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Accueil - Information professionnelle sur Omeprax-Drossapharm 10mg - Changements - 14.11.2017
24 Changements de l'information professionelle Omeprax-Drossapharm 10mg
  • -Omeprax-Drossapharm
  • -Dyspepsie fonctionnelle acidodépendante: la dose d’Omeprax-Drossapharm recommandée pour le traitement symptomatique des douleurs/troubles épigastriques avec ou sans brûlures gastriques est de 10 mg une fois par jour. Si les symptômes ne diminuent pas après quatre semaines, il convient de procéder à des examens plus approfondis.
  • +Dyspepsie fonctionnelle acido-dépendante: la dose d’Omeprax-Drossapharm recommandée pour le traitement symptomatique des douleurs/troubles épigastriques avec ou sans brûlures gastriques est de 10 mg une fois par jour. Si les symptômes ne diminuent pas après quatre semaines, il convient de procéder à des examens plus approfondis.
  • -Fractures osseuses: les inhibiteurs de la pompe à protons peuvent, surtout lors d'une utilisation prolongée (>1 an) à dose élevée, accroître modérément le risque de fractures de la hanche, du poignet et de la colonne vertébrale, en particulier chez les patients âgés ou présentant d'autres facteurs de risque connus. Des études observationnelles suggèrent que les inhibiteurs de la pompe à protons peuvent augmenter le risque de fractures de 10 à 40%. Ce risque accru pourrait aussi être dû partiellement à d'autres facteurs de risque. Les patients présentant un risque d'ostéoporose doivent être traités conformément aux directives cliniques applicables et recevoir un apport suffisant en vitamine D et en calcium
  • +Fractures osseuses: les inhibiteurs de la pompe à protons peuvent, surtout lors d'une utilisation prolongée (>1 an) à dose élevée, accroître modérément le risque de fractures de la hanche, du poignet et de la colonne vertébrale, en particulier chez les patients âgés ou présentant d'autres facteurs de risque connus. Des études observationnelles suggèrent que les inhibiteurs de la pompe à protons peuvent augmenter le risque de fractures de 10 à 40 %. Ce risque accru pourrait aussi être dû partiellement à d'autres facteurs de risque. Les patients présentant un risque d'ostéoporose doivent être traités conformément aux directives cliniques applicables et recevoir un apport suffisant en vitamine D et en calcium
  • -Absorption: L’inhibition de l’acidité gastrique sous oméprazole ou sous un autre IPP peut provoquer une augmentation ou une réduction de l’absorption de médicaments dont l’absorption est influencée par le pH intragastrique. Comme en cas d’utilisation d’autres inhibiteurs de l’acidité intragastrique, l’absorption de médicaments tels que le kétoconazole, l’itraconazole ou l’erlotinib peut être réduite et l’absorption de médicaments tels que la digoxine peut être accrue au cours d’un traitement par l’oméprazole. La prise concomitante d’oméprazole diminue significativement (d’environ 60%) l’AUC et la concentration plasmatique maximale de l’itraconazole. Chez des sujets sains, l’administration concomitante d’oméprazole (20 mg par jour) et de digoxine a conduit à une augmentation de 10% de la biodisponibilité de la digoxine (chez 2 sujets, l’augmentation a atteint jusqu’à 30%).
  • +Absorption: L’inhibition de l’acidité gastrique sous oméprazole ou sous un autre IPP peut provoquer une augmentation ou une réduction de l’absorption de médicaments dont l’absorption est influencée par le pH intragastrique. Comme en cas d’utilisation d’autres inhibiteurs de l’acidité intragastrique, l’absorption de médicaments tels que le kétoconazole, l’itraconazole ou l’erlotinib peut être réduite et l’absorption de médicaments tels que la digoxine peut être accrue au cours d’un traitement par l’oméprazole. La prise concomitante d’oméprazole diminue significativement (d’environ 60 %) l’AUC et la concentration plasmatique maximale de l’itraconazole. Chez des sujets sains, l’administration concomitante d’oméprazole (20 mg par jour) et de digoxine a conduit à une augmentation de 10 % de la biodisponibilité de la digoxine (chez 2 sujets, l’augmentation a atteint jusqu’à 30 %).
