44 Changements de l'information professionelle Eplerenon-Mepha 25 mg |
-Principe actif: Eplerenonum
-Excipients
-Noyau: Lactosum monohydricum, excipiens pro compresso obducto.
- +Principe actif: Eplerenonum.
- +Excipients:
- +Noyau: lactosum monohydricum, excipiens pro compresso obducto.
-Hypersensibilité à l'éplérénone ou à l'un des excipients conformément à la composition.
-Patients avec une kaliémie >5.0 mmol/l avant l'instauration du traitement.
-Patients avec une insuffisance rénale sévère (TFGe <30 ml/min/1.73 m²).
-Patients avec une insuffisance hépatique sévère (Classe Child-Pugh C).
-Patients recevant des diurétiques d'épargne potassique (p.ex. spironolactone), des médicaments à base de potassium ou des sels de régime contenant du potassium ou des inhibiteurs puissants du CYP3A4 (par ex. l'itraconazole, le kétoconazole, le ritonavir, le nelfinavir, la clarithromycine) (voir «Interactions»).
-Association de l'éplérénone avec une double inhibition du système rénine-angiotensine-aldostérone existante (inhibiteur de l'ECA PLUS antagoniste des récepteurs de l'angiotensine II).
- +·Hypersensibilité à l'éplérénone ou à l'un des excipients conformément à la composition.
- +·Tous les patients avec une kaliémie >5.0 mmol/l avant l'instauration du traitement.
- +·Tous les patients avec une insuffisance rénale sévère (TFGe <30 ml/min/1.73 m²).
- +·Tous les patients avec une insuffisance hépatique sévère (Classe Child-Pugh C).
- +·Tous les patients recevant des diurétiques d'épargne potassique (p.ex. spironolactone) ou des inhibiteurs puissants du CYP3A4 (par ex. l'itraconazole, le kétoconazole, le ritonavir, le nelfinavir, la clarithromycine) (voir «Interactions»).
- +·Patients hypertendus traités avec des préparations/des sels de régime contenant du potassium.
- +·Association de l'éplérénone avec une double inhibition du système rénine-angiotensine-aldostérone existante (inhibiteur de l'ECA PLUS antagoniste des récepteurs de l'angiotensine II).
-Hyperkaliémie: En raison du mécanisme d'action de l'éplérénone, des hyperkaliémies peuvent survenir. En conséquence, la kaliémie doit être contrôlée chez tous les patients lors de l'instauration du traitement et lors d'une adaptation posologique. De plus, un contrôle régulier est recommandé chez les patients à risque accru d'hyperkaliémie (patients ayant une insuffisance rénale, diabète, patients âgés). Le traitement par éplérénone sera interrompu lorsque la kaliémie atteint des valeurs ≥6.0 mmol/l (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
- +Hyperkaliémie
- +En raison du mécanisme d'action de l'éplérénone, des hyperkaliémies peuvent survenir. En conséquence, la kaliémie doit être contrôlée chez tous les patients lors de l'instauration du traitement et lors d'une adaptation posologique. De plus, un contrôle régulier est recommandé chez les patients à risque accru d'hyperkaliémie (patients ayant une insuffisance rénale, diabète, patients âgés). Le traitement par éplérénone sera interrompu lorsque la kaliémie atteint des valeurs ≥6.0 mmol/l (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
-Insuffisance rénale: Chez les patients présentant une insuffisance rénale, notamment une microalbuminurie diabétique, la kaliémie doit être contrôlée régulièrement. Après l'instauration du traitement, la dose sera ajustée en fonction de la kaliémie (voir le Tableau 1 sous «Posologie/Mode d'emploi»). Le risque d'hyperkaliémie augmente avec la diminution de la fonction rénale. Les patients avec un taux de filtration glomérulaire estimé (TFGe) <30 ml/min/1.73 m² ne doivent pas être traités par l'éplérénone. Bien que les données issues de l'étude EPHESUS sur les patients souffrant de diabète de type II et de microalbuminurie soient limitées, une incidence accrue d'hyperkaliémie a été observée chez ce petit nombre de patients. C'est pourquoi ces patients seront traités avec précaution. L'éplérénone n'est pas éliminée par hémodialyse (voir « Posologie/Mode d'emploi » et «Contre-indications»).
