypomagnésémie sévère a été rapportée chez des patients traités pendant au moins trois mois, mais dans la majorité des cas pendant un an, par des inhibiteurs de la pompe à protons (IPP) tels que l'oméprazole. Des manifestations sérieuses d'hypomagnésémie telles qu'états d'épuisement, tétanie, délire, convulsions, vertiges et arythmies ventriculaires peuvent survenir, mais elles peuvent aussi se développer de façon insidieuse et passer ainsi inaperçues. Après l'administration de magnésium et l'arrêt de la prise de l'IPP, l'hypomagnésémie s'est améliorée chez la plupart des patients affectés. Chez les patients devant recevoir un traitement prolongé ou prenant un IPP en association avec de la digoxine ou d'autres médicaments susceptibles de causer une hypomagnésémie (p.ex. diurétiques), le médecin doit envisager des contrôles périodiques des taux de magnésium au cours du traitement par l'IPP.
  • -Lupus érythémateux cutané subaigu: Les inhibiteurs de la pompe à protons sont associés à des cas très peu fréquents de Lupus érythémateux cutané subaigu (LECS). Si des lésions de développent, notamment sur les zones cutanées exposées au soleil, et si elles saccompagnent darthralgie, le patient doit consulter un médecin rapidement et le professionnel de santé doit envisager darrêter Omeprax-Drossapharm. La survenue dun LECS après traitement par un inhibiteur de la pompe à protons peut augmenter le risque de LECS avec dautres inhibiteurs de la pompe à protons.
  • +La diminution de l'acidité dans l'estomac peut, de manière générale, augmenter le nombre de bactéries dans l'estomac. Un traitement par des substances qui inhibent l'acidité peut entraîner une légère augmentation du risque d'infections gastro-intestinales, notamment par des salmonelles ou par Campylobacter, ou éventuellement par Clostridium difficile chez des patients hospitalisés.
  • +L'administration concomitante d'oméprazole et de médicaments tels que l'atazanavir ou le nelfinavir n'est pas recommandée (voir «Interactions»). L'administration concomitante d'oméprazole et de clopidogrel est déconseillée (voir «Interactions»).
  • +Fractures osseuses
  • +Les inhibiteurs de la pompe à protons peuvent, surtout lors d'une utilisation prolongée (>1 an) à dose élevée, accroître modérément le risque de fractures de la hanche, du poignet et de la colonne vertébrale, en particulier chez les patients âgés ou présentant d'autres facteurs de risque connus. Des études observationnelles suggèrent que les inhibiteurs de la pompe à protons peuvent augmenter le risque de fractures de 10 à 40%. Ce risque accru pourrait aussi être dû partiellement à d'autres facteurs de risque. Les patients présentant un risque d'ostéoporose doivent être traités conformément aux directives cliniques applicables et recevoir un apport suffisant en vitamine D et en calcium
  • +Hypomagnésémie
  • +Une hypomagnésémie sévère a été rapportée chez des patients traités pendant au moins trois mois, mais dans la majorité des cas pendant un an, par des inhibiteurs de la pompe à protons (IPP) tels que l'oméprazole. Des manifestations sérieuses d'hypomagnésémie telles qu'états d'épuisement, tétanie, délire, convulsions, vertiges et arythmies ventriculaires peuvent survenir, mais elles peuvent aussi se développer de façon insidieuse et passer ainsi inaperçues. Après l'administration de magnésium et l'arrêt de la prise de l'IPP, l'hypomagnésémie s'est améliorée chez la plupart des patients affectés. Chez les patients devant recevoir un traitement prolongé ou prenant un IPP en association avec de la digoxine ou d'autres médicaments susceptibles de causer une hypomagnésémie (p.ex. diurétiques), le médecin doit envisager des contrôles périodiques des taux de magnésium au cours du traitement par l'IPP.
  • +Lupus érythémateux cutané subaigu: Les inhibiteurs de la pompe à protons sont associés à des cas très peu fréquents de Lupus érythémateux cutané subaigu (LECS). Si des lésions se développent, notamment sur les zones cutanées exposées au soleil, et si elles s'accompagnent d'arthralgie, le patient doit consulter un médecin rapidement et le professionnel de santé doit envisager d'arrêter Omeprax-Drossapharm. La survenue d'un LECS après traitement par un inhibiteur de la pompe à protons peut augmenter le risque de LECS avec d'autres inhibiteurs de la pompe à protons.
  • -Effets de loméprazole sur la pharmacocinétique dautres substances
  • -Absorption: Linhibition de lacidité gastrique sous oméprazole ou sous un autre IPP peut provoquer une augmentation ou une réduction de labsorption de médicaments dont labsorption est influencée par le pH intragastrique. Comme en cas dutilisation dautres inhibiteurs de lacidité intragastrique, labsorption de médicaments tels que le kétoconazole, litraconazole ou lerlotinib peut être réduite et labsorption de médicaments tels que la digoxine peut être accrue au cours dun traitement par loméprazole. La prise concomitante doméprazole diminue significativement (denviron 60 %) lAUC et la concentration plasmatique maximale de litraconazole. Chez des sujets sains, ladministration concomitante doméprazole (20 mg par jour) et de digoxine a conduit à une augmentation de 10 % de la biodisponibilité de la digoxine (chez 2 sujets, laugmentation a atteint jusquà 30 %).
