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Accueil - Information professionnelle sur Cuvitru 200 mg/ml - Changements - 23.11.2021
84 Changements de l'information professionelle Cuvitru 200 mg/ml
  • -Principe actif : Immunoglobuline humaine (SCIg) 200 mg/ml. Protéine avec ³ 98 % Immunoglobuline.
  • -Distribution des sous-classes dIgG: IgG1≥ 56.9%, IgG2 ≥ 26.6%, IgG3 ≥ 3.4%, IgG4 ≥ 1.7%
  • -Contenu dIgA: £ 280 µg/ml.
  • -Excipients: Glycine, eau pour préparations injectables.
  • -Forme galénique et quantité de principe actif par unité
  • -Solution injectable.
  • -Un flacon 5 ml contient : 1 g Immunoglobuline humaine (avec teneur en immunoglobuline d’au moins 98 %).
  • -Un flacon 10 ml contient : 2 g Immunoglobuline humaine (avec teneur en immunoglobuline d’au moins 98 %).
  • -Un flacon 20 ml contient : 4 g Immunoglobuline humaine (avec teneur en immunoglobuline d’au moins 98 %).
  • -Un flacon 40 ml contient : 8 g Immunoglobuline humaine (avec teneur en immunoglobuline d’au moins 98 %).
  • -Un flacon 50 ml contient : 10 g Immunoglobuline humaine (avec teneur en immunoglobuline d’au moins 98 %).
  • -Indications/possibilités d’emploi
  • -Traitement substitutif chez l'adulte, l'enfant et l'adolescent (de 0 à 18 ans) atteint de :
  • -·syndromes d'immunodéficience primaire avec production défaillante danticorps
  • -·hypogammaglobulinémie et infections bactériennes récurrentes chez des patients atteints de leucémie lymphoïde chronique (LLC), chez qui les antibiotiques prophylactiques nont pas fonctionné ou sont contre-indiqués
  • +Principes actifs
  • +Immunoglobuline humaine (SCIg) 200 mg/ml. Protéine avec 98 % Immunoglobuline.
  • +Distribution des sous-classes d'IgG:
  • +IgG1≥56.9%, IgG2 ≥26.6%, IgG3 ≥3.4%, IgG4 ≥1.7%
  • +Contenu d'IgA: 280 µg/ml.
  • +Excipients
  • +Glycine, eau pour préparations injectables.
  • +
  • +Indications/Possibilités d’emploi
  • +Traitement substitutif chez l'adulte, l'enfant et l'adolescent (de 0 à 18 ans) atteint de:
  • +·syndromes d'immunodéficience primaire avec production défaillante d'anticorps
  • +·hypogammaglobulinémie et infections bactériennes récurrentes chez des patients atteints de leucémie lymphoïde chronique (LLC), chez qui les antibiotiques prophylactiques n'ont pas fonctionné ou sont contre-indiqués
  • -Posologie/mode d’emploi
  • +Posologie/Mode d’emploi
  • -La posologie et lintervalle entre les administrations dépendent de lindication thérapeutique.
  • +La posologie et l'intervalle entre les administrations dépendent de l'indication thérapeutique.
  • -Les schémas posologiques suivants sont donnés à titre indicatif :
  • +Les schémas posologiques suivants sont donnés à titre indicatif:
  • -Une dose de charge (« loading dose » d'au moins 0,2 à 0,5 g/kg (1 à 2,5 ml/kg) de poids corporel peut être requise. Il peut être nécessaire de la répartir sur plusieurs jours, avec une dose quotidienne maximale de 0,1 à 0,15 g/kg de poids corporel. Après équilibre des taux d'IgG est atteint, des doses d'entretien sont administrées à intervalles de dosage dans lordre dune fois par jour à une fois tous les deux semaines de façon à atteindre une dose cumulative mensuelle de l'ordre de 0,3 à 1,0 g/kg. Il peut être nécessaire d'injecter chaque dose dans différents sites anatomiques.
  • +Une dose de charge («loading dose» d'au moins 0,2 à 0,5 g/kg (1 à 2,5 ml/kg) de poids corporel peut être requise. Il peut être nécessaire de la répartir sur plusieurs jours, avec une dose quotidienne maximale de 0,1 à 0,15 g/kg de poids corporel. Après équilibre des taux d'IgG est atteint, des doses d'entretien sont administrées à intervalles de dosage dans l'ordre d'une fois par jour à une fois tous les deux semaines de façon à atteindre une dose cumulative mensuelle de l'ordre de 0,3 à 1,0 g/kg. Il peut être nécessaire d'injecter chaque dose dans différents sites anatomiques.
  • -Lors du passage à dautres produits dimmunoglobulines sous-cutanés ou intraveineux, les taux résiduels peuvent changer et exiger par conséquence un ajustement de la dose.
  • -Population pédiatrique
  • -La posologie chez l'enfant et l'adolescent (de 0 à 18 ans) nest pas différente à celle de l'adulte pour chaque indication. La posologie est calculée en fonction du poids corporel et ajustée aux résultats cliniques des traitements de substitution.