  • -Métabolisme: L’oméprazole étant métabolisé dans le foie par voie du cytochrome P450 2C19, mais étant aussi un inhibiteur compétitif du CYP3A4 et du CYP2C19, l’élimination de médicaments tels que le diazépam, le cilostazol, la phénytoïne, la warfarine (Rwarfarine) et d’autres antagonistes de la vitamine K qui sont en partie métabolisés par le CYP2C19 peut être ralentie. Il est recommandé de surveiller les taux plasmatiques chez les patients traités à la phénytoïne et d’ajuster la posologie au besoin. Une administration concomitante de 20 mg d’oméprazole par jour n’a cependant pas influencé le taux plasmatique de phénytoïne chez les patients sous traitement continu à la phénytoïne. Chez les patients traités à la warfarine ou aux antagonistes de la vitamine K, une surveillance de l’INR est recommandée et une réduction de la dose de warfarine (ou de l’antagoniste de la vitamine K) peut devenir nécessaire bien qu’une administration concomitante de 20 mg d’oméprazole par jour n’influence pas le temps de coagulation chez les patients sous traitement continu à la warfarine. Dans une étude croisée, l’administration de 40 mg d’oméprazole chez des volontaires a augmenté la Cmax et de l’AUC du cilostazol de 18 et de 26% respectivement, et celles d’un métabolite actif du cilostazol de 29 et de 69% respectivement.
  • +Métabolisme: L’oméprazole étant métabolisé dans le foie par voie du cytochrome P450 2C19, mais étant aussi un inhibiteur compétitif du CYP3A4 et du CYP2C19, l’élimination de médicaments tels que le diazépam, le cilostazol, la phénytoïne, la warfarine (R-warfarine) et d’autres antagonistes de la vitamine K qui sont en partie métabolisés par le CYP2C19 peut être ralentie. Il est recommandé de surveiller les taux plasmatiques chez les patients traités à la phénytoïne et d’ajuster la posologie au besoin. Une administration concomitante de 20 mg d’oméprazole par jour n’a cependant pas influencé le taux plasmatique de phénytoïne chez les patients sous traitement continu à la phénytoïne. Chez les patients traités à la warfarine ou aux antagonistes de la vitamine K, une surveillance de l’INR est recommandée et une réduction de la dose de warfarine (ou de l’antagoniste de la vitamine K) peut devenir nécessaire bien qu’une administration concomitante de 20 mg d’oméprazole par jour n’influence pas le temps de coagulation chez les patients sous traitement continu à la warfarine. Dans une étude croisée, l’administration de 40 mg d’oméprazole chez des volontaires a augmenté la Cmax et de l’AUC du cilostazol de 18 et de 26 % respectivement, et celles d’un métabolite actif du cilostazol de 29 et de 69 % respectivement.
  • -Les résultats de différentes études d’interaction ont montré que l’oméprazole à des doses de 20 à 40 mg n’a aucune influence sur d’autres isoformes du cytochrome P450 jouant un rôle dans la métabolisation. L’oméprazole n’a pas présenté d’interactions avec les substrats du CYP1A2 (caféine, phénacétine, théophylline), du CYP2C9 (Swarfarine, piroxicam, diclofénac, naproxène), du CYP2D6 (métoprolol, propranolol) ou du CYP2E1 (éthanol).
  • +Les résultats de différentes études d’interaction ont montré que l’oméprazole à des doses de 20 à 40 mg n’a aucune influence sur d’autres isoformes du cytochrome P450 jouant un rôle dans la métabolisation. L’oméprazole n’a pas présenté d’interactions avec les substrats du CYP1A2 (caféine, phénacétine, théophylline), du CYP2C9 (S-warfarine, piroxicam, diclofénac, naproxène), du CYP2D6 (métoprolol, propranolol) ou du CYP2E1 (éthanol).
