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Accueil - Information professionnelle sur Quetiapin XR Zentiva 50mg - Changements - 23.09.2021
54 Changements de l'information professionelle Quetiapin XR Zentiva 50mg
  • -Excipiens pro compresso obducto.
  • +Acidi methacrylici copolymerum A, Lactosum (50 mg: 14.21 mg; 150 mg: 42.63 mg; 200 mg: 56.84 mg; 300 mg: 85.26 mg, 400 mg: 113.68 mg), Maltosum monohydricum, Talcum, Magnesii stearas, Triethylis citras.
  • -Quetiapin XR Zentiva est indiqué pour le traitement adjuvant d'épisodes dépressifs chez des patients présentant un trouble dépressif majeur et ayant répondu de façon insuffisante à au moins une monothérapie d'antidépresseur, au sens d'une stratégie d'augmentation après un traitement antidépresseur administré selon les directives cliniques en vigueur (voir «Propriétés/Effets» ou «Mises en garde et précautions»). Avant de débuter le traitement, le médecin devra prendre en compte le profil de sécurité de Quetiapin XR Zentiva (voir «Effets indésirables»).
  • +Quetiapin XR Zentiva est indiqué pour le traitement adjuvant d'épisodes dépressifs chez des patients présentant un trouble dépressif majeur et ayant répondu de façon insuffisante à au moins une monothérapie d'antidépresseur, au sens d'une stratégie d'augmentation après un traitement antidépresseur administré selon les directives cliniques en vigueur (voir également «Propriétés/Effets» ou «Mises en garde et précautions»). Avant de débuter le traitement, le médecin devra prendre en compte le profil de sécurité de Quetiapin XR Zentiva (voir «Effets indésirables»).
  • -Quetiapin XR Zentiva doit être pris une fois par jour avant le coucher, selon un schéma de doses progressives: 50 mg (jour 1), 100 mg (jour 2), 200 mg (jour 3) et 300 mg (jour 4). L'effet antidépresseur a été évalué lors d'études menées avec les comprimés retard Quetiapin XR Zentiva à libération prolongée en dose de 300 mg ainsi qu'avec les comprimés pelliculés de quétiapine en doses de 300 et de 600 mg. Aucun bénéfice supplémentaire n'a été constaté avec les comprimés pelliculés de quétiapine de 600 mg.
  • +Quetiapin XR Zentiva doit être pris une fois par jour avant le coucher, selon un schéma de doses progressives: 50 mg (jour 1), 100 mg (jour 2), 200 mg (jour 3) et 300 mg (jour 4). L'effet antidépresseur a été évalué lors d'études menées avec les comprimés retard Quetiapin XR Zentiva en dose de 300 mg ainsi qu'avec les comprimés pelliculés de quétiapine en doses de 300 et de 600 mg. Aucun bénéfice supplémentaire n'a été constaté avec les comprimés pelliculés de quétiapine de 600 mg.
  • -En raison des propriétés d'allongement de QT du citalopram, l'association avec Quetiapin XR Zentiva est déconseillée.
  • +En raison des propriétés d'allongement de l'intervalle QT du citalopram, l'association avec Quetiapin XR Zentiva est déconseillée.
  • -Instructions spéciales pour la posologie
  • +Instructions posologiques particulières
  • -Quetiapin XR Zentiva n'est pas homologué pour le traitement des symptômes psychotiques ou des troubles du comportement chez les patients âgés souffrant de démence (voir «Mises en garde et précautions»). On ne dispose pas de données d'études sur l'utilisation chez les patients âgés de plus de 65 ans lors d'un épisode dépressif dans le cadre d'un trouble bipolaire (voir «Mises en garde et précautions»). Comme d'autres neuroleptiques et antidépresseurs, Quetiapin XR Zentiva devrait également être utilisé avec prudence chez les patients âgés, surtout au début du traitement. L'augmentation de la dose doit être faite plus lentement et les doses quotidiennes seront plus faibles que chez les patients plus jeunes, étant donné que la clairance plasmatique de la quétiapine est réduite chez les patients âgés (voir «Pharmacocinétique»). La dose initiale chez les patients âgés doit être de 50 mg par jour. Elle peut être augmentée par paliers de 50 mg par jour jusqu'à obtention de la dose efficace, laquelle dépendra de la réponse individuelle et de la tolérance du traitement.