  • -On na observé aucune interaction avec des antiacides administrés simultanément. De même, aucune interaction avec des aliments na été observée.
  • -Métabolisme: Loméprazole étant métabolisé dans le foie par voie du cytochrome P450 2C19, mais étant aussi un inhibiteur compétitif du CYP3A4 et du CYP2C19, lélimination de médicaments tels que le diazépam, le cilostazol, la phénytoïne, la warfarine (R-warfarine) et dautres antagonistes de la vitamine K qui sont en partie métabolisés par le CYP2C19 peut être ralentie. Il est recommandé de surveiller les taux plasmatiques chez les patients traités à la phénytoïne et dajuster la posologie au besoin. Une administration concomitante de 20 mg doméprazole par jour na cependant pas influencé le taux plasmatique de phénytoïne chez les patients sous traitement continu à la phénytoïne. Chez les patients traités à la warfarine ou aux antagonistes de la vitamine K, une surveillance de lINR est recommandée et une réduction de la dose de warfarine (ou de lantagoniste de la vitamine K) peut devenir nécessaire bien quune administration concomitante de 20 mg doméprazole par jour ninfluence pas le temps de coagulation chez les patients sous traitement continu à la warfarine. Dans une étude croisée, ladministration de 40 mg doméprazole chez des volontaires a augmenté la Cmax et de lAUC du cilostazol de 18 et de 26% respectivement, et celles dun métabolite actif du cilostazol de 29 et de 69% respectivement.
  • -Loméprazole est un substrat du CYP3A4, mais il ninhibe pas ou ninduit pas cette isoenzyme. Le métabolisme de substrats du CYP3A4 tels que la lidocaïne, la quinine, loestradiol, lérythromycine et le budésonide nest donc pas influencé par loméprazole.
  • -Tacrolimus: Une augmentation du taux sérique de tacrolimus a été rapportée en cas dutilisation concomitante doméprazole. La concentration de tacrolimus et la fonction rénale (clairance de la créatinine) doivent être contrôlées de façon accrue et la dose de tacrolimus doit être ajustée au besoin.
  • -Les résultats de différentes études dinteraction ont montré que loméprazole à des doses de 20 à 40 mg na aucune influence sur dautres isoformes du cytochrome P450 jouant un rôle dans la métabolisation. Loméprazole na pas présenté dinteractions avec les substrats du CYP1A2 (caféine, phénacétine, théophylline), du CYP2C9 (S-warfarine, piroxicam, diclofénac, naproxène), du CYP2D6 (métoprolol, propranolol) ou du CYP2E1 (éthanol).
  • -Chez certains patients, on a observé un taux accru de méthotrexate lors dun traitement concomitant avec un inhibiteur de la pompe à protons. Chez les patients recevant du méthotrexate fortement dosé, il est recommandé de suspendre ladministration doméprazole.
  • -Des interactions entre loméprazole et des agents antirétroviraux ont été rapportées. La signification clinique et les mécanismes de ces interactions rapportées ne sont pas toujours connus. Un pH intragastrique accru pendant un traitement à loméprazole peut éventuellement modifier labsorption du médicament antirétroviral. Dautres mécanismes dinteraction possibles dépendent du CYP2C19. Pour certains agents antirétroviraux tels que latazanavir et le nelfinavir, on a rapporté des taux sériques réduits lors dune administration concomitante doméprazole. Par conséquent, une telle association nest pas recommandée. Ladministration doméprazole (40 mg, 1× par jour) chez des sujets sains recevant en même temps de latazanavir 300 mg/ritonavir 100 mg a entraîné une réduction considérable de lexposition à latazanavir (réduction de lAUC, de la Cmax et de la Cmin denviron 75%). Laugmentation de la dose datazanavir à 400 mg na pas compensé linfluence de loméprazole sur lexposition à latazanavir. Des taux sériques accrus ont été rapportés pour dautres agents antirétroviraux, par exemple pour le saquinavir. Il existe aussi certains agents antirétroviraux dont le taux sérique reste inchangé lors dune administration concomitante doméprazole.
  • +Effets de l'oméprazole sur la pharmacocinétique d'autres substances
  • +Absorption: L'inhibition de l'acidité gastrique sous oméprazole ou sous un autre IPP peut provoquer une augmentation ou une réduction de l'absorption de médicaments dont l'absorption est influencée par le pH intragastrique. Comme en cas d'utilisation d'autres inhibiteurs de l'acidité intragastrique, l'absorption de médicaments tels que le kétoconazole, l'itraconazole ou l'erlotinib peut être réduite et l'absorption de médicaments tels que la digoxine peut être accrue au cours d'un traitement par l'oméprazole. La prise concomitante d'oméprazole diminue significativement (d'environ 60%) l'AUC et la concentration plasmatique maximale de l'itraconazole. Chez des sujets sains, l'administration concomitante d'oméprazole (20 mg par jour) et de digoxine a conduit à une augmentation de 10% de la biodisponibilité de la digoxine (chez 2 sujets, l'augmentation a atteint jusqu'à 30%).
  • +On n'a observé aucune interaction avec des antiacides administrés simultanément. De même, aucune interaction avec des aliments n'a été observée.
