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Accueil - Information professionnelle sur Seasonique 150mcg/30mcg und 10mcg - Changements - 07.03.2019
111 Changements de l'information professionelle Seasonique 150mcg/30mcg und 10mcg
  • -Les comprimés pelliculés doivent être pris tous les jours si possible à la même heure, de préférence avec du liquide, dans l'ordre indiqué sur l'emballage.
  • +Les comprimés pelliculés doivent être pris tous les jours si possible à la même heure, de préférence avec du liquide, dans l'ordre indiqué sur lemballage.
  • -Lors du remplacement d'un patch transdermique ou d'un anneau vaginal, la prise de Seasonique commence de préférence le jour de leur retrait ou au plus tard au moment où la prochaine application du patch ou de l'anneau vaginal aurait été prévue.
  • +Lors du remplacement d'un patch transdermique ou d'un anneau vaginal, la prise de Seasonique commence de préférence le jour de leur retrait ou au plus tard au moment où la prochaine application du patch ou de lanneau vaginal aurait été prévue.
  • -Le remplacement de la minipilule peut se faire un jour quelconque, celui d'un implant ou d'un DIU délivrant un progestatif au plus tôt le jour de leur retrait et celui d'une préparation injectable au moment où la prochaine injection devrait être faite. Dans tous ces cas, il faut utiliser d'autres méthodes contraceptives non hormonales (méthode contraceptive barrière) pendant les 7 premiers jours de prise.
  • +Le remplacement de la minipilule peut se faire un jour quelconque, celui d'un implant ou dun DIU délivrant un progestatif au plus tôt le jour de leur retrait et celui d'une préparation injectable au moment où la prochaine injection devrait être faite. Dans tous ces cas, il faut utiliser d'autres méthodes contraceptives non hormonales (méthode contraceptive barrière) pendant les 7 premiers jours de prise.
  • -Dans tous les cas, après un accouchement ou un avortement au 2e trimestre de grossesse, l'utilisation de Seasonique doit débuter au plus tôt entre le 21e et le 28e jour. Si le traitement débute plus tard, il est recommandé d'appliquer des méthodes contraceptives supplémentaires non hormonales durant les 7 premiers jours de l'utilisation.
  • +Dans tous les cas, après un accouchement ou un avortement au 2e trimestre de grossesse, lutilisation de Seasonique doit débuter au plus tôt entre le 21e et le 28e jour. Si le traitement débute plus tard, il est recommandé d'appliquer des méthodes contraceptives supplémentaires non hormonales durant les 7 premiers jours de lutilisation.
  • -En outre, il faut interrompre la prise des comprimés pelliculés roses et prendre les comprimés pelliculés blancs contenant de l'éthinylestradiol afin de provoquer une hémorragie de privation. A la suite de quoi, l'on pourra commencer un nouvel emballage de Seasonique.
  • +En outre, il faut interrompre la prise des comprimés pelliculés roses et prendre les comprimés pelliculés blancs contenant de l'éthinylestradiol afin de provoquer une hémorragie de privation. A la suite de quoi, l'on pourra commencer un nouvel emballage de Seasonique.
  • -Le comprimé pelliculé blanc oublié ne sera pas pris et les comprimés restants seront pris comme d'habitude jusqu'à la fin de la plaquette. Il ne sera pas nécessaire de prendre des mesures contraceptives supplémentaires.
  • +Le comprimé pelliculé blanc oublié ne sera pas pris et les comprimés restants seront pris comme dhabitude jusqu'à la fin de la plaquette. Il ne sera pas nécessaire de prendre des mesures contraceptives supplémentaires.
  • -Patientes âgées: il n'existe pas d'indication chez les femmes après la ménopause.
  • -Insuffisance rénale: Seasonique n'a pas été étudié chez les femmes atteintes d'insuffisance rénale. En conséquence, aucune recommandation posologique spéciale n'est possible.
  • -Insuffisance hépatique: Seasonique n'a pas été étudié chez les femmes atteintes d'insuffisance hépatique. Son utilisation est contre-indiquée en cas d'insuffisance hépatique sévère.
  • +Patientes âgées: il nexiste pas dindication chez les femmes après la ménopause.
  • +Insuffisance rénale: Seasonique n'a pas été étudié chez les femmes atteintes d'insuffisance rénale. En conséquence, aucune recommandation posologique spéciale nest possible.
  • +Insuffisance hépatique: Seasonique n'a pas été étudié chez les femmes atteintes d'insuffisance hépatique. Son utilisation est contre-indiquée en cas dinsuffisance hépatique sévère.