  • -Des interactions entre l’oméprazole et des agents antirétroviraux ont été rapportées. La signification clinique et les mécanismes de ces interactions rapportées ne sont pas toujours connus. Un pH intragastrique accru pendant un traitement à l’oméprazole peut éventuellement modifier l’absorption du médicament antirétroviral. D’autres mécanismes d’interaction possibles dépendent du CYP2C19. Pour certains agents antirétroviraux tels que l’atazanavir et le nelfinavir, on a rapporté des taux sériques réduits lors d’une administration concomitante d’oméprazole. Par conséquent, une telle association n’est pas recommandée. L’administration d’oméprazole (40 mg, 1× par jour) chez des sujets sains recevant en même temps de l’atazanavir 300 mg/ritonavir 100 mg a entraîné une réduction considérable de l’exposition à l’atazanavir (réduction de l’AUC, de la Cmax et de la Cmin d’environ 75%). L’augmentation de la dose d’atazanavir à 400 mg n’a pas compensé l’influence de l’oméprazole sur l’exposition à l’atazanavir. Des taux sériques accrus ont été rapportés pour d’autres agents antirétroviraux, par exemple pour le saquinavir. Il existe aussi certains agents antirétroviraux dont le taux sérique reste inchangé lors d’une administration concomitante d’oméprazole.
  • -Une étude auprès de volontaires sains a révélé une interaction pharmacocinétique/pharmacodynamique entre le clopidogrel et l'oméprazole. Dans cette étude, le clopidogrel a été administré à une dose initiale de 300 mg, puis à une dose d'entretien de 75 mg par jour en association avec 80 mg d'oméprazole par jour. Les concentrations plasmatiques du métabolite actif du clopidogrel ont baissé en moyenne de 46% d'après les tests effectués les jours 5, 14 et 29 de l'étude. L'inhibition maximale de l'agrégation plaquettaire après stimulation par ADP a baissé de 16% en moyenne. L'interaction ne peut pas être évitée par un écart temporel entre l'administration du clopidogrel et l'administration de l'oméprazole. Des données contradictoires concernant la pertinence clinique de cette interaction PC/PD en termes de complications cardio-vasculaires sévères ont été rapportées par des études observationnelles et des études cliniques. Dans ces conditions, il est recommandé d'éviter une administration concomitante de clopidogrel et d'oméprazole.
  • +Des interactions entre l’oméprazole et des agents antirétroviraux ont été rapportées. La signification clinique et les mécanismes de ces interactions rapportées ne sont pas toujours connus. Un pH intragastrique accru pendant un traitement à l’oméprazole peut éventuellement modifier l’absorption du médicament antirétroviral. D’autres mécanismes d’interaction possibles dépendent du CYP2C19. Pour certains agents antirétroviraux tels que l’atazanavir et le nelfinavir, on a rapporté des taux sériques réduits lors d’une administration concomitante d’oméprazole. Par conséquent, une telle association n’est pas recommandée. L’administration d’oméprazole (40 mg, 1× par jour) chez des sujets sains recevant en même temps de l’atazanavir 300 mg/ritonavir 100 mg a entraîné une réduction considérable de l’exposition à l’atazanavir (réduction de l’AUC, de la Cmax et de la Cmin d’environ 75 %). L’augmentation de la dose d’atazanavir à 400 mg n’a pas compensé l’influence de l’oméprazole sur l’exposition à l’atazanavir. Des taux sériques accrus ont été rapportés pour d’autres agents antirétroviraux, par exemple pour le saquinavir. Il existe aussi certains agents antirétroviraux dont le taux sérique reste inchangé lors d’une administration concomitante d’oméprazole.
  • +Une étude auprès de volontaires sains a révélé une interaction pharmacocinétique/pharmacodynamique entre le clopidogrel et l'oméprazole. Dans cette étude, le clopidogrel a été administré à une dose initiale de 300 mg, puis à une dose d'entretien de 75 mg par jour en association avec 80 mg d'oméprazole par jour. Les concentrations plasmatiques du métabolite actif du clopidogrel ont baissé en moyenne de 46 % d'après les tests effectués les jours 5, 14 et 29 de l'étude. L'inhibition maximale de l'agrégation plaquettaire après stimulation par ADP a baissé de 16 % en moyenne. L'interaction ne peut pas être évitée par un écart temporel entre l'administration du clopidogrel et l'administration de l'oméprazole. Des données contradictoires concernant la pertinence clinique de cette interaction PC/PD en termes de complications cardio-vasculaires sévères ont été rapportées par des études observationnelles et des études cliniques. Dans ces conditions, il est recommandé d'éviter une administration concomitante de clopidogrel et d'oméprazole.
  • -Cet effet qui s’exerce sur l’étape finale de la sécrétion acide est dosedépendant; il inhibe très efficacement la sécrétion acide basale comme la sécrétion stimulée, quelle que soit la nature du stimulus.