  • +Métabolisme: L'oméprazole étant métabolisé dans le foie par voie du cytochrome P450 2C19, mais étant aussi un inhibiteur compétitif du CYP3A4 et du CYP2C19, l'élimination de médicaments tels que le diazépam, le cilostazol, la phénytoïne, la warfarine (R-warfarine) et d'autres antagonistes de la vitamine K qui sont en partie métabolisés par le CYP2C19 peut être ralentie. Il est recommandé de surveiller les taux plasmatiques chez les patients traités à la phénytoïne et d'ajuster la posologie au besoin. Une administration concomitante de 20 mg d'oméprazole par jour n'a cependant pas influencé le taux plasmatique de phénytoïne chez les patients sous traitement continu à la phénytoïne. Chez les patients traités à la warfarine ou aux antagonistes de la vitamine K, une surveillance de l'INR est recommandée et une réduction de la dose de warfarine (ou de l'antagoniste de la vitamine K) peut devenir nécessaire bien qu'une administration concomitante de 20 mg d'oméprazole par jour n'influence pas le temps de coagulation chez les patients sous traitement continu à la warfarine. Dans une étude croisée, l'administration de 40 mg d'oméprazole chez des volontaires a augmenté la Cmax et de l'AUC du cilostazol de 18 et de 26% respectivement, et celles d'un métabolite actif du cilostazol de 29 et de 69% respectivement.
  • +L'oméprazole est un substrat du CYP3A4, mais il n'inhibe pas ou n'induit pas cette isoenzyme. Le métabolisme de substrats du CYP3A4 tels que la lidocaïne, la quinine, l'oestradiol, l'érythromycine et le budésonide n'est donc pas influencé par l'oméprazole.
  • +Tacrolimus: Une augmentation du taux sérique de tacrolimus a été rapportée en cas d'utilisation concomitante d'oméprazole. La concentration de tacrolimus et la fonction rénale (clairance de la créatinine) doivent être contrôlées de façon accrue et la dose de tacrolimus doit être ajustée au besoin.
  • +Les résultats de différentes études d'interaction ont montré que l'oméprazole à des doses de 20 à 40 mg n'a aucune influence sur d'autres isoformes du cytochrome P450 jouant un rôle dans la métabolisation. L'oméprazole n'a pas présenté d'interactions avec les substrats du CYP1A2 (caféine, phénacétine, théophylline), du CYP2C9 (S-warfarine, piroxicam, diclofénac, naproxène), du CYP2D6 (métoprolol, propranolol) ou du CYP2E1 (éthanol).
  • +Chez certains patients, on a observé un taux accru de méthotrexate lors d'un traitement concomitant avec un inhibiteur de la pompe à protons. Chez les patients recevant du méthotrexate fortement dosé, il est recommandé de suspendre l'administration d'oméprazole.
  • +Des interactions entre l'oméprazole et des agents antirétroviraux ont été rapportées. La signification clinique et les mécanismes de ces interactions rapportées ne sont pas toujours connus. Un pH intragastrique accru pendant un traitement à l'oméprazole peut éventuellement modifier l'absorption du médicament antirétroviral. D'autres mécanismes d'interaction possibles dépendent du CYP2C19. Pour certains agents antirétroviraux tels que l'atazanavir et le nelfinavir, on a rapporté des taux sériques réduits lors d'une administration concomitante d'oméprazole. Par conséquent, une telle association n'est pas recommandée. L'administration d'oméprazole (40 mg, 1× par jour) chez des sujets sains recevant en même temps de l'atazanavir 300 mg/ritonavir 100 mg a entraîné une réduction considérable de l'exposition à l'atazanavir (réduction de l'AUC, de la Cmax et de la Cmin d'environ 75%). L'augmentation de la dose d'atazanavir à 400 mg n'a pas compensé l'influence de l'oméprazole sur l'exposition à l'atazanavir. Des taux sériques accrus ont été rapportés pour d'autres agents antirétroviraux, par exemple pour le saquinavir. Il existe aussi certains agents antirétroviraux dont le taux sérique reste inchangé lors d'une administration concomitante d'oméprazole.
  • -Effets dautres substances sur la pharmacocinétique de loméprazole
  • -Métabolisme: Loméprazole étant métabolisé par le CYP2C19 et le CYP3A4, les médicaments inhibant le CYP2C19, le CYP3A4 ou les deux (par exemple la clarithromycine ou le voriconazole) peuvent provoquer une augmentation du taux sérique doméprazole en inhibant la dégradation de loméprazole. Ladministration concomitante doméprazole et voriconazole provoquait plus que le doublement de la Cmax et de lAUC doméprazole. Un ajustement de la dose doméprazole nest généralement pas nécessaire aux doses usuelles. Les concentrations plasmatiques de loméprazole et de la clarithromycine sont accrues dans le cas dune utilisation concomitante. Les médicaments inducteurs du CYP2C19 et/ou du CYP3A4 (par exemple rifampicine ou millepertuis [Hypericum perforatum]) peuvent réduire le taux sérique doméprazole en augmentant le métabolisme de loméprazole.
  • -Aucune interaction na été constatée avec le métronidazole ou lamoxicilline. Ces agents antimicrobiens sont utilisés en association avec loméprazole pour léradication de H. pylori.