  • -·thromboembolie veineuse – présence de TEV (aussi sous traitement par des anticoagulants) ou antécédents de TEV (par ex. thrombose veineuse profonde ou embolie pulmonaire)
  • -·facteurs de risque majeurs de thromboembolie veineuse tels qu'une prédisposition héréditaire ou acquise pour les accidents thromboemboliques veineux, comme par ex. une résistance à la protéine C activée (PCa) (y compris une mutation du facteur V de Leiden), un déficit en antithrombine III, un déficit en protéine C ou un déficit en protéine S
  • -·présence simultanée de multiples facteurs de risque de thromboembolie veineuse, selon la rubrique «Mises en garde et précautions»
  • +othromboembolie veineuse – présence de TEV (aussi sous traitement par des anticoagulants) ou antécédents de TEV (par ex. thrombose veineuse profonde ou embolie pulmonaire)
  • +ofacteurs de risque majeurs de thromboembolie veineuse tels quune prédisposition héréditaire ou acquise pour les accidents thromboemboliques veineux, comme par ex. une résistance à la protéine C activée (PCa) (y compris une mutation du facteur V de Leiden), un déficit en antithrombine III, un déficit en protéine C ou un déficit en protéine S
  • +oprésence simultanée de multiples facteurs de risque de thromboembolie veineuse, selon la rubrique «Mises en garde et précautions»
  • -·présence ou antécédents de thromboembolie artérielle et ses prodromes (par ex. angine de poitrine, infarctus du myocarde, accident ischémique transitoire, accident vasculaire cérébral)
  • -·facteurs de risque majeurs de thromboembolie artérielle comme
  • -·diabète avec complications vasculaires
  • -·hypertension artérielle sévère
  • -·dyslipoprotéinémie sévère
  • -·migraine avec signes neurologiques focaux (également dans l'anamnèse)
  • -·prédisposition héréditaire ou acquise à la thromboembolie artérielle, telle qu'une hyperhomocystéinémie ou la présence d'anticorps anti-phospholipides (anticorps anti-cardiolipine, anticoagulant lupique)
  • -·présence simultanée de multiples facteurs de risque de thromboembolie artérielle, selon la rubrique «Mises en garde et précautions»
  • -·présence ou antécédent d'affection hépatique sévère, en l'absence de normalisation des tests fonctionnels hépatiques
  • +oprésence ou antécédents de thromboembolie artérielle et ses prodromes (par ex. angine de poitrine, infarctus du myocarde, accident ischémique transitoire, accident vasculaire cérébral)
  • +ofacteurs de risque majeurs de thromboembolie artérielle comme
  • +diabète avec complications vasculaires
  • +hypertension artérielle sévère
  • +dyslipoprotéinémie sévère
  • +migraine avec signes neurologiques focaux (également dans lanamnèse)
  • +prédisposition héréditaire ou acquise à la thromboembolie artérielle, telle quune hyperhomocystéinémie ou la présence danticorps anti-phospholipides (anticorps anti-cardiolipine, anticoagulant lupique)
  • +oprésence simultanée de multiples facteurs de risque de thromboembolie artérielle, selon la rubrique «Mises en garde et précautions»
  • +·présence ou antécédent daffection hépatique sévère, en labsence de normalisation des tests fonctionnels hépatiques
  • -·utilisation concomitante de l'association de principes actifs ombitasvir/paritaprévir/ritonavir (médicament pour le traitement de l'hépatite C). L'utilisation peut être reprise au plus tôt 2 semaines après l'arrêt de ces principes actifs (voir « Mises en garde et précautions » et «Interactions»)
  • +·utilisation concomitante de l'association de principes actifs ombitasvir/paritaprévir/ritonavir (médicament pour le traitement de l'hépatite C). L'utilisation peut être reprise au plus tôt 2 semaines après l'arrêt de ces principes actifs (voir « Mises en garde et précautions » et « Interactions »)
  • -·saignements vaginaux d'origine inconnue
  • +·saignements vaginaux dorigine inconnue
  • -·hypersensibilité aux principes actifs ou à l'un des excipients de Seasonique.
  • +·hypersensibilité aux principes actifs ou à lun des excipients de Seasonique.
  • -Avant d'opter pour l'utilisation d'un CHC tel que Seasonique, les bénéfices associés à son utilisation doivent être évalués par rapport aux maladies/risques détaillés ci-dessous. Le degré de gravité de chaque facteur individuel ainsi que la présence concomitante de plusieurs facteurs de risque doivent être pris en compte et discutés avec la patiente (cf. également «Contre-indications»). La patiente doit en outre être invitée à lire attentivement la notice d'emballage et à suivre les conseils qui y figurent.
  • +Avant dopter pour lutilisation dun CHC tel que Seasonique, les bénéfices associés à son utilisation doivent être évalués par rapport aux maladies/risques détaillés ci-dessous. Le degré de gravité de chaque facteur individuel ainsi que la présence concomitante de plusieurs facteurs de risque doivent être pris en compte et discutés avec la patiente (cf. également «Contre-indications»). La patiente doit en outre être invitée à lire attentivement la notice d'emballage et à suivre les conseils qui y figurent.
  • -·Le risque de TEV associé à l'utilisation de Seasonique.
  • +·Le risque de TEV associé à lutilisation de Seasonique.
  • -Environ 2 femmes sur 10'000 n'utilisant pas de CHC et qui ne sont pas enceintes développeront une TEV au cours d'une année. Le risque peut toutefois être considérablement plus élevé, selon les facteurs de risque individuels (voir ci-dessous).
  • -A partir des données épidémiologiques, il est possible d'estimer que 5 à 7 femmes sur 10'000 utilisant un CHC conventionnel contenant du lévonorgestrel (c'est-à-dire en cycles de 28 jours comprenant une pause de 4 à 7 jours) développeront une TEV au cours d'une année.
  • -Toutefois, on a relevé un taux d'incidence plus élevé avec d'autres CHC, selon le type de progestatif entrant dans la composition (jusqu'à 12 cas pour 10'000 années-femmes). On ne dispose pas de données relatives à l'utilisation en cycle prolongé de CHC à base de lévonorgestrel.
  • +Environ 2 femmes sur 10000 n'utilisant pas de CHC et qui ne sont pas enceintes développeront une TEV au cours d'une année. Le risque peut toutefois être considérablement plus élevé, selon les facteurs de risque individuels (voir ci-dessous).
  • +A partir des données épidémiologiques, il est possible d'estimer que 5 à 7 femmes sur 10'000 utilisant un CHC conventionnel contenant du lévonorgestrel (cest-à-dire en cycles de 28 jours comprenant une pause de 4 à 7 jours) développeront une TEV au cours d'une année.
  • +Toutefois, on a relevé un taux dincidence plus élevé avec dautres CHC, selon le type de progestatif entrant dans la composition (jusqu'à 12 cas pour 10000 années-femmes). On ne dispose pas de données relatives à lutilisation en cycle prolongé de CHC à base de lévonorgestrel.