-Insuffisance hépatique: Chez des patients présentant une insuffisance hépatique légère à modérée (Classes Child-Pugh A et B), aucune augmentation de la kaliémie au-dessus de 5.5 mmol/l n'a été observée. Les valeurs des électrolytes doivent être contrôlées chez les patients présentant une insuffisance hépatique légère à modérée. L'utilisation de l'éplérénone n'a pas été évaluée chez les patients présentant une insuffisance hépatique sévère (Classe Child-Pugh C) (voir «Posologie/Mode d'emploi» et «Contre-indications»).
-Anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS): L'administration simultanée d'autres substances d'épargne potassique et d'AINS a provoqué une baisse de l'effet antihypertenseur ainsi qu'une hyperkaliémie chez les patients insuffisants rénaux (voir «Interactions»).
-Inducteurs du CYP3A4: l'administration d'éplérénone avec des inducteurs puissants du CYP3A4 n'est pas recommandée (voir «Interactions»).
- +Insuffisance rénale
- +Chez les patients présentant une insuffisance rénale, notamment une microalbuminurie diabétique, la kaliémie doit être contrôlée régulièrement. Après l'instauration du traitement, la dose sera ajustée en fonction de la kaliémie (voir le Tableau 1 sous «Posologie/Mode d'emploi»). Le risque d'hyperkaliémie augmente avec la diminution de la fonction rénale. Les patients avec un taux de filtration glomérulaire estimé (TFGe) <30 ml/min/1.73 m² ne doivent pas être traités par l'éplérénone. Bien que les données issues de l'étude EPHESUS sur les patients souffrant de diabète de type II et de microalbuminurie soient limitées, une incidence accrue d'hyperkaliémie a été observée chez ce petit nombre de patients. C'est pourquoi ces patients seront traités avec précaution. L'éplérénone n'est pas éliminée par hémodialyse (voir «Posologie/Mode d'emploi» et «Contre-indications»).
- +Insuffisance hépatique
- +Chez des patients présentant une insuffisance hépatique légère à modérée (Child-Pugh A et B), aucune augmentation de la kaliémie au-dessus de 5.5 mmol/l n'a été observée.
- +Un contrôle fréquent et régulier de la kaliémie est toutefois recommandé, notamment chez les patients âgés. L'utilisation de l'éplérénone n'a pas été évaluée chez les patients présentant une insuffisance hépatique sévère (Child-Pugh C) (voir «Posologie/Mode d'emploi» et «Contre-indications»).
- +Anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS)
- +L'administration simultanée d'autres substances d'épargne potassique et d'AINS a provoqué une baisse de l'effet antihypertenseur ainsi qu'une hyperkaliémie chez les patients insuffisants rénaux (voir «Interactions»).
- +Inducteurs du CYP3A4
- +L'administration d'éplérénone avec des inducteurs puissants du CYP3A4 n'est pas recommandée (voir «Interactions»).
- +Autres médicaments
- +
-Lactose: Les Lactab contiennent du lactose et ne doivent pas être administrés aux patients atteints de problèmes héréditaires rares d'intolérance au galactose, de déficience en lactase ou de malabsorption du glucose-galactose.
-Alpha-bloquants, amifostine, anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS), triméthoprime, inhibiteurs de l'ECA, antagonistes des récepteurs de l'angiotensine II, antidépresseurs tricycliques, neuroleptiques, baclofène, corticostéroïdes, tétracosactide voir «Interactions»).
- +Alpha-bloquants, amifostine, triméthoprime, inhibiteurs de l'ECA et antagonistes des récepteurs de l'angiotensine II (voir ci-dessus: «Hyperkaliémie»), antidépresseurs tricycliques, neuroleptiques, baclofène, corticostéroïdes, tétracosactide voir «Interactions».
- +Indications sur les excipients
- +Les Lactab Eplerenon-Mepha contiennent du lactose. Les patients atteints de la rare intolérance héréditaire au galactose, de déficit en lactase Lapp ou de malabsorption du glucose-galactose ne doivent pas prendre ce médicament.
