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Accueil - Information professionnelle sur Tecentriq 1200 mg/20 ml - Changements - 13.08.2024
148 Changements de l'information professionelle Tecentriq 1200 mg/20 ml
  • -L-histidinum, acidum aceticum glaciale, saccharum, polysorbatum 20 (produit à partir de maïs génétiquement modifié), aqua ad iniectabilia.
  • +L-histidinum, acidum aceticum glaciale, saccharum, polysorbatum 20 (produit à partir de maïs génétiquement modifié), aqua ad iniectabile.
  • -Tecentriq, en association au nab-paclitaxel et au carboplatine, est indiqué pour le traitement de première intention des patients adultes atteints d'un NSCLC non épidermoïde métastatique sans aberrations génomiques tumorales du gène EGFR ou ALK.
  • +Tecentriq, en association au nab-paclitaxel et au carboplatine, est indiqué pour le traitement de première intention des patients atteints d'un NSCLC non épidermoïde métastatique sans aberrations génomiques tumorales du gène EGFR ou ALK.
  • -Tecentriq est indiqué en association avec du cobimétinib et du vémurafénib dans le traitement des patients adultes atteints d'un mélanome métastasique ou non résécable, testés positifs pour la mutation BRAF-V600E (voir «Efficacité clinique»).
  • +Tecentriq est indiqué en association avec du cobimétinib et du vémurafénib dans le traitement des patients adultes atteints d'un mélanome métastatique ou non résécable, testés positifs pour la mutation BRAF-V600E (voir «Efficacité clinique»).
  • -Tecentriq doit être administré en perfusion intraveineuse (i.v.) sous la surveillance d'un professionnel de la santé qualifié. Ne pas l'administrer en injection i.v. rapide ou bolus.
  • +Tecentriq doit être administré sous la surveillance d'un professionnel de la santé qualifié. Il est impératif de vérifier la désignation du produit afin de s'assurer que les patients reçoivent la formulation correcte, conformément à la prescription (Tecentriq pour administration i.v. ou Tecentriq pour administration s.c.).
  • +Afin d'assurer la traçabilité des médicaments biotechnologiques, il convient de documenter pour chaque traitement le nom commercial et le numéro de lot.
  • +Tecentriq dans sa formulation pour administration intraveineuse (Tecentriq i.v.) n'est pas destiné à être administré par voie sous-cutanée. Tecentriq doit être administré en perfusion intraveineuse (i.v.). Ne pas l'administrer en injection i.v. rapide ou bolus. Ne pas administrer d'autres médicaments simultanément par le même cathéter de perfusion. La dose initiale de Tecentriq doit être administrée pendant 60 minutes. Si la première perfusion a été bien tolérée, toutes les perfusions suivantes peuvent être administrées en 30 minutes.
  • -Ne pas administrer d'autres médicaments simultanément par le même cathéter de perfusion.
  • -Afin d'assurer la traçabilité des médicaments biotechnologiques, il convient de documenter pour chaque traitement le nom commercial et le numéro de lot.
  • -La dose initiale de Tecentriq doit être administrée pendant 60 minutes. Si la première perfusion a été bien tolérée, toutes les perfusions suivantes peuvent être administrées en 30 minutes.
  • -NSCLC non épidermoïque métastatique en 1L Tecentriq avec paclitaxel et carboplatine Phase d'induction: 1200 mg toutes les 3 semaines Tecentriq doit être administré avant le traitement combiné lorsque l'administration a lieu le même jour. Phase d'entretien (sans chimiothérapie): 1200 mg toutes les 3 semaines Phase d'induction: ·Tecentriq, suivi du paclitaxel, puis du carboplatine sont administrés toutes les 3 semaines en perfusion intraveineuse. Phase d'induction: ·pendant quatre ou six cycles Phase d'entretien: ·jusqu'à perte du bénéfice clinique ou survenue d'une toxicité qui ne peut pas être traitée
  • -NSCLC non épidermoïdes métastatique en 1L Tecentriq avec nab-paclitaxel et carboplatine Phase d'induction: ·Le nab-paclitaxel et le carboplatine sont administrés toutes les trois semaines en perfusion intraveineuse. ·Lors de chaque cycles de 21 jours, Tecentriq, le nab-paclitaxel et le carboplatine sont administrés au jour 1. ·Le nab-paclitaxel est également administré aux jours 8 et 15.
  • -ES-SCLC en 1L Tecentriq avec carboplatine et étoposide Phase d'induction: ·Le carboplatine, puis l'étoposide sont administrés toutes les trois semaines en perfusion intraveineuse. ·Tecentriq, le carboplatine, puis l'étoposide sont administrés au jour 1 de chaque cycle, ·L'étoposide est également administré aux jours 2 et 3 en perfusion intraveineuse. Phase d'induction: ·pendant quatre cycles Phase d'entretien: ·jusqu'à perte du bénéfice clinique ou survenue d'une toxicité qui ne peut pas être traitée
  • -TNBC en 1L Tecentriq avec nab-paclitaxel 840 mg toutes les 2 semaines Tecentriq doit être administré avant le traitement combiné lorsque l'administration a lieu le même jour. ·Le nab-paclitaxel est administré à la dose de 100 mg/m2 aux jours 1, 8 et 15 de chaque cycle de 28 jours en perfusion intrveineuse. ·Tecentriq est administré aux jours 1 et 15. ·La substitution du nab-paclitaxel par d'autres formulations de paclitaxel pour le traitement du TNBC n'est pas autorisée (voir «Indications/Possibilités d'emploi» et «Mises en garde et précautions»). Jusqu'à progression de la maladie ou survenue d'une toxicité inacceptable
  • -Mélanome Tecentriq avec cobimétinib et vémurafénib 840 mg toutes les 2 semaines ·Avant l'instauration du traitement par Tecentriq, les patients reçoivent pendant un cycle de 28 jours 60 mg de cobimétinib une fois par jour par voie orale (21 jours avec médication et 7 jours de pause) et 960 mg de vémurafénib deux fois par jour par voie orale aux jours 1-21 et 720 mg de vémurafénib deux fois par jour par voie orale aux jours 22-28 ·Pendant le traitement par Tecentriq, les patients reçoivent 60 mg de cobimétinib une fois par jour (21 jours avec médication et 7 jours de pause)et 720 mg de vémurafénib deux fois par jour par voie orale (voir «Efficacité clinique») Jusqu'à progression de la maladie ou survenue d'une toxicité inacceptable
  • -CHC en 1L Tecentriq avec bévacizumab 1200 mg toutes les 3 semaines Tecentriq doit être administré avant le traitement combiné lorsque l'administration a lieu le même jour. ·Tecentriq, suivi de 15 mg de bévacizumab par kg de poids corporel sont administrés toutes les 3 semaines en perfusion intraveineuse. Jusqu'à perte du bénéfice clinique ou survenue d'une toxicité qui ne peut pas être traitée
  • +NSCLC non épidermoïde métastatique en 1L Tecentriq avec paclitaxel et carboplatine Phase d'induction: 1200 mg toutes les 3 semaines Tecentriq doit être administré avant le traitement combiné lorsque l'administration a lieu le même jour. Phase d'entretien (sans chimiothérapie): 1200 mg toutes les 3 semaines Phase d'induction: ·Tecentriq, suivi du paclitaxel, puis du carboplatine en perfusion i.v., sont administrés toutes les 3 semaines. Phase d'induction: ·pendant quatre ou six cycles Phase d'entretien: ·jusqu'à perte du bénéfice clinique ou survenue d'une toxicité qui ne peut pas être traitée
  • +NSCLC non épidermoïde métastatique en 1L Tecentriq avec nab-paclitaxel et carboplatine Phase d'induction: ·Le nab-paclitaxel et le carboplatine sont administrés toutes les trois semaines en perfusion intraveineuse. ·Lors de chaque cycles de 21 jours, Tecentriq, le nab-paclitaxel et le carboplatine sont administrés au jour 1. ·Le nab-paclitaxel est également administré aux jours 8 et 15.
  • +ES-SCLC en 1L Tecentriq avec carboplatine et étoposide Phase d'induction: ·Le carboplatine, puis l'étoposide sont administrés toutes les trois semaines en perfusion intraveineuse. ·Tecentriq, le carboplatine, puis l'étoposide sont administrés au jour 1 de chaque cycle. ·L'étoposide est également administré aux jours 2 et 3 en perfusion intraveineuse. Phase d'induction: ·pendant quatre cycles Phase d'entretien: ·jusqu'à perte du bénéfice clinique ou survenue d'une toxicité qui ne peut pas être traitée
  • +TNBC en 1L Tecentriq avec nab-paclitaxel 840 mg toutes les 2 semaines Tecentriq doit être administré avant le traitement combiné lorsque l'administration a lieu le même jour. ·Le nab-paclitaxel est administré à la dose de 100 mg/m2 aux jours 1, 8 et 15 de chaque cycle de 28 jours en perfusion intrveineuse. ·Tecentriq est administré à un intervalle de 3 semaines. ·La substitution du nab-paclitaxel par d'autres formulations de paclitaxel pour le traitement du TNBC n'est pas autorisée (voir «Indications/Possibilités d'emploi» et «Mises en garde et précautions»). Jusqu'à progression de la maladie ou survenue d'une toxicité inacceptable
  • +Mélanome Tecentriq avec cobimétinib et vémurafénib 840 mg toutes les 2 semaines ·Avant l'instauration du traitement par Tecentriq, les patients reçoivent pendant un cycle de 28 jours 60 mg de cobimétinib une fois par jour par voie orale (21 jours avec médication et 7 jours de pause) et 960 mg de vémurafénib deux fois par jour par voie orale aux jours 1-21 et 720 mg de vémurafénib deux fois par jour par voie orale aux jours 22-28. ·Pendant le traitement par Tecentriq, les patients reçoivent 60 mg de cobimétinib une fois par jour (21 jours avec médication et 7 jours de pause)et 720 mg de vémurafénib deux fois par jour par voie orale (voir «Efficacité clinique»). Jusqu'à progression de la maladie ou survenue d'une toxicité inacceptable
  • +CHC en 1L Tecentriq avec bévacizumab 1200 mg toutes les 3 semaines Tecentriq doit être administré avant le traitement combiné lorsque l'administration a lieu le même jour. ·Tecentriq, suivi de 15 mg de bévacizumab par kg de poids corporel en perfusion intraveineuse, sont administrés toutes les 3 semaines. Jusqu'à perte du bénéfice clinique ou survenue d'une toxicité qui ne peut pas être traitée
  • -Réactions liées à la perfusion Grade 1 ou 2 Diminuer la vitesse de perfusion ou interrompre la perfusion. Le traitement peut être repris après la disparition de l'événement. Pour les doses suivantes, une prémédication par des antipyrétiques et des antihistaminiques peut être envisagée.
  • +Réactions liées à la perfusion Grade 1 ou 2 Diminuer la vitesse de perfusion ou interrompre le traitement. Le traitement peut être repris après la disparition de l'événement. Pour les doses suivantes, une prémédication par des antipyrétiques et des antihistaminiques peut être envisagée.
  • -Pneumonite à médiation immunitaire Grade 2 Interrompre la perfusion de Tecentriq En cas d'amélioration de l'événement indésirable au grade 0 ou 1 en l'espace de 12 semaines et de réduction des doses de corticostéroïdes à ≤10 mg par jour de prednisone ou équivalent, le traitement peut être repris.
  • +Pneumopathie inflammatoire à médiation immunitaire Grade 2 Interrompre la perfusion de Tecentriq En cas d'amélioration de l'événement indésirable au grade 0 ou 1 en l'espace de 12 semaines et de réduction des doses de corticostéroïdes à ≤10 mg par jour de prednisone ou équivalent, le traitement peut être repris.
  • -Hépatite à médiation immunitaire chez les patients sans CHC Grade 2: (ALAT ou ASAT > 3 à 5 x la limite supérieure de la norme [LSN] ou bilirubinémie > 1,5 à 3 x LSN) Interrompre la perfusion de Tecentriq En cas d'amélioration de l'événement indésirable au grade 0 ou 1 en l'espace de 12 semaines et de réduction des doses de corticostéroïdes à ≤10 mg par jour de prednisone ou équivalent, le traitement peut être repris.
  • -Grade 3 ou 4: (ALAT ou ASAT > 5 x LSN ou bilirubinémie > 3 x LSN) Arrêter définitivement Tecentriq
  • -Hépatite à médiation immunitaire chez les patients atteints de CHC Taux initiaux d'ASAT/ALAT dans les limites de la norme et augmentation à > 3 x à ≤ 10 x LSN Taux initiaux d'ASAT/ALAT > 1 à ≤ 3 x LSN et augmentation à > 5 x à ≤ 10 x LSN Taux initiaux d'ASAT/ALAT > 3 x à ≤ 5 x LSN et augmentation à > 8 x à ≤ 10 x LSN Interrompre la perfusion de Tecentriq Le traitement peut être repris lorsque l'effet indésirable s'améliore jusqu'au grade 0 ou au grade 1 en l'espace de 12 semaines et que la dose de corticostéroïdes a été réduite à ≤10 mg de prednisone ou équivalent par jour.
