70 Changements de l'information professionelle Duloxetin-Mepha 30 mg |
-30 mg: Saccharosum, Color.: E133, Excipiens pro capsula.
-60 mg: Saccharosum, Excipiens pro capsula.
- +Contenu de la gélule: sphères de sucre (contient jusqu'à 100.57 mg de saccharose dans Duloxetin-Mepha 30 mg ou 201.29 mg de saccharose dans Duloxetin-Mepha 60 mg), hydroxypropylcellulose, hypromellose, phtalate d'hypromellose, citrate de triéthyle, talc.
- +Enveloppe de la gélule: hypromellose, dioxyde de titane (E 171), oxxde de fer noir (E 172), bleu brillant FCF (E 133; seulement dans Duloxetin-Mepha 30 mg).
- +Encre d'impression: gomme laque, oxyde de fer noir (E 172), propylène glycol, solution concentrée d'ammoniaque, hydroxyde de potassium.
- +Posologie usuelle
- +Durée du traitement
-Durée du traitement: Après obtention de l'effet thérapeutique antidépresseur, il est recommandé de poursuivre le traitement plusieurs mois afin de prévenir les rechutes.
- +Après obtention de l'effet thérapeutique antidépresseur, il est recommandé de poursuivre le traitement plusieurs mois afin de prévenir les rechutes.
-Chez les patients répondant à la duloxétine et ayant des antécédents de troubles dépressifs unipolaires répétés (≥3), un traitement à long terme à une posologie de 60-120 mg de duloxétine par jour peut être envisagé. Il s'agit généralement des mêmes doses que celles utilisées pour le traitement aigu. Le rapport bénéfice/risque de la prévention de la récurrence doit être réévalué régulièrement et il doit être pris en considération qu'il existe aussi d'autres possibilités de prévention de la récurrence d'épisodes dépressifs unipolaires. Dans une étude clinique, il a été démontré que l'efficacité persiste pour une durée de traitement allant jusqu'à 1 an. A la fin du traitement, Duloxetin-Mepha devrait être arrêté sur plusieurs semaines, afin d'éviter des symptômes de sevrage.
- +Posologie usuelle
- +Chez les patients répondant à la duloxétine et ayant des antécédents de troubles dépressifs unipolaires répétés (≥3), un traitement à long terme à une posologie de 60-120 mg de duloxétine par jour peut être envisagé. Il s'agit généralement des mêmes doses que celles utilisées pour le traitement aigu. Le rapport bénéfice/risque de la prévention de la récurrence doit être réévalué régulièrement et il doit être pris en considération qu'il existe aussi d'autres possibilités de prévention de la récurrence d'épisodes dépressifs unipolaires.
- +Durée du traitement
- +Dans une étude clinique, il a été démontré que l'efficacité persiste pour une durée de traitement allant jusqu'à 1 an. A la fin du traitement, Duloxetin-Mepha devrait être arrêté sur plusieurs semaines, afin d'éviter des symptômes de sevrage.
- +Posologie usuelle
- +
-Durée du traitement: Après obtention de l'effet thérapeutique, il est recommandé de poursuivre le traitement plusieurs mois afin de prévenir une détérioration des symptômes.
- +Durée du traitement
- +Après obtention de l'effet thérapeutique, il est recommandé de poursuivre le traitement plusieurs mois afin de prévenir une déterioration des symptômes.
- +Posologie usuelle
- +Durée du traitement
- +
-Insuffisance hépatique
- +Instructions posologiques particulières
- +Arrêt du traitement
- +Lors de l'arrêt de la duloxétine après plus d'une semaine de traitement, il est généralement recommandé de réduire progressivement la dose sur une période de 1 à 2 semaines avant l'arrêt définitif du traitement afin de diminuer le risque de symptômes de sevrage (voir «Effets indésirables»).