  • +Quetiapin XR Zentiva n'est pas homologué pour le traitement des symptômes psychotiques ou des troubles du comportement chez les patients âgés souffrant de démence (voir «Mises en garde et précautions»). On ne dispose pas de données d'études sur l'utilisation chez les patients âgés de plus de 65 ans lors d'un épisode dépressif dans le cadre d'un trouble bipolaire (voir «Mises en garde et précautions»). Comme d'autres neuroleptiques et antidépresseurs, Quetiapin XR Zentiva doit être utilisé avec prudence chez les patients âgés, surtout au début du traitement. L'augmentation de la dose doit être faite plus lentement et les doses quotidiennes seront plus faibles que chez les patients plus jeunes, étant donné que la clairance plasmatique de la quétiapine est réduite chez les patients âgés (voir «Pharmacocinétique»). La dose initiale chez les patients âgés doit être de 50 mg par jour. Elle peut être augmentée par paliers de 50 mg par jour jusqu'à obtention de la dose efficace, laquelle dépendra de la réponse individuelle et de la tolérance du traitement.
  • -Lors du traitement par la quétiapine, des réactions médicamenteuses indésirables pouvant menacer le pronostic vital à type de réactions médicamenteuses cutanées sévères (SCAR), y compris syndrome de Stevens-Johnson (SJS), nécrolyse épidermique toxique (NET) et syndrome de réaction médicamenteuse avec éosinophilie et symptômes systémiques (DRESS) ont été signalées. Les SCAR surviennent après la première administration de quétiapine, dans la plupart des cas de manière retardée, et comprennent fréquemment l'association des symptômes suivants: éruption cutanée étendue ou dermatite exfoliative (dans le cas du SJS et de la NET, les muqueuses sont atteintes), éosinophilie, fièvre, lymphadénopathie, et dans le cas du syndrome DRESS, éventuellement une ou plusieurs complications systémiques telles qu'hépatite, néphrite, pneumonie, myocardite et péricardite. En cas d'apparition de ces réactions, il faut immédiatement arrêter le traitement par la quétiapine.
  • +Lors du traitement par la quétiapine, des réactions médicamenteuses indésirables pouvant menacer le pronostic vital à type de réactions médicamenteuses cutanées sévères (SCAR), y compris syndrome de Stevens-Johnson (SJS), nécrolyse épidermique toxique (NET), pustulose exanthémateuse aiguë généralisée (PEAG), érythème polymorphe (EP) et syndrome de réaction médicamenteuse avec éosinophilie et symptômes systémiques (DRESS) ont été signalées. Les SCAR surviennent après la première administration de quétiapine, dans la plupart des cas de manière retardée, et comprennent fréquemment un ou plusieurs des symptômes: éruption cutanée étendue (pouvant être prurigineuse ou associée à des pustules), dermatite exfoliative (dans le cas du SJS et de la NET, les muqueuses sont atteintes), éosinophilie ou neutrophilie, fièvre, lymphadénopathie, et dans le cas du syndrome DRESS, éventuellement une ou plusieurs complications systémiques telles qu'hépatite, néphrite, pneumonie, myocardite et péricardite. En cas d'apparition de ces réactions, il faut immédiatement arrêter le traitement par la quétiapine.
  • -Fréquent: leucopénie (réduction d'une valeur initiale normale à une valeur pouvant être cliniquement significative [définie à <3× 109 leucocytes par litre] à un moment quelconque de toutes les études cliniques), neutropénie.
  • -Occasionnel: anémie1, thrombocytopénie.
  • -Rare: agranulocytose (neutropénie sévère (<0,5× 109/l) avec survenue d'infections, la fréquence fait référence aux données de toutes les études cliniques).
  • +Fréquents: leucopénie (réduction d'une valeur initiale normale à une valeur pouvant être cliniquement significative [définie à <3× 109 leucocytes par litre] à un moment quelconque de toutes les études cliniques), neutropénie.
  • +Occasionnels: anémie1, thrombocytopénie.
  • +Rares: agranulocytose (neutropénie sévère (<0,5× 109/l) avec survenue d'infections, la fréquence fait référence aux données de toutes les études cliniques).
  • -Occasionnel: hypersensibilité.
  • -Très rare: choc anaphylactique.
  • +Occasionnels: hypersensibilité.
  • +Très rares: choc anaphylactique.
  • -Très fréquent: prise de poids (définie comme une augmentation du poids correspondant à >7% du poids initial): 8 à 23%. Augmentation des taux sériques de triglycérides (taux de glycérides au moins une fois ≥200 mg/dl chez les patients âgés de ≥18 ans ou ≥150 mg/dl chez les patients âgés de <18 ans) et de cholestérol total (essentiellement LDL-cholestérol) (taux de cholestérol total au moins une fois >240 mg/dl chez les patients âgés de >18 ans ou ≥200 mg/dl chez les patients <18 ans). Réduction du taux de HDL-cholestérol (taux de HDL <40 mg/dl chez les hommes ou <50 mg/dl chez les femmes à un moment quelconque).