  • -Antécédents familiaux (chaque thromboembolie veineuse survenue dans la fratrie ou chez un parent, en particulier à un âge relativement jeune, par ex. avant 50 ans) En cas de prédisposition héréditaire suspectée, la femme devra être adressée à un spécialiste pour avis avant toute décision concernant l'utilisation de Seasonique. Si l'examen révèle une thrombophilie, l'utilisation de Seasonique est contre-indiquée.
  • +Antécédents familiaux (chaque thromboembolie veineuse survenue dans la fratrie ou chez un parent, en particulier à un âge relativement jeune, par ex. avant 50 ans) En cas de prédisposition héréditaire suspectée, la femme devra être adressée à un spécialiste pour avis avant toute décision concernant l'utilisation de Seasonique. Si l'examen révèle une thrombophilie, l'utilisation de Seasonique est contre-indiquée.
  • -·gonflement unilatéral d'une jambe ou le long d'une veine de la jambe;
  • -·sensation de tension ou douleur à une jambe, même si elle n'est ressentie qu'en position debout ou en marchant;
  • -·sensation de chaleur, rougeur ou changement de la coloration cutanée de la jambe affectée.
  • +ogonflement unilatéral d'une jambe ou le long d'une veine de la jambe;
  • +osensation de tension ou douleur à une jambe, même si elle n'est ressentie qu'en position debout ou en marchant;
  • +osensation de chaleur, rougeur ou changement de la coloration cutanée de la jambe affectée.
  • -·difficulté respiratoire subite et inexpliquée, respiration rapide ou détresse respiratoire, intolérance à l'effort;
  • -·toux d'apparition soudaine, éventuellement accompagnée d'expectorations sanglantes;
  • -·douleur aiguë et soudaine dans la poitrine pouvant s'amplifier à la respiration profonde;
  • -·obnubilation sévère, vertiges ou sensation d'angoisse;
  • -·tachycardie ou arythmie.
  • +odifficulté respiratoire subite et inexpliquée, respiration rapide ou détresse respiratoire, intolérance à l'effort;
  • +otoux d'apparition soudaine, éventuellement accompagnée d'expectorations sanglantes;
  • +odouleur aiguë et soudaine dans la poitrine pouvant s'amplifier à la respiration profonde;
  • +oobnubilation sévère, vertiges ou sensation d'angoisse;
  • +otachycardie ou arythmie.
  • -Le risque d'accident cérébrovasculaire ou d'autres complications thromboemboliques artérielles augmente chez les utilisatrices de CHC avec la présence de facteurs de risque (voir tableau). Lors de l'évaluation du rapport bénéfices/risques, il est important de prendre en considération l'augmentation particulière du risque d'accident thromboembolique artériel en présence de plusieurs facteurs de risques concomitants, augmentation qui peut être supérieure à la seule somme des risques pris individuellement. Dans ce cas, le risque global de TEA doit être pris en compte. Seasonique est contre-indiqué chez les femmes présentant un facteur de risque sévère ou de multiples facteurs de risque de TEA qui les exposent à un risque élevé de thrombose artérielle.
  • +Le risque d'accident cérébrovasculaire ou dautres complications thromboemboliques artérielles augmente chez les utilisatrices de CHC avec la présence de facteurs de risque (voir tableau). Lors de l'évaluation du rapport bénéfices/risques, il est important de prendre en considération l'augmentation particulière du risque d'accident thromboembolique artériel en présence de plusieurs facteurs de risques concomitants, augmentation qui peut être supérieure à la seule somme des risques pris individuellement. Dans ce cas, le risque global de TEA doit être pris en compte. Seasonique est contre-indiqué chez les femmes présentant un facteur de risque sévère ou de multiples facteurs de risque de TEA qui les exposent à un risque élevé de thrombose artérielle.
  • -Obésité (indice de masse corporelle supérieur à 30 kg/m2) L'augmentation de l'IMC accroît considérablement le risque. Ceci est particulièrement important à prendre en compte chez les femmes présentant d'autres facteurs de risque.
  • +Obésité (indice de masse corporelle supérieur à 30 kg/m2) L'augmentation de l'IMC accroît considérablement le risque. Ceci est particulièrement important à prendre en compte chez les femmes présentant dautres facteurs de risque.
  • -·perte soudaine de sensibilité ou de force au niveau du visage, d'un bras ou d'une jambe, touchant notamment une moitié du corps;
  • -·confusion soudaine;
  • -·élocution incompréhensible ou difficulté de compréhension;
  • -·troubles subits de la vision d'un ou des deux yeux;
  • -·troubles subits de la marche;
  • -·vertiges;
  • -·troubles de l'équilibre ou de la coordination;
  • -·céphalées soudaines et sévères, ou de durée inhabituelle, de cause inconnue;
  • -·perte de connaissance ou évanouissement avec ou sans épisode convulsif.
  • +operte soudaine de sensibilité ou de force au niveau du visage, d'un bras ou d'une jambe, touchant notamment une moitié du corps;
  • +oconfusion soudaine;
  • +oélocution incompréhensible ou difficulté de compréhension;
  • +otroubles subits de la vision d'un ou des deux yeux;
  • +otroubles subits de la marche;
  • +overtiges;
  • +otroubles de l'équilibre ou de la coordination;
  • +océphalées soudaines et sévères, ou de durée inhabituelle, de cause inconnue;
  • +operte de connaissance ou évanouissement avec ou sans épisode convulsif.
  • -·douleurs, malaise, sensation de pression, sensation de pesanteur, sensation de serrement ou de tension dans la poitrine, le bras ou derrière le sternum;
  • -·douleurs irradiant dans le dos, la mâchoire, le cou, le bras ou l'estomac;
  • -·sensation de réplétion, troubles gastriques ou réflexe nauséeux;
  • -·sueurs, nausées, vomissements ou vertiges;
  • -·sensation de grande faiblesse, d'angoisse ou essoufflement;
  • -·tachycardie ou arythmies.