  • +Lors du passage à d'autres produits d'immunoglobulines sous-cutanés ou intraveineux, les taux résiduels peuvent changer et exiger par conséquence un ajustement de la dose.
  • +Populations de patients particulières
  • +Pédiatrie
  • +La posologie chez l'enfant et l'adolescent (de 0 à 18 ans) n'est pas différente à celle de l'adulte pour chaque indication. La posologie est calculée en fonction du poids corporel et ajustée aux résultats cliniques des traitements de substitution.
  • -Mode dadministration
  • +Mode d'administration
  • -Le traitement devrait être effectué, surveillé et suivi régulièrement par un médecin expérimenté dans le traitement des patients atteints d'immunodéficience. Si le médecin le juge approprié, et avec une bonne tolérance dans le milieu clinique, une perfusion sous-cutanée faisant partie d'un auto-traitement à la maison sous supervision dun professionnel médical qualifié peut être considérée. La formation du personnel et du patient a cet égard comprend en particulier le fonctionnement des pompes à perfusion spécifiques pour la perfusion sous-cutanée d'immunoglobulines, la technique de perfusion, la tenue des carnets de traitement et la reconnaissance des effets indésirables sévères ainsi que l'application de mesures nécessaires pour ce cas.
  • +Le traitement devrait être effectué, surveillé et suivi régulièrement par un médecin expérimenté dans le traitement des patients atteints d'immunodéficience. Si le médecin le juge approprié, et avec une bonne tolérance dans le milieu clinique, une perfusion sous-cutanée faisant partie d'un auto-traitement à la maison sous supervision d'un professionnel médical qualifié peut être considérée. La formation du personnel et du patient a cet égard comprend en particulier le fonctionnement des pompes à perfusion spécifiques pour la perfusion sous-cutanée d'immunoglobulines, la technique de perfusion, la tenue des carnets de traitement et la reconnaissance des effets indésirables sévères ainsi que l'application de mesures nécessaires pour ce cas.
  • -Il est recommandé d'utiliser une vitesse d'administration initiale de 10 ml/h/site de perfusion. Si elle est bien tolérée, la vitesse d'administration peut être augmentée à intervalles de 10 minutes au moins jusquà un maximum de 20 ml/heure/site de perfusion pour les deux premières perfusions. Plusieurs pompes peuvent être utilisées simultanément. La quantité de produit perfusée varie selon les sites. Chez le nourrisson et l'enfant, le site de perfusion devrait être changé tous les 5 à 15 ml. Chez l'adulte, les doses supérieures à 30 ml devraient être divisées selon les préférences du patient. Le nombre de sites de perfusion est illimité.
  • +Il est recommandé d'utiliser une vitesse d'administration initiale de 10 ml/h/site de perfusion. Si elle est bien tolérée, la vitesse d'administration peut être augmentée à intervalles de 10 minutes au moins jusqu'à un maximum de 20 ml/heure/site de perfusion pour les deux premières perfusions. Plusieurs pompes peuvent être utilisées simultanément. La quantité de produit perfusée varie selon les sites. Chez le nourrisson et l'enfant, le site de perfusion devrait être changé tous les 5 à 15 ml. Chez l'adulte, les doses supérieures à 30 ml devraient être divisées selon les préférences du patient. Le nombre de sites de perfusion est illimité.
  • -- Réaction anaphylactique ou hypersensibilité sévère connue à ladministration sous-cutanée de la substance active ou à l'un des excipients.
  • -- Déficit sévère en IgA et antécédents d'hypersensibilité à un traitement par immunoglobuline humaine.
  • -- CUVITRU ne doit pas être administré par voie intravasculaire ni intramusculaire.
  • +·Réaction anaphylactique ou hypersensibilité sévère connue à l'administration sous-cutanée de la substance active ou à l'un des excipients.
  • +·Déficit sévère en IgA et antécédents d'hypersensibilité à un traitement par immunoglobuline humaine.
  • +·CUVITRU ne doit pas être administré par voie intravasculaire ni intramusculaire.
  • -Il convient de respecter scrupuleusement le débit de perfusion recommandé indiqué à la rubrique «Dosage/Administration ». Les patients doivent être étroitement surveillés pendant toute la durée de la perfusion afin dobserver soigneusement lapparition de tout symptôme éventuel.
  • +Il convient de respecter scrupuleusement le débit de perfusion recommandé indiqué à la rubrique «Posologie/Mode d'emploi». Les patients doivent être étroitement surveillés pendant toute la durée de la perfusion afin d'observer soigneusement l'apparition de tout symptôme éventuel.
  • -Réactions dhypersensibilité systémiques et locales
  • -Les réactions dhypersensibilité systémiques qui dans des cas rares peuvent se manifester comme réaction anaphylactique peuvent survenir chez tous les patients mais en particulier chez les patients avec présence d'anticorps anti-IgA qui doivent être traités avec une prudence particulière. Les patients avec présence d'anticorps anti-IgA, pour lesquels le traitement avec des médicaments IgG par voie sous-cutanée reste la seule option, doivent être traités avec CUVITRU uniquement sous surveillance médicale étroite. CUVITRU contient d'IgA dans une concentration de moins de 280 microgrammes/ml.