-Diurétiques d'épargne potassique et médicaments à base de potassium ou sels de régime contenant du potassium
-En raison du risque accru d'hyperkaliémie, l'éplérénone ne doit pas être administrée aux patients recevant d'autres diurétiques d'épargne potassique ou des produits à base de potassium (voir «Contre-indications» et «Mises en garde et précautions»). Les diurétiques d'épargne potassique peuvent aussi accentuer l'effet des médicaments antihypertenseurs et des autres diurétiques.
- +Interactions pharmacodynamiques
- +Diurétiques d'épargne potassique, préparations/sels de régime contenant du potassium
- +En raison du risque accru d'hyperkaliémie, l'éplérénone ne doit être administrée à aucun patient recevant d'autres diurétiques d'épargne potassique, ni à aucun patient hypertendu recevant des préparations/sels de régime contenant du potassium (voir «Contre-indications» et «Mises en garde et précautions»).
- +Les diurétiques d'épargne potassique peuvent aussi accentuer l'effet des médicaments antihypertenseurs et des autres diurétiques.
- +Lithium
- +Aucune étude d'interaction médicamenteuse n'a été conduite avec le lithium et l'éplérénone. Cependant, chez des patients recevant du lithium en même temps que des diurétiques et des inhibiteurs de l'ECA, une toxicité du lithium a été observée. L'administration concomitante d'éplérénone et de lithium doit être évitée. Si cette association s'avère nécessaire, les concentrations plasmatiques en lithium seront étroitement surveillées (voir «Mises en garde et précautions»).
- +Ciclosporine, tacrolimus
- +La ciclosporine et le tacrolimus peuvent entraîner une altération de la fonction rénale et majorer le risque d'hyperkaliémie. L'utilisation concomitante d'éplérénone avec ciclosporine ou tacrolimus doit être évitée. Si l'administration de la ciclosporine et du tacrolimus s'avère indispensable durant un traitement par l'éplérénone, un contrôle étroit de la kaliémie et de la fonction rénale est recommandé (voir «Mises en garde et précautions»).
- +Anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS)
- +Un traitement par AINS peut entraîner une défaillance rénale aiguë en agissant directement sur la filtration glomérulaire, en particulier chez les patients à risque (patients âgés et/ou patients déshydratés). Les patients recevant de l'éplérénone et des AINS doivent être correctement hydratés et leur fonction rénale contrôlée avant l'instauration du traitement.
- +Triméthoprime
- +L'administration concomitante de triméthoprime et d'éplérénone augmente le risque d'hyperkaliémie. Une surveillance de la kaliémie et de la fonction rénale doit être effectuée en particulier chez les patients atteints d'insuffisance rénale et chez les patients âgés.
- +Alpha-bloquants (p.ex. alfuzosine)
- +L'association d'alpha-bloquants avec éplérénone comporte le risque d'accentuer l'effet hypotenseur et/ou une hypotension orthostatique. Un contrôle clinique de l'hypotension orthostatique est recommandé lors d'un traitement concomitant par alpha-bloquants.
- +Antidépresseurs tricycliques, neuroleptiques, amifostine, baclofène
- +Un risque potentiel de majoration des effets antihypertenseurs et d'hypotension orthostatique existe si ces médicaments sont associés à l'éplérénone.
- +Glucocorticoïdes, tétracosactide
- +L'administration simultanée de ces médicaments et d'éplérénone peut vraisemblablement diminuer l'effet antihypertenseur (rétention sodique et hydrique).
- +Interactions pharmacocinétiques
- +Des études in vitro montrent que l'éplérénone n'est pas un inhibiteur des isoenzymes des CYP1A2, CYP2C19, CYP2C9, CYP2D6 ou CYP3A4. L'éplérénone n'est ni un substrat ni un inhibiteur de la glycoprotéine P.
-Inhibiteurs puissants du CYP3A4
-A cause d'une interaction pharmacocinétique, l'utilisation concomitante d'éplérénone avec d'inhibiteurs puissants du CYP3A4 comme par ex. le kétoconazole, l'itraconazole, le ritonavir, le nelfinavir ou la clarithromycine est contre-indiquée (voir «Contre-indications»)
-Inhibiteurs faibles à modérés du CYP3A4
-L'administration concomitante d'érythromycine, de saquinavir, d'amiodarone, de diltiazem, de vérapamil ou de fluconazole provoque des interactions pharmacocinétiques significatives avec une augmentation de l'ASC allant jusqu'à un facteur 2. En conséquence, la posologie de l'éplérénone ne doit pas dépasser 25 mg en cas d'association à des inhibiteurs faibles à modérés du CYP3A4.