  • +odouleurs, malaise, sensation de pression, sensation de pesanteur, sensation de serrement ou de tension dans la poitrine, le bras ou derrière le sternum;
  • +odouleurs irradiant dans le dos, la mâchoire, le cou, le bras ou l'estomac;
  • +osensation de réplétion, troubles gastriques ou réflexe nauséeux;
  • +osueurs, nausées, vomissements ou vertiges;
  • +osensation de grande faiblesse, d'angoisse ou essoufflement;
  • +otachycardie ou arythmies.
  • -·douleur soudaine, tuméfaction ou cyanose discrète d'une extrémité;
  • -·abdomen aigu.
  • +odouleur soudaine, tuméfaction ou cyanose discrète d'une extrémité;
  • +oabdomen aigu.
  • -Le schéma posologique de 91 jours permet de retarder les règles. Ceci entraîne chez quelques utilisatrices la survenue plus fréquente de spotting ou de saignements intermenstruels, surtout pendant les premiers mois d'utilisation. Il n'est pas possible de prévoir la survenue de ce type de saignements. Seule l'hémorragie de privation de nature hormonale, devant se produire pendant resp. juste après la prise des comprimés pelliculés blancs à base d'éthinylestradiol, peut être programmée.
  • -A l'inverse, il convient d'informer l'utilisatrice de la survenue possible d'une aménorrhée durant l'utilisation de Seasonique (voir plus bas).
  • -Avec tous les CHC, des saignements irréguliers (spottings ou saignements intermenstruels) peuvent survenir, en particulier pendant les premiers mois d'utilisation. C'est pourquoi un bilan diagnostique visant à rechercher la cause de saignements irréguliers ne se justifie qu'après une période d'adaptation de 3 mois environ.
  • +Le schéma posologique de 91 jours permet de retarder les règles. Ceci entraîne chez quelques utilisatrices la survenue plus fréquente de spotting ou de saignements intermenstruels, surtout pendant les premiers mois dutilisation. Il nest pas possible de prévoir la survenue de ce type de saignements. Seule lhémorragie de privation de nature hormonale, devant se produire pendant resp. juste après la prise des comprimés pelliculés blancs à base déthinylestradiol, peut être programmée.
  • +A linverse, il convient dinformer lutilisatrice de la survenue possible dune aménorrhée durant lutilisation de Seasonique (voir plus bas).
  • +Avec tous les CHC, des saignements irréguliers (spottings ou saignements intermenstruels) peuvent survenir, en particulier pendant les premiers mois dutilisation. C'est pourquoi un bilan diagnostique visant à rechercher la cause de saignements irréguliers ne se justifie qu'après une période d'adaptation de 3 mois environ.
  • -Dans les essais cliniques de Seasonique, les hémorragies de privation ont été relativement constantes avec le temps, durant en moyenne 3 jours par cycle de 91 jours. Les saignements intermédiaires (y compris spotting) ont été observés surtout pendant le premier cycle d'utilisation de 91 jours et leur fréquence a diminué lors des cycles suivants (voir aussi «Propriétés/Effets»).
  • -Chez quelques utilisatrices, l'hémorragie de privation peut ne pas apparaître durant la prise des comprimés pelliculés blancs à base d'éthinylestradiol. Une grossesse est peu probable si le CHC a été pris conformément aux recommandations de la rubrique «Posologie/Mode d'emploi». Il convient d'exclure une éventuelle grossesse avant de continuer le traitement si le CHC n'a pas été pris conformément aux recommandations avant la première absence d'une hémorragie de privation ou en cas d'absence de deux hémorragies de privation.
  • +Dans les essais cliniques de Seasonique, les hémorragies de privation ont été relativement constantes avec le temps, durant en moyenne 3 jours par cycle de 91 jours. Les saignements intermédiaires (y compris spotting) ont été observés surtout pendant le premier cycle dutilisation de 91 jours et leur fréquence a diminué lors des cycles suivants (voir aussi «Propriétés/Effets»).
  • +Chez quelques utilisatrices, l'hémorragie de privation peut ne pas apparaître durant la prise des comprimés pelliculés blancs à base déthinylestradiol. Une grossesse est peu probable si le CHC a été pris conformément aux recommandations de la rubrique «Posologie/Mode demploi». Il convient d'exclure une éventuelle grossesse avant de continuer le traitement si le CHC n'a pas été pris conformément aux recommandations avant la première absence d'une hémorragie de privation ou en cas d'absence de deux hémorragies de privation.
  • -L'utilisation de CHC peut entraîner une diminution de la tolérance au glucose. Les femmes diabétiques et celles ayant une tolérance au glucose réduite doivent donc toutes être attentivement surveillées lors de l'utilisation d'un CHC. Il n'existe en général aucune raison d'adapter le traitement antidiabétique.
  • +L'utilisation de CHC peut entraîner une diminution de la tolérance au glucose. Les femmes diabétiques et celles ayant une tolérance au glucose réduite doivent donc toutes être attentivement surveillées lors de l'utilisation d'un CHC. Il n'existe en général aucune raison dadapter le traitement antidiabétique.
  • -Chez les patientes atteintes d'hépatite C et utilisant un CHC à base d'éthinylestradiol, une augmentation significativement plus fréquente de l'ALT (y compris les cas d'une augmentation de plus du quintuple, dans des cas isolés de plus de 20 fois la limite supérieure de la normale), que chez les patientes uniquement traitées par des principes actifs antiviraux a été observée lors de l'utilisation de l'association des principes actifs ombitasvir/paritaprévir/ritonavir dans le traitement des infections à VHC (voir «Interactions»). Par conséquent, Seasonique doit être arrêté avant l'instauration d'un traitement par cette association de principes actifs. À condition que les paramètres hépatiques soient normaux, l'utilisation de Seasonique peut être reprise au plus tôt 2 semaines, mieux encore 4 semaines, après l'arrêt de l'association des principes actifs ombitasvir/paritaprévir/ritonavir. Ce faisant, il faut tenir compte du fait que l'efficacité du CHC peut encore être entravée en cas d'intervalle de moins de 4 semaines en raison des propriétés d'inducteur enzymatique du ritonavir et, par conséquent, une méthode barrière supplémentaire doit être utilisée (voir rubrique «Interactions/Inducteurs enzymatiques»). Cette précaution s'impose particulièrement si l'association ombitasvir/paritaprévir/ritonavir est utilisée conjointement avec la ribavirine, un principe actif potentiellement tératogène.