  • +Réactions d'hypersensibilité systémiques et locales
  • +Les réactions d'hypersensibilité systémiques qui dans des cas rares peuvent se manifester comme réaction anaphylactique peuvent survenir chez tous les patients mais en particulier chez les patients avec présence d'anticorps anti-IgA qui doivent être traités avec une prudence particulière. Les patients avec présence d'anticorps anti-IgA, pour lesquels le traitement avec des médicaments IgG par voie sous-cutanée reste la seule option, doivent être traités avec CUVITRU uniquement sous surveillance médicale étroite. CUVITRU contient d'IgA dans une concentration de moins de 280 microgrammes/ml.
  • -Pendant les perfusions sous-cutanées des immunoglobulines des réactions locales (douleur, érythème) peuvent survenir. Celles-ci peuvent survenir transitoirement plus fréquemment après changement des autres produits.Les complications systémiques et locales peuvent souvent être évitées :
  • -·En injectant le produit lentement aux patients pendant les premières administrations (voir « Posologie/mode demploi »).
  • +Pendant les perfusions sous-cutanées des immunoglobulines des réactions locales (douleur, érythème) peuvent survenir. Celles-ci peuvent survenir transitoirement plus fréquemment après changement des autres produits.
  • +Les complications systémiques et locales peuvent souvent être évitées:
  • +·En injectant le produit lentement aux patients pendant les premières administrations (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
  • -En cas d'effet indésirable, le débit dadministration doit être réduit ou la perfusion interrompue.
  • -En cas de suspicion de réactions de type allergique ou anaphylactique sévère, linjection doit immédiatement être interrompue Le traitement requis dépend de la nature et de la sévérité de l'effet indésirable.
  • +En cas d'effet indésirable, le débit d'administration doit être réduit ou la perfusion interrompue.
  • +En cas de suspicion de réactions de type allergique ou anaphylactique sévère, l'injection doit immédiatement être interrompue. Le traitement requis dépend de la nature et de la sévérité de l'effet indésirable.
  • -Des événements thromboemboliques artériels et veineux, tels quun infarctus du myocarde, un ictus, une thrombose veineuse profonde et une embolie pulmonaire, ont été associés à lutilisation dimmunoglobulines. Il convient d'être particulièrement prudent avec les patients présentant des facteurs de risque pré-existants d'événements thromboemboliques (tels qu'un âge avancé, de l'hypertension, du diabète ou des antécédents de maladie vasculaire ou d'épisodes thrombotiques, de troubles thrombophiliques acquis ou congénitaux, dimmobilisation prolongée, hypovolémies sévères, des maladies augmentant la viscosité du sang). Les patients doivent être informés des premiers symptômes d'événements thromboemboliques, notamment la difficulté respiratoire, la douleur et le gonflement d'un membre, les troubles neurologiques focaux et la douleur thoracique, et ils doivent être avertis de la nécessité de contacter immédiatement leur médecin en cas d'apparition de ces symptômes.
  • -Les patients doivent être suffisamment hydratés avant l'administration dimmunoglobulines. Il convient de surveiller les signes et symptômes de thrombose et dévaluer la viscosité du sang des patients présentant un risque dhyperviscosité.
  • +Des événements thromboemboliques artériels et veineux, tels qu'un infarctus du myocarde, un ictus, une thrombose veineuse profonde et une embolie pulmonaire, ont été associés à l'utilisation d'immunoglobulines. Il convient d'être particulièrement prudent avec les patients présentant des facteurs de risque pré-existants d'événements thromboemboliques (tels qu'un âge avancé, de l'hypertension, du diabète ou des antécédents de maladie vasculaire ou d'épisodes thrombotiques, de troubles thrombophiliques acquis ou congénitaux, d'immobilisation prolongée, hypovolémies sévères, des maladies augmentant la viscosité du sang).
  • +Les patients doivent être informés des premiers symptômes d'événements thromboemboliques, notamment la difficulté respiratoire, la douleur et le gonflement d'un membre, les troubles neurologiques focaux et la douleur thoracique, et ils doivent être avertis de la nécessité de contacter immédiatement leur médecin en cas d'apparition de ces symptômes.
  • +Les patients doivent être suffisamment hydratés avant l'administration d'immunoglobulines. Il convient de surveiller les signes et symptômes de thrombose et d'évaluer la viscosité du sang des patients présentant un risque d'hyperviscosité.
  • -Le syndrome de méningite aseptique (SMA) a été signalé en association avec l'administration intraveineuse d'immunoglobuline. L’interruption du traitement peut résulter en une rémission de lSMA en peu de jours. Après linterruption du traitement par immunoglobuline lSMA peut disparaître après plusieurs jours sans séquelles. Le syndrome se déclare généralement dans les quelques heures à 2 jours après le traitement intraveineux par immunoglobuline.
  • +Le syndrome de méningite aseptique (SMA) a été signalé en association avec l'administration intraveineuse d'immunoglobuline, y compris CUVITRU (voir «Effets indésirables»). Le SMA peut être plus fréquent chez les patientes de sexe féminin. L'interruption du traitement peut résulter en une rémission de l'SMA en peu de jours. Après l'interruption du traitement par immunoglobuline l'SMA peut disparaître après plusieurs jours sans séquelles. Le syndrome se déclare généralement dans les quelques heures à 2 jours après le traitement intraveineux par immunoglobuline.