  • -Augmentation des taux d'ASAT/ALAT à > 10 x LSN ou augmentation de la bilirubine totale à > 3 x LSN Arrêter définitivement Tecentriq
  • +Hépatite à médiation immunitaire chez les patients sans CHC Grade 2: (ALAT ou ASAT > 3 à 5 × la limite supérieure de la norme [LSN] ou bilirubinémie > 1,5 à 3 × LSN) Interrompre la perfusion de Tecentriq En cas d'amélioration de l'événement indésirable au grade 0 ou 1 en l'espace de 12 semaines et de réduction des doses de corticostéroïdes à ≤10 mg par jour de prednisone ou équivalent, le traitement peut être repris.
  • +Grade 3 ou 4: (ALAT ou ASAT > 5 × LSN ou bilirubinémie > 3 × LSN) Arrêter définitivement Tecentriq
  • +Hépatite à médiation immunitaire chez les patients atteints de CHC Taux initiaux d'ASAT/ALAT dans les limites de la norme et augmentation à > 3 × à ≤ 10 × LSN Taux initiaux d'ASAT/ALAT > 1 à ≤ 3 × LSN et augmentation à > 5 × à ≤ 10 × LSN Taux initiaux d'ASAT/ALAT > 3 × à ≤ 5 × LSN et augmentation à > 8 × à ≤ 10 × LSN Interrompre la perfusion de Tecentriq Le traitement peut être repris lorsque l'effet indésirable s'améliore jusqu'au grade 0 ou au grade 1 en l'espace de 12 semaines et que la dose de corticostéroïdes a été réduite à ≤10 mg de prednisone ou équivalent par jour.
  • +Augmentation des taux d'ASAT/ALAT à > 10 × LSN ou augmentation de la bilirubine totale à > 3 × LSN Arrêter définitivement Tecentriq
  • -Néphrite à médiation immunitaire Grade 2: (taux de créatinine > 1,5 - 3,0 x valeur initiale au début du traitement ou > 1,5 - 3,0 x LSN) Interrompre la perfusion de Tecentriq En cas d'amélioration de l'événement indésirable au grade 0 ou 1 en l'espace de 12 semaines et de réduction des doses de corticostéroïdes à ≤10 mg par jour de prednisone ou équivalent, le traitement peut être repris.
  • -Grade 3: (taux de créatinine > 3,0 x valeur initiale au début du traitement ou > 3,0 - 6,0 x LSN) ou grade 4: (taux de créatinine > 6,0 x LSN) Arrêter définitivement Tecentriq
  • -Éruption cutanée/Réactions cutanées sévères à médiation immunitaire Grade 3 ou suspicion de syndrome de Stevens-Johnson (SSJ) ou de nécrolyse épidermique toxique (NET) Interrompre la perfusion de Tecentriq Après la disparition de l'éruption cutanée et la réduction des doses de corticostéroïdes à ≤10 mg par jour de prednisone ou équivalent, le traitement peut être repris.
  • -Grade 4 ou confirmation d'un syndrome de Stevens-Johnson (SSJ) ou d'une nécrolyse épidermique toxique (NET) Arrêter définitivement Tecentriq
  • +Néphrite à médiation immunitaire Grade 2: (taux de créatinine > 1,5 - 3,0 × valeur initiale au début du traitement ou > 1,5 - 3,0 × LSN) Interrompre la perfusion de Tecentriq En cas d'amélioration de l'événement indésirable au grade 0 ou 1 en l'espace de 12 semaines et de réduction des doses de corticostéroïdes à ≤10 mg par jour de prednisone ou équivalent, le traitement peut être repris.
  • +Grade 3: (taux de créatinine > 3,0 × valeur initiale au début du traitement ou > 3,0 - 6,0 × LSN) ou grade 4: (taux de créatinine > 6,0 × LSN) Arrêter définitivement Tecentriq
  • +Éruption cutanée/Réactions cutanées sévères à médiation immunitaire Grade 3 ou suspicion de syndrome de Stevens-Johnson (SSJ) ou de nécrolyse épidermique toxique (NET) Interrompre la perfusion de Tecentriq Après la disparition de l'éruption cutanée et la réduction des doses de corticostéroïdes à ≤10 mg par jour de prednisone ou équivalent, le traitement peut être repris.
  • +Grade 4 ou confirmation d'un syndrome de Stevens-Johnson (SSJ) ou d'une nécrolyse épidermique toxique (NET) Arrêter définitivement Tecentriq
  • -Remarque: Les grades de toxicité correspondent aux critères généraux de terminologie pour les événements indésirables de l'Institut national du cancer (National Cancer Institute Common Terminology Criteria for Adverse Event), version 4.0 (NCI-CTCAE v.4.).
  • +Remarque: Les grades de toxicité correspondent aux critères généraux de terminologie pour les événements indésirables de l'Institut national du cancer (National Cancer Institute Common Terminology Criteria for Adverse Event), version 5.0 (NCI-CTCAE v.5.).
  • -Il est recommandé d'administrer une dose initiale de 175 mg/m2 de paclitaxel toutes les trois semaines aux patients asiatiques, en raison d'une toxicité hématologique accrue observée dans cette population au cours de l'étude IMpower 150.
  • +Il est recommandé d'administrer une dose initiale de 175 mg/m2 de paclitaxel toutes les trois semaines aux patients asiatiques, en raison d'une toxicité hématologique accrue observée dans cette population au cours de l'étude IMpower150.
  • -Pneumonite à médiation immunitaire
  • -Des cas de pneumonites, dont certains d'issue fatale, ont été observés au cours d'études cliniques réalisées avec Tecentriq (voir «Effets indésirables, Études cliniques»). Les patients doivent être surveillés à la recherche de signes et de symptômes d'une pneumonite.
  • -En cas de pneumonite de grade 2, il convient d'interrompre le traitement par Tecentriq et d'instaurer un traitement par 1 à 2 mg/kg de prednisone ou équivalent par jour. En cas d'amélioration des symptômes à un grade ≤1, les corticostéroïdes doivent être arrêtés progressivement sur une période de ≥1 mois. Le traitement par Tecentriq peut être repris en cas d'amélioration de l'événement à un grade ≤1 en l'espace de 12 semaines et de réduction des doses de corticostéroïdes à ≤10 mg de prednisone orale ou équivalent par jour. En cas de pneumonite de grade 3 ou 4, il convient d'arrêter définitivement le traitement par Tecentriq.
  • -Lors de l'étude portant sur le mélanome (CO39262), la fréquence de survenue d'une pneumonite d'origine immunologique a été plus élevée chez les patients ayant reçu Tecentriq en association avec le cobimétinib et le vémurafénib (voir «Effets indésirables»).
  • +Pneumopathie inflammatoire à médiation immunitaire
  • +Des cas de pneumopathies inflammatoires, dont certains d'issue fatale, ont été observés au cours d'études cliniques réalisées avec Tecentriq (voir «Effets indésirables, Études cliniques»). Les patients doivent être surveillés à la recherche de signes et de symptômes d'une pneumopathie inflammatoire.
  • +En cas de pneumopathie inflammatoire de grade 2, il convient d'interrompre le traitement par Tecentriq et d'instaurer un traitement par 1 à 2 mg/kg de prednisone ou équivalent par jour. En cas d'amélioration des symptômes à un grade ≤1, les corticostéroïdes doivent être arrêtés progressivement sur une période de ≥1 mois. Le traitement par Tecentriq peut être repris en cas d'amélioration de l'événement à un grade ≤1 en l'espace de 12 semaines et de réduction des doses de corticostéroïdes à ≤10 mg de prednisone orale ou équivalent par jour. En cas de pneumopathie inflammatoire de grade 3 ou 4, il convient d'arrêter définitivement le traitement par Tecentriq.
  • +Lors de l'étude portant sur le mélanome (CO39262), la fréquence de survenue d'une pneumopathie inflammatoire d'origine immunologique a été plus élevée chez les patients ayant reçu Tecentriq en association avec le cobimétinib et le vémurafénib (voir «Effets indésirables»).
  • -En cas de persistance des symptômes de grade 2 (ALAT ou ASAT > 3x la limite supérieure de la norme (LSN) ou bilirubinémie > 1,5x LSN) pendant plus de 5 à 7 jours, il convient d'interrompre le traitement et d'instaurer un traitement par 1 à 2 mg/kg de prednisone ou équivalent par jour. En cas d'amélioration des anomalies du BH à un grade ≤1, les corticostéroïdes doivent être arrêtés progressivement sur une période de ≥1 mois. Le traitement par Tecentriq peut être repris en cas d'amélioration de l'événement à un grade ≤1 en l'espace de 12 semaines et de réduction des doses de corticostéroïdes à ≤10 mg de prednisone orale ou équivalent par jour. En cas d'événements de grade 3 ou 4 (ALAT ou ASAT > 5,0x LSN ou bilirubinémie > 3x LSN), il convient d'arrêter définitivement le traitement par Tecentriq.
  • +En cas de persistance des symptômes de grade 2 (ALAT ou ASAT > 3× la limite supérieure de la norme (LSN) ou bilirubinémie > 1,5× LSN) pendant plus de 5 à 7 jours, il convient d'interrompre le traitement et d'instaurer un traitement par 1 à 2 mg/kg de prednisone ou équivalent par jour. En cas d'amélioration des anomalies du BH à un grade ≤1, les corticostéroïdes doivent être arrêtés progressivement sur une période de ≥1 mois. Le traitement par Tecentriq peut être repris en cas d'amélioration de l'événement à un grade ≤1 en l'espace de 12 semaines et de réduction des doses de corticostéroïdes à ≤10 mg de prednisone orale ou équivalent par jour. En cas d'événements de grade 3 ou 4 (ALAT ou ASAT > 5,0× LSN ou bilirubinémie > 3× LSN), il convient d'arrêter définitivement le traitement par Tecentriq.
  • -En cas d'augmentation des taux sériques d'amylase ou de lipase de grade ≥3 (> 2,0x LSN) ou de pancréatite de grade 2 ou 3, il convient d'interrompre le traitement par Tecentriq et d'instaurer un traitement par 1 à 2 mg/kg de méthylprednisolone i.v. ou équivalent par jour. Dès que les symptômes s'améliorent, il faut passer à un traitement par 1 à 2 mg/kg de prednisone orale ou équivalent par jour. Le traitement par Tecentriq peut être repris en cas d'amélioration des taux sériques d'amylase et de lipase à un grade ≤1 en l'espace de 12 semaines et après la disparition des symptômes de la pancréatite, ainsi qu'en cas de réduction des doses de corticostéroïdes à ≤10 mg de prednisone orale ou équivalent par jour. En cas de pancréatite de grade 4 ou de réapparition d'une pancréatite de quelque grade que ce soit, il convient d'arrêter définitivement le traitement par Tecentriq.
  • +En cas d'augmentation des taux sériques d'amylase ou de lipase de grade ≥3 (> 2,0× LSN) ou de pancréatite de grade 2 ou 3, il convient d'interrompre le traitement par Tecentriq et d'instaurer un traitement par 1 à 2 mg/kg de méthylprednisolone i.v. ou équivalent par jour. Dès que les symptômes s'améliorent, il faut passer à un traitement par 1 à 2 mg/kg de prednisone orale ou équivalent par jour. Le traitement par Tecentriq peut être repris en cas d'amélioration des taux sériques d'amylase et de lipase à un grade ≤1 en l'espace de 12 semaines et après la disparition des symptômes de la pancréatite, ainsi qu'en cas de réduction des doses de corticostéroïdes à ≤10 mg de prednisone orale ou équivalent par jour. En cas de pancréatite de grade 4 ou de réapparition d'une pancréatite de quelque grade que ce soit, il convient d'arrêter définitivement le traitement par Tecentriq.
  • +Affections cardiaques
  • +Affections du péricarde à médiation immunitaire
  • +Des affections du péricarde, incluant péricardite, épanchement péricardique et tamponnade cardiaque, dont certaines d'issue fatale, ont été observées lors d'études cliniques réalisées avec Tecentriq (voir «Effets indésirables: Études cliniques et Données post-commercialisation»). Les patients doivent être surveillés à la recherche de signes et/ou de symptômes cliniques d'affections du péricarde. Les recommandations pour l'ajustement posologique figurent à la rubrique «Posologie/Mode d'emploi».
  • +
  • -Affections du péricarde à médiation immunitaire
  • -Des affections du péricarde, incluant péricardite, épanchement péricardique et tamponnade cardiaque, dont certains d'issue fatale, ont été observées lors des études cliniques réalisées avec Tecentriq (voir «Effets indésirables: Études cliniques et Données post-commercialisation»). Les patients doivent être surveillés pour la détection de tous signes et symptômes cliniques d'affections du péricarde. Les recommandations pour l'ajustement posologique figurent à la rubrique «Posologie/Mode d'emploi».