  • -Fréquent: appétit accru.
  • -Occasionnel: perte de poids1.
  • -Très rare: diabète sucré, troubles diabétiques de l'équilibre hydrique, avec déshydratation ou hyperhydratation (celle-ci entre autres dans le cadre d'un SIADH, syndrome de sécrétion inappropriée d'hormone antidiurétique).
  • +Très fréquents: prise de poids (définie comme une augmentation du poids correspondant à >7% du poids initial): 8 à 23%. Augmentation des taux sériques de triglycérides (taux de glycérides au moins une fois ≥200 mg/dl chez les patients âgés de ≥18 ans ou ≥150 mg/dl chez les patients âgés de <18 ans) et de cholestérol total (essentiellement LDL-cholestérol) (taux de cholestérol total au moins une fois >240 mg/dl chez les patients âgés de >18 ans ou ≥200 mg/dl chez les patients <18 ans). Réduction du taux de HDL-cholestérol (taux de HDL <40 mg/dl chez les hommes ou <50 mg/dl chez les femmes à un moment quelconque).
  • +Fréquents: appétit accru.
  • +Occasionnels: perte de poids1.
  • +Très rares: diabète sucré, troubles diabétiques de l'équilibre hydrique, avec déshydratation ou hyperhydratation (celle-ci entre autres dans le cadre d'un SIADH, syndrome de sécrétion inappropriée d'hormone antidiurétique).
  • -Fréquent: rêves inhabituels et cauchemars, idées et comportements suicidaires. Des cas d'idées et de comportements suicidaires ont été rapportés pendant un traitement par la quétiapine ou peu après l'arrêt du traitement (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -Rare: somnambulisme ou autres activités de ce type pendant le sommeil.
  • +Fréquents: rêves inhabituels et cauchemars, idées et comportements suicidaires. Des cas d'idées et de comportements suicidaires ont été rapportés pendant un traitement par la quétiapine ou peu après l'arrêt du traitement (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +Rares: somnambulisme ou autres activités de ce type pendant le sommeil.
  • -Très fréquent: somnolence (31.3%), surtout pendant les deux premières semaines du traitement; vertige (11.3%). Le vertige et la somnolence peuvent provoquer des chutes. Symptômes extrapyramidaux (de façon générale).
  • -Fréquent: dysarthrie.
  • -Occasionnel: crises convulsives, syndrome des jambes sans repos, dystonie aiguë, dyskinésie tardive, syncope (peut provoquer des chutes).
  • -Très rare: hyperkinésie1.
  • +Très fréquents: somnolence (31.3%), surtout pendant les deux premières semaines du traitement; vertige (11.3%). Le vertige et la somnolence peuvent provoquer des chutes. Symptômes extrapyramidaux (de façon générale).
  • +Fréquents: dysarthrie.
  • +Occasionnels: crises convulsives, syndrome des jambes sans repos, dystonie aiguë, dyskinésie tardive, syncope (peut provoquer des chutes).
  • +Très rares: hyperkinésie1.
  • -Fréquent: vision trouble.
  • +Fréquents: vision trouble.
  • -Fréquent: tachycardie, palpitations cardiaques, hypotension artérielle orthostatique (peut provoquer des chutes).
  • -Occasionnel: vasodilatation, migraine, bradycardie, ischémie cérébrale, pouls irrégulier, anormalité de l'onde T, bloc AV, événements cérébrovasculaires, thrombose veineuse profonde, inversion de l'onde T.
  • -Rare: angine de poitrine, fibrillation auriculaire, bloc AV du 1er degré, insuffisance cardiaque congestive, sus-décalage du segment ST, thrombophlébite, aplatissement de l'onde T, anomalies du segment ST, allongement de l'espace QRS, allongement de l'intervalle QTc, thrombo-embolies veineuses.Fréquence indéterminée: cardiomyopathie, myocardite.
  • +Fréquents: tachycardie, palpitations cardiaques, hypotension artérielle orthostatique (peut provoquer des chutes).
  • +Occasionnels: vasodilatation, migraine, bradycardie, ischémie cérébrale, pouls irrégulier, anormalité de l'onde T, bloc AV, événements cérébrovasculaires, thrombose veineuse profonde, inversion de l'onde T.