- +Il est généralement conseillé de diminuer la dose de moitié ou de passer à une prise alternée un jour sur deux pendant cette période. Le schéma choisi devra toutefois être adapté individuellement à la situation du patient en tenant compte, par exemple, de la durée du traitement, de la dose atteinte au moment de l'arrêt du traitement, etc.
- +Patients présentant des troubles de la fonction hépatique
-Insuffisance rénale
- +Patients présentant des troubles de la fonction rénale
-Arrêt du traitement
-Lors de l'arrêt de la duloxétine après plus d'une semaine de traitement, il est généralement recommandé de réduire progressivement la dose sur une période de 1 à 2 semaines avant l'arrêt définitif du traitement afin de diminuer le risque de symptômes de sevrage (voir «Effets indésirables»).
-Il est généralement conseillé de diminuer la dose de moitié ou de passer à une prise alternée un jour sur deux pendant cette période. Le schéma choisi devra toutefois être adapté individuellement à la situation du patient en tenant compte, par exemple, de la durée du traitement, de la dose atteinte au moment de l'arrêt du traitement, etc.
-Intolérance au saccharose
-Les gélules gastrorésistantes de Duloxetin-Mepha contiennent du saccharose. Les patients atteints de maladies héréditaires rares, comme une intolérance au fructose, un syndrome de malabsorption du glucose et du galactose ou une intolérance au sucrose-isomaltose, ne doivent pas prendre ce médicament.
-La duloxétine est utilisée dans des indications différentes (dépression, trouble de l'anxiété généralisée, traitement de la douleur neuropathique diabétique, incontinence urinaire de stress). La prise additionnelle de duloxétine dans plusieurs indications en même temps doit être évitée.
- +Dysfonction sexuelle
- +Les inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS)/inhibiteurs de la recapture de la sérotonine et de la noradrénaline (IRSN) peuvent causer une dysfonction sexuelle. Des cas de dysfonction sexuelle de longue durée, dont les symptômes ont persisté malgré l'arrêt du traitement par les ISRS/IRSN, ont été rapportés.
- +Médicaments qui contiennent de la duloxétine
- +La duloxétine est utilisée dans des indications différentes (dépression, trouble de l'anxiété généralisée, traitement de la douleur neuropathique diabétique). La prise additionnelle de duloxetine dans plusieurs indications en même temps doit être évitée.
- +Excipients
- +Les gélules gastrorésistantes de Duloxetin-Mepha contiennent du saccharose. Les patients présentant une intolérance au fructose, un syndrome de malabsorption du glucose et du galactose ou un déficit en sucrase/isomaltase (maladies héréditaires rares) ne doivent pas prendre ce médicament.
-Effets de la duloxétine sur d'autres médicaments
- +Effet de la duloxétine sur d'autres médicaments
-Effets des autres médicaments sur la duloxétine
- +Effet d'autres médicaments sur la duloxétine
-Grossesse/Allaitement
- +Grossesse, allaitement
-Définition des fréquences: très fréquent (≥10%), fréquent (≥1% et <10%), occasionnel (≥0,1% et <1%), rare (≥0,01% et <0,1%), très rare (<0,01%).
- +Définition des fréquences: très fréquents (≥1/10), fréquents (≥1/100 à <1/10), occasionnels (≥1/1000 à <1/100), rares (≥1/10 000 à <1/1000), très rares (1/10 000).
-Occasionnel: laryngite.
- +Occasionnels: laryngite.
-Rare: réactions anaphylactiques1, réactions d'hypersensibilité.
- +Rares: réactions anaphylactiques1, réactions d'hypersensibilité.
-Rare: hypothyroïdie.
- +Rares: hypothyroïdie.
-Fréquent: diminution de l'appétit, perte de poids.
-Occasionnel: prise de poids, hyperglycémie (notamment chez les patients diabétiques).
-Rare: déshydratation, hyponatrémie, SIADH (syndrome de sécrétion inappropriée de l'hormone anti-diurétique)1.