  • -·antécédents de pneumonite,
  • +·antécédents de pneumopathie inflammatoire,
  • -L'évaluation de la sécurité de Tecentriq en monothérapie repose sur les données regroupées de 5093 patients atteints de différents types de tumeurs et sur des données complémentaires issues de l'exposition cumulée de > 13 000 patients inclus dans l'ensemble des études cliniques (voir tableau 2). Les effets indésirables les plus fréquemment identifiés dans les études cliniques en rapport avec Tecentriq en monothérapie (> 10%) étaient fatigue (29,0%), diminution de l'appétit (19,9%), éruption cutanée (19,5%), nausées (18,8%), pyrexie (17,9%), diarrhée (17,9%), toux (17,3%), arthralgie (16,1%), dyspnée (15,8%), anémie (14,3%), prurit (13,4%), asthenie (13,0%), dorsalgies (12,2%), infection des voies urinaires (11,9%), vomissements (11,7%), anomalies des valeurs de laboratoire pour l'hépatite (11,2%) et céphalées (10,2%).
  • -Le tableau 2 présente également sous une forme résumée les effets indésirables (EI) observés durant les études cliniques sous traitement combiné avec Tecentriq (n=5196). Les effets indésirables les plus fréquents (≥10%) étaient les suivants: anémie (35,3%), neutropénie (35,0%), nausées (34,5%), fatigue (32,4%), éruption cutanée (30,4%), alopécie (29,8%), diarrhées (28,6%), neuropathie périphérique (24,8%), constipation (24,7%), thrombocytopénie (24,2%), diminution de l'appétit (23,4%), arthralgies (20,9%), pyrexie (19,2%), vomissements (18,9%), asthénie (18,6%), anomalies des valeurs de laboratoire pour l'hépatite (18,4%), toux (17,9%), dyspnée (15,0%), douleurs musculosquelettiques (15,6%), céphalées (14,5%), prurit (13,9%), leucopénie (13,9%), hypothyroïdie (13,7%), hypertension (13,2%), infection pulmonaire (12,3%), dorsalgies (11,4%), augmentation du taux d'ALAT (11,4%), augmentation du taux d'ASAT (11,0%), œdèmes périphériques (10,8%), et rhinopharyngite (10,3%).
  • +L'évaluation de la sécurité de Tecentriq en monothérapie repose sur les données regroupées de 5464 patients atteints de différents types de tumeurs et sur des données complémentaires issues de l'exposition cumulée de > 13'000 patients inclus dans l'ensemble des études cliniques (voir tableau 4). Les effets indésirables les plus fréquemment identifiés dans les études cliniques en rapport avec Tecentriq en monothérapie (> 10%) étaient fatigue (27,9%), diminution de l'appétit (19,3%), éruption cutanée (18,8%), nausées (17,9%), diarrhée (17,1%), pyrexie (17,0%), toux (16,8%), constipation (16,2%), dyspnée (15,6%), arthralgie (15,5%), anémie (14,5%), prurit (13,0%), asthénie (12,6%), dorsalgies (12,0%), infection des voies urinaires (11,5%), hépatite [anomalies des valeurs de laboratoire] (11,2%) et vomissements (11,1%).
  • +Le tableau 4 présente également sous une forme résumée les effets indésirables (EI) observés durant les études cliniques sous traitement combiné avec Tecentriq (n = 5196). Les effets indésirables les plus fréquents (≥10%) étaient les suivants: anémie (35,3%), neutropénie (35,0%), nausées (34,5%), fatigue (32,4%), éruption cutanée (30,4%), alopécie (29,8%), diarrhées (28,6%), neuropathie périphérique (24,8%), constipation (24,7%), thrombocytopénie (24,2%), diminution de l'appétit (23,4%), arthralgies (20,9%), pyrexie (19,2%), vomissements (18,9%), asthénie (18,6%), anomalies des valeurs de laboratoire pour l'hépatite (18,4%), toux (17,9%), dyspnée (15,0%), douleurs musculosquelettiques (15,6%), céphalées (14,5%), prurit (13,9%), leucopénie (13,9%), hypothyroïdie (13,7%), hypertension (13,2%), infection pulmonaire (12,3%), dorsalgies (11,4%), augmentation du taux d'ALAT (11,4%), augmentation du taux d'ASAT (11,0%), œdèmes périphériques (10,8%), et rhinopharyngite (10,3%).
  • -Dans l'étude CO39262 (Imspire150), les patients qui recevaient Tecentriq en association avec du cobimétinib et du vémurafénib ont eu une fréquence plus élevée d'anomalies hépatiques de laboratoire (114/230, 49,6%), de pancréatite (89/230, 38,7%), d'hypothyroïdie (60/230, 26,1%), d'hyperthyroïdie (43/230, 18,7%), pneumopathie inflammatoire (29/230, 12,6%), de méningo-encéphalite (6/230, 2,6%), de diabète sucré (4/230, 1,7%), de myosite (3/230, 1,3%), de néphrite (3/230, 1,3%) et d'hypophysite (2/230, 0,9%).
  • -Les effets indésirables graves les plus fréquents (≥2%) étaient les suivants: pyrexie (5,7%) et élévation de l'alanine aminotransférase (2,2%).
  • +Dans l'étude CO39262 (IMspire150), les patients qui recevaient Tecentriq i.v. en association avec du cobimétinib et du vémurafénib ont eu une fréquence plus élevée d'anomalies hépatiques de laboratoire (114/230, 49,6%), de pancréatite (89/230, 38,7%), d'hypothyroïdie (60/230, 26,1%), d'hyperthyroïdie (43/230, 18,7%), de pneumopathie inflammatoire (29/230, 12,6%), de méningo-encéphalite (6/230, 2,6%), de diabète sucré (4/230, 1,7%), de myosite (3/230, 1,3%), de néphrite (3/230, 1,3%) et d'hypophysite (2/230, 0,9%). Les effets indésirables graves les plus fréquents (≥2%) étaient les suivants: pyrexie (5,7%) et élévation de l'alanine aminotransférase (2,2%).
  • -Tableau 4: Résumé des effets indésirables rapportés chez les patients traités par Tecentriq dans le cadre d'études cliniques
  • - Monothérapie par Tecentriq n=5093 Traitement combiné avec Tecentriq n=5196
  • +Tableau 4: Résumé des effets indésirables rapportés chez les patients traités par Tecentriq i.v. ou s.c.dans le cadre d'études cliniques
  • + Monothérapie par Tecentriq n = 5464 Traitement combiné avec Tecentriq n = 5196
  • -Très fréquents Infection des voies urinaires a (tous grades confondus: 11,9%, grade 3-4: 3,3%) Infection pulmonaire b (tous grades confondus: 12,3%, grade 3-4: 4,7%, grade 5: 0,6%)
  • +Très fréquents Infection des voies urinaires a (tous grades confondus: 11,5%, grade 3-4: 3,1%) Infection pulmonaire b (tous grades confondus: 12,3%, grade 3-4: 4,7%, grade 5: 0,6%)
  • -Très fréquents Anémie (tous grades confondus: 14,3%, grade 3-4: 3,8%) Anémie (tous grades confondus: 35,3%, grade 3-4: 12,8%), thrombocytopénie c (tous grades confondus: 24,2%, grade 3-4: 9,4%, grade 5: < 0,1%), neutropénie d (tous grades confondus: 35,0%, grade 3-4: 23,0%, grade 5: 0,1%), leucopénie e (tous grades confondus 13,9%, grade 3-4: 5,6%)
  • +Très fréquents Anémie (tous grades confondus: 14,5%, grade 3-4: 3,8%) Anémie (tous grades confondus: 35,3%, grade 3-4: 12,8%), thrombocytopénie c (tous grades confondus: 24,2%, grade 3-4: 9,4%, grade 5: < 0,1%), neutropénie d (tous grades confondus: 35,1%, grade 3-4: 23,1%, grade 5: 0,1%), leucopénie e (tous grades confondus 13,9%, grade 3-4: 5,6%)
  • -Très fréquents Hypothyroïdie g (tous grades confondus: 13,7%, grade 3-4: 0,2%)
  • +Très fréquents Hypothyroïdie g (tous grades confondus: 14,0%, grade 3-4: 0,2%)
  • -Très fréquents Diminution de l'appétit (tous grades confondus: 19,9%, grade 3-4: 0,9%) Diminution de l'appétit (tous grades confondus: 23,4%, grade 3-4: 1,5%, grade 5: < 0,1%)
  • +Très fréquents Diminution de l'appétit (tous grades confondus: 19,3%, grade 3-4: 0,9%) Diminution de l'appétit (tous grades confondus: 23,4%, grade 3-4: 1,5%, grade 5: < 0,1%)
  • -Très fréquents Céphalées (tous grades confondus: 10,2%, grade 3-4: 0,3%) Céphalées (tous grades confondus: 14,5%, grade 3-4: 0,3%), neuropathie périphérique o (tous grades confondus: 24,8%, grade 3-4: 3,0%)
  • +Très fréquents Céphalées (tous grades confondus: 10,2%, grade 3-4: 0,3%) Céphalées (tous grades confondus: 14,7%, grade 3-4: 0,3%), neuropathie périphérique o (tous grades confondus: 24,9%, grade 3-4: 3,0%)
  • -Très fréquents Toux (tous grades confondus: 17,3%, grade 3-4: 0,2%), dyspnée (tous grades confondus: 15,8%, grade 3-4: 2,5%) Toux (tous grades confondus: 17,9%, grade 3-4: 0,2%), dyspnée (tous grades confondus: 15,0%, grade 3-4: 1,7%, grade 5: < 0,1%), rhinopharyngite v (tous grades confondus: 10,3%, grade 3-4: < 0,1%)
  • -Fréquents Hypoxie w, rhinopharyngite v, pneumonite x Pneumonite x, dysphonie
  • +Très fréquents Toux (tous grades confondus: 16,8%, grade 3-4: 0,2%), dyspnée (tous grades confondus: 15,6%, grade 3-4: 2,4%) Toux (tous grades confondus: 18,0%, grade 3-4: 0,2%), dyspnée (tous grades confondus: 15,1%, grade 3-4: 1,7%, grade 5: < 0,1%), rhinopharyngite v (tous grades confondus: 10,6%, grade 3-4: < 0,1%)
  • +Fréquents Hypoxie w, rhinopharyngite v, pneumopathie inflammatoire x Pneumopathie inflammatoire x, dysphonie
  • -Très fréquents Diarrhées y (tous grades confondus: 17,9%, grade 3-4: 1,1%), nausées (tous grades confondus: 18,8%, grade 3-4: 0,7%), vomissements (tous grades confondus: 11,7%, grade 3-4: 0,7%) Constipation (tous grades confondus: 24,7%, grade 3-4: 0,5%), diarrhées y (tous grades confondus: 28,6%, grade 3-4: 2,6%), nausées (tous grades confondus: 34,5%, grade 3-4: 1,5%), vomissements (tous grades confondus: 18,9%, grade 3-4: 1,4%)
  • +Très fréquents Diarrhées y (tous grades confondus: 17,1%, grade 3-4: 1,0%), nausées (tous grades confondus: 17,9%, grade 3-4: 0,7%), vomissements (tous grades confondus: 11,1%, grade 3-4: 0,6%) Constipation (tous grades confondus: 24,7%, grade 3-4: 0,5%), diarrhées y (tous grades confondus: 28,7%, grade 3-4: 2,6%), nausées (tous grades confondus: 34,5%, grade 3-4: 1,5%), vomissements (tous grades confondus: 19,0%, grade 3-4: 1,4%)
  • -Très fréquents Anomalies des valeurs de laboratoire pour l'hépatite cc (tous grades confondus: 11,2%, grade 3-4: 3,3%) Anomalies des valeurs de laboratoire pour l'hépatite cc (tous grades confondus: 18,4%, grade 3-4: 5,6%, grade 5: < 0,1%), augmentation du taux d'ALAT (tous grades confondus: 11,4%, grade 3-4: 2,5%), augmentation du taux d'ASAT (tous grades confondus: 11,0%, grade 3-4: 2,3%)
  • +Très fréquents Hépatite - anomalies des valeurs de laboratoire cc (tous grades confondus: 11,2%, grade 3-4: 3,2%) Hépatite - anomalies des valeurs de laboratoire cc (tous grades confondus: 18,5%, grade 3-4: 5,6%, grade 5: < 0,1%), augmentation du taux d'ALAT (tous grades confondus: 11,4%, grade 3-4: 2,5%), augmentation du taux d'ASAT (tous grades confondus: 11,0%, grade 3-4: 2,3%)
  • -Très fréquents Prurit (tous grades confondus: 13,4%, grade 3-4: 0,2%), éruption cutanée ee (tous grades confondus: 19,5%, grade 3-4: 1,1%) Prurit (tous grades confondus: 13,9%, grade 3-4: 0,2%), éruption cutanée ee (tous grades confondus: 30,4%, grade 3-4: 2,7%), alopécie ff (tous grades confondus: 29,8%, grade 3-4: < 0,1%)
  • +Très fréquents Prurit (tous grades confondus: 13,0%, grade 3-4: 0,2%), éruption cutanée ee (tous grades confondus: 18,8%, grade 3-4: 1,1%) Prurit (tous grades confondus: 14,0%, grade 3-4: 0,2%), éruption cutanée ee (tous grades confondus: 30,6%, grade 3-4: 2,7%), alopécie ff (tous grades confondus: 29,8%, grade 3-4: < 0,1%)
  • -Très fréquents Arthralgies (tous grades confondus: 16,1%, grade 3-4: 0,8%), dorsalgies (tous grades confondus: 12,2%, grade 3-4: 1,1%) Arthralgies (tous grades confondus: 20,9%, grade 3-4: 1,1%), dorsalgies (tous grades confondus: 11,4%, grade 3-4: 0,8%), douleurs musculosquelettiques ee (tous grades confondus: 15,6%, grade 3-4: 0,7%)
  • +Très fréquents Arthralgies (tous grades confondus: 15,5%, grade 3-4: 0,8%), dorsalgies (tous grades confondus: 12,0%, grade 3-4: 1,1%) Arthralgies (tous grades confondus: 21,8%, grade 3-4: 1,1%), dorsalgies (tous grades confondus: 11,5%, grade 3-4: 0,8%), douleurs musculosquelettiques ii (tous grades confondus: 15,1%, grade 3-4: 0,7%)