  • +Rares: angine de poitrine, fibrillation auriculaire, bloc AV du 1er degré, insuffisance cardiaque congestive, sus-décalage du segment ST, thrombophlébite, aplatissement de l'onde T, anomalies du segment ST, allongement de l'espace QRS, allongement de l'intervalle QTc, thrombo-embolies veineuses.Fréquence indéterminée: cardiomyopathie, myocardite.
  • -Fréquent: pharyngite1, toux accrue1, dyspnée1.
  • -Occasionnel: rhinite, asthme1, épistaxis1.
  • -Rare: hyperventilation1, hoquet1.
  • +Fréquents: pharyngite1, toux accrue1, dyspnée1.
  • +Occasionnels: rhinite, asthme1, épistaxis1.
  • +Rares: hyperventilation1, hoquet1.
  • -Très fréquent: sécheresse buccale.
  • -Fréquent: constipation, dyspepsie, douleurs abdominales, vomissements (surtout chez les patients âgés de plus de 65 ans).
  • -Rare: occlusion intestinale.
  • -Très rare: dysphagie, pancréatite1.
  • +Très fréquents: sécheresse buccale.
  • +Fréquents: constipation, dyspepsie, douleurs abdominales, vomissements (surtout chez les patients âgés de plus de 65 ans).
  • +Rares: occlusion intestinale.
  • +Très rares: dysphagie, pancréatite1.
  • -Fréquent: élévation de l'alanine aminotransférase sérique (ALAT), augmentation des taux de γ-GT.
  • -Occasionnel: augmentation du taux sérique d'aspartate aminotransférase (ASAT).
  • -Rare: hépatite (avec ou sans ictère).
  • -Très rare: stéatose hépatique, lésions hépatiques cholestatiques ou mixtes après commercialisation.
  • +Fréquents: élévation de l'alanine aminotransférase sérique (ALAT), augmentation des taux de γ-GT.
  • +Occasionnels: augmentation du taux sérique d'aspartate aminotransférase (ASAT).
  • +Rares: hépatite (avec ou sans ictère).
  • +Très rares: stéatose hépatique, lésions hépatiques cholestatiques ou mixtes après commercialisation.
  • -Fréquent: rash.
  • -Très rare: angioÅ“dème.
  • -Fréquence indéterminée: nécrolyse épidermique toxique2, syndrome de Stevens-Johnson2, syndrome de réaction médicamenteuse avec éosinophilie et symptômes systémiques (DRESS) ou complications (voir également «Mises en garde et précautions»).
  • -Affections musculosquelettiques et systémiques
  • -Rare: augmentation du taux de CPK.
  • +Fréquents: rash.
  • +Très rares: angioÅ“dème.
  • +Fréquence indéterminée: nécrolyse épidermique toxique2, syndrome de Stevens-Johnson2, pustulose exanthémateuse aiguë généralisée (PEAG), érythème polymorphe (EP), syndrome de réaction médicamenteuse avec éosinophilie et symptômes systémiques (DRESS) ou complications (voir également «Mises en garde et précautions»).
  • +Affections musculosquelettiques et du tissu conjonctif
  • +Rares: augmentation du taux de CPK.
  • -Occasionnel: rétention urinaire.
  • +Occasionnels: rétention urinaire.
  • -Rare: priapisme, galactorrhée.
  • +Rares: priapisme, galactorrhée.
  • -Très fréquent: céphalées symptômes de sevrage (12%) tels qu'insomnie, nausées, céphalées, diarrhées, vomissements, vertiges et irritabilité. Dans les études correspondantes, les symptômes de sevrage ont généralement disparu une semaine après l'arrêt du traitement.
  • -Fréquent: asthénie, Å“dèmes périphériques, irritabilité, fièvre.
  • -Rare: syndrome malin des neuroleptiques (voir également «Mises en garde et précautions»), hypothermie.
  • -Très rare: syndrome sérotoninergique.
  • +Très fréquents: céphalées, symptômes de sevrage (12%) tels qu'insomnie, nausées, diarrhées, vomissements, vertiges et irritabilité. Dans les études correspondantes, les symptômes de sevrage ont généralement disparu une semaine après l'arrêt du traitement.
  • +Fréquents: asthénie, Å“dèmes périphériques, irritabilité, fièvre.
  • +Rares: syndrome malin des neuroleptiques (voir également «Mises en garde et précautions»), hypothermie.
  • +Très rares: syndrome sérotoninergique.
  • -Très fréquent: réduction des taux d'hémoglobine (au moins une fois une réduction du taux d'hémoglobine à ≤13 g/dl chez l'homme ou à ≤12 g/dl chez la femme: chez 11% des patients sous quétiapine dans le cadre d'études cliniques, y compris l'étude d'extension ouverte. Dans le cadre d'études à court terme contrôlées par placebo, au moins une fois une réduction du taux d'hémoglobine à ≤13 g/dl chez l'homme ou à ≤12 g/dl chez la femme chez 8,3% des patients sous quétiapine, par rapport à 6,2% des patients sous placebo).