  • -CUVITRU est fabriqué à partir de plasma humain. Les mesures standard de prévention du risque de transmission dagents infectieux par les médicaments préparés à partir de sang ou de plasma humain comprennent la sélection des donneurs, la recherche des marqueurs spécifiques dinfection sur chaque don et sur les mélanges de plasma, ainsi que la mise en œuvre dans le procédé de fabrication détapes efficaces pour linactivation/élimination virale. En dépit de cela, le risque de transmission dagents infectieux par ladministration de médicaments préparés à base de sang ou de plasma humain ne peut être totalement exclu. Ceci sapplique également aux virus inconnus ou émergents et aux autres types dagents infectieux.
  • -Les mesures prises sont considérées comme efficaces pour les virus enveloppés, tels que le virus de limmunodéficience humaine (VIH), le virus de lhépatite B (VHB) et le virus de lhépatite C (VHC) et pour les virus non enveloppés de lhépatite A et du parvovirus B19.
  • -Il existe des expériences cliniques sûres sur labsence de transmission de lhépatite A ou du Parvovirus B19 avec des immunoglobulines. On suppose également que la teneur en anticorps contribue largement à la sécurité virale.
  • -Il est recommandé, à chaque administration de CUVITRU à un patient, denregistrer le nom et le numéro de lot du médicament afin de maintenir un lien entre le patient et le lot de médicament.
  • +CUVITRU est fabriqué à partir de plasma humain. Les mesures standard de prévention du risque de transmission d'agents infectieux par les médicaments préparés à partir de sang ou de plasma humain comprennent la sélection des donneurs, la recherche des marqueurs spécifiques d'infection sur chaque don et sur les mélanges de plasma, ainsi que la mise en œuvre dans le procédé de fabrication d'étapes efficaces pour l'inactivation/élimination virale. En dépit de cela, le risque de transmission d'agents infectieux par l'administration de médicaments préparés à base de sang ou de plasma humain ne peut être totalement exclu. Ceci s'applique également aux virus inconnus ou émergents et aux autres types d'agents infectieux.
  • +Les mesures prises sont considérées comme efficaces pour les virus enveloppés, tels que le virus de l'immunodéficience humaine (VIH), le virus de l'hépatite B (VHB) et le virus de l'hépatite C (VHC) et pour les virus non enveloppés de l'hépatite A et du parvovirus B19.
  • +Il existe des expériences cliniques sûres sur l'absence de transmission de l'hépatite A ou du Parvovirus B19 avec des immunoglobulines. On suppose également que la teneur en anticorps contribue largement à la sécurité virale.
  • +Il est recommandé, à chaque administration de CUVITRU à un patient, d'enregistrer le nom et le numéro de lot du médicament afin de maintenir un lien entre le patient et le lot de médicament.
  • -L'administration d'immunoglobuline peut entraver, pendant une période comprise entre 6 semaines et 3 mois, l'efficacité des vaccins à virus vivant atténué tels que la rougeole, la rubéole, les oreillons et la varicelle. Après administration de CUVITRU, un intervalle de 3 mois doit s'écouler avant une vaccination avec des vaccins constitués de virus vivants atténués. Dans le cas de la rougeole, cet intervalle peut persister jusquà 1 an. Par conséquent, pour les patients vaccinés contre la rougeole, un contrôle des anticorps protecteurs post-vaccinaux doit être effectué.
  • +L'administration d'immunoglobuline peut entraver, pendant une période comprise entre 6 semaines et 3 mois, l'efficacité des vaccins à virus vivant atténué tels que la rougeole, la rubéole, les oreillons et la varicelle. Après administration de CUVITRU, un intervalle de 3 mois doit s'écouler avant une vaccination avec des vaccins constitués de virus vivants atténués. Dans le cas de la rougeole, cet intervalle peut persister jusqu'à 1 an. Par conséquent, pour les patients vaccinés contre la rougeole, un contrôle des anticorps protecteurs post-vaccinaux doit être effectué.
  • -La sécurité de ce médicament chez les femmes enceintes na pas été évaluée au cours d'études cliniques contrôlées. Il doit donc être prescrit avec vigilance aux femmes enceintes. Les produits à base d'immunoglobuline pénètrent dans le placenta, et ceci de façon plus importante pendant le troisième trimestre. Lexpérience clinique avec les immunoglobulines suggère quaucun effet néfaste n'est attendu sur le déroulement de la grossesse, sur le fœtus ni sur le nouveau-né.
  • +La sécurité de ce médicament chez les femmes enceintes n'a pas été évaluée au cours d'études cliniques contrôlées. On ne dispose pas de données chez l'homme indiquant l'existence ou l'absence d'un risque associé au médicament. Il doit donc être prescrit avec vigilance aux femmes enceintes.
  • +CUVITRU n'a pas fait l'objet d'études sur la reproduction chez les animaux.