  • -De même, des cas d'augmentation de l'ALT ont été observés de façon accrue lors de l'utilisation simultanée de l'association de principes actifs glécaprévir/pibrentasvir avec des CHC contenant de l'éthinylestradiol. Par conséquent, lors de l'utilisation de cette association de principes actifs, Seasonique doit être arrêté de manière temporaire.
  • +Chez les patientes atteintes d'hépatite C et utilisant un CHC à base d'éthinylestradiol, une augmentation significativement plus fréquente de l'ALT (y compris les cas d'une augmentation de plus du quintuple, dans des cas isolés de plus de 20 fois la limite supérieure de la normale), que chez les patientes uniquement traitées par des principes actifs antiviraux a été observée lors de l'utilisation de l'association des principes actifs ombitasvir/paritaprévir/ritonavir dans le traitement des infections à VHC (voir «Interactions»). Par conséquent, Seasonique doit être arrêté avant l'instauration d'un traitement par cette association de principes actifs. À condition que les paramètres hépatiques soient normaux, l'utilisation de Seasonique peut être reprise au plus tôt 2 semaines, mieux encore 4 semaines, après l'arrêt de l'association des principes actifs ombitasvir/paritaprévir/ritonavir. Ce faisant, il faut tenir compte du fait que l'efficacité du CHC peut encore être entravée en cas d'intervalle de moins de 4 semaines en raison des propriétés dinducteur enzymatique du ritonavir et, par conséquent, une méthode barrière supplémentaire doit être utilisée (voir rubrique «Interactions/Inducteurs enzymatiques»). Cette précaution simpose particulièrement si lassociation ombitasvir/paritaprévir/ritonavir est utilisée conjointement avec la ribavirine, un principe actif potentiellement tératogène.
  • +De même, des cas daugmentation de lALT ont été observés de façon accrue lors de lutilisation simultanée de lassociation de principes actifs glécaprévir/pibrentasvir avec des CHC contenant de léthinylestradiol. Par conséquent, lors de lutilisation de cette association de principes actifs, Seasonique doit être arrêté de manière temporaire.
  • -Les estrogènes peuvent augmenter la lithogénicité de la bile. Plusieurs études épidémiologiques ont montré un risque accru d'affections de la vésicule biliaire (p.ex. cholélithiase, cholécystite; y compris la nécessité d'une cholécystectomie) lors de l'utilisation de contraceptifs hormonaux combinés.
  • +Les estrogènes peuvent augmenter la lithogénicité de la bile. Plusieurs études épidémiologiques ont montré un risque accru d'affections de la vésicule biliaire (p.ex. cholélithiase, cholécystite ; y compris la nécessité d'une cholécystectomie) lors de l'utilisation de contraceptifs hormonaux combinés.
  • -Les affections suivantes peuvent survenir ou être aggravées pendant la grossesse ou l'utilisation d'un CHC, même si les données actuellement disponibles ne permettent pas d'imputer une relation de causalité claire avec l'utilisation d'un CHC: ictère et/ou prurit cholestatique; porphyrie; lupus érythémateux disséminé; syndrome hémolytique et urémique; chorée mineure; herpes gestationis; surdité due à une otosclérose. L'utilisation de CHC a en outre été associée à des cas de maladie de Crohn et de colite ulcéreuse.
  • +Les affections suivantes peuvent survenir ou être aggravées pendant la grossesse ou l'utilisation d'un CHC, même si les données actuellement disponibles ne permettent pas d'imputer une relation de causalité claire avec l'utilisation d'un CHC: ictère et/ou prurit cholestatique; porphyrie; lupus érythémateux disséminé; syndrome hémolytique et urémique; chorée mineure; herpes gestationis; surdité due à une otosclérose. L'utilisation de CHC a en outre été associée à des cas de maladie de Crohn et de colite ulcéreuse.
  • -Par conséquent, les patientes présentant une hypersensibilité aux colorants azoïques, à l'acide acétylsalicylique ainsi qu'à d'autres inhibiteurs des prostaglandines doivent utiliser Seasonique avec précautions.
  • +Par conséquent, les patientes présentant une hypersensibilité aux colorants azoïques, à l'acide acétylsalicylique ainsi qu'à dautres inhibiteurs des prostaglandines doivent utiliser Seasonique avec précautions.
  • -Les inhibiteurs des protéases en particulier, tels que le ritonavir, l'amprénavir ou le nelfinavir (y compris leurs associations) sont connus comme étant des inhibiteurs puissants du CYP3A4, mais en cas de co-administration avec des hormones stéroïdiennes, ils peuvent entraîner une induction enzymatique et provoquer une baisse des concentrations plasmatiques en estrogènes et progestatifs.
  • +Les inhibiteurs des protéases en particulier, tels que le ritonavir, lamprénavir ou le nelfinavir (y compris leurs associations) sont connus comme étant des inhibiteurs puissants du CYP3A4, mais en cas de co-administration avec des hormones stéroïdiennes, ils peuvent entraîner une induction enzymatique et provoquer une baisse des concentrations plasmatiques en estrogènes et progestatifs.