  • -Très fréquents Asthénie (tous grades confondus: 13,0%, grade 3-4: 1,6%), fatigue (tous grades confondus: 29,0%, grade 3-4: 2,4%), pyrexie (tous grades confondus: 17,9%, grade 3-4: 0,6%) Asthénie (tous grades confondus: 18,6%, grade 3-4: 2,8%), fatigue (tous grades confondus: 32,5%, grade 3-4: 3,5%), pyrexie (tous grades confondus: 19,2%, grade 3-4: 0,9%), œdèmes périphériques (tous grades confondus: 10,8%, grade 3-4: 0,2%)
  • -Fréquents Frissons, affection grippale, réactions liées à la perfusion oo, œdèmes périphériques
  • +Très fréquents Asthénie (tous grades confondus: 12,6%, grade 3-4: 1,5%), fatigue (tous grades confondus: 27,9%, grade 3-4: 2,3%), pyrexie (tous grades confondus: 17,0%, grade 3-4: 0,5%) Asthénie (tous grades confondus: 18,7%, grade 3-4: 2,8%), fatigue (tous grades confondus: 32,5%, grade 3-4: 3,5%), pyrexie (tous grades confondus: 19,3%, grade 3-4: 0,9%), œdèmes périphériques (tous grades confondus: 10,9%, grade 3-4: 0,2%)
  • +Fréquents Frissons, affection grippale, réactions liées à la perfusion oo, réaction au site d'injection pp, œdèmes périphériques
  • -a Inclut des cas rapportés d'infection urinaire, de cystite, de pyélonéphrite, d'infection urinaire à Escherichia, d'infection urinaire bactérienne, d'infection rénale, de pyélonéphrite aiguë, d'infection fongique des voies urinaires, d'infection urinaire à Pseudomonas, d'infection urinaire à entérocoques, de pyélonéphrite chronique, d'infection urinaire à staphylocoques, d'abcès rénal, de pyélite et d'urétrite
  • -b Inclut des cas rapportés de pneumonie, de bronchite, d'infection des voies respiratoires inférieures, d'exacerbation infectieuse d'une bronchopneumopathie chronique obstructive, d'épanchement pleural infectieux, de pneumonie atypique, d'abcès pulmonaire, d'infection pleurale, de pneumonie post-procédure, de trachéobronchite, de pneumonie paranéoplasique et de pyopneumothorax
  • +a Inclut des cas rapportés d'infection urinaire, de cystite, de pyélonéphrite, d'infection urinaire à Escherichia, d'infection urinaire bactérienne, d'infection rénale, de pyélonéphrite aiguë, d'infection fongique des voies urinaires, d'infection urinaire à Pseudomonas, d'infection urinaire à entérocoques, de pyélonéphrite chronique, d'infection urinaire à staphylocoques, d'abcès rénal, de pyélite et d'urétrite, d'infection urinaire à streptocoques
  • +b Inclut des cas rapportés de pneumonie, de bronchite, d'infection des voies respiratoires inférieures, d'exacerbation infectieuse d'une bronchopneumopathie chronique obstructive, d'épanchement pleural infectieux, de pneumonie atypique, d'abcès pulmonaire, d'infection pleurale, de pneumonie post-procédure, de trachéobronchite, de pneumonie paranéoplasique, de pyopneumothorax
  • -g Inclut des cas rapportés d'hypothyroïdie, d'augmentation et de diminution des taux sanguins de thyréostimuline, de thyroïdite auto-immune, de goitre, de thyroïdite, de diminution des taux sanguins de thyroxine libre ou de tri-iodothyronine, de troubles thyroïdiens, d'augmentation des taux sanguins de thyroxine libre ou de thyroxine totale, de diminution des taux sanguins de tri-iodothyronine totale, d'augmentation des taux sanguins de tri-iodothyronine libre, de taux sanguins anormaux de thyréostimuline, de syndrome euthyroïdien, de coma myxœdémateux, de paramètres fonctionnels thyroïdiens anormaux, de diminution de la thyroxine, de tri-iodothyronine anormale, de positivité des anticorps antithyroïdiens, de thyroïdite silencieuse et de thyroïdite chronique, de thyroïdite à médiation immunitaire, de myxœdème, de thyroïdite aiguë, de tri-iodothyronine libre anormale, d'augmentation de la tri-iodothyronine
  • -h Inclut des cas rapportés d'hyperthyroïdie, de maladie de Basedow, d'ophtalmopathie endocrinienne, d'exophtalmie et d'hyperthyroïdie primitive
  • -i Inclut des cas rapportés d'insuffisance surrénalienne, de déficit en glucocorticoïdes, d'insuffisance surrénalienne primitive, de diminution du cortisol, d'insuffisance corticosurrénalienne aiguë, de test de stimulation à l'ACTH anormal, de maladie d'Addison, d'inflammation des glandes surrénales, de déficit en hormone adrénocorticotrope (ACTH), de taux sanguins anormaux de corticotropine, d'augmentation des taux sanguins de corticotropine, d'insuffisance corticosurrénalienne secondaire
  • +g Inclut des cas rapportés d'hypothyroïdie, d'augmentation et de diminution des taux sanguins de thyréostimuline, de thyroïdite auto-immune, de goitre, de thyroïdite, de diminution des taux sanguins de thyroxine libre ou de tri-iodothyronine, de troubles thyroïdiens, d'augmentation des taux sanguins de thyroxine libre ou de thyroxine totale, de diminution des taux sanguins de tri-iodothyronine totale, d'augmentation des taux sanguins de tri-iodothyronine libre, de taux sanguins anormaux de thyréostimuline, de syndrome euthyroïdien, de coma myxœdémateux, de paramètres fonctionnels thyroïdiens anormaux, de diminution de la thyroxine, de tri-iodothyronine anormale, de positivité des anticorps antithyroïdiens, de thyroïdite silencieuse, de thyroïdite chronique, de thyroïdite à médiation immunitaire, de myxœdème, de thyroïdite aiguë, de tri-iodothyronine libre anormale, d'augmentation de la tri-iodothyronine, d'hypothyroïdie auto-immune, d'hypothyroïdie primaire, de goitre hypothyroïdien, d'hypothyroïdie à médiation immunitaire
  • +h Inclut des cas rapportés d'hyperthyroïdie, de maladie de Basedow, d'ophtalmopathie endocrinienne, d'exophtalmie et d'hyperthyroïdie primaire
  • +i Inclut des cas rapportés d'insuffisance surrénalienne, de déficit en glucocorticoïdes, d'insuffisance surrénalienne primaire, de diminution du cortisol, d'insuffisance corticosurrénalienne aiguë, de test de stimulation à l'ACTH anormal, de maladie d'Addison, d'inflammation des glandes surrénales, de déficit en hormone adrénocorticotrope (ACTH), de taux sanguins anormaux de corticotropine, d'augmentation des taux sanguins de corticotropine, d'insuffisance corticosurrénalienne secondaire, de corticotropine sanguine diminuée
  • -k Inclut des cas rapportés d'hypophysite et de trouble de la régulation de la température
  • +k Inclut des cas rapportés d'hypophysite, d'hypopituitarisme, de trouble de la régulation de la température, d'insuffisance surrénalienne secondaire
  • -o Inclut des cas rapportés de neuropathie périphérique, de neuropathie à médiation immunitaire, de neuropathie sensitive périphérique, de polyneuropathie, de zona, de neuropathie motrice périphérique, de neuropathie auto-immune, d'amyotrophie névralgique, de neuropathie sensitivo-motrice périphérique, de neuropathie axonale, de plexopathie lombo-sacrée, d'arthropathie neuropathique, et de neuropathie toxique, d'infection des nerfs périphériques, de névrite
  • -p Inclut des cas rapportés de syndrome de Guillain-Barré et de polyneuropathie démyélinisante
  • -q Inclut des cas rapportés d'encéphalite, de méningite, de photophobie et d'encéphalite auto-immune
  • +o Inclut des cas rapportés de neuropathie périphérique, de neuropathie à médiation immunitaire, de neuropathie sensitive périphérique, de polyneuropathie, de zona, de neuropathie motrice périphérique, de neuropathie auto-immune, d'amyotrophie névralgique, de neuropathie sensitivo-motrice périphérique, de neuropathie axonale, de plexopathie lombo-sacrée, d'arthropathie neuropathique, de neuropathie toxique, d'infection des nerfs périphériques, de névrite
  • +p Inclut des cas rapportés de syndrome de Guillain-Barré, de polyneuropathie démyélinisante, de paralysie flasque ascendante
  • +q Inclut des cas rapportés d'encéphalite, de méningite, de photophobie, d'encéphalite auto-immune, de méningite aseptique
  • -t Rapportée dans des études en dehors des données combinées. La fréquence repose sur l'exposition dans le cadre de la totalité du programme
  • +t Inclut des cas rapportés de myocardite, de myocardite auto-immune, de myocardite à médiation immunitaire (des cas de myocardite ont été rapportés dans des études en dehors des données combinées)
  • -x Inclut des cas rapportés de pneumonite, d'alvéolite, de toxicité pulmonaire, d'infiltration pulmonaire, de bronchiolite, de pneumopathie interstitielle, de pneumonite radique, d'opacité pulmonaire, de pneumopathie alvéolaire, de pneumonie à éosinophiles, de pneumonite à médiation immunitaire, de fibrose pulmonaire, de lésions pulmonaires radiques
  • -y Inclut des cas rapportés de diarrhées, de selles fréquentes et d'hypermotilité gastro-intestinale, de selles impérieuses, de diarrhées hémorragiques
  • -z Inclut des cas rapportés de colite, de colite de diversion, de colite auto-immune, de colite ischémique, de colite microscopique, de colite ulcéreuse, d'entérocolite à médiation immunitaire
  • +x Inclut des cas rapportés de pneumopathie inflammatoire, d'alvéolite, de toxicité pulmonaire, d'infiltration pulmonaire, de bronchiolite, de pneumopathie interstitielle, de pneumopathie inflammatoire radique, d'opacité pulmonaire, de pneumopathie alvéolaire, de pneumonie à éosinophiles, de pneumopathie inflammatoire à médiation immunitaire, de fibrose pulmonaire, de lésions pulmonaires radiques, de maladie pulmonaire à médiation immunitaire
  • +y Inclut des cas rapportés de diarrhées, de selles fréquentes, d'hypermotilité gastro-intestinale, de selles impérieuses, de diarrhées hémorragiques
  • +z Inclut des cas rapportés de colite, de colite de diversion, de colite auto-immune, de colite ischémique, de colite microscopique, de colite ulcéreuse, d'entérocolite à médiation immunitaire, de colite éosinophilique
  • -bb Inclut des cas rapportés de pancréatite, de pancréatite auto-immune, de pancréatite aiguë, d'augmentation de la lipase et d'augmentation de l'amylase, d'augmentation des enzymes pancréatiques et d'amylase anormale
  • -cc Inclut des cas rapportés d'augmentation des taux d'ALAT, d'augmentation des taux d'ASAT, d'augmentation de la bilirubine dans le sang, d'augmentation de la gamma-glutamyltransférase, d'ascite, d'augmentation des transaminases, de douleurs hépatiques, d'hyperbilirubinémie, d'augmentation des paramètres fonctionnels hépatiques, d'augmentation des enzymes hépatiques, de trouble de la fonction hépatique, d'hypertransaminasémie, d'augmentation des taux sanguins de bilirubine non conjuguée, d'hyperammoniémie, d'augmentation des taux d'acides biliaires totaux, d'augmentation des taux d'ammoniaque, d'hépatopathie congestive, d'augmentation des taux urinaires de bilirubine, d'augmentation des taux sanguins de bilirubine conjuguée, d'hépatomégalie, d'enzymes hépatiques anormaux, de paramètres fonctionnels hépatiques anormaux
  • -dd Inclut des cas rapportés d'ascite, d'hépatite auto-immune, de lésion hépatocellulaire, d'hépatite, d'hépatite aiguë, d'hépatotoxicité, de maladie hépatique, de lésion hépatique d'origine médicamenteuse, de défaillance hépatique, de stéatose hépatique, de lésion hépatique, d'hémorragie de varices œsophagiennes, de varices œsophagiennes, d'hépatomégalie et d'hépatite toxique
  • -ee Inclut des cas rapportés d'éruption cutanée, d'éruption cutanée maculopapuleuse, d'érythème, d'éruption cutanée prurigineuse, de dermatite acnéiforme, d'eczéma, de dermatite, d'éruption cutanée érythémateuse, d'ulcération cutanée, d'éruption cutanée papuleuse, de folliculite, d'éruption cutanée maculeuse, de desquamation cutanée, de dermatite des mains, d'eczéma infecté, de dermatite scrotale, d'éruption cutanée nodulaire, d'éruption cutanée folliculaire, d'éruption cutanée morbilliforme, d'éruption cutanée pustuleuse, de furoncle, d'acné, d'exanthème médicamenteux, de syndrome d'érythrodysesthésie palmo-plantaire, de dermatite séborrhéique, de dermatite allergique, d'érythème de la paupière, de toxicité cutanée, d'éruption cutanée de la paupière, d'exanthème fixe, d'éruption cutanée papulo-squameuse, d'éruption cutanée vésiculaire, de bulle cutanée, de vésicules labiales, de pemphigoïde, de bulle hémorragique buccale