- +·Inhibiteurs puissants du CYP3A4: A cause d'une interaction pharmacocinétique, l'utilisation concomitante d'éplérénone avec des inhibiteurs puissants du CYP3A4 comme p.ex. le kétoconazole, l'itraconazole, le ritonavir, le nelfinavir ou la clarithromycine est contre-indiquée (voir «Contre-indications»).
- +·Inhibiteurs faibles à modérés du CYP3A4: L'administration concomitante d'érythromycine, de saquinavir, d'amiodarone, de diltiazem, de vérapamil ou de fluconazole provoque des interactions pharmacocinétiques significatives avec une augmentation de l'ASC allant jusqu'à un facteur 2. En conséquence, la posologie de l'éplérénone ne doit pas dépasser 25 mg/jour en cas d'association à des inhibiteurs faibles à modérés du CYP3A4.
-Des études in vitro montrent que l'éplérénone n'est pas un inhibiteur des isoenzymes des CYP1A2, CYP2C19, CYP2C9, CYP2D6 ou CYP3A4. L'éplérénone n'est ni un substrat ni un inhibiteur de la glycoprotéine P.
-Triméthoprime: L'administration concomitante de triméthoprime et d'éplérénone augmente le risque d'hyperkaliémie. Une surveillance de la kaliémie et de la fonction rénale doit être effectuée en particulier chez les patients atteints d'insuffisance rénale et chez les patients âgés.
-Alpha-bloquants (par ex. alfuzosine): L'association d'alpha-bloquants avec éplérénone comporte le risque d'accentuer l'effet hypotenseur et/ou une hypotension orthostatique. Un contr��le clinique de l'hypotension orthostatique est recommandé lors d'un traitement concomitant par alpha-bloquants.
-Antidépresseurs tricycliques, neuroleptiques, amifostine, baclofène: Un risque potentiel de majoration des effets antihypertenseurs et d'hypotension orthostatique existe si ces médicaments sont associés à l'éplérénone.
-Glucocorticoïdes, tétracosactide: L'administration simultanée de ces médicaments et d'éplérénone peut vraisemblablement diminuer l'effet antihypertenseur (rétention sodique et hydrique).
-Digoxine: L'ASC de la digoxine augmente de 16% (IC à 90%: 4%-30%) en cas d'administration concomitante avec l'éplérénone. La prudence est recommandée si le taux de digoxine est proche de la limite supérieure thérapeutique.
-Warfarine: La prudence est recommandée si le taux de warfarine se situe près de la limite supérieure thérapeutique.
-Anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS): Un traitement par AINS peut entraîner une défaillance rénale aiguë en agissant directement sur la filtration glomérulaire, en particulier chez les patients à risque (patients âgés et/ou patients déshydratés). Les patients recevant de l'éplérénone et des AINS doivent être correctement hydratés et leur fonction rénale contrôlée avant l'initiation du traitement.
-Lithium: Aucune étude d'interaction médicamenteuse n'a été conduite avec le lithium et l'éplérénone. Cependant, chez des patients recevant du lithium en même temps que des diurétiques et des inhibiteurs de l'ECA, une toxicité du lithium a été observée. L'administration concomitante d'éplérénone et de lithium doit être évitée. Si cette association s'avère nécessaire, les concentrations plasmatiques en lithium seront étroitement surveillées (voir «Mises en garde et précautions»).
-Ciclosporine, Tacrolimus: La ciclosporine et le tacrolimus peuvent entraîner une altération de la fonction rénale et majorer le risque d'hyperkaliémie. L'utilisation concomitante d'éplérénone avec ciclosporine ou tacrolimus doit être évitée. Si l'administration de la ciclosporine et du tacrolimus s'avère indispensable durant un traitement par l'éplérénone, un contrôle étroit de la kaliémie et de la fonction rénale est recommandé (voir «Mises en garde et précautions»).