  • -Grossesse/Allaitement
  • -Les études menées chez lanimal pour évaluer la toxicité sur la reproduction nont pas montré de risques pour les embryons ou fœtus. Comme il nexiste pas détudes contrôlées menées chez des femmes enceintes, il faut être prudent lors de lutilisation de ces médicaments pendant la grossesse.
  • -L’oméprazole passe en faible quantité dans le lait maternel, mais il est inactivé par lacide contenu dans lestomac du nouveau-né. Il est donc peu probable que la prise dOmeprax-Drossapharm pendant lallaitement ait des effets sur le nourrisson.
  • +Effets d'autres substances sur la pharmacocinétique de l'oméprazole
  • +Métabolisme: L'oméprazole étant métabolisé par le CYP2C19 et le CYP3A4, les médicaments inhibant le CYP2C19, le CYP3A4 ou les deux (par exemple la clarithromycine ou le voriconazole) peuvent provoquer une augmentation du taux sérique d'oméprazole en inhibant la dégradation de l'oméprazole. L'administration concomitante d'oméprazole et voriconazole provoquait plus que le doublement de la Cmax et de l'AUC d'oméprazole. Un ajustement de la dose d'oméprazole n'est généralement pas nécessaire aux doses usuelles. Les concentrations plasmatiques de l'oméprazole et de la clarithromycine sont accrues dans le cas d'une utilisation concomitante. Les médicaments inducteurs du CYP2C19 et/ou du CYP3A4 (par exemple rifampicine ou millepertuis [Hypericum perforatum]) peuvent réduire le taux sérique d'oméprazole en augmentant le métabolisme de l'oméprazole.
  • +Aucune interaction n'a été constatée avec le métronidazole ou l'amoxicilline. Ces agents antimicrobiens sont utilisés en association avec l'oméprazole pour l'éradication de Helicobacter pylori.
  • +Grossesse, allaitement
  • +Grossesse
  • +Les études menées chez l'animal pour évaluer la toxicité sur la reproduction n'ont pas montré de risques pour les embryons ou fœtus. Comme il n'existe pas d'études contrôlées menées chez des femmes enceintes, il faut être prudent lors de l'utilisation de ces médicaments pendant la grossesse.
  • +Allaitement
  • +L'oméprazole passe en faible quantité dans le lait maternel, mais il est inactivé par l'acide contenu dans l'estomac du nouveau-né. Il est donc peu probable que la prise d'Omeprax-Drossapharm pendant l'allaitement ait des effets sur le nourrisson.
  • -En raison de ces possibles effets secondaires, Omeprax-Drossapharm peut perturber l’aptitude à la conduite automobile et à l’utilisation de machines.
  • +En raison de possibles effets secondaires, (céphalées, vertige) Omeprax-Drossapharm a une influence importante sur l’aptitude à la conduite ou l'utilisation de machines.
  • -Les effets indésirables suivants ont été observés ou suspectés au cours des études cliniques portant sur loméprazole et/ou depuis sa mise sur le marché. Aucun dentre eux nétait dépendant de la dose.
  • -Définitions adoptées pour la fréquence des effets indésirables:
  • -Fréquents: >1/100.
  • -Occasionnels: >1/1000 et <1/100.
  • -Rares: <1/1000.
  • +Les effets indésirables suivants ont été observés ou suspectés au cours des études cliniques portant sur l'oméprazole et/ou depuis sa mise sur le marché. Aucun d'entre eux n'était dépendant de la dose.
  • +Les fréquences sont définies comme suit: très fréquents (≥1/10), fréquents (de ≥1/100 à <1/10); occasionnels (de ≥1/1000 à <1/100); rares (de ≥1/10'000 à <1/1000); très rares (<1/10'000); inconnus (ne pouvant être estimés d'après les données disponibles).
  • -Rares: Réactions dhypersensibilité, par exemple oedème angioneurotique, hausse de température et réaction anaphylactique/choc.
  • +Rares: Réactions d'hypersensibilité, par exemple œdème angioneurotique, hausse de température et réaction anaphylactique/choc.
  • -Affections gastrointestinales
  • +Affections gastro-intestinales
  • -En relation avec la durée du traitement, des dilatations polypeuses de la muqueuse gastrique, dont lhistologie correspond le plus souvent à celle de kystes glandulaires, peuvent apparaître sous oméprazole ou oméprazole magnésium. Celles-ci sont bénignes et en partie réversibles. Leur signification nest pas claire actuellement.
  • +En relation avec la durée du traitement, des dilatations polypeuses de la muqueuse gastrique, dont l'histologie correspond le plus souvent à celle de kystes glandulaires, peuvent apparaître sous oméprazole ou oméprazole magnésium. Celles-ci sont bénignes et en partie réversibles. Leur signification n'est pas claire actuellement.
  • -Occasionnels: Taux accrus denzymes hépatiques.
  • +Occasionnels: Taux accrus d'enzymes hépatiques.
  • -Rares: Photosensibilité, érythème polymorphe, syndrome de Stevens-Johnson, nécrolyse épidermique toxique (syndrome de Lyell), alopécie.
  • +Rares: Photosensibilité, érythème polymorphe, syndrome de Stevens-Johnson, nécrolyse épidermique toxique (syndrome de Lyell), alopécie, pustulose exanthématique aiguë généralisée (PEAG), exanthème médicamenteux avec éosinophilie et symptômes systémiques.