  • +bb Inclut des cas rapportés de pancréatite, de pancréatite auto-immune, de pancréatite aiguë, d'augmentation de la lipase, d'augmentation de l'amylase, d'augmentation des enzymes pancréatiques, d'amylase anormale
  • +cc Inclut des cas rapportés d'augmentation des taux d'ALAT, d'augmentation des taux d'ASAT, d'augmentation de la bilirubine dans le sang, d'augmentation de la gamma-glutamyltransférase, d'ascite, d'augmentation des transaminases, de douleurs hépatiques, d'hyperbilirubinémie, d'augmentation des paramètres fonctionnels hépatiques, d'augmentation des enzymes hépatiques, de trouble de la fonction hépatique, d'hypertransaminasémie, d'augmentation des taux sanguins de bilirubine non conjuguée, d'hyperammoniémie, d'augmentation des taux d'acides biliaires totaux, d'augmentation des taux d'ammoniaque, d'hépatopathie congestive, d'augmentation des taux urinaires de bilirubine, d'augmentation des taux sanguins de bilirubine conjuguée, d'hépatomégalie, d'enzymes hépatiques anormaux, de paramètres fonctionnels hépatiques anormaux, de bilirubine sanguine anormale
  • +dd Inclut des cas rapportés d'ascite, d'hépatite auto-immune, de lésion hépatocellulaire, d'hépatite, d'hépatite aiguë, d'hépatotoxicité, de maladie hépatique, de lésion hépatique d'origine médicamenteuse, de défaillance hépatique, de stéatose hépatique, de lésion hépatique, d'hémorragie de varices œsophagiennes, de varices œsophagiennes, d'hépatomégalie et d'hépatite toxique, de cytolyse hépatique, d'hépatite à médiation immunitaire, de lésion hépatique, de péritonite bactérienne spontanée
  • +ee Inclut des cas rapportés d'éruption cutanée, d'éruption cutanée maculopapuleuse, d'érythème, d'éruption cutanée prurigineuse, de dermatite acnéiforme, d'eczéma, de dermatite, d'éruption cutanée érythémateuse, d'ulcération cutanée, d'éruption cutanée papuleuse, de folliculite, d'éruption cutanée maculeuse, de desquamation cutanée, de dermatite des mains, d'eczéma infecté, de dermatite scrotale, d'éruption cutanée nodulaire, d'éruption cutanée folliculaire, d'éruption cutanée morbilliforme, d'éruption cutanée pustuleuse, de furoncle, d'acné, d'exanthème médicamenteux, de syndrome d'érythrodysesthésie palmo-plantaire, de dermatite séborrhéique, de dermatite allergique, d'érythème de la paupière, de toxicité cutanée, d'éruption cutanée de la paupière, d'exanthème fixe, d'éruption cutanée papulo-squameuse, d'éruption cutanée vésiculaire, de bulle cutanée, de vésicules labiales, de pemphigoïde, de bulle hémorragique buccale, d'exanthème de l'accès vasculaire, de dermatite à médiation immunitaire
  • -jj Inclut des cas rapportés de myosite, de rhabdomyolyse, de pseudopolyarthrite rhizomélique, de dermatomyosite, d'abcès musculaire et de présence de myoglobine dans les urines
  • +jj Inclut des cas rapportés de myosite, de rhabdomyolyse, de pseudopolyarthrite rhizomélique, de dermatomyosite, d'abcès musculaire, de présence de myoglobine dans les urines, de myopathie, de polymyosite
  • -oo Inclut des cas rapportés de réaction liée à la perfusion et de syndrome de relargage des cytokines
  • +oo Inclut des cas rapportés de réaction liée à la perfusion et de syndrome de relargage des cytokines, d'hypersensibilité, de réaction anaphylactique
  • +pp Rapportée dans l'étude IMscin001 (se référant à l'administration par voie sous-cutanée). L'indication de fréquence repose sur l'exposition à Tecentriq s.c.dans l'étude IMscin001 et inclut des rapports de réactions au site d'injection, de douleurs au site d'injection, d'érythème au site d'injection et d'éruption cutanée au site d'injection
  • -Lors des études cliniques menées chez 5093 patients atteints de différents types de cancers, qui ont reçu Tecentriq, 41,7% des patients ont développé des infections, notamment des infections de grade 3 (8,2%), de grade 4 (1,7%) et de grade 5 (0,9%). Les infections de grade 3 ou supérieur les plus fréquentes étaient les infections urinaires et les pneumonies, survenues chez respectivement 2,5 et 2,3% des patients.
  • -Dans l'étude sur le mélanome (CO39262), les infections étaient plus fréquentes chez les patients recevant Tecentriq en association avec du cobimétinib et du vémurafénib. Des infections sont survenues chez 60,4% (139/230) des patients, dont des infections de grade 3-4 chez 8,7% (20/230) et des infections de grade 5 chez 1,7% (4/230) des patients. L'infection urinaire était l'infection la plus fréquente et elle est survenue chez 7,8% (18/230) des patients.
  • +Lors des études cliniques menées chez 5464 patients atteints de différents types de cancers, qui ont reçu Tecentriq, 41,1% des patients ont développé des infections, notamment des infections de grade 3 (8,1%), de grade 4 (1,6%) et de grade 5 (1,0%). Les infections de grade 3 ou supérieur les plus fréquentes étaient les infections urinaires et les pneumonies, survenues chez respectivement 2,5 et 2,4% des patients.
  • +Dans l'étude sur le mélanome (CO39262), les infections étaient plus fréquentes chez les patients ayant reçu Tecentriq i.v. en association avec du cobimétinib et du vémurafénib. Des infections sont survenues chez 60,4% (139/230) des patients, dont des infections de grade 3-4 chez 8,7% (20/230) et des infections de grade 5 chez 1,7% (4/230) des patients. L'infection urinaire était l'infection la plus fréquente et elle est survenue chez 7,8% (18/230) des patients.
  • -Une lymphohistiocytose hémophagocytaire (LLH) est survenue chez < 0,1% (2/5093) des patients ayant reçu Tecentriq en monothérapie. Le délai médian d'apparition a été de 2,7 mois (intervalle: de 1,6 à 3,8 mois). La durée a été de 1,1 mois (intervalle: de 0,9 à 1,4 mois). Chez 1 patient (< 0,1%), la LLH a entraîné l'arrêt de Tecentriq. Aucun des deux patients n'a eu besoin de corticostéroïdes.
  • -Pneumonite à médiation immunitaire
  • -Une pneumonite est survenue chez 3,4% (150/5093) des patients ayant reçu Tecentriq en monothérapie. Cet événement a eu une issue fatale chez trois des 150 patients. Le délai médian d'apparition a été de 4,0 mois (intervalle: de 0,1 à 29,8 mois). La durée médiane a été de 1,7 mois (intervalle: de 0 à 27,8+ mois; le signe + signale une valeur censurée). Chez 36 patients (0,7%), la pneumonite a entraîné une interruption du traitement par Tecentriq. Une pneumonite ayant nécessité l'utilisation de corticostéroïdes est survenue chez 1,7% (85/5093) des patients traités par Tecentriq.
  • -Dans l'étude sur le mélanome (CO39262), les pneumonies d'origine immunologique étaient plus fréquentes chez les patients recevant Tecentriq en association avec du cobimétinib et du vémurafénib. Une pneumonie d'origine immunologique est survenue chez 12,6% (29/230) des patients et était de grade 3 à 4 chez 1,3% (3/230) des patients.
  • +Une lymphohistiocytose hémophagocytaire (LLH) est survenue chez < 0,1% (2/5464) des patients ayant reçu Tecentriq en monothérapie. Le délai médian d'apparition a été de 2,7 mois (intervalle: de 1,6 à 3,8 mois). La durée a été de 1,1 mois (intervalle: de 0,9 à 1,4 mois). Chez 1 patient (< 0,1%), la LLH a entraîné l'arrêt de Tecentriq. Aucun des deux patients n'a eu besoin de corticostéroïdes.
  • +Pneumopathie inflammatoire à médiation immunitaire
  • +Une pneumopathie inflammatoire est survenue chez 2,9% (156/5464) des patients ayant reçu Tecentriq en monothérapie. Cet événement a eu une issue fatale chez trois des 156 patients. Le délai médian d'apparition a été de 4,0 mois (intervalle: de 0,1 à 29,8 mois). La durée médiane a été de 1,8 mois (intervalle: de 0 à 27,8+ mois; le signe + signale une valeur censurée). Chez 36 patients (0,7%), la pneumopathie inflammatoire a entraîné une interruption du traitement par Tecentriq. Une pneumopathie inflammatoire ayant nécessité l'utilisation de corticostéroïdes est survenue chez 1,6% (88/5464) des patients traités par Tecentriq.
  • +Dans l'étude IMscin001, une pneumopathie inflammatoire est survenue chez 2,0% (5/247) des patients traités par Tecentriq s.c.
  • +Dans l'étude sur le mélanome (CO39262), les pneumopathies inflammatoires d'origine immunologique étaient plus fréquentes chez les patients ayant reçu Tecentriq i.v. en association avec du cobimétinib et du vémurafénib. Une pneumopathie inflammatoire d'origine immunologique est survenue chez 12,6% (29/230) des patients et était de grade 3 à 4 chez 1,3% (3/230) des patients.
  • -Une hépatite est survenue chez 1,7% (87/5093) des patients ayant reçu Tecentriq en monothérapie. Cet événement a eu une issue fatale chez trois des 80 patients. Le délai médian d'apparition a été de 1,4 mois (intervalle: de 0,0 à 25,8 mois). La durée médiane a été de 2,0 mois (intervalle: de 0 à 32,4+ mois; le signe + signale une valeur censurée). Une hépatite a entraîné une interruption du traitement par Tecentriq chez 18 patients (0,4%). Une hépatite a nécessité l'administration de corticostéroïdes chez 0,6% (30/5093) des patients traités par Tecentriq.
  • -Dans l'étude sur le mélanome (CO39262), les hépatites d'origine immunologique étaient plus fréquentes chez les patients ayant reçu Tecentriq en association avec du cobimétinib et du vémurafénib. Une hépatite d'origine immunologique est survenue chez 53,0% (122/230) des patients et était de grade 3-4 chez 22,2% (51/230) des patients et de grade 5 chez 0,9% (2/230) des patients. La plupart des événements en lien avec une hépatite d'origine immunologique signalée chez les patients traités par Tecentriq en association avec du cobimétinib et du vémurafénib étaient des valeurs de laboratoire anormales (114 des 122 patients [93,4%]).
  • +Une hépatite est survenue chez 1,7% (90/5464) des patients ayant reçu Tecentriq en monothérapie. Cet événement a eu une issue fatale chez trois des 90 patients. Le délai médian d'apparition a été de 1,9 mois (intervalle: de 0,2 à 18,8 mois). La durée médiane a été de 1,1 mois (intervalle: de 0 à 32,4+ mois; le signe + signale une valeur censurée). Une hépatite a entraîné une interruption du traitement par Tecentriq chez 18 patients (0,3%). Une hépatite a nécessité l'administration de corticostéroïdes chez 0,6% (32/5464) des patients traités par Tecentriq.
  • +Dans l'étude IMscin001, une hépatite à médiation immunitaire est survenue chez 1,2% (3/247) des patients traités par Tecentriq s.c.. Dans l'étude sur le mélanome (CO39262), les hépatites d'origine immunologique étaient plus fréquentes chez les patients ayant reçu Tecentriq i.v. en association avec du cobimétinib et du vémurafénib. Une hépatite d'origine immunologique est survenue chez 53,0% (122/230) des patients et était de grade 3-4 chez 22,2% (51/230) des patients et de grade 5 chez 0,9% (2/230) des patients. La plupart des événements en lien avec une hépatite d'origine immunologique signalée chez les patients traités par Tecentriq en association avec du cobimétinib et du vémurafénib étaient des valeurs de laboratoire anormales (114 des 122 patients [93,4%]).
  • -Une colite est survenue chez 1,2% (61/5093) des patients ayant reçu Tecentriq en monothérapie. Le délai médian d'apparition a été de 4,9 mois (intervalle: de 0,5 à 17,2 mois). La durée médiane a été de 1,4 mois (intervalle: de 0,1 à 50,2+ mois; le signe + signale une valeur censurée). Chez 22 patients (0,4%), la colite a entraîné une interruption du traitement par Tecentriq. Chez 0,5% (28/5093) des patients sous traitement par Tecentriq, la survenue d'une colite a nécessité l'utilisation de corticostéroïdes.