- +Fréquents: diminution de l'appétit, perte de poids.
- +Occasionnels: prise de poids, hyperglycémie (notamment chez les patients diabétiques).
- +Rares: déshydratation, hyponatrémie, SIADH (syndrome de sécrétion inappropriée de l'hormone anti-diurétique)1.
-Fréquent: insomnie, anxiété, diminution de la libido, dysorgasmie, agitation, rêves anormaux (y compris cauchemars).
-Occasionnel: idées suicidaires2 (durant le traitement par la duloxétine ou peu après son arrêt, voir «Mises en garde et précautions»), troubles du sommeil, bruxisme, confusion mentale, apathie.
-Rare: comportements suicidaires2 (durant le traitement par la duloxétine ou peu après son arrêt, voir «Mises en garde et précautions»), manie, hallucinations, agressivité et colère (en particulier au début et aussi après l'arrêt du traitement).
- +Fréquents: insomnie, anxiété, diminution de la libido, dysorgasmie, agitation, rêves anormaux (y compris cauchemars).
- +Occasionnels: idées suicidaires2 (durant le traitement par la duloxétine ou peu après son arrêt, voir «Mises en garde et précautions»), troubles du sommeil, bruxisme, confusion mentale, apathie.
- +Rares: comportements suicidaires2 (durant le traitement par la duloxétine ou peu après son arrêt, voir «Mises en garde et précautions»), manie, hallucinations, agressivité et colère (en particulier au début et aussi après l'arrêt du traitement).
-Très fréquent: céphalées (13.7%), somnolence (10,0%).
-Fréquent: vertiges, léthargie, tremblements, paresthésies.
-Occasionnel: myoclonies, acathisie2, nervosité, troubles de l'attention, troubles du goût, dyskinésie, mauvaise qualité de sommeil, restlesslegs syndrome, troubles de la marche.
-Rare: syndrome sérotoninergique1, convulsions (rapportées aussi après l'arrêt du traitement), symptômes extrapyramidaux1, agitation psychomotrice1.
- +Très fréquents: céphalées (13.7%), somnolence (10,0%).
- +Fréquents: vertiges, léthargie, tremblements, paresthésies.
- +Occasionnels: myoclonies, acathisie2, nervosité, troubles de l'attention, troubles du goût, dyskinésie, mauvaise qualité de sommeil, restlesslegs syndrome, troubles de la marche.
- +Rares: syndrome sérotoninergique1, convulsions (rapportées aussi après l'arrêt du traitement), symptômes extrapyramidaux1, agitation psychomotrice1.
-Fréquent: vision floue.
-Occasionnel: mydriase, déficience visuelle, sécheresse oculaire.
-Rare: glaucome.
- +Fréquents: vision floue.
- +Occasionnels: mydriase, déficience visuelle, sécheresse oculaire.
- +Rares: glaucome.
-Fréquent: tinnitus (aussi rapportés après l'arrêt du traitement).
-Occasionnel: vertiges, otalgies.
- +Fréquents: tinnitus (aussi rapportés après l'arrêt du traitement).
- +Occasionnels: vertiges, otalgies.
-Fréquent: palpitations cardiaques.
-Occasionnel: tachycardie, arythmies supraventriculaires, principalement à type de fibrillation auriculaire.
- +Fréquents: palpitations cardiaques.
- +Occasionnels: tachycardie, arythmies supraventriculaires, principalement à type de fibrillation auriculaire.
-Fréquent: augmentation de la pression artérielle (voir «Mises en garde et précautions»), flush.
-Occasionnel: hypertension2 (voir «Mises en garde et précautions»), froideur des extrémités, hypotension orthostatique et syncope, notamment au début du traitement.
-Rare: crise hypertensive1 (voir «Mises en garde et précautions»).
- +Fréquents: augmentation de la pression artérielle (voir «Mises en garde et précautions»), flush.