  • -Lorsqu'elles étaient administrées en même temps qu'un contraceptif hormonal combiné contenant 0,035 mg d'éthinylestradiol, des doses d'étoricoxib comprises entre 60 et 120 mg/jour ont entraîné une multiplication des concentrations plasmatiques d'éthinylestradiol par un facteur situé entre 1,4 et 1,6. La pertinence clinique de ces modifications n'est pas connue. Toutefois, il faudra tenir compte de cette interaction lors du choix d'un contraceptif (c'est-à-dire pour la détermination de la dose d'estrogène).
  • +Lorsqu'elles étaient administrées en même temps qu'un contraceptif hormonal combiné contenant 0,035 mg d'éthinylestradiol, des doses d'étoricoxib comprises entre 60 et 120 mg/jour ont entraîné une multiplication des concentrations plasmatiques d'éthinylestradiol par un facteur situé entre 1,4 et 1,6. La pertinence clinique de ces modifications n'est pas connue. Toutefois, il faudra tenir compte de cette interaction lors du choix dun contraceptif (cest-à-dire pour la détermination de la dose destrogène).
  • -Il faudra éventuellement augmenter la dose d'hormone thyroïdienne chez les femmes suivant une thérapie de substitution des hormones thyroïdiennes, car la concentration de la globuline fixant la thyroxine est augmentée lors de l'utilisation d'un CHC.
  • +Il faudra éventuellement augmenter la dose dhormone thyroïdienne chez les femmes suivant une thérapie de substitution des hormones thyroïdiennes, car la concentration de la globuline fixant la thyroxine est augmentée lors de lutilisation dun CHC.
  • -Dans les études cliniques, une augmentation de l'ALT (y compris des cas d'augmentation à plus de 5 fois la limite supérieure de la normale, dans des cas isolés à plus de 20 fois la limite supérieure de la normale [LSN]) a été observée significativement plus souvent lors de l'utilisation concomitante de CHC contenant de l'éthinylestradiol et de l'association de principes actifs ombitasvir/paritaprévir/ritonavir utilisée dans le traitement des infections à VHC, que chez les patientes qui avaient été traitées exclusivement avec des principes actifs antiviraux. La prise de Seasonique doit donc être arrêtée avant l'instauration d'un traitement avec cette association d'antiviraux (voir également «Mises en garde et précautions»).
  • -De même, une augmentation de l'ALT a été observée de façon accrue lors de l'utilisation simultanée de l'association de principes actifs glécaprévir/pibrentasvir avec des CHC contenant de l'éthinylestradiol; ainsi la prise de Seasonique doit également être arrêtée avant l'instauration d'un traitement avec cette association d'anti-VHC (voir «Contre-Indications»).
  • +Dans les études cliniques, une augmentation de lALT (y compris des cas d'augmentation à plus de 5 fois la limite supérieure de la normale, dans des cas isolés à plus de 20 fois la limite supérieure de la normale [LSN]) a été observée significativement plus souvent lors de l'utilisation concomitante de CHC contenant de l'éthinylestradiol et de l'association de principes actifs ombitasvir/paritaprévir/ritonavir utilisée dans le traitement des infections à VHC, que chez les patientes qui avaient été traitées exclusivement avec des principes actifs antiviraux. La prise de Seasonique doit donc être arrêtée avant l'instauration d'un traitement avec cette association d'antiviraux (voir également «Mises en garde et précautions»).
  • +De même, une augmentation de lALT a été observée de façon accrue lors de lutilisation simultanée de lassociation de principes actifs glécaprévir/pibrentasvir avec des CHC contenant de léthinylestradiol ; ainsi la prise de Seasonique doit également être arrêtée avant l'instauration d'un traitement avec cette association d'anti-VHC (voir «Contre-Indications»).
  • -Des études expérimentales animales suggèrent des risques pour le foetus (voir «Données précliniques»). La plupart des études épidémiologiques réalisées jusqu'ici n'ont toutefois pas indiqué d'effet embryotoxique ou tératogène lors de l'utilisation accidentelle d'associations d'estrogènes et de progestatifs pendant la grossesse.
  • +Des études expérimentales animales suggèrent des risques pour le foetus (voir «Données précliniques»). La plupart des études épidémiologiques réalisées jusqu'ici n'ont toutefois pas indiqué deffet embryotoxique ou tératogène lors de l'utilisation accidentelle dassociations destrogènes et de progestatifs pendant la grossesse.
  • -La sécurité de Seasonique a été évaluée dans une étude pivot de 12 mois chez environ 1000 utilisatrices. En outre, on dispose de données de sécurité issues d'une étude justificative (comprenant 73 femmes sous Seasonique) ainsi que de données à long terme provenant de 59 patientes avec une durée d'utilisation allant jusqu'à 5 ans.
  • -L'effet le plus fréquemment observé au cours de l'utilisation de Seasonique dans le cadre d'études cliniques était une aménorrhée (20% après 3 cycles d'utilisation de 91 jours), considérée comme un résultat souhaitable par la plupart des utilisatrices.
  • -Les effets indésirables, au sens strict du terme, les plus fréquemment rapportés au cours des études étaient des saignements utérins irréguliers et/ou abondants, une prise de poids et de l'acné.
  • +La sécurité de Seasonique a été évaluée dans une étude pivot de 12 mois chez environ 1000 utilisatrices. En outre, on dispose de données de sécurité issues dune étude justificative (comprenant 73 femmes sous Seasonique) ainsi que de données à long terme provenant de 59 patientes avec une durée dutilisation allant jusquà 5 ans.
  • +Leffet le plus fréquemment observé au cours de lutilisation de Seasonique dans le cadre détudes cliniques était une aménorrhée (20% après 3 cycles dutilisation de 91 jours), considérée comme un résultat souhaitable par la plupart des utilisatrices.
  • +Les effets indésirables, au sens strict du terme, les plus fréquemment rapportés au cours des études étaient des saignements utérins irréguliers et/ou abondants, une prise de poids et de lacné.