  • -Dans l'étude sur le mélanome (CO39262), les diarrhées et les colites étaient plus fréquentes chez les patients ayant reçu Tecentriq en association avec du cobimétinib et du vémurafénib. Des diarrhées ou une colite sont survenues chez 50,4% (116/230) des patients et étaient de grade 3-4 chez 3,0% (7/230) des patients.
  • +Une colite est survenue chez 1,1% (62/5464) des patients ayant reçu Tecentriq en monothérapie. Le délai médian d'apparition a été de 4,9 mois (intervalle: de 0,5 à 17,2 mois). La durée médiane a été de 1,4 mois (intervalle: de 0,1 à 50,2+ mois; le signe + signale une valeur censurée). Chez 23 patients (0,4%), la colite a entraîné une interruption du traitement par Tecentriq. Chez 0,5% (29/5464) des patients sous traitement par Tecentriq, la survenue d'une colite a nécessité l'utilisation de corticostéroïdes.
  • +Dans l'étude sur le mélanome (CO39262), les diarrhées ou les colites étaient plus fréquentes chez les patients ayant reçu Tecentriq i.v. en association avec du cobimétinib et du vémurafénib. Des diarrhées ou une colite sont survenues chez 50,4% (116/230) des patients et étaient de grade 3-4 chez 3,0% (7/230) des patients.
  • -Une hypothyroïdie est survenue chez 8,6% (364/5093) des patients ayant reçu Tecentriq en monothérapie. Le délai médian d'apparition a été de 4,2 mois (intervalle: de 0 à 34,5 mois).
  • -Une hyperthyroïdie est survenue chez 2,6% (131/5093) des patients ayant reçu Tecentriq en monothérapie. Le délai médian d'apparition a été de 2,7 mois (intervalle: de 0 à 24,3 mois). La durée médiane a été de 2,5 mois (intervalle: de 0+ à 47,7+ mois; le signe + signale une valeur censurée).
  • +Une hypothyroïdie est survenue chez 8,6% (471/5464) des patients ayant reçu Tecentriq en monothérapie. Le délai médian d'apparition a été de 4,2 mois (intervalle: de 0 à 34,5 mois). L'hypothyroïdie a entraîné une interruption du traitement par Tecentriq chez 10 patients (0,2%). La durée médiane a été de 51,1 mois (intervalle: de 0,1+ à 56,2+ mois; le signe + signale une valeur censurée).
  • +Une hyperthyroïdie est survenue chez 2,5% (138/5464) des patients ayant reçu Tecentriq en monothérapie. Le délai médian d'apparition a été de 2,7 mois (intervalle: de 0 à 24,3 mois). La durée médiane a été de 2,6 mois (intervalle: de 0+ à 47,7+ mois; le signe + signale une valeur censurée). L'hyperthyroïdie a entraîné une interruption du traitement par Tecentriq chez 5 patients (< 0,1%).
  • -Dans l'étude sur le mélanome (CO39262), l'hypothyroïdie et l'hyperthyroïdie étaient plus fréquentes chez les patients recevant Tecentriq en association avec du cobimétinib et du vémurafénib. Une hypothyroïdie est survenue chez 26,1% (60/230) des patients; aucune n'était de grade 3-4. Une hyperthyroïdie est survenue chez 18,7% (43/230) des patients et était de grade 3-4 chez 0,9% (2/230) des patients.
  • +Dans l'étude IMscin001, une hypothyroïdie est survenue chez 10,5% (26/247) des patients traités par Tecentriq s.c. et une hyperthyroïdie est survenue chez 2,0% (5/247) des patients traités par Tecentriq s.c.
  • +Dans l'étude sur le mélanome (CO39262), l'hypothyroïdie et l'hyperthyroïdie étaient plus fréquentes chez les patients ayant reçu Tecentriq i.v. en association avec du cobimétinib et du vémurafénib. Une hypothyroïdie est survenue chez 26,1% (60/230) des patients; aucune n'était de grade 3-4. Une hyperthyroïdie est survenue chez 18,7% (43/230) des patients et était de grade 3-4 chez 0,9% (2/230) des patients.
  • -Une insuffisance surrénalienne est survenue chez 0,5% (25/5093) des patients ayant reçu Tecentriq en monothérapie. Le délai médian d'apparition a été de 6,5 mois (intervalle: de 0,1 à 21,4 mois). L'insuffisance surrénalienne a entraîné l'interruption du traitement chez 5 patients (< 0,1%). Chez 0,4% (21/5093) des patients sous traitement par Tecentriq, la survenue d'une insuffisance surrénalienne a nécessité l'utilisation de corticostéroïdes.
  • +Une insuffisance surrénalienne est survenue chez 0,5% (26/5464) des patients ayant reçu Tecentriq en monothérapie. Le délai médian d'apparition a été de 6,7 mois (intervalle: de 0,1 à 21,4 mois). L'insuffisance surrénalienne a entraîné l'interruption du traitement chez 5 patients (< 0,1%). Chez 0,4% (22/5464) des patients sous traitement par Tecentriq, la survenue d'une insuffisance surrénalienne a nécessité l'utilisation de corticostéroïdes.
  • +Dans l'étude IMscin001, une insuffisance surrénalienne est survenue chez 0,4% (1/247) des patients traités par Tecentriq s.c.
  • +
  • -Une hypophysite est survenue chez 0,1% (6/5093) des patients ayant reçu Tecentriq en monothérapie. Le délai médian d'apparition a été de 6,1 mois chez ce patient (intervalle: de 0,8 à 13,7 mois). L'hypophysite a entraîné l'interruption de Tecentriq chez 1 patient (< 0,1%) et nécessité le recours à des corticostéroïdes chez < 0,1% (5/5093) des patients sous traitement par Tecentriq. Dans une étude en cours, une hypophysite est survenue chez 0,8% (3/393) des patients ayant reçu Tecentriq en association à bévacizumab, au paclitaxel et au carboplatine. Le délai médian d'apparition a été de 7,7 mois (intervalle: de 5,0 à 8,8 mois). Les trois patients ont nécessité un traitement par des corticostéroïdes.
  • +Une hypophysite est survenue chez 0,1% (6/5464) des patients ayant reçu Tecentriq en monothérapie. Le délai médian d'apparition a été de 6,1 mois chez ces patients (intervalle: de 0,8 à 13,7 mois). L'hypophysite a entraîné l'interruption de Tecentriq chez 1 patient (< 0,1%) et nécessité le recours à des corticostéroïdes chez < 0,1% (5/5464) des patients sous traitement par Tecentriq. Dans une étude en cours, une hypophysite est survenue chez 0,8% (3/393) des patients ayant reçu Tecentriq i.v. en association au bévacizumab, au paclitaxel et au carboplatine. Le délai médian d'apparition a été de 7,7 mois (intervalle: de 5,0 à 8,8 mois). Les trois patients ont nécessité un traitement par des corticostéroïdes.
  • -Un diabète sucré est survenu chez 0,5% (26/5093) des patients ayant reçu Tecentriq en monothérapie. Le délai médian d'apparition a été de 5,4 mois (intervalle: de 0,1 à 29,0 mois). La durée médiane a été de 9,2 mois (intervalle: de 0,1 à 51,2+ mois; le signe + signale une valeur censurée). Chez 3 patients (< 0,1%), le diabète sucré a entraîné une interruption du traitement par Tecentriq et trois patients ont nécessité un traitement par des corticostéroïdes.
  • -Un diabète sucré est survenu chez 2,0% (10/493) des patients atteints de CHC ayant reçu Tecentriq en association avec le bévacizumab. Le délai médian d'apparition a été de 4,4 mois (intervalle: de 1,2 à 8,3 mois). Aucun des cas de diabète sucré n'a nécessité l'arrêt de Tecentriq.
  • +Un diabète sucré est survenu chez 0,5% (26/5464) des patients ayant reçu Tecentriq en monothérapie. Le délai médian d'apparition a été de 5,4 mois (intervalle: de 0,1 à 29,0 mois). La durée médiane a été de 9,2 mois (intervalle: de 0,1 à 51,2+ mois; le signe + signale une valeur censurée). Chez 3 patients (< 0,1%), le diabète sucré a entraîné une interruption du traitement par Tecentriq et quatre patients ont nécessité un traitement par des corticostéroïdes.
  • +Un diabète sucré est survenu chez 2,0% (10/493) des patients atteints de CHC ayant reçu Tecentriq i.v. en association avec le bévacizumab. Le délai médian d'apparition a été de 4,4 mois (intervalle: de 1,2 à 8,3 mois). Aucun des cas de diabète sucré n'a nécessité l'arrêt de Tecentriq.
  • -Une méningoencéphalite est survenue chez 0,5% (24/5093) des patients ayant reçu Tecentriq en monothérapie. Le délai d'apparition a été de 0,5 mois (intervalle: de 0 à 12,5 mois). La durée médiane a été de 0,7 mois (intervalle: de 0,1+ à 14,5+ mois; le signe + signale une valeur censurée). Une méningoencéphalite a entraîné l'interruption de Tecentriq chez 9 patients (0,2%) et nécessité le recours à des corticostéroïdes chez 0,3% (14/5093) des patients sous traitement par Tecentriq.
  • +Une méningoencéphalite est survenue chez 0,5% (24/5464) des patients ayant reçu Tecentriq en monothérapie. Le délai d'apparition a été de 0,5 mois (intervalle: de 0 à 12,5 mois). La durée médiane a été de 0,7 mois (intervalle: de 0,1+ à 14,5+ mois; le signe + signale une valeur censurée). Une méningoencéphalite a entraîné l'interruption de Tecentriq chez 9 patients (0,2%) et nécessité le recours à des corticostéroïdes chez 0,3% (14/5464) des patients sous traitement par Tecentriq.
  • -Un syndrome de Guillain-Barré et une polyneuropathie démyélinisante sont survenus chez 0,1% (6/5093) des patients ayant reçu Tecentriq en monothérapie. Le délai médian d'apparition de cet événement a été de 4,1 mois (intervalle: de 0,6 à 8,1 mois). La durée médiane a été de 8,0 mois (intervalle: de 0,6 à 24,5+ mois; le signe + signale une valeur censurée). Un syndrome de Guillain-Barré a entraîné l'interruption de Tecentriq chez 1 patient (< 0,1%). Chez < 0,1% (3/5093) des patients, un syndrome de Guillain-Barré a nécessité le recours à des corticostéroïdes.
  • +Un syndrome de Guillain-Barré et une polyneuropathie démyélinisante sont survenus chez 0,1% (6/5464) des patients ayant reçu Tecentriq en monothérapie. Le délai médian d'apparition de cet événement a été de 4,1 mois (intervalle: de 0,6 à 8,1 mois). La durée médiane a été de 8,0 mois (intervalle: de 0,6 à 24,5+ mois; le signe + signale une valeur censurée). Un syndrome de Guillain-Barré a entraîné l'interruption de Tecentriq chez 3 patients (< 0,1%). Chez < 0,1% (3/5464) des patients, un syndrome de Guillain-Barré a nécessité le recours à des corticostéroïdes.
  • -Une parésie faciale est survenue chez < 0,1% (1/5093) des patients ayant reçu Tecentriq en monothérapie. Le délai d'apparition a été de 0,95 mois. La durée a été de 1,1 mois. Cet événement n'a pas nécessité le recours à des corticostéroïdes et n'a pas entraîné l'arrêt de Tecentriq.
  • +Une parésie faciale est survenue chez < 0,1% (1/5464) des patients ayant reçu Tecentriq en monothérapie. Le délai d'apparition a été de 1,0 mois. La durée a été de 1,1 mois. Cet événement n'a pas nécessité le recours à des corticostéroïdes et n'a pas entraîné l'arrêt de Tecentriq.
  • -Une myélite à médiation immunitaire est survenue chez < 0,1% (1/5093) des patients ayant reçu Tecentriq en monothérapie. Le délai d'apparition a été de 0,76 mois. Cet événement a nécessité le recours à des corticostéroïdes, mais n'a pas entraîné l'arrêt de Tecentriq.
  • +Une myélite à médiation immunitaire est survenue chez < 0,1% (1/5464) des patients ayant reçu Tecentriq en monothérapie. Le délai d'apparition a été de 0,76 mois. Cet événement a nécessité le recours à des corticostéroïdes, mais n'a pas entraîné l'arrêt de Tecentriq.
  • -Une pancréatite, y compris une augmentation des taux sériques d'amylase et de lipase, est survenue chez 0,8% (43/5093) des patients ayant reçu Tecentriq en monothérapie. Le délai médian d'apparition a été de 6,2 mois (intervalle: de 0 à 24,8 mois). La durée médiane a été de 0,9 mois (intervalle: de 0 à 24,8+ mois; le signe + signale une valeur censurée). Chez 3 patients (< 0,1%), la pancréatite a entraîné l'interruption du traitement par Tecentriq. Chez < 0,1% (7/5093) des patients ayant reçu Tecentriq, une pancréatite a nécessité le recours à des corticostéroïdes.