- +Occasionnels: hypertension2 (voir «Mises en garde et précautions»), froideur des extrémités, hypotension orthostatique et syncope, notamment au début du traitement.
- +Rares: crise hypertensive1 (voir «Mises en garde et précautions»).
-Fréquent: douleurs oesophagiennes, baillements.
-Occasionnel: sensation d'obstruction dans la gorge.
-Rare: maladie pulmonaire interstitielle, pneumonie à éosinophiles.
- +Fréquents: douleurs oesophagiennes, baillements.
- +Occasionnels: sensation d'obstruction dans la gorge.
- +Rares: maladie pulmonaire interstitielle, pneumonie à éosinophiles.
-Très fréquent: nausée (23.0%), sécheresse buccale (12.7%).
-Fréquent: constipation, diarrhée, douleurs abdominales, vomissements, dyspepsie, flatulences.
-Occasionnel: hémorragies gastro-intestinales2, éructations, gastro-entérite, gastrite, dysphagie.
-Rare: stomatite, halitose, hématochézie.
-Très rare: colite microscopique.
- +Très fréquents: nausée (23.0%), sécheresse buccale (12.7%).
- +Fréquents: constipation, diarrhée, douleurs abdominales, vomissements, dyspepsie, flatulences.
- +Occasionnels: hémorragies gastro-intestinales2, éructations, gastro-entérite, gastrite, dysphagie.
- +Rares: stomatite, halitose, hématochézie.
- +Très rares: colite microscopique.
-Occasionnel: élévation des enzymes hépatiques (ALAT, ASAT, phosphatase alcaline), hépatite (voir «Mises en garde et précautions»), atteinte hépatique aiguë.
-Rare: ictère et insuffisance hépatique1.
- +Occasionnels: élévation des enzymes hépatiques (ALAT, ASAT, phosphatase alcaline), hépatite (voir «Mises en garde et précautions»), atteinte hépatique aiguë.
- +Rares: ictère et insuffisance hépatique1.
-Fréquent: hypersudation, éruption cutanée, prurit.
-Occasionnel: sueurs nocturnes, urticaire, dermatite de contact, photosensibilité de la peau, sueurs froides, augmentation de la tendance aux hématomes.
-Rare: angioedème et syndrome de Stevens-Johnson1.
-Très rare: ecchymoses, vasculite cutanée (parfois associée à une atteinte systémique).
-Affections musculo-squelettiques et du tissu conjonctif
-Fréquent: douleur musculosquelettique, spasmes musculaires.
-Occasionnel: rigidité musculaire, myoclonies.
-Rare: contractures des muscles masticateurs.
- +Fréquents: hypersudation, éruption cutanée, prurit.
- +Occasionnels: sueurs nocturnes, urticaire, dermatite de contact, photosensibilité de la peau, sueurs froides, augmentation de la tendance aux hématomes.
- +Rares: angio-œdème et syndrome de Stevens-Johnson1.
- +Très rares: ecchymoses, vasculite cutanée (parfois associée à une atteinte systémique).
- +Affections musculo-squelettiques, du tissu conjonctif et des os
- +Fréquents: douleur musculosquelettique, spasmes musculaires.
- +Occasionnels: rigidité musculaire, myoclonies.
- +Rares: contractures des muscles masticateurs.
-Fréquent: dysurie, mictions fréquentes.
-Occasionnel: nycturie, retard mictionnel, rétention urinaire, polyurie, baisse du débit urinaire.
-Rare: odeur anormale de l'urine.
- +Fréquents: dysurie, mictions fréquentes.
- +Occasionnels: nycturie, retard mictionnel, rétention urinaire, polyurie, baisse du débit urinaire.
- +Rares: odeur anormale de l'urine.
-Fréquent: dysfonction érectile, troubles de l'éjaculation, éjaculation retardée.
-Occasionnel: dysfonctionnement sexuel, douleurs testiculaires, hémorragies gynécologiques, troubles de la menstruation.