-
- +Substrats du CYP3A4
- +Les résultats d'études pharmacocinétiques avec des substrats de test du CYP3A4, p.ex. le midazolam et le cisapride, n'ont pas montr�� d'interactions pharmacocinétiques significatives lorsque ces principes actifs sont utilisés simultanément à l'éplérénone.
- +Digoxine
- +L'ASC de la digoxine augmente de 16% (IC à 90%: 4-30%) en cas d'administration concomitante avec l'éplérénone. La prudence est recommandée si le taux de digoxine est proche de la limite supérieure thérapeutique.
- +Warfarine
- +La prudence est recommandée si le taux de warfarine se situe près de la limite supérieure thérapeutique.
-Grossesse: Les données sur l'utilisation de l'éplérénone durant la grossesse sont insuffisantes. Les études menées chez le rat et le lapin n'ont pas montré d'effet tératogène. Toutefois, une baisse du poids corporel et une augmentation des résorptions fœtales (perte après nidation) ainsi qu'une augmentation des fausses couches ont été observées chez les lapines à la plus haute dose appliquée. Le risque potentiel pour l'être humain est inconnu. C'est pourquoi l'éplérénone ne doit pas être administrée durant la grossesse, sauf nécessité absolue.
-Allaitement: On ignore si l'éplérénone passe dans le lait maternel après administration orale. Les données précliniques montrent que l'éplérénone et/ou ses métabolites sont présents dans le lait des rates. Ne pas allaiter en cas d'indication stricte pour l'utilisation de l'éplérénone.
- +Grossesse
- +Les données sur l'utilisation de l'éplérénone durant la grossesse sont insuffisantes. Les études menées chez le rat et le lapin n'ont pas montré d'effet tératogène. Toutefois, une baisse du poids corporel et une augmentation des résorptions fœtales (perte après nidation) ainsi qu'une augmentation des fausses couches ont été observées chez les lapines à la plus haute dose appliquée. Le risque potentiel pour l'être humain est inconnu. C'est pourquoi l'éplérénone ne doit pas être administrée durant la grossesse, sauf nécessité absolue.
- +Allaitement
- +On ignore si l'éplérénone passe dans le lait maternel après administration orale. Les données précliniques montrent que l'éplérénone et/ou ses métabolites sont présents dans le lait des rates. Ne pas allaiter en cas d'indication stricte pour l'utilisation de l'éplérénone.
-Les effets indésirables sont classés par système d'organe et fréquence absolue. Les fréquences sont définies de la manière suivante: très fréquent (≥1/10), fréquent (≥1/100, <1/10), occasionnel (≥1/1000, <1/100), rare (≥1/10'000, <1/1'000), très rare (<1/10'000).
-Infections et les affections parasitaires
- +Les effets indésirables sont classés par système d'organe et fréquence absolue. Les fréquences sont définies de la manière suivante: très fréquent (≥1/10), fréquent (≥1/100, <1/10), occasionnel (≥1/1000, <1/100), rare (≥1/10'000, <1/1000), très rare (<1/10'000).
- +Infections et infestations
-Troubles endocriniens
- +Affections endocriniennes
-Affections du foie et de la vésicule biliaire
- +Affections hépatobiliaires
-Résultats de laboratoire
- +Investigations
-Peau: angio-œdème, éruptions cutanées.
- +Peau: angio-oedème, éruptions cutanées.
- +Efficacité clinique
- +
-Le critère d'évaluation secondaire, à savoir la mortalité toutes causes , a été observé chez n=171 patients (12.5%) du groupe éplérénone et chez n=213 patients (15.5%) du groupe placebo (RR 0.76; IC à 95%, 0.62-0.93; p=0.008). Un décès d'origine cardiovasculaire a été rapporté chez n=147 patients (10.8%) du groupe éplérénone et chez n=185 patients (13.5%) du groupe placebo (RR 0.76; IC à 95%, 0.61-0.94; p=0.01).
- +Le critère d'évaluation secondaire, à savoir la mortalité toutes causes, a été observé chez n=171 patients (12.5%) du groupe éplérénone et chez n=213 patients (15.5%) du groupe placebo (RR 0.76; IC à 95%, 0.62-0.93; p=0.008). Un décès d'origine cardiovasculaire a été rapporté chez n=147 patients (10.8%) du groupe éplérénone et chez n=185 patients (13.5%) du groupe placebo (RR 0.76; IC à 95%, 0.61-0.94; p=0.01).