  • +Une pancréatite, y compris une augmentation des taux sériques d'amylase et de lipase, est survenue chez 0,8% (43/5464) des patients ayant reçu Tecentriq en monothérapie. Le délai médian d'apparition a été de 6,2 mois (intervalle: de 0 à 40,4 mois). La durée médiane a été de 0,9 mois (intervalle: de 0 à 40,4+ mois; le signe + signale une valeur censurée). Chez 3 patients (< 0,1%), la pancréatite a entraîné l'interruption du traitement par Tecentriq. Chez < 0,1% (7/5464) des patients ayant reçu Tecentriq, une pancréatite a nécessité le recours à des corticostéroïdes.
  • -Une myosite est survenue chez 0,6% (33/5093) des patients qui avaient reçu Tecentriq en monothérapie. Le délai médian d'apparition a été de 3,6 mois (intervalle: de 0,4 à 11,5 mois). La durée médiane a été de 4,8 mois (intervalle: de 0,3 à 51,1+ mois; le signe + signale une valeur censurée). La myosite a entraîné l'interruption de Tecentriq chez 6 patients (0,1%). Chez 0,2% (11/5093) des patients sous traitement par Tecentriq, la myosite a nécessité l'administration de corticostéroïdes.
  • +Une myosite est survenue chez 0,6% (33/5464) des patients qui avaient reçu Tecentriq en monothérapie. Le délai médian d'apparition a été de 5,0 mois (intervalle: de 0,4 à 11,5 mois). La durée médiane a été de 3,2 mois (intervalle: de 0,0 à 51,1+ mois; le signe + signale une valeur censurée). La myosite a entraîné l'interruption de Tecentriq chez 2 patients (0,1%). Chez 0,2% (11/5464) des patients sous traitement par Tecentriq, la myosite a nécessité l'administration de corticostéroïdes.
  • -Une néphrite est survenue chez 0,3% (13/5093) des patients ayant reçu Tecentriq en monothérapie. Le délai médian d'apparition a été de 5,1 mois (intervalle: de 0,1 mois à 20,4 mois). Une néphrite a entraîné l'interruption de Tecentriq chez 6 patients (0,1%). Six patients (0,1%) ont dû suivre un traitement par des corticostéroïdes.
  • +Une néphrite est survenue chez 0,2% (12/5464) des patients ayant reçu Tecentriq en monothérapie. Le délai médian d'apparition a été de 5,1 mois (intervalle: de 0,1 mois à 20,4 mois). Une néphrite a entraîné l'interruption de Tecentriq chez 6 patients (0,1%). Six patients (0,1%) ont dû suivre un traitement par des corticostéroïdes.
  • -Des réactions cutanées indésirables sévères (SCAR) sont survenues chez 0,6% (31/5093) des patients qui avaient reçu Tecentriq en monothérapie. Chez l'un des 31 patients, cet événement a eu une issue fatale. Le délai médian d'apparition a été de 4,9 mois (intervalle: de 0,1 à 15,5 mois). La durée médiane a été de 2,8 mois (intervalle: de 0 à 37,5+ mois; le signe + signale une valeur censurée). Chez 3 patients (< 0,1%), les SCAR ont entraîné une interruption du traitement par Tecentriq. Des SCAR ayant nécessité l'utilisation systémique de corticostéroïdes sont survenues chez 0,2% (10/5093) des patients ayant reçu Tecentriq en monothérapie.
  • +Des réactions cutanées indésirables sévères (SCAR) sont survenues chez 0,6% (33/5464) des patients qui avaient reçu Tecentriq en monothérapie. Chez deux des 33 patients, cet événement a eu une issue fatale. Le délai médian d'apparition a été de 4,9 mois (intervalle: de 0,1 à 15,5 mois). La durée médiane a été de 2,8 mois (intervalle: de 0 à 37,5+ mois; le signe + signale une valeur censurée). Chez 3 patients (< 0,1%), les SCAR ont entraîné une interruption du traitement par Tecentriq. Des SCAR ayant nécessité l'utilisation systémique de corticostéroïdes sont survenues chez 0,2% (11/5464) des patients ayant reçu Tecentriq en monothérapie.
  • +Dans l'étude IMscin001, des SCAR sont survenues chez 0,8% (2/247) des patients traités par Tecentriq s.c.
  • +
  • -Des affections du péricarde sont survenues chez 0,9% (48/5093) des patients ayant reçu Tecentriq en monothérapie. Le délai médian de survenue a été de 1,4 mois (intervalle: 0,2 à 17,5 mois). La durée médiane était de 1,4 mois (intervalle: 0 à 51,5+ mois; + signale une valeur censurée). Les affections du péricarde ont conduit à l'arrêt du traitement par Tecentriq chez 3 patients (<0,1%). Des affections du péricarde nécessitant l'utilisation de corticoïdes sont survenues chez 0,1% (7/5093) des patients.
  • +Des affections du péricarde sont survenues chez 0,9% (48/5464) des patients ayant reçu Tecentriq en monothérapie. Le délai médian de survenue a été de 1,4 mois (intervalle: 0,2 à 17,5 mois). La durée médiane était de 1,4 mois (intervalle: 0 à 51,5+ mois; + signale une valeur censurée). Les affections du péricarde ont conduit à l'arrêt du traitement par Tecentriq chez 3 patients (< 0,1%). Des affections du péricarde ayant nécessité l'utilisation de corticoïdes sont survenues chez 0,1% (7/5464) des patients.
  • -Dans les données regroupées des patients ayant reçu de l'atézolizumab en monothérapie (n=3460) ou en traitement combiné (n=2285), les taux suivants d'événements indésirables ont été observés pour la population ADA-positive, par rapport à la population ADA-négative: événements indésirables de grade 3-4: 45,9% contre 39,1%; événements indésirables graves: 39,4% contre 33,0%; événements indésirables ayant nécessité l'interruption du traitement: 8,4% contre 7,7% (en monothérapie); événements indésirables de grade 3-4: 63,9% contre 60,9%, événements indésirables graves: 43,9% contre 35,6%, événements indésirables ayant nécessité l'interruption du traitement: 22,8% contre 18,4% (en traitement combiné).
  • +Dans les données regroupées des patients ayant reçu de l'atézolizumab en monothérapie (n = 3460) ou en traitement combiné (n = 2285), les taux suivants d'événements indésirables ont été observés pour la population ADA-positive, par rapport à la population ADA-négative: événements indésirables de grade 3-4: 45,9% contre 39,1%; événements indésirables graves: 39,4% contre 33,0%; événements indésirables ayant nécessité l'interruption du traitement: 8,4% contre 7,7% (en monothérapie); événements indésirables de grade 3-4: 63,9% contre 60,9%, événements indésirables graves: 43,9% contre 35,6%, événements indésirables ayant nécessité l'interruption du traitement: 22,8% contre 18,4% (en traitement combiné).
  • -Les caractéristiques démographiques et pathologiques à l'inclusion de la population étudiée (n=723) étaient bien équilibrées entre les bras de traitement. L'âge médian s'élevait à 64 ans (entendue de 18 à 86 ans). La majorité́ des patients était de sexe masculin (57%) et de type caucasien (90%). 14,8% des patients avaient des métastases hépatiques à l'inclusion et la plupart des patients étaient fumeurs ou anciens fumeurs (88%). La majorité́ des patients présentaient un indice de performance ECOG de 1 (58,7%).
  • -L'analyse principale a été́ réalisée chez tous les patients, en excluant ceux avec aberrations génomiques tumorales du gène EGFR ou ALK (n=685), définie comme la population ITT-WT. Les deux critères d'évaluation principaux étaient l'OS et la PFS évaluée par le médecin investigateur. Les principaux résultats de cette étude lors d'un suivi médian de 18,6 mois de la durée de vie restante sont résumés ci-dessous.
  • +Les caractéristiques démographiques et pathologiques à l'inclusion de la population étudiée (n = 723) étaient bien équilibrées entre les bras de traitement. L'âge médian s'élevait à 64 ans (entendue de 18 à 86 ans). La majorité́ des patients était de sexe masculin (57%) et de type caucasien (90%). 14,8% des patients avaient des métastases hépatiques à l'inclusion et la plupart des patients étaient fumeurs ou anciens fumeurs (88%). La majorité́ des patients présentaient un indice de performance ECOG de 1 (58,7%).
  • +L'analyse principale a été́ réalisée chez tous les patients, en excluant ceux avec aberrations génomiques tumorales du gène EGFR ou ALK (n = 685), définie comme la population ITT-WT. Les deux critères d'évaluation principaux étaient l'OS et la PFS évaluée par le médecin investigateur. Les principaux résultats de cette étude lors d'un suivi médian de 18,6 mois de la durée de vie restante sont résumés ci-dessous.
  • -Dans tous les sous-groupes PD-L1, indépendamment de l'expression, un bénéfice concernant l'OS et la PFS a été obtenu hormis les patients avec des métastases hépatiques. Ainsi que les résultats d'une analyse en sous-groupes d'un nombre limité de patients (n=101) avec des métastases hépatiques l'ont montré, l'atézolizumab, le nab-paclitaxel et le carboplatine ne semblent pas entraîner d'améliorations de l'effet thérapeutique dans ce collectif partiel par rapport au nab-paclitaxel et au carboplatine (HR: 0,96; IC à 95%: 0,61; 1,51 pour la PFS et HR: 1,21; IC à 95%: 0,73; 2,00 pour l'OS).
  • +Dans tous les sous-groupes PD-L1, indépendamment de l'expression, un bénéfice concernant l'OS et la PFS a été obtenu hormis les patients avec des métastases hépatiques. Ainsi que les résultats d'une analyse en sous-groupes d'un nombre limité de patients (n = 101) avec des métastases hépatiques l'ont montré, l'atézolizumab, le nab-paclitaxel et le carboplatine ne semblent pas entraîner d'améliorations de l'effet thérapeutique dans ce collectif partiel par rapport au nab-paclitaxel et au carboplatine (HR: 0,96; IC à 95%: 0,61; 1,51 pour la PFS et HR: 1,21; IC à 95%: 0,73; 2,00 pour l'OS).
  • -Chez les patients présentant une expression de PD-L1 ≥50% sur les TC et une maladie de stade II à IIIA (n=229) une amélioration cliniquement pertinente de la DFS a été démontrée, avec un HR non stratifié de 0,43 (IC à 95%: 0,27, 0,68). La DFS médiane n'a pas été atteinte chez les patients du bras sous Tecentriq (IC à 95%: 42,3 mois, NE) et a été de 35,7 mois chez les patients du bras recevant le meileur traitement de soutien (IC à 95%: 29,7, NE). Les données d'OS n'étaient pas matures au moment de l'analyse intermédiaire de la DFS, avec une mortalité d'environ 16,2% dans les deux bras rapportée dans la population présentant une expression de PD-L1 ≥50% sur les TC et une maladie de stade II à IIIA. Une analyse exploratoire de l'OS a révélé une tendance en faveur du Tecentriq par rapport au meilleur traitement de soutien dans cette population de patients (HR non stratifé = 0,37; [IC à 95%: 0,18, 0,74]).
  • +Chez les patients présentant une expression de PD-L1 ≥50% sur les TC et une maladie de stade II à IIIA (n = 229) une amélioration cliniquement pertinente de la DFS a été démontrée, avec un HR non stratifié de 0,43 (IC à 95%: 0,27, 0,68). La DFS médiane n'a pas été atteinte chez les patients du bras sous Tecentriq (IC à 95%: 42,3 mois, NE) et a été de 35,7 mois chez les patients du bras recevant le meileur traitement de soutien (IC à 95%: 29,7, NE). Les données d'OS n'étaient pas matures au moment de l'analyse intermédiaire de la DFS, avec une mortalité d'environ 16,2% dans les deux bras rapportée dans la population présentant une expression de PD-L1 ≥50% sur les TC et une maladie de stade II à IIIA. Une analyse exploratoire de l'OS a révélé une tendance en faveur du Tecentriq par rapport au meilleur traitement de soutien dans cette population de patients (HR non stratifé = 0,37; [IC à 95%: 0,18, 0,74]).
  • -Étaient notamment exclus de l'étude les patients présentant des antécédents de maladie auto-immune; les patients ayant reçu un vaccin vivant atténué au cours des 4 semaines précédant la randomisation; les patients ayant reçu des substances actives immunostimulatrices systémiques dans les 4 semaines ou des médicaments immunosuppresseurs systémiques dans les 2 semaines précédant la randomisation; les patients présentant des métastases cérébrales non traitées ou dépendantes des corticostéroïdes; les patients ayant des antécédents de transplantation de cellules souches allogéniques ou d'organe solide; les patients atteints de fibrose pulmonaire idiopathique active ou anamnestique et de pneumonite (à l'exception d'une pneumonite actinique dans le champ d'irradiation) et de pneumonie organisante; ou encore les patients atteints d'infections actives, telles que VIH, hépatite B et C ainsi que tuberculose. Une évaluation de la tumeur a été effectuée toutes les 8 semaines durant les 12 premiers mois, puis toutes les 12 semaines.