  • +Les produits à base d'immunoglobuline pénètrent dans le placenta, et ceci de façon plus importante pendant le troisième trimestre. L'expérience clinique avec les immunoglobulines suggère qu'aucun effet néfaste n'est attendu sur le déroulement de la grossesse, sur le fœtus ni sur le nouveau-né.
  • -Il ny a pas détudes cliniques contrôlées sur la sécurité de ce médicament chez les mères allaitantes. Par conséquent, il devrait être administré avec précaution aux mères allaitantes. Physiologiquement, les immunoglobulines sont excrétées dans le lait maternel et peuvent contribuer à protéger le nouveau-né contre les agents pathogènes, qui sont transmises via la membrane muqueuse. Il nest pas prouvé avec des données qu'un tel avantage est également vrai pour les nouveau-nés de mères allaitantes souffrant de syndromes dimmunodéficience par substitution d'immunoglobuline.
  • +Il n'y a pas d'études cliniques contrôlées sur la sécurité de ce médicament chez les mères allaitantes. Par conséquent, il devrait être administré avec précaution aux mères allaitantes. Les bienfaits de l'allaitement sur la santé et le développement doivent être pris en compte au même titre que le besoin clinique de la mère pour CUVITRU et que tout effet indésirable potentiel, dû à CUVITRU ou à la maladie sous-jacente de la mère, sur l'enfant nourri au sein. Physiologiquement, les immunoglobulines sont excrétées dans le lait maternel et peuvent contribuer à protéger le nouveau-né contre les agents pathogènes, qui sont transmises via la membrane muqueuse. Il n'est pas prouvé avec des données qu'un tel avantage est également vrai pour les nouveau-nés de mères allaitantes souffrant de syndromes d'immunodéficience par substitution d'immunoglobuline.
  • -L'expérience clinique concernant les immunoglobulines suggère qu'aucun effet délétère sur la fertilité n'est attendu.
  • +Les effets de CUVITRU sur la fertilité ne sont pas connus.
  • -Des effets indésirables de type frissons, céphalée, vertige, fièvre, vomissements, réactions allergiques, nausées, arthralgie, chute de la pression artérielle et légers maux de dos peuvent survenir occasionnellement.
  • +Des effets indésirables de type frissons, céphalée, vertige, fièvre, vomissements, réactions allergiques, nausées, arthralgie, chute de la pression artérielle et légers maux de dos peuvent survenir occasionnellement.
  • -Les effets indésirables sont résumés ci-dessous et classés en fonction de la classe de système dorganes MedDRA et la fréquence. Dans le suivant, les effets indésirables des médicaments sont décrits (comme MedDRA preferred Terms) pour lesquels une relation de causalité avec le traitement d'immunoglobuline ne peut pas être exclue. Pour donner strictement la plus grande estimation possible de la fréquence de survenue d'un événement indésirable au cours de la période de l'étude les fréquences pour chaque « preferred term » ont été calculées à la base du nombre total de patients chez lesquels l'événement respectif, indépendamment de l'évaluation du lien de causalité (à la fois les événements indésirables et les effets indésirables), a été observé.
  • -Les fréquences ont été évaluées selon la convention suivante : très fréquent (≥1/10), fréquent (≥1/100, <1/10), occasionnel (≥1/1 000, <1/100), rare (≥1/10 000, <1/1 000), et très rare (<1/10 000), fréquence inconnue (ne peut être estimée sur la base des données disponibles).
  • -Fréquence des effets indésirables (EI) dans les études cliniques menées sur CUVITRU et lutilisation dimmunoglobulines sous-cutanées post-commercialisation:
  • +Les effets indésirables sont résumés ci-dessous et classés en fonction de la classe de système d'organes MedDRA et la fréquence. Dans le suivant, les effets indésirables des médicaments sont décrits (comme MedDRA preferred Terms) pour lesquels une relation de causalité avec le traitement d'immunoglobuline ne peut pas être exclue. Pour donner strictement la plus grande estimation possible de la fréquence de survenue d'un événement indésirable au cours de la période de l'étude les fréquences pour chaque «preferred term» ont été calculées à la base du nombre total de patients chez lesquels l'événement respectif, indépendamment de l'évaluation du lien de causalité (à la fois les événements indésirables et les effets indésirables), a été observé.
  • +Les fréquences ont été évaluées selon la convention suivante: très fréquent (≥1/10), fréquent (≥1/100, <1/10), occasionnel (≥1/1 000, <1/100), rare (≥1/10 000, <1/1 000), et très rare (<1/10 000), fréquence inconnue (ne peut être estimée sur la base des données disponibles).
  • +Fréquence des effets indésirables (EI) dans les études cliniques menées sur CUVITRU et l'utilisation d'immunoglobulines sous-cutanées post-commercialisation:
  • -Inconnu : anaphylaxie
  • +Inconnu: anaphylaxie.
  • -Très fréquent : céphalée (22.1%)
  • -Fréquent : sensation vertigineuse, migraine, somnolence
  • -Occasionnel: paresthésie (sensation de brûlure)
  • -Rare : tremblement
  • -Inconnu : méningite aseptique
  • +Très fréquent: céphalée (22.1%).
  • +Fréquent: sensation vertigineuse, migraine, somnolence.