  • -Troubles généraux et anomalies au site dadministration
  • +Troubles généraux et anomalies au site d'administration
  • -Rares: Transpiration exagérée, oedème périphérique.
  • +Rares: Transpiration exagérée, œdème périphérique.
  • +L’annonce d’effets secondaires présumés après l’autorisation est d’une grande importance. Elle permet un suivi continu du rapport bénéfice-risque du médicament. Les professionnels de santé sont tenus de déclarer toute suspicion d’effet secondaire nouveau ou grave via le portail d’annonce en ligne ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet sur www.swissmedic.ch.
  • +
  • -Des cas de surdosage en oméprazole nont été que rarement signalés. Dans la littérature, on décrit des surdosages consistant en des prises unitaires allant jusquà 560 mg. On a rapporté des cas où les patients avaient pris en une fois jusquà 2400 mg doméprazole, ce qui représente 120 fois la dose normale recommandée. Dans les cas de surdosage en oméprazole, on a décrit des nausées, des vomissements, des vertiges, des douleurs abdominales, une diarrhée et des céphalées. Dans des cas isolés, on a aussi signalé une apathie, une dépression et une confusion mentale. Tous les symptômes liés à un surdosage en oméprazole ont été transitoires. Ces surdosages nont jamais eu de conséquences graves. La vitesse délimination est restée inchangée après la prise de doses fortes (cinétique de premier ordre) et aucun traitement particulier na été nécessaire.
  • +Des cas de surdosage en oméprazole n'ont été que rarement signalés. Dans la littérature, on décrit des surdosages consistant en des prises unitaires allant jusqu'à 560 mg. On a rapporté des cas où les patients avaient pris en une fois jusqu'à 2400 mg d'oméprazole, ce qui représente 120 fois la dose normale recommandée. Dans les cas de surdosage en oméprazole, on a décrit des nausées, des vomissements, des vertiges, des douleurs abdominales, une diarrhée et des céphalées. Dans des cas isolés, on a aussi signalé une apathie, une dépression et une confusion mentale. Tous les symptômes liés à un surdosage en oméprazole ont été transitoires. Ces surdosages n'ont jamais eu de conséquences graves. La vitesse d'élimination est restée inchangée après la prise de doses fortes (cinétique de premier ordre) et aucun traitement particulier n'a été nécessaire.
  • -Code ATC: A02BC01
  • +Code ATC
  • +A02BC01
  • +Mécanisme d'action
  • +L'oméprazole est une base faible; il est concentré dans le milieu fortement acide des canalicules intracellulaires de la cellule pariétale, où il est converti en sa forme active qui inhibe l'enzyme H+/K+-ATPase – la pompe à protons.
  • +Cet effet qui s'exerce sur l'étape finale de la sécrétion acide est dose-dépendant; il inhibe très efficacement la sécrétion acide basale comme la sécrétion stimulée, quelle que soit la nature du stimulus.
  • +Tous les effets pharmacodynamiques observés peuvent être expliqués par l'action de l'oméprazole sur la sécrétion acide gastrique.
  • +
  • -Loméprazole est un inhibiteur de la pompe à protons spécifique des cellules pariétales. Administré en dose journalière unique, il entraîne une inhibition réversible de la sécrétion acide de lestomac. Loméprazole, un mélange racémique de deux énantiomères actifs, diminue la sécrétion acide gastrique par un mécanisme daction ciblé.
  • -Site et mécanisme d’action
  • -L’oméprazole est une base faible; il est concentré dans le milieu fortement acide des canalicules intracellulaires de la cellule pariétale, où il est converti en sa forme active qui inhibe l’enzyme H+/K+-ATPase – la pompe à protons.
  • -Cet effet qui s’exerce sur l’étape finale de la sécrétion acide est dose-dépendant; il inhibe très efficacement la sécrétion acide basale comme la sécrétion stimulée, quelle que soit la nature du stimulus.
  • -Tous les effets pharmacodynamiques observés peuvent être expliqués par l’action de l’oméprazole sur la sécrétion acide gastrique.
  • +L'oméprazole est un inhibiteur de la pompe à protons spécifique des cellules pariétales. Administré en dose journalière unique, il entraîne une inhibition réversible de la sécrétion acide de l'estomac. L'oméprazole, un mélange racémique de deux énantiomères actifs, diminue la sécrétion acide gastrique par un mécanisme d'action ciblé.
  • +Efficacité clinique
  • -Une dose doméprazole par jour, administrée per os, entraîne une inhibition rapide et efficace de la sécrétion acide, de jour comme de nuit. Leffet maximal est obtenu dans les quatre premiers jours de traitement.
  • -Chez des patients atteints dun ulcère duodénal, on peut obtenir en 24 heures une diminution moyenne de 80% de la sécrétion dacide gastrique. 24 heures après ladministration doméprazole, la baisse moyenne du pic de production dacide après stimulation par la pentagastrine est denviron 70%.
  • -Des doses per os de 20 mg doméprazole permettent dobtenir un pH intragastrique ≥3, en moyenne, chez les patients avec un ulcère duodénal, pendant 17 heures sur 24.