  • +Cet effet qui s’exerce sur l’étape finale de la sécrétion acide est dose-dépendant; il inhibe très efficacement la sécrétion acide basale comme la sécrétion stimulée, quelle que soit la nature du stimulus.
  • -Chez des patients atteints d’un ulcère duodénal, on peut obtenir en 24 heures une diminution moyenne de 80% de la sécrétion d’acide gastrique. 24 heures après l’administration d’oméprazole, la baisse moyenne du pic de production d’acide après stimulation par la pentagastrine est d’environ 70%.
  • +Chez des patients atteints d’un ulcère duodénal, on peut obtenir en 24 heures une diminution moyenne de 80 % de la sécrétion d’acide gastrique. 24 heures après l’administration d’oméprazole, la baisse moyenne du pic de production d’acide après stimulation par la pentagastrine est d’environ 70 %.
  • -L’oméprazole est métabolisé essentiellement au niveau du foie, où il est entièrement transformé par la voie enzymatique du cytochrome P450. La majeure partie est métabolisée par des isoformes spécifiques et polymorphes du CYP2C19 (Sméphénytoïne hydroxylase). Celles-ci sont responsables de la formation de l’hydroxy-oméprazole, métabolite principal dans le plasma. Le reste du métabolisme dépend de l’isoenzyme spécifique CYP3A4, responsable de la formation de sulfone d’oméprazole.
  • +L’oméprazole est métabolisé essentiellement au niveau du foie, où il est entièrement transformé par la voie enzymatique du cytochrome P450. La majeure partie est métabolisée par des isoformes spécifiques et polymorphes du CYP2C19 (S-méphénytoïne hydroxylase). Celles-ci sont responsables de la formation de l’hydroxy-oméprazole, métabolite principal dans le plasma. Le reste du métabolisme dépend de l’isoenzyme spécifique CYP3A4, responsable de la formation de sulfone d’oméprazole.
  • -80% d’une dose administrée par voie orale sont éliminés sous forme de métabolite par les urines, le reste l’étant par la voie biliaire et les fèces.
  • +80 % d’une dose administrée par voie orale sont éliminés sous forme de métabolite par les urines, le reste l’étant par la voie biliaire et les fèces.
  • -Environ 3% de la population caucasienne et environ 15 à 20% de la population asiatique ne possèdent pas d’enzyme CYP2C19 fonctionnelle et sont appelés des métaboliseurs lents. Chez ces individus, le métabolisme de l’oméprazole est catalysé essentiellement par le CYP3A4. Après l’administration quotidienne répétée de 20 mg d’oméprazole, l’AUC moyenne chez les métaboliseurs lents était 5 à 10 fois supérieure à celle observée chez les métaboliseurs rapides. Les concentrations plasmatiques maximales étaient en moyenne 3 à 5 fois supérieures. L’importance clinique de cette exposition accrue est inconnue, mais il existe des indices suggérant que les métaboliseurs lents sont exposés à un risque accru d’effets indésirables en raison de leur exposition à l’oméprazole plus élevée.
  • +Environ 3 % de la population caucasienne et environ 15 à 20 % de la population asiatique ne possèdent pas d’enzyme CYP2C19 fonctionnelle et sont appelés des métaboliseurs lents. Chez ces individus, le métabolisme de l’oméprazole est catalysé essentiellement par le CYP3A4. Après l’administration quotidienne répétée de 20 mg d’oméprazole, l’AUC moyenne chez les métaboliseurs lents était 5 à 10 fois supérieure à celle observée chez les métaboliseurs rapides. Les concentrations plasmatiques maximales étaient en moyenne 3 à 5 fois supérieures. L’importance clinique de cette exposition accrue est inconnue, mais il existe des indices suggérant que les métaboliseurs lents sont exposés à un risque accru d’effets indésirables en raison de leur exposition à l’oméprazole plus élevée.
  • -Le flacon (dont le bouchon renferme un dessicant) doit être toujours bien refermé, afin de protéger le contenu de l’humidité. Conserver à température ambiante (15–25 °C) et hors de la portée des enfants.
  • +Le flacon (dont le bouchon renferme un dessicant) doit être toujours bien refermé, afin de protéger le contenu de l’humidité.
  • +Ne pas conserver au-dessus de 25 °C.
  • +Tenir hors de portée des enfants.
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