  • +Occasionnel: paresthésie (sensation de brûlure).
  • +Rare: tremblement.
  • +Inconnu: méningite aseptique.
  • -Rare : tachycardie
  • -Affections vasculairesFréquent : hypotension
  • -Inconnu : thromboembolie
  • +Rare: tachycardie.
  • +Affections vasculaires
  • +Fréquent: hypotension.
  • +Inconnu: thromboembolie.
  • -Occasionnel : plainte thoracique
  • -Très rare : laryngospasme
  • -Inconnu : dyspnée
  • +Occasionnel: plainte thoracique.
  • +Très rare: laryngospasme.
  • +Inconnu: dyspnée.
  • -Très fréquent : diarrhée (16.4%), nausées (11.5%)
  • -Fréquent : douleur abdominale
  • -Occasionnel : douleur abdominale basse
  • +Très fréquent: diarrhée (16.4%), nausées (11.5%).
  • +Fréquent: douleur abdominale.
  • +Occasionnel: douleur abdominale basse.
  • -Occasionnel: prurit généralisé, urticaire généralisé
  • -Affections musculo-squelettiques et systémiquesOccasionnel : myalgieTroubles généraux et anomalies au site dadministration Très fréquent : fatigue (10.7%), réactions locales au site de perfusion (32.0%) incluant érythème (14.8%) et douleur (20.5%)Fréquent : douleur, des réactions au site de perfusion : gonflement, prurit, urticaire, hématome
  • -Occasionnel : œdème au site de perfusion
  • +Occasionnel: prurit généralisé, urticaire généralisé.
  • +Affections musculo-squelettiques et systémiques
  • +Occasionnel: myalgie.
  • +Troubles généraux et anomalies au site d'administration
  • +Très fréquent: fatigue (10.7%), réactions locales au site de perfusion (32.0%) incluant érythème (14.8%) et douleur (20.5%).
  • +Fréquent: douleur, des réactions au site de perfusion: gonflement, prurit, urticaire, hématome.
  • +Occasionnel: œdème au site de perfusion
  • -Voir « mises en garde et précautions ».
  • -Population pédiatriqueLe profil de sécurité dans la population pédiatrique était semblable à celui des patients adultes. Dans les essais cliniques, 28 enfants âgés de 2-11 ans et 25 patients âgés de 12-17 ans ont été examinés.
  • -Lannonce deffets secondaires présumés après lautorisation est dune grande importance. Elle permet un suivi continu du rapport bénéfice-risque du médicament. Les professionnels de santé sont tenus de déclarer toute suspicion deffet secondaire nouveau ou grave via le portail dannonce en ligne ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet sur www.swissmedic.ch.
  • +Voir «Mises en garde et précautions».
  • +Post-Marketing
  • +Les effets indésirables suivants ont été observés dans le cadre de l'utilisation post-marketing.
  • +Affections du système nerveux
  • +Fréquence inconnue: méningite aseptique.
  • +Population pédiatrique
  • +Le profil de sécurité dans la population pédiatrique était semblable à celui des patients adultes. Dans les essais cliniques, 28 enfants âgés de 2-11 ans et 25 patients âgés de 12-17 ans ont été examinés.
  • +L'annonce d'effets secondaires présumés après l'autorisation est d'une grande importance. Elle permet un suivi continu du rapport bénéfice-risque du médicament. Les professionnels de santé sont tenus de déclarer toute suspicion d'effet secondaire nouveau ou grave via le portail d'annonce en ligne ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet sur www.swissmedic.ch.
  • -J06BA01Classe pharmacothérapeutique : sérums immuns et immunoglobulines : immunoglobulines, humaines normales, pour administration extravasculaire.
  • -Mécanisme daction/ PharmacodynamiqueL'immunoglobuline humaine contient essentiellement des immunoglobulines de type G (IgG), qui représentent un large spectre d'anticorps contre les agents infectieux.
  • +J06BA01
  • +Classe pharmacothérapeutique: sérums immuns et immunoglobulines: immunoglobulines, humaines normales, pour administration extravasculaire.
  • +Mécanisme d'action
  • +L'immunoglobuline humaine contient essentiellement des immunoglobulines de type G (IgG), qui représentent un large spectre d'anticorps contre les agents infectieux.
  • +Pharmacodynamique
  • +
  • -Efficacité cliniqueL'efficacité clinique de CUVITRU a été étudiée dans deux études prospectives non contrôlées multicentriques de phase 2/3 chez les patients adultes et pédiatriques atteints de PID. L'étude pivotale 170903, qui a été menée en Europe, a été réalisé pour évaluer l'efficacité de CUVITRU si administré à des mêmes doses hebdomadaires comme la préparation IG utilisé précédemment. Dans l'étude de support 170904, qui a été menée en Amérique du Nord, les sujets ont reçu CUVITRU à une dose adaptée tenant compte de la biodisponibilité réduite des IGSC, avec laquelle des expositions similaires dimmunoglobulines sous-cutanées ou intraveineuses ont été atteints.