  • -En diminuant la sécrétion acide, et par conséquent lacidité gastrique, loméprazole réduit et normalise de manière dose-dépendante la durée dexposition de l’oesophage à lacide chez les patients souffrant de reflux gastro-oesophagien.
  • -Linhibition de la sécrétion acide est en étroite corrélation avec lAUC de loméprazole et non avec la concentration plasmatique effective de ce dernier au moment considéré.
  • -On nobserve pas de tachyphylaxie pendant le traitement avec loméprazole.
  • +Une dose d'oméprazole par jour, administrée per os, entraîne une inhibition rapide et efficace de la sécrétion acide, de jour comme de nuit. L'effet maximal est obtenu dans les quatre premiers jours de traitement.
  • +Chez des patients atteints d'un ulcère duodénal, on peut obtenir en 24 heures une diminution moyenne de 80% de la sécrétion d'acide gastrique. 24 heures après l'administration d'oméprazole, la baisse moyenne du pic de production d'acide après stimulation par la pentagastrine est d'environ 70%.
  • +Des doses per os de 20 mg d'oméprazole permettent d'obtenir un pH intragastrique ≥3, en moyenne, chez les patients avec un ulcère duodénal, pendant 17 heures sur 24.
  • +En diminuant la sécrétion acide, et par conséquent l'acidité gastrique, l'oméprazole réduit et normalise de manière dose-dépendante la durée d'exposition de lsophage à l'acide chez les patients souffrant de reflux gastro-oesophagien.
  • +L'inhibition de la sécrétion acide est en étroite corrélation avec l'AUC de l'oméprazole et non avec la concentration plasmatique effective de ce dernier au moment considéré.
  • +On n'observe pas de tachyphylaxie pendant le traitement avec l'oméprazole.
  • -LHelicobacter pylori provoque, chez ces patients, une gastrite et/ou un ulcère. Helicobacter pylori est associé aux ulcères peptiques, y compris lulcère duodénal et lulcère gastrique. Il joue un rôle important dans le développement dune gastrite et/ou dun ulcère. Des données permettent en outre de conclure à une relation de cause à effet entre Helicobacter pylori et le cancer de lestomac.
  • -Léradication dHelicobacter pylori par loméprazole administré par voie orale et associé à des antibiotiques conduit à une disparition rapide des symptômes, un taux de guérison élevé de toutes les lésions de la muqueuse, et une rémission à long terme des ulcères peptiques. On diminue ainsi les complications telles que les hémorragies gastro-intestinales. Un traitement antisécrétoire de longue durée nest pas nécessaire.
  • -Autres effets en relation avec linhibition de lacidité
  • +L'Helicobacter pylori provoque, chez ces patients, une gastrite et/ou un ulcère. Helicobacter pylori est associé aux ulcères peptiques, y compris l'ulcère duodénal et l'ulcère gastrique. Il joue un rôle important dans le développement d'une gastrite et/ou d'un ulcère. Des données permettent en outre de conclure à une relation de cause à effet entre Helicobacter pylori et le cancer de l'estomac.
  • +L'éradication d'Helicobacter pylori par l'oméprazole administré par voie orale et associé à des antibiotiques conduit à une disparition rapide des symptômes, un taux de guérison élevé de toutes les lésions de la muqueuse, et une rémission à long terme des ulcères peptiques. On diminue ainsi les complications telles que les hémorragies gastro-intestinales. Un traitement antisécrétoire de longue durée n'est pas nécessaire.
  • +Autres effets en relation avec l'inhibition de l'acidité
  • -La diminution de lacidité dans lestomac peut, de manière générale, augmenter le nombre de bactéries dans lestomac. Un traitement par des substances qui inhibent lacidité peut entraîner une légère augmentation du risque dinfections gastro-intestinales, notamment par des salmonelles ou par Campylobacter, ou éventuellement par Clostridium difficile chez des patients hospitalisés.
  • +La diminution de l'acidité dans l'estomac peut, de manière générale, augmenter le nombre de bactéries dans l'estomac. Un traitement par des substances qui inhibent l'acidité peut entraîner une légère augmentation du risque d'infections gastro-intestinales, notamment par des salmonelles ou par Campylobacter, ou éventuellement par Clostridium difficile chez des patients hospitalisés.
  • -Loméprazole est instable en milieu acide; on ladministre donc per os sous forme de capsules contenant des micropellets résistants à lacide gastrique. Dans lintestin grêle, loméprazole est dordinaire absorbé en 3–6 heures. La biodisponibilité systémique dune dose unique per os est denviron 40%; elle sélève à 60% après administration quotidienne répétée. La Cmax et lAUC augmentent de façon linéaire après ladministration dune dose unique de 10 à 40 mg.
  • -La prise concomitante daliments est sans influence sur la biodisponibilité.
  • +L'oméprazole est instable en milieu acide; on l'administre donc per os sous forme de capsules contenant des micropellets résistants à l'acide gastrique. Dans l'intestin grêle, l'oméprazole est d'ordinaire absorbé en 3–6 heures. La biodisponibilité systémique d'une dose unique per os est d'environ 40%; elle s'élève à 60% après administration quotidienne répétée. La Cmax et l'AUC augmentent de façon linéaire après l'administration d'une dose unique de 10 à 40 mg.
  • +La prise concomitante d'aliments est sans influence sur la biodisponibilité.