  • -Fréquence indéterminée: réactions d'hypersensibilité.
  • +Fréquence indéterminée: réactions dhypersensibilité.
  • -Occasionnel: augmentation de l'appétit, anorexie, perte de poids, augmentation des lipides sanguins, rétention de liquide, résistance à l'insuline, diabète sucré.
  • +Occasionnel: augmentation de lappétit, anorexie, perte de poids, augmentation des lipides sanguins, rétention de liquide, résistance à linsuline, diabète sucré.
  • -Fréquent: fluctuations de l'humeur, dépression, diminution de la libido, anxiété.
  • -Occasionnel: irritabilité, aggravation d'une dépression, humeur dépressive, labilité émotionnelle, anomalies de l'orgasme, détresse émotionnelle, paranoïa.
  • +Fréquent: fluctuations de lhumeur, dépression, diminution de la libido, anxiété.
  • +Occasionnel: irritabilité, aggravation dune dépression, humeur dépressive, labilité émotionnelle, anomalies de lorgasme, détresse émotionnelle, paranoïa.
  • -Troubles généraux et anomalies au site d'administration
  • +Troubles généraux et anomalies au site dadministration
  • -Aucun effet indésirable grave n'a été rapporté suite à un surdosage. Les symptômes d'un surdosage peuvent être: nausées, vomissements et chez les jeunes filles, légers saignements vaginaux. Le traitement éventuel doit être symptomatique.
  • +Aucun effet indésirable grave na été rapporté suite à un surdosage. Les symptômes dun surdosage peuvent être: nausées, vomissements et chez les jeunes filles, légers saignements vaginaux. Le traitement éventuel doit être symptomatique.
  • -Seasonique est un contraceptif oral à cycle prolongé sur 91 jours, qui réduit les hémorragies de privation planifiées à quatre épisodes par an. Il contient un estrogène, l'éthinylestradiol, et un progestatif, le lévonorgestrel. Cette association est utilisée pendant 84 jours consécutifs, suivis d'une monothérapie de 7 jours avec 0.01 mg d'éthinylestradiol.
  • -Mécanisme d'action
  • +Seasonique est un contraceptif oral à cycle prolongé sur 91 jours, qui réduit les hémorragies de privation planifiées à quatre épisodes par an. Il contient un estrogène, léthinylestradiol, et un progestatif, le lévonorgestrel. Cette association est utilisée pendant 84 jours consécutifs, suivis dune monothérapie de 7 jours avec 0.01 mg déthinylestradiol.
  • +Mécanisme daction
  • -Pendant les 7 derniers jours du cycle prolongé (jours 85 à 91), Seasonique contient 0.01 mg d'éthinylestradiol au lieu d'un placebo, afin de stabiliser le schéma de saignements.
  • +Pendant les 7 derniers jours du cycle prolongé (jours 85 à 91), Seasonique contient 0.01 mg déthinylestradiol au lieu dun placebo, afin de stabiliser le schéma de saignements.
  • -L'efficacité contraceptive de Seasonique a été évaluée dans une étude pivot chez environ 1000 utilisatrices. Les indices de Pearl ou Pearl Index (PI) mesurés sont les suivants:
  • +Lefficacité contraceptive de Seasonique a été évaluée dans une étude pivot chez environ 1000 utilisatrices. Les indices de Pearl ou Pearl Index (PI) mesurés sont les suivants:
  • -Echec de la méthode: 0,26 (limite supérieure de l'intervalle de confiance à 95%: 0,80)
  • -PI global (erreur d'utilisation et échec de la méthode): 0,76 (limite supérieure de l'intervalle de confiance à 95%: 1,76).
  • -Pour la totalité de la population de l'étude (âge allant de 18 à 40 ans):
  • -PI global (erreur d'utilisation et échec de la méthode): 0,67 (limite supérieure de l'intervalle de confiance à 95%: 1,56).
  • -L'influence d'une utilisation en cycle prolongé sur le schéma de saignements a été examinée dans l'étude pivot ainsi que dans une étude justificative supplémentaire chez un total d'environ 1000 utilisatrices. Par rapport à l'utilisation en cycle conventionnel, le nombre d'hémorragies de privation a été réduit à environ 3 jours de saignements par cycle de 91 jours.
  • -L'incidence des saignements intermédiaires (spotting et saignements intermenstruels) a toutefois augmenté par rapport à un schéma d'application conventionnel. Au total, 11,5% des utilisatrices ont signalé des saignements intermédiaires qui ont eu lieu dans 80% des cas durant les deux premiers mois d'utilisation. Ensuite, le nombre de saignements intermédiaires a diminué.
  • +Echec de la méthode: 0,26 (limite supérieure de lintervalle de confiance à 95%: 0,80)
  • +PI global (erreur dutilisation et échec de la méthode): 0,76 (limite supérieure de lintervalle de confiance à 95%: 1,76).
  • +Pour la totalité de la population de létude (âge allant de 18 à 40 ans):
  • +PI global (erreur dutilisation et échec de la méthode): 0,67 (limite supérieure de lintervalle de confiance à 95%: 1,56).
  • +Linfluence dune utilisation en cycle prolongé sur le schéma de saignements a été examinée dans létude pivot ainsi que dans une étude justificative supplémentaire chez un total denviron 1000 utilisatrices. Par rapport à lutilisation en cycle conventionnel, le nombre dhémorragies de privation a été réduit à environ 3 jours de saignements par cycle de 91 jours.
  • +Lincidence des saignements intermédiaires (spotting et saignements intermenstruels) a toutefois augmenté par rapport à un schéma dapplication conventionnel. Au total, 11,5% des utilisatrices ont signalé des saignements intermédiaires qui ont eu lieu dans 80% des cas durant les deux premiers mois dutilisation. Ensuite, le nombre de saignements intermédiaires a diminué.