  • -Dans l'étude 170903 CUVITRU a été administré à 48 sujets (2 à 67 ans) à une dose de 0.125 ± 0.042 g/kg/semaine (moyenne ± écart-type) pendant une durée médiane de traitement de 358 jours (min. 127 – max. 399 jours). Un total de 2349 perfusions de CUVITRU ont été administrés dans cet essai clinique. 45/48 sujets ont terminé l'étude, y compris 23/25 sujets âgés de 2 à <18 ans. Le point estimé du taux annuel d'infections graves aiguës validées bactériennes (VASBI) était de 0.022 (limite supérieure de l'intervalle de confiance de 99%: 0.049).
  • +Efficacité clinique
  • +L'efficacité clinique de CUVITRU a été étudiée dans deux études prospectives non contrôlées multicentriques de phase 2/3 chez les patients adultes et pédiatriques atteints de PID. L'étude pivotale 170903, qui a été menée en Europe, a été réalisé pour évaluer l'efficacité de CUVITRU si administré à des mêmes doses hebdomadaires comme la préparation IG utilisé précédemment. Dans l'étude de support 170904, qui a été menée en Amérique du Nord, les sujets ont reçu CUVITRU à une dose adaptée tenant compte de la biodisponibilité réduite des IGSC, avec laquelle des expositions similaires d'immunoglobulines sous-cutanées ou intraveineuses ont été atteints.
  • +Dans l'étude 170903 CUVITRU a été administré à 48 sujets (2 à 67 ans) à une dose de 0.125 ± 0.042 g/kg/semaine (moyenne ± écart-type) pendant une durée médiane de traitement de 358 jours (min. 127 – max. 399 jours). Un total de 2349 perfusions de CUVITRU ont été administrés dans cet essai clinique. 45/48 sujets ont terminé l'étude, y compris 23/25 sujets âgés de 2 à <18 ans. Le point estimé du taux annuel d'infections graves aiguës validées bactériennes (VASBI) était de 0.022 (limite supérieure de l'intervalle de confiance de 99%: 0.049).
  • -Après l'administration par voie sous-cutanée de CUVITRU, les taux sériques dIgG maximales sont atteints au bout d'environ 3 jours.
  • -Dans lessai clinique pivot sur CUVITRU 170903 (n = 48) les patients ont obtenu des taux résiduels d'IgG de 8,26 g/l (médiane) sur une période de 52 semaines lors de laquelle la dose hebdomadaire médiane était de 0,125 g/kg. Les résultats de cet essai clinique évaluant CUVITRU démontrent que les taux sériques résiduels d'IgG peuvent être maintenus à l'aide de schémas posologiques mensuels totales de 0,3 à 1,0 g/kg de poids corporel.
  • +Absorption
  • +Après l'administration par voie sous-cutanée de CUVITRU, les taux sériques d'IgG maximales sont atteints au bout d'environ 3 jours.
  • +Dans l'essai clinique pivot sur CUVITRU 170903 (n = 48) les patients ont obtenu des taux résiduels d'IgG de 8,26 g/l (médiane) sur une période de 52 semaines lors de laquelle la dose hebdomadaire médiane était de 0,125 g/kg. Les résultats de cet essai clinique évaluant CUVITRU démontrent que les taux sériques résiduels d'IgG peuvent être maintenus à l'aide de schémas posologiques mensuels totales de 0,3 à 1,0 g/kg de poids corporel.
  • -Pendant ladministration hebdomadaire de CUVITRU lASC pour IgG était de 62.52 g*jours/l (95% IC: 57.16-68.86), la clairance plasmatique était de 1.70 ml/kg/jours (95%IC: 1.57-2.23), la Cmax était de 9.80 g/l (95%IC: 9.31-10.62), la Cmin médiane était de 8.04 g/l (95%IC: 7.30-8.99), et la Tmax était de 73.92 h (95%IC: 69.82-120.08) pour tous les âges.
  • -Les IgG et les complexes dIgG sont métabolisés dans les cellules du système réticulo-endothélial.
  • -Posologie hebdomadaire, bimensuelle ou plus fréquente (2-7 fois par semaine) :
  • -La caractérisation pharmacocinétique (PC) d'une posologie bimensuelle ou plus fréquente de CUVITRU a été réalisée à l'aide d'une simulation et d'une modélisation PC de population. Les données de concentration sérique d'IgG sont constituées de 724 échantillons prélevés auprès de 32 patients pédiatriques et adultes atteints de PID sous substitution hebdomadaire de CUVITRU dans létude 170903. La simulation de l'exposition systémique des sujets montre des taux équivalents de Cmax, ASC et IgG avec des doses de perfusion d'une fois par jour à une fois toutes les 2 semaines.
  • +Distribution
  • +Pendant l'administration hebdomadaire de CUVITRU l'ASC pour IgG était de 62.52 g*jours/l (95% IC: 57.16-68.86).
  • +Métabolisme
  • +La clairance plasmatique était de 1.70 ml/kg/jours (95%IC: 1.57-2.23), la Cmax était de 9.80 g/l (95%IC: 9.31-10.62), la Cmin médiane était de 8.04 g/l (95%IC: 7.30-8.99), et la Tmax était de 73.92 h (95%IC: 69.82-120.08) pour tous les âges.