  • -Fréquent: augmentation du nombre de granulocytes éosinophiles (passant d'une valeur initiale normale à une valeur pouvant être cliniquement significative [définie comme >1× 109 granulocytes éosinophiles par litre] à un moment quelconque de toutes les études cliniques), augmentation du taux de sucre dans le sang allant jusqu'au niveau de l'hyperglycémie (au moins une fois un taux de glycémie ≥126 mg/dl à jeun ou un taux de glycémie ≥200 mg/dl pas à jeun) (voir «Mises en garde et précautions»), augmentation du taux sérique de prolactine (taux de prolactine chez les patients âgés de ≥18 ans: >20 μg/l chez les hommes, >30 μg/l chez les femmes à un moment quelconque), variations des taux d'hormones thyroïdiennes (réduction du taux de T4 totale, de T4 libre et de T3 totale; augmentation du taux de TSH; sur la base d'un passage de valeurs initiales normales à des valeurs pouvant être cliniquement significatives à un moment quelconque de toutes les études. Les variations des taux de T4 totale, de T4 libre, de T3 totale et de T3 libre étaient définies comme <0,8× la LIN (pmol/l) et les variations des taux de TSH comme >5 mUI/l à un moment quelconque).
  • -Occasionnel: réduction du taux de T3 libre.
  • +Très fréquents: réduction des taux d'hémoglobine (au moins une fois une réduction du taux d'hémoglobine à ≤13 g/dl chez l'homme ou à ≤12 g/dl chez la femme: chez 11% des patients sous quétiapine dans le cadre d'études cliniques, y compris l'étude d'extension ouverte. Dans le cadre d'études à court terme contrôlées par placebo, au moins une fois une réduction du taux d'hémoglobine à ≤13 g/dl chez l'homme ou à ≤12 g/dl chez la femme chez 8,3% des patients sous quétiapine, par rapport à 6,2% des patients sous placebo).
  • +Fréquents: augmentation du nombre de granulocytes éosinophiles (passant d'une valeur initiale normale à une valeur pouvant être cliniquement significative [définie comme >1× 109 granulocytes éosinophiles par litre] à un moment quelconque de toutes les études cliniques), augmentation du taux de sucre dans le sang allant jusqu'au niveau de l'hyperglycémie (au moins une fois un taux de glycémie ≥126 mg/dl à jeun ou un taux de glycémie ≥200 mg/dl pas à jeun) (voir «Mises en garde et précautions»), augmentation du taux sérique de prolactine (taux de prolactine chez les patients âgés de ≥18 ans: >20 μg/l chez les hommes, >30 μg/l chez les femmes à un moment quelconque), variations des taux d'hormones thyroïdiennes (réduction du taux de T4 totale, de T4 libre et de T3 totale; augmentation du taux de TSH; sur la base d'un passage de valeurs initiales normales à des valeurs pouvant être cliniquement significatives à un moment quelconque de toutes les études. Les variations des taux de T4 totale, de T4 libre, de T3 totale et de T3 libre étaient définies comme <0,8× la LIN (pmol/l) et les variations des taux de TSH comme >5 mUI/l à un moment quelconque).
  • +Occasionnels: réduction du taux de T3 libre.
  • -Rare: augmentation des taux sanguins de créatinine phosphokinase. Les augmentations des taux sanguins de créatine phosphokinase signalées dans le cadre des études cliniques n'étaient pas associées à un syndrome malin des neuroleptiques.
  • +Rares: augmentation des taux sanguins de créatinine phosphokinase. Les augmentations des taux sanguins de créatine phosphokinase signalées dans le cadre des études cliniques n'étaient pas associées à un syndrome malin des neuroleptiques.
  • -Sexe: Il n'y a pas de différence entre les sexes du point de vue de la cinétique de la quétiapine.
  • +Sexe
  • +Il n'y a pas de différence entre les sexes du point de vue de la cinétique de la quétiapine.
  • -Le médicament ne doit pas être administré au-delà de la date figurant après «EXP» sur l'emballage.
  • +Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur le récipient.
  • -Ne pas conserver au-dessus de 30 °C. Conserver hors de la portée des enfants.
  • +Conserver dans l’emballage original ne pas au-dessus de 30 °C et hors de portée des enfants.
  • -Janvier 2020.
  • +Février 2021.
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