  • -Le taux de liaison de loméprazole aux protéines plasmatiques est denviron 95%. Le volume de distribution est denviron 0,3 l/kg chez les volontaires sains. Des valeurs semblables ont été mesurées chez les patients insuffisants rénaux. Chez les patients âgés ou souffrant de dysfonctionnement hépatique, le volume de distribution est légèrement diminué.
  • +Le taux de liaison de l'oméprazole aux protéines plasmatiques est d'environ 95%. Le volume de distribution est d'environ 0,3 l/kg chez les volontaires sains. Des valeurs semblables ont été mesurées chez les patients insuffisants rénaux. Chez les patients âgés ou souffrant de dysfonctionnement hépatique, le volume de distribution est légèrement diminué.
  • -Loméprazole est métabolisé essentiellement au niveau du foie, où il est entièrement transformé par la voie enzymatique du cytochrome P450. La majeure partie est métabolisée par des isoformes spécifiques et polymorphes du CYP2C19 (S-méphénytoïne hydroxylase). Celles-ci sont responsables de la formation de lhydroxy-oméprazole, métabolite principal dans le plasma. Le reste du métabolisme dépend de lisoenzyme spécifique CYP3A4, responsable de la formation de sulfone doméprazole.
  • -Etant donné que loméprazole provoque une inhibition compétitive du CYP2C19, il existe un risque dinteraction métabolique entre loméprazole et les autres substances qui sont métabolisées par le CYP2C19 (voir aussi le paragraphe «Interactions»). Ce risque est accru chez les «métaboliseurs lents» CYP2C19 («polymorphisme de la méphénytoïne», 3–5% des sujets de race blanche). Loméprazole na pas le potentiel dinhiber le métabolisme des autres substrats du CYP3A4 en raison de sa faible affinité pour le CYP3A4.
  • -Les paramètres mentionnés ci-dessous reflètent essentiellement la pharmacocinétique chez des personnes dont lenzyme CYP2C19 est fonctionnelle (métaboliseurs rapides).
  • -Aucun des métabolites de loméprazole nexerce un effet sur la sécrétion acide.
  • +L'oméprazole est métabolisé essentiellement au niveau du foie, où il est entièrement transformé par la voie enzymatique du cytochrome P450. La majeure partie est métabolisée par des isoformes spécifiques et polymorphes du CYP2C19 (Sméphénytoïne hydroxylase). Celles-ci sont responsables de la formation de l'hydroxy-oméprazole, métabolite principal dans le plasma. Le reste du métabolisme dépend de l'isoenzyme spécifique CYP3A4, responsable de la formation de sulfone d'oméprazole.
  • +Etant donné que l'oméprazole provoque une inhibition compétitive du CYP2C19, il existe un risque d'interaction métabolique entre l'oméprazole et les autres substances qui sont métabolisées par le CYP2C19 (voir aussi le paragraphe «Interactions»). Ce risque est accru chez les «métaboliseurs lents» CYP2C19 («polymorphisme de la méphénytoïne», 3–5% des sujets de race blanche). L'oméprazole n'a pas le potentiel d'inhiber le métabolisme des autres substrats du CYP3A4 en raison de sa faible affinité pour le CYP3A4.
  • +Les paramètres mentionnés ci-dessous reflètent essentiellement la pharmacocinétique chez des personnes dont l'enzyme CYP2C19 est fonctionnelle (métaboliseurs rapides).
  • +Aucun des métabolites de l'oméprazole n'exerce un effet sur la sécrétion acide.
  • -La clairance plasmatique totale après ladministration dune dose unique est de 30 à 40 l/h. La demi-vie délimination plasmatique de loméprazole est généralement inférieure à une heure aussi bien après une dose unique quaprès des doses quotidiennes répétées. Laire sous la courbe de la concentration plasmatique (AUC) augmente après des administrations répétées doméprazole. Cette augmentation est dose-dépendante et résulte en une relation dose - aire sous la courbe (AUC) non linéaire après administrations répétées. Cette dépendance du temps et de la dose est due à une diminution du métabolisme de premier passage et de la clairance systémique probablement causée par inhibition de lenzyme CYP2C19 par loméprazole et/ou ses métabolites sulfonés. Loméprazole est entièrement éliminé du plasma, sans entraîner daccumulation dans le cadre dune utilisation normale.
  • -80 % d’une dose administrée par voie orale sont éliminés sous forme de métabolite par les urines, le reste létant par la voie biliaire et les fèces.
  • +La clairance plasmatique totale après l'administration d'une dose unique est de 30 à 40 l/h. La demi-vie d'élimination plasmatique de l'oméprazole est généralement inférieure à une heure aussi bien après une dose unique qu'après des doses quotidiennes répétées. L'aire sous la courbe de la concentration plasmatique (AUC) augmente après des administrations répétées d'oméprazole. Cette augmentation est dose-dépendante et résulte en une relation dose - aire sous la courbe (AUC) non linéaire après administrations répétées. Cette dépendance du temps et de la dose est due à une diminution du métabolisme de premier passage et de la clairance systémique probablement causée par inhibition de l'enzyme CYP2C19 par l'oméprazole et/ou ses métabolites sulfonés. L'oméprazole est entièrement éliminé du plasma, sans entraîner d'accumulation dans le cadre d'une utilisation normale.