  • +Élimination
  • +Les IgG et les complexes d'IgG sont métabolisés dans les cellules du système réticulo-endothélial.
  • +Posologie hebdomadaire, bimensuelle ou plus fréquente (2-7 fois par semaine):
  • +La caractérisation pharmacocinétique (PC) d'une posologie bimensuelle ou plus fréquente de CUVITRU a été réalisée à l'aide d'une simulation et d'une modélisation PC de population. Les données de concentration sérique d'IgG sont constituées de 724 échantillons prélevés auprès de 32 patients pédiatriques et adultes atteints de PID sous substitution hebdomadaire de CUVITRU dans l'étude 170903. La simulation de l'exposition systémique des sujets montre des taux équivalents de Cmax, ASC et IgG avec des doses de perfusion d'une fois par jour à une fois toutes les 2 semaines.
  • -Les données non cliniques ne révèlent pas de risque particulier pour lhomme après administration unique selon les études conventionnelles de pharmacologie de sécurité et de toxicité relatives aux immunoglobulines. CUVITRU était bien toléré localement en cas de perfusion par voie sous-cutanée chez l'animal. Les études de toxicologie en administration répétée et des fonctions de reproduction chez l'animal sont irréalisables en raison de l'induction du développement d'anticorps aux protéines hétérologues, à l'origine d'interférences. Les études de cancérogénicité nont pas été réalisées. Un test de mutagénicité in vitro (test AMES) n'a révélé aucune preuve de mutagénicité pour une solution dIgG, 10 % pour administration intraveineuse.
  • +Les données non cliniques ne révèlent pas de risque particulier pour l'homme après administration unique selon les études conventionnelles de pharmacologie de sécurité et de toxicité relatives aux immunoglobulines. CUVITRU était bien toléré localement en cas de perfusion par voie sous-cutanée chez l'animal. Les études de toxicologie en administration répétée et des fonctions de reproduction chez l'animal sont irréalisables en raison de l'induction du développement d'anticorps aux protéines hétérologues, à l'origine d'interférences.
  • +Cancérogénicité
  • +Les études de cancérogénicité n'ont pas été réalisées. Un test de mutagénicité in vitro (test AMES) n'a révélé aucune preuve de mutagénicité pour une solution d'IgG, 10 % pour administration intraveineuse.
  • -IncompatibilitéL'administration de CUVITRU avec d'autres médicaments n'est pas recommandée.
  • -En labsence détudes de compatibilité, ce médicament ne doit pas être mélangé avec dautres médicaments.
  • +Incompatibilités
  • +L'administration de CUVITRU avec d'autres médicaments n'est pas recommandée.
  • +En l'absence d'études de compatibilité, ce médicament ne doit pas être mélangé avec d'autres médicaments.
  • -Influence sur les méthodes de diagnostics
  • +Influence sur les méthodes de diagnostic
  • -La transmission passive d'anticorps contre les antigènes de surface érythrocytaires (p. ex. A, B, D) peut interférer avec certains tests sérologiques portant sur les anticorps anti-érythrocytaires tels que le test direct à l'antiglobuline (TDA, test direct de Coombs).
  • +La transmission passive d'anticorps contre les antigènes de surface érythrocytaires (p.ex. A, B, D) peut interférer avec certains tests sérologiques portant sur les anticorps anti-érythrocytaires tels que le test direct à l'antiglobuline (TDA, test direct de Coombs).
  • -StabilitéCUVITRU est stable jusqu’à la date de péremption rapportée sur l’emballage en face de la mention «EXP».
  • -Une fois ouvert, la préparation doit être utilisée immédiatement.
  • +Stabilité
  • +Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l'emballage.Une fois ouvert, la préparation doit être utilisée immédiatement.
  • -Remarques concernant le stockage
  • -Ne pas conserver audessus de 25°C. Ne pas congeler.
  • -Conserver dans lemballage original afin de protéger le contenu de la lumière.
  • +Remarques particulières concernant le stockage
  • +Ne pas conserver au-dessus de 25°C. Ne pas congeler.
  • +Conserver dans l'emballage original afin de protéger le contenu de la lumière.
  • -Si le produit est conservé au réfrigérateur, les flacons non ouverts doivent être placés à température ambiante pendant 90 minutes minimum avant utilisation et conservés à température ambiante pendant l'administration. CUVITRU doit être inspecté visuellement pour les particules et la décoloration avant ladministration. Ne pas utiliser en présence de particules ou décoloration. CUVITRU ne doit pas être dilué.
  • -Ne pas utiliser dappareil pour réchauffer, dont un four à micro-ondes.
  • +Si le produit est conservé au réfrigérateur, les flacons non ouverts doivent être placés à température ambiante pendant 90 minutes minimum avant utilisation et conservés à température ambiante pendant l'administration. CUVITRU doit être inspecté visuellement pour les particules et la décoloration avant l'administration. Ne pas utiliser en présence de particules ou décoloration. CUVITRU ne doit pas être dilué.
  • +Ne pas utiliser d'appareil pour réchauffer, dont un four à micro-ondes.
  • -Juillet 2017
  • +Juin 2021
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