  • +Étaient notamment exclus de l'étude les patients présentant des antécédents de maladie auto-immune; les patients ayant reçu un vaccin vivant atténué au cours des 4 semaines précédant la randomisation; les patients ayant reçu des substances actives immunostimulatrices systémiques dans les 4 semaines ou des médicaments immunosuppresseurs systémiques dans les 2 semaines précédant la randomisation; les patients présentant des métastases cérébrales non traitées ou dépendantes des corticostéroïdes; les patients ayant des antécédents de transplantation de cellules souches allogéniques ou d'organe solide; les patients atteints de fibrose pulmonaire idiopathique active ou anamnestique et de pneumopathie inflammatoire (à l'exception d'une pneumopathie inflammatoire actinique dans le champ d'irradiation) et de pneumonie organisante; ou encore les patients atteints d'infections actives, telles que VIH, hépatite B et C ainsi que tuberculose. Une évaluation de la tumeur a été effectuée toutes les 8 semaines durant les 12 premiers mois, puis toutes les 12 semaines.
  • -Survie sans progression (PFS) selon l'appréciation du médecin investigateur (RECIST vers. 1.1 – Analyse primaire3) n=185 n=184
  • +Survie sans progression (PFS) selon l'appréciation du médecin investigateur (RECIST vers. 1.1 – Analyse primaire3) n = 185 n = 184
  • -Analyse de la survie globale1, 2, 5 n=185 n=184
  • +Analyse de la survie globale1, 2, 5 n = 185 n = 184
  • -Une étude multicentrique en ouvert d'une phase précoce été réalisée chez des patients pédiatriques (< 18 ans, n=69) et chez des patients adultes jeunes (de 18 à 30 ans, n=18) atteints d'une tumeur solide récurrente ou progressive ou d'un lymphome de Hodgkin ou non-hodgkinien afin d'évaluer la sécurité et la pharmacocinétique de Tecentriq. Les patients ont reçu 15 mg/kg d'atézolizumab par voie i.v. toutes les 3 semaines. Les principaux indicateurs d'efficacité étaient le taux de réponse objective (objective response rate, ORR), la survie sans progression (progression-free survival, PFS) et le taux de réponse avec bénéfice clinique (clinical benefit response rate, CBRR; seulement chez les patients atteints d'ostéosarcome).
  • +Une étude multicentrique en ouvert d'une phase précoce été réalisée chez des patients pédiatriques (< 18 ans, n = 69) et chez des patients adultes jeunes (de 18 à 30 ans, n = 18) atteints d'une tumeur solide récurrente ou progressive ou d'un lymphome de Hodgkin ou non-hodgkinien afin d'évaluer la sécurité et la pharmacocinétique de Tecentriq. Les patients ont reçu 15 mg/kg d'atézolizumab par voie i.v. toutes les 3 semaines. Les principaux indicateurs d'efficacité étaient le taux de réponse objective (objective response rate, ORR), la survie sans progression (progression-free survival, PFS) et le taux de réponse avec bénéfice clinique (clinical benefit response rate, CBRR; seulement chez les patients atteints d'ostéosarcome).
  • -Tecentriq est administré en perfusion i.v. Aucune étude n'a été réalisée avec d'autres voies d'administration.
  • +Tecentriq est administré en perfusion i.v.
  • -Une analyse pharmacocinétique de population a montré que la clairance de Tecentriq est de 0,200 l/jour et la demi-vie d'élimination typique (t1/2) de 27 jours. Dans les études cliniques menées avec Tecentriq, la clairance médiane de l'atézolizumab était augmentée de 22% (intervalle de 18% à 49%) chez les patients présentant des ADA en lien avec le traitement par rapport aux patients sans ADA liés au traitement.
  • +Une analyse pharmacocinétique de population a montré que la clairance de Tecentriq est de 0,200 l/jour et la demi-vie d'élimination typique (t1/2) de 27 jours. Dans les études cliniques menées avec Tecentriq administré par voie intraveineuse, la clairance médiane de l'atézolizumab était augmentée de 22% (intervalle de 18% à 49%) chez les patients présentant des ADA en lien avec le traitement par rapport aux patients sans ADA liés au traitement.
  • -Aucune étude spécifique n'a été réalisée avec Tecentriq chez des patients insuffisants hépatiques. L'analyse pharmacocinétique de population n'a montré aucune différence cliniquement significative concernant la clairance de Tecentriq entre les patients présentant une insuffisance hépatique légère (bilirubine ≤ LSN et ASAT > LSN ou bilirubine < 1,0 jusqu'à 1,5 × LSN et quel que soit le taux d'ASAT) ou modérée (bilirubine > 1,5 jusqu'à 3 x LSN et quel que soit le taux d'ASAT) et ceux présentant une fonction hépatique normale (bilirubine et ASAT ≤ LSN). Il n'existe aucune donnée chez les patients présentant une insuffisance hépatique sévère (bilirubine > 3,0 x LSN, quel que soit le taux d'ASAT). Les troubles de la fonction hépatique ont été définis selon les critères de l'insuffisance hépatique établis par le National Cancer Institute (NCI) (voir «Posologie/Mode d'emploi: Instructions posologiques particulières»).
  • +Aucune étude spécifique n'a été réalisée avec Tecentriq chez des patients insuffisants hépatiques. L'analyse pharmacocinétique de population n'a montré aucune différence cliniquement significative concernant la clairance de Tecentriq, administré par voie intraveineuse ou sous-cutanée, entre les patients présentant une insuffisance hépatique légère (bilirubine ≤ LSN et ASAT > LSN ou bilirubine < 1,0 jusqu'à 1,5 × LSN et quel que soit le taux d'ASAT) ou modérée (bilirubine > 1,5 jusqu'à 3 × LSN et quel que soit le taux d'ASAT) et ceux présentant une fonction hépatique normale (bilirubine et ASAT ≤ LSN). Parmi les patients traités par Tecentriq présentant une insuffisance hépatique modérée, un seul a reçu Tecentriq par voie sous-cutanée. Il n'existe aucune donnée chez les patients présentant une insuffisance hépatique sévère (bilirubine > 3,0 × LSN, quel que soit le taux d'ASAT). Les troubles de la fonction hépatique ont été définis selon les critères de l'insuffisance hépatique établis par le National Cancer Institute (NCI) (voir «Posologie/Mode d'emploi: Instructions posologiques particulières»).
  • -Aucune étude spécifique n'a été réalisée avec Tecentriq chez des patients insuffisants rénaux. L'analyse pharmacocinétique de population n'a montré aucune différence cliniquement significative concernant la clairance de Tecentriq entre les patients présentant une insuffisance rénale légère (DFGe de 60 à 89 ml/min/1,73 m²; n=208) ou modérée (DFGe de 30 à 59 ml/min/1,73 m²; n=116) et les patients présentant une fonction rénale normale (DFGe supérieur ou égal à 90 ml/min/1,73 m²; n=140). Seuls quelques patients présentaient une insuffisance rénale sévère (DFGe de 15 à 29 ml/min/1,73 m²; n=8) (voir «Posologie/Mode d'emploi: Instructions posologiques particulières»).
  • +Aucune étude spécifique n'a été réalisée avec Tecentriq chez des patients insuffisants rénaux. Chez les patients ayant reçu Tecentriq soit par voie sous-cutanée soit par voie intraveineuse, l'analyse pharmacocinétique de population n'a montré aucune différence cliniquement significative en termes de clairance en cas d'insuffisance rénale légère (DFGe de 60 à 89 ml/min/1,73 m²; n = 111 par traitement s.c. ou n = 208 par traitement i.v.) ou modérée (DFGe de 30 à 59 ml/min/1,73 m²; n = 32 par traitement s.c. ou n = 116 par traitement i.v.), par rapport aux patients présentant une fonction rénale normale (DFGe supérieur ou égal à 90 ml/min/1,73 m²; n = 103 par traitement s.c. ou n = 140 par traitement i.v.). Seuls quelques patients traités par Tecentriq par voie intraveineuse présentaient une insuffisance rénale sévère (DFGe de 15 à 29 ml/min/1,73 m²; n = 8) (voir «Posologie/Mode d'emploi: Instructions posologiques particulières»).
  • -Aucune étude spécifique n'a été réalisée avec Tecentriq chez des patients âgés. L'influence de l'âge sur la pharmacocinétique de Tecentriq a été évaluée dans une analyse pharmacocinétique de population. Chez les patients âgés de 21 à 89 ans (n=472), avec un âge médian de 62 ans, l'âge n'a pas été identifié comme une covariable significative affectant la pharmacocinétique de Tecentriq. Aucune différence cliniquement significative concernant la pharmacocinétique de Tecentriq n'a été observée entre les patients < 65 ans (n=274), les patients âgés de 65 à 75 ans (n=152) et les patients > 75 ans (n=46) (voir «Posologie/Mode d'emploi: Instructions posologiques particulières»).
  • +Aucune étude spécifique n'a été réalisée avec Tecentriq chez des patients âgés. L'influence de l'âge sur la pharmacocinétique de Tecentriq a été évaluée dans une analyse pharmacocinétique de population. Chez les patients âgés de 21 à 89 ans (n = 472), avec un âge médian de 62 ans, l'âge n'a pas été identifié comme une covariable significative affectant la pharmacocinétique de Tecentriq administré par voie intraveineuse. Aucune différence cliniquement significative concernant la pharmacocinétique de Tecentriq, administré par voie sous-cutanée ou par voie intraveineuse, n'a été observée entre les patients < 65 ans (n = 138 par traitement s.c. ou n = 274 par traitement i.v.), les patients âgés de 65 à 75 ans (n = 89 par traitement s.c. ou n = 152 par traitement i.v.) et les patients > 75 ans (n = 19 par traitement s.c. ou n = 46 par traitement i.v.) (voir «Posologie/Mode d'emploi: Instructions posologiques particulières»).
  • -Les critères d'évaluation pharmacologiques de sécurité de Tecentriq ont été évalués dans le cadre de deux études portant sur la toxicité chronique, l'une de 8 semaines et l'autre de 26 semaines, menées chez le singe cynomolgus. Elles n'ont révélé aucun risque particulier pour l'être humain.
  • +Les critères d'évaluation pharmacologiques de sécurité de Tecentriq administré par voie intraveineuse ont été évalués dans le cadre de deux études portant sur la toxicité chronique, l'une de 8 semaines et l'autre de 26 semaines, menées chez le singe cynomolgus. Elles n'ont révélé aucun risque particulier pour l'être humain.
  • -Dans une souche spécifique de souris, des neuropathies minimes du nerf sciatique ont été observées à des doses ≥10 mg/kg. Des artérites/périartérites minimes à légères touchant de multiples organes sont survenues chez le singe cynomolgus à des doses ≥15 mg/kg. Chez les singes femelles, des cycles sexuels irréguliers ont été observés à des doses de 50 mg/kg. Une augmentation des inflammations sous-cutanées (irritations légères) au niveau du site d'injection a été observée chez le singe.
  • +Dans une souche spécifique de souris, des neuropathies minimes du nerf sciatique ont été observées à des doses ≥10 mg/kg administrées par voie intraveineuse. Des artérites/périartérites minimes à légères touchant de multiples organes sont survenues chez le singe cynomolgus après administration sous-cutanée de doses ≥15 mg/kg et après administration intraveineuse de doses de 50 mg/kg. Chez les singes femelles, des cycles sexuels irréguliers ont été observés à des doses de 50 mg/kg administrées par voie intraveineuse. Une augmentation des inflammations sous-cutanées (irritations légères) au niveau du site d'injection a été observée chez le singe.
  • -Aucune étude de fertilité n'a été réalisée avec Tecentriq. L'étude portant sur la toxicité chronique a cependant comporté une évaluation des organes reproducteurs de singes cynomolgus mâles et femelles. Chez tous les singes femelles du groupe ayant reçu la dose de 50 mg/kg, Tecentriq a eu des effets sur le cycle menstruel, caractérisés par des cycles irréguliers pendant la phase d'administration et par l'absence de corps jaunes nouvellement formés dans les ovaires à l'autopsie. Ces effets sont survenus à une AUC estimée environ 6 fois supérieure à l'AUC observée chez les patients après administration de la dose recommandée; ils ont été réversibles au cours de la phase de récupération sans administration. Aucun effet sur les organes reproducteurs mâles n'a été constaté.
  • +Aucune étude de fertilité n'a été réalisée avec Tecentriq. L'étude portant sur la toxicité chronique a cependant comporté une évaluation des organes reproducteurs de singes cynomolgus mâles et femelles. Chez tous les singes femelles du groupe ayant reçu la dose de 50 mg/kg, Tecentriq administré par voie intraveineuse a eu des effets sur le cycle menstruel, caractérisés par des cycles irréguliers pendant la phase d'administration et par l'absence de corps jaunes nouvellement formés dans les ovaires à l'autopsie. Ces effets sont survenus à une AUC estimée environ 6 fois supérieure à l'AUC observée chez les patients après administration de la dose recommandée; ils ont été réversibles au cours de la phase de récupération sans administration. Aucun effet sur les organes reproducteurs mâles n'a été constaté.
  • -Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur le récipient.
  • +Ce médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l'emballage.
  • -Mars 2024.
  • +Juillet 2024.
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