-La biodisponibilité absolue de l'éplérénone est de 69%. Les concentrations plasmatiques maximales moyennes sont atteintes environ 2 heures après la prise orale d'éplérénone. L'absorption au niveau de la partie terminale de l'iléon et du côlon a lieu avec un retard de 3 à 4 heures. Les pics plasmatiques (Cmax) et l'aire sous la courbe (ASC) sont proportionnels à la dose dans l'intervalle de doses allant de 10 mg à 100 mg, et moins proportionnels aux doses supérieures à 100 mg. L'absorption n'est pas influencée par les aliments.
-La liaison de l'éplérénone aux protéines plasmatiques est d'environ 50% et a lieu essentiellement avec l'alpha 1-glycoprotéine acide. Le volume de distribution apparent à l'état d'équilibre oscille entre 43 et 90 l. L'éplérénone ne se fixe pas de manière préférentielle sur les hématies.
- +La biodisponibilité absolue de l'éplérénone est de 69%. Les concentrations plasmatiques maximales sont atteintes environ 1,5-2 heures après la prise orale d'éplérénone. L'absorption au niveau de la partie terminale de l'iléon et du côlon a lieu avec un retard de 3 à 4 heures. Les pics plasmatiques (Cmax) et l'aire sous la courbe (ASC) sont proportionnels à la dose dans l'intervalle de doses allant de 10 mg à 100 mg, et moins proportionnels aux doses supérieures à 100 mg. L'absorption n'est pas influencée par les aliments.
- +La liaison de l'éplérénone aux protéines plasmatiques est d'environ 50% et a lieu essentiellement avec l'alpha 1-glycoprotéine acide. Le volume de distribution apparent à l'état d'équilibre est estimé à 42-90 l.
- +L'éplérénone ne se fixe pas de manière préférentielle sur les hématies.
-L'éplérénone est métabolisée principalement par le CYP3A4. Aucun métabolite actif de l'éplérénone n'a été identifié dans le plasma humain. La demi-vie d'élimination se situe entre 4 et 6 heures. La clairance plasmatique apparente est d'environ 10 l/h. L'état d'équilibre est atteint en 2 jours. Moins de 5% d'une dose d'éplérénone sont retrouvés sous forme inchangée dans les urines et les fèces. Après une dose orale unique d'éplérénone radiomarquée, environ 32% de la dose sont excrétés dans les fèces et environ 67% dans les urines.
- +L'éplérénone est métabolisée principalement par le CYP3A4. Aucun métabolite actif de l'éplérénone n'a été identifié dans le plasma humain. La demi-vie d'élimination se situe entre 4-6 heures. La clairance plasmatique apparente est d'environ 10 l/h. L'état d'équilibre est atteint en 2 jours. Moins de 5% d'une dose d'éplérénone sont retrouvés sous forme inchangée dans les urines et les fèces. Après une dose orale unique d'éplérénone radiomarquée, environ 32% de la dose sont excrétés dans les fèces et environ 67% dans les urines.
-Age, sexe et race: La pharmacocinétique de l'éplérénone n'était pas significativement différente entre les hommes et les femmes. A l'état d'équilibre, des augmentations de la Cmax (22%) et de l'ASC (45%) ont été observées chez les personnes âgées par rapport aux volontaires plus jeunes (18 à 45 ans). A l'état d'équilibre, la Cmax a été inférieure de 19% et l'ASC de 26% chez les sujets de race noire (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
-Insuffisance rénale: La pharmacocinétique de l'éplérénone a été évaluée chez des patients présentant des degrés variables d'insuffisance rénale et chez des patients sous hémodialyse. Par rapport aux volontaires sains, l'ASC à l'état d'équilibre était augmentée de 38% et la Cmax de 24% chez les patients atteints d'insuffisance rénale sévère, et diminuées de 26% et 3% respectivement chez les patients sous hémodialyse. Aucune corrélation entre la clairance plasmatique de l'éplérénone et la clairance de la créatinine n'a été observée. L'éplérénone n'est pas éliminée par hémodialyse (voir «Mises en garde et précautions»).