-Rare: symptômes ménopausiques, galactorrhée, hyperprolactinémie.
- +Fréquents: dysfonction érectile, troubles de l'éjaculation, éjaculation retardée.
- +Occasionnels: dysfonctionnement sexuel, douleurs testiculaires, hémorragies gynécologiques, troubles de la menstruation.
- +Rares: symptômes ménopausiques, galactorrhée, hyperprolactinémie.
-Fréquent: fatigue, chutes (plus fréquentes chez les personnes âgées ≥65 ans).
-Occasionnel: douleurs thoraciques2, sensation de chaud, sensation de froid, malaise, soif, frissons, sensations anormales.
- +Fréquents: fatigue, chutes (plus fréquentes chez les personnes âgées ≥65 ans).
- +Occasionnels: douleurs thoraciques2, sensation de chaud, sensation de froid, malaise, soif, frissons, sensations anormales.
-Occasionnel: augmentation de la créatinine phosphokinase dans le sang, hyperkaliémie.
-Rare: hypercholestérolémie.
- +Occasionnels: augmentation de la créatinine phosphokinase dans le sang, hyperkaliémie.
- +Rares: hypercholestérolémie.
- +L'annonce d'effets secondaires présumés après l'autorisation est d'une grande importance. Elle permet un suivi continu du rapport bénéfice-risque du médicament. Les professionnels de santé sont tenus de déclarer toute suspicion d'effet secondaire nouveau ou grave via le portail d'annonce en ligne ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet sur www.swissmedic.ch.
- +Signes et symptômes
- +Traitement
- +Mécanisme d'action
- +Pharmacodynamique
- +Efficacité clinique
- +
-Les taux de réponse et de rémission étaient également plus élevés avec la duloxétine par rapport au placebo. La duloxétine a montré des résultats d'efficacité similaires à ceux de la venlafaxine en terme d'amélioration du score total sur la HAM-A.
- +Les taux de réponse et de rémission étaient également plus élevés avec la duloxétine par rapport au placebo. La duloxétine a montré des résultats d'efficacité similaires à ceux de la venlafaxine en terme d'amélioration du score total sur la HAM-A.
- +Absorption
- +Distribution
- +Métabolisme
- +Élimination
- +
-Sexe: de légères différences pharmacocinétiques ont été identifiées entre les hommes et les femmes (la clairance plasmatique chez les femmes est approximativement 50% plus faible). Néanmoins, l'ampleur de ces différences est insuffisante pour justifier une adaptation posologique en fonction du sexe.
-Age: des différences pharmacocinétiques ont été observées entre les femmes jeunes et âgées (≥65 ans) (chez les femmes âgées, l'aire sous la courbe augmente de 25% environ et la demi-vie est allongée de 25% environ). Toutefois, l'ampleur de ces différences est insuffisante pour justifier une adaptation posologique.
-Insuffisance rénale: les patients en insuffisance rénale terminale dialysés présentaient des valeurs de Cmax et d'AUC deux fois plus élevées que les volontaires sains. Les données pharmacocinétiques avec la duloxétine sont limitées chez les patients atteints d'insuffisance rénale légère ou modérée. L'insuffisance rénale grave (clairance de la créatinine <30 ml/min) est une contre-indication.
-Insuffisance hépatique: la pharmacocinétique de la duloxétine est modifiée en cas d'atteinte hépatique modérée (Classe B de Child Pugh). Par rapport aux volontaires sains, la clairance plasmatique apparente de la duloxétine était inférieure de 79%, la demi-vie terminale apparente était 2,3 fois plus longue et l'aire sous la courbe était 3,7 fois plus importante chez les patients atteints d'insuffisance hépatique modérée. La pharmacocinétique de la duloxétine et de ses métabolites n'a pas été étudiée chez les patients présentant une insuffisance hépatique légère ou sévère. En conséquence, les affections hépatiques débouchant sur une insuffisance hépatique sont une contre-indication.