  • +80% d'une dose administrée par voie orale sont éliminés sous forme de métabolite par les urines, le reste l'étant par la voie biliaire et les fèces.
  • -Environ 3% de la population caucasienne et environ 15 à 20% de la population asiatique ne possèdent pas denzyme CYP2C19 fonctionnelle et sont appelés des métaboliseurs lents. Chez ces individus, le métabolisme de loméprazole est catalysé essentiellement par le CYP3A4. Après ladministration quotidienne répétée de 20 mg doméprazole, lAUC moyenne chez les métaboliseurs lents était 5 à 10 fois supérieure à celle observée chez les métaboliseurs rapides. Les concentrations plasmatiques maximales étaient en moyenne 3 à 5 fois supérieures. Limportance clinique de cette exposition accrue est inconnue, mais il existe des indices suggérant que les métaboliseurs lents sont exposés à un risque accru deffets indésirables en raison de leur exposition à loméprazole plus élevée.
  • +Environ 3% de la population caucasienne et environ 15 à 20% de la population asiatique ne possèdent pas d'enzyme CYP2C19 fonctionnelle et sont appelés des métaboliseurs lents. Chez ces individus, le métabolisme de l'oméprazole est catalysé essentiellement par le CYP3A4. Après l'administration quotidienne répétée de 20 mg d'oméprazole, l'AUC moyenne chez les métaboliseurs lents était 5 à 10 fois supérieure à celle observée chez les métaboliseurs rapides. Les concentrations plasmatiques maximales étaient en moyenne 3 à 5 fois supérieures. L'importance clinique de cette exposition accrue est inconnue, mais il existe des indices suggérant que les métaboliseurs lents sont exposés à un risque accru d'effets indésirables en raison de leur exposition à l'oméprazole plus élevée.
  • -Daprès les données disponibles, dans la fourchette des doses recommandées la pharmacocinétique chez lenfant (à partir de 12 mois) est comparable à celle observée chez ladulte.
  • +D'après les données disponibles, dans la fourchette des doses recommandées la pharmacocinétique chez l'enfant (à partir de 12 mois) est comparable à celle observée chez l'adulte.
  • -La biodisponibilité systémique nest pas modifiée chez les patients avec une fonction rénale réduite.
  • +La biodisponibilité systémique n'est pas modifiée chez les patients avec une fonction rénale réduite.
  • -Chez les patients insuffisants hépatiques, lAUC est augmentée, mais cela nentraîne pas daccumulation de loméprazole lorsquil est donné en dose journalière unique.
  • +Chez les patients insuffisants hépatiques, l'AUC est augmentée, mais cela n'entraîne pas d'accumulation de l'oméprazole lorsqu'il est donné en dose journalière unique.
  • -Des études menées chez des rats traités par loméprazole pendant toute la durée de la vie ont montré une hyperplasie des cellules ECL gastriques ainsi que des carcinoïdes. Diverses études permettent de conclure quil sagit dune réaction secondaire à laugmentation massive du taux sérique de gastrine chez le rat. Des carcinoïdes à cellules ECL nont été observés ni chez la souris ni chez le chien. Les études de mutagénicité nont pas montré le moindre signe deffet mutagène et on na pas non plus observé deffets sur la fertilité et le développement de la descendance.
  • +Des études menées chez des rats traités par l'oméprazole pendant toute la durée de la vie ont montré une hyperplasie des cellules ECL gastriques ainsi que des carcinoïdes. Diverses études permettent de conclure qu'il s'agit d'une réaction secondaire à l'augmentation massive du taux sérique de gastrine chez le rat. Des carcinoïdes à cellules ECL n'ont été observés ni chez la souris ni chez le chien. Les études de mutagénicité n'ont pas montré le moindre signe d'effet mutagène et on n'a pas non plus observé d'effets sur la fertilité et le développement de la descendance.
  • -Le flacon (dont le bouchon renferme un dessicant) doit être toujours bien refermé, afin de protéger le contenu de l’humidité.
  • -Ne pas conserver au-dessus de 25°C.
  • -Tenir hors de portée des enfants.
  • -Omeprax-Drossapharm ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur le récipient.
  • -
  • +Ce médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l’emballage.
  • +Remarques particulières concernant le stockage
  • +Conserver bien fermé. Ne pas conserver au-dessus de 25°C. Tenir hors de portée des enfants.
  • -Dans des flacons en PE-HD
  • -Emballages de 14, 28, 56 et 98 capsules dOmeprax-Drossapharm 10 mg (B)
  • -Emballages de 7, 14, 28, 56 et 98 capsules dOmeprax-Drossapharm 20 mg (B)
  • -Emballages de 7, 14, 28, 56 et 98 capsules dOmeprax-Drossapharm 40 mg (B)
  • +Dans des flacons en PE-HD.
  • +Emballages de 14, 28, 56 et 98 capsules d'Omeprax-Drossapharm 10 mg (B)
  • +Emballages de 7, 14, 28, 56 et 98 capsules d'Omeprax-Drossapharm 20 mg (B)
  • +Emballages de 7, 14, 28, 56 et 98 capsules d'Omeprax-Drossapharm 40 mg (B)
  • -Novembre 2017.
  • +Février 2022.
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