-Insuffisance hépatique: La pharmacocinétique de l'éplérénone à la posologie de 400 mg a été étudiée chez des patients souffrant d'insuffisance hépatique modérée (Classe Child-Pugh B) et comparée à celle de volontaires sains. La Cmax à l'état d'équilibre était augmentée de 3.6% et l'ASC de 42% (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
-Insuffisance cardiaque: La pharmacocinétique de l'éplérénone à la posologie de 50 mg a été évaluée chez des patients souffrant d'insuffisance cardiaque (classification II-IV de la NYHA). Par rapport aux volontaires sains d'âge, de poids et de sexe identiques, l'ASC à l'état d'équilibre était augmentée de 38% et la Cmax de 30% chez les patients insuffisants cardiaques. Conformément à ces résultats, une analyse pharmacocinétique de population basée sur un sous-ensemble de patients de l'étude EPHESUS a montré que la clairance de l'éplérénone chez les patients souffrant d'insuffisance cardiaque était similaire à celle de volontaires âgés sains.
- +Age, sexe et race
- +La pharmacocinétique de l'éplérénone n'était pas significativement différente entre les hommes et les femmes. A l'état d'équilibre, des augmentations de la Cmax (22%) et de l'ASC (45%) ont été observées chez les personnes âgées par rapport aux volontaires plus jeunes (18 à 45 ans). A l'état d'équilibre, la Cmax a été inférieure de 19% et l'ASC de 26% chez les sujets de race noire (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
- +Insuffisance rénale
- +La pharmacocinétique de l'éplérénone a été évaluée chez des patients présentant des degrés variables d'insuffisance rénale et chez des patients sous hémodialyse. Par rapport aux volontaires sains, l'ASC à l'état d'équilibre était augmentée de 38% et la Cmax de 24% chez les patients atteints d'insuffisance rénale sévère, et diminuées de 26% et 3% respectivement chez les patients sous hémodialyse. Aucune corrélation entre la clairance plasmatique de l'éplérénone et la clairance de la créatinine n'a été observée. L'éplérénone n'est pas éliminée par hémodialyse (voir «Mises en garde et précautions»).
- +Insuffisance hépatique
- +La pharmacocinétique de l'éplérénone à la posologie de 400 mg a été étudiée chez des patients souffrant d'insuffisance hépatique modérée (Child-Pugh B) et comparée à celle de volontaires sains. La Cmax à l'état d'équilibre était augmentée de 3.6% et l'ASC de 42% (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
- +Insuffisance cardiaque
- +La pharmacocinétique de l'éplérénone à la posologie de 50 mg a été évaluée chez des patients souffrant d'insuffisance cardiaque (classification II-IV de la NYHA). Par rapport aux volontaires sains d'âge, de poids et de sexe identiques, l'ASC à l'état d'équilibre était augmentée de 38% et la Cmax de 30% chez les patients insuffisants cardiaques. Conformément à ces résultats, une analyse pharmacocinétique de population basée sur un sous-ensemble de patients de l'étude EPHESUS a montré que la clairance de l'éplérénone chez les patients souffrant d'insuffisance cardiaque était similaire à celle de volontaires âgés sains.
-Dans les études de toxicologie en administration répétée menées chez le rat et le chien, une atrophie de la prostate a été observée à des niveaux d'exposition légèrement supérieurs aux niveaux d'exposition clinique. Les modifications de la prostate n'étaient pas accompagnées de conséquences fonctionnelles délétères. La signification clinique de ces résultats est incertaine.
- +Dans les études de toxicologie en administration répétée menées chez le rat et le chien, une atrophie de la prostate a été observée à des niveaux d'exposition de plusieurs fois supérieurs aux niveaux d'exposition clinique. Les modifications de la prostate n'étaient pas accompagnées de conséquences fonctionnelles délétères. La signification clinique de ces résultats est incertaine.
-Conserver dans l'emballage original et ne pas au-dessus de 30 °C. Tenir hors de portée des enfants.
- +Conserver dans l'emballage original et ne pas conserver au-dessus de 30 °C. Tenir hors de portée des enfants.
-66107 (Swissmedic)
- +66107 (Swissmedic).
-Janvier 2014
- +Octobre 2016.
- +Numéro de version interne: 2.1
|
|