- +Sexe
- +De légères différences pharmacocinétiques ont été identifiées entre les hommes et les femmes (la clairance plasmatique chez les femmes est approximativement 50% plus faible). Néanmoins, l'ampleur de ces différences est insuffisante pour justifier une adaptation posologique en fonction du sexe.
- +Troubles de la fonction hépatique
- +La pharmacocinétique de la duloxétine est modifiée en cas d'atteinte hépatique modérée (Classe B de Child Pugh). Par rapport aux volontaires sains, la clairance plasmatique apparente de la duloxétine était inférieure de 79%, la demi-vie terminale apparente était 2,3 fois plus longue et l'aire sous la courbe était 3,7 fois plus importante chez les patients atteints d'insuffisance hépatique modérée. La pharmacocinétique de la duloxétine et de ses métabolites n'a pas été étudiée chez les patients présentant une insuffisance hépatique légère ou sévère. En conséquence, les affections hépatiques débouchant sur une insuffisance hépatique sont une contre-indication.
- +Troubles de la fonction rénale
- +Les patients en insuffisance rénale terminale dialysés présentaient des valeurs de Cmax et d'AUC deux fois plus élevées que les volontaires sains. Les données pharmacocinétiques avec la duloxétine sont limitées chez les patients atteints d'insuffisance rénale légère ou modérée. L'insuffisance rénale grave (clairance de la créatinine <30 ml/min) est une contre-indication.
- +Patients âgés
- +Des différences pharmacocinétiques ont été observées entre les femmes jeunes et âgées (≥65 ans) (chez les femmes âgées, l'aire sous la courbe augmente de 25% environ et la demi-vie est allongée de 25% environ). Toutefois, l'ampleur de ces différences est insuffisante pour justifier une adaptation posologique.
- +Mutagénicité/Carcinogénicité
-Des souris femelles recevant de la duloxétine pendant 2 ans ont montré, à forte dose uniquement (144 mg/kg/jour), une augmentation de l'incidence des adénomes et des carcinomes hépatocytaires; cet effet a toutefois été considéré comme secondaire à l'induction des enzymes microsomales hépatiques. On ignore si ces observations chez la souris sont pertinentes pour l'être humain. Chez des rates recevant la duloxétine avant et pendant l'accouplement et en début de gestation, une diminution de la consommation de nourriture et du poids corporel, une perturbation du cycle oestral, une baisse du taux de naissances vivantes et de survie de la progéniture, ainsi qu'un retard de croissance chez les jeunes rats ont été rapportés à des taux d'exposition systémique estimés correspondre, au plus, à l'exposition maximale en clinique (AUC).
- +Des souris femelles recevant de la duloxétine pendant 2 ans ont montré, à forte dose uniquement (144 mg/kg/jour), une augmentation de l'incidence des adénomes et des carcinomes hépatocytaires; cet effet a toutefois été considéré comme secondaire à l'induction des enzymes microsomales hépatiques. On ignore si ces observations chez la souris sont pertinentes pour l'être humain.
- +Toxicité sur la reproduction
- +Chez des rates recevant la duloxétine avant et pendant l'accouplement et en début de gestation, une diminution de la consommation de nourriture et du poids corporel, une perturbation du cycle oestral, une baisse du taux de naissances vivantes et de survie de la progéniture, ainsi qu'un retard de croissance chez les jeunes rats ont été rapportés à des taux d'exposition systémique estimés correspondre, au plus, à l'exposition maximale en clinique (AUC).
-Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l'emballage.
- +Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur le récipient.
-Conserver dans l'emballage d'origine. Ne pas conserver au-dessus de 25°C. Conserver hors de portée des enfants.
- +Conserver dans l'emballage d'origine. Ne pas conserver au-dessus de 25°C.
- +Conserver hors de portée des enfants.
-Juin 2019.
-Numéro de version interne: 3.2
- +Avril 2020.
- +Numéro de version interne: 4.3
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