  • -Après administration orale, l'éthinylestradiol est absorbé rapidement. La concentration plasmatique maximale est atteinte en l'espace de 2 heures après l'administration. La biodisponibilité absolue est seulement d'environ 43% en raison d'un métabolisme de premier passage.
  • -Pendant la prise ininterrompue de Seasonique, les taux sériques d'éthinylestradiol sont environ 1,6 fois plus élevés au jour 21, par comparaison au jour 1 du traitement.
  • -Après le 21e jour, on n'a relevé aucune accumulation supplémentaire.
  • +Après administration orale, l'éthinylestradiol est absorbé rapidement. La concentration plasmatique maximale est atteinte en lespace de 2 heures après ladministration. La biodisponibilité absolue est seulement denviron 43% en raison dun métabolisme de premier passage.
  • +Pendant la prise ininterrompue de Seasonique, les taux sériques déthinylestradiol sont environ 1,6 fois plus élevés au jour 21, par comparaison au jour 1 du traitement.
  • +Après le 21e jour, on na relevé aucune accumulation supplémentaire.
  • -Au niveau présystémique, l'éthinylestradiol est métabolisé aussi bien dans la muqueuse de l'intestin grêle que dans le foie (par le cytochrome CYP3A4 hépatique). Dans la muqueuse de l'intestin grêle, il est conjugué; dans le foie, il est décomposé par un métabolisme de phase I (principaux métabolites: 2-hydroxyéthinylestradiol et 2-méthoxyéthinylestradiol) et par conjugaison.
  • +Au niveau présystémique, l'éthinylestradiol est métabolisé aussi bien dans la muqueuse de l'intestin grêle que dans le foie (par le cytochrome CYP3A4 hépatique). Dans la muqueuse de l'intestin grêle, il est conjugué ; dans le foie, il est décomposé par un métabolisme de phase I (principaux métabolites: 2-hydroxyéthinylestradiol et 2-méthoxyéthinylestradiol) et par conjugaison.
  • -L'éthinylestradiol est uniquement éliminé sous forme de ses métabolites dans les selles et l'urine, dans un rapport de 6:4. Les conjugués d'acide glucuronique et de sulfate sont soumis à un cycle entérohépatique, d'où une élimination biphasique. La demi-vie d'élimination est d'environ 18 heures après l'administration d'une dose unique de Seasonique.
  • +Léthinylestradiol est uniquement éliminé sous forme de ses métabolites dans les selles et lurine, dans un rapport de 6:4. Les conjugués d'acide glucuronique et de sulfate sont soumis à un cycle entérohépatique, doù une élimination biphasique. La demi-vie délimination est denviron 18 heures après ladministration dune dose unique de Seasonique.
  • -Pendant la prise ininterrompue de Seasonique, les taux sériques de lévonorgestrel sont 3 fois plus élevés au jour 21, par comparaison au jour 1 du traitement. Après le 21e jour, on n'a relevé aucune accumulation supplémentaire.
  • +Pendant la prise ininterrompue de Seasonique, les taux sériques de lévonorgestrel sont 3 fois plus élevés au jour 21, par comparaison au jour 1 du traitement. Après le 21e jour, on na relevé aucune accumulation supplémentaire.
  • -Le lévonorgestrel se lie fortement aux protéines, principalement à la globuline liant les hormones sexuelles (SHBG) et à l'albumine sérique; seuls 1,3% de la concentration sérique totale se retrouvent sous forme de stéroïdes libres. L'augmentation de la concentration de SHBG induite par l'éthinylestradiol modifie le taux relatif de fixation aux protéines sériques du lévonorgestrel ce qui augmente la liaison à la SHBG et diminue la liaison à l'albumine ainsi que la fraction libre. Le volume de distribution est d'env. 129 litre.
  • +Le lévonorgestrel se lie fortement aux protéines, principalement à la globuline liant les hormones sexuelles (SHBG) et à lalbumine sérique; seuls 1,3% de la concentration sérique totale se retrouvent sous forme de stéroïdes libres. L'augmentation de la concentration de SHBG induite par l'éthinylestradiol modifie le taux relatif de fixation aux protéines sériques du lévonorgestrel ce qui augmente la liaison à la SHBG et diminue la liaison à l'albumine ainsi que la fraction libre. Le volume de distribution est d'env. 129 litre.
  • -Le lévonorgestrel est principalement éliminé sous forme de ses métabolites, à environ 45% dans l'urine et à environ 32% dans les selles. La demi-vie d'élimination est d'environ 34 heures après l'administration d'une dose unique de Seasonique.
  • +Le lévonorgestrel est principalement éliminé sous forme de ses métabolites, à environ 45 % dans lurine et à environ 32% dans les selles. La demi-vie délimination est denviron 34 heures après ladministration dune dose unique de Seasonique.
  • -On ne dispose pas de données sur la pharmacocinétique de l'éthinylestradiol ou du lévonorgestrel chez des patientes atteintes d'insuffisance hépatique ou rénale.
  • +On ne dispose pas de données sur la pharmacocinétique de léthinylestradiol ou du lévonorgestrel chez des patientes atteintes d'insuffisance hépatique ou rénale.
  • -Les études toxicologiques de reproduction chez le rat, la souris et le lapin n'ont montré aucun indice d'action tératogène. Voir la rubrique «Grossesse/Allaitement» pour les risques chez l'être humain.
  • +Les études toxicologiques de reproduction chez le rat, la souris et le lapin n'ont montré aucun indice d'action tératogène. Voir la rubrique « Grossesse/Allaitement » pour les risques chez l'être humain.
  • -Numéro dautorisation
  • +Numéro d'autorisation
  • -Titulaire de lautorisation
  • -Teva Pharma AG, Basel.
  • +Titulaire de l'autorisation
  • +Future Health Pharma GmbH, 8620 Wetzikon
  • -Numéro de version interne: 2.3
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